21/02/2015
17:00:39
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🎬 Festival international de cinĂ©ma - Achira 2006

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Achira 2006 logo


Festival international de cinéma 2006


Collage 1


Modalités du festival


Comme tous les deux ans, le festival international de cinĂ©ma rĂ©compense les plus belles Ɠuvres du septiĂšme art, mais met Ă©galement Ă  l’honneur les productions tĂ©lĂ©visĂ©es des deux annĂ©es prĂ©cĂ©dentes. Cette annĂ©e, le festival s’installe Ă  Achira, Tamaret Tamaret. À l'issue du festival, une cĂ©rĂ©monie de clĂŽture dĂ©cerne quatre grands prix :

    🏆 Prix du meilleur film de fiction
    🏆 Prix du meilleur documentaire
    🏆 Prix de la meilleure sĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e
    🏆 Prix de la meilleure fiction d’animation (film ou sĂ©rie)

L’attribution des prix sera dĂ©terminĂ©e par un vote de tous les joueurs validĂ©s de Geokratos, qui pourront voter pour trois productions maximum (en attribuant respectivement 5, 3 et 1 point) pour chacune des quatre catĂ©gories ci-dessus. Nous rappelons que, conformĂ©ment aux rĂšgles, il est demandĂ© de voter en tant que joueur, et non en tant que pays, que les considĂ©rations diplomatiques inRP ne doivent pas intervenir dans votre choix et que les amitiĂ©s ou inimitiĂ©s Ă©ventuelles ne doivent pas influencer votre vote.

Les productions victorieuses seront affichĂ©es pour l’éternitĂ© dans un sujet appropriĂ© et, dans le futur, un Hall of Fame, qui distinguera notamment les acteurs et rĂ©alisateurs les plus en vogue, pourra ĂȘtre Ă©tabli.


Comment participer ?


Tous les joueurs validés de Geokratos peuvent inscrire leurs productions à la suite de ce message, via un formulaire ci-dessous. En outre quelques rÚgles sont à respecter :

  • Chaque joueur peut faire concourir, toutes catĂ©gories confondues, jusqu’à 10 productions. Pour plus de lisibilitĂ©, ne postez qu'un seul formulaire par message.

  • Votre production doit ĂȘtre le fruit de votre imagination. Si vous pouvez vous inspirer de l’existant, vous devez absolument y apporter votre propre plume. Les copies trop flagrantes de films, documentaires ou sĂ©ries qui existent IRL seront disqualifiĂ©es.

  • Vous pouvez contribuer jusqu’au 19 mars 2022, 20 heures. Les formulaires envoyĂ©s aprĂšs cette date ne seront pas comptabilisĂ©s. Vous n'ĂȘtes donc pas obligĂ© de poster vos productions les unes aprĂšs les autres, vous pouvez le faire tout au long du laps de temps qui vous est donnĂ©.

  • Votre film, documentaire ou sĂ©rie peut ĂȘtre co-produite par plusieurs pays dont le vĂŽtre si cela est cohĂ©rent. Mais alors, le formulaire comptera pour 1 production sur les 10 autorisĂ©es pour chacun des pays producteurs mentionnĂ©s.

  • N'hĂ©sitez pas Ă  faire intervenir des acteurs qui ont dĂ©jĂ  jouĂ© dans de prĂ©cĂ©dents films, si vous avez participĂ© Ă  l'Ă©dition de 2004 !

  • Le vote interviendra Ă  partir du 19 mars 2022 aprĂšs 20h, selon les disponibilitĂ©s de la modĂ©ration.


Formulaire Ă  remplir


[b]Pays producteur(s) :[/b]
[b]CatĂ©gorie :[/b] À choisir entre : Film de fiction / Documentaire / SĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e (non animĂ©e) / Film ou sĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e d’animation

[b]Nom de la production :[/b]
[b]Affiche ou visuel :[/b] Facultatif – À dĂ©faut d’une affiche, vous pouvez illustrer le formulaire avec un visuel/une capture d’écran de votre production prise Ă  un moment donnĂ©. Attention Ă  ne pas poster des images trop grandes.
[b]Genre ou thÚme abordé :[/b] Comédie ? Drame ? Autre ? Ou sinon, quel thÚme est au centre de votre production ?
[b]Synopsis ou résumé :[/b] Laissez cours à votre imagination et décrivez votre production. Aucune longueur maximale, dans la limite du raisonnable (on ne demande pas un résumé complet), mais une longueur minimale de quelques lignes requise.
[b]Commentaire :[/b] Facultatif - Si vous voulez joindre des anecdotes, des critiques parues dans la presse, ou tout élément susceptible d'intéresser le lecteur.

[b]Société de production ou Producteur :[/b]
[b]RĂ©alisateur :[/b] Peut ĂȘtre Ă©galement le producteur.
[b]Acteurs principaux ou notables :[/b] Nom des acteurs et le personnage qu’ils jouent entre parenthĂšses. Pour les documentaires, ce critĂšre s’applique seulement s’il y a un intervenant notable. Pour les sĂ©ries tĂ©lĂ©visĂ©es d’animation, ce critĂšre n’est pas applicable, sauf si vous jugez important de mentionner les acteurs qui prĂȘtent leur voix dans la version originale.
[b]Date de sortie :[/b] NĂ©cessairement entre le 1er septembre 2004 et le 31 aoĂ»t 2006. Les sĂ©ries tĂ©lĂ©visĂ©es doivent ĂȘtre au moins partiellement diffusĂ©es entre ces deux dates.

Vous pouvez aménager ce formulaire à votre convenance et lui donner une esthétique particuliÚre, tant que tous les critÚres obligatoires y figurent.


Vous avez jusqu’au 19 mars 2022. Bonne chance !
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La Poursuite du Lendemain


Pays producteur(s) : CommunautĂ© d’Izcalie
Catégorie : Film de fiction

Nom de la production : La Poursuite du Lendemain
Genre ou thĂšme abordĂ© : Film d’anticipation – Dystopie – Science-fiction
Synopsis ou rĂ©sumĂ© : En 2072, les prisons ne sont plus que des dortoirs oĂč les condamnĂ©s reposent, branchĂ©s Ă  des simulateurs, dans une vie alternative. En effet, durant la durĂ©e de leur peine, les prisonniers sont condamnĂ©s Ă  revivre leur vie Ă  rebours : chaque jour qui passe dans le monde rĂ©el, ils revivent la veille dans leur expĂ©rience, tout en continuant de vieillir. De telle sorte qu’ils ne peuvent rĂ©parer leurs erreurs et qu’ils sont incapables de se projeter plus loin qu’une journĂ©e. Un Ă©ternel recommencement qui invite les condamnĂ©s Ă  penser sans les panser les tords qu’ils ont pu commettre.

Zacharie est l’un d’eux. Ce jeune trentenaire, qui mĂšne sa vie par les deux bouts, faisait vivre un enfer Ă  sa femme, Solange, depuis le dĂ©but de leur rencontre. CondamnĂ© Ă  trente ans de rĂ©clusion pour l’avoir accidentellement tuĂ©e aprĂšs une violente dispute, il sera obligĂ© de suivre le fil de sa vie comme un film qu’on rembobine. Le premier jour de cette expĂ©rience alternative, il vivra donc le jour du crime et tentera en vain de rĂ©parer ses erreurs. Vainement parce que tous ses efforts pour gagner la confiance de son Ă©pouse seront anĂ©antis minuit passĂ©, et parce qu’il faut plus d’une journĂ©e pour regagner une confiance Ă©tiolĂ©e annĂ©e aprĂšs annĂ©e.

