12/10/2015
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Activité intérieurs en Fédération d'Antegrad

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Activité intérieurs en Fédération d'Antegrad

Ici seras posté les activités intérieurs dans la fédération centrale démocratique d'Antegrad. Manifestation, violence policière, arrestation illégal, exercice militaire... .

Attention : pas toute les activités intérieurs serons médiatisé donc presque inutilisable en RP sans ma permission.
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Actualité non médiatisé
Destint, 25.07.2014, capitale

Des manifestations ont eu lieu dans la capitale pour demander la libération des trois prisonniers occidaliens. Cette manifestation a été organisée par des libéraux et des touristes en provenance d'Aleucie. Ils ont bloqué la rue du Dahamir, renversé des poubelles et proféré des propos racistes envers les Anteriens et leur couleur de peau. La milice à était envoyé sur place et ont utilisé la force pour dispersé les manifestations. Ils ont envoyé une centaine de grenades lacrymogènes et foncé sur la foule avec des véhicules de l'armée prévus à cet effet. Seize personnes ont été tuées, dont un touriste westalien, et 456 personnes ont été arrêtées, parmi lesquelles 234 touristes aleuciens, ce qui représente la totalité des Aleuciens ayant manifesté pour la libération des trois prisonniers. Le touriste tué a été officiellement porté disparu, et les 234 touristes ont été longuement interrogés et menacés pour les dissuader de parler de ce qu'ils ont vécu, il ont aussi était classifié comme fous avant d'être relâcher mais garder sous haute surveillance constante.
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Actualité non médiatisé
Desert de Camalseh, 31.07.2014, centre-est du pays

À 11 heures du matin, 54 Aklafiens issus de la minorité du nord-est du pays ont été rassemblés en plein désert de Camalseh, au centre-est du pays, après un voyage de trois heures dans des wagons à bêtes. Après que la milice les ai forcé à signé des papiers, ils ont été amenés devant un vieux mur portant la robe d'un millier d'impactes de balles . À un mètre devant le mur, un trou assez grand pour accueillir 60 cadavres. A cette endroit personne ne pourras jamais les retrouvais et les papier que la milice leurs à fait signé était des papiers informant qu'ils renoncent à leur identité et à leur ethnie, et qu'ils ont déménagé dans une autre nation, ont été envoyés à leur famille. 30 minutes avant l'exécution. A 12h 06, 15 membres de la milice se prépare et à 12h 11 un chant nationale est jouais sur une radio. A 12h 13 la milice se tien près et ouvre le feu.
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Actualité médiatisé
Destint, 23.08.2014, Capitale de la fédération

Après plusieurs semaines à avoir été transporté dans une limousine escortée par des véhicules de l'armée dans toute la nation, le cadavre du huitième chef suprême de la Fédération centrale démocratique d'Antegrad, Venos Feros, est de retour à Destint pour être définitivement placé dans son tombeau, après 11 ans à avoir dirigé loyalement la fédération, aux côtés des sept autres chefs suprêmes, au centre de la ville, derrière le palais et en face d'un large parc. Le tombeau suprême, comme les habitants le nomment, est un bâtiment circulaire entièrement fait de marbre, avec les statues de tous les dirigeants de la fédération. Une immense vitre en cristal permet de voir les tombeaux depuis l'extérieur, mais pour éviter une dégradation des lieux, 100 miliciens sont constamment présents autour du bâtiment. Son successeur, Ismael Idi Amar, accompagné de 670 000 personnes venues de tout le pays, a pu assister à cette scène. Il y avait tellement de monde que 15 % des vieux quartiers de la capitale étaient recouverts de foule. Aucun dirigeant étranger n'a été invité pour cet événement, pour des raisons de nationalisme. Après cela, une parade militaire a été organisée pour montrer la nouvelle ère dans laquelle la Fédération centrale démocratique d'Antegrad est entrée. L'armée a sorti le grand jeu : 7000 militaires professionnels, 2300 futurs professionnels, 1500 miliciens, deux lance-roquettes multiples, cinq lance-missiles antiaériens mobiles, dix véhicules blindés légers, 30 transports de troupes blindés, 30 véhicules de combat d'infanterie, 30 chars légers, trois chars d'assaut, cinq hélicoptères d'attaque, dix hélicoptères de transport moyen, dix avions de chasse, deux chasseurs-bombardiers, cinq avions d'attaque au sol, deux bombardiers stratégiques et cinq missiles balistiques surnommés "les bijoux nationaux". Le chef suprême Ismael Idi Amar a annoncé augmenter le budget militaire de 40 % et s'est dit "peu inquiet des menaces aleciennes". Voici le discours :

