Veille sportive | Année 2008
Posté le : 19 sep. 2022 à 21:11:25
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Posté le : 20 sep. 2022 à 11:11:29
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Championnats du monde de 2008
Layek, Antégrie
30 janvier - 5 février 2008
Bilan des médailles
- (bientôt)
Faits notables
- La compétition a été marquée par deux nations rivales, le Lofoten et la Manche Silice. Si l’édition de 2006, à Saint-Marquise, a été caractérisée par une domination incontestable du Lofoten (qui a remporté 12 médailles dont 7 d’or !), l’édition de 2008 a été beaucoup plus nuancée. Au contraire de 2006, le Lofoten n’a pas concouru dans un pays voisin et les biathlètes nord-aleuciens ont été moins à l’aise dans les montagnes antègres qu’ils connaissent moins, voire pas du tout. Au final, 4 médailles d’or pour le Lofoten, contre 3 pour la Manche Silice.
- Parmi les médaillés de 2006, le Fortuna a fait pâle figure et sort de la compétition bredouille. Sverre Ingebretsen (Lofoten), champion du sprint en 2006, a cédé sa médaille d’or face à un incroyable Okuyama Kinnojo (Maronhi), alors même que le biathlon n’est pas un sport phare de la Maronhi. Médaillé d’or en poursuite il y a deux ans, Magnus Boge (Lofoten) termine cette fois-ci sur la dernière marche du podium après plusieurs petites erreurs de débutant. À l’inverse, troisièmes en 2006, les relayeurs lofotènes ont cette fois-ci ravi la première place ! Chez les dames, Nelly Ostenson (Lofoten) consolide sa première place en individuel, à l’instar des relayeuses.
- Gros cafouillage en Mass Start masculin, les skis de Gaëtan Bonnot (Travie) se sont emmêlés à ceux d’Epeius Christoforidis (Elpidia) et ceux d’Efrosin Alexeev (Lutharovie). Résultat des courses, les trois athlètes ont glissé, la tête la première sur la piste, sur une pente de près de 10°. Si le Travien et le Lutharovien en sont sortis avec de légères blessures, les contraignant toutefois à se retirer de la course, la situation a été beaucoup plus grave pour l’Elpidien, qui sort de la compétition inconscient et sur une civière. Si ses jours ne sont pas en danger, Epeius Christoforidis a été transporté à l’hôpital de Layek.
Posté le : 22 sep. 2022 à 22:56:07
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Championnats du monde de 2008
Balaya, Péronas
19-29 avril 2006
Finale masculine entre le Jashuria et le Lofoten
16 équipes sont qualifiées pour la phase finale.
Chaque groupe de la phase préliminaire est composé de 5 équipes. Les 2 premières (marquées en gras) sont qualifiées pour la phase finale.
Phase préliminaire
Phase finale
- Très bon parcours de la Travie qui réussit in extremis à se qualifier pour la phase finale grâce à sa victoire contre le Burujoa, avec lequel se jouait l’égalité (deux matchs gagnés, deux matchs perdus). Si le Jashuria a mis fin aux ambitions traviennes, l’équipe aura surpris par sa pugnacité, malgré sa position d’outsider.
- Hécatombe parmi les finalistes de 2006 puisque ni l’Alguarena (qui avait créé la surprise), ni la Lambroisie (qui a gagné l’édition) ne passent les poules. Il en est de même pour Novigrad, troisième en 2006, mais qui a perdu ses matchs. Pour sa défense, l’équipe novigradienne était tombée dans le groupe D, que les commentateurs ont qualifié de groupe de la mort.
- Après son accident de 2006, le Jashuria devait conforter sa position de favori. Il y a deux ans, en effet, l’équipe jashurienne avait perdu en demi-finale face à la Lambroisie (vainqueur du championnat), puis face à Novigrad pour la petite finale. Tir corrigé en 2008 face des adversaires lofotènes très combattifs.
🥈 Lofoten
🥉 Péronas
Compétition féminine
16 équipes sont qualifiées pour la phase finale. Le Bochizuela n’est pas qualifié.
