29/03/2015
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[ENCYCLOPÉDIE] Fujiwa

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INFOS

Drapeau


Nom officiel : L'Etat du Fujiwa.
Nom courant : Fujiwa

Régime politique : Monarchie constitutionnelle.

Gentilé : Fujiwan(s) - Fujiwane(s).

Langue officielle : Fujiwan (dialecte japonais).
Autre langue reconnue : Jinséen (dialecte coréen).

Drapeau : Le Kibōsei, Drapeau de l'Espoir du Fujiwa

Devise officielle : Danketsu, chie, han'ei : "Unité, Sagesse et Prospérité"

Hymne officiel : "La Splendeur du Fujiwa Éternel"

Empereur : Empereur KOZUKI Oden.

Premier Ministre (chef de l'exécutif): Ishida Shimura (depuis 2014).

Monnaie nationale : 金 Kin.

Fête nationale : 25 Mars (date de l'anniversaire de l'Empereur régnant).

Capitale : Sokshō.

Population : 70 138 571 habitants (dernier recensement 10/06/2012).

Emplacement : Sud-Est du Nazum.

Fujiwa
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HISTOIRE


Les Périodes Historiques du Fujiwa: beaucoup en connaissent peut-être les noms, mais savez-vous laquelle est laquelle? Cet essai résume quelques-uns des points les plus importants des périodes historiques du Fujiwa que vous devriez connaître, organisés par période. Remontons dans le temps!

Période Yushika (710 - 1185)

Selon la tradition, la période Yushika est fondatrice de la lignée impériale fujiwane. Selon l'Empereur Fujiwara, le premier empereur légendaire, il fonde le Fujiwa le 11 février 710 et marque le début de la lignée impériale qui persiste encore aujourd'hui. A cette période, on a affaire pour la première fois à ce qu'on appelle un État impérial. La culture et les communauté se consolide autour de l'Empereur et de sa force politique et militaire.

Période Kamaku (1185 - 1333)

Située dans la ville de Kamakaru, la période Kamaku marqua le début de l’âge médiéval pour le Fujiwa. Au début de cette époque, l’ère des guerriers et des nobles, les samouraïs virent le jour et créèrent un nouvel avenir pour leur peuple.

Durant cette période de chaos, la culture était également florissante, en grande partie grâce à l’adoption du bouddhisme zen et de l’éthique guerrière. Le seppuku, le suicide rituel, s’imposa comme la réponse ultime à l’honneur bafoué, lorsque la vie ne pouvait plus être supportée en raison du sentiment de honte.

Cette nouvelle classe guerrière échappa rapidement au contrôle de l’Empereur, qui devint plus ou moins une figure symbolique. Le clan Adachi du Fujiwa devint si dominant qu’il renversa les autres en 1185 et établit le shogunat Adachi.

Pendant leur règne, en 1232, le Goseibai Shikimoku, le premier code de droit militaire du Fujiwa, fut élaboré. Ce document, également appelé le Formulaire des Adjudications, marqua la transition d’une bureaucratie confucéenne à un État militaire. Les Adachi ne cessèrent de lutter contre les autres sectes bouddhistes au cours des générations suivantes dans l’histoire du Fujiwa.

Période Haku (1333 - 1640)

La période unifiée de Fujiwa s’étend de 1333 à 1640 et est désignée sous le nom d’ère Haku. Débutant avec l’établissement du shogunat Nakamura, cette période a éliminé le chaos antérieur en imposant une hiérarchie sociale et politique rigide. La structure féodale de l’époque faisait du Shogun le commandant militaire, tandis que les daimyos étaient des seigneurs régionaux qui gouvernaient sous son autorité. Parallèlement, l’Empereur conservait un titre purement symbolique.

Les relations avec les Eurysiens au XVIe siècle ont apporté des avantages tels que des armes à feu, de nouvelles idées, et plus important encore, des technologies qui ont enrichi le pays tout en le mettant à l’épreuve. Néanmoins, Fujiwa est resté uni, renforçant la concentration du pouvoir grâce à la mise en place d’une bureaucratie efficace et d’une diplomatie isolationniste. Cette stabilité a créé les conditions propices à un développement culturel extraordinaire, avec l’art, le théâtre, la littérature et la philosophie atteignant un niveau de sophistication jamais vu auparavant.

Cependant, il était évident qu’un changement significatif se produisait lentement, érodant la structure du shogunat malgré le calme apparent. Les nouveaux paradigmes politiques et philosophiques, ainsi que les avancées scientifiques et technologiques, ouvraient des opportunités, mais aussi des fissures.

Cependant, au début du XVIIe siècle, les facteurs qui avaient contribué à maintenir l’unité de Fujiwa ont commencé à décliner. En 1640, le shogunat, qui avait échoué à s’adapter aux nouveaux changements et aux pressions internes, a conduit à la fragmentation de Fujiwa, mettant ainsi fin à la dynastie des shoguns et marquant le début de deux royaumes distincts dans le pays.

Période Aiyama (1640 - 1870)

Le changement politique et social est arrivé à Fujiwa lorsqu’il est entré dans la période Aiyama après la fin de l’ère Haku en 1640. Cette ère a commencé avec la division de Fujiwa en deux royaumes distincts : le Royaume de Jinse et le Royaume d’Aichi. Le premier était un grand et puissant État, tandis que le second n’était qu’une petite province au sein du Royaume de Jinse, représentant ainsi les différences culturelles et politiques au sein de l’ancien empire.

Le Royaume de Jinse, dirigé par la dynastie Jinsei, avait un système de gouvernance assez libéral par rapport aux deux autres royaumes. Il devint une monarchie constitutionnelle où le pouvoir du monarque était contrôlé par un corps d’élus. En raison des influences de la démocratie et du réformisme, Jinse est devenu un centre de créativité, attirant des intellectuels, des artistes et des scientifiques. La culture locale a également été mise en avant et respectée, et les Jinséens ont été reconnus comme les nouveaux moteurs de la communauté jinseane.

