Réserve Militaire - Lien Armée-Jeunesse - Bataillon FTC (Clovanie)
Ministère de la Défense
Posté le : 30 août 2022 à 10:56:06
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Réserve Militaire - Lien Armée-Jeunesse - Bataillon FTC (Clovanie)
Posté le : 30 août 2022 à 11:02:52
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Les jeunes Traviens âgés de 18 à 25 ans et désireux de participer au Service Militaire Volontaire (SMV) peuvent en faire la demande au Bataillon le plus proche de chez eux. D'une durée d'un an, le service militaire volontaire est un premier pas dans le monde militaire avant un éventuel engagement en tant que militaire professionnel ou de réserviste. Durant cette période en bataillon, les volontaires vont découvrir toutes les facettes du métier de militaire du rang. Cette formation permet de pouvoir passer un concours d'entrée aménagé dans les écoles militaires. Le volontaire est hébergé et reçoit une compensation financière de 800 Trak par mois.
La conscription n’est plus en vigueur en Travie depuis 1919. Toutefois, les volontaires souhaitant s’investir un peu plus dans la défense de leur pays peuvent signer pour devenir conscrit volontaire. Ces conscrits suivent une formation de 3 mois où ils apprennent la discipline militaire et le maniement des armes individuelles. Il ne faudrait pas confondre les conscrits avec les membres du Service Militaire Volontaire (SMV) qui se déroule sur une année. Dans ce cas, la formation est plus simple et plus orientée sur une explication de ce qu’est le monde de la défense. La conscription volontaire est ouverte à tous les Traviens de plus de 18 ans et de moins de 40 ans. Une fois l’engagement de trois mois terminés, aucun autre engagement n’est demandé. Toutefois, les conscrits sont bien sûr inscrits sur les listes de mobilisation.
Les jeunes Traviens âgés de 16 à 20 ans peuvent, si ils le souhaitent, s'engager dans un Centre Cadets de la Défense où ils apprendront les valeurs, le rôle, et les missions de l'armée. Cette formation a lieu une fois par semaine pendant une année scolaire. A l'issue de cette formation, qui est organisée pour être compatible avec le milieu scolaire, le volontaire reçoit un Brevet de Cadet de la Défense qui lui permet d'enrichir son curriculum vitae et d'être prioritaire s'il postule dans une école militaire.
Les jeunes traviens suivent des cours de Citoyenneté dans lesquels, entre autres, leur est expliqué les notions de défenses au sens large. L'objectif est d'apprendre les fondements de la défense et de les inciter à débattre, penser différemment et prendre conscience des divers enjeux. A l'école, les élèves découvrent la notion de démocratie. Au collège, le fonctionnement de la République est étudié ainsi que les droits et devoirs du citoyen. Au lycée, l'accent est mis sur le débat, la croisée des mondes. Ces cours font partie intégrante des examens et sont sanctionnés par contrôle continu au collège et au lycée. Dans ce dernier, les élèves doivent se spécialiser. Les cours de Citoyenneté peuvent faire partie de leur choix afin d'approfondir leurs connaissances sur la politique et le droit.
Posté le : 30 août 2022 à 11:06:45
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La chaîne de commandement
Les militaires
L'Armée Travienne est composée actuellement de 10 000 militaires et 5 000 réservistes.
Posté le : 24 sep. 2022 à 17:51:38
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Forces Traviennes stationnées en Clovanie
Elle est donc, pour le moment, sous le commandement de l'Armée de Terre mais aura vocation a développer la force maritime travienne.
Le bataillon assure pour le moment la sécurité de la zone de souveraineté travienne en Clovanie.
Posté le : 26 fév. 2023 à 10:29:26
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La Réserve Militaire (RM) est une organisation ayant pour but d'assurer la relève en cas de conflit ou d'évènements graves. Pour le moment, celle-ci est composée de 5 000 réservistes de l'Armée de Terre. Présents sur l'ensemble du territoire, ils suivent une formation de 6 mois et se tiennent prêt à rejoindre leur Bataillon d'attachement en cas de conflit. Leur arme personnelle est conservée au Bataillon pour éviter certains problèmes.
Si le réserviste dispose de compétences particulières, il peut également servir en tant que spécialiste et ainsi assurer le soutien au Bataillon sur son temp libre.
Voici donc les subdivisions de la Réserve Militaire :
- RM1 : Il s'agit de la majorité des militaires de réserve qui ont été formés et qui attendent un éventuel ordre d'engagement.
- RM2 : Il s'agit des réservistes souhaitant assurer sur leur temps libre l'assistance technique ou administrative à leur Bataillon de rattachement. Ainsi, ils peuvent mettre en place des horaires de travail en réserve ou bien répondre à un ordre ou proposition d'engagement.
- RM3 : Il s'agit des officiers de réserve qui seraient amenés à commander des troupes de réserve en cas de conflit. Ils assurent sur leur temps libre l'organisation de la Réserve sous l'autorité de l'Etat-Major. Ils assurent l'administration de la réserve et le recrutement de nouveaux militaires réservistes. L’ensemble des officiers retraités sont automatiquement ajoutés à cette réserve.