Chaque groupe de la phase préliminaire est composé de 4 équipes. Les 2 premières (marquées en gras) sont qualifiées pour la phase finale.
Phase préliminaire
Phase finale
- Malgré la ferveur populaire, le Péronas échoue en quarts de finale. Après un sans-faute en phase de poules, la nation hôte s’est confrontée à son rival direct, de niveau équivalent, le Banairah, un quart de finale particulièrement incertain jusque dans les dernières minutes.
- Vainqueur de la compétition en 2006, l’Alguarena a cette fois-ci fait pâle figure. Il faut dire que sa performance d’il y a deux ans était qualifiée d’exploit. Cependant, en 2008, la magie n’opère plus, en raison notamment d’un fort renouvellement de l’équipe, plusieurs joueuses ayant annoncé leur retraite sportive à l’issue des derniers championnats. Son adversaire de 2006, la Lambroisie, a eu un peu plus de chance mais s’est inclinée face à la Kénétie dès les quarts de finale.
- Parmi les favorites mais pas la favorite, l’équipe de Kénétie a particulièrement brillé, de bout en bout, en gagnant tous ses matchs de poule, puis en s’imposant face à la Lambroisie (de niveau équivalent), puis face aux monstres Kronos et Banairah, qui sont les deux sélections nationales les plus performantes sur le papier. La finale entre Banairah et Kénétie fut somme toute assez classique et technique, la Kénétie a été la plupart du temps en tête du match.
🥈 Banairah
🥉 Canta
Posté le : 23 sep. 2022 à 18:18:19
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Championnats du monde de 2008
Reaving, Grand Kah
14 - 25 août 2008
Francesco Andriola (Royaume-Soudé, à gauche) durant sa finale face à Panos Thomopoulos (Elpidia), en lutte libre (- 97kg)
Bilan des médailles
- (bientôt)
Faits notables
- Le championnat a été entaché par des affaires de dopage chez les lutteurs loduariens. Près de trois athlètes ont été testés positifs. Parmi eux, Bruno Rigal s’est vu retirer sa médaille d’or en lutte gréco-romaine, dans la catégorie des moins de 130 kg, au profit de Fedir Dmytrenko (Novigrad). Un temps soupçonné, Raphaël Roatta, qui a gagné l’or en libre dans la catégorie des moins de 65 kg, a été mis hors de cause, ce qui laisse supposer des cas individuels de dopage plutôt qu’un dopage systémique au sein de la fédération lodarueinne. Les sportifs testés positifs ont quant à eux été sanctionnés, interdits de compétition pour les 5 prochaines années.
- Après le triomphe novigradien en 2006, l’exploit du Royaume-Soudé ! Avec 10 médailles, les lutteurs frialans ne battent certes pas le record des 13 breloques novigradiennes d’il y a deux ans, mais ils égalisent la performance de Novigrad, en remportant 6 médailles. Toutefois, ce palmarès a été lui aussi entaché par une affaire de dopage, qui ne concerne toutefois qu’un seul individu : concourrant dans la catégorie des moins de 77 kg en lutte gréco-romaine, Geronimo Munno a été testé positif à la même substance que les lutteurs loduariens. Mais contrairement à ces derniers, l’athlète du Royaume-Soudé a largement contre-performé, et a été pris de vomissements.
- En lutte gréco-romaine, chez les moins de 60 kg, la finale a été marquée par le comportement étrange du Citoyen Jyri, qui était totalement survolté et qui claquait des dents en continu, de quoi perturber son adversaire du Maronhi. Outsider de la compétition, le Citoyen Jyri a donc créé la surprise en gagnant l’or dans sa catégorie. Le test anti-dopage n’a été pas été positif pour l’intéressé, qui semblait toutefois présenter un état second…
- Un duel de riches dans la catégorie des moins de 67 kg. Balthazar de Mesny, issu d’une noble lignée neofidéssienne, a affronté le Novigradien Ivan de Gotha, neveu du leader de l'opposition à Novigrad et membre de la famille la plus riche du pays. Le combat a été remporté par Balthazar de Mesny, malgré la pugnacité d’Ivan de Gotha. Malgré son honorable médaille d’argent, le Novigradien n’a pas caché sa déception, en annulant sa participant à la conférence de presse prévue après le match.
