23/06/2013
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[ENCYCLOPÉDIE] Fujiwa

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❀ I - INFORMATIONS GÉNÉRALES


Le Fujiwa, pays aux mille facettes, se dresse fier et majestueux au cœur du Nazum du sud-est. Cette nation riche de son histoire et de sa culture millénaire est un véritable trésor pour quiconque souhaite découvrir les mystères et les beautés de cette région. Doté d'une nature luxuriante et de paysages à couper le souffle, le Fujiwa offre une expérience inoubliable à ses visiteurs, mêlant harmonieusement tradition et modernité.

La devise du Fujiwa, "Unité, Sagesse et Prospérité", témoigne de l'esprit de solidarité et de l'attachement aux valeurs ancestrales qui unissent les Fujiwans. Leur hymne national, "La Splendeur du Fujiwa Éternel", célèbre la grandeur de cette terre sacrée, transmise de génération en génération.

L'identité fujiwane, ancrée dans les arts, la philosophie et les savoirs ancestraux, est le reflet d'un peuple attaché à préserver son patrimoine culturel tout en embrassant le progrès et l'innovation. Le Fujiwa est donc une destination de choix pour tous ceux qui cherchent à explorer un pays authentique et fascinant, véritable joyau du Nazum.


Présentation

Nom officiel : L'Etat du Fujiwa.
Nom courant : Fujiwa

Régime politique : Monarchie constitutionnelle.

Gentilé : Fujiwan(s) - Fujiwane(s).

Langue officielle : Fujiwans (dialecte japonais).
Autre langue reconnue : Coréen.

Drapeau : Le Kibōsei, Drapeau de l'Espoir du Fujiwa

Fujiwa

Devise officielle : Danketsu, chie, han'ei : "Unité, Sagesse et Prospérité"

Hymne officiel : "La Splendeur du Fujiwa Éternel"

Chef de l'État : Empereur KOZUKI Oden.

Monnaie nationale : 金 Kin.

Fête nationale : 25 Mars (date de l'anniversaire de l'Empereur régnant).

Capitale : Sokcho.

Population : 70 138 571 habitants (dernier recensement 10/06/2012).

Emplacement : Sud-Est du Nazum.

Fujiwa
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❀ II - HISTOIRE


Les Périodes Historiques du Fujiwa: beaucoup en connaissent peut-être les noms, mais savez-vous laquelle est laquelle ? Cet essai résume quelques-uns des points les plus importants des périodes historiques du Fujiwa que vous devriez connaître, organisés par période. Remontons dans le temps!


Chronologie

Fujiwa préhistorique : la période Hiraku (13 000 ~ 300 avant J-C)

Alors que les archéologues ont trouvé des preuves de l'homme préhistorique sur les îles fujiwanes vers 13 000 avant notre ère, l'histoire du Fujiwa commence avec la période Hiraku, la plus ancienne et la plus longue ère préhistorique du Fujiwa. Elle a commencé vers 14 500 avant notre ère et se compose de plusieurs parties : les périodes naissantes, initiale, précoce, moyenne, tardive et finale.

Au cours de la période naissante, le Fujiwa faisait partie du continent nazumi. Les premiers peuples étaient des nomades qui suivaient des troupeaux d'animaux à travers Hoenn jusqu'à ce qui allait devenir le Fujiwa. La dernière période glaciaire a séparé le territoire fujiwans du continent, ne laissant à ces anciens nomades d'autre choix que de s'installer également sur cette île au nord, aujourd'hui nommé Wano.

Perdus, ces premiers peuples durent abandonner le nomadisme pour former une société de chasseurs-cueilleurs. Ils ont continué à évoluer avec les saisons pendant un certain temps avant de s'installer complètement vers 8 000 avant notre ère. Bien qu'il n'y ait aucune preuve d'une structure politique à l'époque, cette colonie a entraîné une forte croissance démographique et le développement des habitations en fosse, des techniques de chasse et de recherche de nourriture, de l'agriculture de base et même des arts, en particulier la poterie.

Cette poterie, appelée Hiraku, est ce qui a donné son nom à la période. C'est la plus ancienne poterie du Fujiwa, datant de 12 000 ans. Il y aurait eu plus de 70 styles. Avant l'introduction du tour de potier, elles étaient toutes fabriquées à la main selon une technique appelée enroulement manuel. Au milieu de la période, ils ont développé des techniques de poterie plus avancées, notamment des outils et des sculptures. Des objets artisanaux en pierre, en bois et en os ont également été découverts dans les périodes ultérieures, tels que des couteaux, des ustensiles de cuisine, des outils de chasse et de pêche et même des paniers tressés. Les habitants du Hiraku mangeaient une alimentation diversifiée riche en plantes, noix et poisson.

La fin de la période suggère le début du commerce avec les autres colonies fujiwanes et du Nazum, qui deviendra de plus en plus important dans la période Senzai suivante au sein du Fujiwa.