Le Royaume d’Aichi, en revanche, avait une structure gouvernementale plus conservatrice. Pour affermir leur autorité, les dirigeants d’Aichi étaient stricts et présidaient une société fortement féodale, soutenue par une puissante culture militaire. Cependant, grâce à sa position stratégique au centre du Japon et à ses riches ressources, Aichi a été considéré comme une économie conservatrice basée sur l’agriculture et le commerce.

Pendant la période Aiyama, les deux royaumes ont connu une série de guerres et de périodes de paix, tant sur le plan politique que culturel. D’une part, il y avait des périodes de conflit ; d’autre part, il y avait des périodes de coopération, notamment lorsqu’ils faisaient face à des menaces communes, par exemple de la part d’autres royaumes.

Sur le plan culturel, cette époque a connu une croissance et un développement considérables, tout comme les périodes avant et après elle. En particulier, les Jinséens ont réussi à préserver et à développer leur identité unique, notamment en ce qui concerne la langue, l’art et la culture. Leurs activités ne se sont pas limitées aux frontières de Jinse, et ils ont joué un rôle très important dans la formation de la culture et de l’identité fujiwane.

Période de Transition et Consolidation (1870 - 1927)

Pendant la période entre 1870 et 1927, Fujiwa a traversé une phase révolutionnaire et de centralisation politique. Durant cette période, le royaume d’Aichi et le royaume de Jinse ont évolué de manières différentes, chacun développant sa propre culture unique.

Le Royaume d’Aichi, qui contrôlait la partie nord de Wano et la majeure partie de la région de Hoenn, a rapidement développé des industries et adopté la modernisation. Aichi s’est tourné vers des modèles étrangers, adoptant de nouvelles technologies et modifiant son système politique pour en faire une région industrialisée. Son dialecte et son alphabet, d’origine japonaise, dominaient l’administration et l’éducation, reflétant sa position hégémonique.Et le Royaume de Jinse, principalement basé dans la région de Moon et la partie ouest de Hoenn, visait à préserver sa culture et ses coutumes. Jinse utilisait une langue et un système d’écriture d’origine coréenne pour garantir qu’il ne perde pas son identité face à l’influence croissante d’Aichi. Bien que le statut territorial et politique de Jinse soit plutôt fragile, le pays a connu une renaissance culturelle, notamment dans les domaines de l’art, de la littérature et de l’éducation.

Les conflits sociaux et politiques ont atteint leur apogée en l’an 1900, lorsque la guerre entre Aichi et Jinse a commencé, une guerre qui a déterminé les nouvelles frontières et alliances politiques au sein de Fujiwa.

L'Empire d'Aichi (1927 - 1957)

L’année 1927 est considérée comme un nouveau départ dans l’histoire de Fujiwa avec la formation de l’Empire d’Aichi. De manière audacieuse et bien planifiée, le Royaume d’Aichi, désormais devenu un Empire, décide de se transformer en une puissance impérialiste. Cette année est également témoin de l’une des plus grandes tragédies de l’histoire de Fujiwa : l’annexion complète du Royaume de Jinse. Avide de pouvoir, l’Empire d’Aichi attaque Jinse et l’annexe ainsi à son domaine. Cette annexion brutale est un énorme revers pour le peuple jinséen, marquant le déclin de leur indépendance culturelle et politique. L’attaque est rapide et professionnelle ; il y a à peine le temps de se défendre. Après cette conquête, l’Empire d’Aichi impose sans hésitation ses modèles culturels et linguistiques. Les institutions de Jinse sont démantelées et les signes distinctifs de la personnalité de la nation sont effacés. Les noms des villes et des régions sont changés, et une politique d’assimilation est suivie pour effacer l’existence des jinséens.

La répression culturelle et politique dans l’Empire pousse de nombreux jinséens à choisir l’exil entre 1931 et 1935. Ils se regroupent sur les îles de Moon, à l’ouest de Fujiwa, près de Jashuria. Ces îles, relativement isolées de l’influence d’Aichi, deviennent un refuge pour les jinséens. Là, ils créent une société où ils ont la possibilité de vivre et d’agir comme ils le souhaitent, de parler leur langue et de pratiquer leurs coutumes. Les îles de Moon deviennent une représentation de la culture et de l’identité, tandis que les jinséens subissent progressivement davantage de pression et d’oppression.

À partir de 1936, l’Empire d’Aichi entre dans une ère de colonisation au-delà des frontières habituelles de l’empire. Cette période est caractérisée par des conquêtes territoriales impérialistes, y compris celles du Haekang et du Negara Strana. Ces nouveaux territoires colonisés sont importants pour l’empire, non seulement en raison de leur emplacement, mais aussi pour les ressources qu’ils possèdent. Dans ces régions, l’Empire met en place une administration très efficace, imposant sa langue, sa culture et son système éducatif. Les populations locales sont intégrées à l’Empire, parfois au prix de l’effacement de leur patrimoine culturel et historique. Cependant, cette période voit également l’arrivée de nouvelles technologies et l’émergence d’infrastructures dans les colonies, contribuant ainsi à dynamiser leurs économies.

À cette époque de colonisation, l’Empire d’Aichi se concentre sur le développement militaire et industriel. Entre 1946 et 1955, un effort conscient est fait pour renforcer la défense de l’Empire et développer l’industrie. L’Empire modernise son armée, essayant de devenir une force dominante dans la région et un représentant de la puissance nazumienne. C’est aussi une période de développement économique. L’économie de l’Empire est stimulée par les ressources provenant des territoires colonisés, et de nouvelles industries émergent, propulsant ainsi le Fujiwa dans l’ère industrielle. Cependant, cette croissance économique s’accompagne d’une concentration accrue du pouvoir dans l’élite impériale et de l’aggravation de la stratification sociale et des conflits interethniques.

