21/02/2015
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PEMBEX30 (Bourse) - Les 10 plus grandes entreprises des Provinces-Unies du Lofoten

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  • Nom officiel de la société : United Oil™:
  • Forme juridique : société anonyme à capitaux privés
  • Cotée en bourse : Oui
  • Date de création : 1839
  • Adresse de son siège social : 13, Motvind Av. Pembertøn
  • Secteur d’activités : Prospection, Forage, Exploitation hydrocarbures( Pétrole Gaz), Raffinage, Pétrochimie, Energies renouvelables
  • Nombre de salariés : 49 000
  • Présence à l’international : Dans au moins 30 pays sur tous les continents
  • Chiffre d’affaires annuel : ₭ 3 500 000 000 en 2006
  • PDG si applicable : Søren Silvertrupp
  • Contacter la société : directionrelationspubliques@united-oil.upl
  • Site internet : www.united-oil.upl
  • Projet en cours ou prévus : Construction de plateformes offshores dans la République de Makt et dans les îles Kah-tanaises

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United Oil Building, le siège social historique et inchangé situé dans le quartier des affaires de Pembertøn

Description et histoire de l’entreprise

La première capitalisation boursière des Provinces-Unies est une major pétrolière, spécialiste dans la prospection, le forage et l'extraction d'énergies fossiles, très majoritairement dans le pétrole, mais aussi le gaz naturel, et dans une plus faible proportion le charbon. Leader mondial dans le raffinage et la pétrochimie, la United Oil est incontournable dans le monde de l’exploitation des hydrocarbures. Cette compagnie est l’une des plus anciennes, fondées lors de l’âge d’or des grandes prospections, dans le sillage de la découverte de l’or noir et de ses applications industrielles quasi illimitées. En 1839, la United Fingolstein Brothers Company est fondée par un certain Harold Fingolstein, un émigré Walserreichien, qui sent très vite l’immense potentiel de ce nouveau combustible, et ouvre avec ses frères sa première exploitation de forage dans le Sutherlands. A l’opposé septentrional, une autre compagnie de forage fait son apparition, la National Oil and Coal Society, qui exploitait alors les mines de charbon du Northerlands, alors de moins en moins rentables. D’abord rivales et farouches concurrentes, les deux compagnies décident de fusionner en 1919, et de créer un gigantesque conglomérat du pétrole, du gaz, du charbon et de l’acier, la United Oil and Coal Society (UOCS) et de s’accorder sur un monopole industriel dont l’impact perdure encore aujourd’hui.


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Champs pétrolifères dans les années 1920, dans le Sutherlands, dans la Province de l'Estefolk.


En 1950, l’entreprise, qui est déjà l’une des plus grandes corporations mondiales, perfectionne et met au point la prospection puis le forage offshore. La découverte de gigantesques gisements pétrolifères en Mer Blanche et Mer du Ponant est un tournant. L’UOCS se sépare de ses filiales d’exploitation du charbon, alors en déficit et en grande perte de vitesse en terme de production industrielle, pour conserver exclusivement l’exploitation du pétrole et du gaz. La United Oil sous sa forme actuelle était née. Ses profits ne vont alors cesser d’augmenter de manière exponentielle, jusqu’à l’indécence. Mais en 1975, quand le Banairah décide de mettre sur le marché d’énormes quantités de brut, le cours de ce dernier s’effondre, alors que les coûts de production eux flambent. En 1986, pour la première fois depuis son existence la United Oil génère des pertes dans son bilan comptable. Les nuages s’accumulent lorsque son PDG, Etienne de Saint-Estèphe, et qui s’est avéré également être Grand Trésorier de l’épiscopat réformiste de Port-Saint-Anne, est accusé de corruption et de délits d’initiés. Cet épisode jetta l’opprobre non seulement sur une société jusque-là toujours valorisée et mise en avant par les politiques comme un symbole et un exemple de réussite à la Lofotène, mais les gens découvrirent avec stupeur les liens financiers obscurs entre l’Eglise Protestante et les milieux financiers. De nombreuses démissions en cascade ont lieu lors du procès retentissent du PDG de la United Oil, aussi bien dans la hiérarchie de la société que dans le clergé protestant, dont les scandales révèlent les incroyables sommes astronomiques versées par la United Oil. A cette époque, l’Eglise Protestante est la première religion des Provinces-Unies, et nombre de hauts fonctionnaires et responsables politiques sont issus de ses rangs ou sont passés par ses institutions religieuses.
L’entreprise est mise sous tutelle une première fois par l’Etat Fédéral en 1987, alors dirigée par une coalition socialiste. Le cours de l’action de la United Oil est alors au plus bas de son histoire. Fort heureusement, la demande mondiale continue d’augmenter, et les cours finissent par se stabiliser après une période de forte volatilité des cours mondiaux. Un nouveau PDG est nommé en 1990 par le conseil d’administration, Vilgeforth Nor-Støre qui réforme la compagnie pétrolière en profondeur, et réalise des investissements massifs en publicité, marketing et relations publiques afin de redorer son blason bien écorné par les différentes affaires judiciaires qui émaillent la tumultueuse histoire de l’entreprise
En 1996, malheureusement la catastrophe écologique de Black Støve vient ruiner tous ses efforts. En effet l’une des plus grandes station off shore d’extraction de la Mer du Ponant explose suite à de nombreuses erreurs humaines, et voit des millions de litres de brut se déverser dans la mer et provoquer l’une des plus importantes marées noires sur les îles de l’Archipel du Ponant. Ce désastre environnemental créé une véritable polémique nationale et une opposition massive de la population contre les énergies fossiles. Les opérations de sauvetage de la faune et de nettoyage sont financées par la compagnie mais le mal est fait. Cet épisode traumatisant est l’un des faits historiques qui marquent le revirement des gouvernements à venir sur la question écologique et de la préservation environnementale.

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La plateforme de forage de Black Støve en 1996, après l'explosion du puit principal

L’or noir est décrié, on réclame des alternatives, plus d’énergies renouvelables, certains vont même jusqu’à demander l’interdiction pure et simple de l’exploitation pétrolière, pourtant une manne financière sans commune mesure, qui vient alimenter le budget de l’état dans des proportions impressionnantes. Vilgeforth Nor-Støre démissionne avec pertes et fracas, et l’entreprise est mise sous tutelle pour la seconde fois en 1997. Ses profits se remettent alors à décliner mais son trésor de guerre, plusieurs milliards de Dråkks, est intact et préserve la compagnie de tout risque de faillite. L’administrateur fédéral investit massivement dans les énergies renouvelables, triple le budget R&D dans la recherche d’énergies alternatives. Centrales à énergies solaires, hydroliennes, éoliennes, voient leur nombre exploser du jour au lendemain, alors que le dernier derrick de pétrole fermait ses portes sur le territoire national. Les plateformes off shore en revanche, elles, généraient toujours plus de volume de brut. La part destinée à l’exportation fut multipliée par six, mais les comptes de la société n’étaient toujours pas dans le vert.
Après d’âpres négociations, l’Etat Fédéral se retira et confia l’entreprise à Søren Silvertrupp en 2002, un homme d’affaires quelque peu fantasque et brutal, mais dont les résultats financiers des entreprises dont il avait eu la garde s’étaient révélés plus que brillants.
En 2003, la United Oil renoua avec les bénéfices et en 2005 elles atteignirent un nouveau record, faisant de Søren Silvertrupp, l’homme le plus riche des Provinces-Unies. Malgré tout, l’ entreprise pâtit toujours d’une image peu reluisante auprès du public, régulièrement accusée de ne pas en faire assez pour lutter contre le dérèglement climatique. Aujourd’hui, près de 80% de ses bénéfices sont réalisés à l’export, plus de 80 000 km de pipelines ont été mis en place, la société compte encore 30 champs pétrolifères en cours d’exploitation, et après de 60 plateformes offshores. En 2010, la United Oil produit pas moins de 2100 milliers de barils par jour soit l'équivalent de 96 millions de tonnes.

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Søren Silvertrupp, l'excentrique hommes d'affaires est le PDG de la United Oil depuis 2002 et également le représentant officiel des Provinces-Unies à l'O.N.C
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thylacine corporation logo


  • Nom officiel de la société : Thylacine Corporation™:
  • Forme juridique : société anonyme à capitaux privés
  • Cotée en bourse : Oui
  • Date de création : 1955
  • Adresse de son siège social : 76B, Hellige Johannes den evangeliske Gate, Pembertøn
  • Secteur d’activités : Pharmacie, dispositifs médicaux, immunotherapie, génétique, bio-ingénierie, virologie
  • Nombre de salariés : 58 000
  • Présence à l’international : Sa filiale pharmaceutique vends des produits à travers tous les pays du monde, ses sites de productions et de recherche et développements sont essentiellement situés en Eurysie, en Aleucie, et Paltoterra
  • Chiffre d’affaires annuel : ₭ 2 900 000 000 en 2005
  • PDG si applicable : Jürgen Applewhite
  • Contacter la société : direction@thylacine-corp.upl
  • Site internet : www.thylacine-corp.upl
  • Projet en cours ou prévus : Centre d’essais et recherches biologiques au Pontarbello. Centre d’études cliniques et d’innovation génétique dans les Communes du Grand Kah

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Le siège social de la T-corp, ultra-moderne. Ses sous-sols sont sur 3 niveaux et compteraient des laboratoires parmi les plus avancés technologiquement dans le domaine de la génomique.

Description et histoire de l’entreprise

Ce groupe pharmaceutique s'est spécialisé dans les biotechnologies innovantes et les manipulations génétiques. Son excentrique et fantasque fondateur, le Dr Walther Applewhite, biologiste de formation, qui s'est fait connaître par ses déclarations tonitruantes en annonçant vouloir ressusciter et repeupler la terre des créatures et espèces animales disparues et éteinte depuis longtemps. Le nom de la compagnie est celui d'une espèce de canidé exterminé par la main de l'homme, le Thylacine, animal endémique de nord-aleucie que M. Applewhite nourrissait l'espoir de ressusciter. Malheureusement il est décédé en 1994 sans avoir vu achever son objectif. Et c’est son fils, Jürgen Applewhite qui a repris les rênes de l’entreprise paternelle, bien décidé à poursuivre l’œuvre de la vie son père.
Il fait acquisition de la compagnie Dodgeson Radiogenics™ en 1996, et lance l’analyseur de la chimie du sang T-C-100 ainsi que le test Dragonfly, un essai radio-immunologique révolutionnaire permettant de détecter l’hépatite dans le sérum. Cela marque le commencement de l’activité de diagnostic moderne dont la Thylacine Corporation est l’un des leaders mondiaux.

