Activités intérieures
Topic conçu pour répondre aux activités étrangères en Loduarie Communiste, et pour plusieurs RP (avec ou sans importance).
Activités intérieures en Loduarie Communiste
Posté le : 22 jui. 2022 à 10:02:01
130
Posté le : 22 jui. 2022 à 10:52:10
2898
Catégorie : RP avec importance
17/02/2008, 3 heures 17 minutes
Lyonnars, capitale de la Loduarie communiste
Ils avançaient en direction de l'immeuble cible. L'escadron militaire en direction se constituait de 4 soldats, équipés de leurs armes d'infanterie habituelles. Ils avaient étés déposés par un véhicule de transport de troupes militaire, 2 rues plus loin. Deux équipes avaient étés constitués : l'équipe 1, qui était partie dans le secteur est et l'équipe 2 dans le secteur ouest.
Jacques faisait partie de l'équipe 1, celle qui s'approchait de l'immeuble cible.
Opérateur : Ici équipe 1, nous sommes en face de l'immeuble cible. Attendons ordres.
Radio : Équipe 1, vous pouvez entrer dans l'immeuble. Les cibles se trouvent à l'étage 4, porte 3. Terminé.
Opérateur : Ici équipe 1, bien reçu. Nous entrons dans l'immeuble. Terminé.
L'équipe entra dans l'immeuble, puis monta jusqu'à l'étage 4, porte 1.
Opérateur : Je frappe à la porte !
Coup sourd contre la porte ARMÉE LODUARIENNE ! OUVREZ !
Un homme fatigué ouvrit la porte, surpris de voir l'armé débarqué chez lui.
L'homme : Oui ?
On reconnaît son accent alguarenos prononcé dans son français.
Opérateur : Monsieur Juan Esteban Pareja, vous êtes un citoyen Alguarenos vivant en Loduarie, vous avez 35 ans. Vous avez un visa pour études du système énergétique Loduarien, et ce visa se termine le 10 mai 2008. L'ensemble de ces informations sont-elles vraies ?
Juan Esteban Pareja : Oui, pourquoi ? Mon visa n'est pas terminé plus tôt à cause de votre politique actuel, rassurez moi ?
Jacques nota les informations nécessaires sur un calepin.
Opérateur : Non monsieur, nous vous évacuons à un autre endroit pour votre sécurité. Vous pouvez emporter quelques affaires personnelles si vous souhaitez, ainsi que des vêtements. Un nouvel appartement va vous être fourni. Dès que vous aurez fini de rassembler vos affaires personnelles que vous souhaitez emporter, vous nous suiverez. Est-ce bon ?
Juan Esteban Pareja : Très bien, je reviens tout de suite.
L'homme repartit dans son appartement, et les soldats attendirent un petit temps.
Jacques fit un petit signe de tête à son coéquipier, pour signifier que tout allait bien. Celui-ci lui réduit son signe de la tête.
L'homme revint, avec une valise à la main.
Juan Esteban Pareja : Je suis prêt.
Opérateur : Très bien, suivez nous maintenant. Je vous remercie pour votre coopération.
Ils partirent de l'immeuble, en direction d'un véhicule de transport de troupes militaires. Il y avait déjà plusieurs personnes dedans, tous des civils. Avec cet homme, le véhicule était maintenant complet. Jacques ferma les portes arrières du véhicule, puis se dirigea vers son ami de l'équipe 2, Esteban.
Jacques : Alors, cette mission ?
Esteban : Ça va, on a eu en charge une famille Lofotenoise nous. Un homme, sa femme et son gosse. Et toi ?
Jacques : Oh, on a eu un Alguarenos, seul lui. Il avait l'air compréhensif. On va se boire une petite Vodka après la fin de la mission ?
Esteban : Allez vas y camarade !
HRP a écrit : Les ressortissants de chaque nation membre de L'ONC participant au conflit Prodnovien avec des forces militaires ont étés déplacés à des appartements sous haute surveillance, tout en leur laissant un grand confort. Ceux présents dans les ambassades présentent en Loduarie n'ont pas été déplacés, mais des véhicules de combat d'infanterie ainsi que plusieurs soldats surveillent maintenant les alentours de l'ambassade de Saint-Marquise et du Norstalkian.
Lyonnars, capitale de la Loduarie communiste
Ils avançaient en direction de l'immeuble cible. L'escadron militaire en direction se constituait de 4 soldats, équipés de leurs armes d'infanterie habituelles. Ils avaient étés déposés par un véhicule de transport de troupes militaire, 2 rues plus loin. Deux équipes avaient étés constitués : l'équipe 1, qui était partie dans le secteur est et l'équipe 2 dans le secteur ouest.
Jacques faisait partie de l'équipe 1, celle qui s'approchait de l'immeuble cible.
Opérateur : Ici équipe 1, nous sommes en face de l'immeuble cible. Attendons ordres.
Opérateur : Ici équipe 1, bien reçu. Nous entrons dans l'immeuble. Terminé.
L'équipe entra dans l'immeuble, puis monta jusqu'à l'étage 4, porte 1.
Opérateur : Je frappe à la porte !
Un homme fatigué ouvrit la porte, surpris de voir l'armé débarqué chez lui.
L'homme : Oui ?
On reconnaît son accent alguarenos prononcé dans son français.
Opérateur : Monsieur Juan Esteban Pareja, vous êtes un citoyen Alguarenos vivant en Loduarie, vous avez 35 ans. Vous avez un visa pour études du système énergétique Loduarien, et ce visa se termine le 10 mai 2008. L'ensemble de ces informations sont-elles vraies ?
Juan Esteban Pareja : Oui, pourquoi ? Mon visa n'est pas terminé plus tôt à cause de votre politique actuel, rassurez moi ?
Jacques nota les informations nécessaires sur un calepin.
Opérateur : Non monsieur, nous vous évacuons à un autre endroit pour votre sécurité. Vous pouvez emporter quelques affaires personnelles si vous souhaitez, ainsi que des vêtements. Un nouvel appartement va vous être fourni. Dès que vous aurez fini de rassembler vos affaires personnelles que vous souhaitez emporter, vous nous suiverez. Est-ce bon ?
Juan Esteban Pareja : Très bien, je reviens tout de suite.
L'homme repartit dans son appartement, et les soldats attendirent un petit temps.
Jacques fit un petit signe de tête à son coéquipier, pour signifier que tout allait bien. Celui-ci lui réduit son signe de la tête.
L'homme revint, avec une valise à la main.
Juan Esteban Pareja : Je suis prêt.
Opérateur : Très bien, suivez nous maintenant. Je vous remercie pour votre coopération.
Ils partirent de l'immeuble, en direction d'un véhicule de transport de troupes militaires. Il y avait déjà plusieurs personnes dedans, tous des civils. Avec cet homme, le véhicule était maintenant complet. Jacques ferma les portes arrières du véhicule, puis se dirigea vers son ami de l'équipe 2, Esteban.
Jacques : Alors, cette mission ?
Esteban : Ça va, on a eu en charge une famille Lofotenoise nous. Un homme, sa femme et son gosse. Et toi ?
Jacques : Oh, on a eu un Alguarenos, seul lui. Il avait l'air compréhensif. On va se boire une petite Vodka après la fin de la mission ?
Esteban : Allez vas y camarade !
Posté le : 27 jui. 2022 à 14:47:50
1608
Catégorie : RP avec importance
3 mars 2008, 15 heures 20 minutes.
Station radar militaire de Galaisie.
Tout était calme, dans le quartier général de la station radar militaire de Galaisie. Aucun son, aucun dérangement, le calme plat. Seulement la routine habituelle.
Une communication vint troubler ce calme.
Ici station radar numéro 4, côté est de Galaisie. Nous avons détecté 2 avions militaires Lofotèns. Ceux-ci n'ont pas franchit l'espace aérien Loduarien, mais passent à côté des frontières aériennes Loduarienne. Il est possible qu'ils ne soit pas seuls. Nous recommandons de faire attention. Terminé. Le commandement général du quartier-général des stations radars de Galaisie ne tarda pas à répondre.
Mobilisez l'artillerie anti-aérienne présente dans le secteur. Nous devons être préparés à toute éventualité.
15 minutes plus tard.
Camarades, les avions militaires Lofotèns sont accompagnés d'un AWACS, ainsi que de deux avions de guerre électroniques. Ils n'ont toujours pas franchit l'espace aérien Loduarien. Nous recommandons vivement la prudence. Terminé. Mobilisez 5 avions de chasse Sukhoï-Su7. Attention, ne vous approchez pas d'eux, et restez dans l'espace aérien Loduarien.
HRP a écrit : Suite à la décision du Lofoten de mobiliser du matériel militaire aérien afin de surveiller les alentours de l'espace aérien Loduarien, 5 avions de chasse de type Sukhoï-Su7 (niveau 4) ainsi que de 15 canons antiaeriens niveau 1 et 4 DCA lance missile ont étés mobilisés par l'armée Loduarienne. Elle dispose aussi d'une aide radar sol-air. Le matériel Loduarien mobilisé doit patrouiller sans provoquer l'armé aérienne Lofotène. Si nécessaire, les avions de chasse de type Sukhoï-Su7 niveau 4 ont pour ordre de faire pression sur les aéronefs Lofotèns qui s'approchent trop près des l'espace aérien Loduarien.
Station radar militaire de Galaisie.
Tout était calme, dans le quartier général de la station radar militaire de Galaisie. Aucun son, aucun dérangement, le calme plat. Seulement la routine habituelle.
Une communication vint troubler ce calme.
Mobilisez l'artillerie anti-aérienne présente dans le secteur. Nous devons être préparés à toute éventualité.
Posté le : 01 août 2022 à 08:01:27
2898
Catégorie : RP avec importance.
15 mars 2008, 20 heures 09 minutes.
Quartier général des stations radars militaires de Dolinne.
Il faisait nuit, et la plupart des soldats présents ce cette journée là, au quartier général des radars militaires de la région de Dolinne s'apprêtaient à rentrer chez eux, en étants remplacés par la garde de nuit. Ils n'en eurent pas le temps.