Les dernières années de l’Empire d’Aichi sont caractérisées par une instabilité croissante au sein de l’Empire. En 1956, les premiers signes de discorde au sein de l’établissement politique et militaire apparaissent, annonçant la fin imminente de la période impériale. Cette situation est exacerbée par la mort soudaine de l’Empereur en 1960, sans qu’il ait désigné d’héritier. Cette crise provoque une série de luttes internes pour le pouvoir qui, en fait, paralysent l’administration impériale. Finalement, l’Empire d’Aichi se désintègre et s’effondre en raison de ses contradictions internes et de son incapacité à gouverner un vaste territoire unifié. En 1960, l’Empire a disparu, laissant derrière lui un pays polarisé et plongé dans la confusion, cherchant une nouvelle direction.

Le Fujiwa d'aujourd'hui... (1960 - Présent)

La période qui suit la chute de l’Empire d’Aichi se caractérise par un changement systématique dans la structure politique du Fujiwa. En 1960, le gouvernement du pays adopte une monarchie constitutionnelle, ce qui constitue une indication claire d’une révolution par rapport au système autoritaire. Cette décennie se distingue par un profond processus de démocratisation, au cours duquel l’ancien régime est démantelé et de nouvelles institutions démocratiques sont construites. Le gouvernement est en train de mettre en place un parlement élu avec le soutien de la société fujiwane. La constitution, rédigée pendant cette période, est un document libéral qui consacre les droits et les libertés, ainsi que les principes de justice, d’égalité et de démocratie. C’est une période de transition caractérisée par un grand optimisme et une reconstruction, où les citoyens du Fujiwa sont impliqués dans le processus de construction nationale.

La famille Kozuki, bien que principalement investie d’une signification rituelle, devient une image importante de l’unité de l’État et de la continuité de l’héritage historique. Dans les années 1970, cependant, elle n’apparaît pas seulement comme une figure de représentation, mais aussi comme un médiateur entre le passé féodal du Fujiwa et son avenir démocratique. Elle représente une approche respectueuse du passé tout en acceptant les nouveaux principes et valeurs, et elle inspire la citoyenneté par son exemple de dignité et de philosophie. Cette période voit également un regain d’intérêt pour l’histoire et la culture nationales. Les valeurs familiales et les pratiques culturelles, qui ont été affaiblies ou marginalisées pendant des années, sont redécouvertes et adoptées, renforçant ainsi l’identité nationale et culturelle du peuple.

Les années 1980 marquent une ère de stabilisation de la démocratie fujiwane. Le parlement élu devient un lieu actif et dynamique de discussion et de prise de décision, reflétant la diversité et les contradictions de la société. Cette période voit également des progrès considérables dans les domaines de l’éducation, de la santé et des services sociaux, témoignant d’un intérêt pour le bien-être de chaque individu dans la société. L’innovation sociale et le libéralisme sont adoptés comme concepts clés de la stratégie gouvernementale. De nouveaux projets destinés au développement du commerce, de l’enseignement et des soins de santé transforment l’environnement social et économique du Fujiwa.

L’économie du Fujiwa change à l’aube du nouveau millénaire. Se détachant de l’économie plus contrôlée qui l’a caractérisée par le passé, le pays se tourne vers le libéralisme économique. Cette période est marquée par la libéralisation de l’économie et, plus important encore, par son ouverture aux investissements étrangers, ouvrant ainsi la voie à un marché compétitif. Les années 2000 voient l’émergence des géants corporatifs modernes, dont beaucoup sont dirigés par des personnes qui ont su tirer parti de cette nouvelle orientation économique. Ces entreprises émergent rapidement comme des acteurs significatifs dans l’économie nationale et influencent la politique et la société fujiwanes dans le processus. La plupart de ces corporations trouvent leurs origines dans des familles de l’ère féodale et ont utilisé leur riche héritage et leurs relations pour bâtir leurs empires dans des industries vitales telles que la technologie, la finance et l’énergie.

Kozuki
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POLITIQUE

Pour commencer par une brève présentation, le Fujiwa est une monarchie constitutionnelle où le pouvoir est partagé entre l'Empereur, qui est le symbole de l'État et de l'unité du peuple fujiwan, et le Premier ministre, qui est le chef de l'exécutif. Le pouvoir législatif est détenu par la Diète, qui se compose d'une unique chambre: la Chambre des représentants. Le Fujiwa possède un système politique multipartite, avec de nombreux partis politiques en activité, mais un seul domine vraiment la scène depuis plusieurs dizaines d'années: il s'agit du parti de l'Aube. Le régime actuel respecte une longue tradition de respect de la démocratie et de l'état de droit qui ne saurait être remis en cause par quelconque au Fujiwa.


Organisation

Au Fujiwa, le Cabinet exerce le pouvoir exécutif et répond de ses actions devant la Diète. Il est composé du Premier ministre (総理大臣) et de plusieurs ministres d'État, tous devant être des civils. Pour être Premier ministre, il est nécessaire d'être membre de la Diète et de recevoir l'appui de ses pairs. Le Premier ministre est autorisé à nommer et révoquer les ministres, mais une majorité de ces derniers doit être constituée de membres de la Diète.

La branche législative se compose d'une chambre des représentants (衆議院) de 500 sièges, élu au suffrage universel tous les cinq ans.
Le suffrage est toujours universel et secret (tous les hommes et femmes âgés de 18 ans ou plus ont le droit de vote). L'Empereur n'ayant qu'un rôle purement symbolique, le Fujiwa est classé comme démocratie parlementaire.

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Haut : Diete du Fujiwa. Bas : Palais impérial Kozuki


Partis Politiques

Parti de l'Aube (PA) Fondé dans les années suivant la démocratisation du Fujiwa, le Parti de l’Aube a longtemps dominé le paysage politique, promouvant des valeurs conservatrices tout en soutenant des réformes démocratiques modérées. Le parti vise à maintenir la stabilité et la prospérité économique, tout en conservant les valeurs traditionnelles et en renforçant les institutions démocratiques.

Parti Communiste Fujiwan (PCF) Originaire des mouvements de gauche de l’ère d’Aichi, le PCF s’est constitué en réaction à l’oppression impériale, luttant pour la justice sociale et l’égalité. Il cherche à transformer radicalement la société en promouvant l’égalité sociale, la redistribution des richesses et un état providence fort.

