Ci-dessous la constitution du parlement Finnevaltai : 150 députés nommés par la présidente.
Les amendements peuvent être potentiellement proposés aux nombres d'uns par texte de loi pour chaque parti.
Parti interventionniste : 44 sièges. [extrême gauche/inclassable]
Le parti interventionniste est né de la fusion entre de nombreuses organisations anarchistes, libertaires, écologistes radicale, féministes, antifascistes et communistes libertaires, vers la fin des années 80, en réaction à l'arrivée au pouvoir du Parti socialiste "de gouvernement" de l'époque. Au départ, le parti était simplement une organisation, mais au fil du temps l'organisation à décider de devenir un parti politique du fait de l'agrandissement important de l'organisation. Le parti a mis énormément de temps à s'organiser autrement que dans les partis traditionnels, ce qui a eu pour conséquence l'absence quasiment totale du parti dans la vie politique jusqu'à la fin des années 90 et les élections parlementaires et présidentielles de 1999 où le parti à connu un quasi miracle en obtenant 44 sièges sur 150. Le nom du parti est une provocation faite aux institutions classique, qui ont interdit l'emploi des mots communiste, libertaire et anarchiste, dans les années 80.
Le parti fonctionne de manière totalement horizontale, des tirages au sort sont organisés pour décider des représentants (député.es, président.e, maire.sse...), toutes les décisions prises par le parti sont systématiquement voter, les militants sont libres de leurs actions, s'organise en auto-gestion et il n'y a aucun.e leader définit. Ce mode de fonctionnement correspond également au mode de fonctionnement politique qu'ils et elles souhaitent installer pour l'ensemble de la société finnevaltaise et l'ensemble du monde dans une perspective révolutionnaire. Le parti maintien une ligne communaliste (avec des différences avec le Grand-Kah), internationaliste au niveau de la diffusion politique de leur modèle, mais une ligne plutôt isolationniste au niveau économique et ils sont aussi clairement réformateurs à tout point de vue, sur toutes les questions qu'elle soit philosophique, sociale, économique... Aujourd'hui, le parti interventionniste est la principale opposition au parlement fédérale. Toutefois, le parti réfute très souvent l'autorité du parlement et de la présidente et en bafoue très souvent les règles et les codes. Logique. De nombreuses élections régionales, communales, cantonales et départementales ont eu lieu après les élections présidentiels et parlementaires et le parti interventionniste se retrouve majoritaire si l'on compte le nombre de communes, de cantons, de départements remporter par des élues du parti. Toutefois, les grandes communes appartiennent encore au Front populaire.
Front populaire : 78 sièges. [gauche/extrême gauche]
Le Front populaire est né de la coalition entre plusieurs partis ; le Parti socialiste, le Parti radical, le parti écologiste et le Parti communiste. Après des résultats en tout points médiocres du Parti socialiste, au pouvoir entre la fin des années 80 et la fin des années 90, le Parti communiste en a profiter pour tirer son épingle du jeu. Pour faire barrage au parti libéral, qui prenait de plus en plus de place au sein de la population, une alliance, c'est créer entre les 4 partis de gauche (PS, PCF, PE, PRF). Cette alliance les emmène par la suite, en 1999, au pouvoir, avec comme leader, Pasi Pokka, première femme présidente de la République Démocratique et Fédérale de Finnevalta. Le résultat fut plutôt inattendu, le Front Populaire et le Parti libérale se sont écrouler par rapport au score qu'ils auraient dû si on en suit les sondages, tout cela au "profit" du Parti interventionniste. Cette "défaite" du Front populaire est sûrement due à la mauvaise gouvernance du Parti socialiste, présent encore au sein du Front populaire. Ils ont obtenu 78 sièges sur 150, ils étaient pourtant pronostiqués à environ 100 sièges.
Le parti fonctionne de manière traditionnelle, verticalement, avec un ou une leader.se et des militants. Les élues sont nommées par la présidente du parti, mais les militants sont sous les ordres des élues eux même. Le Front populaire maintient une ligne internationaliste, ils sont fortement attachées au système politique finnevaltai actuel ce qui fait d'eux des radicaux et ils sont plutôt pour un Etat centralisateur. Paradoxalement, le Front populaire est pour un peu de capitalisme et un peu de communisme dans l'économie, ils essayent de mixer les deux modèles pour tirer profit des qualités des deux le plus possible. Le Front populaire perd de plus en plus de terrain au niveau régional, départementale, cantonale et communale au profit du parti interventionnisme évidemment, mais aussi, dans une moindre mesure, du parti libérale et du parti royaliste. On constate que si une élection venait à arriver les résultats risquent d'être catastrophiques pour le parti. Toutefois, les communes et les cantons les plus importants sont encore aux mains du Front populaire.
