01/05/2018
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Biographie des personnalités qui quémande votre attention

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Biographie des personnalités qui quémande votre attention

Armoiries officielles du Zagrojat de Morakhan

Ici vous retrouverez les détails concernant les personnalités importantes de la Morakhan, qu'elles soient passés, présentes, voire même futures ?

Le Zagroy Nicolas II de Morakhan et la Zagroyne Alix Victoria Hélène Louise Béatrice Von Häering-Ansben-Alkmegen D'Altrecht ou Alexandra Fyodorovna de Morakhan, femme de Nicolas, comtesse d'Ansben, deuxième de succession du Grand comté d'Alkmegen, descendante de la ligné impériale d'environs 3 générations, grande cousine du Kaiser Klaus Von Härig, huitième dans la succession impériale en Altrecht, Impératrice de Morakhan, devant le Kremlin de Sarkopol.

Famille zagroyale de Morakhan

Gouvernement Uliaczow II
Gouvernement Poliakow I

Personnalités modernes
Remian Walentynowicz Poliakow
Menisk Farfadowicz (Wal) Dajelinow
Iwan Nikolajewicz Kolceczew
Ramóna Miksa
Andrej Borisowicz Wal Karenin
Cyrille Vassilievitch Vl. Lavrov

Vladimir Ier Mikhaïlovitch Bizanov

Personnalités anciennes
Pierre Ier Fédorovitch Bizanov
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Remian Walentynowicz Poliakow
Comité révolutionnaire, Gouvernement du Zagrojat, 2017/07/10

Photo de Remian Walentynowicz Poliakow

Remian Walentynowicz Poliakow, né le 9 août 1974 à Sarkopol, est un homme politique et diplomate mor, et l'un des principaux fondateurs et idéologues du Parti social-démocrate (Endecja) de Morakhan, avec Iwan Nikolajewicz Kolceczew et Menisk Farfadowicz Dajelinow.

Remian Walentynowicz Poliakow est né en 1974 à Sarkopol, en bordure de ville, dans une famille riche issue de la haute bourgeoisie. Son père Walenty (1934-1994) est propriétaire d'un grand Cabinet de conseil, plus précisément d’une Société de conseil en stratégie, souvent mandatée par le gouvernement blanc. Poliakow a deux frères, Julian et Wladislaw, ainsi que deux sœurs, Maria et Olga.

Dans sa jeunesse, Poliakow est formé au métier de conseiller en stratégie, mais ce n'est pas là sa passion. Lorsqu'il finit son enseignement scolaire, il décida de s'éloigner de sa famille et de se rendre à Voïvograd, où il s'inscrivit, à l'âge de dis-et-septe (17) ans, à l'Académie Impériale de Voïvograd. Là, il obtint une bourse et put apprendre durant les dis (10) années à venir les filières dans lesquelles il se sentait le plus à l'aise : la politique et la diplomatie – où il rencontra d'ailleurs le Tsarévitch Wladimir Michajlowicz Bizanow, avec qui il eut des relations excellentes, malgré leurs sis (6) années de différence. Il sortit de son université, ses diplômes en poche – un Doctorat en diplomatie et un Master en politique – et commença sa carrière.

Il créa d'abord son propre parti, le Parti social-démocrate PSD en deuz mille dis-et-un (2011), qui gagna énormément de voix et arriva même à obtenir une centaine de sièges au Szovjit, avant de fusionner avec le Parti socialiste en deuz mille dis-et-catre (2014), dont il composa, désormais, près de la moitié des légats.

Il poursuivit ainsi sa carrière dans le monde de la politique, et devint même Ministre des Affaires étrangères – titre qui sera supprimé par Nicolas II de Morakhan au profit de Président du collège des Affaires étrangères – sous le régime Wladimirien, en 2015, avant de donner sa place à Son Haute Excellence, la Comtesse Aleksandra Alchalmaczow de Lewczek-Beżnenpow, ne supportant pas la pression des affaires Colipin (RP PROCHAIN !), préférant s'écarter temporairement des affaires politiques. Il reprit la politique en 2017, et fonda, avec d'autres personnalités, le Comité révolutionnaire, en structurant les masses populaires et bourgeoises afin de renverser le régime réactionnaire de Nicolas II, avec qui il ne partageait pas les mœurs, étant plus proche de son père et vieil ami, Wladimir Ier de Morakhan.