Mes chers frères, mes chères sœurs, Antériens, Antériennes, notre grande et belle nation, la Fédération centrale démocratique d'Antegrad, entre aujourd'hui, après l'enterrement de notre honorable huitième chef suprême, dans une nouvelle ère ! Mon début en tant que dirigeant de ce pays a été très mouvementé à cause de l'ingérence des puissances aleuciennes telles que l'Occidalie, la Westalia ou l'Osno. Mais celles-ci ne me font pas peur ! Ni à moi, ni à vous ! Leurs menaces, leur racisme envers nous montrent qu'ils sont faibles. De plus, je tiens à réaffirmer publiquement mon soutien à la Rimaurie, qui a récemment été touchée par des frappes loduariennes. Le monde vit actuellement de grandes tensions. C'est pourquoi j'annonce l'augmentation du budget militaire de 40 %. Je vous remercie. Vive Antegrad, vive ses alliés !
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Tel-Aja, 03.09.2014, capitale pour deux mois

Le Chef Suprême de la Fédération centrale démocratique d'Antegrad vient d'annoncer la fin du projet Tel-Aja après 54 ans. Si vous ne connaissez pas ce projet, c'est normal, car il est resté secret pendant toutes ces années. Tel-Aja est un projet de construction d'une mégalopole dans le désert au centre du pays pour développer l'économie au cœur de la nation. La ville est conçue pour accueillir 3 000 000 de personnes.

Après un investissement de plusieurs milliards sur un peu moins de 60 ans, comprenant la construction de deux canaux reliant l'unique rivière de la nation à la nouvelle ville pour l’approvisionner en eau potable et développer l'agriculture dans la région, la création de 18 gratte-ciels contenant des bureaux ou des logements, 12 hôtels, des routes larges de plusieurs mètres, des milliers de caméras pour protéger les citoyens et un parc d'attractions, cette ville est un bijou national et a été construite en un temps record. Dès la mise en vente des logements, qui étaient à bas prix pour s'adapter aux salaires moyens des civils, 40 % des logements ont été vendus.

Le Chef Suprême, Ismael Idi Amar, a fait un discours important dans lequel il a annoncé que la nouvelle ville, Tel-Aja, sera la nouvelle capitale de la Fédération centrale démocratique d'Antegrad pendant deux mois. " Il ne faut pas s'inquiéter ", a-t-il dit, " car cela sera temporaire et aucune institution politique ni aucune ambassade ne sera déplacée. " Voici son discours :

" Mes frères, mes sœurs, anteriennes, anteriens, aujourd'hui est un grand jour. La création de la ville de Tel-Aja montre comment notre nation a connu un essor économique et technologique durant toutes ces années ! Tel-Aja est un symbole pour notre pays. Ses monuments, ses infrastructures et son développement montrent comment notre pays est devenu une grande puissance. Montrons-leur, montrons à nos ennemis qu'ils sont faibles face à nous et montrons à nos alliés que nous sommes forts. J'annonce que Tel-Aja deviendra notre nouvelle capitale pendant deux mois, jusqu'à la date du 06/11/2014. Aucune institution politique ni aucune ambassade ne sera déplacée pendant cette période. Vive Antegrad ! Vive ses alliés ! "
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New Maï, 06.11.2014, base militaire aérienne de la ville