- Parmi les médaillés de 2006, Radko Bogdanov Pironev (-77 kg, lutte gréco-romaine) n’est pas parvenu à défendre son titre mondial face à Oleg Sorokin (Clovanie) et devra cette fois-ci se contenter de l’argent. À l’inverse, son compatriote Fedir Dmytrenko (-130 kg) a remporté l’or… a posteriori, puisque son adversaire loduarien -initialement victorieux - a été disqualifié. Médaillée d’argent en 2006, Ljudmila Toncheva (Novigrad) a elle aussi gagné l’or deux ans plus tard. Xicui Miyaoaxaual (Yuhanaca) a lui troqué sa médaille de bronze pour une médaille d’argent.
- En lutte féminine, derrière la quasi-hégémonie du Royaume-Soudé, il faut souligner les bonnes performances des lutteuses althaljirs, et notamment la consécration de Zahara Belghoul dans la catégorie des moins de 53 kg. Absent de la compétition masculine, l’Althalj a récolté au total chez les dames trois médailles, une d’or et deux d’argent.
Posté le : 25 sep. 2022 à 19:20:12
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Coupe du monde de 2008
Burujoa / Grand Kah
1er – 26 septembre 2008
Partie 1 - Phase de groupes
1er - 12 septembre 2008
Compétition masculine
16 équipes sont qualifiées pour la phase finale.
Compétition féminine
16 équipes sont qualifiées pour la phase finale.
Posté le : 28 sep. 2022 à 22:04:02
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Coupe du monde de 2008
Burujoa / Grand Kah
1er – 26 septembre 2008
Partie 2 – Huitièmes de finale
12 - 16 septembre 2008
Compétition masculine
Compétition féminine
Simulation et résumés des matchs co-écrits par Quora et MRCLLT.
Posté le : 01 oct. 2022 à 18:25:06
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Coupe du monde de 2008
Burujoa / Grand Kah
1er – 26 septembre 2008
Partie 3 – Quarts de finale
18 - 19 septembre 2008
Compétition masculine
Compétition féminine
Simulation et résumés des matchs co-écrits par Quora et MRCLLT.
Posté le : 03 oct. 2022 à 13:02:21
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Coupe du monde de 2008
Burujoa / Grand Kah
1er – 26 septembre 2008
Partie 4 – Demi-finales
22- 23 septembre 2008
Compétition masculine
Compétition féminine
Simulation et résumés des matchs co-écrits par Quora et MRCLLT.
Posté le : 04 oct. 2022 à 11:17:12
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Coupe du monde de 2008
Burujoa / Grand Kah
1er – 26 septembre 2008
Partie 5 – Finales
26 septembre 2008
Compétition masculine
Finale de haute voltige entre deux monstres du Football. D’un côté le Yuhanaca qui a écrasé chacun de ses adversaires pour en venir jusqu’ici, de l’autre, Finnevalta, qui malgré ses victoires avec un écart de buts assez faibles, n’aura pas démérité pour autant. Dès le coup d’envoi, la tension se fait sentir entre les deux équipes. Mais il n’aura suffi que de 10 minutes pour que le Yuhanaca ouvre le score d’une volée. Finnevalta, se sert de ce but pour revenir en force, et assène deux buts coup sur coup. À la 18ème, sur un jeu collectif, Finnevalta égalise, puis à la 20ème, sur un pénalty concédé par un défenseur du Yuhanaca. Finnevalta prend l’avantage. Non pas abattu, le Yuhanaca sera assez faible durant le reste de la première mi-temps. Au retour de la pause, c’est pourtant tout un autre visage que Yuhanaca montre. L’envie est présente et cela se traduit à la 55ème. Après une une-deux, le numéro 9 du Yuhanaca, détruit la défense et envoie le ballon au fond des filets. Le match est alors relancé. Finnevalta tente en pressant plus haut et en faisant monter les défenseurs, mais sur une perte de balle, le Yuhanaca remonte le terrain à toute vitesse et seul face au gardien, marque pour le but de la victoire à la 88ème. Malgré les dernières tentatives du Finnevalta, le Yuhanaca ressort vainqueur de cette finale, et remporte la coupe du monde de Football 2008.
