Le climat est plus clément et la nature plus luxuriante à l'est du pays, dans la région anciennement basmate (nb : gentilé de l'ex-royaume de Basmeti), avec des ressources hydriques plus importantes, tant en réseau fluvial qu'en précipitations (800mm/an dans les régions les plus humides, moyenne 690mm/an). Les îles de Destone, au climat océanique, abritent quant à elles un écosystème adapté aux vents salins qui frappent les côtes.
Au Banairah, on compte 4 villes principales : Abunaj, la capitale,Al Kara, Balaya, centre urbain régional du nord-est du pays et Sehras, qui perd depuis quelques années son souffle. Ces 4 centres regroupent à eux seuls plus de 10 millions d'habitants, soit plus de 40% de la population totale.
Parmi les autres longues langues reconnues, on trouve :
-le N'hacda, la langue tribale d'une civilisation proche mais aujourd'hui disparue, cette
langue étant restée utilisée dans les lieux de mémoire.
-le Latin et le grec ancien du fait de leur utilisation par des savants étrangers accueillis sur le sol banairais
-le Français du fait de l'importante communauté qui y réside.
Il est à noter que le tehak est obligatoirement maîtrisé par l'ensemble des habitants et que l'usage d'autres langues ne doit pas être source de dissension ou de formation de communautés séparées. Ainsi le français et d'autres langues sont parlées mais ne peuvent être imposées. Si vous voulez être poli, commencez par parler tehak, et vous pourrez ensuite demander de changer de langue. Les Banairais sont souvent pointilleux là-dessus depuis diverses incidents linguistiques pour lesquels nous n'avons pas ici le temps nécessaire à leur explication. Il faut également savoir que le mongol est strictement interdit, sous peine de mort. Une règle datant des Grandes Invasions Mongoles. (~1215-1397 puis 1407-1417).
Il s'agit de l'ensemble des ministres, tous désignés par la population pour un mandat de 7 ans en fonction de leurs capacités, connaissances et tempérament grâce au Shanaam, la Bibliothèque d'archives de la nation qui consigne ces données. Ces ministres travaillent conjointement avec le Khasser, le chef d'état, désigné de la même manière, en même temps que les ministres et également pour la même durée de mandat.
L'Ambē : ministère des Affaires Extérieures :
Il s'agit probablement d'une exception au caractère authentique des Banairais puisqu'il a pour fonction de gérer les relations à l'international, et donc souvent de jouer sur les apparences. Y travaillent les Banairais experts en psychologie, diplomatie et géopolitique.
Le Benbhè :
Il ne s'agit pas réellement d'une institution. Ce mot désigne la réunion des habitants d'une région pour débattre des sujets soulevés lors de la vie quotidienne ainsi que des sujets proposés par les régions voisines par l'intermédiaire de l'état, et transmettre leurs propositions à ce dernier.
L'ensemble de la vie politique est appuyé par le travail des fonctionnaires (appelés missionnés), qui conseillent et veillent à l'application des décisions. Ils sont formés dans les Écoles Supérieures de la Nation.
Saroud Al'Tenhé est l'actuel Kasser. Les différents ministres du Qassē sont :
Siriam Azma, ministre des Affaires Extérieures.
Ezroud Atkē, ministre de la Recherche et de l'Éducation
Er Narogah, ministre du Commerce et des Transports
Massah Kellanbé, ministre de l'Agriculture
Kanteh Erga, ministre de la culture
Le Banairah est un pays commerçant bénéficiant d'un excédent de production grâce à de vigoureuses réformes des dernières années. Il noue donc des accords commerciaux à travers le monde mais importe peu voire pas, de peur de dépendre de l'Extérieur. Les relations sont difficiles avec les pays occupant les anciennes terres banairaises, jugés illégitimes et profiteurs. L'entente est également difficile avec les peuples mongols du fait de l'Histoire. Il bénéficie notamment de bonnes relations avec le Netsamareti et a participé à la conférence de Kumdor qui a fondé l'Union Afaréenne.