Dans la nuit du 06/11, cinq avions de chasse de l'armée antérienne décollent de la base militaire aérienne de New Maï, située au centre du pays, sous les ordres du ministère des armées terrestres, navales et aériennes, lui-même dirigé par le chef suprême de la Fédération, Ismaël Idi Amar. Leur mission : se diriger vers la ville frontalière de Yada, à l'ouest du pays. Une fois arrivés à Yada, ils ne s'arrêtent pas en raison d'un ordre de dernière minute provenant de leur commandant, émis par le ministère des Armées. Leur nouvelle mission consiste à survoler le territoire de l'Empire du Sogho à pleine vitesse, en produisant un maximum de bruit pour déstabiliser l'empire, avant de faire un détour vers Destint, la capitale.
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Cadjikis, 19.01.2015, désert au sud du pays

Il est trois heures du matin à Cadjikis. Les habitants de la ville dorment profondément, mais au nord de la ville, dans le quartier de Kachar Bal Islamia, le tout récent Front Armé Contre le Terrorisme (FACT) se prépare à lancer un assaut. En effet, cela fait plusieurs semaines que les autorités ont été alertées de comportements suspects dans la maison située au 34600, rue Kachar Bal Islamia, à Cadjikis. Des résidents auraient entendu des hurlements, des tirs et des bruits d'explosion. Pour la FACT et les autorités, cela ne faisait aucun doute : cette maison abritait des terroristes. Après avoir étudié le terrain et observé les heures d'arrivée et de départ des occupants, ils ont remarqué que jusqu'à 22 personnes entraient dans la maison, ce qui était anormal. Les autorités ont alors évacué le quartier un jour avant l'intervention, le 18 janvier, et la FACT était prête. Vingt hommes lourdement armés se sont positionnés le long des murs extérieurs de la maison pour rester invisibles jusqu'à l'assaut, attendant le feu vert de leurs supérieurs.

-À 03 h 45, l'ordre est donné. Ils enfoncent la porte et lancent trois grenades flash avant d'entrer. Trois hommes armés, aveuglés, sont abattus à l'entrée.

-À 03 h 47, deux autres terroristes sortent d'une pièce, alertés par le bruit, et ouvrent le feu sur les forces de la FACT. Un soldat est blessé et les deux terroristes sont abattus. Le soldat blessé est immédiatement escorté hors de la maison.

-À 03 h 51, les forces armées avancent dans le bâtiment, pièce par pièce. Deux hommes non armés sont arrêtés avant que les soldats n'arrivent devant un escalier menant au sous-sol. Ils lancent une autre grenade flash et continuent leur progression. Sept terroristes lourdement armés ouvrent le feu, les soldats ripostent et lancent une grenade. Un membre de la FACT est tué, mais les sept terroristes sont neutralisés.

-À 03 h 58, six terroristes non armés se rendent. En continuant leur progression, les soldats découvrent un tunnel. Alors qu'ils s'y enfoncent, deux autres terroristes les surprennent. Un soldat est blessé, mais les deux hommes sont abattus.

-À 04 h 01, le bâtiment est complètement fouillé et sécurisé. Les soldats sortent.

Au total, 14 terroristes ont été abattus et 8 arrêtés. Du côté de la FACT, un homme a été tué et deux ont été blessés. Plusieurs plans de bombes et plusieurs kilos d'explosifs ont été découverts, ainsi qu'un plan détaillé pour un attentat visant le musée national de Cadjikis. Les terroristes appartenaient au groupe terroriste islamique Nagar. Cette mission est donc un succès pour la première opération de la FACT.
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Cap-Badum-Assem, 20.09.2015, Territoire fédérale de Mondawa

Alors que la guerre nationale contre le terrorisme continue dans la discrétion, la milice nationale anterienne ont entendus parlait d'un groupe qui serait soit disant armées nommé les Libérateurs du Mondawa. Le chef de la milice nationale décide alors de mener une enquête et une perquisition afin de calmer les idée indépendantiste de c'est Mondawais. à 12h 30 une perquisition surprise à lieu dans le supposé lieu de rencontre des "Libérateurs" du Mondawa, trouvé par un journaliste ayant pris une photo des supposé membre de ce groupe. Une équipe d'une dizaine de miliciens présent à Cap-Badum-Assem et donc envoyé afin de réaliser une perquisition rapide. Les miliciens enfonce la porte à 12h 45. à l'interieur 5 personnes sont présente ceux-ci tente de prendre leurs armes mais après que la milice et tiré sur un des cinq Mondawais les autre se sont rendus, des dizaine d'armes et explosifs ont était retrouvé. Des drapeau du territoire abev l'inscription "free" tagué dessus et des résidus de drapeau anterien brulée. Les quatre homme arrété seront probablement condamné à 90 ans pour, détention d'arsenal illégale, détention d'explosifs, terrorisme avec préméditation, conspiration contre l'état, endoctrinement de personne, non coopération envers l'état et ses représentant et blasphème envers la nation.