Actuellement, il est le Gol-urjadnik (Ministre-Président) du Zagrojat de Morakhan.
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Menisk Farfadowicz Dajelinow
Comité révolutionnaire, Gouvernement du Zagrojat, 2017/07/13

Photo de Menisk Farfadowicz Dajelinow

Menisk Farfadowicz Dajelinow, né Menisk Farfadowicz Wal Dajelinow le 30 juillet 1981, est un homme politique et militant social mor, et l'un des principaux fondateurs et idéologues du Parti social-démocrate (Endecja) de Morakhan, avec Iwan Nikolajewicz Kolceczew et Remian Walentynowicz Poliakow. Menisk vient d'une famille de littéraires, et son père était propriétaire d'une maison d'édition, et, jusqu'à ses dix-et-six (16) ans, il a vécu avec sa famille dans un environnement riche. Sa famille est également originaire de la petite noblesse.

Puis, à ses dix-et-six (16) ans donc, en 1997, son père, déjà endetté jusqu'aux os, fit faillite et n’eut d'autre choix que de vendre ses entreprises à fin de payer ses dettes. C'est ainsy qu'il passa d'une vie de richard à celle d'une personne en dessous de la classe moyenne. C'est durant cette période, et déscolarisé pendant deux ans, qu'il côtoya les petites gens et arriva à les comprendre, à l'opposé de ses pairs. Il développa des idées socialistes révolutionnaires, et créa, en 1998, un groupe socialiste révolutionnaire avec les gens de son quartier, mais icelui fut vite démantelé par les forces de l'ordre et il fut placé en garde-à-vue pendant trois jours, là où ses amis le furent pendant trois ans – ce qui démontre l'extrême inégalité du système juridique et du système politique mor en général. Il parvint toutefois, deux ans plus tard, à réintégrer le système scolaire mor. En effet, et l'on ne sait par quel miracle, son père arrivait à ramener de l'argent tous les jours à la maison.

Le pauvre jeune homme ne put que finir son secondaire, avant que l'on ne découvre que l'argent que son père ramenait dans son ménage provenait en réalité de la vente de drogue et de faux papiers à des immigrants, notamment des achosiens, dont les velsniens disent, et vous le savez très bien, cher lecteur, qu'ils habitent dans la saleté, et plus précisément des maisons en défection. À dix-et-uit (18) ans, le simple Menisk vit sa famille divisée : son père allant en prison à jamais – c'est d'ailleurs la dernière fois qu'il le revoit –, et sa mère ainsy que ses frères, Maurcy, Colbek, Szalub et Jyzak, âgés respectivement de six (6), septe (7), neuf (9) et dix-et-un (11) ans, ne purent payer les loyers imposés. Cela rendit fou de rage le garçon, fou de rage contre le modèle social actuel, et le raffermit plus encore dans les idées de gauche – c'est d'ailleurs le plus à gauche du comité, peut-être un peu trop extrêmiste ? Grâce à sa bourse, Menisk put, et du surtout, loger et nourrir sa famille pendant quatre ans, devant alterner entre école et maison plus souvent que les autres personnes de son âge. Il put, par la grâce de Dieu, gagner son diplôme : un doctorat en politique en 2006, et, par la même grâce, certainement, sa mère put trouver un travail et il n’eut plus besoin de s'occuper de ses petits frères. Pourquoi avait-il choisi la politique ? Parce que c'était là-bas que l'on pouvait changer les choses, et c'était aussi là-bas que l'on gagnait en pouvoir et en notoriété.

C'est ainsy qu'en 2011, il rejoignit le Parti social-démocrate PSD de Remian Walentynowicz Poliakow. C'est d'ailleurs là-bas qu'il le rencontra et qu'ils devinrent bons amis. Il rejoignit aussi le Parti dans sa fusion avec le Parti Socialiste PS, même s’il était sceptique à la base concernant cette union ; il y fut convaincu par son ami et accepta de le rejoindre. Voilà un extrait de leur conversation :

Remian, s’avançant vers son ami avec chaleur :
— Mon cher Menisk, je vous trouve soucieux, le front chargé d’ombres. Serait-ce l’union prochaine de nos partis qui alourdit ainsi vos pensées ?

Menisk, inclinant légèrement la tête :
— Vous devinez juste, Remian. Mon cœur hésite encore. Je crains que cette fusion ne dilue notre idéal dans des compromis qui, à force d’être tièdes, deviendraient stériles.

