12/02/2017
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🏰 Troisième session d'inscription au Patrimoine mondial

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Session d'inscription au Patrimoine mondial


Modalités de la session d'inscription


L'Organisation du Patrimoine mondial (OPM) est une institution chargée de valoriser et protéger le patrimoine d'exception, qu'il soit naturel, matériel ou immatériel. Financée par des mécènes, voire même par des Etats volontaires, l'organisation alloue les crédits nécessaires à la bonne réussite de ses missions. L’OPM en appelle aux pays du monde entier pour établir une troisième liste du patrimoine mondial, qui sera actualisée dans les prochaines années. Par ailleurs, après une première session à Novigrad C.F. (Novigrad) et une seconde à MutteVil (Canta), l’OPM recherche également une ville hôte pour sa 3e session extraordinaire visant à préserver, pour l’éternité, de nouveaux éléments du patrimoine mondial.

Les pays peuvent inscrire leurs propositions dans les cinq catégories suivantes :

  • Patrimoine naturel - Sites obligatoirement d'origine naturelle mais qui peuvent avoir été préservés ou valorisés par l'homme : réserve naturelle, forêt primaire, formation géologique, site fossilifère, etc.

  • Patrimoine matériel culturel - Sites obligatoirement d'origine humaine ayant une importance artistique et/ou historique certaine : paysages construits, réalisations architecturales, sites archéologiques, sites religieux, dolmens, etc.

  • Patrimoine mixte - Sites qui sont le produit combiné de la nature et de l’adaptation de l’homme dans cette nature (par exemple, le Mont Athos).

  • Patrimoine immatériel - Pratiques, traditions, représentations, expressions, connaissances et savoir-faire : arts du spectacle, artisanat, langues, chants, gastronomie, etc.

  • Ville hôte - Une cité capable d’accueillir pendant plusieurs jours des représentants des nations du monde entier ainsi que des acteurs du monde de la culture et du patrimoine pour choisir les éléments patrimoniaux qui méritent d’être placés sur un piedestale.


Comment participer ?


Tous les joueurs validés de Geokratos peuvent inscrire leurs propositions à la suite de ce message, via un formulaire ci-dessous. En outre quelques règles sont à respecter :

  • Chaque joueur peut proposer, toutes catégories confondues, jusqu’à 10 formulaires. Pour plus de lisibilité, ne postez qu'un seul formulaire par message.

  • Votre proposition doit être le fruit de votre imagination. Si vous pouvez vous inspirer de l’existant, vous devez absolument y apporter votre propre plume. L'originalité est appréciée : si vous reprenez un site existant, vous devez en changer l'histoire par exemple. De plus, il est plus intéressant de sortir des sentiers battus, en proposant des sites qui ne sont pas déjà inscrits au patrimoine mondial IRL.

  • Une proposition (site ou patrimoine immatériel) peut exister dans plusieurs pays. Le formulaire comptera alors pour 1 proposition sur les 10 autorisées pour chacun des pays mentionnés.

  • Vous pouvez contribuer jusqu’au 08 juin 2025, 23h heures. Les formulaires envoyés après cette date ne seront pas comptabilisés. Vous n'êtes donc pas obligé de poster vos propositions les unes après les autres, vous pouvez le faire tout au long du laps de temps qui vous est donné.

  • Le vote interviendra à partir du 04 juin 2023. Les propositions les plus appréciées seront inscrites au patrimoine mondial, avec des quotas pour chacune des catégories. Ces quotas seront décidés en fonction du nombre de participants.

  • Enfin, de manière facultative, il est possible de financer l'Organisation du Patrimoine mondial et les missions qui lui sont dévolues, en participant au Grand Rendez Vous du Patrimoine de MutteVil.


Formulaire à remplir


[b]Pays :[/b]
[b]Catégorie :[/b] À choisir entre : Patrimoine naturel / Patrimoine matériel culturel / Patrimoine mixte / Patrimoine immatériel / Ville hôte

[b]Nom de la proposition :[/b]
[b]Photo :[/b] Au moins une, obligatoire pour les sites naturels et culturels. Un logo est obligatoire pour la ville hôte, facultatif pour les autres candidatures.