En 1999 la Thylacine Corp est homologuée par les autorités sanitaires des nations unies pour l’homologation de leurs premiers essais en thérapie génique.
2001 marque un véritable tournant dans l’entreprise, seulement après 2 années de recherches et développpement, la Thylacine Corp , lance une nouvelle filiale, BioSteriGenetics™, destinée à créer des médicaments de nouvelles générations, issues des dernières innovations en bio-ingéniérie. Le premier anticorps monoclonal entièrement humain sera commercialisé sous le nom de Xenivens® . Il deviendra par la suite le produit pharmaceutique le plus vendu au monde, prescrit dans le cadre de traitement de très nombreuses maladies dites orphelines

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Le Xenivens®, nom commercial de l'un des produit injectable le plus prescrit au monde, succès phare de la marque.

Ce succès scientifique et commercial marque le début d'une nouvelle ère pour la compagnie, qui poursuit par ailleurs toujours son rêve de recréer en laboratoire et à partir de tissus d’ADN remarquablement conservés le fameux loup marsupial du Lofoten.
Et ce que beaucoup considéraient alors comme une très couteuse et invraisemblable chimère devient une réalité en 2006. Jürgen Applewhite est alors au sommet de sa gloire, car ses équipes de généticien ont réussi cette formidable prouesse scientifique et technologique au sein de son laboratoire dernier cri, situé dans une des communes du Grand Kah, réveillant ainsi les fantasmes et les craintes autour de la puissance du génie génétique, et ses infinies possibilités.

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Le Centre d'Etudes Cliniques et d'Innovation Génétique se trouvant sur une île isolée et excentrée de l'archipel des Communes du Grand Kah
Cependant la nouvelle n’a pas fait grand bruit, et est étrangement demeurée circonscrite aux cercles et académies scientifiques du monde entier. Cela a également alerté et alimenté les débats et polémique parmi les spécialistes en bioéthique et autres sceptiques et opposants sur les thèmes de la manipulation génétique ou même de l’eugénisme.


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Léo, le premier mammifère d'importance à avoir été recréé en laboratoire à partir d'ADN ancien. Le Loup Marsupial du Lofoten, ou Thylacine, est conservé dans un enclos spécial au sein du périmètre du laboratoire de recherche de la compagnie au Grand Kah. Son ADN serait pur à 99,7%, les manques dans la séquence ayant été comblés avec de l'ADN de Wombat, son plus proche parent sur le plan génomique. L'animal serait toujours en vie mais présenterais des carences de synthétisation protéiques, rendant l'introduction de l'espèce dans son milieu naturel impossible.


Mais le grand public connaît davantage et surtout la Thylacine Corporation pour les très nombreux produits pharmaceutiques et les dispositifs médicaux que la compagnie fabrique et distribue partout dans le monde. Vaccins, sérums, médicaments, implants, dispositif d'augmentation bionique, anti-cancéreux, et thérapies géniques en tout genre, tel est l'éventail du catalogue de produits fournit par la Thylacine Corporation. Mais beaucoup d'enquêtes et d'investigations indépendantes ont mis en lumière une toute autre image bien moins reluisante de l'entreprise, qui fabriquerait en réalité dans ses laboratoires, hors de la juridiction lofotène assez stricte en matière d'éthique, des armes biologiques, des virus synthétiques, et ferait également des tests et essais illégaux sur du matériel humain (organes et tissus prélevés sur des prisonniers ou des volontaires en échange de sommes d'argent importante), voir des essais cliniques sur des êtres humains, consentants ou non, dans une absence totale de respect des règles éthiques et de protocoles scientifiques réglementaires. Mais toutes ces rumeurs et polémiques n'ont jamais entamé la détermination de son dirigeant, ni la confiance de ses actionnaires par ailleurs, la T-Corp, son surnom dans le milieu, est la deuxième capitalisation boursière des Provinces-Unies.

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La recherche et l'innovation demande parfois de sortir des sentiers battus et d'emprunter des voies moins conventionnelles. Les employés de la T-Corp signent une clause de confidentialité, et très rares sont ceux qui acceptent de témoigner sur les activités et expérience qui se déroulent dans les installations et facilités ultra-secrètes de la compagnie

La Thylacine Corp fabrique la plupart des neuroleptiques et benzodiazépines utilisés dans le traitement des affections psychiatriques et neurologiques. Ces puissants médicaments ont été l’objet de plusieurs enquêtes, notamment la très célèbre affaire de la Neuroglobuzoline®, dont certains effets secondaires étaient impressionnant : développement anormal de la portée rétinienne, hypertrophie de la masse musculaire, augmentation significative des réflexes et des mécanismes cognitifs. Celle que l'on appelé la "pilule du superhéros" a fini par se voir retirer son autorisation de mise sur le marché après qu'un recours en class action devant les Tribunaux ait décidé de suspendre temporairement sa commercialisation. La Neuroglobuzoline®, a finit par être classée comme substance psychotrope et psycho-active, mutagène et repro-toxique, et fut définitivement interdite, et les stocks détruits.
Quelques exemplaires s'échangeraient toujours au marché noir et dans la plus grande clandestinité, certains cachets atteindraient des sommes pharaoniques.

Mais tout cela n'entama en rien la détermination de son CEO, Jürgen Applewhite, convaincu que la génétique sauvera l'humanité d'elle même pour citer ses propres mots. Ce dernier est par ailleurs aussi connu pour répéter inlassablement son expression favorite : "J'ai dépensé sans compter" symbolisant à lui seul tous les excès et excentricité du patron de la Thylacine Corporation. C'est toutefois grâce à son impulsion et à sa vision industrielle sur le long terme que le nom de sa société est désormais connu et rayonne à l'international.
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  • Nom officiel de la société : Citizen Bank & Associés™:
  • Forme juridique : société anonyme à capitaux privés
  • Cotée en bourse : Oui
  • Date de création : 1852
  • Adresse de son siège social : 10, Colonial Plaza, Pembertøn
  • Secteur d’activités : Services et produits financiers destinés aux particuliers et aux entreprises, gestions d’actifs immobiliers, banque, assurance,
  • Nombre de salariés : 55 000
  • Présence à l’international : Dans au moins 30 pays sur tous les continents
  • Chiffre d’affaires annuel : ₭ 2 700 000 000 en 2006
  • PDG si applicable : Aleksander Cønhaghen
  • Contacter la société : relationspubliques@citizenbank.upl
  • Site internet : www.private-citizenbank.upl ou www.corporate-citizenbank.upl
  • Projet en cours ou prévus : implantation de filiales au Grand Kah, à Novigrad, au Banairah, en Althalj et en Elpidia. Gestion de la dette publique d’Elpidia

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Le siège social de la Citizen Bank. Ses nouveaux locaux se trouvent désormais éloignés du centre-ville où la société avait son siège historique dans le quartier de la bourse, qu'elle par ailleurs revendu à un promoteur immobilier

Description et histoire de l’entreprise

La plus grande et la plus puissante banque d’investissements privée des Provinces-Unies du Lofoten, et l’un des empires au réseau bancaire le plus étendus. Présents sur chaque continent, la Citizen Bank possède des parts et des actifs dans presque toutes les banques mondialement connus, à des niveaux variés. Discrets mais néanmoins présents, ils détiennent près de 30% ou 40% du capital de certaines grandes banques nationales d’autres pays, pesant ainsi clairement de son assise financière sur les décisions en matière de politique monétaire et de crédit.
Fondée il y a plus de 100 ans, les activités de la banque se répartissent aujourd’hui en plusieurs pôles : la banque de détail bien entendu, la banque d’affaires, le secteur le plus lucratif, et les opérations de marché, l’asset management et la gestion privée et l’activité de banque commerciale. Côtée à l’indice phare de la place boursière de Pembertøn, Le groupe emploie actuellement environ 55.000 personnes à travers le monde. La banque fut détenue à l’origine par les 4 familles qui en prient le contrôle : De Ruyters, Mendelshøn, Van Staffloer, et Cønhaghen. Aujourd’hui la famille Cønhaghen détient la plus grosse part de capital, mais n’a pas la majorité des sièges du conseil d’administration qui reste donc encore, du moins sur le papier, une sorte de coopérative d’associés, d’où le nom officiel de Citizen Bank & Associés.
Les activités de banque de détail sont exercées principalement aux Provinces-Unies, sous la marque « RMVC Bank» et représentent 37% des revenus du groupe. En revanche la banque d’investissement qui s’occupe notamment, des fusions et acquisitions, génère quant à elle 34% des revenus. La gestion d’actifs (asset management et banque privée) représente 22% des revenus, et demeurent sous la marque commerciale de Citizen Bank. C’est cette section de l’entreprise qui s’occupe notamment de la gestion des bons du trésor émis par les états en guise de paiement auprès du gouvernement fédéral des Provinces-Unies. Pour faire simple, la Citizen Bank détient de la dette, et comme tout actif, elle peut spéculer ou réaliser des montages financiers complexes avec.
Moins ancienne que la United Oil, elle n’en demeure pas moins l’une des sociétés les plus anciennes et prestigieuses. Son histoire commence à Makt, en 1812, et plus exactement à Lullin. A c ette époque l’émigration vers les prometteuses anciennes colonies du Protectorat Maktois du Lofoten bats son plein, alors que la récession économique et la persécution des protestants et réformistes frappent de plein fouet la république Eurysienne. C’est ainsi que débarquent dans la capitale des Provinces-Unies la famille De Ruyters, des négociants de tissus désargentés, au début du XIXème siècle. A cette époque, le paysage financier lofotène se composait d’un grand nombre de toutes petites institutions qui émettaient chacune leurs propres lettres de dépôt. Le système bancaire des Provinces-Unies était non seulement rudimentaire, mais hétérogène, chaque Province souhaitant battre sa propre monnaie, dans une époque où le fédéralisme et l’autonomisme avaient le vent en poupe. Les 3 régions que composent actuellement le Lofoten, le Sutherlands, le Midlands et le Northerlands étaient pour ainsi dire quasi-independantes. Le patriarche de la famille, Harold De Ruyter se lance dans l’aventure bancaire, fonde la Bank of all Citizens, et a l’idée visionnaire de financer les premiers derricks et la construction de chemin de fer. Ce financement, le plus rentable de l’histoire a constitué le cœur de son activité durant de longues années. On estime ainsi que sa banque aurait financé près d’un quart de la construction des chemins de fer aux Provinces-Unies et un derrick sur 5.