Remian, posant une main fraternelle sur son épaule :
— Croyez-moi, mon ami, il ne s’agit point d’un abandon, mais d’un renfort. L’alliance avec le Parti socialiste ne fera pas pâlir nos couleurs ; elle les rendra plus éclatantes encore. À plusieurs, notre voix portera plus loin, et plus haut.

Menisk, après un silence méditatif :
— Vous parlez avec une conviction qui m’ébranle, Remian. Je vois en vos yeux la flamme d’une sincérité qui me touche. Peut-être ai-je laissé mes craintes prendre trop de place…

Remian, souriant :
— C’est le lot des esprits prudents que de douter. Mais souvenez-vous, mon cher Menisk : nul grand dessein ne s’accomplit sans un acte de foi. Joignez vos pas aux miens, et vous verrez que notre cause, loin de s’éteindre, s’élèvera dans une lumière nouvelle.

Menisk, d’une voix plus assurée :
— Soit ! Puisque votre amitié m’y convie et que votre raison m’y engage, j’irai avec vous. Que l’union se fasse, et que nous soyons, côte à côte, les artisans d’un avenir plus juste.

Remian, avec une émotion contenue :
— Voilà une parole qui m’honore et qui me réjouit. Ensemble, mon ami, nous servirons le peuple comme il le mérite.

En 2017, il fonda, avec son ami et d'autres du monde gauchiste en Morakhan, mais plutôt des gauchistes modérés, plus modérés que Menisk en tout cas, le Comité révolutionnaire, en structurant les masses populaires et bourgeoises afin de renverser le régime réactionnaire de Nicolas II.

Actuellement, il est le Sopraw-gojnik (Co-Ministre des Affaires étrangères), chargé de l'Eurysie.
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Iwan Nikolajewicz Kolceczew
Comité révolutionnaire, Gouvernement du Zagrojat, 2017/07/24

Photo de Iwan Nikolajewicz Kolceczew

Iwan Nikolajewicz Kolceczew, né le 3 août 1961, est un homme politique et militant social mor, et l'un des principaux fondateurs et idéologues du Parti social-démocrate (Endecja) de Morakhan, avec Menisk Farfadowicz Dajelinow et Remian Walentynowicz Poliakow.

Iwan est un homme (je précise quand même, on ne sait jamais) originaire de Vladislav, ayant grandi dans une famille aux moyens modestes. Son père était un artiste, mais la vente de ses œuvres ne rapportait pas assez d'argent pour subvenir, seul, aux besoins de sa famille : sa femme, ses trois fils, et sa fille. Sa mère, quant à elle, pour arrondir les fins de mois, travaillait six jours sur sept dans une usine de production en chaîne de biens. Malgré ces efforts orchestrés par les deux parents, l'argent produit ne suffisait que pour scolariser trois enfants sur les quatre ; un choix difficile dut être fait par les deux parents, et icelui fut de scolariser leurs trois garçons, Jowan, Iwan, et Solbewan, et, pour assurer l'avenir de leur fille, Masza, ils durent la porter en mariage à un homme d’affaires teylais du nom d'Henri-Charles de Bonpourt-Siquebois. Malgré leurs vingt années d'écart, le riche homme tomba éperdument amoureux de la fille more lors d'une visite de la ville pendant ses rares vacances, et promit une énorme somme, énorme pour ces pauvres gens, à peu près un million et demi (1 669 344,57) de balkansk (= 20 000 dollars). Avec cette somme, leurs enfants purent être assurés de leur réussite scolaire.

En 1981, Iwan put finir ses études secondaires, et entra dans une université, où, contre l'avis de ses parents, qui le voyaient plutôt en économiste, il choisit la filière politique. Il termina ses études en 1991, et put démarrer sa carrière en politique. Il rejoignit le Parti socialiste PS, et, entre 1992 et 2002, commença, entre son travail et son temps libre, des études en comptabilité et en budget. Ce nouveau diplôme durement acquis lui permit, en 2015, sous le régime Wladimirien, de devenir Ministre du Budget et des Finances. C'est dans ce gouvernement qu'il rencontra Remian Walentynowicz Poliakow, et qu'ils se rapprochèrent. Sous la pression des affaires Colipin (RP PROCHAIN !), et comme de nombreux ministres, il décida de démissionner, au profit d'Aleksandr Michajlowicz Wal Woj Andrjuchin.