Les réservistes reçoivent une rémunération de 60 Trak par journée minimum, la valeur variant en fonction du grade et des compétences.
Il existe une Médaille des Réservistes et des Volontaires qui récompensent les services rendus dans la Réserve.
- Réserve de la Gendarmerie (RM4) : elle porte le nom de quatrième réserve car elle fait partie de l’armée.
- Réserve de la Police (RP) :
- Réserve des Pompiers (RéPo) : les pompiers retraités et les Pompiers Cadets peuvent s’engager dans cette réserve qui est mobilisée en cas de catastrophe.
- Réserve Médicale (RéMé) : toutes les personnes exerçant une profession médicale peuvent demander à rejoindre la réserve médicale. Cette réserve est mobilisée en cas d’épidémie ou de manque exceptionnel de personnel.
- Réserve de Sécurité Locale (RSL) : il s’agit de la seule réserve ouverte à tous quelque soit l’âge ou les compétences. Elle est mobilisée à l’échelle locale quand une catastrophe ou un évènement spécial à lieu.
- Militaire d’active
- Militaire retraité
- Réserves (RM1 à RM4)
- Service Militaire Volontaire (SMV)
- Conscrits volontaires
- Cadets de la Défense
- Citoyens volontaires n’ayant eu aucun engagement militaire dans le passé
- Mobilisation générale obligatoire pour tous les citoyens selon les conditions fixées.
En cas d’attaque du territoire et s’il est nécessaire de mobiliser des citoyens en plus de l’armée d’active, les citoyens seront appelés dans l’ordre de cette liste. Chacun dispose d’un Dossier de Carrière Militaire (DCM) qui recense tous les engagements réalisés. L'Autorité Militaire Cantonale est chargée d'établir ces listes et de les maintenir à jour.
Posté le : 20 avr. 2023 à 17:20:03
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Dans un objectif de transparence et de neutralité, l'inventaire du matériel militaire est mis à jour régulièrement et accessible à tous. Certaines informations, notamment la localisation précise sont, pour des raisons évidentes, gardées secrètes.
Armes d'infanterie
- 20 000 armes légères d'infanterie de première génération
Artillerie et DCA
- 5 canons anti-aériens de deuxième génération - Répartis sur le territoire
Véhicules
- 3 autobus de première génération - Prêtés à l'OMAS
- 5 camions de transport de première génération - Prêtés à l'OMAS
- 3 véhicules de déminage de première génération - Prêtés à l'OMAS
- 3 véhicules de combat d'infanterie de première génération
Aéronefs
- 3 hélicoptères de transport lourd de première génération - Prêtés à l'OMAS
- 6 avions de chasse de première génération - Répartis sur le territoire
- 3 avions de transport tactique de première génération - Prêtés à l'OMAS
- 1 chasseur-bombardier de première génération - Sur une des bases aériennes du pays
Navires et sous-marins
- 1 navire cargo de première génération - Port franc et base militaire d'Amelikovo en Clovanie
Missiles et matériel divers
La Travie s'engage à ne détenir aucune mine de quelque type que ce soit.
- 10 missiles de croisière air-sol de première génération - Répartis sur le territoire
Posté le : 29 jui. 2023 à 09:32:08
1918
1er bataillon d’infanterie (11) : 1 CT4, 1 CAA2
1er BIM bataillon d’infanterie de montagne (13) : 1 CT4
2e BIM bataillon d’infanterie de montagne (14) : 1 CT4, 1 LMAM3
2e bataillon d’infanterie (15) : 1 CT4
- 3e régiment d’infanterie
3e bataillon d’’infanterie (16) : 1 CT4
4e bataillon d’’infanterie (17) : 1 CT4
5e bataillon d’’infanterie (18) : 1 CT4, 1 CAA2
6e bataillon d’’infanterie (19) : 1 CT4
7e bataillon d’’infanterie (20) : 1 CT4
8e bataillon d’’infanterie (21) : 1 CT4
9e bataillon d’’infanterie (22) : 1 CT4, 1 CAA2
- 5e régiment d’infanterie
10e bataillon d’’infanterie (23) : 1 CT4
11e bataillon d’’infanterie (24) : 1 CT4
12e bataillon d’’infanterie (25) : 1 CT4
13e bataillon d’’infanterie (26) : 1 CT4, 1 LMAM3
14e bataillon d’’infanterie (27) : 1 CT4
15e bataillon d’’infanterie (28) : 1 CT4
- 7e régiment d’infanterie
16e bataillon d’’infanterie (29) : 1 CT4
17e bataillon d’’infanterie (30) : 1 CT4, 1 LMAM3
18e bataillon d’’infanterie (31) : 1 CT4
19e bataillon d’’infanterie (36)
20e bataillon d’’infanterie (37)
21e bataillon d’’infanterie (38) : 1 CAA2
- 9e régiment d’infanterie
22e bataillon d’’infanterie (40)
23e bataillon d’’infanterie (41)
24e bataillon d’’infanterie (42)
- Régiment de la Garde (zone T)
1er bataillon de la Garde (1) : 1 CAA2
2nd bataillon de la Garde (2)
- 1er régiment d’infanterie (zone T)
1er bataillon du Génie (9) : 5 CAM1, 3 VDEM1, 3 BUS1
1er BIMEC bataillon d’infanterie mécanisée (10) : 3 VCI1
- Forces Stationnées en Clovanie
Bataillon d'Amelikovo : 1 CARG1
Posté le : 29 jui. 2023 à 09:38:17
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- Bataillon de Chasse
1er escadron de chasse (x) : 2 AC1, 1 AC4, 1 BS2, 1 HA2
2e escadron de chasse (x) : 2 AC1, 1 AC4, 1 BS2
3e escadron de chasse (x) : 2 AC1, 1 AC4, 1 CB1
- Bataillon aérien
1er escadron de transport (x) : 2 ATT1, 1 ATT4, 1 DR1, 1 HTL1
2e escadron de transport (x) : 1 ATT1, 1 ATT4, 1 AR4, 2 HTL1
Posté le : 29 jui. 2023 à 09:46:55
1458
Rédaction ...