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Photo prise par le journaliste


Après cet événement, quelques heures plus tard, un commando de sept terroristes du groupe de libération du Mondawa prend en chasse, à 17 heures, une patrouille de cinq miliciens dans la zone sèche d'Ikigawn, une petite région de quelques kilomètres arides, avec quelques arbres et maisons dispersés. Ce n'est ni un désert ni une savane, et il y a rarement du passage. Le commando ouvre le feu sur les miliciens, dont le véhicule s'écrase un peu plus loin dans un fossé, mitraillé de balles par les terroristes. Une autre patrouille, partie à la recherche de la première, tombe sur le véhicule de la milice retourné dans le fossé, criblé de balles, en flammes, avec cinq cadavres à l'intérieur.

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Photo prise par le journal clandestin "La Liberté", un journal interdit dans la fédération mais financé par des entité terroriste et indépendantiste qui se vent dans des coins reculé, une heure après le massacre.
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Division de sud Mondawa, 24.09.2015, Territoire fédérale de Mondawa

À 9 h 45 exactement, un groupe de jeunes appelle la police : des coups de feu ont été entendus près de la ville de Mewon, une ville proche de Cap-Badum Assem, dans la division du sud de Mondawa.
Lorsque la police arrive sur place, des hommes armés ouvrent le feu en criant : "Libérez le Mondawa !". Un policier est blessé ; ses collègues se réfugient dans une ruelle et appellent des renforts. Pendant ce temps, la police aperçoit deux pick-up empruntant de petits chemins en direction d'une savane dense au sud de la ville.
À l'arrivée de trois véhicules de la milice nationale, les policiers indiquent la direction prise par les tireurs. Leurs véhicules sont retrouvés à la fin d'un petit chemin à 10 h 32. La milice s'arrête, et les miliciens descendent en restant sur leurs gardes. Ils sont 17, lourdement armés. En longeant une petite rivière et en suivant des traces de bottes, ils tombent dans une embuscade tendue par les tireurs mondawais. Un échange de coups de feu dure plusieurs minutes : une dizaine de mondawais tirent sur les miliciens, qui résistent du mieux qu'ils peuvent.

Les tirs se poursuivent alors que les miliciens tentent de rejoindre leurs véhicules. Une dizaine d'autres miliciens arrivent en renfort et reprennent l'avantage, forçant les mondawais survivants à fuir dans la savane. Sur les 17 miliciens initialement présents, seuls huit survivent, tandis que 23 cadavres mondawais sont retrouvés et 7 blessés sont recensés.
Cet événement survient quelques jours après l'intervention des miliciens dans une des bases du Groupe de Libération du Mondawa. À la suite de cet incident, le ministère de l'Intérieur de la Fédération centrale démocratique d'Antegrad a annoncé l'envoi de 250 militaires antériens sur le territoire fédéral ainsi que la classification du Groupe de Libération du Mondawa en tant que groupe terroriste, à l'instar de Nagar.

Le Système fédéral de prévention contre le terrorisme en Antegrad (SFPTA) a annoncé la mise en place du MHPAT (Moyen de Haute Protection Anti-Terroriste), également appelé "Code Rouge", sur l'ensemble du territoire fédéral. Cette mesure autorise la milice, la police et l'armée à pénétrer sans mandat chez les habitants du territoire fédéral. Un couvre-feu sera instauré de 20 h à 6 h du matin, et les écoles, collèges et lycées n’ouvriront que de 9 h à 15 h.
Enfin, le journal La Liberté, qui était interdit mais non banni dans la fédération, a été attaqué en justice par le gouvernement antérien ainsi que par le gouverneur du Mondawa pour "apologie du terrorisme et appel à la révolte".