[b]Description :[/b]

[b]Etat de conservation :[/b] Le site ou le patrimoine immatériel est-il menacé ou non ? Pour la ville hôte, présentez plutôt les atouts de votre cité : centre de congrès, nombreux hôtels, infrastructures de transport…

Vous pouvez aménager ce formulaire à votre convenance et lui donner une esthétique particulière, tant que tous les critères obligatoires y figurent.
Pays : Empire Constitutionnel de Slaviensk
Catégorie : Patrimoine matériel culturel

Nom de la proposition : Ville fortifiée de Kremlinsk (vielle ville)
Photo :
Kovgorod

Description :
La ville de Kovgorod est une ancienne cité médiévale ayant servit pour stopper les invasions de l'ouest. En effet, elle fut fortifiée à cette période devenant une cité imprenable et clé de la stratégie défensive de l'ancien Empire. Cependant, après les siècles, la cité, fasse aux évolutions technologiques devint de moins en moins efficace contre les envahisseur et se détériora faute d’entretien. La ville finit par être utilisée comme place forte lors de la révolution de 1940 et lors de la guerre des firmes en 1990. C'est lors de ces deux guerres que la ville a été modernisée dans sa défense, créant un mélange de casemate modernes avec des murs médiévaux. Cependant, cette candidature ne concerne que l'ancienne ville, une portion qui n'a pas été très touchée par les modernisation et donc étant encore en état et conservé par le ministère de la culture.

État de conservation : Le site est conservé par le gouvernement et donc entretenu. Il n'est pas menacé, cependant, les anciens usages de la cité on partiellement endommagé une partie du site, bien que les dégâts soient mineurs.
Pays : République Anterienne côtière d'Ëdango
Catégorie : Patrimoine natureL

Nom de la proposition : Parc naturelle de la grande Kovi
Photo :
https://i.postimg.cc/RZr0qQ2T/Parc-naturelle-de-Kovi.png
Image du parc
https://i.postimg.cc/Xq3TTqPd/carte-kivo.png
Situation géographique

Description : Le parc naturel de Kovi est l’un des plus grands, des plus beaux et des plus visités du pays. Il se situe entre le lac Kovi (le plus grand) au nord et le lac Émeraude (le plus petit) au sud. Ce parc est célèbre dans tout le pays pour la richesse de sa faune et de sa flore. Des dizaines d’espèces animales y sont présentes, comme des singes, des girafes, des zèbres, des alligators, etc. Le lac Émeraude est considéré comme le plus beau du pays, sa couleur bleu clair le rend tout simplement magnifique. Il est cependant interdit de s’y baigner.
La savane, située sur un terrain plat, permet de s’y déplacer très facilement. Cette zone est devenue un parc naturel protégé par le gouvernement en 1998, lors de la politique menée par le président Adil Liam, qui souhaitait préserver les paysages naturels du pays. C’est durant cette période que plus de 700 parcs naturels ont été créés et sont désormais protégés par un ministère spécialement dédié à cette mission.

Etat de conservation : Le parc naturelle de Kovi est actuellement menacé par la construction de plusieurs routes.
Pays : Sérénissime république d'Achos
Catégorie : Patrimoine matériel culturel

Nom de la proposition : Cairn du Brenin Mawr
Photo :
Cairn du Brenin Mawr

Description :

Situé non loin de Khéolès, sur la façade maritime, le Cairn du Brenin Mawr est une gigantesque structure funéraire datant du Néolithique. Elle est la tombe d'un grand chef, certainement un personnage très important vu l'ampleur de l'édifice : plus de 75m de long. Composé de milliers de roches empilées de manière savante, ce monument est le plus vieux d'Achosie, avec un âge estimé de 5 000 ans AV-JC.

Etat de conservation : Pour son âge, le monument présente un remarquable état de conservation, étant l'un des édifices du Néolithique les plus complets au monde. Néanmoins, à cause du tourisme intensif qui l'habitait, des restrictions de visite ont été mises en place dès 1998.
Pays : La fédération central démocratique d'Antegrad
Catégorie : Patrimoine matériel culturel

Nom de la proposition : Le dôme d'Abobi
Photo :
https://i.postimg.cc/90XVz9wX/lololololoo.png