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Le tout premier établissement bancaire de la Bank of all Citizens n'est qu'un modeste comptoir à ses débuts

Malheureusement ses concurrents ne l’entendent pas de cette oreille et s’allient contre lui. De Ruyter cherche alors d’autres alliés et d’autres investisseurs ayant la même vision et ambition que lui. Il réunit autour de lui d’anciens compagnons de route Maktois, dont un ancien magnat de la presse, connu pour son fervent anticatholicisme, Guilhem Van Staffloer. Peter Mendelshøn et Andrew Cønhaghen, des armateurs totalement étrangers à la finance mais en qui De Ryuter avait placé toute sa confiance, complètent ce quatuor de riches investisseurs. Le capital de la société est alors conséquent, et la banque, renommée pour l'occasion Citizen Bank se mets à racheter frénétiquement mais discrètement et une à une toutes les petites institutions bancaires de la région, avec des offres difficilement refusables. En moins de 40 ans, il devient la première banque du pays, et réussit l’exploit d’harmoniser et d’uniformiser le paysage bancaire lofotène dans la région du Sutherlands.

Il confie les rênes de l’entreprise à son fils, Haldvard De Ryuter, mais ses associés commencent à exiger plus de parts et de responsabilités dans l’entreprise. En 1905, c’est la guerre ouverte avec les familles Cønhaghen, Van Staffloer et Mendelshøn. Ce dernier quitte même la société en fondant sa propre banque, mais qui sera rachetée quelques années plus tard par la Citizen Bank. Les associés finirent par s’accorder sur une présidence tournante de la compagnie et décident de son introduction en bourse en 1918. La Citizen Bank poursuit son développement en s’étendant vers le nord, et en faisant l’acquisition de nombreux établissements bancaires, tout en investissement massivement dans le pétrole et le chemin de fer.

Lorsque Leopold Van Staffloer prends la direction de banque en 1925, il réalise son introduction en Bourse, et la compagnie est la première capitalisation boursière du pays. Mais le Krach boursier de 1935 est un coup dur pour la banque, notamment parce qu’elle n’a pas voulu se séparer de ses actifs et investissements liés au chemin de fer, pourtant désuet et en perte de vitesse, au profit d’un nouveau moyen de transport qui fait fureur : le Zeppelin. Van Staffloer ne croit pas en cette nouvelle avancée technologique révolutionnaire dans le monde des transports et persiste à investir davantage dans le chemin de fer.

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Scène de panique générale à la Bourse de Pembertøn en 1935, lors du Krach Boursier qui secoua les Provinces Unies au début du XXème siècle

La sanction des actionnaires est rude, le cours de bourse s’effondre de près de 80% en quelques jours, et Leopold Van Staffloer affaibli et aux abois, consent à vendre une grande partie de ses actions à la famille Cønhaghen, qui devient ainsi actionnaire majoritaire. Garrett Cønhaghen liquide ses avoirs dans les chemins de fer, et réduit son exposition au pétrole, la banque se reconcentre sur ses activités de détails, et ouvre ses premières succursales à l’internationale. Se diversifiant dans les gestion des actifs immobiliers et des fonds de pensions des autres entreprises, elles renouent avec ses bénéfices records en 1980.

En 2000, elle est si riche qu’elle prête désormais aux états, et peut se permettre de racheter des titres obligataires et des bons du trésors, les fameux emprunts d’états, faisant d’elle un acteur incontournable dans la finance mondiale, mais également dans la politique monétaire internationale. Garrett Cønhaghen est par ailleurs nommé en 1991 Conseiller d’Etat fédéral au Trésor, une véritable consécration, jusqu’à son décès brutal en 1998. C’est son frère, le très austère Aleksander Cønhaghen, qui succède à Garett Cønhaghen à la tête de la Citizen Bank. Cependant, ce dernier n’a pas les mains libres pour autant et doit continuellement composer avec les héritiers Staffloer, De Ryuter, et Mendelshøn. Malgré tout, les trois familles devenus actionnaires minoritaires laissent les grandes décisions stratégiques aux mains de la famille Cønhaghen.

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Aleksander Cønhaghen dirige la Citizen Bnak d'une poigne d'acier depuis 1998. Sous sa direciton, la multinationale multiplie les acquisitions d'actifs à l'étranger, et notamment en achetant des titres obligataires d'Etats


La Citizen Bank nourrit de grandes ambitions, celles de devenir la première banque mondiale. Elle entre en compétition directe avec les établissements carnavalais, et même si quelques partenariats et rapprochements avaient été émis, notamment avec la Banque Princière Castelage, aucun accord n’avait pu être formalisé. Toutefois les opérations de diversifications des actifs entrepris au début de la décennie continue. La banque d'affaires et d'investissements, en marge de ses activités financières, s'est lancée dans la constitution d'un véritable patrimoine culturel, en achetant de nombreuses œuvres d'arts, dans le but de créer la plus grande collection d'art privée au monde. Elle a donc mise en place sa propre Fondation : Art for all Citizens, qui n'as de cesse d'acheter, et notamment lors de ventes aux enchères épiques, des tableaux de maîtres, des ouvrages, de sculptures, et également beaucoup d'objet de design et d'ancien artisanat historique.
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  • Nom officiel de la société : Vengerberg Enterprise™
  • Forme juridique : société anonyme à capitaux privés
  • Cotée en bourse : Oui
  • Date de création : 1929
  • Adresse de son siège social : 100B, Avenue til det fjerde Ponant infanteriregimentet, Kaeviksborg
  • Secteur d’activités : Armement lourd et léger, véhicules terrestres et aéronefs à usage exclusivement militaire, munitions, missiles, systèmes de guidage
  • Nombre de salariés : 33 000
  • Présence à l’international : Limitée au Novigrad, au Jashuria et à la Fédération de l’Alguarena compte tenu du caractère sensible et classifié des activités de la VE
  • Chiffre d’affaires annuel : ₭ 2 550 000 000 en 2007
  • PDG si applicable : Arnhilde de Vengerberg (sœur jumelle d’Alexis de Vengerberg)
  • Contacter la société : relationspubliques@citizenbank.upl
  • Site internet : contact-direction@ve.upl
  • Projet en cours ou prévus : Appel d'offres pour l'armement et l'équipement du prochain porte-avions lofotène. Volonté de rapprochement avec les industries de l'armement novigradiennes


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Le siège social de la Vengerberg Enterprise à Kæviksborg

Description et histoire de l’entreprise

Les frères Matthias De Vengerberg et Alvin De Vengerberg, issus d’une famille d’armateurs de Port Saint-Annne, formèrent la Compagnie des Technologies et des Sciences Maritimes en 1902 à Kaeviksborg en Northerlands, rebaptisée Ship Technology Enterprise en 1906, et spécialisée dans l’armement et le renforcement des navires marchands afin de faire face à la piraterie et aux attaques en haute mer.
Malheureusement la société fit faillite, notamment à cause du peu de sens des affaires de Matthias de Vengerberg, qui dilapide l’argent de l’entreprise dans des projets d’investissements divers et insensés. Après une violente et mémorable dispute entre les deux frères qui fera les choux gras de la presse de l'époque, Alvin De Vengerberg rachète la part de son frère, recréa la Vengerberg Company tout en prenant soin d’exclure son frère de son nouveau projet.


cuirassé
La société est tout d'abord spécialisée dans la construction et l'armement de navires de guerre, ici un cuirassé, l'UPS Crown of the North


Alvin souhaite se détourner du secteur maritime, et propose d’équiper les forces miliciennes des Provinces du Northerlands. Il innove en adaptant les tenues spéciales des marins et explorateurs de haute mer pour les uniformes militaires. C’est un véritable succès, les commandes affluent et font décoller la société.
Après les uniformes, celle-ci passe aux fusils, et commence à développer ses propres chars de combat, dans la technologie en est à ses balbutiements. Alvin, également visionnaire, est persuadé que les prochaines guerres se dérouleront dans les airs, et mise sur l’aviation. Pour cela il rachète des petites compagnies qui développent les premiers moteurs à combustions, ainsi que des avionneurs de tourisme afin de créer les premiers avions de combat. Il meurt cependant avant d’avoir pu contempler l’achèvement de son œuvre. Décédé sans descendance, c’est à son neveu qu’il lègue la société, Asbjørn De Vengerberg, qui perpétue l’œuvre de son oncle. Il multiplie les contrats d’équipements et d’armement des forces fédérales au niveau national et obtient la très convoitée appel d’offres pour construire en 1955 la première force aérienne du pays, l’UP Air Force, qui n’est qu’à l’état embryonnaire.

En 1976, Asbjørn, très malade, confie la société à son mandataire, membre du conseil d‘administration, Paulus Ørjan, qui s’avère un très fin politicien mais un mauvais gestionnaire. La société, qui va au plus mal, rate le tournant de la révolution digitale, et se consacre exclusivement au gros armement maritime et terrestre, et se désinvestit de l’aérien. Pire encore, il perds les contrats destinés à la création d’une flotte sous-marine, remportés par l’armateur Wölf&Hårland.
Paulus Ørjan tente de redonner un coup de fouet à l’entreprise en la renommant Creative Weapons Technology, en vain. La société est au bord de la banqueroute en 1984, et ne doit son salut que grâce à un prêt fédéral et une prise d’investissement de la Citizen Bank, qui devient de fait actionnaire majoritaire principal de la compagnie.
La Citizen Bank congédie M. Paulus Ørjan, et décide de nommer un administrateur spécial, un ancien membre de la Garde Fédérale, le Général de Brigade Viggo Torrënssen. Sous son impulsion, ce dernier permet une acquisition majeure celle des activités électroniques de Coral Digital Corporation à Lübeck récupérant aussi l'important site industriel de Königersheim. Creative Weapons Technology, rattrape ainsi son retard, et lui permet de développer et d’innover de nouveaux projets à haute valeur ajoutée. Nouveaux radars, missiles, avions de guerre électroniques, AWACS, véhicules radars, sortent des hangars et des entrepôts, et remettent ainsi la société sur les rails.

En 1995, Creative Weapons Technology devient le leader national dans le secteur de la défense devant son rival, Anders Systems avec un chiffre d'affaires en 1996 de ₭ 1,4 milliards de Dråksk .
En 1997, la famille De Vengerberg revient aux commandes, en rachetant les parts de la société détenues par Viggo Torrënssen via des fonds de pension et des sociétés d’investissements carnavalaises.
Lothar de Vengerberg devient le nouveau CEO (Chief Executive Officer) de la société et renomme immédiatement la Creative Weapons Technology qui devient la Vengerberg Enterprise. Malgré des débuts chaotiques qui se traduisent par une restructuration de la société qui conduit au licenciement de 730 employés en 1999, la société se maintient à flots, aidée notamment par le contexte international et les conflits eurysiens, qui pousse le Département d’Etat à la Défense à augmenter massivement son nombre de commandes, notamment de chars, d’artillerie, et d’armes lourdes individuelles.