Commentaire : En parallĂšle de sa participation Ă  la rĂ©alisation de la sĂ©rie VolontĂ©s & Puissances, dont la troisiĂšme saison a Ă©tĂ© diffusĂ©e rĂ©cemment, Eric de TrĂšgne propose ici un rĂ©cit dystopique et angoissant, qui nous interroge Ă©galement sur le rĂŽle de la prison et du difficile Ă©quilibre entre son volet punitif et ses ambitions de rĂ©habilitation. Dans ce futur Ă©loignĂ©, Zacharie n’a pas de barreaux mais revivre sa propre vie et ses erreurs, mĂȘme en toute libertĂ©, n’est pas plus agrĂ©able que l’enfermement. Ce n’est pas la premiĂšre fois que Ronan Lalande joue un meurtrier, a fortiori un tueur d’épouse, puisqu’il avait dĂ©jĂ  un rĂŽle similaire dans Justice Borgne, en 2003. Le film a par ailleurs reçu en 2006 le prix du film d’anticipation au festival de Clairfeu qui rĂ©compense les Ɠuvres de science-fiction.

Société de production ou Producteur : Solstice Productions
RĂ©alisateur : Erich de TrĂšgne
Acteurs principaux ou notables : Ronan Lalande (Zacharie) ; Eva Mignard (Solange, la femme de Zacharie) ; Chimalnan Tlamac (Ezco, l’agent de probation de Zacharie)
Date de sortie : 15 septembre 2005
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Pays producteur(s) : Pharois Syndikaali
Catégorie : Série télévisée (non animée)

Nom de la production : Paluu (le retour)
Affiche ou visuel :

https://www.zupimages.net/up/22/08/ypl5.jpg

Genre ou thÚme abordé : Horreur / Fantastique / Triller
Synopsis ou résumé :

Paluu, la nouvelle série fantastique/horrifique des productions Grand Vent réinvestit les contes et légendes traditionnelles pharoises pour en proposer une lecture plus moderne tout en en préservant la substance. Paluu, du nom d'une croyance solidement ancrée dans l'imaginaire de la péninsule, est l'hypothétique retour des marins perdus en mer, parfois plusieurs mois ou années aprÚs leur disparition.

Une lĂ©gende dont les historiens et linguistes s'accordent Ă  dire qu'elle venait palier aux tristes chiffres de la mortalitĂ© pharoise pendant les derniers siĂšcles, le travail en mer Ă©tant connu pour ĂȘtre encore aujourd'hui l'un des plus dangereux au monde et cause d'accidents frĂ©quents. Devant la perte d'amis, de proches et mĂȘme de parents, le Syndikaali comme avant lui la RĂ©publique Pharoise et le Royaume d'Albi se trouvent bien dĂ©munis. Les campagnes de prĂ©ventions restent peu efficaces et l'esprit libertaire et indĂ©pendant des populations bloque systĂ©matiquement le rehaussement des normes de sĂ©curitĂ© sur les navires. Paluu fait donc Ă©cho Ă  des enjeux encore trĂšs contemporains, que la sĂ©rie aborde sous le prisme de la fiction.

Paluu, c'est le retour inattendu des marins dans un petit village Pharois, trois ans aprÚs le naufrage d'un chalutier. Douze travailleurs décédés dans ce drame revenant un matin à la vie et retrouvés sur la plage. Alors que leurs familles doivent faire face à ce retour inespéré, que certaines ont fait leur deuil ou on tiré un trait sur le passé, la situation confronte les Pharois à la réalité de leurs désirs et met en scÚne les conséquences inattendues que pourrait avoir un tel phénomÚne si la légende se révélait vraie.

Les choses se compliquent encore plus lorsque les marins revenus Ă  la vie semblent ĂȘtre en proie Ă  d'Ă©tranges visions Ă©voquant les mondes aquatiques oĂč ils ont rĂ©sidĂ© et dont ils ne gardent que des souvenirs confus. L'appel des abysses peut-il venir contrecarrer l'Ă©lan de vie et la passion de l'amour ? Ce sont ces questions que la sĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e propose d'aborder dans une ambiance fantastique souvent Ă  la frontiĂšre de l'horreur. Âmes sensibles, vous voici prĂ©venues.

Commentaire :

Fresque romantique culturellement trĂšs marquĂ©e, Paluu possĂšde quelques longueurs que certains critiques plus enthousiastes qualifieront peut-ĂȘtre de "rythme contemplatif". Si l'image est soignĂ©e et l'esthĂ©tique a fait l'objet d'un gros travail, notamment sur les jeux de lumiĂšres, la trame narrative est un peu poussive et tĂ©moigne encore une fois des difficultĂ©s rencontrĂ©es par les Ɠuvres pharoises Ă  s'adapter Ă  des rythmes plus Ă©nergiques qui font pourtant le succĂšs des productions Ă©trangĂšres, notamment venues de Paltoterra. A noter tout de mĂȘme une mise en scĂšne des passages se dĂ©roulant dans les abysses particuliĂšrement angoissante et efficace. On regrettera simplement de ne pas en avoir plus Ă  se mettre sous la dent.Citoyen Aato pour Le Journal de Pharot
Une super production pharoise qui a le bon goĂ»t de ne pas ĂȘtre seulement un Ă©niĂšme film expĂ©rimental abstrait. Si l'inspiration et l'esthĂ©tique "liquide" du Syndikaali est bien prĂ©sente, au moins y a-t-il un minimum de narration Ă  se mettre sous la dent. On soulignera l'efficacitĂ© de la citoyenne Terttu dans son rĂŽle de veuve forte, toujours trĂšs juste et pour qui on se prend d'avoir une rĂ©elle empathie malgrĂ© la personnalitĂ© assez dĂ©testable du personnage. Un twist final qui tient en haleine et fait espĂ©rer une saison deux.Citoyen Aapeli pour Le Papillon
Société de production ou Producteur : Grand Vent
RĂ©alisateur : Citoyenne Kaija
Acteurs principaux ou notables :
  • Citoyenne TĂ€hti (la capitaine Suvi)
  • Citoyenne Terttu (la citoyenne Tuija)
  • Citoyen Kaapo (le citoyen Artturi)
  • Capitaine Akseli (le capitaine Markku)
  • Citoyen Matti (le citoyen Mauno)

Date de sortie : 13 octobre 2005
2495

Fumée grise


Pays producteur(s) : CommunautĂ© d’Izcalie
Catégorie : Documentaire

Nom de la production : FumĂ©e Grise : Au cƓur de l’obscur conclave de 2005
Genre ou thÚme abordé : Conclave de 2005
Synopsis ou rĂ©sumĂ© : Jamais un conclave n’aura durĂ© aussi longtemps et n’aura Ă©tĂ© aussi houleux. AprĂšs plusieurs mois de tractations, le pape Christophe succĂšde Ă  ClĂ©ment XV Ă  la tĂȘte de l’Eglise catholique. Si les opĂ©rations Ă©lectorales sont restĂ©es comme Ă  l’accoutumĂ©e secrĂštes, Marian Carell, journaliste spĂ©cialisĂ© dans la Catholagne, a pu brosser le portrait du pape izcalien, que personne n’attendait Ă  ce poste, avec les confidences de ceux qui l’ont cĂŽtoyĂ© lorsqu’il n’était que simple prĂȘtre comme ceux qui l’ont dĂ©couvert Ă  l’occasion du conclave. L’Eglise catholique ne serait-elle pas dirigĂ©e par un escroc ?

