Le sanctuaire caaganiste pour l'universalité, basé à Tsebingwe, est un lieu d’accueil et d’échanges avec les personnalités étrangères adhérentes, pratiquantes (ou non), au culte caaganiste. Le culte caaganiste est une secte internationale, mais physiquement installée en Mandrarika. Et la République Sacrée et Universaliste de la Mandrarika dans sa version longue, est une nation née très récemment, après la pacification de territoires de l’Afarée orientale, une région jadis soumise à des troubles et des violences perpétrées par les seigneurs de guerre.
Il existe donc au sein de son territoire, de nombreuses actions à entreprendre pour parachever son développement. Toutefois, la question du financement de ces investissements trouve encore quelques lettres mortes. C’est pourquoi, en plus de financer sa trésorerie publique sur la base des taxes et des impositions courantes propres à chaque état, le culte caaganiste à la tête de la Mandrarika appelle à la cotisation ses fidèles, où qu’ils soient dans le monde. Mais la perception de ces cotisations, sur elle, trouve un certain impact dans la gestion et le bon fonctionnement du pays ainsi que de ses institutions, peut encore trouver ses limites en ce qui concerne l’entretien de capitaux permettant des investissements à un niveau national.
C’est pour cette raison qu’en marge de ses recettes publiques, les institutions religieuses du culte caaganiste sont contraintes à l'organisation d’évènements et d’activités parallèles, susceptibles de capter des fonds de financement pour entamer des projets de construction. Considérant la situation actuelle de la Mandrarika, qu’elle soit géographique ou sociétale, l'organisation de safaris et de mariages arrangés constituent des pistes viables pour la recherche de nouveaux capitaux à même de constituer des fonds d’investissement pour les principaux projets nationaux à l’intérieur du pays.
Considérant la présence d’un environnement naturel particulièrement exceptionnel, les autorités mandrarikanes ont pris le parti d’offrir des activités inégalées à de riches fortunés étrangers, d’Afarée mais principalement d’ailleurs, pour qu’ils puissent vivre une aventure d’exception dans l’un des joyaux naturels de l’Afarée orientale.
Chaque “expédition” donnera lieu à un post rp de ma part, pour décrire la réussite ou non de la chasse. Le chasseur sera nominativement identifié par l'autre joueur.
- Safari photo : 50 unités monétaires internationales (50 000 000 mandrains [Mn])
- Traque d’un grand mammifère terrestre (éléphants, girafes, rhinocéros, hippopotames) : 1 000 unités monétaires internationales (1 000 000 000 mandrains [Mn])
- Traque d’un grand prédateur (lions, guépards, hyènes) : 1 000 unités monétaires internationales (1 000 000 000 mandrains [Mn])
- Traque d’un mammifère quelconque (buffles, zèbres, gnous, gazelles et antilopes diverses). 100 unités monétaires internationales (100 000 000 mandrains [Mn])
Accidentologie
La traque d’un animal sauvage, fut-elle en Mandrarika ou ailleurs, n’est pas une mainte affaire et des blessures (non mortelles) peuvent survenir. Dans le but d’étoffer le background de certains personnages engagés sur un safari, il est proposé avec l’accord du joueur, un risque de blessures susceptibles d'entraîner des séquelles provisoires ou permanentes au retour de la chasse. La séquelle identifiée lors du safari est faite par le joueur.
Séquelle permanente (maladie tropicale, accident de chasse grave, fracture, éborgnement, etc…) : 2%, 1 à 2/100
Séquelle temporaire (maladie tropicale, entorses, luxation et foulures, accident de chasse mineur, etc…) : 8%, 3 à 10/100
Les femmes disponibles pour une union seront nominativement identifiées.
Mariage avec une femme quelconque de la communauté : 1 500 unités monétaires internationales (1 500 000 000 mandrains [Mn])
Mariage avec une femme reconnue de la communauté caaganiste : 6 000 unités monétaires internationales (6 000 000 000 mandrains [Mn]).
Liste des personnages disponibles pour une union : Néant