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Arnhilde de Vengerberg, 49 ans, nouvelle CEO d'un des leaders mondiaux de l'industrie de l'armement

En 2001, Lothar de Vengerberg tente un rapprochement en vue d’une fusion avec la société alguarenos Benca. Le but de la coentreprise, selon les industries militaires lofotènes, est de développer des capacités de localisation par le transfert de technologie et de compétences, ainsi que la formation des ingénieurs lofotènes dans les domaines de recherche liées aux drones de reconnaissances ainsi qu’aux technologies sonar de lutte anti sous-marine . Malgré des premières démarches positives, l’opération de fusion n’aura pas lieu, ce qui provoque une chute spectaculaire de la valeur de l’action au Pembex30. Se jugeant responsable de cet échec, et mis en difficulté par son propre conseil d’administration, Lothar démissionne et confie les rênes de sa société à l’une de ses filles, Arnhilde de Vengerberg, dont la sœur jumelle, Alexis de Vengerberg est une élue politique membre du parti social-démocrate qui a alors du céder toutes ses parts ainsi que renoncer définitivement à toute activité qui serait de près ou de loin liée à la Vengerberg Enterprise.

En 2005, le lancement du programme Marine One, par le gouvernement unioniste de Sigrid Olfgarsson, est une aubaine pour la Vengerberg Enterprise qui se voit ainsi confiée les principaux contrats d’armement pour équiper les navires de guerre et les sous-marins avec des armes et des technologies dernier cri.
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  • Nom officiel de la société : NorthStream Power™
  • Forme juridique : Compagne privée semi-publique (l'Etat Fédéral détient des parts mais reste un actionnaire minoritaire)
  • Cotée en bourse : Oui
  • Date de création : 1889
  • Adresse de son siège social : 6, rue svart lønnsgate, Ingebørg
  • Secteur d’activités : Energies renouvelables, hydroélectricité, gestion des réseaux de distribution en énergie, travaux publics
  • Nombre de salariés : 25 000
  • Présence à l’international : Elpidia, Makt, Aumérine, Novigrad, Althalj
  • Chiffre d’affaires annuel : ₭ 2 199 540 000 en 2007
  • PDG si applicable : Frida Björghildur
  • Contacter la société : contactpublic@northstreampower.upl
  • Site internet : www.northstreampower.upl
  • Projet en cours ou prévus : Faire du Lofoten la première puissance d'envergure sans énergies fossiles. Remplacer l'intégralité des centrales carbonées d'ici 2025


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Le siège social de la NorthStream Power à Ingebørg

Description et histoire de l’entreprise


NorthStream Power est une compagnie spécialisée dans la construction, l’exploitation et la distribution d’énergie électrique non fossiles. Leur domaine d’expertise sont les centrales géothermiques et les centrales hydroélectriques.
Ils sont passés maître dans la fabrication de turbines et de génératrices géantes et extrêmement robustes.
NorthStream Power a construit le tout premier ouvrage d’art hydraulique de l’histoire du pays en 1891, sur la rivière Klarälven dans le Northerlands. En béton armé, il s'appuie en partie sur des parois rocheuses du Mont Höfn, dans les Montagnes Grises . Il s’agissait du tout premier barrage voûte jamais construit au monde, une véritable prouesse technologique pour l’époque. Grâce à sa forme courbe , il reporte la pression de l'eau sur les rives, soutenu par d’immenses contreforts sur la partie externe.
Il était tellement impressionnant à l’époque que les autorités, par mesure de précaution, avaient fait évacuer tous les villages alentour, de crainte que l’ouvrage ne cède, et ne soit pas capable de retenir une masse d’eau aussi importante. Aujourd’hui plus d’un siècle plus tard, le Barrage des Trois-Cerfs est toujours débout et n’a pas souffert la moindre fissure, confirmant ainsi l’expertise et le niveau de maîtrise des ingénieurs de la NorthStream Power, qui ne s’est jamais démentie par ailleurs.

Le barrage des 3-cerfs
Le Barrage des Trois-Cerfs, sur la rivière Klarälven, dans la Province de Møre

Le potentiel de l’énergie géothermique a quant à lui été identifié un peu plus tard, et s’est révélé être un investissement très rentable, bien que risqué et qui faillit bien provoquer la faillite de la société.
Dès les années 1932, de nombreux scientifiques mettent en avant la théorie selon laquelle il est possible de fabriquer de l'électricité à partir de l'eau très chaude contenue dans les nappes du sous-sol de la Terre.

La température des roches augmente en moyenne de 1 °C tous les 30 m de profondeur. En certains points du globe, en particulier dans les régions volcaniques, qui correspondent à des intrusions de magma dans la croûte terrestre, cela peut aller jusqu'à 100 °C par 100 mètres. Or les habitants de l’Archipel du Ponant, le Northerlands, et une partie du Midlands connaissent fort bien les bienfaits de la géothermie, grâce aux sources d’eau chaude dans lesquels ils se baignent depuis des générations.
Le procédé est particulièrement révolutionnaire pour l’époque, car c'est une énergie qui n'émet aucun gaz à effet de serre et sa matière première, la chaleur de la Terre, est totalement gratuite et en abondance. Mais les installations, très spécifiques, nécessitent des capitaux de départ lourds, bien plus lourds que la société ne pouvait réellement assumer. En 1945, elle fut proche du dépôt de bilan, avant de rétablir in extremis ses comptes à l’équilibre en 1950, grâce à un prêt avantageux de la Citizen Bank et à l’entrée dans le capital de l’Etat Fédéral, qui en devient donc actionnaire minoritaire.

Les centrales géothermiques s’avèrent en fin de compte très rentables, et elles sont amorties en 1956, date à laquelle la société renoue avec les bénéfices.
Dans les années 60, on ne jure que par le gaz et le pétrole, et la NorthStream Power devient gestionnaire d’une partie du parc et du réseau de distribution des pipelines de pétrole et des terminaux gaziers.
Une manne financière qui permet à l’entreprise de capitaliser et de pouvoir réaliser d’importants investissements en R&D, dans le développement de ce qu’on appelait alors timidement les énergies renouvelables, encore à leur balbutiements.
Visionnaire, la compagnie fait le pari du solaire et de l’éolien, à mesure que les scientifiques alertes sur les effets nocifs et néfastes des émissions carbones sur l’environnement et la biosphère, mais encore une fois, les investissements lourds et massifs manquent de conduire la NorthStream Power à la banqueroute.
L’Etat Fédéral, actionnaire, oblige alors la société à se séparer de ses activités- énergies fossiles. En 1989, elle cède ainsi toutes ses participations et sa branche “non renouvelable" à sa rivale et concurrente la United Oil, qui de ce fait détient alors le monopole de l’exploitation et de la distribution des hydrocarbures.

centrale géothermique
La centrale géothermique de Siglufjörður dans la Province de Nørgenfjord, dans l'Archipel du Ponant. 100% de l'électricité produite dans l'archipel arctique est désormais verte et non issue de l'industrie fossile.

Cette transaction financière surcotée par les traders, avec l’Etat pour garant, fut saluée en Bourse, et permit alors à la société de doubler la valeur de ses actions, permettant ainsi de générer une quantité importante de cash flow, très rapidement engloutie dans les projets de développement de l’éolien et du solaire.
Aujourd’hui la société affiche un bilan comptable satisfaisant, une bonne solidité financière et a été, et est toujours un acteur majeur et incontournable de la transition écologique des Provinces-Unies du Lofoten, qui a désormais tourné le dos aux énergies non renouvelables.

Toutefois NorthStream Power reste l’exploitant principal des quelques centrales nucléaires à fusion dont le pays dispose, ce qui a quelque peu terni son image ces dernières années. Un événement notable : sa gestion de l’enfouissement des déchets nucléaires, avec un manque de sécurité et de considération évidente pour la dangerosité des riverains a été fortement critiquée et a généré une vive polémique.
La NorthStream Power s’est dès lors engagée à convertir ses anciennes centrales en EPR nouvelle génération, et augmenter significativement la sécurité de ses sites d'enfouissement de déchets nucléaires.

Sa PDG actuelle, Katrín Björghildur, ancienne militante du Parti Ecologiste, s’est dite également en faveur de la fin totale des énergies fossiles pour 2025. Pour ce faire, elle a pour projet de développer les usines marémotrices ainsi que les hydroliennes, sources potentielles d’énergie largement sous-exploitées compte tenu des forts courants marins qui balayent nos côtes selon elle. Elle milite également pour plus de sobriété énergétique et invite régulièrement ses compatriotes à faire preuve de parcimonie et d'attention particulière sur notre consommation électrique. Elle est également présidente d'une fondation caritative en faveur de la préservation des écosystèmes et de la faune arctique selon elle en grand danger.
En janvier 2008, elle par exemple renoncé à effectuer un forage qui aurait partiellement détruit un site naturel de nidification des Sternes à Dos Cendré, espèce endémique de l'Archipel du Ponant. Elle se déclare publiquement également en décembre 2008, membre du mouvement GINK's, (Green Inclination for No Kids) et souhaite ne pas avoir d'enfants en accord avec sa conscience écologique.
En février 2009, elle se marie à sa compagne, Skaði Hellisheiði, ancienne championne de biathlon.


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  • Nom officiel de la société : Airlander™
  • Forme juridique : Compagne privée
  • Cotée en bourse : Non
  • Date de création : 1882
  • Adresse de son siège social : 165A, rue svarte lønner, Nørdvisk
  • Secteur d’activités : Transport aérien par dirigeable de passagers et de frêt
  • Nombre de salariés : 12 000
  • Présence à l’international (sièges locaux) : St-Marquise, Makt, Grand Kah, RLP, Carnavale, Amnestie, tous les pays de l'ONC, Empire du Nord, Miridian, Fujiwa
  • Chiffre d’affaires annuel : ₭ 1 877 421 000 en 2008
  • PDG si applicable : Sigurður Breiðfjörð
  • Contacter la société : contact@airlander.upl
  • Site internet : www.airlander.upl
  • Projet en cours ou prévus : Avoir des succursales sur tous les continents afin d’être la première compagnie de dirigeables au monde à rallier tous les continents.