Kōdō (KD) Kōdō est un parti nationaliste et conservateur qui a émergé comme une réponse à la perception d’une dérive libérale et cosmopolite du PA, prônant un retour aux valeurs traditionnelles et à l’autorité étatique. Kōdō vise à réaffirmer l’identité nationale du Fujiwa, renforcer la sécurité intérieure et externe, et limiter l’influence étrangère.

Parti Uri (PU) Le Parti Uri est une petite formation politique centrée sur le pragmatisme et la modération, souvent jouant un rôle d’arbitre entre les blocs de gauche et de droite. Uri aspire à une politique de consensus, cherchant à modérer les extrêmes de la politique fujiwane et à favoriser des solutions centrées et pragmatiques aux problèmes nationaux.

Shinwa (SW) Créé récemment par Koji Omura, Shinwa est né de l’effritement du Cercle Socialiste (ancienne alliance de gauche mais redevenu le PCF) et de l’insatisfaction envers le Parti de l’Aube. Il se positionne comme un mouvement progressiste et modéré. Shinwa cherche à revitaliser la démocratie fujiwane avec des réformes progressives, s’attaquant aux problèmes sociaux tout en renforçant les liens internationaux.

Shihon (SH) Shihon est le plus récent des partis, formé par des élites d’affaires pour directement influencer la politique en faveur des intérêts des corporations. Le parti vise à promouvoir un agenda pro-entreprise, déréguler l’économie pour stimuler l’innovation et l’investissement, et réduire les interventions de l’État dans le marché.

Voir la représentation de la Diète au complète.

[Maj date rp 17/05/2014]
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GEOGRAPHIE

Le Fujiwa est un pays d'une superficie totale de 581 592 km² et est peuplé d'environ 70 millions d'habitants. Le pays est composé d'une terre continentale, ainsi qu'une archipel de deux îles, situé au large de la côte de Nazum. La partie continentale est appelé la terre d'Hoenn, l'île au nord Wano et sa petite voisine les îlots de Moon. Le territoire est volcanique et fortement montagneux, ce qui a pour conséquence une répartition inégale de la population. Le climat est similaire et est définit comme continental humide. Ces différences de reliefs ont permis le développement d'une faune et d'une flore variée, avec certaines espèces endémiques rares ou disparues. Le pays est découpé en 38 préfectures pour des raisons administratives.


Lien vers les références géographiques du Fujiwa

[Maj date rp 18/10/2013]
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EDUCATION

L’enseignement obligatoire dure neuf ans au Fujiwa, de 6 à 15 ans. La plupart des jeunes Fujiwans continuent leur éducation au lycée. Il existe ensuite diverses options d’enseignement supérieur. Le système scolaire fujiwans met l'accent sur la rigueur, la compétition et l'excellence académique. Les élèves sont attendus à se surpasser et à développer un esprit de compétition saine avec leurs pairs pour obtenir les meilleurs résultats possibles.


Organisation

Le système scolaire fujiwans est structuré de manière à offrir une éducation complète et de qualité à ses élèves. L'organisation du système scolaire se divise en plusieurs niveaux, à savoir : l'éducation préscolaire, l'enseignement primaire, l'enseignement secondaire et l'enseignement supérieur. L'année scolaire fujiwane commence en mars et se divise en deux semestres. Le premier semestre s'étend de mars à fin juin, suivi par les vacances d'été en juillet et août. Le second semestre débute en septembre et se termine en décembre, laissant place aux vacances d'hiver qui durent de fin décembre jusqu'à début février. Avant la rentrée en mars, les élèves profitent des vacances de printemps, qui ont généralement lieu lors de la première semaine de mars. Le tout est géré par le Ministère de l'Education des Sciences et des Technologies.

Le système éducatif obligatoire au Fujiwa

Au Fujiwa, l'éducation est obligatoire pour les enfants âgés de 6 à 15 ans. L'année scolaire débute en mars, et les enfants qui atteignent l'âge de six ans avant le 1er mars sont admis à l'école primaire. Ils suivent ensuite six années d'éducation élémentaire avant de poursuivre leurs études au collège pendant trois ans.

Les écoles primaires et les collèges publics fujiwans n'exigent pas d'examen d'entrée ni de frais de scolarité. Les manuels scolaires sont également fournis gratuitement. Les principales dépenses pour les parents concernent les uniformes (pour les collégiens), les fournitures scolaires, les déjeuners et les voyages scolaires. Néanmoins, de nombreuses écoles primaires et collèges privés offrent de meilleures opportunités d'accéder aux meilleurs lycées du pays, attirant ainsi de nombreux candidats malgré des frais de scolarité parfois élevés.

Le taux de scolarisation pour les années d'enseignement obligatoire au Fujiwa est de 99,8 %. Avant de commencer l'école primaire, de nombreux enfants fréquentent également la maternelle dès l'âge de trois ans. Cette étape est facultative, mais gratuite. Les enfants étrangers résidant au Fujiwa ne sont pas légalement tenus de fréquenter l'école, mais ils peuvent, comme les enfants fujiwans, bénéficier d'un enseignement gratuit et de manuels scolaires gratuits de la primaire au collège.

Le lycée et l'enseignement supérieur

Une fois l'enseignement obligatoire achevé, les étudiants disposent de plusieurs options. Pour les jeunes de 15 à 18 ans, il existe différents types d'établissements : lycées généraux, lycées agricoles, industriels ou commerciaux. Les élèves peuvent également suivre des cours du soir ou par correspondance pour obtenir leur diplôme de lycée tout en travaillant. Les lycées professionnels, qui associent enseignement général et formation technique spécialisée, sont une autre alternative. Au Fujiwa, 97,1 % des élèves ayant terminé le collège poursuivent leurs études dans l'une de ces filières.

De nouvelles formes d'écoles ont vu le jour, comme les établissements regroupant collège et lycée. Ces écoles séduisent de nombreux étudiants grâce à leur programme de six ans et une préparation rigoureuse aux examens d'entrée à l'université. Un autre phénomène récent, lié à l'évolution des frontières et à un nombre croissant de parents expatriés, est l'essor des écoles proposant des cours pour les enfants ayant suivi une partie de leur scolarité à l'étranger.