Chaque type de matériel est codifié selon la même norme : Quantité - Nom - Niveau ou Génération.
MT : Mortier tracté
CT : Canon tracté
CA : Canon automoteur
LRM : Lance roquette multiple
CAA : Canon antiaérien
CAAM : Canon antiaérien mobile
LMAM : Lance missiles antiaériens mobile
VBL : Véhicule blindé léger
VTT : Véhicule de transport de troupes ou Transport de troupes blindé
CHL : Char léger
CHA : Char d'assaut
VLTT : Véhicule léger tout-terrain
VU : Véhicule utilitaire
BUS : Autobus
CAM : Camion de transport
CC : Camion-citerne
BUL : Bulldozer
POM : Pont mobile
DEP : Char de dépannage
VTR : Véhicule de transmission radio
VDEM : Véhicule de déminage
RAD : Véhicule radar
HLP : Hélicoptère léger et polyvalent
HA : Hélicoptère d'attaque
HTM : Hélicoptère de transport de moyenne capacité
HTL : Hélicoptère de transport lourd
AC : Avion de chasse
CB : Chasseur-bombardier
AAS : Avion d'attaque au sol
BG : Bombardier gunship
BF : Bombardier furtif
BS : Bombardier stratégique
ADL : Avion de ligne
ATT : Avion de transport tactique
AR : Avion ravitailleur
AWACS : Avion radar
AGE : Avion de guerre électronique
ATH : Avion de transport hybride
DR : Drone de reconnaissance
PAT : Patrouilleur
CORV : Corvette
FREG : Frégate
DES : Destroyer
CRO : Croiseur
SMA : Sous-marin d'attaque
SMLM : Sous-marin lanceur de missiles
SMLE : Sous-marin lanceur d'engins
PH : Porte hélicoptères
PA : Porte avions
VED : Vedette
REM : Remorqueur
PR : Pétrolier-ravitailleur
CARG : Cargo
TCD : Transport de chalands de débarquement
CD : Chaland de débarquement
MAP : Mine anti-personnel
MAC : Mine anti-char
MAN : Mine antinavire
MMS : Missile mer-sol
MSL : Missile sol-mer
MAS : Missile air-sol
MB : Missile balistique
Posté le : 09 déc. 2023 à 10:16:53
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Moyens terrestres :
- 2 CT5 : canons tractés
- 6 CAM1 : camions de transport
- 3 VCI1 : véhicules de combat d’infanterie
- 1 LMAAM4 : lance-missiles antiaériens
- 3 VMIN1 : véhicules de déminage
- 1 DR1 : drone de reconnaissance
Moyens humains :
- 150 militaires de l’Armée de l’Air
- 400 militaires de l’Armée de Terre
Les unités ne sont pas mobilisées dans leur ensemble. De plus, certaines ne fournissent que du matériel.
Unités mobilisées :
- 1er Escadron de transport de l’Armée de l’Air
- 25ème Bataillon d’infanterie
- 1er Bataillon d’infanterie mécanisée
- 10ème Bataillon d’infanterie
- 19ème Bataillon d’infanterie
- 1er Bataillon du Génie
- 1er Bataillon aéroporté
Ils sont représentés par la couleur bleue.
Hiérarchie pour l’exercice :
- Régiment d’infanterie : 10ème, 19ème et 25ème bataillons d’infanterie et 1er Bataillon d’infanterie mécanisée
- Le 1er Bataillon aéroporté est commandé indépendamment.
- Le 1er Escadron de transport et le 1er Bataillon du Génie sont commandés ensemble par le Groupe Logistique.
Moyens terrestres :
- 3 pickups
- Matériel explosif en quantité importante
- Mines
Moyens humains : 150 hommes
Ils sont représentés par la couleur rouge.
L’Armée Travienne a été mandaté pour déstabiliser le pouvoir du PLP. Ses missions sont inscrites dans l’Effet Final Recherché (EFR) :
- La reprise de l’administration normale du territoire
- La neutralisation du PLP en privilégiant l’emprisonnement
- L’arrêt de l’activité du GRL par la destruction du matériel ou sa saisie, aucune perte souhaitée
- La garantie que l’Effet Final Recherché se réalise bien dans le temps en conservant une surveillance militaire.