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Le siège social d'Airlander à Nørdvisk

Description et histoire de l’entreprise

Airlander est l’une des plus anciennes sociétés lofotènes encore en activité. En 1892, tandis que l’aviation en est encore à ses premiers balbutiements, à l’état embryonnaire dirons nous même, Eugène Lévesque, un entrepreneur de Port-Sainte-Anne, capitale régionale du Midlands, nourrit depuis plusieurs années l’idée de relier régulièrement sa ville, à celle de Nørdvisk, la capitale de l’Archipel du Ponant, la région la plus septentrionale des Provinces Unies, et accessoirement la moins peuplée.
Dans quel but ? Les deux villes sont des cités portuaires, et les affaires sont en plein essor. Le bois ne manque pas dans le Midlands, mais fait cruellement défaut sur les îles du Ponant, alors que la fièvres bâtisseuse bat son plein, on est alors en pleine ruée de l’or noir. Mais du fait de son isolement, l’Archipel du Ponant voit sa croissance freinée et ralentie. Les liaisons entre le continent et les îles du nord ne s’effectuent alors que par navires , cependant les voies maritimes sont inaccessibles pas moins de six mois de l’année, à cause des gelées hivernales.
Les hommes font alors transiter et passer les marchandises à pied et en traîneau, lorsque la couche de glace est suffisamment épaisse. Mais les expéditions en chien de traîneaux sont risquées et hasardeuses, chaque année, des accidents tragiques ou des disparitions inexpliquées se produisent. Et des tonnes de marchandises se retrouvent probablement au fond de la Mer du Ponant, engendrant de nombreuses pertes financières, et c’est le cas pour Eugène Lévesque, qui possèdent des manufactures textiles, qui servent à fabriquer les toiles des chariots, les vêtements chauds indispensables à la survie dans l’arctique, etc…

Eugène Lévesque et Hans Länder, les pionniers visionnaires :

Le chef d’entreprise qui a fait fortune dans la confection textile souhaite tout simplement tenter l’impossible : une liaison entièrement aérienne. A l’époque on le considère évidemment comme un petit bourgeois excentrique, qui ne sait quoi faire de son argent et de ses journées, à part s’épancher sur des élucubrations sorties tout droit des écrits d’auteurs de science fiction sensationnalistes, alors en vogue à l’époque. Mais c’est avant tout une réalité technique, car d’autres pays ont commencé à développer les premiers ballons, et on connaît déjà les montgolfières. Les progrès de la motorisation et de la machinerie vapeur sont très prometteurs.
Aussi, envers et contre tous, Eugène Lévesque investit des sommes colossales, pour ne pas dire l’intégralité de ses biens et possessions (son domaine est hypothéqué, et il mets même en gage les bijoux de sa femme, ce qui lui vaudra un divorce par la suite). Il a du nez en s’associant les services de personnes très talentueuses, dont un génie de la mécanique des fluides, l’ingénieur Hans Länder, tout juste sorti de l’université, et qui croit aussi réellement au potentiel du dirigeable, autre que les montgolfières de loisirs que l’on utilise déjà pour distraire l’aristocratie. Ensemble, ils réussissent l’impossible : c’est dans l’un de ses terrains dans la campagne environnante de Port-Sainte-Anne en 1898 que le tout premier dirigeable, le Sainte-Marie-Des-Pêcheurs (car Eugène Lévesque était également un fervent croyant, figure éminente de la communauté francophone protestante) voit le jour.

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Eugène Lévesque, riche industriel, surnommé le Baron du Coton, est l'une des plus grandes fortunes du Midlands. Son grand-père, Louis-Etienne Lévesque a été Jarl de la Province de Montcalm.

La toile fut entièrement confectionnée dans les usines textiles Lévesque Textiles & Co. A l’époque, la cabine de pilotage, et les équipements de bord sont encore en bois, bien que l’armature et la structure en acier soit la seule à pouvoir mécaniquement supporter les morsures du froid et du vent polaire, mais dans tous les cas c’est un franc succès, grâce à l’ingéniosité de Hans Länder, qui a l’idée d’utiliser un nouveau type de gaz qui a récemment été découvert, l’hélium, à la place de l’hydrogène.
Ce gaz inerte, non toxique, peu inflammable, plus léger, et dont on a découvert des gisements à l’état liquide justement dans l’Archipel du Ponant, grâce à des pressions et des températures extrêmement basses, est révolutionnaire. Il diminue fortement le poids total de l’aéronef.

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Le zeppelin Sainte-Marie-Des-Pêcheurs survole la ville de Port-Sainte-Anne. A droite sur la photo, l'Hôtel du Parlement de la Province de Montcalm, siège du gouvernement local du Theng et du Jarl


Le vol inaugural a lieu en mars 1899, avec à son bord, les maires de Nørdvisk et Port-Sainte Anne, ainsi que le Jarl de la Province de Nørgenfjord. Ils sont subjugués et incitent Lévesque à produire en masse ces engins volants, en échange de subventions et de fonds publics. Mais Eugène Lévesque qui avait imaginé ce nouveau mode de transport uniquement pour le frêt et comme un moyen de substitution au transport de matériaux par voie fluviale, et visiblement éprouvé par son divorce, ne verra pas sa société grandir. Dans un premier temps, il souhaite se limiter au frêt, et ne développer que deux dirigeables à cet effet. En revanche, le jeune Hans Länder, plus ambitieux et visionnaire que son aîné, est persuadé que l’avenir sera au frêt de passagers, et entends créer des liaisons aériennes entre les grandes villes du Lofoten.

Âgé, et psychologiquement affaibli, Eugène Lévesque finit par céder ses parts et une partie de la compagnie, qui s’appelle encore toujours Lévesque Textiles & Co, à son associé. Ce dernier offre tout de même en cadeau à son mentor le premier dirigeable qu’ils avaient conçus ensemble, le Sainte-Marie-des-Pêcheurs.
Celui-ci disparaîtra tragiquement, lors de sa dernière traversée dans les mers boréales, lors d’une tempête hivernale, avec à son bord la famille Lévesque et ses proches, ainsi que plusieurs cadres de sa société. On ne retrouva jamais ni les corps, ni les restes et débris de l’aéronef. Ce qui nourrit d’ailleurs toujours la légende du dirigeable fantôme, que plusieurs passagers, dans les années 50, affirmeront avoir aperçu dans les brumes la vision spectrale du Sainte-Marie-des-Pêcheurs.
La dernière apparition date de 1982, quand le commandant de bord du dirigeable UPS Jötnar lancera un message d’alerte à la Tour de Contrôle lorsqu’il apercevra distinctement selon lui un aérostat en détresse, un très vieux modèle du siècle dernier. Or la Tour de Contrôle lui indiquera qu’il est seul dans la zone et qu’il n’y aucun autre dirigeable à proximité.

L’âge d’or des Zeppelins


Hans Länder quant à lui, créera sa propre société qui porta désormais son nom, Airlander, qui connaîtra un succès commercial fulgurant. La capitale Pembertøn est reliée à Port-Sainte-Anne en 1903, puis c’est au tour de Kæviksborg, Ingebørg, Lübeck, etc…de se doter d’aérostats.
Dans la première moitié du XXème siècle, le ciel se couvre de zeppelins, les Lofotens plébiscitent ce mode de transport. D’abord réservé à une clientèle aisée, Airlander réussit à faire diminuer les coûts d’exploitation. Les nouveaux dirigeables sont moins luxueux, plus spacieux, permettent d'accueillir plus de passagers et peuvent désormais fonctionner avec un personnel de bord réduit.
La production d’hélium, devient peu cher, grâce aux avancées techniques et à l'amélioration des rendements de l’extraction hydraulique.
Entre 1920 et 1950, Il y a tellement de zeppelins dans les cieux des Provinces-Unies que la presse de l’époque s'inquiéta même des répercussions sur les oiseaux migrateurs, et des futurs embouteillages aériens.

“Apercevrons nous encore le ciel bleu à Pembertøn ?” titrait la Voix du Lofoten en 1948.

Le Chancelier Fédéral Wilhem Mendelhsön fêtera même d’ailleurs sa réélection en 1932 à bord de l’UPS Bifröst, lors d’une fête grandiose que les commentateurs de l’époque qualifieront comme des “Bacchanales Aériennes”

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Affiche publicitaire d'Airlander pour la liaison Lofoten-Carnavale en 1943.

Les modèles emblématiques, les Dolphins pour les liaisons courtes et les Seawolf pour les long-courriers, font désormais parti du paysage et du quotidien des habitants du Lofoten. Les communautés autrefois isolées des îles du Ponant, et certaines villes enclavées du relief montagneux des Provinces de Niðavellir et Jötunheim par exemple, sont désormais facilement accessibles en dirigeables. On construit massivement et à la hâte des plateformes d'atterrissage et des hangars à zeppelins partout dans le pays.
Hans Länder mourra en 1939, à Nørdvisk, immensément riche, son rêve accomplit. Sa dépouille réalisera un dernier vol en dirigeable jusqu’à Port-Sainte-Anne, où conformément à ses dernières volontés il sera inhumé près de la crypte familiale des Lévesque. Ses successeurs quant à eux entendent développer la compagnie Airlander comme son mythique fondateur l’aurait fait.
En 1941 Walden, la capitale de la République de Makt est reliée à Pembertøn par la première liaison aérienne long courrier en dirigeable. Les journaux titrent alors : "Les Zeppelins des Provinces-Unies à la conquête du monde !"
Mais les dirigeables, au vu de leurs capacités limitées à cause des technologies de l’époque ne permettent pas des liaisons directes vers d'autres destinations lointaines. En outre, les défis logistiques induits par la durée extrêmement longue de la traversée imposent aux zeppelins de se poser et de se ravitailler régulièrement. Toutefois l’Aumérine, Saint-Marquise, Carnavale et Fortuna sont reliés et deviennent atteignables pour des durées “raisonnables”.


zeppelins à pemberton
Pembertøn, la capitale des Provinces-Unies et ses dirigeables, une image de carte postale devenue désormais emblématique de la nation lofotène.

Déclin des Zeppelins :

Dans le début des années 50, l’avionique et l’aéronautique fait sa révolution. Les avions, les bimoteurs, les quadrimoteurs, présentent des performances immensément supérieures aux dirigeables, sans oublier leurs fantastiques applications militaires. Les pouvoirs publics délaissent complètement les dirigeables pour investir massivement dans ce nouveau secteur porteur. Pire, les clients aussi se détournent d’eux, car désormais on préfère la vitesse, le rendement, et la praticité au confort, au luxe et à la contemplation du paysage.
C’est la fin des liaisons long-courriers, seule la ligne Walden-Pembertøn est maintenue. Le nombre de zeppelins dans le ciel décroît à une vitesse vertigineuse.
Pire, une série de catastrophes et d’accidents aériens impliquant des zeppelins se multiplient.
En 1952, L’UPS Hàfnir s’embrase et s'écrase au sol avec ses 95 passagers et membres d’équipage à son bord. Cela restera la tragédie la plus meurtrière dans l’histoire des dirigeables et portera un coup d’arrêt fatal à la compagnie.
La désaffection pour ce mode de transport des Lofotens se confirme dès lors.