En 2017, avec des personnalités comme Remian Walentynowicz Poliakow et Menisk Farfadowicz Dajelinow, il fonda le Comité révolutionnaire en structurant les masses populaires et bourgeoises afin de renverser le régime réactionnaire de Nicolas II.

Actuellement, il est le Kaznojnik (Ministre chargé du Budget), et plus généralement, aidé d'autres, de la partie économique de la Morakhan.
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Wladimir Michajlowicz Bizanow
Double Fédération des Etats du Tsarat de Morakhan et des peuples de la Morakhan, 2017/07/28

Portrait de Wladimir Michajlowicz Bizanow peint par l'illustre Welizar Aleksandrowicz Kruczow

Wladimir Michajlowicz Bizanow, ou encore Wladimir Ier, né le 18 mai 1968 à Voïvograd, est le tsar et Zagroj de la Double Fédération de Morakhan de 2005, à la mort de son père, jusqu'à sa propre mort en 2016. Il a donné son nom au régime dit « Wladimirien ».

Wladimir est issu de la plus grande famille de Morakhan : les Bizanow – il est le fils du tsar et Zagroj, Sa Majesté Impériale Michajl Aleksandrowicz Bizanow, ou Michel I de Morakhan, et de la grande-duchesse, Sa Majesté Impériale Marie Sofie Frédérique Alix Von Gud-Av-Gotenburg De Valkoïnenland ou Alexandra Kristianovna de Morakhan. Il a pour frères et sœurs Osip Michajlowicz Bizanow et Marina Michajlowna Bizanow.

Étant issu de la famille dirigeante more, Wladimir doit jongler entre les droits et les devoirs qui lui sont imposés par les codes des familles aristocratiques slaves de Morakhan. Il est tout d'abord éduqué en politique, en langue teylaise, un peu en économie, un peu en robotique – dont il se passionne –, un peu de stratégie, un peu de théâtre, un peu de bonne tenue, un peu de science de la vie aristocratique, et nombre de matières formant le quotidien de ses journées. Avec la fin de son secondaire, passé totalement en cours privés à domicile par des professeurs nationaux et internationaux, il allait, car tels étaient les choix de ses parents, entrer à l'Académie Impériale de Voïvograd, avec les filières de sciences politiques, d'architecture et d'administration étatique – cela allait bien sûr contre ses convictions, lui qui voulait faire de la robotique et des formations scientifiques, notamment dans les hydrocarbures. Ainsy, il commença sa formation. Pendant ses études, il croisa la route de Remian Walentynowicz Poliakow dans sa filière de politique. Ils devinrent bons amis et entretinrent de bonnes relations, même après leurs études. Wladimir finit donc ses études en 1996, avec une Maîtrise en politique, une Licence de 3ᵉ année en administration étatique et une Licence de 2ᵉ année en architecture. En 1999, il se maria avec la grande-duchesse, Sa Majesté Impériale Marie Sofie Frédérique Alix Von Gud-Av-Gotenburg De Valkoïnenland ou Alexandra Kristianovna de Morakhan, avec qui il eut Nikolaj Wladimirowicz Bizanow, Michajl Wladimirowicz Bizanow, Georgij Wladimirowicz Bizanow, Aleksandra Wladimirowna Bizanow et Olga Wladimirowna Bizanow.

À partir de ses 28 ans, Wladimir a occupé des fonctions honorifiques au sein du Conseil constitutionnel, où il a été formé aux rouages du pouvoir judiciaire et législatif. Il a rapidement été nommé co-maire de Sarkopol, où il a été confié à un sage-homme, et où il fut formé pour maîtriser le pouvoir exécutif. Dans les années 2000, pendant la crise institutionnelle de 2004, il joua un rôle de médiateur entre les factions socialistes et zagrojistes du Parlement mor. Son engagement en faveur du maintien de l’ordre et de la stabilité lui valut le soutien des élites militaires et de la bourgeoisie, mais aussi du peuple et des personnalités de tous bords, consolidant la confiance du peuple et des élites envers le futur régime qu'il allait créer.