Parti écologiste Finnevalt : 1 siège. [gauche/centre]
Le parti écologiste Finnevalt est issu d'une scission du parti du même nom de l'époque. La majorité du parti, c'est dirigé vers le Front populaire, mais une petite partie a décider de rester indépendant. Le parti écologiste est assez ancien, mais il n'a pas rencontré de véritable succès par le passé. Aujourd'hui, malgré la scission, le parti commence de plus en plus à gagner une certaine partie de la population et quelques élections à l'échelle locale à l'instar du parti interventionniste. À la suite, l'élection de 1999, le parti a obtenu un seul siège au parlement sur les 150 disponible.
Le parti fonctionne de manière traditionnelle, verticalement, avec un ou une leader.se et des militants. Les élues sont élues par l'ensemble des militants, mais les militants sont sous les ordres des élues eux même. Le parti écologiste Finnevalt est clairement conformiste à l'égard des institutions actuelles ce qui fait d'eux des radicaux, ils sont pour un Etat fort et centralisateur au service de la cause environnementale. Paradoxalement, ils ont une attirance assumée pour l'économie de marché et le capitalisme, ils comptent sur lui pour réguler les prix des énergies non-renouvelable notamment. Ils défendent ainsi la globalisation de l'économie et sont clairement internationalistes dans leur approche des relations internationales avec pour but, officiellement, de "coopérer sur un problème qui nous concerne tous", disent-ils.
Parti socialiste : 1 siège. [gauche/centre]
Comme le parti écologiste Finnevalt, le Parti socialiste est issu du scission de l'ancien Parti socialiste Finnevalt, qui était au pouvoir avant les élections de 1999 et l'accession du Front populaire au pouvoir. Justement, lors de cette scission, la majorité des militants de l'ancien Parti socialiste se sont dirigée vers le Front populaire, mais une petite partie est restée fidèle au Parti socialiste. Aujourd'hui, le Parti socialiste est très mal en point et est menacé de disparition. De plus en plus d'élections sont perdu et le mouvement tend à être remplacé par les autres formations de gauche. À la suite, l'élection de 1999, le parti a obtenu un seul siège au parlement sur les 150 disponible.
Le parti fonctionne de manière traditionnelle, verticalement, avec un ou une leader.se et des militants. Les élues sont élues par l'ensemble des militants, mais les militants sont sous les ordres des élues eux même. Le parti socialiste est clairement conformiste à l'égard des institutions actuelles ce qui fait d'eux des radicaux, ils sont pour un Etat fort et centralisateur, un état providence. Paradoxalement, ils ont une attirance assumée pour l'économie de marché et le capitalisme avec toutefois une intervention forte de l'Etat pour gérer les externalités négatives induites par le capitalisme. Ils défendent ainsi la globalisation de l'économie et sont clairement internationalistes dans leur approche des relations internationales.
Parti libérale Finnevalt : 11 sièges. [droite/centre]
Le Parti libéral est l'un des partis les plus anciens du Finnevalta, créer à la suite de la révolution du renouveau finnevaltai en 1934. Ils ont eu quelque temps le pouvoir à la suite de la révolution, mais aussi un petit peu au cours des années 60, depuis, choux blancs. Le parti enchaîne les défaites et semble ne plus avoir la puissance pour accéder au pouvoir, du fait de l'infusion des inspirations socialistes, très présente depuis les années 70 jusqu'à aujourd'hui. Toutefois, dans les années 90, avec les désillusions du Parti socialiste, le parti libéral à su en profiter pour convaincre les déçus. Ce qui a relativement bien marché puisque aux élections de 1999, le parti a obtenu un total de 11 sièges sur 150, ce qui fait de lui la troisième force politique du pays. Il s'agit certes d'une victoire, mais les pronostique étaient bien plus ambitieux en leur donnant environ 30 sièges au parlement.
Le parti fonctionne de manière traditionnelle, verticalement, avec un ou une leader.se et des militants. Les élues sont nommées par le président du parti, qui est lui-même élu par les militants via un vote, mais les militants sont sous les ordres des élues eux même. Le Parti libéral remet en cause les institutions Finnevaltaise telles qu'elles sont aujourd'hui, ils souhaitent réduire avant tout les dépensent de l'Etat pour libéraliser un maximum l'économie et laisser faire le marché. La destruction de l'état providence est leur objectif premier. Ils souhaitent aussi réformer la démocratie pour laisser plus de pouvoir aux élues. Ils sont évidemment pour une position internationaliste au niveau économique et diplomatique, seul l'argent compte pour eux et pour le pays, selon eux, pour obtenir des conditions de vie meilleures et un bonheur général plus important. Ils sont clairement opposés à toute économie communiste et sont ainsi pour une économie du libre-échange, capitaliste. Sur les scènes régionales, départementales, cantonales et communales, le parti a connu une bonne avancée des élues appartenant à leur parti à la fin des années 90 jusqu'à environ 2007 à leur apogée. Toutefois, depuis 2007, avec la domination de plus en plus réelle du Parti interventionniste sur ses scènes-là, le parti tend à reculer. De plus, leurs récentes prises de positions en collaboration avec le parti royaliste ont clairement aggravé leur cas.