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L'UPS Hàfnir s'embrasant sur l'aérodrome de Fort Saint-Augustin, dans la province de Pont-Rouge, dans l'est du Midlands, près de la frontière.

En 1959, la société Airlander est proche du dépôt de bilan. Elle est contrainte de démonter plusieurs aérostats et de vendre une partie de ses terrains d’aviation pour se maintenir à flots.
En 1961, Airlander est en cessation de paiement et annonce sa faillite. Chose inédite, plusieurs notables et grands noms de l’industrie, plaident pour la reprise de ce fleuron historique qui fait désormais parti du patrimoine historique des Provinces-Unies. Une souscription à l’emprunt est lancée, et les pouvoirs publics interviennent également.
Une intense campagne de publicité est lancée pour inciter les Lofotens à voyager dans les zeppelins plutôt que dans les avions, surtout pour les liaisons intérieures. En vain.
Airlander évite de justesse la faillite mais n’est plus que l’ombre d’elle même. L’âge d’or du dirigeable est désormais révolu.

Renaissance et revanche :

Dans le début des années 80, une véritable vague de nostalgie s’installe en Lofoten. Au cinéma et dans les livres, on représente et on glorifie les fastes des années 20, et le zeppelin devient le symbole d’une société d’alors insouciante et festive. On redécouvre alors le Charleston, le Lindy Hop, et les claquettes, remis à l’honneur dans plusieurs films dont “Les Voiles du Désir” et “Les Années Inachevées”, des chefs d'œuvres et de véritables succès populaires sur cette époque.
Le roman policier de Galba Harrisson : “Ils étaient douze” qui retrace l’enquête en huis clos d’un détective sur un meurtre qui est commis en plein vol à bord d’un zeppelin est l’une des livres les plus vendus en 1985. Ce succès de librairie sera lui aussi adapté au cinéma en 1992.
L’engouement des Lofotens se démontre et les ventes de billets augmentent sensiblement pour atteindre 130% d’augmentation l’année suivante en 1986, et la société Airlander renoue avec les bénéfices. Mais d’autres facteurs, plus terre à terre et pragmatiques expliquent cette renaissance : l’explosion du prix du baril de kérosène, la montée en puissance de l’idéologie écologiste, une série impressionnante et malvenue de crash d’avions, et l’augmentation exponentielle du coût du billet d’avion, rendent l’exploitation commerciale des dirigeables à nouveau rentable, et suscitent même l’intérêt des classes aisées et supérieures, qui avaient depuis longtemps délaissé les salons feutrés des zeppelin pour la classe “Business” d’un appareil à réaction.
Autre facteur déterminant : l’arrivée sur le marché des moteurs à helium liquide, développés par la société Nørdvisk Dynamic, une invention réellement novatrice qui va multiplier par 3 voir par 4 les performances des nouveaux dirigeables qui vont dès lors pouvoir couvrir de plus grandes distances, et rendre les liaisons long courriers de nouveau accessibles.

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L'UPS Oceansky, un Seawolf II-b, traversant la mer arctique du Ponant et effectuant les liaisons entre Nørdvisk et Kæviksborg

En 1999, Airlander annonce la création de tous nouveaux dirigeables : les Dolphin II et Seawolf II. Plus grands, plus rapides, plus légers, plus confortables que les modèles précédents. Et c’est une franche réussite, d’autres pays adoptent également ce nouveau mode de mobilité douce, et achètent en masse des aéronefs : le Grand Kah, Elpidia, Novigrad…etc.

La société Airlander propose aujourd’hui des destinations dans plus de 30 pays à travers le monde.
Le dernier en date : la toute nouvelle République Libre du Prodnov qui par ailleurs a fait l’acquisition en 2008 de 6 dirigeables Dolphin II pour relier la capitale, Staïglad, aux autres grandes villes du pays.

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Aujourd'hui, il suffit de lever les yeux au ciel dans les villes du Lofoten pour s'apercevoir que les zeppelins sont devenus une partie intégrante et banale du quotidien des habitants.


Cependant la même année, la compagnie doit faire face à un grave incident impliquant l’un de ses zeppelins. En effet, l’UPS Sovereign of the Airs, qui traverse alors l’Eurysie occidentale, à destination de Carnavale, est victime de plusieurs avaries techniques, conjuguée à une météo très défavorable, qui le fait alors dériver inexorablement jusqu’en Loduarie Communiste. La chasse lofotène arrivera hélas trop tard, et le dirigeable ainsi que tous ses occupants se retrouve aux mains et à la merci de la Loduarie, l’une des pires dictatures eurysiennes. C’est une grave crise que le gouvernement fédéral prend en main, afin d’éviter l’exécution des otages. Les négociations et tractations seraient encore en cours aujourd’hui, et les familles nourrissent l’espoir d’un dénouement heureux. L’entreprise Airlander avait même promis plus de 10 millions de Dråkks pour la libération des prisonniers. Toutefois l’administration Fjörgyn avait rapidement balayé l’idée, disant qu’on ne pouvait faire du “commerce d’otages” et rendre le terrorisme rentable.
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  • Nom officiel de la société : Troepp & Fjörd™
  • Forme juridique : Compagne privée
  • Cotée en bourse : Non
  • Date de création : 1952
  • Adresse de son siège social : 25, rue grátandi víðigötu, Thinðavellir
  • Secteur d’activités : Grande distribution, magasins de détails et industrie agro-alimentaire.
  • Nombre de salariés : 10 500
  • Présence à l’international : Alguarena, Makt, Saint-Marquise, Novigrad, Elpidia, Grand Kah, Youslévie, Jashuria
  • Chiffre d’affaires annuel : ₭ 1 590 344 000 en 2008
  • PDG si applicable : Thornvald Járnsmiður
  • Contacter la société : grandpublic@troeppandfjord.upl
  • Site internet : www.troeppandfjord.upl
  • Projet en cours ou prévus : Créer une filiale d'ameublement.


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Le siège social du groupe Troepp & Fjörd à Thinðavellir, dans le Fylke (Province) du Finnmark

Description et histoire de l’entreprise

Troepp & Fjörd est une chaîne de magasins de détail lofotène, qui est devenue l'un des plus grands détaillants au monde. Il a été fondé en 1952 par deux hommes d’affaires Jørgen Troepp et Rasmus Fjörd, et son siège social est situé à Thinðavellir, dans le Fylke du Finnmark. Troepp & Fjörd propose une large gamme de produits, y compris de nombreux produits alimentaires, des vêtements, des équipements électroniques, des jouets, des articles de sport, des produits de santé et de beauté et bien d'autres. Il est également propriétaire de plusieurs autres chaînes de magasins, comme Aleucian’s Club, qui est un magasin d'entrepôt et de démarque et Organica Store, qui fait dans la distribution de produits alimentaires bio et équitables. Troepp & Fjörd est coté en bourse et est considéré comme l'une des plus grandes entreprises de grande distribution au monde en termes de chiffre d'affaires.
Le premier magasin a été fondé en 1952 par Jørgen Troepp, un entrepreneur du Northerlands et qui avait déjà une expérience dans la vente au détail. Chez Troepp & Cie, il s’agit du premier nom officiel de la société, fonctionne bien, profitant d’une bonne disposition au sein de l’avenue principale et commercante de la ville de Thinðavellir, dont Troepp est originaire. Sa famille jouit d’une excellente réputation de petits commerçants honnêtes, ce qui lui vaut à son tour d’attirer toujours plus de clients.
Mais Troepp voit plus grand et voudrait ouvrir des succursales dans d’autres villes moyennes du Finnmark, voir de tout le Northerlands. Malheureusement son petit établissement commercial du centre ville est trop petit pour générer un important chiffre d’affaires. Il décide alors de mettre en vente des titres participatifs, sorte d’actions pour petites entreprises, qui sont alors massivement rachetées par un autre entrepreneur de Thinðavellir, Rasmus Fjörd, qui lui possède déjà une épicerie et une pharmacie dans la ville.
Les deux hommes nouent une amitié sincère et partagent la même vision d’un Lofoten libre et entrepreneurial, où les success story existent et se gagnent à la sueur du front.

En 1960, ils ont commencé à ouvrir des magasins dans des petites villes du Finnmark, de l’Alfheim et de l’Ålfingar, en utilisant une stratégie de bas prix pour attirer les clients. Ils ont ensuite rapidement enchaîné les inaugurations de nouveaux établissements, et à partir de cette période continuèrent sans interruption à ouvrir des magasins dans d'autres Fylker du Northerlands et à étendre ainsi leur chaîne de magasins, rebaptisée pour l’occasion Troepp & Fjörd.
Au cours des décennies 1970 et 1980, la chaîne de détail a continué à croître rapidement, en ouvrant des magasins dans tous les Landsdeler et Fylker des Provinces-Unies, de la pointe nord du Skævelrigge, jusqu’au sud de la Nouvelle-Arcoa. En 1988, moins d’un an après le décès de Jørgen Troepp, Rasmus Fjörd commence à ouvrir des magasins à l'étranger, qui obtiennent un succès retentissant. Les magasins lofotènes ayant la réputation de vendre des produits sains et de qualité. Rasmus Fjörd a également commencé à développer sa propre chaîne de distribution pour réduire ses coûts d'approvisionnement et à atténuer sa dépendance à de grands fournisseurs.

Dans les années 1990, Troepp & Fjörd est devenu l’un des plus grands détaillants au monde et a commencé à diversifier ses activités en achetant d'autres chaînes de magasins, comme Aleucian’s Club et Organica Store. En effet, Rasmus Fjörd croit fermement au potentiel du développement de la nourriture biologique, et en cela il est visionnaire car il parvient en quelques années à presque doubler le chiffre d’affaires de la multinationale. Au point qu’il décide de se lancer dans les services financiers et les services en ligne.
Cependant, certains de ces services annexes sont des échecs commerciaux, comme l’agence de voyage Event Horizon, ou ses assurances multirisques en ligne, MetropolitanInsurance.upl, qui malheureusement subsisteront quelques années avant de fermer définitivement en 1999.