Concernant l'enseignement supérieur, il existe des universités proposant des cursus de quatre ou deux ans, ainsi que des écoles professionnelles offrant des programmes de deux ans ou plus. Après l'obtention d'un diplôme universitaire, les étudiants peuvent poursuivre deux années d'études spécialisées pour une maîtrise ou trois ans ou plus pour un doctorat. Pour de nombreuses entreprises fujiwannes, un diplôme universitaire est un critère minimum lors de l'embauche de nouveaux employés. Néanmoins, 90 % des diplômés du lycée qui ont cherché un emploi directement après leurs études ont réussi à en trouver un.

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Généralités

Le port de l'uniforme

L'uniforme scolaire au Fujiwa est une tradition forte et symbolique qui reflète à la fois la discipline et l'unité entre les élèves. Il est porté par les étudiants dans de nombreuses écoles, en particulier au niveau du collège et du lycée, bien que certaines écoles primaires puissent également l'exiger. L'uniforme varie selon les établissements, mais il suit généralement un modèle similaire.

Pour les garçons, l'uniforme classique consiste en une chemise blanche à manches longues ou courtes, souvent avec un col officier, accompagnée d'un pantalon noir ou bleu marine. Une cravate ou un nœud papillon, généralement aux couleurs de l'école, est porté avec la chemise. Durant les mois d'hiver, un blazer ou un gilet, portant l'emblème de l'école, est ajouté pour se protéger du froid. Les chaussures sont généralement des souliers noirs ou marron, complétés par des chaussettes hautes de la même couleur.

Pour les filles, l'uniforme traditionnel est composé d'une chemise blanche à manches longues ou courtes, assortie d'une jupe plissée, souvent aux couleurs de l'école. Une cravate ou un nœud papillon, coordonné avec la jupe, est également porté. Les filles portent des chaussettes hautes ou des collants, selon la saison, et des chaussures noires ou marron. Comme pour les garçons, un blazer ou un gilet, orné de l'emblème de l'école, est porté en hiver.

Au cours des dernières années, les écoles au Fujiwa ont cherché à rendre leurs uniformes plus inclusifs et adaptés à la diversité des élèves. Cette évolution a pour objectif de favoriser un environnement d'apprentissage confortable et respectueux pour tous. Toutefois, ces changements ont suscité des réactions mitigées au sein de la société fujiwanne. Les uniformes plus inclusifs incluent des options unisexes, permettant aux élèves de choisir entre la jupe traditionnelle ou le pantalon, quel que soit leur genre. De plus, certaines écoles ont modifié leurs codes vestimentaires pour accueillir des élèves aux besoins spécifiques, tels que des ajustements pour des raisons médicales ou religieuses.

En plus de l'uniforme quotidien, les écoles au Fujiwa disposent souvent d'un uniforme sportif distinct pour les cours d'éducation physique et les activités sportives. Cet ensemble comprend généralement un survêtement, un t-shirt et un short aux couleurs de l'école, ainsi que des chaussures de sport adaptées.

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Les clubs extra-scolaires et les quartiers latins éducatifs

Au Fujiwa, les clubs extra-scolaires et les quartiers latins éducatifs jouent un rôle essentiel dans la vie scolaire des élèves. Ces clubs sont fortement conseillés, voire obligatoires, et ont un impact significatif sur le parcours scolaire des jeunes fujiwans.

Les clubs extra-scolaires englobent un large éventail d'activités, allant des sports aux arts en passant par les sciences et les langues. Ils offrent aux élèves la possibilité d'explorer et de développer leurs passions, tout en favorisant l'esprit d'équipe, la discipline et la persévérance. Les enseignants et les conseillers pédagogiques encouragent vivement les élèves à s'engager dans au moins un club, soulignant l'importance de l'épanouissement personnel et du développement de compétences transférables.

Dans le même esprit, les quartiers latins éducatifs sont des espaces dédiés à l'apprentissage collaboratif et à l'échange culturel. Ces zones regroupent des établissements scolaires, des bibliothèques, des centres culturels et des cafés, créant un environnement propice à la découverte, à la créativité et à l'interaction sociale. Les élèves sont encouragés à participer à des événements, des ateliers et des conférences organisés dans ces quartiers, afin d'élargir leurs horizons et de s'immerger dans un milieu intellectuellement stimulant.

La participation aux clubs extra-scolaires et l'engagement dans les quartiers latins éducatifs sont pris en compte dans l'évaluation du parcours scolaire des élèves au Fujiwa. Ces expériences sont considérées comme une partie intégrante de l'éducation des jeunes fujiwans, contribuant à leur croissance personnelle, à leur développement de compétences et à leur préparation pour l'avenir.

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Rites et cérémonies traditionnelles dans le système

L'importance des rites et des cérémonies traditionnelles dans les écoles fujiwannes est profondément enracinée dans la culture du pays. Ces événements contribuent à la formation du caractère des élèves, à l'inculcation des valeurs fujiwannes et au renforcement de la cohésion sociale. Voici quelques exemples concrets de ces cérémonies :

・ Cérémonie d'entrée : Au début de chaque année scolaire, les écoles fujiwannes organisent une cérémonie d'entrée pour accueillir les nouveaux élèves et leurs familles. Les élèves portent leurs uniformes, et il y a souvent des discours de la part des directeurs d'école, des enseignants et des représentants des élèves. Cette cérémonie marque le début du parcours éducatif des élèves et souligne l'importance de l'apprentissage et de la discipline.

・ Cérémonie de remise des diplômes : À la fin de l'année scolaire, les écoles organisent des cérémonies de remise des diplômes pour célébrer les réalisations des élèves qui terminent leur scolarité. Ces événements sont souvent accompagnés de discours, de remises de prix et de performances culturelles.