Parti nationaliste : 5 sièges. [inclassable]
Le Parti nationaliste est un parti plutôt récent puisque il est apparu dans les années 60. Il n'a jamais été au pouvoir et il n'a jamais été un parti important dans l'histoire du Finnevalta. Se parti est clairement un parti religieux créé par des extrémistes Jumaliens. Lors des élections de 1999, le parti à réussir à obtenir un total de 5 sur 150, soit le plus fort totale depuis ça création.
Le Parti fonctionne de manière peu orthodoxe. Son mode de fonctionnement est extrêmement inattendu, et même "bordélique" pour un ignorant. Il n'y a pas de leader, que des militants suivant leur dieu et les principes qu'ils se sont imposés. On pourrait penser que se parti est un parti anarchiste, mais pas vraiment. Selon le Jumala, les pratiquants de cette religion croient en un dieu qui leur est propre et passe des pactes avec celui-ci, les principes qui vont dicter sont rythme de vie pour toute leur vie justement. Une fois ses principes réalisés, ils doivent mourir pour rejoindre leur dieu dans un autre monde dit sacré. S'ils ne suivent pas ses principes, ils vont directement dans un enfer. Le parti est plus une formalité administrative qu'autre chose, les militants sont des Jumalien radicaux et c'est le seul point commun entre eux. Après ce constat, on remarque que toutes les idéologies politiques peuvent être portées par ses adhérents. Toutefois, le système parlementaire finnevaltai les obliges à harmoniser leur vote pour qu'ils puissent proposer des lois. Heureusement pour eux les 5 députés se retrouvent souvent d'accord et sont proches du parti royaliste, du front populiste et du parti libéral. Sur les scènes régionales, départementales, cantonales et communales, le parti stagne, il n'obtient pas de nouveaux territoires, mais arrive à maintenir ceux qu'il a déjà.
Front populiste : 2 sièges. [extrême droite/droite radicale]
Le Front populiste est parti créer dans les années 50 regroupant d'ancien parti fasciste et/ou nationaliste. Il avait une certaine influence jusqu'aux années 70-80, dates de son inévitable déclin. Aujourd'hui, le Parti est à la fin de son déclin et va vraisemblablement disparaître si d'autres élections fédérales ont lieu. À toutes les échelles, le parti perd du terrain. Lors des élections de 1999, le parti était encore à peu près debout, et il a obtenu deux sièges sur 150, le plus faible total depuis la création du parti.
Le parti fonctionne de manière traditionnelle, verticalement, avec un ou une leader.se et des militants. Les élues sont nommées par le président du parti, qui est lui-même élu par les militants via un vote, mais les militants sont sous les ordres des élues eux même. Le parti nationaliste contient des capitalistes convaincues, avec la même ligne politique économique que le parti libéral. Mais de plus, identifie comme responsables de tous leurs maux, de tous les maux de la société, les minorités quel qu'elle soit, avant tous les étrangers non finnevaltai, surtout les Pharois, considérées comme dangereux. Le parti est aussi un parti d'influence Jumalienne, d'où leur haine envers les Pharois qui n'ont pas vraiment la réputation d'être particulièrement croyant.
Parti royaliste : 5 sièges. [extrême droite/ inclassable]
Le Parti royaliste est un des plus ancien parti encore existant telle qu'il était à l'époque, en 1827 lors de la création de la république socialiste de Finne. Depuis ce temps, le parti a toujours eu un rôle moindre dans la vie parlementaire finnevaltaise. Seulement, étonnamment, depuis les années 90, le parti eut comme une sorte de résurrection. En effet, lors des élections de 1999, le parti a obtenu un des meilleurs scores de son histoire en obtenant cinq sièges.
Le parti fonctionne de manière traditionnelle, verticalement, avec un ou une leader.se et des militants. Le Parti royaliste se réclame de la période du royaume d'Albi. Ils souhaitent avant tout la restauration de la monarchie absolue et du royaume d'Albi. Ils adoptent toutefois aujourd'hui plutôt pour une économie capitaliste, bien entendu aux mains d'un roi. Le parti est un parti chrétien, religion de la royauté avant la révolution de 1827. Le parti augmente de plus en plus son influence dans le pays en invoquant le glorieux passé du royaume d'Albi, de la prospérité dans lequel vivait le royaume ainsi l'autorité absolue du roi. Ses membres sont exclusivement des Albiens, car c'était la population majoritaire lors de la période royaliste et les autres populations étaient clairement discriminées. Sur les scènes plus petites que la scène fédérale, le parti ne s'en sort pas trop mal, mais à clairement du mal à s'imposer du faite de la diminution dans le pourcentage de la population Finnevaltaise des Albiens.