C'est en 2005, après la mort de son père, Sa Majesté Impériale le tsar et Zagroj Michajl II de Morakhan, que Wladimir accéda au trône, et céda son vieux titre de carewicz pour celui de tsar et Zagroj sous le nom de Wladimir Ier de Morakhan, marquant le début d’une ère de démocratisation accrue du pouvoir et de renforcement de l’identité nationale. Au début de son règne, il entreprit de vastes réformes économiques, s’appuyant sur l’industrialisation et les nouvelles technologies pour affirmer l’indépendance économique du pays. Son gouvernement mit également l’accent sur le développement du nucléaire civil et militaire, voulant faire de la Morakhan une puissance énergétique régionale majeure. Cependant, ses rêves et aspirations furent bloqués nets par sa mort tragique – dite « naturelle », mais comment pouvons-nous en être sûrs ? peut-être est-ce un assassinat politique ? son fils en est-il le responsable ? pour avoir plus de réponses, attendez un nouveau numéro du clown du kartien Kartjowicz – en 2016, et, avec sa disparition, s'accompagna la disparition de ses idées, là où son fils est plus conservateur et souhaite revenir aux traditions – peut-être était-il aussi instable mentalement que son régime ?
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Ramóna Miksa
Gouvernement de la RSBN, puis de la GBBN, 2017/08/18

Photo de Ramóna Miksa

Fonction : Miniszterelnök (ministre-président) de la Grande Baronnie de Brann du Nord.

Biographie : Ramóna Miksa, né le 6 septembre 1962 à Podany-Kelet (brann) ou Ponady-Wostok (mor), est une femme d'état brann, et l'actuelle Miniszterelnök de la Grande Baronnie de Brann du Nord, une nation et un pays du Zagrojat de Morakhan.

Ramóna Miksa est née dans une famille moyenne de la Brann du Nord (la Grande Baronnie, à ne pas confondre avec la Baronnie de Brann du Nord, en Polkême, dont est le baron Pol Vol Kan), dans un quartier modeste. Elle est l'une des filles de Boris Miksa et de Mariana Pek. Enfant, elle se passionnait pour les plantes et la nature, puis pour la médecine, là où ses frères et sœurs (ils étaient 5 avec Ramóna) se voyaient plutôt dans la fonction publique habituelle – enseignant, administrateur... là où il était simple de gagner beaucoup d'argent, à l'inverse de la médecine, encore banalisée à l'époque. Malheureusement, ses parents n'avaient pas assez de moyen pour réaliser les ambitions de chacun, seulement pour quatre, et ils durent choisir. Compte-tenu de l'argent que pourrait engranger les métiers de la fonction publique habituelle, à l'inverse de la médecine, ils décidèrent d'envoyer ses trois frère et sa sœur à l'école publique plutôt que Ramóna.

N'ayant pas de moyen conventionnel d'arriver à ses objectifs, Ramóna quitta la maison de ses parents, alors âgé de 16 ans, pour se rendre dans un Pensionna, qu'elle paya avec ses économies, puis le fruit de son travail à l'usine. En raison du bas salaire, elle dû plusieurs fois user de moyens peu orthodoxes pour satisfaire les désirs fourbes des propriétaires industriels et obtenir des augmentations, ce qui, en raison de son âge, était totalement illégal. Grâce à ce lourd sacrifice, elle pu payer ses études de médecine, mais la réalité la rattrapa : la médecine n'était, à cette époque, pas un métier d'avenir, et, au sortir de son école, elle ne pu trouver du travail. Se cherchant un nouveau travail, elle tomba sur des prospectus de membres de partis politiques, et se dit que là serait sa nouvelle voie. Grâce à son inébranlable détermination, Ramóna parvint à aller au delà des moqueries sur son âge lors des cours de politique, et attrapa de main puissante son diplôme en politique ; c'est après qu'elle appris, d'ailleurs, qu'il ne fallait pas un diplôme en politique pour faire de la politique ; qu'elle perte de temps !

Désormais, Ramóna se lançât dans son nouveau métier, et rejoignit le parti socialiste brann. Elle pu, grâce à ça, devenir légat au Szowjit dans l'alliance socialiste (qui rassemble tous les partis socialistes des différentes régions, dont l'Endecja). Grâce à cette position, elle fut choisie comme candidate au poste de Miniszterelnök (ministre-président) de la République Socialiste de Brann du Nord (RSBN), après la révolution, et pu garder ce poste après les négociations entre sociaux-démocrates et zagrojistes.