Description :Le dôme d'Abobi, dont la construction a coûté une fortune et duré plus de 25 ans, a été inauguré en 2009. Il a pour fonction d’être un musée à la gloire des chefs suprêmes et du régime en place. Construit dans les quartiers neufs de Destint (des quartiers récents conçus pour démontrer la supériorité du régime anterien) et dans le plus grand style architectural moderne anterien , il possède à son entrée une statue de Mohamed Bakam, le premier chef suprême de la Fédération Centrale Démocratique d’Antegrad.
À l’intérieur, on y trouve plusieurs objets et tableaux importants retraçant l’histoire de la fédération. À l’étage, se situe un restaurant typiquement anterien, accessible à petit prix. Mais le dôme Abobi cache une autre fonction : dans son sous-sol se trouve un vaste bunker capable d’abriter plusieurs centaines de personnes en cas de bombardement. C’est cette partie qui a nécessité le plus de temps à construire, et certaines salles du bunker sont encore en cours d’aménagement aujourd’hui.

Etat de conservation : Le monument est protéger par le gouvernement de la fédération et emprisonne toute les personne qui le dégrade.
Pays : Sérénissime République d'Achos
Catégorie : Patrimoine matériel culturel
Nom de la proposition :Grand Palais Républicain d'Achosie
Photo :
palais
palais

Description :

Le Grand Palais Républicain d'Achosie, souvent abrégé en Palais Républicain, est le bâtiment central du pouvoir républicain à Achos situé à Coningsby. Véritable symbole de la puissance du pays, il avait été construit au début du XIIème siècle afin de protéger les habitants de la ville, mais aussi afin de faire passer un message fort aux ennemis du pays. L'énorme brasero situé en son centre servait d'ailleurs à alerter tout le pays du danger et la légende voudrait que sa fumée soit visible aux quatre coins du globe. Il résistera d'ailleurs vaillamment aux assauts des séléniens lors de l'invasion du pays, en présentant une résistance féroce et acharnée face à l'envahisseur.
Aujourd'hui, le palais reste la clef de voute de la diplomatie achosienne, et est encore le lieu où officient les consuls achosiens, ainsi que la Tribune.

Etat de conservation : Gravement abîmé durant l'occupation velsnienne de près de 500 ans, le château sera entièrement reconstruit au milieu du XVIème siècle. Aujourd'hui, il présente un état de conservation quasiment parfait.
Pays : République de Poëtoscovie
Catégorie : À choisir entre : Patrimoine immatériel

Nom de la proposition : Littérature poëtoscovienne

Image

Description :

La littérature poëtoscovie est un art reconnu dans le monde entier. Poésie, prose, théâtre... L'histoire de la Poëtoscovie est marquée par la résistance de poètes et écrivains qui ont eu à coeur de faire de leurs livres des armes. Quoi de plus indispensable que la littérature, substrat de l'intelligence populaire ? C'est dans cet esprit que la Poëtoscovie tient à faire reconnaître la littérature poëtoscovienne comme patrimoine mondiale : afin d'en reconnaître l'utilité et de prévenir sa disparition.

Exemple de littérature poëtoscovienne.

Histoire :

La l'écriture fait son apparition sur la péninsule littéraire durant l'Antiquité. Territoire isolé géographiquement de l'épicentre culturel où se situe la civilisation, la Poëtoscovie demeure un espace naturel peuplé de tribus nomades. Celles-ci y développent leurs propres arts et commencent à se transmettre oralement des contes. Cette pratique sonne le commencement de la culture religieuse poëtoscovienne, du moins prédit l'arrivée de la littérature d'idée. Durant tout le Moyen-Âge, cela va se développer et constituer le terreau fertile propice à l'arrivée des Premiers Poètes.

Le papier est ensuite importé de l'ancètre du Jashuria, pays relativement proche géographiquement de la Poëtoscovie. S'ensuit alors une forme de révolution littéraire en Poëtoscovie où l'ensemble des mythes traditionaux, des histoires léguées oralement et même les registres officiels passent d'une forme dite à une écrite. L'art d'écrire devient alors un forme particulièrement puissante d'exprimer son pouvoir. Les grands seigneurs vont jusqu'à employer des dizaines de copistes pour recopier leurs contes favoris, et se font mécènes d'écrivains relatant leur gloire.