Une puissante alarme sonna, sortant de la torpeur chaque soldat un peu assoupi. Immédiatement, le commandement central demanda l'origine de la sonnerie.
Ici commandement central à toutes les stations radars, quelle est la station ayant déclenché l'alarme de niveau 3 ?
Ici station 2, c'est nous. Un dirigeable Lofotèns s'approche de notre espace aérien par l'ouest. Il pert de l'altitude et ne semble pas maître de sa trajectoire.
Très bien station 2, tentez de rentrer en contact avec l'équipage du dirigeable. Terminé.
Très bien, terminé.
15 minutes plus tard.
Le dirigeable demande de l'aide. Ils perdent de l'altitude et n'arrivent pas à modifier leur trajectoire. Il y a plusieurs étrangers à bord.
Très bien. Envoyez 2 hélicoptères de transport moyen afin de les aider à se poser. Les deux hélicoptères devront se positionner de manière parallèle au dirigeable de chaque côté de celui-ci. Ils devront accrocher le dirigeable et l'emmener à la base militaire aérienne la plus proche. Au cas où, notre artillerie antiaerienne doit être prête. Initiez cette opération dès la rentrée du dirigeable dans l'espace aérien Loduarien. Terminé.
Très bien, nous transmettons les ordres de mission dès maintenant. Terminé. Les soldats présents au quartier général étaient sous pression. Il était clair que la situation devait être entièrement sous leur contrôle. Car ils avaient possiblement le poids d'une guerre sur les épaules.
22 minutes plus tard
Le commandement général attendait le résultat de la mission. Jusqu'à maintenant, tout se déroulait comme sur des roulettes, les deux hélicoptères ayant réussi à contrôler partiellement le dirigeable. Ils étaient actuellement en train de le déposer à terre.
Ici hélicoptère MILM-28-7. La mission est une réussite, le dirigeable vient d'être déposé à terre. Nous allons procéder à l'évacuation des civils et de l'équipage à bord. Le dirigeable va être mis sous bonne garde en attendant, et également inspecté avec le plus grand soin. Terminé.
Bien reçu hélicoptère MILM-28-7. Station radar 2, du nouveau ?
Ici station radar 2, il semblerait que l'aviation militaire du Lofoten vienne d'arriver. Ils n'ont pas pénétré notre espace aérien et nous leurs avons envoyé des mises en garde, et nous les avons également rassuré sur le sort du dirigeable. Nous attendons leur réaction. Terminé.
Reçu 5 sur 5, station radar 2. Faites tout votre possible pour les tenir éloignés de nos frontières aériennes. Terminé.
Le commandement général s'adressa à ses supérieurs hiérarchiques, c'est à dire les généraux de l'armée de l'air.
Généraux, la situation est sous contrôle. L'appareil a été détourné et les civils et les équipages sont en train d'être évacués et mis sous protection Loduarienne. Le plan gouvernemental fonctionne parfaitement. Terminé.
La situation était pleinement sous contrôle. Le plan Loduarien avait fonctionné, et il était temps de faire fonctionner la diplomatie maintenant.
Quartier général des stations radars militaires de Dolinne.
Il faisait nuit, et la plupart des soldats présents ce cette journée là, au quartier général des radars militaires de la région de Dolinne s'apprêtaient à rentrer chez eux, en étants remplacés par la garde de nuit. Ils n'en eurent pas le temps.
Une puissante alarme sonna, sortant de la torpeur chaque soldat un peu assoupi. Immédiatement, le commandement central demanda l'origine de la sonnerie.
Ici commandement central à toutes les stations radars, quelle est la station ayant déclenché l'alarme de niveau 3 ?
Très bien station 2, tentez de rentrer en contact avec l'équipage du dirigeable. Terminé.
15 minutes plus tard.
Très bien. Envoyez 2 hélicoptères de transport moyen afin de les aider à se poser. Les deux hélicoptères devront se positionner de manière parallèle au dirigeable de chaque côté de celui-ci. Ils devront accrocher le dirigeable et l'emmener à la base militaire aérienne la plus proche. Au cas où, notre artillerie antiaerienne doit être prête. Initiez cette opération dès la rentrée du dirigeable dans l'espace aérien Loduarien. Terminé.
22 minutes plus tard
Le commandement général attendait le résultat de la mission. Jusqu'à maintenant, tout se déroulait comme sur des roulettes, les deux hélicoptères ayant réussi à contrôler partiellement le dirigeable. Ils étaient actuellement en train de le déposer à terre.
Bien reçu hélicoptère MILM-28-7. Station radar 2, du nouveau ?
Reçu 5 sur 5, station radar 2. Faites tout votre possible pour les tenir éloignés de nos frontières aériennes. Terminé.
Le commandement général s'adressa à ses supérieurs hiérarchiques, c'est à dire les généraux de l'armée de l'air.
Généraux, la situation est sous contrôle. L'appareil a été détourné et les civils et les équipages sont en train d'être évacués et mis sous protection Loduarienne. Le plan gouvernemental fonctionne parfaitement. Terminé.
La situation était pleinement sous contrôle. Le plan Loduarien avait fonctionné, et il était temps de faire fonctionner la diplomatie maintenant.
Posté le : 15 août 2022 à 00:31:43
2261
Catégorie : RP avec importance.
27 avril 2008, 01 heures 00 minutes.
Frontière Clovanienne-Loduarienne.
Il faisait nuit. Une nuit noire, condition parfaite pour la mission qui l'attendait, lui, Albert, soldat de la Démocratie Communiste de Loduarie.
Albert se remémora l'ordre de mission. C'était son plus grand atout, sa mémoire infaillible qui lui permettait de se souvenir de tout dans les moindres détails.
Souvenir de Albert a écrit :
ORDRE DE MISSION
OPÉRATION BREBIS ROUGE
Cette ordre de mission est à exécuter le 27/04/2008, à 00h 00 minutes.
Il est secret et doit rester secret, sous peine de mort.
Déroulement de la mission :
Vous devrez aller au coordonnées indiquées ci-joint, et procéder à une sécurisation du périmètre. Vous serez appuyé par 2 véhicules de combat d'infanterie, 2 unités légères d'infanterie et 1 unité blindé d'infanterie.
Plusieurs exercices militaires seront réalisés sur le secteur est de la frontière pour servir de dissuasion. Afin d'éviter le pistage de vos conversations radio par l'armée Clovanienne, chaque conversation radio devra être prononcé en langue russe.
Trois personnes vont franchir la frontière. Apportez leur une aide dès leur franchissement. Si besoin, une ambulance sera mise à disposition ainsi que des rations d'urgence.
Ne tirez sur les soldats Clovaniens uniquement en cas de coup de feu venant de leur côté en direction du territoire Loduarien.
Albert releva la tête. Aucun homme ou femme n'arrivait. Le mirador Clovanien checka les environs avec sa puissante lumière, en face, en territoire Clovanien. Puis, il reçu une communication radio.
Здесь оператор 1, 3 мирных жителя приближаются. Это ожидаемые гражданские лица. Законченный.
Полученные 5 из 5, они перехвачены. Законченный.
Albert commença à voir les silhouettes des civils. Il leur fit un signe, celui qui disait qu'ils pouvaient avancer sans danger. L'espace avait nettoyé des mines pour l'occasion. Les civils passèrent la frontière sans aucune emcombre. Albert et ses collègues les accompagnerent à l'ambulance, pour vérifier que tout allait bien, puis ils purent manger un morceau. Ensuite, ils montèrent à bord d'un camion qui les emmèna en direction du camp militaire le plus proche.
C'était encore une mission réussie pour Albert. Il ne restait plus qu'à effacer toute trace comme quoi on aurait pu faire passer quelqu'un ici avec l'aide du gouvernement.
Une bonne journée, en somme.
Traduction des passages en russe :
Ici l'opérateur 1, 3 civils sont en approche. Il s'agit des 3 civils attendus. Terminé.
Reçu 5 sur 5, nous allons les intercepter. Terminé.
Frontière Clovanienne-Loduarienne.
Il faisait nuit. Une nuit noire, condition parfaite pour la mission qui l'attendait, lui, Albert, soldat de la Démocratie Communiste de Loduarie.
Albert se remémora l'ordre de mission. C'était son plus grand atout, sa mémoire infaillible qui lui permettait de se souvenir de tout dans les moindres détails.
OPÉRATION BREBIS ROUGE
Cette ordre de mission est à exécuter le 27/04/2008, à 00h 00 minutes.
Il est secret et doit rester secret, sous peine de mort.
Déroulement de la mission :
Vous devrez aller au coordonnées indiquées ci-joint, et procéder à une sécurisation du périmètre. Vous serez appuyé par 2 véhicules de combat d'infanterie, 2 unités légères d'infanterie et 1 unité blindé d'infanterie.
Plusieurs exercices militaires seront réalisés sur le secteur est de la frontière pour servir de dissuasion. Afin d'éviter le pistage de vos conversations radio par l'armée Clovanienne, chaque conversation radio devra être prononcé en langue russe.
Trois personnes vont franchir la frontière. Apportez leur une aide dès leur franchissement. Si besoin, une ambulance sera mise à disposition ainsi que des rations d'urgence.
Ne tirez sur les soldats Clovaniens uniquement en cas de coup de feu venant de leur côté en direction du territoire Loduarien.
Albert releva la tête. Aucun homme ou femme n'arrivait. Le mirador Clovanien checka les environs avec sa puissante lumière, en face, en territoire Clovanien. Puis, il reçu une communication radio.
Здесь оператор 1, 3 мирных жителя приближаются. Это ожидаемые гражданские лица. Законченный.
Полученные 5 из 5, они перехвачены. Законченный.
Albert commença à voir les silhouettes des civils. Il leur fit un signe, celui qui disait qu'ils pouvaient avancer sans danger. L'espace avait nettoyé des mines pour l'occasion. Les civils passèrent la frontière sans aucune emcombre. Albert et ses collègues les accompagnerent à l'ambulance, pour vérifier que tout allait bien, puis ils purent manger un morceau. Ensuite, ils montèrent à bord d'un camion qui les emmèna en direction du camp militaire le plus proche.