Maison fujiwane pendant Jomon

Période Senzai (300 av J-C ~ 250 après J-C)

La période Senzai tire son nom du quartier où les premiers artefacts ont été découverts, qui se trouve dans le Sokcho moderne. Cette période a vu l'introduction de la culture des céréales ainsi que du cuivre et du fer, et la transition de la société vers une structure plus politique. L'augmentation du commerce a également introduit de nouveaux outils, notamment des armes et des armures, conduisant au développement d'une armée. Les premiers clans et classes sont apparus vers 100 après J-C. Le développement des systèmes gouvernementaux et de la diplomatie étrangère a abouti à la création du premier système de perception des impôts et du premier système de sanctions pour maintenir l'ordre.

L'architecture s'est améliorée avec la construction de nouveaux bâtiments et de greniers pour les fruits de leurs efforts agricoles croissants. Et un progrès important a été la construction de greniers surélevés, qui protégeaient la récolte des inondations. Les techniques de poterie se sont également améliorées et la production d'outils et d'artefacts cérémoniels a augmenté. Les artefacts indiquent également des croyances spirituelles émergentes. C'est la période où débute le culte des divinités, qui finira par fonder le panthéon fujiwans.

Une figure notable était la reine Kiyomi. À ce jour, les érudits débattent encore de l'emplacement de Tenkai, le pays du Fujiwa sur lequel elle régnait. Les ressources anciennes et les textes voisins la désignent comme une personne importante qui a joué l'un des plus grands rôles dans le développement de la diplomatie avec les pays voisins.

Période Zōka (250 ~ 538)

Le nom de cette période provient des grandes tombes des personnes prestigieuses (Zōka) de l'époque et constitue la première phase de la période Tenshi. C'étaient les cimetières de l'élite. Les plus anciens remontent au IVe siècle. Sur le plan technologique, la période a vu un raffinement des compétences agricoles, comme l'avancement des systèmes d'irrigation et des rizières. Le travail du fer a également progressé rapidement et a conduit au développement de plus d'outils. Culturellement, ce fut une période importante pour la spiritualité. Les croyances anciennes de la période Senzai se sont réunies pour former la première religion indigène du Fujiwa, le Hikarishinō. Artistiquement, l'industrie de la poterie a également progressé, produisant de nouvelles sculptures plus sophistiquées grâce à l'introduction du tour de potier. Le commerce avec les premiers Etats voisins s'est poursuivi, certaines des importations les plus importantes étant l'art, l'architecture, la littérature et les philosophies qui l'accompagnent.

...

Période Yōsei (538 ~ 710)

La période Yōsei tire son nom de la région de Yōsei. Cette période a continué le développement des avancées artistiques, sociales et politiques de la période Zōka. Une grande influence est venue de Baekje notamment de la littérature, de la musique et de la religion. C'est également à cette époque que le Fujiwa a adopté le système d'écriture coréen comme le leur. Les philosophies du confucianisme, du taoïsme et du bouddhisme sont également entrées à cette époque. L'impératrice Kiyora aimait particulièrement les voies du bouddhisme et en faisait activement la promotion dans tout le pays.

En 604, le prince Tatsunori du clan Kojima rédige la Constitution en 17 articles (le Kenpo Jushichijo) selon le confucianisme sous le règne de l'impératrice Kiyora. Il a pris le pouvoir peu de temps après et a continué à promouvoir le bouddhisme, a établi une nouvelle constitution déclarant le bouddhisme et le confucianisme comme les religions officielles du Fujiwa en 605. Le prince Tatsunori est considéré comme le fondateur du bouddhisme fujiwans. Il a érigé le temple bouddhiste Hikariji en 607.

En 708, le Fujiwa frappa sa première monnaie, le « wado kaichin », sur ordre de l'impératrice Meihana.

Le clan Kuzunoha a pris le pouvoir du clan Kojima en 645 avec une révolte du prince Akihiro et Kaminari no Morihito (qui est devenu un Kuzunoha en raison de son rôle dans le coup d'État). Avec cela, ils ont introduit les réformes Kirameki, renforçant le pouvoir impérial. En 710, la capitale a déménagé à Narazaki, entrant dans la période suivante.

Période Yushika (710 - 1185)

La période Yushika a débuté avec le Fujiwa toujours sous le contrôle du clan Fujiwara. Mais avec la mort de Fujiwara Michinaga en 1016, le pouvoir du clan a commencé à décliner. En revanche, la classe des samouraïs a grandi en force. Lorsque l'Empereur Go-Sanjo a pris sa retraite en 1072, il a établi une nouvelle forme de gouvernement, l'Insei ("règle cloîtrée" ou règle par un empereur à la retraite). Le système est resté en vigueur jusqu'au 14ème siècle. La période Yushika a produit de nombreuses œuvres remarquables de la littérature classique du Fujiwa.

Il y avait quatre grandes familles de samouraïs à cette époque : les Taira (Heike), les Minamoto (Genji), les Tachibana et les Fujiwara. Aux côtés des Taira, le clan Minamoto Genji a également pris le pouvoir, en particulier dans l'armée. Les clans Taira et Minamoto ont accédé au pouvoir et à l'influence grâce à des exploits militaires. Les factions des deux clans rivaux se sont battues au Fujiwa en 1156 et 1159, la première fois que les différends politiques dans la capitale ont été réglés par la force militaire.