De tous ces frères, c'est bien elle qui a obtenue le poste le plus important et le plus rémunérée, comble pour ses parents et ses sangs, qui, mainte fois, ont réclamée son aide lors de situations difficiles, avec succès, en raison de la bonne foi de Ramóna.
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Andrej Borisowicz Wal Karenin
Gouvernement du Zagrojat, 2017/11/09

Photo d'Andrej Wal Karenin

Fonction : Urjad-gojnik (Ministre des Affaires étrangères) du Zagrojat de Morakhan.

Biographie : Andrej Borisowicz Wal Karenin, ou simplement Andrej Wal Karenin, né le 6 septembre 1978 à Sarkopoł, est un homme d'état et diplomate mor.

Andrej est née dans un quartier riche de Sarkopoł, dans une famille de noble aristocrate more – des bojards –, celle des Wal Karenin. Petit, il grandit dans la la richesse et dans le luxe qu'offrait le confort de vie d'une famille de bojards sous la Monarchie. Ses parents, oncles, et tantes ont occupés de nombreux rôles d'importance dans le rouage politique mor durant la période Wladimirienne, puis Nikoléienne. Il n'eu point besoin d'aller à l'école, car, comme toutes les familles de haut rang de l'époque, il reçu une éducation à la maison par des professeurs particuliers venant de l'étranger ; il apprit le français, l'anglais, le turc, l'espagnol, et l'hébreu, en plus du mor qu'il parlait déjà. Comme toutes les personnes de sa famille, sa vie professionnelle était déjà toute tracée : dans la politique. Cependant, ses parents comprirent, relativement vite, à ses 13 ans, qu'Andrej, du fait de son don naturel pour la négociation, les explications, et les débats, n'était pas destiné à faire de la politique, mais plutôt de la diplomatie.

Ainsi, il suivit un cursus scolaire, à partir de ses 17 ans, en 1995, à l'Académie Impériale de Wojwograd, où il côtoyât nombreux fils et filles de nobles (oui, fille, car, en Morakhan à cette époque, la femme pouvait déjà exercer les mêmes métiers que les hommes), et se fit nombres d'ami qui lui servirons plus tard. En 2015, il obtenu son diplôme en diplomatie internationale, et a commencé sa carrière. Il a d'abord été engagé par le Collège des Affaires étrangères pour traiter les missives diplomatiques. Cependant, en 2017, avec la révolution, il s'est vu écarté du pouvoir, et a dû songer à changer de métier, avant qu'un accord ne fut trouvé avec les zagrojistes, et que le Zagrojat ne revienne. Ainsi, et en raison de l'incapacité de Son Haut Excellence Mewdwedew, le pouvoir a décider de le prendre lui pour ses affaires extérieures, sur recommandation de l'un de ses amis qui était proche du Zagroj Michel II, le frère de Nicolas II.
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Pierre Ier Fédorovitch Bizanov
Empire mor, 2018/02/02

Portrait de Pierre Ier

Fonction : Empereur de Morakhan, Grand-duc de Molblêmie, Roi de Turkistan et Grand-Baron de Brann du Nord, puis Roi de Novomorakhan.

Biographie : Pierre Ier, plus connu sous le nom de Pierre le Grand, né le 30 mai 1672 (9 juin dans le calendrier grégorien) à Sarkopol et mort le 28 janvier 1725 (8 février dans le calendrier grégorien) à Voïvograd, devient zagroy de Morakhan en 1682 et reçoit le titre d'empereur de toutes les Morakhans en 1721.

À sa mort, en 1676, Fédor II laisse dix enfants de deux unions différentes. De son premier mariage avec Maria Miloslavskaïa (1624-1669), sont issus huit enfants, dont notamment Sophie Fédorovna, Fédor III, qui lui succède et Ivan. Pierre et Nathalie Fédorovna sont les fruits du mariage avec sa seconde épouse, Natalia Narychkina (1651-1694).

Ivan a 16 ans et Pierre 10 ans quand meurt Fédor III en 1682, sans descendance. Le 23 mai 1682 (2 juin dans le calendrier grégorien), dans une ambiance houleuse, Pierre est proclamé tsar, sa mère devenant régente.