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Une enseigne Troepp & Fjörd, dans un des Mall de Port-Sainte-Anne

En 2000, Rasmus Fjörd prends sa retraite et donne les rênes du groupe à son petit-neveu, Thornvald Járnsmiður.
Aujourd'hui, Troepp & Fjörd est devenu un géant de la vente au détail, avec des milliers de magasins dans le monde entier. Cependant, l'entreprise a également été critiquée pour ses pratiques en matière de relations avec les employés et les fournisseurs, ainsi que pour son impact sur les petites entreprises et les communautés locales, dont il écrase impitoyablement la concurrence.
La stratégie commerciale de Troepp & Fjörd repose sur plusieurs facteurs clés, dont les principaux sont :
- Des prix bas : Troepp & Fjörd a construit sa réputation en offrant des prix bas sur une grande variété de produits, en utilisant une stratégie de "prix le plus bas" pour attirer les clients. Cela est réalisé en minimisant les coûts d'approvisionnement et en optimisant les économies d'échelle.
- Une large sélection de produits : Troepp & Fjörd propose une vaste gamme de produits, allant des produits alimentaires aux vêtements en passant par les équipements électroniques, les jouets,les articles de sport et bien d'autres. Cela permet aux clients de faire toutes leurs emplettes dans un seul endroit.
- Des services en magasin : Troepp & Fjörd propose un certain nombre de services en magasin, tels que des services de découpe de viande, de développement de photos, de banque et de pharmacie pour ajouter de la valeur à l'expérience d'achat des clients.
- Un engagement en faveur de l'environnement : Troepp & Fjörd s'efforce de réduire son impact environnemental en adoptant des pratiques durables et en utilisant des technologies écologiques dans ses magasins. Cependant ce dernier a été fortement critiqué, et de nombreux scandales liés au gaspillage alimentaire et à la gestion de ses déchets ont largement terni l’image du groupe, considéré comme un des pires en matière d’empreinte carbone.
- Le commerce en ligne et la digitalisation des services : Troepp & Fjörd a également développé une présence en ligne forte, qui permet aux clients de faire des achats en ligne et de les récupérer en magasin ou de les faire livrer à domicile. Et enfin Troepp & Fjörd a aussi développé des applications mobiles pour améliorer l'expérience d'achat en ligne pour les clients. Un pari gagné, on peut dire que le groupe a réussi le virage du numérique et de la digitalisation, car aujourd’hui près d’un lofotèn sur trois commande et paye ses courses en ligne.
En résumé, la stratégie commerciale de Troepp & Fjörd repose sur l'offre de prix bas, une grande sélection de produits, des services en magasin, un engagement en faveur de l'environnement, une expérience en ligne et une expérience mobile pour améliorer l'expérience d'achat des clients.

Le nouveau PDG Thornvald Járnsmiður ambitionne désormais de se positionner sur le segment porteur de l’ameublement, après avoir trusté celui de la petite décoration et du petit électroménager.
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  • Nom officiel de la société : Nørdvisk Dynamics™
  • Forme juridique : Compagne privée
  • Cotée en bourse : Oui
  • Date de création : 1992
  • Adresse de son siège social : 187, avenue sølv kyst all, Nørdvisk
  • Secteur d’activités : Intelligence artificielle, Informatique industrielle, électronique, optronique, nanotechnologies
  • Nombre de salariés : 5500
  • Présence à l’international : Makt, Saint-Marquise,Jashuria
  • Chiffre d’affaires annuel : ₭ 1 450 922 000 en 2008
  • PDG si applicable : Les quatre dirigeants de la société sont : Wilbur Mycroft, Sybille D'Arcueil, Tobias Acht-Mäyer, Neville Lagerlöf.
  • Contacter la société : contactpublic@nordvisk-dynamics.upl
  • Site internet : www.nordvisk-dynamics.upl
  • Projet en cours ou prévus : Inconnu


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Le siège social Nørdvisk Dynamics, dans le Fylke (Province) de Nørgenfjord, à Nørdvisk

Description et histoire de l’entreprise

Nørdvisk Dynamics est une société du Landsdeler de l’Archipel du Ponant, surtout spécialisée dans la robotique, la mécatronique, l’intelligence artificielle, et la biomécanique. Elle développe des robots et des cyborgs autonomes, à la fois dotés d’un réseau neuronal artificiel et pouvant être contrôlés à distance. Les machines produites par Nørdvisk Dynamics sont capables de se déplacer, de s'adapter à leur environnement et d'interagir avec lui. La société utilise des outils tels que l'intelligence artificielle, l'apprentissage machine et la recherche sur les systèmes dynamiques afin de créer des systèmes cybernétiques réactifs et capables d’assimiler des connaissances à partir de données environnementales extrêmement avancés. Les robots développés par Nørdvisk Dynamics sont principalement conçus pour des applications militaires, médicales et industrielles.

A la base, il s’agit d’un projet de recherche, développé par quatre apprentis ingénieurs de l’Académie des Sciences d’Oxenfurt, tous originaires de la ville de Nørdvisk : Wilbur Mycroft, Sybille D'Arcueil, Tobias Acht-Mäyer, Neville Lagerlöf. L’objet des recherches des jeunes scientifiques est l'étude des systèmes contrôlés et des systèmes automatiques. L’équipe s'intéresse aux structures autonomes et contrôlés à distance et à la façon dont ils peuvent interagir avec leur environnement, et l’étude des réponses que ces systèmes peuvent proposer face à des problèmes à la résolution assez simple. Après avoir obtenu leur diplôme en cybernétique et en automatisme appliqués à l'industrie, les 4 amis décident de fonder leur propre start-up afin de pouvoir continuer leurs recherches. Ils étudient notamment les mécanismes de rétroaction, l'analyse des systèmes complexes, la commande et le contrôle des systèmes, la prise de décision et l'automatisation, ainsi que la miniaturisation. Les variations comportementales des premiers automates les fascinent. Ils produisent leur premier ersatz robotique en 1991, le G-Robot qui aujourd’hui paraît bien désuet mais qui est une révolution à l’époque : le petit automate, qui ressemble à un petit chien, est capable de générer des réponses pertinentes et d'interpréter le ton et le comportement de son interlocuteur, et de s’adapter en retour.
Le succès commercial est au rendez-vous, on s’arrache le G-Robot, au point que les chaînes d’assemblage sont dépassées et qu’on en vient à manquer de composants.

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Nørdvisk Dynamics noue alors un partenariat avec une société bien établie d’électronique de la Troisième République du Jashuria, Omnitech Inc™, un des leaders dans la fabrication de semi-conducteurs, et notamment de puces miniaturisées, un composant indispensable aux activités de Nørdvisk Dynamics Une joint venture mutuellement avantageuse et prolifique pour les deux société. Omnitech Inc™ ouvre une usine de production de composants électroniques spécifiquement dédiés aux calculateurs et de micro-processeurs, dans le Northerlands.
Réciproquement, Nørdvisk Dynamics ouvre un centre d'essais et analyses au Jashuria, ce dernier abritant nombre d'ingénieurs et de techniciens hautement qualifiés dans ce domaine.

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Les projets de développement s’enchaînent alors, la start-up devant rapidement une compagnie à plus de 1000 salariés, et mettant sur le marché de nombreux bras robots et systèmes automatisés semi-autonomes pour l’industrie et le complexe militaro-industriel.
Les premiers drônes de reconnaissance Loki sont produits pour le Département d’Etat à la Défense en 1999, et qui seront rapidement remplacés par leur modèle supérieur en seulement 5 années après, les Loki II.

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Parallèlement, une autre branche de Nørdvisk Dynamics se dédie à la bio-ingéniérie, en développant tout d’abord des prothèses biomécaniques articulées adaptables aux amputés et grands blessés de guerre et dont les mouvements précis sont contrôlables grâce aux influx nerveux des patients. D’autres produits comme les exosquelettes, les capteurs extra-sensorielles à correction de cornée, permettant par exemple aux malvoyants et aux aveugles de recouvrer près de 50% de leur vision est une autre avancée majeure dans le domaine du médical. En 2008, l’entreprise fait un bon en avant dans le domaine dit du transhumanisme, en concevant un appareil capable de d’amplifier certaines facultés cognitives et de corriger certains troubles moteurs, notamment grâce à des implants invasifs à la base du cervelet, permettant notamment aux malades de Parkinson de retrouver une quasi autonomie de leur mouvements, et aux malades d’Alzheimer de réduire les intensités des crises et de ralentir la détérioration de leurs facultés.
Malheureusement toutes ces avancées techniques ne font que freiner l'apparition des symptômes de la maladie et soulager les patients mais ne peuvent en aucun cas stopper le processus de dégradation liée aux affections pathologiques.


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En 2009, Nørdvisk Dynamics annonce avoir signé un contrat record de 500 millions de Dråkks ( ₭) pour un projet de recherche en développement en collaboration étroite avec la Thylacine Corporation. Le projet de R&D vise à développer des nanotechnologies et plus spécifiquement des matériaux dits «bio-hybrides», obtenus en combinant des biomolécules telles que des protéines et des enzymes avec des matériaux synthétiques en très petites quantités dans lesquels seraient encapsulés des enzymes qui agissent une fois que ces capsules sont absorbées par l'organisme, par destruction naturelle de l’enveloppe par les défenses immunitaires. Ces vecteurs protègent la molécule et la transportent là où elle est nécessaire. Comme elles sont fabriquées chimiquement, ces nanoparticules sont plus facilement acceptées par les cellules humaines. Ce qui laisse des perspectives d’application médicales et pharmaceutiques très nombreuses, spécifiquement dans le traitement oncologique et de plusieurs tumeurs, et qui a fortement intéressé le leader mondial des médicaments et des dispositifs médicaux.
L’action de Nørdvisk Dynamics sur la première cotation boursière lofotène est largement sous-évaluée, l’entreprise pourrait à terme, si ses brevets aboutissent, à devenir rapidement la 5ème ou 4ème entreprise des Provinces-Unies.

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  • Nom officiel de la société : L.I.G ™
  • Forme juridique : Compagne privée
  • Cotée en bourse : Oui
  • Date de création : 1929
  • Adresse de son siège social : 5, rue Følyker Astered, Pembertøn
  • Secteur d’activités : Assurances, groupe immobilier, produits financiers.
  • Nombre de salariés : 6700
  • Présence à l’international : Makt, Saint-Marquise,Jashuria, Alguarena, Youslévie, Elpidia, Novigrad, Grand Kah
  • Chiffre d’affaires annuel : ₭ 1 360 852 500 en 2010
  • PDG si applicable : Alicia Jacobson
  • Contacter la société : publicrelations@lig.upl
  • Site internet : www.lig.upl
  • Projet en cours ou prévus : Achats d'immeubles et de terrains au Pontarbello et en Youslévie pour accroître les parts de marché en Eurysie et dans la Paltoterra


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Le siège social de L.I.G, dans le quartier de la finance de la capitale fédérale Pembertøn

Description et histoire de l’entreprise

La société lofotène LIG, également connue sous le nom de Lofoten International Group, est une compagnie d'assurance, de services financiers et de produits immobiliers. Son histoire remonte à 1929, lorsque Aloïsius Dänikken a fondé l'Aleucia Nazumi Underwriters (ANU) à Agarta. L'ANU offrait des assurances et des solutions de logements temporaires pour les expatriés lofotènes au Nazum, et plus particulièrement au Jashuria, où une diaspora lofotène très importante contribue à l'économie nationale.