Etat de conservation :

Le patrimoine immatériel que représente la littérature poëtoscovienne est menacée, car cet art vient à disparaitre au profit d'une littérature plus occidentale. Par ailleurs, l'essor de l'intelligence artificielle menace clairement les domaines artistiques, dont la littérature en premier lieu.
Pays : Sérénissime République d'Achos
Catégorie : Patrimoine naturel

Nom de la proposition : Réserve Naturelle Nationale de la Gwlad y llochesau
Photo :
reserve
carte

Description : Seul territoire ultramarin de la République d'Achos, la Gwlad y llochesau représente, dans son intégralité, la plus grande réserve naturelle d'Achos. Possédant parmi les paysages les plus spectaculaires au monde, ce véritable Eden est protégé bec et ongles par le Service de Protection de la Biodiversité Achosien qui veille à ce que rien ne vienne perturber ce fragile écosystème. Ce territoire est aussi entretenu par la population autochtone qui habite les lieux depuis des millénaires, et qui y vit en totale autarcie, le gouvernement déchu n'assurant que les services de secours, de soins et de défense.

Etat de conservation : Grâce à son isolement relatif et au travail du SPBA, ce lieu a pu conserver sa beauté primaire. Le réchauffement climatique néanmoins aggrave le risque de feu de forêt, forçant les autorités locales à surveiller de plus en plus scrupuleusement les potentielles départs d'incendie.
Pays : Azur
Catégorie : Patrimoine culturel

Nom de la proposition : Les peintures rupestres du Ta'sili, piémont des Monts du Tigre
Photo :
Tassili
1. Le Tassili, région de grès fortement érodés par l'abrasion éolienne et la thermoclastie, forme le piémont méridional des Monts du Tigre, à la pointe sud de l'Azur qui regarde le Désert Occidental.

Hommes et vaches
2. Les peintures rupestres, datées d'environ 10 000 ans, sont uniques au monde. Elles dépeignent une époque moins aride dans le Sahra. Ici, une oeuvre dont les artistes demeurent anonymisés par le temps ; "Hommes et vaches".

Hommes, gazelles, ectoplasme énigmatique
3. Plusieurs générations d'humains ont habité les grottes du Tassili, sans doute à des époques très distantes les unes des autres. Les peintures portent les marques de ces passages successifs, où l'art figuratif d'animaux, de plantes et d'hommes laisse parfois la place à une expression plus mystérieuse d'êtres énigmatiques. Ici, dans l'une des grottes les plus anciennes ; "Hommes, gazelles, ectoplasme énigmatique".

Dame de Jabbaren
4. La Dame de Jabbaren, représentant sans doute une divinité de la fertilité, de la terre ou des étoiles, est l'une des peintures les plus mystérieuses de l'art rupestre du Tassili.

Description :

Le Ta'sili est le piémont sud des Monts du Tigre, qui forment l'épine dorsale de l'Azur, comme une muraille protégeant le pays des vents d'ouest chargés en sables brûlants du Sahra. [Consulter la carte] Les formations gréseuses caractéristiques y ont été sculptées par l'érosion, présentant des paysages saisissants. Cette région, située sous les latitudes subtropicales ultra-arides, n'est habitée que par une poignée de nomades, éleveurs de dromadaires essentiellement. Elle est, en-dehors de quelques postes sédentaires isolés, particulièrement vide de population. Elle attire pour cela les voyageurs étrangers depuis l'ère romantique. C'était aussi, il y a longtemps, un point de passage pour les caravanes.

La région renferme quelques trésors écologiques, comme le Cyprès du Ta'sili, le fennec, et des formations hydroclastiques. À ce titre, elle fait l'objet de réglementations visant à réprimer la chasse et la cueillette, afin de permettre la conservation des espèces. Néanmoins, les végétaux surtout sont durablement affectés par la recherche de bois de chauffe, en particulier le Dragonnier des Cyrisiades. [Voir plus d'informations]

L'attrait principal du Ta'sili réside cependant dans les peintures rupestres, découvertes dans les années 1970 par de premières explorations de voyageurs étrangers, qui ont mis au jour un réseau remarquable de grottes sur le site d'une ancienne guelta (résurgence de nappe géologique). Des travaux, plus ou moins respectueux des oeuvres ainsi découvertes, ont permis d'établir que les peintures étaient antérieures aux populations qui peuplent (très faiblement) la région. Sir Morthan Adamsson, l'un des scientifiques responsables de la mise au jour du site, estimait que c'étaient là des dessins probablements daté de l'an 500 à l'an 1000, et probablement préalables à l'islamisation de la région (VIIIème / IXème siècles).