Compétition féminine
C’est une superbe fête qui nous est proposée dans le stade olympique de Kang Man du Burujoa pour cette finale de la coupe du Monde 2008. Les tribunes sont pleines, et même si le match n’est pas d’un grand spectacle à cause de la tension qui est obligatoire quand on dispute une finale de la coupe du Monde, le match le plus important de la carrière pour n’importe quelle joueuse de football. Justement, sur le terrain ce sont les Clovaniennes qui mène la danse en début de match, mais le tempo redescend avant de prendre un faux rythme jusqu’à la pause. Les joueuses terminent le premier acte dos-à-dos et se retrouvent donc pour la seconde mi-temps avec de nouvelles ambitions. En effet après seulement cinq minutes de jeu les Siliciennes ouvrent le score avec leur première frappe cadrée du match à la suite d’un superbe mouvement collectif. Mais c’était sans compter sur les Clovaniennes qui égaliseront deux minutes plus tard sur un magnifique coup-franc de la meilleure buteuse du tournoi, Apolline Duleux. On pensait que le match allait se refermer après ces quelques minutes de folies mais c’est mal connaître les joueuses de l’équipe silicienne qui à la 60ème frappent fort et marquent une nouvelle fois après une combinaison magnifique. La dernière demi-heure n’est plus qu’un attaque défense, les Clovaniennes se ruant vers le but adverse, mais à deux doigts de se faire punir en contre-attaque à plusieurs reprises, se donnent à fond, mais en vain. Les trois coups de sifflet finaux retentissent et quand les Siliciennes pleurent de joie, les Clovaniennes, elles, fondent en sanglots de désespoir.
Sur cette finale, il aura suffi de deux tirs cadrés aux joueuses de la Manche pour être sacrées championnes du Monde, la fête durera encore longtemps dans la nuit nazumi, y compris en Manche Silice, malgré le décalage horaire conséquent.
Simulation et résumés des matchs co-écrits par Quora et MRCLLT.
Posté le : 11 oct. 2022 à 21:32:59
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Championnats du monde de 2008
Kénétie
11 octobre - 18 octobre 2008
Les redoutables pavés de la Burimi Bruga
Compétition masculine
Ligne
C’était une course longue à laquelle les cyclistes du monde entier vont s’affronter. Cette course de plus de 238 kilomètres partant de Lëmosten et terminant à Dhamova, comporte plus de 10 kilomètres de pavé et saura ravir les coureurs complets en sprint, en légère montée et en pavé. Le parcours légèrement vallonée en fin de parcours saura sûrement redistribuer les cartes, et les équipiers tenteront de protéger leurs leaders afin de les mettre dans les meilleures conditions dans le sprint final tant attendu.