En 1946, Aloïsius Dänikken rentre à Pembertøn, et établit dès lors une nouvelle société de type holding appelée Lofoten International Corporation (LIC) pour étendre ses activités au-delà du Nazum. Au fil des années, LIC s'est développée et a commencé à proposer des services d'assurances diverses et variées dans d'autres régions du monde et notamment en Eurysie, région où les risques encourrus par les ressortissants lofotènes sont plus élevés étant donné l'instabilité du continent, et sa propension à générer des zones de conflits

En 1967, la société a été renommée Lofoten International Group (LIG) pour mieux refléter sa portée mondiale croissante, et l'intégration des activités immobilières, qui deviennent de plus en plus prépondérantes. LIG a ensuite poursuivi son expansion et s'est diversifiée dans différents domaines de l'assurance et des services financiers, y compris l'assurance vie, l'assurance d'hypothèques, de prêts bancaires, l'assurance automobile, habitation et l'assurance maladie.

Au début des années 2000, LIG est l'une des plus grandes compagnies d'assurance au monde, ainsi que le deuxième groupe foncier et immobilier du pays. Leur stratégie repose en partie sur l'achat de terrains et de foncier à très bas coût, puis à les découper en lots standards, et à les revendre ensuite quand le marché immobilier remonte.
Cette stratégie s'est révélée extrêmement lucrative, notamment dans les pays émergents sur lesquels la compagnie a misé, comme le Pontarbello, le Novigrad et la Youslévie.

Cependant, en 2006, la société est confrontée à une crise financière majeure, lorsque son PDG, Rufus Georges Wright se retrouve impliqué dans un scandale de délits d'initiés liées à des activités douteuses de produits dérivés risquées. Les liens avec la mafia pharoise et carnavalaise éclaboussent l'image jusque là lisse et soignée de la compagnie, qui avait jusqu'à présent misé sur l'intégrité et l’éthique de ses produits

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Un ex-employé de LIG lors de la crise que traverse la compagnie, lorsque la société se déclare officiellement en faillite en octobre 2006. L'entreprise consentira en échange d'un prêt fédéral à se séparer de près d'un milliers de salariés aux Provinces-Unies et dans le monde.


Lorsque le scandale a éclaté et que les marchés financiers se sont effondrés suite à ces révélations, LIG s'est retrouvée au bord de la faillite en raison de ses engagements financiers importants. Le gouvernement fédéral lofotène de Sigrid Olfgarsson est alors intervenu pour sauver l'entreprise en lui accordant un prêt fédéral de sauvetage de 85 milliards de Dråkks, ce qui alors a valu de très nombreuses critiques à sauver un établissement qui s'était compromis dans des malversations financières.

Le sauvetage de l’entreprise LIG a été très controversé et a suscité un débat au sein de plusieurs partis politiques sur les interventions gouvernementales dans les entreprises privées. Le parti Unioniste, dont l'idéologie est généralement partisane du laissez-faire, avait dû revoir sa copie quand le gouvernement s'était aperçu que si l'entreprise LIG faisait faillite, des milliers de petits épargnants et petit propriétaires, en grande majorité de la classe moyenne lofotène, se retrouveraient ainsi ruinés.
Dans les années qui ont suivi, LIG a vendu plusieurs de ses filiales, et de nombreuses acquisitions foncières pour rembourser son prêt au gouvernement fédéral. La société a également mis en œuvre des mesures pour renforcer sa gouvernance d'entreprise et réduire les risques liés à ses activités.

Aujourd'hui, LIG est toujours active dans le secteur de l'assurance et de l'immobilier et fournit une gamme de produits et de services financiers à des clients à travers le monde. La société se concentre sur la gestion des risques et a considérablement réduit son exposition à un retournement possible du marché immobilier.
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  • Nom officiel de la société : Flixtube ™
  • Forme juridique : Compagne privée
  • Cotée en bourse : Oui
  • Date de création : 1980
  • Adresse de son siège social : 10, avenue du Général Soderling , Fort-Saint-Augustin
  • Secteur d’activités : Divertissements, jeux videos, VOD, casinos, activités digitales et numériques
  • Nombre de salariés : 3200
  • Présence à l’international : Alguarena, Makt, Novigrad, Grand Kah, Youslévie, Saint Marquise, Amnestie, Canta, Carnavale, Jashuria, Fujiwa
  • Chiffre d’affaires annuel : ₭ 1 290 949 500 en 2010
  • PDG si applicable : Marius De Lunéville
  • Contacter la société : contact-public@flixtube.upl
  • Site internet : www.flixtube.upl
  • Projet en cours ou prévus : Ouverture d'un casino à Carnavale


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Le siège social de Flixtube, dans la banlieue de Fort-Saint-Augustin, dans le Fylke de Pont-Rouge, dans le Landsdeler du Midlands

Description et histoire de l’entreprise

La société Flixtube est un éditeur et développeur de jeux vidéos, de solutions digitales et numériques, et un grand acteur du divertissement, avec ses plateformes de videos à la demande très populaires. Ils sont également propriétaires de plusieurs casinos et de cercle de jeux, et détiennent plusieurs sites de paris sportifs et de jeux de cartes en ligne, tels que Pokermoon.upl, et Valve.upl.

Son histoire remonte à 1986, lorsque les quatre frères De Lunéville (Marius, Claude, Michel, et Gérard) des techniciens en informatique originaires du Midlands, ont fondé l'entreprise à Port-Sainte-Anne, en province de Montcalm. À ses débuts, la société s'appelle Flix, et ils rachètent le casino Silver Globe dans la capitale du Landsdeler du Midlands. Ils font le pari de la révolution numérique et digitale, et développent les premiers logiciels et jeux videos qui vont venir remplacer les machines à sous mécaniques classiques.

Le succès est fulgurant, le casino Silver Globe est l'un des premiers à être entièrement équipés de jeux d'arcades et de machines à sous digitales. En 1991, soit en 5 années à peine, ils deviennent les exploitants principaux de tous les casinos de Port-Sainte-Anne.
Mais dans les années 90, les quatre frères sentent que le divertissement domestique et familial a le vent en poupe, et ils se détournent des casinos pour se concentrer principalement sur l'édition et la distribution de logiciels et de jeux vidéos dans les Provinces-Unies.

En 1992, la société Flix a pris une nouvelle direction en développant et en publiant ses jeux vidéo en son nom propre. Leur premier succès notable est arrivé en 1993 avec le jeu "Deadland" (connu sous le nom de "Pays des morts" dans une partie de l'Eurysie), qui a globalement bien été accueilli par les joueurs.

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La société Flix prospère au début des années 90 et vers la fin des années 80 en exploitant de nombreuses salles d'arcades et casinos.

Au cours de toute la décénnie des 90, Flix a continué à se développer et à élargir sa présence internationale. L'entreprise a ouvert de nouveaux studios en principalement en Elpidia, en Novigrad, au Jashuria. Elle a également acquis plusieurs studios de développement de jeux vidéo au Grand Kah, dont la société Bebop Killagong, renforçant ainsi ses capacités de création de contenu original. L'autre spécificité du la société Kah-tanaise Bebop Killagong, c'est qu'elle était également créatrice et distributrice d'animes et de mangas, et très connue dans le monde de l'édition de produits dérivés. Une diversification des activités bienvenue, alors qu'à la fin des années 90 la fréquentation des salles d'arcades et des casinos décroit au profit du divertissement dit domestique telles que les consoles de jeux individuelles.

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Le jeu video a connu sa révolution grâce au succès commercial de la franchise "Artman" dont le personnage principal a été créé par les dessinateurs du studio kah-tanais Bebop Killagong

Flix a connu un succès commercial majeur et international en 1997 avec la sortie du jeu "Artman", qui est devenu l'une de ses franchises les plus emblématiques. Au fil des années, la société a continué à développer de nouvelles franchises à succès, telles que "Murderer's Creed", et "Close Cry", dont de nombreuses personnages ont été créés par les dessinateurs kah-tanais du studio Bebop Killagong, dont certains ont décidé d'émigrer aux Provinces-Unies afin de bénéficier de l'expertise lofotène en terme d'attente des joueurs et de la multiplication des choix et plateformes de divertissements. En outre, les animes et les mangas kah-tanais jouissent depuis de nombreuses années d'une incroyable popularité aux Provinces-Unies.

En plus de ses succès commerciaux, Flix a également été reconnue pour son engagement envers l'innovation et la créativité dans l'industrie du divertissement en lançait sa première console de jeu la Goldstation, puis en lançant sa toute première plateforme de vidéos en ligne et de création de contenus originaux, Youvid, en 1999.
L'entreprise a développé des technologies de pointe, telles que le moteur de jeu Orion Framework, qui permet aux développeurs de créer des jeux avec des graphismes artistiques et originaux.

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La plateforme de videos Youvid

En 2003, Youvid devient la première plateforme de videos en ligne et de films VOD, en acquérant les sociétés de plateformes de videos documentaires Deepblue et Gambling Entertainment, qui produisait notamment de nombreuses séries.
En 2004, la société Flix devient Flixtube, et est un acteur majeur incontournable dans le secteur du divertissement numérique, de la création originales de contenus culturels et de l'édition de jeux vidéos.
Ils produisent également des films, des séries, et des animes.

En 2007, la société Flixtube entre en bourse, après avoir racheté l'exploitant de jeux d'argents en ligne, la Lofotène des Jeux. Elle opère un tournant, dans le monde du jeu et du divertissement en diversifiant ses activités dans celles des paris sportifs et des jeux de cartes en ligne, comme Pokermoon.upl, qui rassemble près d'un million de joueurs de poker réguliers. Une manne financière qui propulse l'action de Flixtube parmi les licornes du Pembex30. Flixtube est aujourd'hui leader dans le monde des jeux en lignes et des jeux videos, et sa dernière console, la GS4, s'est vendue à plusieurs dizaines de millions d’exemplaires à travers le monde

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Les salles de jeu et de paris en ligne sont une manne financière très importante pour la société Flixtube
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