En réalité, des expériences réalisées en laboratoire ont porté l'ancienneté des peintures rupestres du Ta'sili à près de dix mille ans d'ancienneté, renvoyant leur création à 7000 avant Jésus-Christ ! Ce chiffre a été contesté par d'éminents afarologues, en particulier en Eurysie, pour la raison que la tradition historique veut que les trajectoires de peuplement du désert par des êtres civilisés aient été subséquentes à l'établissement des cités-états de la vallée faravanienne. À l'inverse, certains auteurs nationalistes ont avancé l'idée extravagante que les peintures seraient datées d'au moins 60 000 ans... et annonceraient ainsi la primauté de l'Azur dans l'histoire des nations. Quoi qu'il en soit, une série d'expertises supplémentaires au cours des années 2000 a montré que la plupart des oeuvres était datée de -2000 à -15000, soit tout de même plusieurs milliers d'année d'ancienneté. Alors que les découvertes se multipliaient à partir de 2004 et de la découverte de nouvelles grottes, les recherches ont été interrompues sur ordre califal et restent depuis mises en demeure. La raison invoquée est la protection du site, mais certains n'ont pas hésité à dénoncer le mépris affiché par les autorités du Califat constitutionnel pour cet art pré-islamique "païen"...

Les oeuvres découvertes sont d'une richesse exceptionnelle. Elles ne sont certes pas les seules peintures rupestres découvertes en Afarée, mais leur excellent état de conservation, et le nombre remarquable de scènes peintes, font des trois sites considérés (Qamr, Itys et Jabbaren) un lieu exceptionnel pour la connaissance de l'ancienne civilisation sahrienne.

Se basant sur des données géologiques et pallinologiques, des scientifiques ont montré que le peuplement des trois sites était concomittant à une période moins aride du climat de la Terre, où le Sahra avait compté une végétation plus abondante et une mégafaune : antilopes, lions, tigres, éléphants... Tous animaux contemporains des hommes qui vivaient dans la région, et qui y ont immortalisé leurs parties de chasse. Il est également vraisemblable que les premiers habitants du Ta'sili (car on n'a pas la preuve que des prédécesseurs leur aient existé) aient pratiqué la pêche, sur ce qui étaient alors des étangs bordés de joncs, d'arbres, de plantes aquatiques, et qui ruisselaient en rivières entières au milieu de ce qui est aujourd'hui un désert. Le fait qu'ils puissent avoir connu l'élevage est encore très disputé entre les experts.

Témoignages uniques d'une ère révolue de l'Humanité, les peintures du Ta'sili sont un trésor précieux pour connaître, et imaginer la vie des habitants. Elles sont aussi un moyen d'accéder à leurs représentations du monde, car loin d'avoir été de simples descripteurs de leur petite société de chasseurs-pêcheurs-cueilleurs, les peintres préhistoriques ont aussi exprimé des idées plus abstraites. L'on pense notamment à certaines formes qui ne représentent aucun animal ou plante connue, ou à des séries de pointillés et de tirets, mais surtout à des choses plus mystérieuses encore comme le fameux Ectoplasme énigmatique, tel qu'il a été nommé par Adamsson ; ou encore à celle qu'on a appelé, à la suite de sa découverte en 2004, la Dame de Jabbaren. Autant de noms qui en disent plus sur ce que nous, contemporains, projetons de notre imaginaire, mais qui nous permettent d'entrer en partage avec les âmes du passé.

Etat de conservation : Risque de dégradation élevé.

Lors des découvertes dans les années 70 et 80 des premières compositions rupestres dans des grottes de la région montagneuse de Ta'sili, le manque de professionalisme a considérablement impacté certaines oeuvres, qui ont été défigurées par les expériences menées par les chercheurs. Il est également arrivé que certains religieux fanatiques pulvérisent des grottes à l'explosif, comme c'est arrivé en 1986. Depuis, les autorités ont pris des mesures de sécurité, mais certains archéologues déplorent la lente disparition des pigments et des peintures du fait de l'oxydation et de l'ouverture à la lumière, et plaident pour davantage de moyen afin de préserver cet héritage unique.
Pays : Double Fédération des États de l'Empire de la Morakhan et des Peuples de la Morakhan.
Catégorie : Patrimoine matériel culturel.