C'était encore une mission réussie pour Albert. Il ne restait plus qu'à effacer toute trace comme quoi on aurait pu faire passer quelqu'un ici avec l'aide du gouvernement.
Une bonne journée, en somme.
Traduction des passages en russe :
Ici l'opérateur 1, 3 civils sont en approche. Il s'agit des 3 civils attendus. Terminé.
Reçu 5 sur 5, nous allons les intercepter. Terminé.
Posté le : 06 sep. 2022 à 21:32:26
0
Catégorie : RP avec importance.
31/06/2008-15/07/2008
Golfe des Empires, eaux nationales Loduariennes et péninsule d'Astrana.
Les temps étaient graves. Alors que la situation politique internationale mondiale se détendait, le Golfe des Empires devenait une vraie cocotte minute. Des pirates communistes dans les mers, des sous-marins de diverses nations et organisations opposant les mers, des navires de guerre déployés en masse, un front se dessinant à la frontière Clovanienne-Loduarienne, et diverses autres sources de tensions toutes aussi importantes.
Alors que la Loduarie se préparait pour ses exercices militaires intensifs annuels, ces tensions et facteurs survenaient. Dans ce cadre là, la Loduarie avait décidé avec son partenaire Reylien de mener des exercices militaires aéro-navaux dans les mers Loduariennes et au dessus de la péninsule d'Astrana. Le porte-avions Reylien s'était donc déplacé depuis le Reylos jusqu'en Loduarie Communiste. Un long trajet, mais qui en valait la peine.
L'admiral Nakhimov voguant en direction de la Loduarie communiste
Les avions Loduariens décollant pour les exercices
Vue aérienne du porte-avions Reylien admiral Nakhimov
Bien entendu, il est fort probable que le porte-avions rencontre une quelconque marine étrangère autre que la Loduarie. Mais celle-ci sait que toute attaque contre le porte-avions Reylien admiral Nakhimov serait une déclaration de guerre injustifié envers le Reylos, qui entraînerait une entrée en guerre directe de la Loduarie au côtés de son allié Reylien.
Les exercices se dérouleront en deux temps.
Pour la première semaine, les avions Loduariens mèneront des exercices aériens au dessus des mers et du territoire Loduarien, voir plus loin si il le faut. Ces entraînements pourront familiariser les pilotes à l'attaque sur secteur naval et terrestre à partir du porte-avions.
La deuxième semaine sera un entraînement pour les navires. La marine Loduarienne et le porte-avions Reylien mèneront des exercices navals conjoints, afin de s'entraîner face à toutes les menaces navales.
Pour le dernier jour, un grand final sera organisé, notamment par un entraînement intensif aérien et naval réuni. Il se terminera par le survol de la capitale par une partie de la flotte aérienne Loduarienne.
Le porte-avions Reylien restera encore quelques jours en Loduarie, le temps que les 5 hélicoptères légers polyvalents de première génération puissent être fabriqués et placés sur le porte-avions.
Après son escale à Port-Lodin, celui-ci repartira et reprendra sa route à travers les mers du monde.
Golfe des Empires, eaux nationales Loduariennes et péninsule d'Astrana.
Les temps étaient graves. Alors que la situation politique internationale mondiale se détendait, le Golfe des Empires devenait une vraie cocotte minute. Des pirates communistes dans les mers, des sous-marins de diverses nations et organisations opposant les mers, des navires de guerre déployés en masse, un front se dessinant à la frontière Clovanienne-Loduarienne, et diverses autres sources de tensions toutes aussi importantes.
Alors que la Loduarie se préparait pour ses exercices militaires intensifs annuels, ces tensions et facteurs survenaient. Dans ce cadre là, la Loduarie avait décidé avec son partenaire Reylien de mener des exercices militaires aéro-navaux dans les mers Loduariennes et au dessus de la péninsule d'Astrana. Le porte-avions Reylien s'était donc déplacé depuis le Reylos jusqu'en Loduarie Communiste. Un long trajet, mais qui en valait la peine.
L'admiral Nakhimov voguant en direction de la Loduarie communiste
Les avions Loduariens décollant pour les exercices
Vue aérienne du porte-avions Reylien admiral Nakhimov
Bien entendu, il est fort probable que le porte-avions rencontre une quelconque marine étrangère autre que la Loduarie. Mais celle-ci sait que toute attaque contre le porte-avions Reylien admiral Nakhimov serait une déclaration de guerre injustifié envers le Reylos, qui entraînerait une entrée en guerre directe de la Loduarie au côtés de son allié Reylien.
Les exercices se dérouleront en deux temps.
Pour la première semaine, les avions Loduariens mèneront des exercices aériens au dessus des mers et du territoire Loduarien, voir plus loin si il le faut. Ces entraînements pourront familiariser les pilotes à l'attaque sur secteur naval et terrestre à partir du porte-avions.
La deuxième semaine sera un entraînement pour les navires. La marine Loduarienne et le porte-avions Reylien mèneront des exercices navals conjoints, afin de s'entraîner face à toutes les menaces navales.
Pour le dernier jour, un grand final sera organisé, notamment par un entraînement intensif aérien et naval réuni. Il se terminera par le survol de la capitale par une partie de la flotte aérienne Loduarienne.
Le porte-avions Reylien restera encore quelques jours en Loduarie, le temps que les 5 hélicoptères légers polyvalents de première génération puissent être fabriqués et placés sur le porte-avions.
Après son escale à Port-Lodin, celui-ci repartira et reprendra sa route à travers les mers du monde.
Posté le : 03 déc. 2022 à 00:39:54
3125
Catégorie : RP avec importance pour le joueur de la Youslévie et de la République Sociale de Prodnov
13 mars 2009, 8 heures 34 minutes.
Lyonnars, capitale de la Loduarie Communiste.
Lorenzo sorti de sa voiture, son arme à la ceinture et ses affaires de travail restant dans la voiture. Il se dirigea vers le bâtiment, rentra dedans après avoir lu l'inscription :
"Département des Armées de Terre : Secteur Offensif"
Il salua le secrétaire présent, et également les 2 soldats qui gardaient l'entrée. Il prit l'ascenseur, monta au 3ème étage, le plus haut, et se dirigea vers le bureau du Général Pyotr Jules Admasky. Là, il attendit en face de son bureau, et salua sa secrétaire, avant de lui demander quelque chose. Il lu rapidement son nom sur son bureau : Ingrid Jaworska, sûrement une réfugiée Prodnovienne. Pauvre fille. Si jeune, et pourtant obligé de quitter son pays à cause de l'expansion toujours plus importante et impérialiste du capitalisme... Lorenzo saluait ce courage. Quitter son pays n'était pas une mince affaire, surtout quand on se dirigeait vers la Loduarie, habituellement toujours très critiqué pour ses standards et ses décisions pour le moins restrictives et très peu tolérantes.
Camarade Ingrid Jaworska ? Salutations à vous. J'espère que vous vous portez en cette belle journée ! commença Lorenzo.
Bien, je viens voir le camarade Général Pyotr, donc si vous pouviez annuler ces rendez vous immédiats, et notamment modifier son emploi du temps actuel pour me rajouter dedans, ce serait bien, camarade. Notifiez le de ma présence et n'oubliez pas de dire que c'est une demande de ma part. Il ne faudrait qunil vous en rende responsable, voyons.
Elle appuya sur un petit interphone et prononca quelques mots dedans. Aussitôt, la porte du Général s'ouvrit.
Vous m'avez demandé, camarade Secrétaire Général ?
En effet, général !
Il se tourna vers Ingrid Jaworska.
Merci à vous, camarade. Passez une bonne journée.
Puis il rentra dans le bureau du général.
Camarade, donc. Tu dois bien te douter que si je viens maintenant, c'est avec une bonne raison.
Je suis à vous, camarade Secrétaire Général.
Bien. Je suis actuellement, depuis un certain temps, en train de discuter avec la toute nouvelle République Sociale de Prodnov. Comme tu le sais, ils mènent actuellement une politique de réarmement intensif. Suite à nos discussions, j'ai décidé d'envoyer un total de 2 500 officiers formateurs en République Sociale de Prodnov, afin de les aider au mieux. Ainsi, la République Sociale de Prodnov pourra se voir doter d'une armée aussi grande que celle qui était jadis présente au Prodnov. Bien entendu, il nous faut un commandement pour gérer ses unités, et suite à ta mobilisation sous les ordres du Camarade Général Marc Evans, et ensuite le placement de notre base militaire au Reylos sous ton commandement, j'ai également décidé de te nommer responsable de l'opération de soutien au troupes Prodnoviennes, opération qui sera nommé l'opération Feuillus Marron. Les unités partiront dans deux jours, le 15. Est-ce bon ? Sache qu'une fiche d'information complémentaire sera donnée, et je te mettrai en contact avec l'état Major de la République Sociale de Prodnov, ce qui ne devrait pas être compliqué.
C'est tout bon, camarade Secrétaire Général.
Hé bien parfait général, c'est tout ce que j'avais à dire. Je ne te dérange pas plus longtemps, j'ai des affaires à régler, et toi aussi sûrement. Passe une bonne journée.
Bonne journée, camarade Secrétaire Général, et à bientôt !
Aussitôt, Lorenzo sortit du bureau. Il repassa par le même chemin qu'il avait emprunté pour venir, resalua ceux qui croisaient sa route, sortit du bâtiment et monta dans sa voiture. Là, il démarra, direction l'Assemblée.
Lyonnars, capitale de la Loduarie Communiste.
Lorenzo sorti de sa voiture, son arme à la ceinture et ses affaires de travail restant dans la voiture. Il se dirigea vers le bâtiment, rentra dedans après avoir lu l'inscription :
"Département des Armées de Terre : Secteur Offensif"
Il salua le secrétaire présent, et également les 2 soldats qui gardaient l'entrée. Il prit l'ascenseur, monta au 3ème étage, le plus haut, et se dirigea vers le bureau du Général Pyotr Jules Admasky. Là, il attendit en face de son bureau, et salua sa secrétaire, avant de lui demander quelque chose. Il lu rapidement son nom sur son bureau : Ingrid Jaworska, sûrement une réfugiée Prodnovienne. Pauvre fille. Si jeune, et pourtant obligé de quitter son pays à cause de l'expansion toujours plus importante et impérialiste du capitalisme... Lorenzo saluait ce courage. Quitter son pays n'était pas une mince affaire, surtout quand on se dirigeait vers la Loduarie, habituellement toujours très critiqué pour ses standards et ses décisions pour le moins restrictives et très peu tolérantes.