La révolte de Sarkopol de 1682 donna lieu à des scènes de carnage d'une extrême violence, qui — semble-t-il — eurent un grand impact psychologique sur le jeune Pierre. La jeune Sophie Fédorovna écarte Natalia de la régence, qu'elle assure elle-même de 1682 à 1689. Le 23 mai 1682 (2 juin dans le calendrier grégorien), dans une ambiance houleuse, les deux demi-frères sont alors proclamés zagroys par le Zemski sobor : Ivan V et Pierre Ier. C'est le seul cas dans l'histoire de Morakhan où deux zagroys règnent conjointement. Ce double zagroyat permet de concilier les ambitions dynastiques des deux familles concurrentes, et d'autre part de pallier les faiblesses d'Ivan, débile, aveugle et à la motricité réduite. Elle met fin à une révolte religieuse, signe avec les tatars le traité de paix éternelle de 1686, par lequel la Morakhan mène bataille contre les Turkiyes. Elle ordonne aussi des expéditions contre le khanat de Hvitchstan.

Pendant ce temps, elle confine le jeune Pierre et sa mère au village de Preobrajenskoïé, dans les environs de Sarkopol. Pierre était alors abandonné aux soins d'un précepteur nommé Nikita Zotov. Tous les historiens ne s'accordent pas sur la qualité du tutorat de Zotov : Karl S. Vl. Korolov par exemple vante ses efforts, et relativise toutefois le savoir théorique de Pierre, mais Alois Rutendorff critique l'enseignement qu'il donna au futur zagroy.

Portrait du jeune Pierre Ier
À l'été 1689, le jeune Pierre décide de profiter de l'affaiblissement de la régente après l'échec des campagnes de Hvitchstan, pour s'emparer du pouvoir. Prévenue, la régente Sophie conspire avec les streltsy pour écarter Pierre, mais icelui se réfugie au monastère de la laure de la Trinité-Saint-Serge, à environ 90 km de Sarkopol, où il rassemble ses alliés. Le général de l'armée impériale more Patrick Myllchon devient à cette occasion son plus fidèle allié. Cette même année 1689, Pierre force la régente à se retirer dans un couvent. Les deux frères partagent alors le pouvoir jusqu'à la mort d'Ivan V en 1696.

Au début de 1689, Pierre est déclaré majeur et remet aussitôt le pouvoir à sa mère, préférant vivre une jeunesse mouvementée avec Alexandre Menchikov et d'autres compagnons de débauche, dont le Teylais François Lefort, l'Achossais Patrick Myllchon, ainsi que les Mors Nikita Zotov, Fédor Romodanovski, Gavriil Golovkine, Fédor Golovine et Pierre Trolstoï. Outre le calviniste Lefort et le catholique Gordon, le jeune Pierre rencontre aussi, dans la Nemetskaïa sloboda (« quartier des étrangers »), l'Ehrenstadtois Timmermann, les Zélandais Winnius, Brandt, etc., qui l'initient à la culture eurysienne, l'instruisent en art militaire et de navigation, et deviendront ses futurs généraux et ingénieurs. L'Eurysie l'intéresse, non seulement par sa civilisation spirituelle ou artistique, mais comme la patrie de bons techniciens dont la Russie est dépourvue.

Curieux de toutes les nouveautés, Pierre trouva dans la maison de son aïeul, Nikita Romanov, un canot teylais d'une structure particulière qui fut à l'origine de sa passion pour la navigation. Sa passion était née sur le petit lac Plechtcheïevo ; mais il va aussi au nord, à Arkhangelsk en 1693-1694, seul port maritime de l'époque, donnant sur la mer Blême. Il se rend compte alors de la nécessité pour la Morakhan de contrôler plus de côtes, alors que les siennes s'étendent sur un peu plus de 150 km.

En janvier 1689, il épouse Eudoxie Lopoukhine, dont il a un premier fils, Alexis Petrovitch, en 1690, et un second, mort à dix-huit mois, aux obsèques duquel il ne juge pas nécessaire d'assister.

Au printemps 1695, Pierre envoie une armée contre les Hvitches et se dirige vers la forteresse d'Orospol qui, située sur en Molblêmie, près de la Mer blême, offre un accès indirect à icelle. Cependant il ne parvient pas à prendre la ville. Il se décide alors à construire une flotte, installant un chantier naval à Voronej, situé sur un affluent de la Volga, et associe tout le pays à cette œuvre nationale : c'est la création officielle de la Marine impériale more. La ville est prise l'année suivante, en juin, et Pierre Ier fonde la première base navale more à Tangarok en septembre 1698. Celle-ci est commandée de 1698 à 1702 par l'amiral Fédor Golovine et le vice-amiral Cornelius Cruys en devint le premier gouverneur en 1711.