- Le PLP s’est aménagé une base militaire très bien défendue et protégée au village Kilo. La majorité des forces sont abritées ici (100 hommes environ selon le renseignement travien).
- Le PLP dispose également d’un poste avancé à Golf. Ce poste est tenu par une vingtaine d’hommes, par rotation. Ils ont pour mission d’observer les mouvements dans le nord, en particulier les mouvements aériens sur l’aérodrome.
- Enfin, un autre poste avancé est identifié à Lima. Il a pour but de protéger la cache d’’arme située un peu plus au sud et à contrôler la route principale est-ouest.
- Les membres du GRL se situent principalement à Echo. Ils se fondent dans la population pour assurer leur protection. Leur matériel est dissimulé dans leurs caves. Ils assurent en temps normal un checkpoint sur l’unique pont traversant la rivière.
- Les deux premières sections, composées chacune de 80 hommes du 1er Bataillon aéroporté, sont parachutées la nuit suivante sur le site de l’aérodrome après autorisation expresse du trinôme. Le premier groupe assure la sécurité du parachutage du second. Les militaires se cachent dans la forêt attenante à l’aéroport, près de la rivière.
- Un trinôme assure la relève du trinôme 1. Un second trinôme s’installe sur la position 2, plus au sud, pour s’assurer de l’absence de forces ennemies sur la route.
- Une fois les forces traviennes installées, l’assaut est mené sur Golf. Une quarantaine d’hommes est mobilisé, les autres préparent un camp camouflé dans la forêt.
- L’assaut est rapidement mené dans le plus grand silence. On dénombre 2 terroristes décédés ainsi que 18 autres faits prisonniers. Bien que l’assaut soit surprenant pour le PLP, le chef de Golf a eu le temps de prévenir par radio le chef Gérin. La présence armée travienne est donc détectée. Le PLP semble vouloir se faire discret pour se protéger et préparer le conflit à venir.
- A la suite de l’assaut, deux hélicoptères de transport lourd se posent à proximité de Golf pour transporter les prisonniers.
- Les forces traviennes effectuent rapidement un repli vers le camp de base. Très tôt dans la matinée, une noria d’avions de transport tactique est organisée par le 1er Escadron de transport. Sont ainsi présents sur zone : 2 canons tractés, 6 camions de transport, 3 véhicules de combat d’infanterie et 1 lance-missiles antiaériens.
- 100 militaires sont chargés de sécuriser l’aérodrome. Ils disposent du lance-missiles antiaérien. Le reste de la troupe (300 hommes) sont immédiatement mobilisés. Les trinômes sont relevés.
- Les forces du PLP organise une embuscade sur la route menant à Lima. Ce mouvement est détecté par le drone de reconnaissance. Lima représente un aspect stratégique important puisqu’il permet de protéger une cache d’armes nombreuses et lourdes.
- Un premier groupe est transporté frontalement sur l’embuscade grâce aux VCI. Un deuxième groupe traverse la forêt. Un troisième groupe se déplace par le nord pour prendre Lima. L’attaque coordonnée de l’embuscade permet une large saturation. L’ensemble des forces du PLP présentes sur la route sont neutralisées (5 personnes). Quelques-uns, en quantité indéterminée, ont pu fuir.
- La colonne ainsi que le groupe passant par le nord obtiennent rapidement le contrôle de Lima. Les 3 terroristes sont prisonniers.
- Au même moment, un pickup blanc est signalé par le premier trinôme. Ce pickup ne s’arrêtant pas après les tirs de sommation, ordre est donné de le neutraliser. La menace était surtout tournée vers un éventuel kamikaze. Cette menace sera avérée après le déminage du véhicule dont le chauffeur est mort.
- Le camp est désormais entièrement en place et protégé par des canons et des lance-missiles. Un mur épais de blocs de sable l’entoure pour éviter toute entrée ennemie.
- Ce jour est dédié, du côté travien, à l’anéantissement du camp Kilo afin de priver les poches de résistances présentes sur l’ensemble de la région d’avoir accès aux ressources de leur base. 2 canons tractés sont donc transportés à portée du camp pour le pilonner le plus longtemps possible et de façon régulière.
- Les membres du PLP du camp de Kilo sont contraints de s’abriter et transmettent un signal de détresse à d’autres dissimulés quelque part en zone rouge, de l’autre côté de la rivière.
- Pour éviter un appui éventuel du PLP, les forces traviennes doivent pouvoir contrôler l’unique pont tenu actuellement par le GRL. Un groupe est donc envoyé vers le checkpoint grâce à 2 VCI. La puissance de feu travienne n’est pas comparable à celle de ces civils armés : 1 est mort et 2 autres sont faits prisonniers. Cependant, la victoire est incertaine carle GRL dispose encore d’hommes capables de défendre l’infrastructure. L’ordre est donc donné de détruire le pont pour empêcher tout passage.