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Echange de tire entre les miliciens et les membre du groupe de la libération du Mondawa.
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Ashi Fera de Destint, 26.09.2015, Territoire fédérale de Mondawa

Dans la ville d'Ashi Fera de Destint, en Territoire fédéral de Mondawa, dans la division de Savkar à l'est du territoire, plusieurs appels ont été passés par des habitants de la ville envers la milice nationale. Les appels sont confus et les versions sont différentes, mais elles ont toutes un point commun, une même phrase : "Un char a foncé dans la statue du chef suprême." Les miliciens n'y croient pas un mot. Qui pourrait avoir un char et être aussi confiant pour faire cela ? Néanmoins, une petite équipe est envoyée sur place : cinq miliciens et deux militaires qui vont en direction de la ville à bord de deux véhicules.

Arrivés sur place, l'équipe observe la scène. La statue était à terre, semi-détruite, avec des traces de chenilles sur les deux côtés. Un habitant de la ville montre une photo qu'il a prise de la scène. Inimaginable : la photo montre un char se dirigeant vers la statue avec inscrit dessus "Liberté au Mondawa." L'équipe appelle immédiatement des renforts et demande un hélicoptère afin de retrouver le char. Quand ils interrogent les habitants, c'est confus : certains disent qu'il est parti au sud, d'autres au nord. Mais quoi qu'il en soit, c'est sûrement trop tard, car cet événement a eu lieu deux heures plus tôt.
Comment un char a-t-il pu se volatiliser ? Et surtout, comment ont-ils pu s'en procurer un ?
La milice et l'armée décident de passer l'événement sous silence, et le gouverneur du territoire a décidé d'installer au minimum dix soldats dans toute ville de plus de 3 000 habitants (à savoir une cinquantaine). Le Groupe pour la Libération du Mondawa semble avoir un objectif : ne jamais blesser les civils afin de s'attirer la sympathie de la population et réaliser une révolution populaire pour l'indépendance du Mondawa.

Les événements actuels se déroulent très rapidement, alors qu'auparavant personne ne connaissait ce groupe indépendantiste, jusqu'au moment où le territoire est devenu un territoire fédéral. Seulement deux jours après la fusillade dans la division de sud Mondawa.

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Photo prise pas un habitant de la ville d'Ashi Fera de Destint

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Photo de la statue d'Ismael Idi Amar à Ashi Fera de Destint prise le 03/03/2009
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Foret du Monka, 07.10.2015, Territoire fédérale de Mondawa

Dans une zone reculée de la forêt du Monka, en territoire fédéral de Mondawa, un groupe de 20 hommes armés, membres du Groupe de libération du Mondawa, attend derrière des arbustes et des buissons, au bord d'une route. Ils avaient été avertis par un membre du groupe, infiltré parmi la police locale, qu'une patrouille composée de deux véhicules de miliciens et d'une camionnette de police allait passer par là. Ils attendent leur passage : une heure, puis deux, puis trois... quand tout à coup, le moteur d’un véhicule se fait entendre. Les membres du Groupe de libération du Mondawa se préparent et bloquent la route avec un rondin de bois préparé à l'avance.

Les miliciens et policiers arrivent et s'arrêtent, ne pouvant pas passer. Il y avait en tout 12 miliciens et policiers. Cinq d’entre eux descendent pour évaluer la situation, mais soudain, ils essuient une pluie de balles tirées par les rebelles mondawais. Le groupe de cinq membres des forces de l'ordre est immédiatement abattu. La camionnette de police, à l’arrière, tente de reculer avant de subir à son tour un violent assaut. Les policiers à l’intérieur sortent et ouvrent le feu. Pendant ce temps, le second véhicule de la milice tente de forcer le barrage en contournant le véhicule devant lui et en fonçant sur le rondin, mais les rebelles tirent sur les pneus, et le véhicule s’écrase contre un arbre. Après quelques minutes de combat, tous les policiers sont tués. Les rebelles incendient alors les véhicules avant de fuir dans la forêt. Le carnage est découvert six heures plus tard, il y avait aucun survivant. Une opération de fouille est menée dans cette partie de la forêt, mais aucune trace des assaillants n'est retrouvée.

Le gouvernement n'à pas encore réagit à cette attaque.
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