Commentaire : Comment, en Ă©tant largement minoritaire en nombre de voix, le caridnal Bastarache, a-t-il pu devenir le nouveau pape et battre l’ultra-favori cardinal Sainte-Ciggogne ? C’est la question qui taraudait le journaliste Marian Carell, Izcalien lui aussi. DerriĂšre un discours progressiste, le rĂ©alisateur brosse le portrait d’un cardinal cynique, manipulateur et finalement impie. Un film Ă  charge, consolidĂ© par les tĂ©moignages troublants de ceux qui l’ont connu lorsqu’il Ă©tait prĂȘtre dans une paroisse de la ville de Saint-Christophe, au nord du pays. Le documentaire met ainsi en Ă©vidence que sa paroisse a, durant les annĂ©es de la dictature d’Ollin Sacxoch, connu une mortalitĂ© bien supĂ©rieure Ă  la normale, et en particulier de rĂ©sistants. Le pape Christophe a-t-il collaborĂ© avec la dictature sacxochiste ? Rien ne permet de le conclure formellement mais pour les proches des rĂ©sistants exĂ©cutĂ©s, c’est une Ă©vidence.

C’est pourtant en hĂ©ros que le cardinal Bastarache se prĂ©sente au conclave. La deuxiĂšme partie du documentaire parle plus en profondeur du conclave et des manigances et stratagĂšmes qui ont Ă©tĂ© fomentĂ©s pour « tuer la cigogne », du nom de son principal opposant maguerrois. Le rĂ©alisateur tente toutefois d’équilibrer son propos en interviewant aussi bien des cardinaux partisans de l’actuel pape que les voix les plus critiques. Depuis son Ă©lection, le pape Christophe mĂšnerait en toute discrĂ©tion une chasse aux sorciĂšres, tandis que les dĂ©penses de la Catholagne explosent. Le rĂ©alisateur se plaint notamment des tentatives d’intimidation de la part des gardes papaux. Le documentaire montre notamment une scĂšne hallucinante oĂč l’un de ces gardes tente de prendre la camĂ©ra du rĂ©alisateur en profĂ©rant des menaces de mort.

Société de production ou Producteur : PixÚs Studios
RĂ©alisateur : Marian Carell
Acteurs principaux ou notables : Un nombre important de tĂ©moins qui ont connu le cardinal Bastarache avant qu’il ne devienne cardinal, et de nombreux cardinaux interviewĂ©s.
Date de sortie : 21 juin 2006
1974
Pays producteur(s) : FĂ©dĂ©ration des Communes d’ArcĂ©anie

Catégorie : Film de fiction

Nom de la production : Eine Tanzparty

Affiche ou visuel :

BĂ€umler

ThĂšme principal :


Genre ou thÚme abordé : Thriller / Comédie noire / Huis clos

Synopsis ou rĂ©sumĂ© : Dans les annĂ©es 70, Leonhard H. roule sur une route de campagne par un soir de tempĂȘte. Dans son coffre, le cadavre de sa derniĂšre victime. Leonhard est un tueur en sĂ©rie. Soudain, sa voiture s’arrĂȘte mystĂ©rieusement. Perdu au beau milieu de la nature, en pleine tempĂȘte, il finit par trouver un dancing miteux. Dedans, huit individus, chacun semblant cacher leur nature. La soirĂ©e sera mouvementĂ©e. Leonhard sera-t-il le chasseur ou la proie ?

Commentaire : TroisiĂšme film de Jonas Blumhardt confirmant le rĂ©alisateur et scĂ©nariste dans sa maĂźtrise du thriller. Cette fois-ci, Blumhardt plonge dans un esprit malfaisant confrontĂ© Ă  d’autres monstres. Le tour de maĂźtre est de faire en sorte de ne donner aucun repaire moral au spectateur tout en parvenant Ă  nous rendre jouissif et terrifiant le dĂ©chaĂźnement de violence tout au long du film. Dans le mĂȘme temps, Blumhardt parvient Ă  rendre attachant des personnages dĂ©testables, sans pour autant verser dans la caricature. La camĂ©ra joue un rĂŽle important tant Blumhardt exploite les possibilitĂ©s du huis clos Ă  leurs maximum, faisant d’elle un personnage Ă  part entiĂšre dans un monde dĂ©traquĂ©. Musicalement, le film reprend les tubes les plus joyeux et envoutant des annĂ©es 70 pour leur donner une dimension horrifique. A l’exception de Tobias Conzelmann et Liam BĂ€ulmer, tous les autres acteurs ne sont pas ou peu connus du grand public, souvent habituĂ©s Ă  jouer les seconds couteaux, ils Ă©clatent ici au grand jour, permettant de rĂ©vĂ©ler plusieurs espoirs du cinĂ©ma arcĂ©anien, comme la jeune actrice Anni SteinhĂ€usl, qui joue ici pour la premiĂšre fois sur grand Ă©cran. Bref, une Ɠuvre maitrisĂ©e de bout en bout.

Société de production ou Producteur : UFO Studios

RĂ©alisateur : Jonas Blumhardt

Acteurs principaux ou notables :

Liam BĂ€umler (Leonhardt H.)
Alfred Schöner (Thorsten J.)
Tobias Conzelmann (Jan B.)
Vinzenz Rosenberger (Ludwig F.)
Christof Stahlecker (Klaus K.)
Fiete Reinhardt (Levi O.)
Anni SteinhÀusl (Lena W.)
Karl Hartmann (Aaron M.)
Tilmann Schwarz (Samuel E.)
Teresa Schaumann (La victime)

Date de sortie : 3 mai 2005
2748
Pays producteur(s) : FĂ©dĂ©ration des Communes d’ArcĂ©anie

Catégorie : Série télévisée (1x12)

Nom de la production : Albatros

Affiche ou visuel :

Albatros

Générique :


Genre ou thÚme abordé : Science fiction

Synopsis ou résumé :

Les hommes ont conquis l’infini de l’espace. La FĂ©dĂ©ration, gigantesque machine politique, est parvenue aux prix de violents conflits Ă  unir les planĂštes humaines. Cependant, de nombreux territoires restent encore incontrĂŽlĂ©s.

En 2345, Hans „KapitĂ€n“ Hammesfahr est le capitaine de l’Albatros, un petit vaisseau voyageant de planĂštes en planĂštes Ă  la recherche de criminels. Hans est un ancien combattant opposĂ© Ă  la FĂ©dĂ©ration, qui nourrit des plans de vengeances depuis plus d’une dĂ©cennie. Il est accompagnĂ© dans son pĂ©riple par un Ă©quipage rĂ©duit composĂ© de Selina „Aisuru“ Bach, une reprise de justice devenue le second, Lars „Sturm“ Abraham, un pilote militaire expĂ©rimentĂ© reconvertit, Tsujihara "Tokuchƍ" Ryunosuke, un mĂ©canicien efficace aux motivations mystĂ©rieuses, Fernando et Evangelina AlarcĂłn, deux mercenaires en parfaite synergie, et Milo Quint, mĂ©decin de bord et nouvelle recrue de l’équipage.