Camarade Ingrid Jaworska ? Salutations à vous. J'espère que vous vous portez en cette belle journée ! commença Lorenzo.
Bien, je viens voir le camarade Général Pyotr, donc si vous pouviez annuler ces rendez vous immédiats, et notamment modifier son emploi du temps actuel pour me rajouter dedans, ce serait bien, camarade. Notifiez le de ma présence et n'oubliez pas de dire que c'est une demande de ma part. Il ne faudrait qunil vous en rende responsable, voyons.
Elle appuya sur un petit interphone et prononca quelques mots dedans. Aussitôt, la porte du Général s'ouvrit.
Vous m'avez demandé, camarade Secrétaire Général ?
En effet, général !
Il se tourna vers Ingrid Jaworska.
Merci à vous, camarade. Passez une bonne journée.
Puis il rentra dans le bureau du général.
Camarade, donc. Tu dois bien te douter que si je viens maintenant, c'est avec une bonne raison.
Je suis à vous, camarade Secrétaire Général.
Bien. Je suis actuellement, depuis un certain temps, en train de discuter avec la toute nouvelle République Sociale de Prodnov. Comme tu le sais, ils mènent actuellement une politique de réarmement intensif. Suite à nos discussions, j'ai décidé d'envoyer un total de 2 500 officiers formateurs en République Sociale de Prodnov, afin de les aider au mieux. Ainsi, la République Sociale de Prodnov pourra se voir doter d'une armée aussi grande que celle qui était jadis présente au Prodnov. Bien entendu, il nous faut un commandement pour gérer ses unités, et suite à ta mobilisation sous les ordres du Camarade Général Marc Evans, et ensuite le placement de notre base militaire au Reylos sous ton commandement, j'ai également décidé de te nommer responsable de l'opération de soutien au troupes Prodnoviennes, opération qui sera nommé l'opération Feuillus Marron. Les unités partiront dans deux jours, le 15. Est-ce bon ? Sache qu'une fiche d'information complémentaire sera donnée, et je te mettrai en contact avec l'état Major de la République Sociale de Prodnov, ce qui ne devrait pas être compliqué.
C'est tout bon, camarade Secrétaire Général.
Hé bien parfait général, c'est tout ce que j'avais à dire. Je ne te dérange pas plus longtemps, j'ai des affaires à régler, et toi aussi sûrement. Passe une bonne journée.
Bonne journée, camarade Secrétaire Général, et à bientôt !
Aussitôt, Lorenzo sortit du bureau. Il repassa par le même chemin qu'il avait emprunté pour venir, resalua ceux qui croisaient sa route, sortit du bâtiment et monta dans sa voiture. Là, il démarra, direction l'Assemblée.
Posté le : 05 fév. 2023 à 01:44:37
3476
Catégorie : RP avec importance.
1er octobre 2009, 15 heures 20 minutes et 42 secondes
Mer du Nord Loduarienne, Région de Dolinne
FEU !
Tel furent les mots qui sortirent de l'amirauté Loduarienne, sous l'œil attentif du Secrétaire Général Loduarien. Et telle fut la réponse du croiseur lance-missiles lourds Loduarien, l'Amiral Geraert-Wojtkowiak.
Par 3 fois, cette action se produisit. Par 3 fois, le nouveau fleuron de la marine Loduarienne tira un puissant missile. Par 3 fois, un missile se dirigea vers les côtes Loduariennes, avant de pénétrer en profondeur dans le territoire Loduarien, pour couvrir une distance importante à travers les terres Loduariennes. Par 3 fois, on ordonna un nouvel exploit pour la Loduarie.
Ce test là était celui qui confirmerait les craintes et espoirs du monde entier : la Loduarie redevenait une puissance. Et pas une petite. Dans quelques minutes, on allait savoir si les missiles avaient correctement touchés leur cible. Dans quelques minutes, la Loduarie deviendra un puissance de rang mondial capable de s'engager dans d'importants théâtres d'opération.
En attendant ce résultat, on organisa toute une série de tests auxiliaires auquels les équipements du croiseur répondirent parfaitement bien : destruction de navires, destruction de torpilles, destruction d'appareils aériens...
Tous les systèmes étaient OK. La Loduarie était prête.
Centre pénitentier de la Région de Dolinne
Marcus était dehors. Il venait de sortir de la mine d'uranium dans laquelle il travaillait, et prenait une petite pause avec le reste de ses collègues. Pourquoi il était là ? Il avait volé la propriété de l'état. Ainsi, il s'était retrouvé pour 25 ans dans ce centre penitentier où les libertés n'existaient pas. Où les conditions de vie étaient déplorables et le travail forcé. Mais ça, seuls ceux qui vivaient ici le savaient. Il savait que personne ne prenait leur défense à l'international, car personne n'était au courant de leur existence. Marcus ruminait, quand un garde annonça que la pause était finie, et qu'il fallait retourner à la mine. Il se leva et se mis en marche au pas avec les autres détenus. Quand soudain, un bruit se fit entendre. Un bruit sourd et puissant, un bruit qui sortait de l'ordinaire de la mine. Tous se tournèrent en direction du bruit en question, détenus comme gardes. Et il les virent.
Un premier missile passa au dessus du centre pénitentier, puis un second, avant d'être suivi par un troisième, le dernier. À chaque passage, détenus comme garde suivèrent les missiles des yeux sans parvenir à les lâcher, jusqu'à la disparition du dernier. Il fut rapidement remplacé par un bruit sourd, celui d'une explosion lointaine. Marcus sut. La puissance du communisme Loduarien s'intensifiait.
Ex-camp de Jiluine, camp d'exécution de la Région de Dolinne
L'hélicoptère léger polyvalent présent sur le site vit l'impressionante explosion,qui se répéta 2 autres fois à d'autres endroits du bâtiment. À coup sûr, il n'y aurait plus besoin de retirer sur les bâtiments pour les détruire.
Le pilote transmis sa vision par radio au croiseur.
Mer du Nord Loduarienne, Croiseur lance-missiles lourds Loduarien Amiral Geraert-Wojtkowiak
Cible détruite.
Tels furent les mots qui finirent par tomber, et tels furent les mots qui étaient attendus. Aussitôt, le pression se relâcha au sein de l'amirauté Loduarienne, qui célébra cette victoire, toujours sous l'œil du Secrétaire Général. Le futur était beau, et surtout, il offrait beaucoup à la Loduarie.
Il était enfin temps pour le croiseur Loduarien de prendre véritablement son service, et de protéger la Loduarie.
Mer du Nord Loduarienne, Région de Dolinne
FEU !
Tel furent les mots qui sortirent de l'amirauté Loduarienne, sous l'œil attentif du Secrétaire Général Loduarien. Et telle fut la réponse du croiseur lance-missiles lourds Loduarien, l'Amiral Geraert-Wojtkowiak.
Par 3 fois, cette action se produisit. Par 3 fois, le nouveau fleuron de la marine Loduarienne tira un puissant missile. Par 3 fois, un missile se dirigea vers les côtes Loduariennes, avant de pénétrer en profondeur dans le territoire Loduarien, pour couvrir une distance importante à travers les terres Loduariennes. Par 3 fois, on ordonna un nouvel exploit pour la Loduarie.
Ce test là était celui qui confirmerait les craintes et espoirs du monde entier : la Loduarie redevenait une puissance. Et pas une petite. Dans quelques minutes, on allait savoir si les missiles avaient correctement touchés leur cible. Dans quelques minutes, la Loduarie deviendra un puissance de rang mondial capable de s'engager dans d'importants théâtres d'opération.
En attendant ce résultat, on organisa toute une série de tests auxiliaires auquels les équipements du croiseur répondirent parfaitement bien : destruction de navires, destruction de torpilles, destruction d'appareils aériens...
Tous les systèmes étaient OK. La Loduarie était prête.
Marcus était dehors. Il venait de sortir de la mine d'uranium dans laquelle il travaillait, et prenait une petite pause avec le reste de ses collègues. Pourquoi il était là ? Il avait volé la propriété de l'état. Ainsi, il s'était retrouvé pour 25 ans dans ce centre penitentier où les libertés n'existaient pas. Où les conditions de vie étaient déplorables et le travail forcé. Mais ça, seuls ceux qui vivaient ici le savaient. Il savait que personne ne prenait leur défense à l'international, car personne n'était au courant de leur existence. Marcus ruminait, quand un garde annonça que la pause était finie, et qu'il fallait retourner à la mine. Il se leva et se mis en marche au pas avec les autres détenus. Quand soudain, un bruit se fit entendre. Un bruit sourd et puissant, un bruit qui sortait de l'ordinaire de la mine. Tous se tournèrent en direction du bruit en question, détenus comme gardes. Et il les virent.
Un premier missile passa au dessus du centre pénitentier, puis un second, avant d'être suivi par un troisième, le dernier. À chaque passage, détenus comme garde suivèrent les missiles des yeux sans parvenir à les lâcher, jusqu'à la disparition du dernier. Il fut rapidement remplacé par un bruit sourd, celui d'une explosion lointaine. Marcus sut. La puissance du communisme Loduarien s'intensifiait.
L'hélicoptère léger polyvalent présent sur le site vit l'impressionante explosion,qui se répéta 2 autres fois à d'autres endroits du bâtiment. À coup sûr, il n'y aurait plus besoin de retirer sur les bâtiments pour les détruire.
Le pilote transmis sa vision par radio au croiseur.
Cible détruite.
Tels furent les mots qui finirent par tomber, et tels furent les mots qui étaient attendus. Aussitôt, le pression se relâcha au sein de l'amirauté Loduarienne, qui célébra cette victoire, toujours sous l'œil du Secrétaire Général. Le futur était beau, et surtout, il offrait beaucoup à la Loduarie.
Il était enfin temps pour le croiseur Loduarien de prendre véritablement son service, et de protéger la Loduarie.