En 1180, les clans Taira et Minamoto se sont affrontés dans la guerre de Gempei (1180-1185) , qui a vu le clan Minamoto comme vainqueur. Minamoto Yoritomo a été nommé shogun (un titre impérial signifiant le leadership de la classe militaire) peu de temps après, et a établi un nouveau gouvernement, sonnant dans la nouvelle période.

Période Kamaku (1185 - 1333)

Dans l'ancienne ville de Kamakura, la période Kamaku marquait le début d'une ère médiévale singulière pour le Fujiwa. À l'aube de cette époque, les nobles guerriers, les samouraïs, se dressaient, tissant un nouveau destin pour leur terre.

Au cœur de cette ère tumultueuse, la culture s'épanouissait, influencée par l'introduction du bouddhisme zen et les valeurs de la classe guerrière. Le seppuku, ce suicide rituel, émergeait comme une réponse ultime à l'honneur bafoué, où la vie ne pouvait plus être supportée en présence de la honte.

Le nouveau gouvernement, le bakufu, était l'incarnation de la force militaire, et sous la direction éclairée de Takeshi, la classe des guerriers embrassait les affaires civiles, militaires et judiciaires. Mais après la disparition de Takeshi en 1199, l'équilibre fragile du pouvoir fut ébranlé, provoquant la guerre Jokyu en 1221. Les luttes intestines opposaient le clan Hojo, régents du shogunat de Kamakura, à une coalition disparate de guerriers ralliés autour de l'empereur Go-toba. Au bout du compte, le clan Hojo triomphait, consolidant son emprise sur le Fujiwa.

Sous leur règne, en 1232, le Goseibai Shikimoku, le tout premier code de droit militaire du Fujiwa, était élaboré. Ce document, également connu sous le nom de Formulary of Adjudications, symbolisait la transition d'un gouvernement guidé par les valeurs confucéennes vers un régime militariste. Les Hojo poursuivaient sans relâche leur lutte contre les sectes bouddhistes opposées, façonnant l'histoire et l'âme du Fujiwa pour les générations à venir.

Période Haku (1333 - 1640)

De 1333 à 1640, le Fujiwa a connu une période remarquable d'unité et de stabilité, désignée sous le nom d'ère Haku. Inaugurée avec l'avènement du shogunat de Nakamura, cette ère a surmonté les troubles antérieurs, instaurant un ordre social et politique rigoureux. Le système féodal de l'époque plaçait le Shogun en tant qu'autorité suprême, avec des daimyos loyaux administrant les régions en son nom.

L'entrée en contact avec les Eurysiens au XVIe siècle a introduit des armes à feu, des idées nouvelles, et des technologies, enrichissant le pays tout en testant sa solidité. Malgré ces défis, le Fujiwa a maintenu son unité, renforçant la centralisation du pouvoir grâce à une bureaucratie efficace et une politique étrangère isolationniste. Cette stabilité a permis un essor culturel sans précédent, l'art, le théâtre, la littérature, et la philosophie atteignant des sommets de raffinement.

Cependant, sous cette tranquillité apparente, des forces de changement minaient progressivement les fondements du shogunat. L'émergence de nouvelles idées politiques et philosophiques, combinées aux innovations scientifiques et technologiques, créait un terreau fertile pour les possibilités, mais aussi pour les tensions.

À l'aube du XVIIe siècle, les forces qui avaient maintenu l'unité du Fujiwa commencèrent à s'affaiblir. En 1640, confronté à l'incapacité du shogunat à s'adapter aux changements rapides et aux pressions internes, le Fujiwa se fragmenta, marquant la fin de la dynastie des Shoguns et le début d'une nouvelle ère avec la division du pays en deux royaumes distincts.

Période Aiyama (1640 - 1870)

Après la fin de l'ère Haku en 1640, le Fujiwa a entamé la période Aiyama, caractérisée par des bouleversements politiques et sociaux majeurs. Cette ère a débuté avec la division du Fujiwa en deux royaumes distincts: le Royaume de Jinse et le Royaume d'Aichi, reflétant les divergences culturelles et politiques au sein de l'ancien empire.

Le Royaume de Jinse, dirigé par la dynastie des Jinsei, a embrassé un système de gouvernance plus libéral. Il a rapidement évolué vers une monarchie constitutionnelle, où le pouvoir royal était équilibré par une assemblée élue. Sous l'influence croissante des idées démocratiques et réformistes, Jinse est devenu un centre d'innovation, attirant intellectuels, artistes et scientifiques. La diversité culturelle a été célébrée, avec une reconnaissance particulière des Jinséens, qui ont joué un rôle de plus en plus important dans la société Jinsei.

Le Royaume de Aichi, en revanche, a conservé une structure plus traditionnelle et autoritaire. Régnant avec une main ferme, les dirigeants d'Aichi ont maintenu un système féodal rigide, soutenu par une forte tradition militaire. Cependant, malgré son conservatisme, Aichi a développé une forte économie axée sur l'agriculture et le commerce, grâce à son abondance de ressources naturelles et à sa position stratégique pour le commerce maritime.