Le quotidien du vaisseau se retrouvera bouleversĂ© le jour oĂč attaquant un repaire de criminels, ils mettront la main sur Ava, une jeune fille aux pouvoirs incommensurables. Ils retrouvent alors traquĂ©s par un homme rĂ©pondant au pseudonyme du Logicien


Commentaire : Produite par la chaĂźne cĂąblĂ©e HX, la sĂ©rie a su rapidement sĂ©duire le public devenant une des sĂ©ries les plus populaires de l’histoire de la chaĂźne en quelques semaines. La sĂ©rie rĂ©unit un casting multilingue, ce qui est rare pour ĂȘtre soulignĂ©. Les acteurs sont des habituĂ©s des sĂ©ries et sont pour la plupart dĂ©jĂ  connu du grand public, ce qui a sans doute facilitĂ© le succĂšs de la sĂ©rie. L’intrigue se dĂ©veloppe sur 12 Ă©pisodes amenant de nombreux retournements de situations. Le modĂšle du format sĂ©riel est exploitĂ© Ă  son maximum par les scĂ©naristes. Le retournement de situation final ayant choquĂ© de nombreux spectateurs. La sĂ©rie a Ă©galement Ă©tĂ© remarquĂ©e pour ses effets spĂ©ciaux dont la qualitĂ© est largement supĂ©rieure Ă  ce que l’on trouve habituellement dans ce genre de sĂ©rie. En fait, la sĂ©rie se veut ĂȘtre un divertissement de qualitĂ©s et c’est un pari rĂ©ussi. Les influences de la sĂ©rie sont nombreuses, du western au film noir en passant par la piraterie et le roman d’aventure. Elle propose un univers vaste et extrĂȘmement riche dont on sait d’ores et dĂ©jĂ  qu’il sera dĂ©veloppĂ© Ă  plus long terme dans plusieurs spins offs.

Société de production ou Producteur : HX TV

RĂ©alisateur : ArsĂšne De Verley

Acteurs principaux ou notables :

Mickaël Pleimelding (Milo Quint)
Marcel HĂ©bras (le Logicien)
Océane Cortot (Ava)
Sascha Reinhard (Hans „KapitĂ€n“ Hammesfahr)
Thomas Ehrler (Lars „Sturm“ Abraham)
Dennis Osterhaus (Paskal „Abzug“ Baumeister)
Gabriele Eckstein (Selena „Aisuru“ Bach)
Wakayama Hachemon (Tsujihara "Tokuchƍ" Ryunosuke)
Teramoto Konomi (L’hîtesse)
Orlando Franco (Fernando AlarcĂłn)
Estrella Reyes (Evangelina AlarcĂłn)

Date de sortie : Diffusé à partir du 2 mars 2005.
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Pays producteur(s) :La république du Tamaret
Catégorie : Film de fiction
Nom de la production : Comment ça se fait كيف Ű°Ù„Ùƒ
Affiche ou visuel :

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Extraits du film :

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Genre ou thÚme abordé : Science fiction - Horreur
Synopsis ou rĂ©sumĂ© : L'histoire tourne autour d'un jeune horloger IDIR qui a une fois obtenu une montre cassĂ©e et rare datant d'une Ă©poque rĂ©volue. Il persuade son collĂšgue JAMIL de voyager ensemble dans le passĂ© afin de corriger certaines des actions imprudentes qui les ont conduits Ă  leur rĂ©alitĂ© inacceptable, mais ils feront face Ă  de nombreux problĂšmes au cours de leur voyage, qui poussera un groupe appelĂ© les meneurs du temps Ű±ÙˆŰ§ŰŻ Ű§Ù„ÙˆÙ‚ŰȘ (un genre de police temporelle) de les traquĂ© pour qu'ils se retrouvent enfin derriĂšre les barreaux et ensuite ils penseront de s'Ă©chapper, sans la montre cela devient difficile, il rĂ©ussir par un plan stratĂ©gique de crĂ©er un soulĂšvement Ă  l’intĂ©rieur de la prison ce qui Ă  pousser les Ă©vadĂ© a volĂ© nombreuse montres temporelles et le temps devient rempli de bandits. IDIR ET JAMIL s’enfuit en utilisant la montre, mais ils seront surpris par son Ă©chec et la jetteront nerveusement sur le sol pour travailler une derniĂšre fois Et au hasard la montre choisira l'heure dans laquelle elle les mettra pour enfin se trouver devant leurs propres tombes, puis se transforment soudainement en poussiĂšre.

Commentaire : Ce film est produit par la boite de production ECLA studio qui a plusieurs studios, ce qui bien présent dans le film et les époques différentes dans lesquelles les personnages principaux voyages.
Comment ça se fait est un film de science de fiction, bourré de bonne idées, bien réalisé, avec une histoire trÚs intéressante et des personnages auxquels on s'attache. L'horreur est omniprésente et malsaine, mais tellement maßtrisée qu'elle devient secondaire dans le récit, derriÚre la traque du tueur.
Sameer jouhari a sa propre logique si personnelle, qui le caractĂ©rise si bien, c’est En effet plutĂŽt difficile de rentrer dans son univers oĂč le temps et les mouvements s’inversent, il est connu pour faire des films spĂ©ciaux qui ont un monde trĂšs profond

Société de production ou Producteur : ECLA studio
RĂ©alisateur : Sameer jouhari
Acteurs principaux ou notables :

HAMZA HOUARI : Idir
HAMID CHAKLA : jamil
NAJIA YUSUF : la chef des meneurs du temps
TOURIA JABRAN AIT MHAND : policiĂšre
SEF ONE (de son vrai nom Safwan Maki rappeur trĂšs connu en Tamaret qui joue son premier rĂŽle au cinema) : bandit temporel
MOUKA JANATA : Directeur de la prison du temps

Date de sortie : 13 décembre 2005 .
2024
Pays producteur(s) : La république du Tamaret
Catégorie : Série télévisée (non animée)
Nom de la production : Markes le brave ï»ŁïșŽïș­ï»—ïșČ ïșï»Ÿïșžïș ïșŽï»‰ ┎⎰└⎜⎻┙ ┛┓┊⎰┄
Affiche ou visuel :

cc

Genre ou thÚme abordé : série historique
Synopsis ou rĂ©sumĂ© : Cette sĂ©rie raconte l’histoire du prince berbĂšre Markes . Depuis sa naissance jusqu’il est devenu roi est combattent les armĂ©es arabes Ă  l’ñge de 15 ans.
La sĂ©rie montre comment le peuple berbĂšre vivait leurs tradition leurs cultes et comment ils apprennent aux hommes le combat depuis l’enfance
À la tĂȘte d’une coalition de troupes berbĂšres, Markes parvient en 585, Ă  dĂ©truire un corps expĂ©ditionnaire arabe menĂ© par le gĂ©nĂ©ral arabe Karim Laoudi, Ă  Gabiria, expulser les occupants arabes, et prendre Achira.
avec sa bravoure il a rĂ©sistĂ© au batailles, dans les derniers Ă©pisodes ont montrĂ© son voyage spirituelles comment il est convertis Ă  l’islam la religion de l’ennemie mais continue le combat on disant Ă  son peuple quand combattait par pour nos religions mais pour notre honneur et notre terre.
aussi l'histoire de la coalition du roi Markes du tamaret du nord avec Bahina Kouhana de La reine de tamaret du sud.
Il meurt vers 589, battu lors d’une expĂ©dition punitive conduite par le gĂ©nĂ©ral arabe Souhail ibn FaĂŻz, Ă  Joubour.