Posté le : 09 avr. 2023 à 23:46:38
2867
Catégorie : RP avec importance.
3 février 2010, 6 heures 17 minutes et 24 secondes
Cimetière d'Astrana, Démocratie Communiste de Loduarie
Dans le noir de la nuit, une silhouette se détacha parmi les tombes. Marchant à travers ces dernières, on pouvait de loin comme de près ressentir sa présence. Et, on pouvait également sentir l'atmosphère changer après son passage. Une atmosphère lourde et remplie de mauvais souvenirs s'imposait. Une atmosphère tellement imposante, que n'importe quelle personne qui aurait eu à la supporter chaque jour aurait à coup sûr sombré dans une folie mortelle, voir aurait mis fin à ses jours.
Cette personne, c'était le Secrétaire Général Loduarien. En personne.
Au cours de sa vie, Lorenzo avait eu l'occasion d'expérimenter beaucoup de choses. Pour lui, depuis ses dix ans, la vie était pleine de surprises, des bons comme des mauvais. À coup sûr, il devait intéresser de nombreux psychologues, et à coup sûr, de nombreux d'entre eux, ceux qui ne retiennent que ce qu'ils veulent, l'aurait considéré comme un fou furieux bon à interner, voir à tuer. Oui, les gens comme ça ne manquaient pas. Mais si Lorenzo avait bien compris une chose, c'était que pour comprendre quelqu'un sans dire de conneries, il fallait être ce quelqu'un.
Salut, commença Lorenzo en s'asseyant à côté d'une tombe. Il ouvrit une bouteille de Vodka, en but une gorgé et la posa à côté de la tombe.
Comment tu vas, Frantseva ? Perso, bah pas super écoute.
Lorenzo s'arrêta et pensa longuement. Ça faisait longtemps qu'il n'était pas venu discuter avec les morts, très longtemps. Et son ancienne petite-amie attendait.
Tu sais, pas mal de choses on changé, depuis ma dernière venue. La Loduarie est devenue plus puissante que jamais. Nous avons de puissant alliés. Pourtant nos ennemis sont toujours là. Et nos ennemis viennent de nous déclarer la guerre.
Lorenzo se frotta le visage pensivement.
Ils ont osé, oui. Ils nous ont déclaré la guerre, ces salopards. Les capitalistes n'ont jamais reculé pour soumettre les peuples. Et qu'elle raison à leur opération ? Ah oui c'est vrai, un de mes alliés est trop menaçant à leurs yeux. Foutus salopards d'impérialistes...
Tu sais, je ne t'ai pas écouté. Pendant longtemps, j'ai fait ce que j'ai pu pour employer la diplomatie et être juste assez agressif. J'ai fait ce que j'ai pu pour conserver un équilibre dans notre monde. J'ai fait ce que j'ai pu, car je croyais au principe de coexistence pacifique. Tu m'as toujours dit de me montrer agressif dans mes actions, car tu ne doutais pas que j'arriverai à la tête de notre nation. Tu m'as toujours poussé à être sans pitié avec mes adversaires, et à faire payer à mes ennemis le prix qu'ils me doivent. Je ne l'ai pas fait.
Mais, ne t'inquiète plus pour ça maintenant. Tu pourras être fier de moi à l'avenir. Désormais, chacun de mes ennemis paiera. Ils sauront ce que c'est, la guerre. Ils sauront ce que c'est, perdre des proches, les voir mourir sous les balles. Ils sauront, et ils ressentiront chaque instant de cette guerre ignoble qu'ils ont initié. Et un jour, je te le promets : ils mourront ou devront se soumettre. Et si je n'y arrive pas, alors je n'aurais plus qu'à te rejoindre, mon amour.
Il caressa la tombe de ses doigts, but une nouvelle gorgé de l'alcool qu'il avait à la main, et resta assis ici sans bouger, pensif.
Plus jamais il ne ferait d'erreur face aux impérialistes, et plus jamais ceux-ci auront l'occasion de le menacer. Il partait en guerre.
Cimetière d'Astrana, Démocratie Communiste de Loduarie
Dans le noir de la nuit, une silhouette se détacha parmi les tombes. Marchant à travers ces dernières, on pouvait de loin comme de près ressentir sa présence. Et, on pouvait également sentir l'atmosphère changer après son passage. Une atmosphère lourde et remplie de mauvais souvenirs s'imposait. Une atmosphère tellement imposante, que n'importe quelle personne qui aurait eu à la supporter chaque jour aurait à coup sûr sombré dans une folie mortelle, voir aurait mis fin à ses jours.
Cette personne, c'était le Secrétaire Général Loduarien. En personne.
Au cours de sa vie, Lorenzo avait eu l'occasion d'expérimenter beaucoup de choses. Pour lui, depuis ses dix ans, la vie était pleine de surprises, des bons comme des mauvais. À coup sûr, il devait intéresser de nombreux psychologues, et à coup sûr, de nombreux d'entre eux, ceux qui ne retiennent que ce qu'ils veulent, l'aurait considéré comme un fou furieux bon à interner, voir à tuer. Oui, les gens comme ça ne manquaient pas. Mais si Lorenzo avait bien compris une chose, c'était que pour comprendre quelqu'un sans dire de conneries, il fallait être ce quelqu'un.
Salut, commença Lorenzo en s'asseyant à côté d'une tombe. Il ouvrit une bouteille de Vodka, en but une gorgé et la posa à côté de la tombe.
Comment tu vas, Frantseva ? Perso, bah pas super écoute.
Lorenzo s'arrêta et pensa longuement. Ça faisait longtemps qu'il n'était pas venu discuter avec les morts, très longtemps. Et son ancienne petite-amie attendait.
Tu sais, pas mal de choses on changé, depuis ma dernière venue. La Loduarie est devenue plus puissante que jamais. Nous avons de puissant alliés. Pourtant nos ennemis sont toujours là. Et nos ennemis viennent de nous déclarer la guerre.
Lorenzo se frotta le visage pensivement.
Ils ont osé, oui. Ils nous ont déclaré la guerre, ces salopards. Les capitalistes n'ont jamais reculé pour soumettre les peuples. Et qu'elle raison à leur opération ? Ah oui c'est vrai, un de mes alliés est trop menaçant à leurs yeux. Foutus salopards d'impérialistes...
Tu sais, je ne t'ai pas écouté. Pendant longtemps, j'ai fait ce que j'ai pu pour employer la diplomatie et être juste assez agressif. J'ai fait ce que j'ai pu pour conserver un équilibre dans notre monde. J'ai fait ce que j'ai pu, car je croyais au principe de coexistence pacifique. Tu m'as toujours dit de me montrer agressif dans mes actions, car tu ne doutais pas que j'arriverai à la tête de notre nation. Tu m'as toujours poussé à être sans pitié avec mes adversaires, et à faire payer à mes ennemis le prix qu'ils me doivent. Je ne l'ai pas fait.
Mais, ne t'inquiète plus pour ça maintenant. Tu pourras être fier de moi à l'avenir. Désormais, chacun de mes ennemis paiera. Ils sauront ce que c'est, la guerre. Ils sauront ce que c'est, perdre des proches, les voir mourir sous les balles. Ils sauront, et ils ressentiront chaque instant de cette guerre ignoble qu'ils ont initié. Et un jour, je te le promets : ils mourront ou devront se soumettre. Et si je n'y arrive pas, alors je n'aurais plus qu'à te rejoindre, mon amour.
Il caressa la tombe de ses doigts, but une nouvelle gorgé de l'alcool qu'il avait à la main, et resta assis ici sans bouger, pensif.
Plus jamais il ne ferait d'erreur face aux impérialistes, et plus jamais ceux-ci auront l'occasion de le menacer. Il partait en guerre.
Posté le : 01 sep. 2023 à 06:51:18
5407
Catégorie : RP avec importance, si vous êtes psychologue
21/06/2011, 9 heures 56 minutes
Lyonnars, capitale de la Loduarie communiste
Lorenzo termina ce qu'il était en train de faire. Rien de bien intéressant, juste une consultation sur l'état du nouveau sous-marin Loduarien, qui d'ailleurs n'était pas sensé exister. Il consulta sa montre : 9 heures 56 minutes. Il allait devoir partir bientôt si il ne voulait pas être en retard chez son ami, commandant en chef des forces spéciales. Ils avaient quelque chose à organiser. Mais pas seul, car les communalistes de L'ADPLC, profitant de leurs maigres pouvoirs à l'assemblée malgré l'état de dictature militaire, avait exigés qu'il soit accompagné par une de leur représentantes, Aube Thora, Commandante de l'armée de mer Loduarienne et fille de le défunt Amiral Williams Thora, commandant de l'ex-porte hélicoptères Loduarien Amiral Galaisie, coulé au large du Kronos Afaréen par l'ONC. Aube avait été très choquée par les événements à cette époque, et grâce à son parcours en place et une forme de "privilèges" au sein de la nation en raison des nombreux sacrifices de son père, elle était devenue officier de la marine facilement. On la promettait même au titre d'amiral.
Mais quel que soit son parcours, elle avait été, suite à des négociations entre Lorenzo et le parti des Communes Unies, envoyé en observatrice au rendez-vous entre Lorenzo et Maxime, le commandant en chef des forces spéciales Loduariennes.
Quelqu'un toqua à la porte du bureau du Secrétaire Général.
Entrez ! lança alors Lorenzo.
Une femme entra : Aube était enfin arrivée.
Vous êtes en retard, se contenta de dire Lorenzo.
Vous savez, vous n'êtes pas seul à avoir des affaires urgentes à régler dans la journée.
Vous m'en direz tant ! Sinon, vous êtes prête pour aujourd'hui ?
Totalement, camarade.
Bien, dans ce cas, n'attendons plus ou nous serons en retard. Je vous préviens, c'est moi qui conduit !
Lorenzo invita Aube à le suivre à travers les couloirs du vaste lieu qu'il habitait, et où il travaillait.
Pendant qu'ils marchaient, Auba lança la conversation sur un autre sujet.
Vous savez, vous ne pourrez pas toujours esquiver mes invitations à dîner, un jour.