Par le traité d'Orospol (1700), qui met fin à la guerre moro-hvitche de 1686-1700, les Mors se voient reconnaître par la Miirza la possession d'Orospol et de la base de Tangarok, et obtiennent en outre le droit de disposer d'un représentant permanent dans le Khanat. Cette campagne marqua la première offensive militaire réussie par l'armée more sur un sol étranger depuis plusieurs siècles, et établit la Morakhan comme un acteur important dans la diplomatie est-eurysienne. Toutefois, le contrôle d'une ridicule côte de la mer Blême ne lui offrait pas une voie suffisante pour le commerce, tandis que la paix avec le Bey Moustafa II permet à Pierre de se tourner vers l'Est.

Le 30 décembre 1720, Pierre lance un grand projet qui, selon lui, permettra à son pays d'obtenir de plus grandes côtes et de s'imposer dans la cours de grandes puissances eurysiennes : la conquête du Nazum du Nord (ou Kyrkuzaï chez les turcs). Ce territoire, encore vierge et inconnu pour les mors, n'est, étrangement, le sujet d'aucunes convoitises, laissant ce territoire vide. Cependant, il y a bien une raison à cela : le territoire est peuplé de peuples barbares, et il est froid, mais le plus importants, c'est que les principales puissances coloniales sont les ouest-eurysiens, or iceux sont bien plus éloignés et considèrent cette zone comme un ensemble de barbares : ils l'appellent la Barbarie ou le Képilande. Ainsi, deux jours plus tard, le 2 janvier 1721, la marine impériale more débarque en Yurtie, et y établissent la première colonie more, ce qui marque le début d'une longue période de colonisation de l'Empire mor dans ce que nous appellerons la Nouvelle-Morakhan (ou novomorakhan).

Les mois avenirs, les colons mors se développent rapidement dans la zone, et en fin mars 1721, tout l'Ouest du Nazum du Nord est déjà occupé par la Morakhan.

Le 2 novembre 1721, le Sénat de Morakhan accorda à Pierre le titre d'« Empereur de toutes les Morakhans », qui remplaça le traditionnel titre de zagroy qui lui était jusque-là accordé, manifestant ainsi la fascination de Pierre le Grand pour l'Eurysie de l'Ouest. Il fut rapidement reconnu comme tel par les rois de Polkême, de Brann et tsar de Slaviensk. En 1724, il couronna sa seconde femme Catherine du titre d'impératrice.

En 1722, la descendance de Pierre le Grand ne comporte plus que trois filles, dont deux nées hors mariage, une petite-fille et un seul petit-fils. L'empereur qui a fait tuer son fils Alexis promulgue une loi selon laquelle le souverain régnant devait désigner lui-même son successeur, à l'encontre de la tradition slave qui voulait que la succession légale soit le fils aîné. Il réussit à marier Anna Petrovna, sa fille née hors mariage de sa seconde femme et alors âgée de 16 ans et demi, avec Charles-Frédéric Von Haring. Le contrat de mariage stipulait qu'Anna et Charles-Frédéric devaient abandonner toute prétention au trône de Morakhan, et Pierre obtient à la suite de cette clause le droit de nommer son successeur. De ce mariage naquit le futur Pierre III de Russie en 1728 ; Anna mourut peu après, à l'âge de 20 ans.

Cependant, frappé d'une nouvelle crise d'urémie, le zagroy meurt en janvier 1725 à 52 ans sans avoir désigné d'héritier. La garde proclame impératrice Martha Skavronskaïa, que l'empereur avait fait couronner impératrice l'année précédente et qui monte sur le trône en tant que Catherine Ire de Morakhan. Elle meurt deux ans plus tard laissant le trône au fils du défunt zagroyévitch et de la défunte Charlotte de Brunswick-Wolfenbüttel, Pierre II de Morakhan.

Trop jeune pour gouverner, icelui laisse d'abord les rênes du pouvoir à la famille Dolgoroukov — qui prend le contre-pied de la politique de Pierre le Grand et de Catherine Ire — avant de s'emparer du pouvoir et de poursuivre l'œuvre de Pierre, en étant notamment conseillé par Menchikov, qui avait été nommé chef du gouvernement par Catherine Ire. À la mort de Pierre II, sa cousine Anna Ivanovna , fille du tsar Ivan V de Russie, demi-frère de Pierre le Grand, s'empare du pouvoir.
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