Le coup d’envoi de la course est donné à 11 heures précises par la voiture officielle. Il n’aura pas fallu attendre bien longtemps pour voir les premières échappées tenter de se former. Bien qu’à chaque tentative le peloton la rattrape jugeant ces dernières trop nombreuses et/ou trop dangereuses. Il aura fallu attendre le début du 5ème kilomètre pour qu’un coureur Saint-Marquois, qu’un coureur Fortunéen, qu’un coureur Youslève et qu’un coureur Vinois soient autorisés à quitter le peloton et partir en échappée. Dès lors l’écart avec le peloton se creuse. Dans le peloton, quelque tentatives individuelles de rejoindre l’échappée seront exécutées mais jamais réussies. Dans ce peloton, ce sont des coureurs de la Loduarie qui donnent le tempo, se relayant entre eux. Ces derniers laissent les échappés prendre 2 minutes d’avance au 30ème kilomètre. L’échappée, quant à elle, se produit correctement, les coureurs se relaient et l’on sent l’envie d’aller le plus loin possible. Cependant, le vent viendra quelque peu corser les choses. Un vent latéral de près de 50 kilomètres perdurera sur plus de 15 kilomètres mettant alors à mal toute tentative de victoire de l’échappée. En effet, l’écart des 2 minutes reste stable jusqu’au kilomètre 50. Cependant, le fort vent a provoqué la cassure du peloton en deux. Le groupe des retardés accumulera jusqu’à 30 secondes d’écarts, mais la stratégie entreprise pour éviter les risques de bordures, permis à ce groupe de rejoindre le groupe principal.
À partir du 60ème kilomètre, le peloton ralentit le rythme et l’échappée continua alors à creuser l’écart. Il était de 2 minute 30 au Kilomètre 60, puis de 3 minute 30 aux alentours du kilomètres 75. Jusque-là, les quelques et petites ascensions gravies par les cyclistes ne posèrent aucun problème. La traversée de Krajësi aurait pu être dangereuse. À la suite d’une mauvaise trajectoire d’un coureur Travien, plusieurs coureurs ont évités la chute de justesse. Cependant, en sortant de la ville, le peloton était bien complet, et accusait un retard 4 minutes par rapport au groupe de tête. La sortie de la ville de Krajësi impliquait aux coureurs que la plus grande ascension de la journée allait prendre place peu après.
L’ascension fut compliquée pour un bon nombre de coureurs, mais finalement, au sommet de celle-ci, le peloton était encore intact, et avait récupéré quelques secondes sur le groupe de tête. La descente permit au peloton de s’étendre sur plusieurs centaines de mètres et d’atteindre des vitesses folles de plus de 100 kilomètres par heure. La course continua ensuite calmement, et c’est vers le kilomètre 100 que le premier parcours pavé commence. On sent les échappés en difficulté et la traversée Rrugicë me Kaaldrëm leur fait perdre plus d’une minute, faisant passer l’écart entre le peloton et la tête de course à près de 3 minute 30. Les échappés commencent dès lors à fatiguer, et l’écart ne sera jamais plus grand. Il va dans un premier stagner.
La traversée de Troshanda permit aux nombreux spectateurs de saluer les coureurs, et la ferveur Kénète était présente. La foule était présente pour supporter les coureurs Kénètes. Après la traversée de Troshanda, le ravitaillement permit aux coureurs de récupérer un peu d’énergie. Certains prirent le temps de s’arrêter sur le bas-côté et d’uriner, tel l’envie devenait pressante. L’écart entre la tête de course pointait là à 2 minutes. Nul doute, le peloton rattrapera l’échappée. C’est dans l’entrée de la Burimi Bruga, deuxième traversée d’une route pavée que le peloton fit une énorme rattrapée et le retard n’était plus qu’à 30 secondes à la sortie de ces pavés. Car ces pavés étaient non seulement les plus long de l’étape, mais également les plus difficiles. Il fallait rester solide pour les supporter. À peine sorti des pavés, que le groupe est de nouveau au complet. Ce groupe qui commence également l’ascension d’un long faux-plat montant s’arrêtant Kalldrëm me Yje, entrée du troisième pavé. C’est d’ailleurs là que les premiers lâchés sont aperçus. Quelques coureurs épuisés des différents pavés lâchent le peloton. Les coureurs Loduariens voyant ainsi dire des coureurs en difficultés, décidèrent d’accélérer le rythme, et cela fut fructueux, de nombreux coureurs continuèrent à lâcher. Le peloton continua alors sa course vers la quatrième et dernière traversée pavée. La plus courte, mais pas la plus simple. Celle-ci provoque une grande cassure dans le peloton, et c’est finalement un groupe de 78 coureurs qui sortira en tête de cette route pavée. Désormais, le groupe est lancé, plus personne n’arrivera à le récupérer. Pas même les Loduariens qui ont pourtant auparavant bataillé pour lâcher des joueurs. Le groupe de tête entre alors à tout vitesse dans la ville de Dhamova, il reste 3 kilomètres avant l’arrivée, les équipes mettent leurs sprinteurs dans les meilleures conditions que possible.