Durant la période Aiyama, les deux royaumes ont connu une série de conflits et de négociations, tant sur les plans politique que culturel. Des périodes de tension ont alterné avec des moments de coopération, notamment face aux défis extérieurs comme l'influence des puissances étrangères.

Culturellement, cette époque a vu un épanouissement remarquable. Les Jinséens, en particulier, ont préservé et enrichi leur héritage unique, avec un renouveau de leur langue, de leur art et de leurs traditions. Leur influence s'est étendue au-delà des frontières de Jinse, apportant une contribution significative à la culture et à l'identité fujiwane dans son ensemble.

Période de Transition et Consolidation (1870 - 1927)

Entre 1870 et 1927, le Fujiwa a connu une ère de transformation radicale et de consolidation politique. Durant cette période, le Royaume d'Aichi et le Royaume de Jinse ont évolué de manière divergente, chacun façonnant son identité distincte.

Le Royaume d'Aichi, dominant le territoire septentrional de Wano, a connu une rapide industrialisation et modernisation. Inspiré par les modèles étrangers, Aichi a adopté des technologies avancées et réformé son système politique pour devenir une puissance industrielle. Son dialecte et son alphabet, d'origine "japonaise", sont devenus prédominants dans l'administration et l'éducation, reflétant sa position hégémonique.

Le Royaume de Jinse, situé dans la région de Hoenn, a misé sur le maintien de sa riche culture et de ses traditions. Avec un dialecte et un alphabet d'origine "coréenne", Jinse a cherché à préserver son identité unique face à l'ascendant d'Aichi. Malgré une situation territoriale et politique précaire, Jinse a connu un renouveau culturel, avec un accent particulier sur l'art, la littérature et l'éducation.

A partir de l'année 1900, les tensions sociales et politiques ont atteint leur apogée lorsqu'une guerre est déclarée entre Aichi et Jinse, un conflit qui a redéfini les frontières et les relations politiques au sein du Fujiwa.

L'Empire d'Aichi (1927 - 1957)

L'année 1927 marque une ère nouvelle dans l'histoire de Fujiwa avec la naissance de l'Empire d'Aichi. Dans un geste audacieux et stratégique, le Royaume d'Aichi, désormais transformé en Empire, inaugure une politique d'expansionnisme agressif. Cette année est également témoin de l'une des plus grandes tragédies de l'histoire de Fujiwa: l'annexion complète du Royaume de Jinse. L'Empire d'Aichi, déterminé à étendre son influence, envahit Jinse et l'absorbe dans son territoire. Cette annexion brutale est un coup dévastateur pour le peuple Jinséen, marquant le début de la fin de leur autonomie culturelle et politique. L'invasion est rapide et efficace, laissant peu de place à la résistance. Dans le sillage de cette conquête, l'Empire d'Aichi impose immédiatement ses normes culturelles et linguistiques. Les institutions de Jinse sont dissoutes, et les symboles de son identité nationale sont systématiquement éliminés. Les villes et les régions sont renommées, et une politique d'assimilation est rigoureusement mise en œuvre pour effacer toute trace de l'identité Jinséenne.

Entre 1931 et 1935, confrontés à la répression culturelle et politique, de nombreux Jinséens choisissent l'exil plutôt que de se soumettre à l'Empire. Ils se réfugient dans les îles de Moon, à l'ouest du Fujiwa, proches du Jashuria. Ces îles, échappant en grande partie à l'influence d'Aichi, deviennent un refuge pour les Jinséens. Là, ils établissent une communauté où ils peuvent librement pratiquer leur culture, leur langue et leurs traditions. Ces îles de Moon deviennent un symbole de résistance culturelle, préservant l'héritage Jinséen dans un environnement de plus en plus hostile.

À partir de 1936, l'Empire d'Aichi entre dans une phase active de colonisation au-delà de ses frontières traditionnelles. Cette période est marquée par l'expansion impériale dans des régions telles que le Haekang et le Negara Strana. Ces nouveaux territoires colonisés sont stratégiques pour l'Empire, non seulement pour leur position géographique mais aussi pour leurs abondantes ressources. Dans ces régions, l'Empire établit une administration rigoureuse, imposant sa langue, sa culture et ses systèmes éducatifs. Les populations locales sont intégrées de force dans l'Empire, souvent au prix d'une perte de leur identité culturelle et historique. Néanmoins, cette période voit également l'introduction de technologies modernes et le développement d'infrastructures dans les territoires colonisés, contribuant à leur développement économique.

Pendant cette période de colonisation, l'Empire d'Aichi se concentre sur une modernisation militaire et industrielle intensive. De 1946 à 1955, des efforts considérables sont déployés pour renforcer les capacités militaires de l'Empire et pour moderniser son industrie. L'Empire investit dans de nouvelles technologies, cherchant à établir sa suprématie dans la région et à se positionner comme une puissance nazumie. Cette période de modernisation voit également une croissance économique significative. Les ressources issues des territoires colonisés alimentent l'économie de l'Empire, et les nouvelles industries fleurissent, poussant le Fujiwa vers l'ère industrielle moderne. Cependant, cette croissance économique s'accompagne d'une centralisation accrue du pouvoir entre les mains de l'élite impériale, exacerbant les inégalités sociales et les tensions internes.