・ Fêtes culturelles : Les écoles fujiwannes célèbrent régulièrement des fêtes culturelles pour promouvoir la compréhension et l'appréciation des traditions et des arts du pays. Par exemple, lors de la fête du Tanabata, les élèves peuvent participer à des ateliers de fabrication de décorations en papier, écrire des souhaits sur des tanzaku (petites bandelettes de papier) et les accrocher à des branches de bambou.

・ Compétitions sportives : Les écoles fujiwannes organisent chaque année des compétitions sportives, appelées "undokai" en fujiwans, pour encourager l'esprit d'équipe, la discipline et la compétition saine entre les élèves. Ces événements impliquent souvent des courses de relais, des épreuves d'athlétisme et des jeux traditionnels.

・ Cérémonies commémoratives : Les écoles fujiwannes commémorent également des événements historiques importants, tels que la Journée du souvenir, pour honorer la mémoire des personnes qui ont sacrifié leur vie pour le pays. Ces cérémonies sont généralement marquées par des moments de silence, des discours et des offrandes de fleurs.

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ECONOMIE

L'économie du Fujiwa est fortement libérale, caractérisée notamment par la libre circulation des biens et produits avec son voisin, le Jashuria. Ce trait s'explique par une tradition d'industrialisation massive, portée par les corporations modernes qui descendent directement des grandes familles industrielles nobles proches de l'Empereur durant l'ère de l'Empire d'Aichi. De nos jours, le Fujiwa exporte principalement vers le Nazum, le Paltoterra, et l'Aleucie, profitant de sa position géographique avantageuse pour le commerce maritime. Les échanges avec l'Eurysie sont rares, les partenaires commerciaux du Fujiwa dans cette région se comptant sur les doigts d'une main. Bien que l'État exerce un contrôle rigoureux sur l'encadrement et la régulation des activités économiques, il est souvent influencé par les grandes corporations qui dominent le pouvoir économique du pays.

Classification

Le METI (Ministry of Economy, Trade and Industry) joue un rôle central dans l'encadrement et la régulation de la majorité des affaires liées à l'économie, au commerce et à l'industrie au Fujiwa. En tant qu'autorité publique, le METI est souvent impliqué dans l'élaboration et la mise en œuvre de stratégies négociées entre les pouvoirs publics et privés, cherchant à trouver un équilibre entre les intérêts des deux parties.
Le METI détient un pouvoir considérable dans la détermination des trajectoires économiques nationales, et il n'hésite pas à exercer cette influence face aux gros poissons de la finance. Ainsi, le ministère veille à ce que les grandes entreprises et les magnats de l'industrie respectent les régulations et les politiques économiques définies par le gouvernement. Le METI a également pour mission de promouvoir le développement durable, l'innovation et la compétitivité des entreprises fujiwanes sur la scène nazumie et internationale.

L'économie, et plus particulièrement son commerce extérieur, du Fujiwa est classifié en cinq grands secteurs : Services / Industrie / Construction / Agriculture / Énergie / Culture & Médias. Voici le développement des sous-catégories des exportations commerciales du Fujiwa en 2010 dans différents secteurs [Les principaux biens et services affichés sont ceux qui s'exportent le plus. Le Fujiwa produit plus de produits quand ils sont à destination de son commerce intérieur...] :

Production Nationale Domestique & Exportations


[Voici un aperçu général des secteurs de production essentiels pour le marché intérieur du Fujiwa. Ces secteurs fournissent des biens et services principalement destinés à la consommation domestique].
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CULTURE

Religions

La singularité du paysage religieux au Fujiwa réside dans le fait que de nombreux Fujiwans pratiquent divers courants religieux tout au long de leur vie. Cette pratique polyvalente trouve son origine dans les racines historiques du pays, notamment l'obligation de pratiquer le shintoïsme à l'époque de l'Ancien Fujiwa, ainsi que la propagation du bouddhisme depuis les terres du Jashuria. Il est donc courant de voir les Fujiwans pratiquer conjointement le shintoïsme et le bouddhisme. Les Fujiwans fréquentent souvent des sanctuaires shintoïstes pour célébrer le Nouvel An, se rendent dans des temples bouddhistes pour les rites funéraires et célèbrent des fêtes chrétiennes comme Noël sans percevoir de contradiction. En outre, une part non négligeable de la population se déclare non-pratiquante, athée ou agnostique. Pourtant, cela n'empêche pas ces individus de participer aux événements saisonniers traditionnels, mettant en évidence le fait que la culture et la tradition de la société fujiwane transcendent les croyances religieuses pour devenir le fil conducteur de la vie du peuple.

D'après le dernier recensement anthropologique, voici les dernières données (2010) sur la pratique des courants religieux (Ces chiffres dépassent 100% car de nombreuses personnes s'identifient à plus d'une religion) :


Shintoïsme : Le shintoïsme fujiwans, bien qu'il partage des racines avec le shintoïsme nazuméen, a évolué de manière distincte pour former une expression unique de la spiritualité et de la vénération de la nature. Les Fujiwans qui pratiquent le shintoïsme, appelés Shinboku, croient fermement en l'interconnexion de tous les êtres vivants et de la nature. Les éléments naturels tels que les arbres, les rivières, les montagnes et même les phénomènes météorologiques sont considérés comme abritant des esprits, ou kami. Ces kami ne sont pas vus comme des entités lointaines, mais sont intégrés dans la vie quotidienne. Les rites shintoïstes comprennent des offrandes à ces kami, des prières pour le bien-être et la prospérité, et des célébrations des saisons et des cycles de la nature. Une particularité du shintoïsme fujiwans est la pratique du "Kamisama-no-michi", littéralement le "chemin du kami". Il s'agit d'un pèlerinage où les fidèles parcourent des sentiers sacrés à travers le pays, visitant des sanctuaires shintoïstes majeurs et se connectant directement avec les kami en s'immergeant dans la nature. Ces pèlerinages sont à la fois un voyage physique et spirituel, considéré comme un moyen pour les pratiquants de purifier leur esprit et d'approfondir leur lien avec les kami. Ce courant religieux accorde une grande importance à l'harmonie sociale. Les rituels collectifs, comme les festivals saisonniers, renforcent le sentiment de communauté et les liens sociaux. La tradition orale joue un rôle important dans le shintoïsme fujiwans. Les mythes et légendes sont transmis de génération en génération, racontant l'histoire des kami et des héros mythiques. Ces histoires, en plus de transmettre des enseignements moraux et spirituels, offrent un aperçu précieux de la culture et de l'histoire du Fujiwa.

