Laboratoire politique cherche théoriciens de la néo-dialectique

Pays d'origine : Bochizuela
Nom de la personnalité : Joaquín Óscar Obregón
Domaine d'expertise : philosophe, journaliste


Joaquín Óscar Obregón né dans une petite ville agricole du Coszcatzal. D'une famille de petits paysans, Joaquín est le premier de la famille à obtenir ses diplômes de fin d'étude primaire et secondaire. Il se révèle être un élève brillant à l'école notamment en littérature, en cours de langue et en philosophie. Son père s'oppose à son accession à l'université, celui-ci préférant que son fils l'aide à la ferme. Avec l'aide de son professeur d'espagnol, Joaquín fui le Coszcatzal pour s'installer à Louisbourg où il étudiera à l'Université francophone de Louisbourg. Au contact d'étudiants de différentes régions du monde, il développe un esprit critique est un sens aiguisé du débat. C'est à l'université qu'il fait ces premiers pas dans le socialisme. Au début tenté par la doctrine fasciste du Phalangisme, la découverte de l'école de pensé utopique le fait définitivement basculé dans les bras du socialisme de gauche et du communisme. Il se fait progressivement un nom dans l'université pour ces articles au sein du journal communiste local. Quelques fois même, de grandes rédactions nationales publient un de ces articles. Après avoir obtenu une licence en philosophie antique, il part voyager à travers le monde. Qu'elle ne fut pas sa désillusion lorsqu'il arriva en Lutharovie. La pauvreté extrême et la corruption gangrenant le pays lui fit l'effet une massue dans le ventre. Il compris alors la réalité qui se cachait derrière le terme « utopie ». Rien de ce que les théories communistes clamaient n'était réalité dans ce pays « communiste ». Lui qui avait dédié ces dernières années à la diffusion du communisme au Bochizuela rentra bien bredouille au pays. Depuis son retour, il travaille d’arracher pied à l'élaboration du système parfait. Déçu mais pas abattu, il voyage aujourd'hui en direction de Merengrad...