- Certains terroristes de Kilo fuient et d’autres tentent de résister tant bien que mal sous les obus. En complément, un hélicoptère d’attaque survol le site rapidement et tire des rafales en cas de mouvement ennemi. Tout est fait pour empêcher les membres du PLP de s’organiser.
- Un blocus est organisé autour du camp, qui ne bénéficie plus du soutien logistique du GRL. Aucun homme ni aucun véhicule ne peut sortir ou entrer dans le camp Kilo sous peine d’être neutralisé.
- Le renseignement a obtenu une information : la zone bleue est complétement minée. Ces mines ont été posées par le GRL. Les forces traviennes, concentrées sur la prise de Kilo préfèrent prendre ses précautions et rester sur ses positions plutôt que de déminer immédiatement.
- Les forces du PLP ne disposaient pas de beaucoup de ressources. Ils fonctionnaient à flux tendu et le blocus a donné un grand coup au moral mais également du point de vue militaire. Ainsi, les derniers terroristes se rendent en fin de journée après d’ultimes ouvertures de feu.
- L’on dénombre donc 32 prisonniers, 8 morts, 10 blessés plus ou moins graves et donc environ 50 hommes ayant fui. Les prisonniers et blessés sont évacués par avion de transport tactique.
- La prise de Kilo est un évènement marquant du conflit tant symboliquement que stratégiquement. Désormais, seuls quelques groupes mènent des actions sporadiques contre les forces traviennes. Des échanges de coup de feu sont entendus ici et là. Le GRL a compris que la fin était proche et tente désormais de négocier avec les forces traviennes.
- Du côté du PLP : 53 prisonniers et 13 morts. Le chef Gérin est tué dans le pilonnage du camp Kilo.
- Du côté du GRL : 2 prisonniers et 1 mort
- Du côté des forces traviennes : 1 blessé grave
Le bilan est bien évidemment fictif. Toutefois, nous observons deux blessés légers réels.
Posté le : 01 jan. 2024 à 20:35:10
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• Les Entreprises de Sécurité et de Protection (ESP) : elles assurent la sécurité des lieux publics et privés grâce à leurs Agents de Sécurité et de Protection (ASP) et Agents de Sécurité Incendie (ASI). Les deux fonctions n’offrent pas la possibilité de détenir une arme sauf un générateur d’aérosol incapacitant de moins de 100 millilitres.
• Les Entreprises de Transport Sécurisé (ETS) sont chargées du transport de monnaie, de bijoux et de tous les produits précieux.
• Les Entreprises de Sécurité et de Protection Armée (ESPA) : elles assurent les mêmes missions que les ESP dites « classiques » à la différence que les Agents de Sécurité sont Armés (ASA). Ils sont autorisés à exercer leur métier dans des lieux où le risque est plus grand.
• Les Entreprises de Sécurité et de Protection Armée Spécialisée (ESPAS) : elles assurent la sécurité et le contrôle de certains lieux : gares pour le Service de Sécurité Ferroviaire, aéroports pour le Service de Protection Aéroportuaire et stations de transports urbains pour le Service de Sécurité des Transports en Commun. Le service dédié aux aéroports est subdivisé en deux branches : les points d’inspection et de filtrage et la protection générale du site.
• Les Entreprises de Soutien Logistique et Technique aux Armées (ESLTA) : ce statut regroupe deux branches de sociétés. La première est celle du soutien logistique. Les entreprises concernées fournissent des services uniquement techniques sans but militaire (alimentation par exemple). Elles sont toutefois réglementées pour définir clairement les relations qu’elles entretiennent avec les armées. La seconde branche est celle de la formation privée. Certaines unités spécifiques ont besoin d’un entraînement qui peut être réalisé en partenariat avec une entreprise privée.
• Les Entreprises Militaires Privées (EMP) : elles représentent les sociétés les plus réglementées et contrôlées. Il s’agit d’entreprises qui emploient des hommes armés qui peuvent combattre. Cette catégorie correspond en Travie à la définition légale du mercenariat. Ce dernier est interdit mais certaines formes (protection d’ambassades et de convois notamment) sont autorisées à titre dérogatoire.
Dans tous les statuts, il existe une base légale unique, présente dans le Code de la Sécurité et de la Défense, qui peut être divisée en plusieurs éléments :
• L’autorisation de la création de la société. Pour qu’une entreprise puisse exercer, elle doit être nécessairement travienne. Les dirigeants doivent avoir un casier judiciaire B vierge. Ils doivent avoir suivi une formation qui doit être recyclée tous les 2 ans. L’autorisation d’exercer est délivrée par dirigeant et pour l’entreprise en général ou pour ses différentes filiales.
• L’autorisation d’accès à la formation. Celle-ci concerne les employés. Pour pouvoir postuler à une formation officielle, le casier judiciaire B du candidat doit être vide.
• L’autorisation d’exercer. Une fois l’examen réussi (composé de cas pratiques, théoriques oraux et pratiques), la personne reçoit une autorisation d’exercer. Une fois qu’il sera embauché par une entreprise agrégée, il recevra une carte d’exercice qui lui autorise à travailler aux postes déclarés.
• La mission. Pour certaines entreprises, il est nécessaire de prouver l’utilité de la mission à venir.