Les dernières années de l'Empire d'Aichi sont marquées par une instabilité croissante. En 1956, les signes de mécontentement et de désaccord au sein de l'élite politique et militaire commencent à émerger, présageant la fin de l'ère impériale. La mort soudaine de l'Empereur en 1960, sans héritier clair, plonge l'Empire dans une crise de succession. Cette crise déclenche une série de luttes de pouvoir internes qui paralysent l'administration impériale. En fin de compte, l'Empire d'Aichi s'effondre sous le poids de ses propres contradictions internes et de l'incapacité à maintenir son vaste territoire unifié. En 1960, l'Empire se désintègre, laissant derrière lui un pays profondément divisé et en quête d'une nouvelle identité.

Le Fujiwa d'aujourd'hui... (1960 - Présent)

La période qui suit immédiatement l'effondrement de l'Empire d'Aichi est marquée par une refonte majeure du système politique du Fujiwa. En 1960, le pays adopte une monarchie constitutionnelle, marquant une transition radicale par rapport à son passé autoritaire. Cette décennie est caractérisée par un processus de démocratisation intense, où d'anciennes structures sont démantelées et remplacées par des institutions démocratiques. Le gouvernement s'engage dans la création d'un parlement élu, reflétant la diversité de la société fujiwane. La constitution, rédigée pendant cette période, est un document progressiste qui garantit les droits et libertés fondamentaux, établissant les principes de la justice, de l'égalité et de la démocratie participative. C'est une période d'optimisme et de reconstruction, où le peuple du Fujiwa prend un rôle actif dans la formation de son avenir.

La famille Kozuki, bien qu'occupant un rôle principalement cérémoniel, devient un puissant symbole d'unité nationale et de continuité historique. Dans les années 1970, leur influence s'étend au-delà de la pure représentation, servant de pont entre les traditions anciennes du Fujiwa et son avenir démocratique. Ils incarnent l'équilibre entre le respect du passé et l'adoption de valeurs modernes, inspirant les citoyens à travers leur exemple de dignité et de sagesse. Cette période voit également un renouveau de l'intérêt pour l'histoire et la culture nationale. Les traditions ancestrales, longtemps négligées ou réprimées, sont revisitées et célébrées, contribuant à un sentiment renouvelé de fierté nationale et d'identité culturelle.

Les années 1980 marquent une consolidation de la démocratie fujiwane. Le parlement élu devient un lieu vibrant de débat et de décision, reflétant la diversité et la complexité de la société. Cette période est également témoin d'un essor notable dans les domaines de l'éducation, de la santé et des services sociaux, témoignant d'un engagement envers l'amélioration du bien-être de tous les citoyens. L'innovation sociale et le libéralisme deviennent des thèmes centraux de la politique gouvernementale. Des initiatives ambitieuses visant à promouvoir le commerce, l'éducation et la santé publique transforment le paysage social et économique du Fujiwa.

Au tournant du nouveau millénaire, le Fujiwa entame une transformation économique majeure. S'éloignant de son modèle économique traditionnellement plus réglementé, le pays embrasse le libéralisme économique. Cette période est marquée par une dérégulation significative et une ouverture accrue aux investissements étrangers, jetant les bases d'un marché dynamique et compétitif. Les années 2000 voient l'émergence de puissantes corporations, souvent dirigées par des individus qui ont su tirer parti de la nouvelle orientation économique du pays. Ces entreprises deviennent rapidement des acteurs clés dans l'économie nationale, influençant considérablement la politique et la société fujiwane. Beaucoup de ces corporations ont leurs racines dans des familles privilégiées du passé, utilisant leur héritage et leurs connections pour établir une emprise dans les secteurs clés tels que la technologie, les finances et les ressources naturelles.

Kozuki
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❀ III - POLITIQUE


Pour commencer par une brève présentation, le Fujiwa est une monarchie constitutionnelle où le pouvoir est partagé entre l'Empereur, qui est le symbole de l'État et de l'unité du peuple fujiwans, et le Premier ministre, qui est le chef de l'exécutif. Le pouvoir législatif est détenu par la Diète, qui se compose d'une unique chambre : la Chambre des représentants. Le Fujiwa possède un système politique multipartite, avec de nombreux partis politiques en activité, mais un seul domine vraiment la scène depuis plusieurs dizaines d'années : il s'agit du parti de l'Aube. Le régime actuel respecte une longue tradition de respect de la démocratie et de l'état de droit qui ne saurait être remis en cause par quelconque au Fujiwa.


Organisation

Au Fujiwa, le Cabinet exerce le pouvoir exécutif et répond de ses actions devant la Diète. Il est composé du Premier ministre (総理大臣) et de plusieurs ministres d'État, tous devant être des civils. Pour être Premier ministre, il est nécessaire d'être membre de la Diète et de recevoir l'appui de ses pairs. Le Premier ministre est autorisé à nommer et révoquer les ministres, mais une majorité de ces derniers doit être constituée de membres du Parlement.