Lorenzo s'alarma intérieurement. Il avait totalement oublié ce détail, bien que ce genre de détails soient difficiles à oublier. Cette députée de L'ADPLC, qui plus est soldate de haug rang, en pinçait pour lui, littéralement. Ce genre de choses n'était pas rare -après tout, n'était-il pas l'homme le plus puissant de toute la Loduarie ?- mais d'habitude, ces sentiments n'étaient jamais générés par un vrai amour, seul un jeu calculateur. Là, il le sentait, et ne se trompait pas : cette Aube ressentait véritablement quelque-chose pour lui, indépendamment de sa volonté.
Et vous savez aussi, je suis un homme très occupé, lança-t-il.
Vraiment ? Jusqu'à tard le soir ?
Oh que oui ! dit-il en ouvrant la portière passager de sa voiture à Aube. Il se devait d'être un minimum galant, au moins. Puis il monta lui même du côté conducteur, démarra et s'engagea sur les routes de Lyonnars, en direction de la maison de son ami.
Alors, vous êtes libre ce soir ?
Vous croyez vraiment que avec ce que j'ai à faire là, je serais libre ce soir ?
Et demain soir ?
Réunion avec des syndicats.
Et encore après ?
Rencontre avec la presse au sujet des exercices militaires à la frontière avec Teyla. Ils demandent des explications, notamment pourquoi on a pas prévenu Teyla.
Et encore encore après ?
Lorenzo la vit commencer à sourire un peu.
À vrai dire, je ne crois pas, en effet. Vous le saviez ?
Oh non, pas le moindre du monde ! s'exclama-t-elle, malgré son sourire malicieux qui la contredisait. Allez, s'il vous plaît, un seul fois, faites moi au moins ce plaisir... Vous ne vous vous engagez à rien après ça !
Raj, et puisque vous insistez, pourquoi pas ? lança-t-il, en souriant un peu lui aussi.
Je savais que vous accepteriez ! s'exclama-t-elle, lui donnant un petit coup volontairement du plat de la main sur la cuisse.
Hééé, calmez-vous, je conduis ! dit-il en lui rendant son coup. Et on n'attaque pas ainsi son supérieur, n'est-ce pas ? fit-il, malgré le fait que cette fois-ci, c'était à lui d'être trahi par son sourire.
Si vous y tenez...
Elle s'apprêtait à le taquiner encore un peu lorsque Lorenzo commença à ralentir.
Pas maintenant ! Nous sommes arrivés.
Il sorti de sa voiture, en fit le tour et ouvrit encore une fois la porte passager à Aube. Il avait ses raisons, après tout.
Les volets son fermés, est-ce normal ?
Pas que je sache... Étrange.
Il se dirigèrent vers la porte d'entrée, à laquelle Lorenzo frappa. Aucune réponse. Il recommença, et pareil. Toujours aucune réponse. Il fit cela encore trois fois avant de se décider à forcer la serrure cette fois-ci.
Vous savez forcer les serrures aussi facilement ?
Hé, j'ai fait la guerre, vous vous en rappellez ?
Lorenzo avança dans le couloir d'entrée. Rien, aucune lumière allumé, pas un chat. Il regarda un peu partout, et vit à l'étage un rayon de lumière. Pas une lumière naturelle, une lumière artificielle. Il monta, demandant à Aube de l'attendre en bas, et constata qu'elle provenait du bureau de Maxime. Il entra, et ne vit rien de bien spécial.
Mais que se passe-t-il ici bon sang de mer...
Il vit le revolver avant le corps.
Lorenzo tomba à genoux par terre.
Non, non, non putain !
Alarmée par le bruit, Aube monta directement. Elle aussi, elle vit le corps.
Maxime André, commandant en chef des forces spéciales Loduariennes, vétéran de la guerre civile Loduarienne, proche ami du Secrétaire Général Loduarien Geraert-Wojtkowiak Lorenzo, s'était suicidé d'une balle dans la tête.
Lorenzo commença à pleurer. La dernière fois que cela lui était arrivé, c'était il y a 14 ans. Sa petite amie à l'époque venait de mourir dans ses bras, touché par tes tirs. Il n'avait jamais oublié ce moment. Jamais. Et là, l'un de ses amis les plus proches venait de se suicider. La pression en lui explosa.
Aube, voyant sa détresse absolue, s'agenouilla à ses côtés, le prenant dans ses bras. Lorenzo ne résista même pas, lui qui d'ordinaire était si réactif. Elle prit soin d'alerter la médecine militaire -la seule qui ne poserai pas de question- et il restèrent comme ça, en attendant. Les sirènes des ambulances de la médecine militaire s'entendait au loin, et Aube, reprenant un peu ses esprits, emmena un Lorenzo chancelant à sa voiture. Cette fois-ci, ce fut elle qui ouvrit la porte passager à Lorenzo, et qui conduit. Elle le ramenait chez lui. Il allait avoir besoin de repos.
Lyonnars, capitale de la Loduarie communiste
Lorenzo termina ce qu'il était en train de faire. Rien de bien intéressant, juste une consultation sur l'état du nouveau sous-marin Loduarien, qui d'ailleurs n'était pas sensé exister. Il consulta sa montre : 9 heures 56 minutes. Il allait devoir partir bientôt si il ne voulait pas être en retard chez son ami, commandant en chef des forces spéciales. Ils avaient quelque chose à organiser. Mais pas seul, car les communalistes de L'ADPLC, profitant de leurs maigres pouvoirs à l'assemblée malgré l'état de dictature militaire, avait exigés qu'il soit accompagné par une de leur représentantes, Aube Thora, Commandante de l'armée de mer Loduarienne et fille de le défunt Amiral Williams Thora, commandant de l'ex-porte hélicoptères Loduarien Amiral Galaisie, coulé au large du Kronos Afaréen par l'ONC. Aube avait été très choquée par les événements à cette époque, et grâce à son parcours en place et une forme de "privilèges" au sein de la nation en raison des nombreux sacrifices de son père, elle était devenue officier de la marine facilement. On la promettait même au titre d'amiral.
Mais quel que soit son parcours, elle avait été, suite à des négociations entre Lorenzo et le parti des Communes Unies, envoyé en observatrice au rendez-vous entre Lorenzo et Maxime, le commandant en chef des forces spéciales Loduariennes.
Quelqu'un toqua à la porte du bureau du Secrétaire Général.
Entrez ! lança alors Lorenzo.
Une femme entra : Aube était enfin arrivée.
Vous êtes en retard, se contenta de dire Lorenzo.
Vous savez, vous n'êtes pas seul à avoir des affaires urgentes à régler dans la journée.
Vous m'en direz tant ! Sinon, vous êtes prête pour aujourd'hui ?
Totalement, camarade.
Bien, dans ce cas, n'attendons plus ou nous serons en retard. Je vous préviens, c'est moi qui conduit !
Lorenzo invita Aube à le suivre à travers les couloirs du vaste lieu qu'il habitait, et où il travaillait.
Pendant qu'ils marchaient, Auba lança la conversation sur un autre sujet.
Vous savez, vous ne pourrez pas toujours esquiver mes invitations à dîner, un jour.
Lorenzo s'alarma intérieurement. Il avait totalement oublié ce détail, bien que ce genre de détails soient difficiles à oublier. Cette députée de L'ADPLC, qui plus est soldate de haug rang, en pinçait pour lui, littéralement. Ce genre de choses n'était pas rare -après tout, n'était-il pas l'homme le plus puissant de toute la Loduarie ?- mais d'habitude, ces sentiments n'étaient jamais générés par un vrai amour, seul un jeu calculateur. Là, il le sentait, et ne se trompait pas : cette Aube ressentait véritablement quelque-chose pour lui, indépendamment de sa volonté.
Et vous savez aussi, je suis un homme très occupé, lança-t-il.
Vraiment ? Jusqu'à tard le soir ?
Oh que oui ! dit-il en ouvrant la portière passager de sa voiture à Aube. Il se devait d'être un minimum galant, au moins. Puis il monta lui même du côté conducteur, démarra et s'engagea sur les routes de Lyonnars, en direction de la maison de son ami.
Alors, vous êtes libre ce soir ?
Vous croyez vraiment que avec ce que j'ai à faire là, je serais libre ce soir ?
Et demain soir ?
Réunion avec des syndicats.
Et encore après ?
Rencontre avec la presse au sujet des exercices militaires à la frontière avec Teyla. Ils demandent des explications, notamment pourquoi on a pas prévenu Teyla.
Et encore encore après ?
Lorenzo la vit commencer à sourire un peu.
À vrai dire, je ne crois pas, en effet. Vous le saviez ?
Oh non, pas le moindre du monde ! s'exclama-t-elle, malgré son sourire malicieux qui la contredisait. Allez, s'il vous plaît, un seul fois, faites moi au moins ce plaisir... Vous ne vous vous engagez à rien après ça !
Raj, et puisque vous insistez, pourquoi pas ? lança-t-il, en souriant un peu lui aussi.
Je savais que vous accepteriez ! s'exclama-t-elle, lui donnant un petit coup volontairement du plat de la main sur la cuisse.
Hééé, calmez-vous, je conduis ! dit-il en lui rendant son coup. Et on n'attaque pas ainsi son supérieur, n'est-ce pas ? fit-il, malgré le fait que cette fois-ci, c'était à lui d'être trahi par son sourire.
Si vous y tenez...
Elle s'apprêtait à le taquiner encore un peu lorsque Lorenzo commença à ralentir.
Pas maintenant ! Nous sommes arrivés.
Il sorti de sa voiture, en fit le tour et ouvrit encore une fois la porte passager à Aube. Il avait ses raisons, après tout.
Les volets son fermés, est-ce normal ?
Pas que je sache... Étrange.
Il se dirigèrent vers la porte d'entrée, à laquelle Lorenzo frappa. Aucune réponse. Il recommença, et pareil. Toujours aucune réponse. Il fit cela encore trois fois avant de se décider à forcer la serrure cette fois-ci.
Vous savez forcer les serrures aussi facilement ?
Hé, j'ai fait la guerre, vous vous en rappellez ?