Les équipes en lice pour le sprint final sont alors peu nombreuses, et c’est à près de 50 kilomètres par heures que le sprint démarra à quelques centaines de mètres de la ligne d’arrivée. Le sprint fut rapide et intense, atteignant des vitesses de près de 85 kilomètres par heures, mais ce sera sur la photo finish qu’ Hector Caluba vint remporter la course pour le Bochizuela, juste devant le coureur Volvon Filip Kubek qui est lui-même devant Kustov Yanovich, coureur de la Lutharovie. C’est après 5 heures 21 minutes et 13 secondes de courses que les premiers arrivèrent. Les derniers eux, termineront après plus de 5 heures 50 minutes de courses.
Contre-la-montre
Tracé assez simple mais long. Seul des coureurs avec beaucoup d’endurances ont leurs chances de remporter cette étape. Chaque coureur part 2 minutes derrière le précédent. Partant alors par ordre croissant de numéro de dossard. C’est le numéro 44 pour Fortuna, le coureur Narseo Brancaccio qui vint monter la barre très haut avec un chronomètre de 56 minutes 55 secondes. Les coureurs suivants ensuite, étaient pour la plupart devant aux chronomètres intermédiaires, mais jamais devant au chronomètre final. Jusqu’à ce Sergio Mandelo pour le Royaume-Soudé vit rabaisser le temps de près de 20 secondes, en terminant la course en 56 minutes 37 secondes. Alors que Sergio Mandelo s’apprête à récolter l’argent, le dernier coureur au départ de cette course Ketil Bornstad pour Makt, vint s’intercaler entre le premier et le deuxième en 56 minutes et 40 secondes.
Compétition féminine
Ligne
Course disputée pour cette étape longue 153.91 kilomètres. C’était une course classique à laquelle on avait à faire. Une échappée qui réussit à se dégager. Cette dernière réussit à accumuler plus de 5 minutes d’écart avec le peloton, mais dans les 30 derniers kilomètres, l’écart ne point qu’à 1 minute. Elles se feront finalement rattraper à une douzaine de kilomètres de l’arrivée. Là alors, rien n’empêchera un sprint final de prendre place. Ce dernier sera remporté par la Lendavie avec Sonja Kosec, derrière vient la Pérone Violeta Carita, puis Loukia Mula pour Novigrad. La course durera 4 heures 8 minutes 46 secondes pour les premières.
Bilan des médailles
- 1. Tamaret | 3 médailles | 2 🥇 | 1 🥉
2. Loduarie | 2 médailles | 2 🥇
3. Volvonie | 4 médailles | 1 🥇 | 2 🥈 | 1 🥉
4. Péronas | 3 médailles | 1 🥇 | 2 🥈
5. Royaume-Soudé | 3 médailles | 1 🥇 | 1 🥈 | 1 🥉
6. Saint-Marquise | 2 médailles | 1 🥇 | 1 🥈
7. Lendavie | 2 médailles | 1 🥇 | 1 🥉
8. Bochizuela | 1 médaille | 1 🥇
#. Travie | 1 médaille | 1 🥇
10. Youslévie | 3 médailles | 2 🥈 | 1 🥉
11. Clovanie | 2 médailles | 2 🥈
12. Makt | 1 médaille | 1 🥈
13. Lutharovie | 1 médaille | 1 🥉
##. Fortuna | 1 médaille | 1 🥉
##. Manche Silice | 1 médaille | 1 🥉
##. Vinheimur | 1 médaille | 1 🥉
##. Novigrad | 1 médaille | 1 🥉
##. Néodémos | 1 médaille | 1 🥉
Simulation et résumés des courses par Quora.