La branche législative se compose d'une chambre des représentants (衆議院) de 300 sièges, élu au suffrage universel tous les cinq ans.
Le suffrage est toujours universel et secret (tous les hommes et femmes âgés de 18 ans ou plus ont le droit de vote). L'Empereur n'ayant qu'un rôle purement symbolique, le Fujiwa est souvent classé comme démocratie parlementaire.

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Haut : Diete du Fujiwa. Bas : Palais impérial Kozuki

Partis Politiques

Parti de l'Aube : Cette famille politique est une sorte de référence au Fujiwa depuis la Constitution de 1964. Le Parti de l'Aube est un mouvement politique unique dans le pays, se positionnant comme un parti attrape-tout, avec des idéologies allant du libéralisme économique à des branches progressistes de gauche, ainsi que des branches plus conservatrices de droite. Fondé dans le but de rassembler et d'unir les citoyens autour d'un programme commun, le Parti de l'Aube se veut un vecteur de changement positif et d'équilibre dans le paysage politique fujiwans.

La vision du Parti de l'Aube repose sur l'idée de créer un avenir prospère pour tous les Fujiwans, en mettant l'accent sur la responsabilité sociale, la liberté d'entreprise et l'égalité des chances. Tout en promouvant un libéralisme économique, le parti s'engage également à défendre les droits sociaux et à soutenir des politiques progressistes telles que l'égalité des genres, la protection de l'environnement et la justice sociale. Le parti se compose d'une coalition diversifiée de membres, y compris des entrepreneurs, des intellectuels, des défenseurs des droits de l'homme et des figures publiques de tous horizons. Cette diversité permet au parti de représenter une large gamme d'intérêts et d'opinions, tout en restant fidèle à ses valeurs fondamentales. C'est grâce à cette stratégie que cette composition politique domine depuis plusieurs élections législatives les sièges de la Diète et remporte sa majorité. Historiquement, le parti de l'Aube fait parti des fondateurs du régime actuel et partage une grande expérience en politique.

Cercle Socialiste : Le Cercle Socialiste est une formation politique de gauche importante au Fujiwa, prônant une vision socialiste de la société et de l'économie, tout en plaçant la justice sociale et l'égalité au cœur de son programme. Fondé par des militants et des intellectuels engagés dans les années 1955, le parti a pour objectif de créer une société plus juste et égalitaire, en luttant contre les inégalités économiques et les discriminations. Cependant, le Cercle Socialiste fait face à des défis internes avec l'existence d'une branche radicale de gauche au sein de ses rangs. Cette branche, composée de militants plus extrémistes, adopte des positions et des revendications qui peuvent poser des problèmes dans le paysage politique fujiwans. Des liens sont souvent avérés entre les personnalités du Cercle Socialiste et des membres de l'ancienne Armée rouge fujiwane, un groupuscule terroriste communiste actif dans les années 60.

Les membres de cette branche radicale prônent une révolution sociale et économique, en exigeant l'abolition du capitalisme, la nationalisation des industries clés et la mise en place d'un système économique planifié et centralisé. Leurs méthodes et leur rhétorique peuvent parfois être perçues comme agressives et polarisantes, ce qui engendre des tensions au sein du parti et complique les efforts pour construire un front uni. Malgré ces difficultés, le Cercle Socialiste continue de jouer un rôle important dans le débat politique fujiwans, en défendant des politiques progressistes et en cherchant à améliorer les conditions de vie des citoyens les plus vulnérables. Le parti s'efforce de trouver un équilibre entre les différentes sensibilités internes, tout en restant attaché à ses principes et à son engagement envers la justice sociale et l'égalité.

Parti Saenuri : Le Parti Saenuri est un parti politique d'extrême droite au Fujiwa, prônant une idéologie néo-conservatrice et nationaliste qui soulève de nombreuses inquiétudes dans le paysage politique. Ce parti controversé entretient des liens étroits avec le groupuscule Cataclysmic, connu pour ses positions radicales et ses actions provocatrices. Saenuri se présente comme le défenseur des valeurs traditionnelles et culturelles de la nation, prônant une politique d'isolationnisme et de renforcement des frontières. Ces représentants souhaitent également mettre l'accent sur le rôle de la famille impériale et renforcer la souveraineté nationale. Les législateurs sont souvent perçus comme intolérants et xénophobes, ce qui alimente les critiques et les tensions politiques.

La branche radicale (assez majoritaire finalement) du Parti Saenuri est particulièrement problématique, car elle prône des idées extrémistes et n'hésite pas à recourir à la violence pour faire entendre sa voix. Cette faction du parti a déjà été impliquée dans plusieurs incidents violents et manifestations qui ont semé le chaos dans les rues du Fujiwa tous liés de près ou de loin à Cataclysmic. Le Parti Saenuri et Cataclysmic partagent des objectifs communs et des idéologies similaires, ce qui les a rapprochés au fil du temps. Les deux organisations entretiennent des relations étroites, échangeant des ressources, des informations et un soutien mutuel. Cette alliance inquiétante entre un parti politique et un groupuscule extrémiste soulève des préoccupations quant à la stabilité et la sécurité du pays. Mais la législation judiciaire ne souhaite pas se mouiller sur ces dossiers.