Commentaire : Cette sĂ©rie raconte l’histoire de markes un des rois qui ont rĂ©gner sur Tamaret, elle met on Ɠuvre l’une des importantes Ă©poques du pays la conquĂȘte arabe du Tamaret.
La sĂ©rie Ă  eu trop de critique positives et nĂ©gatives, positives sur la technique et les dĂ©cors ainsi que les scĂšne de combats trĂšs bien rĂ©alisĂ© qui te laisse voyagĂ© vers cette Ă©poque, les avis nĂ©gatives Ă©taient plutĂŽt sur l’écriture de l’histoire car le rĂ©alisateur a pris un peu de libertĂ© concernant l’histoire.
le hĂ©ros de la sĂ©rie le roi markes et jouĂ© par la star tamaretienne HAMZA HOUARI connu pour nombreux films et sĂ©ries, il a par la suite jouĂ© dans le film "Comment ça se fait كيف Ű°Ù„Ùƒ"
Société de production ou Producteur : Tamaret studio
RĂ©alisateur : Tamer Jaafer
Acteurs principaux ou notables :

HAMZA HOUARI : le roi Markes Izeman
KABIRA SWARET : La reine Bahina Kouhana
NOUFEL MORAD : Karim Laoudi
KOURABI SAID : Souhail ibn FaĂŻz

Date de sortie : une série de 20 épisodes diffusés entre 23 juin et 15 juillet de l'année 2005
2693
Pays producteur(s) : République fédérale de Novigrad
Catégorie : Film de fiction

Nom de la production : Le Choix (VF) - Đ˜Đ·Đ±ĐŸŃ€Đ° (VO)
Affiche ou visuel :

Affiche du film "le Choix"

Genre ou thÚme abordé : Thriller - Drame - Film d'espionnage - Film historique

Synopsis ou rĂ©sumĂ© : 1952, Novigrad C.F. Alors que le pouvoir soviĂ©tique bascule lentement vers sa fin, la ferveur de la contestation gagne bientĂŽt les rues de la capitale novigradienne. AprĂšs de nombreuses dĂ©cennies de bouleversements politiques, le pays est prĂȘt Ă  basculer dans une nouvelle guerre civile tandis que le rĂ©gime du tyran Viktor Orbo se durcit toujours plus. Ivan Georgiev, jeune officier en devenir de la police secrĂšte se retrouve en charge d’une enquĂȘte sur un groupe d’activistes rebelles qui agiraient directement au cƓur de la capitale. Une mission qui va bouleverser le destin du jeune homme et remettre en cause ses convictions profondes alors qu’il va dĂ©couvrir les connivences entre les rebelles et sa jeune fiancĂ©e Sofia. ProjetĂ© dans un voyage psychologique au cƓur de nos convictions politiques et de notre capacitĂ© Ă  nous remettre en question. Une fresque historique pendant l’épisode le plus douloureux de l’histoire moderne novigradienne, une guerre civile qui provoquera des dizaines de milliers de morts et dĂ©chirera de nombreuses familles en deux camps distincts. Ivan sera ainsi le tĂ©moin des atrocitĂ©s d’un fanatisme politique sans prĂ©cĂ©dent qui le forcera Ă  faire un choix entre ce qu’il soutient depuis toujours pour son pays et ses sentiments profonds.

Commentaire : « VĂ©ritable tour de force du rĂ©alisateur Olah Sentsov, « Le Choix » est un film au suspens haletant qui nous plonge dans un Ă©pisode historique dramatique de notre histoire moderne. En mĂ©langeant les genres Ă  mi-chemin entre le thriller, le drame et le film d’espionnage, la rĂ©alisation nous prouve sa maitrise exceptionnelle de l’exercice visuel tout en nous offrant d’impressionnantes scĂšnes au cƓur d’une Novigrad C.F des annĂ©es cinquante bluffant de rĂ©alisme. » - Division culturelle de NovPress.

« Nouvelle rĂ©alisation du cĂ©lĂšbre Olah Sentsov qui assure avec ce film sa place de leader du cinĂ©ma d’auteur novigradien. « Le Choix » est un film intense et profondĂ©ment psychologique qui remet en perspective avec justesse la chute du communisme et la fracture sociale qui en dĂ©coulera. Notons la prestation magistrale du jeune Stanislav Ianevski jusqu’alors inconnu du grand public et qui incarne ici le rĂŽle d’Ivan. Une prestation bien Ă©videmment sublimĂ©e par la magnifique Helena Karkarov dans le rĂŽle de Sofia, ces deniers personnifiant avec brio les amants maudits d’un RomĂ©o et Juliette moderne. » - Le Journal du CinĂ©ma.

Bande originale :

SociĂ©tĂ© de production ou Producteur : Helios Independant – SociĂ©tĂ© de production audiovisuelle privĂ©e appartenant Ă  un collectif de rĂ©alisateurs nationaux.
RĂ©alisateur : Olah Sentsov.
Acteurs principaux ou notables :

L'acteur Stanislav Ianevski
Stanislav Ianevski dans le rîle d’Ivan Georgiev.

L'actrice Helena Karkarov
Helena Karkarov dans le rÎle de Sofia Gerékou.

Date de sortie : 11 Avril 2006
2153
Pays producteur(s) : La république du Tamaret
Catégorie : Documentaire

Nom de la production : Le prophĂšte inconnu ïșï»Ÿï»šïș’ï»Č ïșï»Ÿï»€ïș ï»Źï»źï» ┏⎻⎱┉ ┎⎰ ┎┄└┓⎌┛
Affiche ou visuel :

cc



Genre ou thÚme abordé : docu-drame, documentaire historique.
Synopsis ou résumé : Ce documentaire parle du prophÚte de la religion soutarienne, une religion qui avait autrefois une grande communauté au Tamaret mais qui ne compte plus aujourd'hui qu'environ 12 000 personnes.
Jaafer Denamer, le prophÚte de la religion soutarienne, une religion qui a commencé à disparaßtre avec le temps et avec l'avÚnement des religions abrahamiques dans le pays, il adorait le dieu Tamazgha, une religion qui croit en un seul Dieu, avec un livre saint appelé Toumer. qui se compose de principes et conflits divins.

Ayant reçu la révélation, il est le septiÚme et dernier prophÚte de la religion soutarienne, et s'est contenté de donner des orientations pour la recherche spirituelle, il meurt entre -7 avant notre Úre et 12 aprÚs notre Úre. Les Soutariens considÚrent que leur divinité n'a pas besoin vraiment d'un grande adoration n, mais plutÎt de plus de contemplation intérieure, c'est pourquoi ils ont leur propre façon de prier.

Ses enseignements sont basés sur l'opposition entre le bon dieu Tamazgha et le mauvais dieu Atabi. Avec la pureté de sa vie, de ses pensées, de ses paroles et de ses actions, il devrait rester à l'écart des forces du mal, et mériter ainsi le bonheur aprÚs la mort.

Commentaire : Dans la foi soutarienne, chacun doit répondre de ses actes par une bonne pensée, mais la bonne pensée est directement liée à la culture, de sorte que les adeptes de cette doctrine ne doivent exécuter aucune parole de Jaafer denamer qui ne corresponde pas à la science moderne. Les enseignements du prophÚte sur la morale collective et les liens qui unissent les hommes sont toujours en vigueur aujourd'hui, alors que la plupart des religions ne leur ont pas accordé d'importance.
La réalisatrice a voulu nous montrer la philosophie la plus profonde de cette religion à travers ses adeptes, ainsi que son histoire et son influence historique et culturelle sur Tamaret à travers les historiens.

Société de production ou Producteur : Cultu prod
RĂ©alisateur : Nassima Arafi
Acteurs principaux ou notables : Un nombre important d'historiens et de personne qui croit en la religion soutarienne, ainsi que Joubairi M'haned ancien député et ministre de la culture qui appartient à la comunauté soutarienne du pays.