Nom de la proposition : Enclos paroissial de Kriiv | Крiивскийъ пого́стъ | Кrįivskiĭъ pogо́stъ (Kriivskiy" pogost").
Photo : https://i.ibb.co/JRZB3hN1/image.pnghttps://i.ibb.co/qLQ5xTPL/image.png

Description : Le pogost de Kriiv est un ensemble architectural situé près de la ville de Kriiv, sur les bords du grand lac, comprenant deux églises avec clochers datant du xıe et du xııe siècle entourées d'un mur de clôture, formant des enclos paroissiaux. Pogost signifie enclos paroissial, constructions autour de l'église, palissade, cimetière paroissial. Elle regroupe deux église : l'église de la transfiguration du Seigneur, et L'église de l'Intercession de la Mère de Dieu. La première église est haute de 37 mètres, et surmontée de 22 bulbes placés sur plusieurs niveaux et dont les tambours reposent tous sur une structure incurvée en forme de tonneau pincés dans leur partie supérieure. La forme et la dimension des coupoles varient légèrement suivant les niveaux. L'entrée de l'église est en forme de porche recouvert de deux pans de toits. Les bulbes sont recouvertes de fer étam.
https://i.ibb.co/sv9MnfvQ/image.png

La seconde est surmontée de 8 dômes qui entourent un neuvième, au centre. L'église de l'Intercession est surmontée d'une coupole relativement plate, relevée seulement par ses neuf dômes. Un seul grand perron donne accès à l'intérieur de l'église qui comprend quatre parties. Elles sont disposées les unes derrière les autres d'ouest en est. Les bulbes sont également recouvertes de fer étam. Les gargouilles et la ceinture décorative ne sont pas là seulement pour la décoration. Elles servent aussi à la protection contre la pluie : grâce à elles, l'eau s'écoule plus loin des murs de l'église. À chaque ceinture est attachée une gargouille qui recueille l'eau qui coule et l'éloigne des murs et des rondins en bois.
https://i.ibb.co/cc8w6f5C/image.png

Etat de conservation : Dans l'état, le site est dans un très bonne état de conservation, des mesures ayant été prises afin de limité les attaques des nuisibles sur le bois (il est à noter que des traces écrite et physiques de l'utilisation de proto-pesticides ont été retrouvé, limitant ainsi les efforts liés à iceux).
Pays : Union et Empire des Cités d'Akaltie
Catégorie : Ville hôte

Logo


Nom de la proposition : Kahitz (Cité de)
Photo :
Quelques photos de la cité de Kahitz.
De gauche à droite et de haut en bas : un petit temple du centre historique ; le Forum Culturel Aleucien ; une vue aérienne du centre ville lacustre ; les chinampas du sud de la ville.

Description :
La cité de Kahitz est le plus grand centre culturel de la nation akaltienne, et a su être presque complètement préservée des ravages des tentatives de colonisation eurysienne. On y trouve les plus grands temples du pays, placés au milieu de canaux qui parcourent le centre historique.
La ville est en grande partie située au milieu du lac qui porte son nom, composée à l'origine de chinampas (îlots rectangulaire formant des champs particulièrement fertiles) qui se sont agglomérés au fil des siècles. Leur construction est néanmoins aujourd'hui fortement limitée, pour ne pas perturber la faune aquatique.

Atouts de la cité :
Kahitz est déjà une ville de culture à l'échelle continentale depuis qu'elle abrite le Forum Culturel Aleucien (fondé par la CAN puis repris par l'Akaltie depuis la dissolution de l'organisation). Les infrastructures pour accueillir des expositions et conférences sont donc déjà présentes sur place.
Sur le plan des transports, la ville est directement reliée aux ports et aéroports par le réseau ferroviaire, et dispose d'un aérodrome en liaison directe avec les grandes villes d'Akaltie. Les bases aériennes de la région peuvent également être réquisitionnées pour l'occasion.
Pays : Nesoï
Catégorie : Patrimoine matériel culturel

Nom de la proposition : Le palais Eudokien
Photo : Palais
Description : Ce palais situé au cœur de la ville de Limèna est une merveille architecturale. Construit pour pouvoir voir la mer depuis la plus grande facade, il est construit en U. L'aile centrale étant face au port et les deux ailes entourant un magnifique jardin. La facade, peinte en bleu est facilement reconnaissable grâce à sa tour centrale, bleue, pleine de dorures formant des arabesques complexes. Celle-ci permet de dominer la ville et servait de clocher.
Ce bâtiment, construit en 1526 par la reine Eudokia était le centre du pouvoir politique durant toute la dynastie Eudokienne. Agrandi en 1623 par Eudokia III, il se dotera de ses deux ailes afin d'accueillir la Cour royale. Lors de la révolution des Aphéstèkoi, le palais menace d'être détruit mais l'intervention de Ulyasan Polute permet au palais de devenir monument national historique. Aujourd'hui visité par des miliers de touristes chaque année, il est le symbole de l'architecture Nesoïenne.