En somme, la sécurité privée est un secteur très encadré. Le mercenariat est interdit mais des exceptions très spécifiques sont réalisées. Dans tous les cas, la force militaire est uniquement confiée à l’Armée.
Dans le premier cas, en temps de paix, les militaires sont jugés par différentes entités en fonction de la gravité de l'infraction. Le premier niveau est composé des infractions simples, jugées en commission disciplinaire. Cette commission est présidée par le commandant de l'unité et deux adjoints. Sont aussi présents le supérieur direct de l'accusé, un agent de justice militaire ainsi que toutes les personnes jugées utiles. Le deuxième niveau concerne les infractions intermédiaires qui sont jugées par le Tribunal Militaire. Il en existe deux par zone militaire. Dans ces tribunaux siègent un magistrat militaire (Président), deux agents de justice militaire (adjoints), le supérieur direct du mis en cause ou le militaire à l'origine du signalement ainsi que toute personne utile lors de l'audience. Le troisième niveau concerne les crimes et les infractions graves. Ces affaires peu fréquentes sont jugées par le Haut Tribunal Militaire siégeant à Trave. Il est présidé par le Premier magistrat militaire en compagnie de deux magistrats militaires et d'un magistrat civil observateur. Le militaire à l'origine du signalement, le supérieur direct du mis en cause, l'agent de justice militaire compétent sur les lieux de l'infraction ainsi que les personnes utiles sont convoquées. L'affaire peut être transférée aux juridictions classiques. Dans ce cas, après le jugement pénal et civil, un jugement militaire sera rendu pour décider d'une sanction professionnelle dite disciplinaire.
Un barème des sanctions est élaboré. Ces sanctions professionnelles particulières ne peuvent se substituer à une éventuelle sanction pénale.
Sanctions du premier groupe :
- Avertissement simple : donné uniquement par écrit en dehors des commissions et tribunaux
- Travail d'intérêt général
- Astreinte supplémentaire
- Avertissement. Il engendre une suspension de salaire équivalent à deux jours de travail en plus des jours d'audience.
- Avertissement avec signature (du commandant de l'unité deux fois supérieure à l'unité d'appartenance). A la différence de l'avertissement, il implique un retrait de salaire équivalent à cinq jours travaillés en plus des jours d'audience.
Sanctions du deuxième groupe :
- Suspension de l'avancée de carrière pour une durée d'un à deux ans. Cette ou ces années ne seront pas comptabilisées dans le calcul pour les promotions, les médailles ou tout autre service.
- Déclassement d'une à trois catégories : le militaire se verra retirer une partie de son avancement de carrière. Une réduction de salaire s'applique donc en complément.
- Dégradation d'un grade (exceptionnellement de deux grades). Une réduction de salaire s'applique sur le mois de la condamnation en plus de la baisse de salaire engendrée par la dégradation.
Sanctions du troisième groupe :
- Suspension temporaire des fonctions pour une durée d'un mois à six mois. Le militaire sera sous le régime du licenciement pour faute.
- Radiation de l'armée : le militaire est destitué de ses fonctions et ne pourra pas se présenter à un concours d'entrée dans l'année suivante.
En temps de guerre, la justice militaire peut se substituer à la justice classique dans les limites fixées par la Constitution. Les institutions judiciaires militaires bénéficient d’un large pouvoir pour conserver l’Etat de droit sans pour autant basculer dans une toute-puissance. Suivant la situation, qui est exceptionnelle, des mesures spécifiques seront prises quant à l’organisation du système judiciaire. Quoique qu’il en soit, la justice civile devra être conservée le plus longtemps possible.
Les militaires du rang se forment dans une des deux écoles baptisées Ecoles des Militaires du Rang de l’Armée de Terre (souvent appelées EMRAT). Les sous-officiers sont formés à l’Ecole des Sous-Officiers Terre (ESOT). Les officiers reçoivent une formation initiale au sein de l’Ecole Supérieure de l’Armée de Terre (ESAT). Pour devenir général, les officiers doivent passer par la Haute Ecole Militaire (HEM) située à Trave, la capitale.
Armée de l’Air
Les militaires du rang sont formés à l’Ecole des Militaires du Rang de l’Armée de l’Air (EMRAA) de X. Les sous-officiers quant à eux suivent une formation au sein de l’Ecole des Sous-Officiers Air (ESOA). Les officiers sont formés à l’Ecole Supérieure de l’Armée de l’Air (ESAA). Les généraux suivent, comme dans les autres armées, un cursus au sein de la Haute Ecole Militaire (HEM).
Marine
La formation pour la Marine est très différente du modèle des autres armées. En fonction de la catégorie de grade souhaitée, les volontaires pourront suivre une formation initiale marine au sein de l’Ecole des Marins (EM) ou à l’Ecole Supérieure de la Marine (ESM). Les deux établissements sont situés tous les deux dans la même ville. Il n’existe aucune école pour les sous-officiers de la Marine ; ces grades sont attribués selon l’avancement dans la carrière des marins. Les officiers qui souhaitent devenir amiraux suivent en revanche le même parcours que les autres officiers généraux, c’est-à-dire au sein de la Haute Ecole Militaire. La formation initiale est complétée pour tous d’une formation embarquée sur la base travienne d’Amelikovo.