Parti Uri : Le Parti Uri est un petit parti politique de centre-droit au Fujiwa, composé principalement de législateurs modérés qui ont tendance à soutenir et suivre les décisions prises par le Parti de l'Aube. Ce parti se positionne comme une force de compromis et de pragmatisme, cherchant à trouver des solutions équilibrées aux problèmes du pays. Celui-ci prône une économie de marché régulée, avec un accent sur la responsabilité sociale des entreprises et la protection des droits des travailleurs. En matière de politique sociale, il se montre ouvert aux réformes progressistes, tout en conservant une approche prudente et mesurée. Les membres du parti sont généralement perçus comme étant proches des préoccupations de la population et attentifs aux défis auxquels le pays est confronté.

Le partenariat entre le Parti Uri et le Parti de l'Aube est fondé sur une vision commune de la gouvernance, centrée sur la coopération et la recherche de solutions pragmatiques pour améliorer la qualité de vie des citoyens. Les deux partis partagent un certain nombre de valeurs, notamment la promotion de l'égalité des chances, la défense des droits de l'homme et la lutte contre la corruption.

Les législateurs du Parti Uri collaborent fréquemment avec leurs homologues du Parti de l'Aube pour élaborer et soutenir des projets de loi. Cette alliance modérée et coopérative constitue un contrepoids important face aux forces plus radicales et polarisantes présentes dans le paysage politique du Fujiwa. Cette discrète famille politique est une force de stabilisation et de modération dans le monde politique fujiwans, offrant une alternative raisonnable et équilibrée aux partis plus extrémistes. En collaborant étroitement avec le Parti de l'Aube, le Parti Uri contribue à renforcer la démocratie et à promouvoir les valeurs d'ouverture, de tolérance et de solidarité qui caractérisent le pays.

Forces politiques

Haut gauche : Toru SERA (Président du Parti de l'Aube). Haut droit : Shinzo SATO (Président du Parti Saenuri).
Bas gauche : Wang QISHI (Président du Cercle Socialiste). Bas droit : KAIEDA Itadori (Président du Parti Uri).

Voir la représentation de la Diète au complète.


Système Judiciaire

· Présentation générale

Au cœur du paysage juridique du Fujiwa, un système judiciaire civil s'épanouit, puisant ses racines dans les principes du droit civil et pénal. Inspiré par plusieurs modèles et émaillé d'éléments issus d'autres systèmes juridiques, le système judiciaire fujiwans se déploie sur trois niveaux de juridictions : les tribunaux de première instance, les tribunaux de deuxième instance et la Cour Suprême.

Dans les salles d'audience des tribunaux de première instance, les affaires civiles et pénales sont traitées avec minutie, tandis que les tribunaux de deuxième instance scrutent avec attention les appels interjetés contre les décisions rendues en première instance. Majestueuse, la Cour Suprême trône au sommet de cette hiérarchie judiciaire, veillant sur les questions constitutionnelles et tranchant les litiges en dernier ressort.

Le système pénal fujiwans est accusatoire et met en scène des procureurs qui mènent des enquêtes et engagent des poursuites contre les personnes soupçonnées d'avoir commis des infractions pénales. Occupant une place centrale dans ce système judiciaire, les procureurs sont les gardiens de la justice, responsables de la conduite des enquêtes et de la présentation des preuves devant les tribunaux. Les avocats de la défense, nobles protecteurs des droits de leurs clients, s'assurent quant à eux que ces derniers bénéficient d'un procès équitable.

Les juges du Fujiwa, fonctionnaires professionnels nommés par le gouvernement et formés de manière spécialisée en droit, incarnent l'impartialité et la justesse des décisions rendues dans les affaires civiles et pénales. Indépendants du pouvoir exécutif et législatif, ils veillent à préserver leur impartialité et leur indépendance dans l'exercice de leurs fonctions. Le Fujiwa a également embrassé certaines pratiques spécifiques telles que le système de lay judges (juges citoyens) pour les affaires pénales graves. Ce système invite des citoyens ordinaires à participer aux procès aux côtés des juges professionnels, offrant ainsi une perspective plus large et plus démocratique à la prise de décisions judiciaires.

· Cour Suprême

La Cour Suprême trône majestueusement en tant qu'instance judiciaire suprême, garantissant la pérennité de l'Etat de droit et de la démocratie. Veillant à l'application juste et équitable des lois, elle se penche sur les questions juridiques les plus cruciales qui traversent la nation.

La Cour Suprême du Fujiwa rassemble quinze juges éminents sous son aile protectrice, y compris un juge en chef. Tous sont choisis par l'Empereur lui-même, qui suit les recommandations avisées du Premier ministre. Les juges, une fois désignés, ont la lourde responsabilité de préserver les valeurs de justice et d'équité dans le pays. L'institution est le pilier central de l'édifice judiciaire, guidant les juridictions inférieures et éclairant leur chemin en interprétant les lois et en établissant des précédents. Ainsi, elle contribue à forger une société harmonieuse et respectueuse des droits et des devoirs de chacun, au sein de laquelle chaque citoyen peut se sentir en confiance.