Date de sortie : 12 décembre 2004
3545
Pays producteur(s) : La GallouĂšse
Catégorie : Film de fiction


Nom de la production : La Liberté
Affiche ou visuel :
Affiche du film
L'affiche du film, qui représente de façon fictive la prise du l'HÎtel de la Nation le 26 août 1988
Genre ou thÚme abordé : Drame
Synopsis ou résumé : En 1987, Paul, 29 ans, habite dans le VallÚtez de la dictature républicaine. Il découvre alors par l'un de ses amis un réseau de personnes qui réfutent et combattent les idées du pouvoir. Plongé dans l'ivresse d'un idéal de liberté, celui-ci rentre dans le jeu de promesses irréalisables, et croit que la chute du régime est proche. Il s'enflamme chaque jour un peu plus à cette idée...
Ce long métrage peint l'histoire d'un idéaliste un peu trop précurseur (un an trop tÎt pour voir la véritable chute de la République) qui va finir par vivre un calvaire et servir de bouc émissaire à une dictature en déclin. Quoique rendant fidÚlement l'atmosphÚre de l'époque, ce film n'est pas une histoire vraie.

pour un résumé avec la fin, voici un "spoiler"
Paul est entraĂźnĂ© par son ami Damien dans une rĂ©union de "rĂ©volutionnaire", dont le chef Carles aime prononcer de longs discours sur la libertĂ© et l'avenir radieux qui les attends s'ils le rejoignent. Paul adhĂšre petit Ă  petit au groupe qui colle des articles de messages clandestins sur les murs de la ville. En parallĂšle, un jeune et ambitieux militaire de terrain est nommĂ© chef de la police politique locale. De son cĂŽtĂ©, tout en cachant ses activitĂ©s Ă  la plupart de ses proches, Paul sent monter en lui une envie irrĂ©sistible de renverser l'ordre Ă©tabli brusquement. Lorsque Carles disparait sans laisser de trace, de nombreux membre de l'organisation se dĂ©sengagent de la lutte, mais Paul arrive Ă  en convaincre certains de continuer. Les actions qu'il dirige deviennent de plus en plus dangereuses tandis que le groupe est de plus en plus fragilisĂ©. Paul se dispute avec son ami Damien qui refuse de continuer. En parallĂšle, la police politique se rapproche de leur identification. Finalement, Paul est arrĂȘtĂ©, et la 2Ăšme partie du film commence : Paul est en prison, et tente de mobiliser des gens dans le combat contre le pouvoir alors qu'il subit de plus en plus de souffrances mentales et physiques, lui et son entourage. Lorsqu'il est Ă  deux doigt du peloton d'exĂ©cution, Paul finit par abandonner sa lutte et tente de se sauver en ralliant le jeune chef de la police Ă  sa cause. Celui-ci s'adoucit, puis, se rendant compte des contradictions qui le rongent, il se tue. Paul sans soutient finit par apprendre qu'il va "rejoindre son idole Carles".

Commentaire :
Le film, réalisé pour le 17Úme anniversaire de la Révolution du Vingt-Six-Août, a d'abord été projeté dans la salle de cinéma de l'ancien "HÎtel de la Nation" à Saint-Clerc, à l'occasion des commémorations.
Le film a été salué par la critique pour son rythme parfaitement réglé, pour la justesse des dialogues de ses scÚnes dramatiques, et pour la musique de la longue et muette scÚne de fin.
Musique en question :

Mais il s'agit surtout du premier film de fiction revenant sur les Ă©pisodes douloureux de la dictature.
En outre, de nombreux critiques ont reconnu une certaine libertĂ© dans le regard du rĂ©alisateur, qui n'a rien d'une Ɠuvre de roman national, d'un simple outil de commĂ©moration et de cĂ©rĂ©monie officielle; le rĂ©alisateur-scĂ©nariste a d'ailleurs dĂ©clarĂ© :

" Ce film est bien l'histoire touchante d'un héros qui est nouveau, mais elle s'appuie simplement sur une atmosphÚre que malheureusement nous avons tous connu. D'ailleurs aucun acteur connu de la vraie révolution n'est représenté dans le film. "
Cependant on peut noter une collusion amusante entre le titre de ce film et le nom du premier journal de Bastien dÚ Draune, La Liberté, fondé en 1971.

Société de production ou Producteur : Dupont-Istrifilms et Françisc Productions
Réalisateur : Clémens Saucier
Acteurs principaux ou notables :
  • Fabien Gougeon : Paul
  • Pierre Chartier : Carles, capitaine de la police secrĂšte
  • Tristan Gervais : Damien, ami de Paul, proche des rĂ©volutionnaires
  • Roger TrĂštementaux : Aurvoit BelventĂŽle, dictateur (second rĂŽle, mais c'est un acteur majeur dans son pays)

Date de sortie : 27 Août 2005 (pour le grand public)
5958
Pays producteur(s) : FĂ©dĂ©ration des Communes d’ArcĂ©anie / Grand Kah

Catégorie : Série télévisée (1x12)

Nom de la production : Once was a war (titre international)

Affiche ou visuel :

War


Genre ou thÚme abordé : Fiction historique / Guerre / Drame

Générique :


Synopsis ou rĂ©sumĂ© : 1930, le Grand Kah entre en guerre civile, les forces royalistes et nationalistes s’apprĂȘtent Ă  renverser la confĂ©dĂ©ration. Mais, les hommes rĂ©sistent et le conflit s’enlise. En ArcĂ©anie, des hommes dĂ©cident de rejoindre les loyalistes pour lutter contre l’oppression et pour la libertĂ©. La sĂ©rie suit le destin d’hommes et des femmes combattants en premiĂšre ligne pour une idĂ©e, dont les destins vont s’entrecroiser tout au long des trois ans de guerre. Cependant, pour de nombreux combattants, la guerre va rapidement se rĂ©vĂ©ler sous sa vĂ©ritable nature, une lutte crasse et brutale pour sa propre survie.

Personnages : La série mise énormément sur le développement de ses personnages, mettant en opposition des hommes et des femmes se battant pour une cause différente.

Ichida Hideyoshi est un jeune homme de 19 ans, issu d’une famille de l’aristocratie, partisan royaliste et nationaliste, qui dĂ©cide de prendre les armes pour honorer sa famille et venger la mort de son frĂšre, tuĂ© par des partisans de la confĂ©dĂ©ration. D’abord, prĂ©senter comme Ă©tant un jeune homme fragile, qui ne semble pas vraiment vouloir se battre, la guerre va petit Ă  petit le transformer en un homme nouveau.

Ahuiliztli est un jeune homme d’une vingtaine d’annĂ©es, peu concernĂ© par le conflit au commencement, il est enroulĂ© de force au sein d’une milice confĂ©dĂ©rale. Ses talents naturels vont vite s’avĂ©rer utile pour lui et ses compagnons, faisant naĂźtre une relation entre des hommes qui n’auraient jamais Ă©tĂ© amenĂ©s Ă  se croiser sans la guerre. Paradoxalement, il va devoir s’affirmer comme Ă©tant une figure d’autoritĂ© et un modĂšle pour ses compagnons alors qu'il semble refuser le conflit.