Gendarmerie
La Gendarmerie étant un corps militaire, elle propose un parcours de formation similaire à l’Armée de terre : Ecoles des Gendarmes (EG), Ecole des Sous-Officiers de la Gendarmerie (ESOG), Ecole Supérieure de la Gendarmerie (ESG) et Haute Ecole Militaire (HEM).
Service Interarmées d’Appui et de Soutien (SIAS)
Comme tous les services interarmées, le SIAS est doté d’une Ecole Spéciale baptisée Ecole Spéciale Interarmées d’Appui et de Soutien (ESIAS) d’Orlogne. Au sein de celle-ci, une Ecole Spéciale Supérieure Interarmées (ESSI) dispense des cours aux futurs officiers. Les autres services interarmées suivent le même modèle. Nous pouvons citer comme exemple l’Ecole Spéciale Interarmées de Médecine (ESIM) de Trave ou encore l’Ecole Spéciale Interarmées Technique et Scientifique (ESITS) de Beltry.
- Les qualifications (sans insigne) : autorisation d’utiliser du matériel spécifique après la réussite d’une formation. Celles-ci dépendent des systèmes d’armes en dotation. Nous ne les étudierons pas ici. Les qualifications sont inscrites dans le dossier militaire mais ne donnent pas droit à porter un insigne sur l’uniforme. Certaines qualifications débouchent sur un brevet car le militaire détient désormais un savoir rare.
- Les brevets (avec insigne) : reconnaissance d’une compétence particulière sur dossier, par l’expérience ou à la suite d’un examen. Certains brevets comportent des qualifications automatiques ou complémentaires. Chaque militaire a le droit de porter les deux plus hauts brevets qu’il détient. Les brevets sont, en effet, classés. Un brevet peut comporter plusieurs échelons et certains brevets sont plus prestigieux que d’autres. Voici quelques brevets en vigueur de nos jours au sein des armées :
Brevet Aguerrissement Forêt (argent pour la réussite, or pour le brevet instructeur)
Brevet Aguerrissement Montagne (argent pour la réussite, or pour le brevet instructeur)
Brevet Aguerrissement Aquatique (argent pour la réussite, or pour le brevet instructeur)
Brevet Combat urbain (bronze pour le niveau tactique, argent pour le niveau opérationnel, or pour le brevet instructeur)
Brevet de Pilote (bronze pour les avions de transport, argent pour les hélicoptères, or pour les avions de combat)
Posté le : 21 juin 2024 à 15:48:07
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Propos liminaire du Ministre des Armées, Monsieur Henri Corne
Nos armées se doivent d’assurer la protection des Traviens. C’est le sens même de la notion d’armée. Si la volonté d’armer notre pays pour bénéficier d’une réelle force offensive ne fait pas partie de notre ligne de foi, nous avons à cœur de développer nos capacités générales, de transport et de défense. Malheureusement, nous ne disposons pas des capacités de recherche et de fabrication. C’est un fait, nous devons compter sur nos partenaires exportateurs d’armement. Nous n’avons, pour le moment, pas les moyens de nous offrir une industrie de défense, et même à moyen terme. Notre priorité est donc le développement militaire tout en envisageant l’essor d’industries dans un futur plus lointain. Le principe de Plan de Développement Militaire est nouveau et se veut ambitieux. Je crois en nos capacités et en la volonté de chaque Travien et Traviennes dans la formation d’une armée digne.
Armement d’infanterie : équipement de base de chaque soldat
Un soldat sans fusil ne peut rien faire. Si les capacités actuelles suffisent amplement en terme quantitatif, il nous faut les développer sur le plan de la qualité. Pour ce faire, nous conserverons les stocks actuels tout en remplaçant progressivement mais rapidement les armes utilisées par les forces. Une vente de 20 000 armes est également prévue. Le but est de s’en détacher rapidement.
Scénario achat : +3 760 armes d’infanterie légère de niveau 9, 10 ou 11 chaque année pendant 5 ans
Scénario vente : -20 000 armes d’infanterie légère de niveau 1
Les autres armes d’infanterie plus lourdes doivent également être renforcées, en nombre cette fois. Selon les spécialisations de chaque bataillon, ces derniers recevront d’armes collectives différentes.
Scénario achat : +50 mitrailleuses lourdes de niveau 8 chaque année pendant 2 ans / +50 mortiers légers de niveau 6 chaque année pendant 2 ans
Artillerie : appui à l’infanterie
[justify]Nous disposons déjà d’une bonne capacité d’artillerie, composée actuellement de 20 canons tractés moyenne gamme.
Scénario achat : +50 mortiers tractés de niveau 5 chaque année pendant 2 ans / +2 lance-roquettes multiple de niveau 5 en 4 ans (suivant les coûts prévus)
Capacités humaines : l’engagement des Traviennes et des Traviens
Actuellement, nos armées peuvent compter sur 45 000 hommes et femmes dont 20 000 professionnels. Nous avons connu une forte augmentation des effectifs au cours des deux mandats de Monsieur le Président Mathieu Dupuy. Le sujet des effectifs ne constitue donc plus un problème ni une priorité. Notre scénario peut donc sembler bas ; les Traviens n’ont pas besoin d’une société militarisée.