Bouddhisme : Le bouddhisme fujiwans, importé du Jashuria, est une composante importante de la mosaïque religieuse du pays. Il est parvenu à fusionner avec le shintoïsme pour former un syncrétisme spirituel qui est aujourd'hui une caractéristique essentielle de la culture religieuse fujiwane. Le bouddhisme est arrivé au Fujiwa en tant que tradition monastique, avec des moines jashuriens voyageant à travers les frontières pour établir des temples et partager leur foi. Les enseignements bouddhistes, centrés sur la quête de l'illumination et la libération de la souffrance, ont trouvé un écho parmi les Fujiwans. Cependant, le bouddhisme fujiwans s'est distingué de son homologue jashurien en incorporant des éléments de la pratique shintoïste existante. Par exemple, les Fujiwans ont adopté le concept bouddhiste de la réincarnation, mais l'ont lié à leur croyance shintoïste en l'existence de kami, en suggérant que les esprits de la nature peuvent renaître sous différentes formes. De même, les temples bouddhistes sont souvent situés à proximité ou même à l'intérieur de sanctuaires shintoïstes, reflétant la coexistence harmonieuse de ces deux systèmes de croyances. Les rituels bouddhistes, tels que la méditation et la récitation de sutras, sont pratiqués aux côtés des rites shintoïstes. De nombreux Fujiwans se rendent aux temples bouddhistes pour des occasions telles que les funérailles et les commémorations des ancêtres, en plus des visites régulières aux sanctuaires shintoïstes.

Shin-Natara : Le Shin-Natara est une ramification du shintoïsme qui s'est développée au sein du Fujiwa, offrant une interprétation unique et contemporaine de cette ancienne foi. Elle se distingue par une vision plus abstraite et personnelle des kami, les divinités respectées dans le shintoïsme. C'est une expression authentique de la diversité et de l'innovation spirituelle qui caractérisent la culture religieuse du pays. Elle prend de plus en plus de place parmi les croyants du shintoïsme dit plus traditionnel.

Confucianisme : Le confucianisme, bien que né hors du pays, a trouvé une place significative au sein de la culture fujiwane. Il est considéré à la fois comme une philosophie de vie et une pratique religieuse, bien que ses contours soient définis de manière un peu différente par rapport à sa forme originelle. Au Fujiwa, le confucianisme est moins une série de dogmes religieux qu'un cadre pour guider la conduite morale et le comportement dans la société. Il est considéré comme une éthique sociale et politique, axée sur l'harmonie, la bienveillance, le respect des aînés et la piété filiale. Ces principes sont ancrés dans la vie quotidienne des Fujiwans, imprégnant leurs interactions sociales, leurs décisions politiques et leur comportement familial. Parallèlement à cette éthique sociale, le confucianisme est aussi une pratique spirituelle pour certains Fujiwans. Des temples dédiés à Confucius existent au Fujiwa, où les gens viennent pour méditer sur les enseignements du sage, pour offrir des prières, et pour participer à des cérémonies commémorant les moments importants de la vie de Confucius. Cependant, ces pratiques religieuses sont souvent imbriquées avec les croyances shintoïstes et bouddhistes, reflétant la nature syncrétique de la religiosité fujiwane. Au-delà des temples, le confucianisme influence aussi le système éducatif fujiwans. Les enseignements sur l'apprentissage continuel, le respect des aînés, et la quête de l'excellence personnelle sont incorporés dans le curriculum scolaire, formant une partie importante de l'éducation morale des jeunes Fujiwans.

Islam : L'Islam, bien qu'il ne représente pas la majorité de la population, occupe une place importante dans le tissu multiculturel de la nation. Il est arrivé sur les rives du territoire grâce aux commerçants et aux voyageurs, se mélangeant peu à peu aux croyances et aux pratiques indigènes pour créer une forme unique d'Islam fujiwans. Dans sa pratique, l'Islam fujiwans conserve les piliers centraux de la religion : la foi en un Dieu unique, Allah, la prière quotidienne, le jeûne pendant le mois de Ramadan, l'aumône, et le pèlerinage. Cependant, il existe une certaine flexibilité dans la manière dont ces piliers sont observés, reflétant l'accent mis sur l'harmonie sociale et le respect des différentes traditions religieuses.

Christianisme : Le christianisme, bien qu'il soit une des plus petites religions au Fujiwa, est néanmoins un élément clé de la diversité. Les Fujiwans chrétiens respectent les principes fondamentaux de la foi chrétienne, tels que la croyance en Jésus-Christ en tant que fils de Dieu et Sauveur de l'humanité, la lecture et l'étude de la Bible, et la participation aux sacrements. Contrairement aux autres religions, c'est la seule qui n'a pas voulu s'adapté aux autres coutumes religieuses qui composent le pays. En effet, dans un pays où la coexistence harmonieuse de divers courants religieux est la norme, ces communautés chrétiennes peuvent parfois apparaître comme des îlots isolés, plus centrées sur leurs propres croyances et traditions que sur l'échange et l'intégration à la culture fujiwane dans son ensemble. Cela a conduit à une situation où, bien que le christianisme soit respecté comme une partie de la diversité religieuse du Fujiwa, il est souvent perçu comme un courant à part, avec ses propres rituels et pratiques, qui diffèrent des autres croyances plus couramment pratiquées dans le pays.

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Diasporas

L'Etat du Fujiwa est un pays qui a réouvert ses frontières que récemment (depuis les années 2000) mais qui loge des diasporas nazuméennes. Ces nazuméens sont installés au Fujiwa depuis plusieurs dizaines d'années, de générations en générations. En effet, le pays a eu des périodes d'ouvertures assez brèves dans son histoire mais suffisante pour avoir eu la possibilité d'accueillir diverses populations étrangères. Si l'on se base sur les récents recesenment des années 2010, on retrouve une proportion assez forte de Jashuriens et de Burujois. Les raisons de ces installations proviennent vraisemblablement de la proximité géographique et culturel qui lie le continent du Nazum.