Maxcayotl est une jeune femme de 23 ans. Elle voit sa famille pĂ©rir lors de l’attaque de leur village par les milices antiroyalistes. Elle prend alors le maquis dans une zone sous contrĂŽle confĂ©dĂ©ral avec quelques dizaines de jeunes conduit par Kugo Sanzo, un nationaliste sadique. Elle agira conduite par la vengeance, tout en se questionnant sur la pertinence de ses actions au fur et Ă  mesure, qu’elle sĂšmera la terreur et la destruction.

Ignace Lambert est un jeune homme de 21 ans lorsque dĂ©bute le conflit. Il s’engage dans une milice loyaliste oĂč il montera en grade. DĂ©peint comme un homme qui agit pour dĂ©fendre sa cause, il sera confrontĂ© Ă  l’horreur du conflit et de ses propres actions malgrĂ© ses justifications idĂ©ologiques.

Oliver Goldenberg est un jeune homme de 19 ans. ArcĂ©anien, il s’engage dans la LĂ©gion Condor par aventure et par envie de connaitre la noblesse de l’expĂ©rience guerriĂšre. Rapidement, il se trouve confronter Ă  la rĂ©alitĂ© du conflit. Sergent au sein du XV° bataillon, il essayera de se construire une autoritĂ© auprĂšs de ses hommes malgrĂ© l’ébranlement de ses motivations.

Octavia Piñón est une jeune femme de 18 ans au dĂ©but du conflit, d’origine arcĂ©ano-kahtanaise, elle se retrouve confronter Ă  la dualitĂ© qui oppose ses parents, sa mĂšre Ă©tant une partisane du nationalisme et son pĂšre Ă©tant un libĂ©ral arcĂ©anien. Elle se dĂ©cide Ă  quitter l’ArcĂ©anie au sein de la LĂ©gion Condor en tant qu’infirmiĂšre pour venir au secours de tous les combattants. Une fois sur place, elle fera rapidement dĂ©fection, Ă  la faveur d’une bataille, laissĂ©e pour morte, elle erra entre les deux camps, les morts et la violence durant le restant du conflit.

Commentaire :

Once was a war est une sĂ©rie qui Ă©tait attendue de longue date, la genĂšse du projet remontant Ă  2001, et devait ĂȘtre Ă  la base un film. Le projet a Ă©tĂ© remaniĂ© Ă  plusieurs reprises pour finalement devenir une mini-sĂ©rie de 12 Ă©pisodes de 90 minutes chacun, racontant la guerre civile kahtanaise de 1930 – 1933, du point de vue de plusieurs protagonistes dont les destins sont amenĂ©s Ă  s’entrecroiser. La sĂ©rie s’inspire pour cela de nombreux tĂ©moignages d’anciens combattants qu’ils soient issus de la LĂ©gion Condor, des forces loyalistes ou des troupes royalistes et nationalistes, pour donner Ă  voir un paysage global du conflit. La sĂ©rie choisit de montrer la guerre soit un jour extrĂȘmement brutal. Les thĂ©matiques abordaient y sont la lente dĂ©sillusion et la dĂ©composition des idĂ©es devant la rĂ©alitĂ© de ce qu’est une guerre, elle aborde l’hĂ©roĂŻsme comme Ă©tant l’antithĂšse de la guerre. Les personnages se voulant hĂ©ros pĂ©rissant souvent de façon extrĂȘmement graphique. Car la sĂ©rie dĂ©cide de rien Ă©pargner au spectateur au long des 12 Ă©pisodes. On assiste des scĂšnes d’une extrĂȘmement violence, se voulant ĂȘtre les plus rĂ©alistes possibles (dont une scĂšne de viol dont la diffusion a fait scandale, la sĂ©rie passant Ă  21 heures en ArcĂ©anie). En fait, la sĂ©rie prend Ă  contrepieds ce que les films rĂ©alisĂ©s sur cette guerre avaient tendance Ă  montrer, que ce soit du cĂŽtĂ© kahtanais ou arcĂ©anien. L’objectif est ici, en quelques sortes, de dĂ©construire l’image mythique que l’on se fait des combattants de la LibertĂ© et de leurs adversaires pour proposer une immersion Ă  l’échelle du simple individu dont le destin va ĂȘtre brisĂ© par la guerre. La sĂ©rie prend le parti de ne montrer de la guerre que ce qu’entrevoit l’individu prĂ©sent sur le champ de bataille. Ici, on ne laisse aucune place Ă  l’état-major. L’objectif est de montrer le quotidien du simple combattant qui voit ses certitudes ĂȘtre Ă©crasĂ©es par l’impitoyable machinerie de la guerre. L’individu n’est plus qu’un pion, allant jusqu’à renier son individualitĂ© en faire un homme parmi la masse guerriĂšre, une masse unique oĂč l’individu est Ă©crasĂ©. Le casting est international, comportant des acteurs kahtanais et des acteurs arcĂ©aniens. Les personnages sont tous profonds et se dĂ©veloppent au fur et Ă  mesure de que la guerre avance. Ils partent souvent d’un point A pour ne finir nulle part, souvent morts. En fait, si les personnages sont attachants, la sĂ©rie n’en oublie pas qu’elle montre la guerre et nos personnages connaitront une fin violente pour la plupart.

SociĂ©tĂ© de production ou Producteur : Terra+ (il s’agit d’une chaĂźne cĂąblĂ©e prĂ©sente sur la totalitĂ© du continent paltoterrien)

RĂ©alisateur : Leon Hattenberger

Acteurs principaux ou notables :

Johan Kroemer (Oliver Goldenberg)
Lucas Vasseur (Ignace Lambert)
Kuwahara Kojiro (Ichida Hideyoshi)
Azcalxochichitl (Ahuiliztli)
Namalel (Maxcayotl)
Elsa de la Cavallería (Octavia Piñón)
Mura Kagehisa (Kugo Sanzo)
KĂŽzuke Haruki (Lt. Fujimura)
Rob Myers (Hermann Schimscheiner)
Chris Braunlich (Adj. Hass)
Nomi Tsuramatsu (« TĂȘte de con »)
Élie Calvet (AbĂ©lard Flandin)
Miyaoanya (Généralissime Huitzilin)

Date de sortie : La série a été diffusée simultanément en Arcéanie et au Grand Kah à partir du 6 mai 2006.
1857
Pays producteur(s) :La république du Tamaret
Catégorie : Film d'animation
Nom de la production : LA MARCHE DE LA DÉTERMINATION Ù…ŰłÙŠŰ±Ű© Ű§Ù„ŰčŰČم ┍┎⎰┙┙┉└⎰ âŽ·â”ąâŽ°â” â”â”„â”Łâ”Ž
Affiche ou visuel :

cc


Genre ou thÚme abordé : Historique, fantastique
Synopsis ou rĂ©sumĂ© : 480 000 histoires qui n’en font plus qu’une, 480 000 destins et 480 000 qui ont marchĂ© pour le futur d’une nation entiĂšre. Telle est l’histoire de LA MARCHE DE LA DÉTERMINATION, une marche pacifique pour finir une guerre et enlevĂ© un un gouvernement extrĂ©miste Ă©tabli aprĂšs la guerre civile en 1925 , la rĂ©ponse unanime d'un peuple Ă  l’appel de le leader de la rĂ©volution Al Hassan Abtamaret .