Lorenzo avança dans le couloir d'entrée. Rien, aucune lumière allumé, pas un chat. Il regarda un peu partout, et vit à l'étage un rayon de lumière. Pas une lumière naturelle, une lumière artificielle. Il monta, demandant à Aube de l'attendre en bas, et constata qu'elle provenait du bureau de Maxime. Il entra, et ne vit rien de bien spécial.
Mais que se passe-t-il ici bon sang de mer...
Il vit le revolver avant le corps.
Lorenzo tomba à genoux par terre.
Non, non, non putain !
Alarmée par le bruit, Aube monta directement. Elle aussi, elle vit le corps.
Maxime André, commandant en chef des forces spéciales Loduariennes, vétéran de la guerre civile Loduarienne, proche ami du Secrétaire Général Loduarien Geraert-Wojtkowiak Lorenzo, s'était suicidé d'une balle dans la tête.
Lorenzo commença à pleurer. La dernière fois que cela lui était arrivé, c'était il y a 14 ans. Sa petite amie à l'époque venait de mourir dans ses bras, touché par tes tirs. Il n'avait jamais oublié ce moment. Jamais. Et là, l'un de ses amis les plus proches venait de se suicider. La pression en lui explosa.
Aube, voyant sa détresse absolue, s'agenouilla à ses côtés, le prenant dans ses bras. Lorenzo ne résista même pas, lui qui d'ordinaire était si réactif. Elle prit soin d'alerter la médecine militaire -la seule qui ne poserai pas de question- et il restèrent comme ça, en attendant. Les sirènes des ambulances de la médecine militaire s'entendait au loin, et Aube, reprenant un peu ses esprits, emmena un Lorenzo chancelant à sa voiture. Cette fois-ci, ce fut elle qui ouvrit la porte passager à Lorenzo, et qui conduit. Elle le ramenait chez lui. Il allait avoir besoin de repos.
Posté le : 01 sep. 2023 à 10:19:49
1436
Catégorie : RP avec importance, si les cause d'une pacification vous intéressent
21/06/2011, 8 heures 03 minutes
Lyonnars, capitale de la Loduarie communiste
Aube se réveilla, et se retourna dans le lit qu'elle occupait dans le but de connaître l'heure. 8 heures ? Elle avait dormi assez longtemps pour être en retard sur ses obligations de la journée. Mais ce n'était pas un problème. Elle se retourna à nouveau, en direction de la personne qui était à ses côtés. Il fallait dire que actuellement, elle n'était pas chez elle. Non, elle était chez quelqu'un de bien spécial. Elle était, et avait dormi, chez le secrétaire général Loduarien, Geraert-Wojtkowiak Lorenzo. La veille, elle l'avait raccompagné chez lui après que Lorenzo ai découvert le corps sans vie de l'un de ses plus proches ami, qui avait fait la guerre avec lui. Elle lui avait tenu compagnie toute la journée, lui apportant le soutien moral nécessaire, réussissant même à le tenir à l'écart de l'alcool, dans lequel il se serait sûrement réfugié si elle n'avait pas été là. Au final, une chose en avait entraîné une autre, et... (vous croyez vraiment que je vais vous dire ce qu'il s'est passé ? Vous êtes assez grands pour deviner tout seul, bon sang)... ses rêves s'étaient réalisés. Elle aimait cet homme, malgré leurs divergences, malgré leurs conflit et malgré le fait qu'il apparaisse comme un dictateur sanguinaire. D'une certaine manière, c'était vrai, mais elle était persuadé qu'il changerai et s'adoucirait avec le temps. Si bien sûr, elle était là pour lui.
Elle se blotti contre lui, alors qu'il venait de se réveiller. Ensembles, ils savourèrent ce petit moment de bonheur, malgré tout survenu après un intense instant de malheur.
Lyonnars, capitale de la Loduarie communiste
Aube se réveilla, et se retourna dans le lit qu'elle occupait dans le but de connaître l'heure. 8 heures ? Elle avait dormi assez longtemps pour être en retard sur ses obligations de la journée. Mais ce n'était pas un problème. Elle se retourna à nouveau, en direction de la personne qui était à ses côtés. Il fallait dire que actuellement, elle n'était pas chez elle. Non, elle était chez quelqu'un de bien spécial. Elle était, et avait dormi, chez le secrétaire général Loduarien, Geraert-Wojtkowiak Lorenzo. La veille, elle l'avait raccompagné chez lui après que Lorenzo ai découvert le corps sans vie de l'un de ses plus proches ami, qui avait fait la guerre avec lui. Elle lui avait tenu compagnie toute la journée, lui apportant le soutien moral nécessaire, réussissant même à le tenir à l'écart de l'alcool, dans lequel il se serait sûrement réfugié si elle n'avait pas été là. Au final, une chose en avait entraîné une autre, et... (vous croyez vraiment que je vais vous dire ce qu'il s'est passé ? Vous êtes assez grands pour deviner tout seul, bon sang)... ses rêves s'étaient réalisés. Elle aimait cet homme, malgré leurs divergences, malgré leurs conflit et malgré le fait qu'il apparaisse comme un dictateur sanguinaire. D'une certaine manière, c'était vrai, mais elle était persuadé qu'il changerai et s'adoucirait avec le temps. Si bien sûr, elle était là pour lui.
Elle se blotti contre lui, alors qu'il venait de se réveiller. Ensembles, ils savourèrent ce petit moment de bonheur, malgré tout survenu après un intense instant de malheur.
Posté le : 05 déc. 2023 à 06:45:54
2514
Catégorie : RP avec importance
30/03/2012, 14 heures 39 minutes
Quelque part sur les côtes Loduariennes du Golfe des Empires
Vraiment ?
En effet, Camarade Secrétaire Général.
Lorenzo et son interlocuteur étaient sur une passerelle, dans une base secrète Loduarienne maritime, observant le navire qui se dressait en face d'eux.
Vous êtes donc au courant de ce que cela voudrait dire pour notre nation et pour le monde ?
Je le sais, Camarade Secrétaire Général. C'est pour cela que nous devons faire tout ce que nous pouvons pour réussir à remettre ce navire à flot, et fonctionnel.
Bon sang.
Vous pouvez le dire, Camarade Secrétaire Général.
Bien, je vois. Pensez vous vraiment pouvoir réussir à la faire ?
L'intégralité de mon équipe scientifique en est sûr, Camarade Secrétaire Général. Nous avons refait chaque calcul, chaque étude nécessaire, pour nous assurer que nous étions capables de réaliser cet exploit. Tout ce qui avait à faire niveau théorique est fait, nous sommes prêts à passer à la pratique.
Et concernant la technologie ? N'oubliez pas que ce sont les Pharois qui nous ont vendu ce navire. Ce sont eux qui l'ont fabriqué, et avec des techniques et technologies qui nous dépassaient. Ce n'est pas pour rein que je leur ai commandé à eux ce navire. N'oubliez pas non plus que ce navire fut un temps le plus puissant et le plus craint du monde. Certes pendant une petite période, mais ce fut quand même le cas.
N'ayez aucune crainte à ce sujet. Nous disposons à présent de technologies équivalentes, et nous sommes même très fiers de notre nouveau modèle de propulsion nucléaire, qui surpasse certaines des meilleures technologies Pharoises.
Et pour l'argent à investir, et la main d'œuvre ?
Nous allons sûrement partir sur 5 milliards d'Étoiles d'or, avec sûrement une main d'œuvre composé de 3 000 ouvriers.
Ce projet va donc mobiliser une importante part de notre industrie, donc.
Camarade Secrétaire Général, peut-être que faire appel à une division spéciale des camps pourrait être...
Non. Pas de camp ici. La zone est trop simple d'accès pour l'étranger, et notre marine est déjà assez occupée à filtrer le Golfe. Ce serait trop dangereux, et n'oubliez pas que si nous avons des camps, c'est qu'on ne peut faire confiance aux personnes qui s'y trouvent. Et il est hors de question qu'un projet aussi important leur soit confié.
Bien, je comprends, Camarade Secrétaire Général.
Dernière question. Cela va nous prendre combien de temps ?
Comptez 60 jours de préparation et de réparation de ce qui nous reste du navire, et environ 240 jours de fabrication si le projet est classé prioritaire et que notre industrie est pleinement mobilisé dessus.
Bien.
Le projet est donc classé prioritaire, camarade chef Ingénieur. Je compte sur vous ne pas faillir à votre engagement.
Dans un an grand maximum, la Loduarie retrouvera sa fierté. Notre Croiseur est de retour dans l'arène.
Quelque part sur les côtes Loduariennes du Golfe des Empires
Vraiment ?
En effet, Camarade Secrétaire Général.
Lorenzo et son interlocuteur étaient sur une passerelle, dans une base secrète Loduarienne maritime, observant le navire qui se dressait en face d'eux.
Vous êtes donc au courant de ce que cela voudrait dire pour notre nation et pour le monde ?
Je le sais, Camarade Secrétaire Général. C'est pour cela que nous devons faire tout ce que nous pouvons pour réussir à remettre ce navire à flot, et fonctionnel.
Bon sang.
Vous pouvez le dire, Camarade Secrétaire Général.
Bien, je vois. Pensez vous vraiment pouvoir réussir à la faire ?
L'intégralité de mon équipe scientifique en est sûr, Camarade Secrétaire Général. Nous avons refait chaque calcul, chaque étude nécessaire, pour nous assurer que nous étions capables de réaliser cet exploit. Tout ce qui avait à faire niveau théorique est fait, nous sommes prêts à passer à la pratique.
Et concernant la technologie ? N'oubliez pas que ce sont les Pharois qui nous ont vendu ce navire. Ce sont eux qui l'ont fabriqué, et avec des techniques et technologies qui nous dépassaient. Ce n'est pas pour rein que je leur ai commandé à eux ce navire. N'oubliez pas non plus que ce navire fut un temps le plus puissant et le plus craint du monde. Certes pendant une petite période, mais ce fut quand même le cas.
N'ayez aucune crainte à ce sujet. Nous disposons à présent de technologies équivalentes, et nous sommes même très fiers de notre nouveau modèle de propulsion nucléaire, qui surpasse certaines des meilleures technologies Pharoises.