Les Jashuriens sont les plus nombreux et les mouvements se sont intensifiés ces dernières années. En effet, de nombreuses familles jashuriennes ont de la famille au Fujiwa ou ont au moins un membre de la famille de racine fujiwane. Avec l'ouverture des frontières du Fujiwa, la confiance établie avec son voisin a générer le phénomène de ce rapprochement familial. Beaucoup de Jashuriens viennent désormais s'installer sur le sol fujiwans et réciproquement, les Fujiwans trouvent des opportunités personnelles à faire leur vie au Jashuria. Il existe un profond respect mutuel entre les deux ethnies. D'après les derniers chiffres, on compterait près de 3 millions de Jashuriens résidant dans le pays.

Dans le cas des Burujois au Fujiwa, la situation est un peu différente. Bien que le Burujoa ne soit accessible directement par la mer, des similitudes culturelles importantes existent entre les deux nations. Ces similitudes ont encouragé un flux régulier d'immigrants burujois au Fujiwa, malgré la barrière géographique. Pour les Fujiwans originaires d'Aichi (anciennement le Royaume d'Aichi), le Burujoa est respecté pour sa stabilité impériale. Ils apprécient grandement de voir des empereurs, culturellement similaires, détenant encore le plein pouvoir et étant véritablement vénérés. Les impérialistes et nationalistes fujiwans citent souvent l'exemple du pouvoir burujois dans leurs discours politiques. D'après les derniers chiffres, on compterait près de 1 million de Burujois résidant dans le pays.

Quant à la présence des Stranéens au Fujiwa, celle-ci est plutôt modeste. En raison de différences idéologiques profondes - les Stranéens étant principalement socialistes - il existe une certaine méfiance entre les deux populations. Cette méfiance est encore exacerbée par le passé colonial du Fujiwa sur le Negara Strana. Cette histoire coloniale difficile a laissé des cicatrices qui perdurent jusqu'à aujourd'hui. Par ailleurs, le Negara Strana a maintenu ses frontières fermées pendant des siècles, limitant ainsi l'immigration. Cependant, malgré ces défis, une petite diaspora stranéenne a réussi à s'établir au pays. Ce sont principalement des individus et des familles qui ont cherché de nouvelles opportunités ou qui ont été contraints de quitter leur pays d'origine pour diverses raisons. La relation entre les Stranéens et le reste de la population fujiwane reste complexe et est souvent teintée de prudence et de résilience. D'après les derniers chiffres, on compterait près de 2 millions de Stranéens résidant dans le pays.

La présence des Haekangais au Fujiwa est assez notable, principalement en raison des déportations massives de familles haekangaises vers le Fujiwa pendant la période coloniale du Royaume d'Aichi. Cette migration forcée a conduit à l'établissement d'une diaspora haekangaise considérable au Fujiwa. En termes de culture et d'ethnie, les Haekangais partagent de nombreuses similarités avec les Fujiwans originaires du Royaume de Jinse. Par exemple, le dialecte coréen parlé par les Haekangais ressemble beaucoup à celui des ex-habitants de Jinse. Ces similarités culturelles ont facilité leur intégration au sein de la société fujiwane, malgré les circonstances difficiles de leur arrivée. Au fil du temps, la diaspora haekangaise au Fujiwa s'est progressivement assimilée tout en préservant certains aspects de sa culture et de ses traditions. En effet, au fil des générations, les frontières ethniques et culturelles entre les Fujiwans et les Haekangais ont progressivement commencé à s'estomper. Aujourd'hui, il n'est pas rare de rencontrer des Haekangais dont un ou les deux parents sont originaires du Fujiwa. Les mariages mixtes entre les Fujiwans et les Haekangais sont également devenus assez courants. D'après les derniers chiffres, on compterait près de 1.2 millions de Haekangais résidant dans le pays.

Bien qu'une analyse détaillée des communautés en provenance d'autres nations du Nazum ne soit pas actuellement possible, en raison de leur présence moins significative et des restrictions frontalières qui restent quand même persistantes au Fujiwa. Il est important de noter que cela est une estimation et peut varier en fonction de facteurs tels que les changements dans les politiques migratoires, les taux de natalité et de mortalité, et d'autres facteurs socio-économiques.


Langues

Dans la société multiculturelle du Fujiwa, l'uniformité linguistique est un phénomène marquant. En effet, près de 92,4% des citoyens du pays ont le fujiwan comme langue maternelle. Cette langue, porteuse de l'histoire et des traditions du peuple fujiwan, se transmet de génération en génération et contribue à maintenir l'identité nationale. Néanmoins, le paysage linguistique du Fujiwa ne se limite pas à une seule langue. Près de 47% de la population totale parle également le dialecte coréen. Ceci est particulièrement le cas dans les populations issues de l'ancien Royaume de Jinse. Cette double compétence linguistique souligne l'histoire complexe du pays et atteste de la diversité culturelle de ses habitants. Les 7,6% restants de la population représentent une diversité de langues et de cultures, principalement issues de l'immigration. Les communautés d'origine jashurienne, burujoise, stranéenne et haekangaise sont particulièrement représentées et contribuent à enrichir le paysage linguistique du Fujiwa.

Sur le plan de l'éducation, l'anglais occupe une place prédominante. Première langue étrangère enseignée dès l'école primaire - et même souvent dès la maternelle - elle est très répandue parmi les plus jeunes générations. Sa maîtrise est largement encouragée et est considérée comme une compétence essentielle dans le contexte globalisé actuel. Le jashurien, quant à lui, arrive en seconde position en tant que langue étrangère. Son apprentissage est particulièrement encouragé chez ceux qui ont des liens familiaux ou culturels avec le Jashuria, mais également chez ceux qui sont intéressés par les opportunités économiques et culturelles que cette langue peut offrir.
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