Etat de conservation : Le site est conservé dans son état d'origine et n'est pas menacé.
Pays : Fiumiglia
Catégorie : Patrimoine immatériel

Nom de la proposition : Saintes Processions fiumigliennes
Photo :

Processions
Processions de Pâques de Buli

serpent grrrr
Procession au serpent en l'honneur de San Dominico à Mareggio

Procession nocture
Procession nocture de Codena lors de la Semaine Sainte


Description : Si les processions religieuses sont assez communes dans tout le monde chrétien catholan, il ne fait aucun doute que c'est à Fiumiglia et dans sa diaspora qu'elles sont les plus imposantes, populaires et culturellement signifiantes. Les Saintes Processions désignent toutes les cérémonies d’extérieures, se déroulant en cortège où les participants montrent leur foi et leur adoration pour Dieu en priant, soulevant des reliques et statues ou en célébrant la Passion de Jésus.

A Fiumiglia, les principales processions se déroulent lors de la Semaine Sainte, moment de célébration de la Passion du Christ, mais chaque ville, quartier ou région dispose également de ces processions locales qui servent à célébrer des Saints, des miracles ou des ordres issus du patrimoine local. Ainsi à Neopoli, deuxième ville la plus importante du pays, 6 processions sont célébrés dans l'année, dont celle de San Gennaro (Saint Janvier), qui rassemble 600.000 personnes dans les rues de la ville, ce qui en fait la plus importante du monde. Mais le record du nombre revient à la ville de Salogna qui organise 12 processions chaque années, tous les quartiers de la commune ayant leur propre célébration respective, ce qui entraine souvent une compétition entre ces derniers.

 San Gennaro de Neopoli
Célébration de la San Genaro à Neapoli

Les us et coutumes des Saintes Processions sont particulièrement diverses. Généralement, leurs formes suivent l'histoire ou les particularité du Saint ou du miracle qui est célébré. Souvent les processions permettent de faire défiler les reliques du Saint en question. Ainsi lors de la procession du Santo Destro de San Giovanni (Sainte Dextre de Saint Jean), qui se déroule tout les ans à Codena, la relique du bras droit de Saint Jean est transportée et exposée lors de la procession. Lors de la San Gennaro de Neapoli c'est le sang et le buste reliquaire de Saint Janvier qui sont sortis de la cathédrales de la ville pour être transportés dans la ville. La tradition affirme que si le sang ne se liquéfie pas durant la procession, la ville subira une catastrophe dans l'année. Dans le village de Mareggio, les processionnaires déposent des serpents sur la statue de San Dominico (Saint Dominique), saint réputé pour avoir guéri des morsures de l'animal.

Des traditions de célébrations plus originales existent également. Dans certaines villes du sud de l'île, les processions de Pâques sont accompagnés de scènes théâtrales qui reprennent et mettent en scène, tout au long du trajet, les différents passages de l'évangile et de la vie de Jésus jusqu'à la Crucifixion qui se fait, dans la plupart des cas, avec des faux clous. Dans certains villages plus reculés la célébration finale se fait encore avec des vrais clous, comme se fut la tradition pendant des siècles, avec des mesures spéciales qui permettent d'éviter toutes blessures graves pour le supplicié, toujours volontaire. Dans un contexte plus familial, les célébrations processionnaires du village de Pasoria sont devenues célèbres dans le monde entier pour les immenses fresques de fleurs qui décorent le trajet.