Et pour l'argent à investir, et la main d'œuvre ?
Nous allons sûrement partir sur 5 milliards d'Étoiles d'or, avec sûrement une main d'œuvre composé de 3 000 ouvriers.
Ce projet va donc mobiliser une importante part de notre industrie, donc.
Camarade Secrétaire Général, peut-être que faire appel à une division spéciale des camps pourrait être...
Non. Pas de camp ici. La zone est trop simple d'accès pour l'étranger, et notre marine est déjà assez occupée à filtrer le Golfe. Ce serait trop dangereux, et n'oubliez pas que si nous avons des camps, c'est qu'on ne peut faire confiance aux personnes qui s'y trouvent. Et il est hors de question qu'un projet aussi important leur soit confié.
Bien, je comprends, Camarade Secrétaire Général.
Dernière question. Cela va nous prendre combien de temps ?
Comptez 60 jours de préparation et de réparation de ce qui nous reste du navire, et environ 240 jours de fabrication si le projet est classé prioritaire et que notre industrie est pleinement mobilisé dessus.
Bien.
Le projet est donc classé prioritaire, camarade chef Ingénieur. Je compte sur vous ne pas faillir à votre engagement.
Dans un an grand maximum, la Loduarie retrouvera sa fierté. Notre Croiseur est de retour dans l'arène.
Posté le : 11 jan. 2024 à 20:16:22
0
Catégorie : RP avec importance
23/07/2012, 9 heures 02 minutes
Quelque part en Loduarie, à la frontière avec la Nouvelle-Canaan.
Mais que se passait-il ? Personne ne le savait. Aucune communication n'avait étée faite. Rien, que dalle, nada. Mais néanmoins, personne n'avait pu ne pas remarquer les trains traverser toute la Loduarie, chargés de chars et véhicules blindés en tout genre, côtoyant les véhicules de transport de troupes et camions citernes. Certes, on était en Loduarie, et ce genre de choses étaient normales; mais là, c'était étrange.
L'ampleur de ces convois avait été aussi important qu'en temps de guerre. Même en temps de dictature militaire, des moyens aussi importants n'avaient pas étés mis en place !
Et pourtant cela avait lieu. Dans un secret assez mal caché d'une certaine manière, mais c'était à se demander si ce n'était pas un stratagème pervers de l'état-major.
Quelque chose se préparait.
Quelque part en Loduarie, à la frontière avec la Nouvelle-Canaan.
Mais que se passait-il ? Personne ne le savait. Aucune communication n'avait étée faite. Rien, que dalle, nada. Mais néanmoins, personne n'avait pu ne pas remarquer les trains traverser toute la Loduarie, chargés de chars et véhicules blindés en tout genre, côtoyant les véhicules de transport de troupes et camions citernes. Certes, on était en Loduarie, et ce genre de choses étaient normales; mais là, c'était étrange.
L'ampleur de ces convois avait été aussi important qu'en temps de guerre. Même en temps de dictature militaire, des moyens aussi importants n'avaient pas étés mis en place !
Et pourtant cela avait lieu. Dans un secret assez mal caché d'une certaine manière, mais c'était à se demander si ce n'était pas un stratagème pervers de l'état-major.
Quelque chose se préparait.
Posté le : 18 jan. 2024 à 06:40:17
1425
Catégorie : RP avec importance
18/08/2012, 2 heures 00 minutes
En Loduarie, dans la région de Dolinne.
La fusée Loduarienne venait de décoller, en direction de, bien entendu, l'espace. Un bijou de technologie Loduarienne venait de partir en direction de l'espace. Un objet qui avait mobilisé les meilleurs scientifiques depuis 2007. Un simple satellite, qui allait révolutionner le monde, et la Loduarie.
La Loduarie venait de lancer son premier satellite espion dans l'espace.
En elle même, la question des satellites espions était assez peu développée dans le monde. Le Duché de Sylva en avait déjà parlé dans sa presse, mais sans plus, et globalement, une bonne partie du monde semblait snober la possibilité d'envoyer des objets dans l'espace. Autrefois, la Loduarie avait été l'une des meilleures, même si sont titre de puissance spatiale avait été grandement perdu pendant les Années Sombres. Mais depuis que Lorenzo était arrivé au pouvoir, le spatial en Loduarie était né une deuxième fois. Avec cette fois-ci, une concurrence de plusieurs autres nations.
Mais la Loduarie avait réussi. Elle avait réussi à réunir les ressources nécessaires à la mise au points de nouveaux lanceurs. Elle avait réussi à développer de nouveaux satellites de télécommunication. Et elle avait fini par réussir à lancer un premier satellite espion dans l'espace. Le premier mondial.
La Loduarie redevenait une puissance spatiale de premier plan, après un long travail de ses scientifiques.
Bientôt viendrait un nouvel exercice concernant le domaine spatial. Mais celui-ci viendrait après.
En Loduarie, dans la région de Dolinne.
La fusée Loduarienne venait de décoller, en direction de, bien entendu, l'espace. Un bijou de technologie Loduarienne venait de partir en direction de l'espace. Un objet qui avait mobilisé les meilleurs scientifiques depuis 2007. Un simple satellite, qui allait révolutionner le monde, et la Loduarie.
La Loduarie venait de lancer son premier satellite espion dans l'espace.
En elle même, la question des satellites espions était assez peu développée dans le monde. Le Duché de Sylva en avait déjà parlé dans sa presse, mais sans plus, et globalement, une bonne partie du monde semblait snober la possibilité d'envoyer des objets dans l'espace. Autrefois, la Loduarie avait été l'une des meilleures, même si sont titre de puissance spatiale avait été grandement perdu pendant les Années Sombres. Mais depuis que Lorenzo était arrivé au pouvoir, le spatial en Loduarie était né une deuxième fois. Avec cette fois-ci, une concurrence de plusieurs autres nations.
Mais la Loduarie avait réussi. Elle avait réussi à réunir les ressources nécessaires à la mise au points de nouveaux lanceurs. Elle avait réussi à développer de nouveaux satellites de télécommunication. Et elle avait fini par réussir à lancer un premier satellite espion dans l'espace. Le premier mondial.
La Loduarie redevenait une puissance spatiale de premier plan, après un long travail de ses scientifiques.
Bientôt viendrait un nouvel exercice concernant le domaine spatial. Mais celui-ci viendrait après.
Posté le : 06 fév. 2024 à 05:46:34
0
Catégorie : RP avec importance
07/10/2012, 13 heures et 59 minutes
Quelque part vers la frontière Teylaise, côté Loduarien
L'ingénieur regarda sa montre. Il restait une minute. Une seule petite minute, une seule. Mais une minute avant quoi ?
À vrai dire, une minute avant une grande avancée. Une avancée qui allait permettre à la Loduarie de devenir toujours plus puissante, toujours plus forte, toujours plus respectée. Mais aussi, d'une certaine manière, toujours plus concurrencée, toujours plus menacée. Mais le jeu en valait la chandelle, car la science, elle s'affranchit bien des barrières idéologiques. Elle s'affranchit de tout cela, car ce qui compte, pour un scientifique, c'est de la faire avancer. Certains attendent des récompenses plus qu'imposantes en retour de leurs travaux et recherche. Mais les vrais scientifiques, ceux qui recherchent et travaillent pour la science par amour de la science, savent que la meilleure récompense et la réussite de leurs recherches.
Cela n'échappait pas aux scientifiques Loduariens, avec la légère proportion que prennait l'état Loduarien dans le lot. Légère, mais réelle.
L'ingénieur regarda sa montre, puis le champ de tir. 5 secondes encore.
4 secondes, et la Loduarie posera un nouveau pied dans l'espace.
3 secondes, et les Loduariens pourront encore une fois se réjouir d'une grande réussite.
2 secondes, et la recherche Loduarienne n'aura plus qu'à finaliser ses projets.
1 seconde, et la Loduarie serait enfin à même d'être la plus grande puissance spatiale du moment.
0 secondes et...
La fusée décolla.
Mais rien ne se passa comme prévu. La fusée dévia de sa trajetoire, et se dirigea direct vers la frontière. À 50 mètres, elle s'effondra au sol, libérant une explosion soufflant beaucoup de choses dans un rayon de 100 mètres.
La Loduarie venait de subir sa première défaite spatial, et de carboniser au passage une partie de la frontière.
Quelque part vers la frontière Teylaise, côté Loduarien
L'ingénieur regarda sa montre. Il restait une minute. Une seule petite minute, une seule. Mais une minute avant quoi ?
À vrai dire, une minute avant une grande avancée. Une avancée qui allait permettre à la Loduarie de devenir toujours plus puissante, toujours plus forte, toujours plus respectée. Mais aussi, d'une certaine manière, toujours plus concurrencée, toujours plus menacée. Mais le jeu en valait la chandelle, car la science, elle s'affranchit bien des barrières idéologiques. Elle s'affranchit de tout cela, car ce qui compte, pour un scientifique, c'est de la faire avancer. Certains attendent des récompenses plus qu'imposantes en retour de leurs travaux et recherche. Mais les vrais scientifiques, ceux qui recherchent et travaillent pour la science par amour de la science, savent que la meilleure récompense et la réussite de leurs recherches.
Cela n'échappait pas aux scientifiques Loduariens, avec la légère proportion que prennait l'état Loduarien dans le lot. Légère, mais réelle.
L'ingénieur regarda sa montre, puis le champ de tir. 5 secondes encore.
4 secondes, et la Loduarie posera un nouveau pied dans l'espace.
3 secondes, et les Loduariens pourront encore une fois se réjouir d'une grande réussite.
2 secondes, et la recherche Loduarienne n'aura plus qu'à finaliser ses projets.
1 seconde, et la Loduarie serait enfin à même d'être la plus grande puissance spatiale du moment.
0 secondes et...
La fusée décolla.
Mais rien ne se passa comme prévu. La fusée dévia de sa trajetoire, et se dirigea direct vers la frontière. À 50 mètres, elle s'effondra au sol, libérant une explosion soufflant beaucoup de choses dans un rayon de 100 mètres.
La Loduarie venait de subir sa première défaite spatial, et de carboniser au passage une partie de la frontière.