Karim, petit voyou des bidonvilles ĂągĂ© de 18 ans, a choisi de marcher pour avoir une nouvelle chance, voir la vie d’un Ɠil nouveau et se dĂ©finir en tant que Tamaretien. Il a une trĂšs grande imagination et se comporte comme un enfant, avec ce Karim on va voire la marche de DÉTERMINATION d'un autre regard, un regard plus fantastique, avec de les Ă©xtrĂ©miste que Karim les voyait comme des dĂ©mons et les gens qui ont dĂ©cidĂ© de marchĂ© comme des anges.
en parallĂšle on l'histoire de Sameer et Yidir deux frĂšres qui ont choisi de marcher pour une tout autre cause. Youssef est mourant, la marche est pour lui la derniĂšre opportunitĂ© de se rapprocher de son frĂšre aĂźnĂ© et d’accomplir un ultime acte citoyen et humain.


Commentaire : Ce film est produit par la boite de production Joubour-prod connu pour se spécialisé dans les films d'animations.
Ce film raconte l'histoire d'une marche qui a changé le destin du pays et qui à cause d'elle la république fut crée, mais la maniÚre dont le film à raconté se fait, est spécial car il raconte de maniÚre fantastique et féerique avec l'angle de Karim et raconte aussi de maniÚre normale et historique par l'angle des deux frÚres.
le film est en dialecte Tamarien (tamar ŰȘÙ…Ű§Ű±) et aussi doublĂ© en 4 langue (arabe, tamazight, français, touaregue)
il est considéré comme un film important qui montre l'histoire du pays.

Société de production ou Producteur : Joubour-prod
RĂ©alisateur : Mme. Aziza Joubouri
Acteurs principaux ou notables :


Date de sortie : 17 janvier 2006 .
2372
Pays producteurs : Grand Kah, Pharois
Catégorie : Film de fiction

Nom de la production : Les Ailes de Kotios
Affiche ou visuel :

https://i.pinimg.com/564x/fa/5c/aa/fa5caa578abeb2776d16f2aac307a82e.jpg
L'un des nombreux visuels accompagnant la sortie du film.

Genre ou thĂšme abordĂ© : Histoire rĂ©cente, guerre, distribution d’ensemble.

Synopsis ou résumé :

Une petite escadrille fend l'air, entre le ciel et la mer. Quelques commentaires fusent. On comprend qu'ils se dirigent vers une Ăźle oĂč des terroristes font transiter des armes alimentant une milice intĂ©griste sur le continent. Des noms fusent. Des remarques, des blagues. En quelques instants on situe les personnages, leur caractĂšre. Puis la violence, la maestra des chasseurs pilonnant les dĂ©fenses du campement et prĂ©parant l'arrivĂ©e d'un groupe de fusiliers marins. Et les aviateurs repartent : leur commandement laisse entendre qu'il y a du grabuge en Eurysie. Les pilotes semblent ravis.

Mais pas le chef d'escadre. Lui ça ne l'amuse plus. Il a conscience que la guerre est une affaire sérieuse, et la Révolution plus encore...


Largement inspirĂ© de fait rĂ©el, les Ailes de Kotios imagine le parcours des pilotes de l'Escadron Rouge, victorieux de la bataille de Kotios. Fresque d'action aĂ©rienne et puissante, Les Ailes de Kotios profite pleinement de l'anonymat des vrais pilotes pour inventer des personnages riches en personnalitĂ©, dilemmes moraux et ambitions personnelles. Apprenant peu Ă  peu Ă  contenir leurs ardeurs de dĂ©butant et Ă  devenir, comme le veut la tradition de l'armĂ©e de l'air Kah-tanaise, d'authentiques "chevaliers". On suit leur parcours, des dĂ©bats pour dĂ©cider de qui remplacera le leader Rouge vieillissant, Ă  la bataille ultime, survenue en plein cƓur du putsch fasciste, qui verra l'aviation Kah-tanaise affronter les meilleurs pilotes francisquiens et mettre un terme Ă  la tentative d'invasion menĂ©e au sol.

Commentaire : Un article a été écrit sur le film dans l'un des plus prestigieux journaux culturels de l'Union. Véritable succÚs populaire dans plusieurs pays, le film divise de par ses thÚmes mais fédÚre par sa qualité intrinsÚque. L'intelligence du script et de la réalisation met brillamment en scÚne les combats aériens et profite d'un budget trÚs généreux. L'ensemble jouit d'une ambiance franchement cathartique et aérienne.

Bande originale :


Société de production ou Producteur : Syndicat Audiovisuel et Cinématographique de Coa-Lan Mantchi
RĂ©alisateurs : Secundus Nagashima et Katty Liswood.
Acteurs principaux ou notables :
  • Tsukino Nikko (Hori "Leader Rouge" Techtxel)
  • Yokoi Laroche (Artiste)
  • Umeji Munemitsu (Tzitzimitl)
  • SĂ©bastien Yura (Icare)
  • Madeleine Beech (Audrey Leavitt)
  • Maeda Eld (Galaad)
  • Eero Lehti (capitaine HeikkilĂ€)

Date de sortie : 1er septembre 2006.
1840
Pays producteur(s) : La république du Tamaret
CatĂ©gorie : À choisir entre : Film de fiction
Nom de la production : l'escroc Ű§Ù„Ù†Ű”Ű§Űš
Affiche ou visuel :

cc


Genre ou thÚme abordé : Comédie
Synopsis ou résumé : Le film parle d'une famille trÚs riche de la ville de Achira, dont le fils aßné a émigré à l'étranger en raison d'une querelle avec son pÚre, mais il n'est pas revenu depuis et aucune nouvelle de lui.
Dans les quartiers oubliĂ©s de la ville vit un jeune homme appelĂ© kamal qui ressemble beaucoup au frĂšre disparu. Nawfal (le cousin de la sƓur de ce dernier) le recherche et lui demande de jouer le rĂŽle du disparu en Ă©change d'argent pour se dĂ©barrasser Dalila (la soeur du disparu) de son chagrin et de saisir de l'argent de la grande entreprise familiale.
Ce qui est imprĂ©visible, c'est que Kamal usurpe le mĂ©tier de policier sans calculer les consĂ©quences de son acte. Il a donc une grande capacitĂ© de jeu de rĂŽle et d'expĂ©rience dans l'escroquerie, il accepte de jouer ce rĂŽle, ce qui est imprĂ©visible c'est que la sƓur du disparu est policiĂšre.
Suite Ă  diverses aventures inouĂŻes, drĂŽles et comiques il s’aperçoit combien les relations humaines sont souvent trĂšs fragiles dans un univers, dominĂ© par les apparences.

Commentaire : Grosses ficelles et portraits caricaturaux pour cette pochade sans réelle fantaisie, qui a pourtant fait un carton au Tamaret.
Hamid Haddadi est le rĂ©alisateur et interprĂšte du personnage principal, c'est sa premiĂšre expĂ©rience en tant que rĂ©alisateur, ce que certains ont aimĂ©, et d'autres se sont opposĂ©s Ă  cette expĂ©rience en vertu du fait que l'acteur ne doit pas diriger et jouer le rĂŽle en mĂȘme temps.

Société de production ou Producteur : Tamaret studio
RĂ©alisateur : Hamid Hadadi
Acteurs principaux ou notables :
xx
Hamid Hadadi acteur Tamaretien, nĂ© dans la ville de Joubour au sud . Il a participĂ© Ă  plusieurs films en Ă©tant hĂ©ros. Il est apparu pour la premiĂšre fois en 1987. Il Ă©tait cĂ©lĂšbre pour jouer son rĂŽle comique et travailler sur des situations cocasses dans lequel il a conquis le cƓur de ses fans.
Il est considéré comme une star de l'humour au Tamaret.
Najat Hafidi
Mlak ait Mhaned


Date de sortie : 26 décembre 2005
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