Procession fleurie
Procession fleurie de Pasoria

Ainsi les processions de Fiumiglia sont devenus des symboles de la passion religieuse qui infuse le pays. Chaque années des dizaines de milliers de croyants étrangers se rendent à Fiumiglia lors de la Semaine Sainte pour vivre ces expériences uniques et ces moments de communion sincères et purs entre les croyants et leur foi. D'immenses processions de style fiumiglien sont également réalisés dans différents autres pays grâce à l'abnégation des membres de l'importante diaspora fiumiglienne présente depuis plusieurs siècles en dehors de son île d'origine.
Etat de conservation : Les processions fiumigliennes ne désemplissent pas, au contraire, le nombre de participants et même de cérémonies grandit au fil des ans. Les récentes violences qui émaillent l'île n'ont fait que renforcer les croyants dans la nécessité de se rapprocher et de s'unir autour de la religion, d'autant plus que les processions restent, avec les messes dominicales, l'une des dernière activité publique dépourvue de violences et de tensions.

Dans la diaspora, la situation est plus contrastée et dépend principalement de la vigueur communautaire présente dans les communautés locales. Cependant les problématiques peuvent aussi s'avérer administratives ou légales, certains pays interdisant les manifestations religieuses en public.
Pays : Union et Empire des Cités d'Akaltie
Catégorie : Patrimoine matériel culturel

Nom de la proposition : Temples historiques du culte akaltien
Photo :
Le temple central de la cité de X̌amanac.
Le temple central de la cité de X̌amanac.

Description :
La grande majorité des cités akaltiennes disposent d'au moins un temple pour honorer des divinités de la mythologie akaltienne. Au tout début de leurs existences, ils servaient à pratiquer les sacrifices humains honorant les dieux. Sur l'autel au sommet de la pyramide étaient régulièrement éventrés des prisonniers de guerre, dont les prêtres arrachaient rapidement le cœur afin de rendre la mise à mort la plus courte possible. Depuis le XIIème siècle environ, les sacrifices humains ne se font presque plus par manque de personnes à sacrifier (les cités avaient été en partie dépeuplées à cause de la pratique et beaucoup d'entre elles manquaient de travailleurs jeunes et en bonne santé). L'alliance entre toutes les cités pour lutter face aux colons du XVIème siècle et d'après a mis un terme définitif à la pratique. Depuis plusieurs siècles déjà, l'idée de tuer un être humain pour plaire aux dieux est devenu aussi répugnante aux yeux des akaltiens qu'à ceux des peuples qui ne l'ont jamais fait dans leur histoire.
Les temples pyramidaux sont l'une des principales images utilisées pour représenter l'Akaltie aux autres pays, et sont ainsi mondialement connus. Au vu de leur rapprochement, qu'il soit au niveau architectural ou culturel, il semble cohérent de les regrouper en une seule candidature au patrimoine, qui contient ainsi 48 pyramides réparties sur l'ensemble du territoire akaltien.

État de conservation :
La plupart sont encore bien entretenus, bien que les temples des plus petites cités manquent parfois de financements et mériteraient sans doute quelques travaux de consolidation et de peinture.
Pays : Union et Empire des Cités d'Akaltie
Catégorie : Patrimoine matériel culturel

Nom de la proposition : Citadelle de la pointe de Kintan
Photo :
La citadelle de la pointe de Kintan.
La citadelle de la pointe de Kintan.

Description :
La citadelle qui défend l'entrée du vieux port ainsi que du fleuve de Kintan fut construite en même temps que la ville, au milieu du XIXème siècle. Elle n'est pas d'un style architectural akaltien, tout comme une grande partie de la cité, mais est plutôt largement inspirée des constructions eurysiennes. Il s'agissait à la fois d'un test du gouvernement akaltien afin de comparer les techniques des deux continents, et d'une manière de se présenter comme plus "civilisé" aux yeux des marchands qui débarqueraient au port.
Dans les faits, elle n'a jamais réellement servi à la défense, puisqu'aucune puissance étrangère suffisamment inquiétante n'a tenté d'attaquer la ville depuis sa fondation. Aujourd'hui, on retrouve toujours les bâtiments de la marine kintanaise, ainsi que ses quais en contrebas de la citadelle. Le reste du fort est devenu un site touristique, ouvert la majorité de l'année aux visiteurs.
⚠️Pour ceux qui confondent toujours, Kintan n'est pas la Nouvelle-Kintan. Ici, on parle de la capitale de l'Akaltie (en Aleucie donc).

État de conservation :
Excellent, la citadelle n'a pas eu à souffrir de la moindre dégradation causée par une guerre. Les remparts restent toujours entretenus, malgré leur inutilité stratégique de nos jours.
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