Scénario recrutement : aucun si le contexte géopolitique le permet
Capacités de déplacement terrestre : blindés et utilitaires
Notre priorité est répartie en deux axes : le transport et les blindés. Pour le premier point, la situation est critique : nous ne sommes pas en mesure de transporter un bataillon. L’investissement est donc urgentissime et il pourra bénéficier aux civils en cas de catastrophes ou toutes situations nécessitant des moyens importants. Pour les blindés, nous devons constituer une véritable armée blindée. Les dépenses s’étalent sur plusieurs années en raison du coût important lié à ces commandes.
Scénario achat utilitaires : +7 camion-citerne de niveau 3 / +100 camions de transport de niveau 6 / +7 autobus de niveau 3 en 5 ans
Scénario achat blindés : +10 véhicules blindés légers de niveau 6/ +50 véhicules de transports de troupes blindés de niveau 6 / +5 chars d’assaut de niveau 4 en 5 ans
Moyens terrestres spéciaux : au service des forces
Les troupes du génie et des autres forces spécialisées doivent travailler avec du matériel spécifique pour faire face aux situations complexes rencontrées sur le terrain. Le soutien et le génie sont donc encore à développer massivement en Travie. Cette catégorie regroupe de nombreux types de matériel très différents. Les forces traviennes souhaiteraient être en mesure de fournir d’autres pays en cas de problèmes techniques. Nous disposons déjà des capacités suffisantes en termes de déminage et de radar. Le reste est fondé sur une approche d’échantillon très couteux. Le maillage radio est fondamental et nécessite de nombreux véhicules.
Scénario achat : +1 char de dépannage de niveau 4 / +2 bulldozers de niveau 6 / +1 pont mobile de niveau 4 / +7 véhicules de transmission radio de niveau 4
Forces aériennes : le deuxième grand volet
La priorité est donnée à l’élaboration d’une armée de blindés et aérienne. Cette dernière comprend elle-même plusieurs subdivisions : les avions, les hélicoptères, les moyens de transport, la DCA.
Scénario achat hélicoptères : +4 hélicoptères d’attaque de niveau 5 en 5 ans
Scénario achat avions : +2 chasseurs-bombardiers de niveau 3 en 5 ans
Scénario achat transport aérien : aucun achat
Scénario achat DCA : +3 canons antiaériens mobiles de niveau 5 en 5 ans
Moyens maritimes : loin d’être la priorité
La Travie n’est pas ouverte sur les mers (sauf par la base militaire d’Amelikovo). Les investissements dans ce domaine sont donc limités. Nous disposons déjà d’un vieux navire cargo. Les dépenses maritimes seront placées en dernière par ordre de priorité.
Scénario achat maritime : +1 vedette de niveau 1 pour le prochain plan de développement.
Explosifs : une demande traditionnellement faible
La Travie a adopté une résolution d’interdiction de l’usage de mines. Elle n’est donc pas demandeuse à ce sujet et préfère développer ses capacités de déminage. Les missiles sont très onéreux et la Travie espère ne pas en utiliser un jour. Ceci explique la faible demande.
Scénario achat explosif : +5 missiles balistiques de niveau 2 pour le prochain plan de développement
Développement des structures d’entretien
Des dépenses liées à l’entretien pourraient être un puissant frein à notre volonté de développement. Ces coûts sont pris en considération mais ne font pas partie du bilan car imprévisibles.
Bilan
Le coût total est estimé à près de 80 000 Trak étalés sur 5 années soit près de 16 000 Trak chaque année. Le coût d’entretien est estimé à près de 6 000 Tk chaque année. Les dépenses sont donc conséquentes et pourront éventuellement être divisées sur 10 ans. Une variable d’ajustement facilement utilisable est celle de la génération, du niveau technologique de chaque matériel. Les coûts peuvent être aisément réduits ainsi. Le présent Plan de Développement Militaire n’est donc qu’une ambition qui se traduira dans les faits par des appels d’offres qui peuvent différer de la version initiale.
Sécurité
La sécurité d’importantes livraison est également à prévoir. Le dispositif pourra mobiliser l’ensemble des forces et coûtera également.
Conclusion
Les différentes parties ont bien conscience que ce Plan de Développement Militaire est très ambitieux et constitue une charge considérable pour les finances publiques. Les priorités sont, dans l’ordre d’importance : les armes légères, les moyens de transport terrestre, les blindés, l’aviation.
Signatures
Le présent Plan de Développement Militaire a été signé par Monsieur le Président, Guillaume Lussier, Monsieur le Ministre des Armées, Henri Corne, le Chef d’Etat-Major Général, Général Marc Auger, l’Officier responsable du développement des Armées, Général Pierre Cazal.
Il a été déposé au Parlement, auprès des deux chambres, ainsi qu’auprès du Ministre de l’Economie et des Finances, Madame Solène Vernier.
Le présent Plan de Développement Militaire est totalement public.