· Sentence ultime

La peine de mort est appliquée dans les cas les plus graves, tels que les meurtres prémédités ou les actes de terrorisme, où les conséquences pour la société sont jugées particulièrement néfastes.

Le processus d'application de la peine capitale au Fujiwa est rigoureux et minutieux. Les affaires impliquant la peine de mort sont examinées avec une attention particulière, garantissant ainsi un traitement juste et équitable. Les tribunaux de première instance prononcent la sentence, qui peut ensuite faire l'objet d'appels successifs devant les juridictions supérieures, jusqu'à la Cour suprême.

Tout au long de ce parcours judiciaire, les condamnés bénéficient de l'assistance de leurs avocats, qui défendent leur cause avec détermination et compétence. Les juges, pour leur part, s'efforcent d'évaluer les circonstances et les motivations de chaque affaire, en tenant compte des aspects sociaux, psychologiques et moraux. Ce faisant, ils cherchent à concilier les impératifs de justice avec les valeurs humanistes qui imprègnent la société fujiwane.

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Cour Suprême du Fujiwa

[Maj date rp 24/04/2010]
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❀ IV - GEOGRAPHIE


Le Fujiwa est un pays d'une superficie totale de 581 592 km² et est peuplé d'environ 70 millions d'habitants. Le pays est composé d'une terre continentale, ainsi qu'une archipel de deux îles, situé au large de la côte de Nazum. La partie continentale est appelé la terre d'Hoenn, l'île au nord Wano et sa petite voisine les îlots de Moon. Le territoire est volcanique et fortement montagneux, ce qui a pour conséquence une répartition inégale de la population. Le climat est similaire et est définit comme continental humide. Ces différences de reliefs ont permis le développement d'une faune et d'une flore variée, avec certaines espèces endémiques rares ou disparues. Le pays est découpé en 38 préfectures pour des raisons administratives.


Territoires

Lien vers les références géographiques du Fujiwa


Démographie

· Ethnies

Le Fujiwa, terre de contrastes et de diversité, est un pays dont la démographie reflète les multiples facettes de son histoire et de sa culture. L'équilibre délicat entre les populations d'Aichi et de Jinse, qui cohabitent depuis des siècles sur ce territoire, a façonné le paysage social et politique du Fujiwa d'aujourd'hui.

Aichi (japonais), l'ethnie majoritaire, a su préserver son identité tout en se montrant ouverte et adaptable aux influences extérieures. Leur histoire est marquée par une quête incessante de progrès et d'épanouissement, tandis que leur culture, riche et variée, témoigne de leur attachement aux traditions et aux valeurs ancestrales. Les Aichi occupent une position dominante dans la société fujiwane, tant sur le plan économique que politique, contribuant ainsi à l'essor et au rayonnement du pays.

Quant à la population Jinse (coréen), bien qu'elle représente une minorité au sein du Fujiwa, elle a su, au fil des siècles, préserver sa culture et ses traditions, et inscrire son empreinte sur l'histoire du pays. Les Jinse ont longtemps été considérés comme les gardiens de la spiritualité et des arts, et leur influence a contribué à enrichir le patrimoine culturel du Fujiwa. Malgré les tensions et les rivalités qui ont parfois opposé les deux ethnies, les Jinse ont réussi à se tailler une place au sein de la société, en s'engageant activement dans la vie politique, économique et culturelle du pays.

La démographie du Fujiwa est le fruit d'un dialogue entre ces deux populations, qui, au-delà de leurs différences, partagent un attachement profond à leur terre et à leurs traditions. Ce métissage culturel, qui a traversé les siècles, est à l'origine d'une identité fujiwane unique et singulière, où l'harmonie et la coexistence des diversités constituent une richesse inestimable. Dans le Fujiwa d'aujourd'hui, Aichi et Jinse sont les témoins vivants d'une histoire commune, où se mêlent le respect des héritages et la volonté d'embrasser l'avenir avec audace et sérénité.

· Etrangers

Le paysage démographique du Fujiwa se distingue également par la présence d'étrangers, bien que leur nombre demeure limité en raison des restrictions strictes sur l'immigration et les flux humains aux frontières. Parmi eux, les Jashuriens occupent une place prépondérante, en raison de leur proximité géographique et des liens historiques qui unissent le Jashuria et le Fujiwa. Originaires du Jashuria à la frontière ouest du Fujiwa, les Jashuriens sont une communauté dynamique et résiliente qui, malgré les obstacles, a su s'intégrer et s'épanouir au sein de la société fujiwane. Leur culture et leur mode de vie, bien que distincts de ceux des Fujiwans, ont apporté une richesse supplémentaire à la mosaïque culturelle du pays, témoignant de la capacité à accueillir et à valoriser la diversité.

Plus discrets encore, les Listoniens, cette poignée d'âmes qui ont trouvé refuge dans leur enclave terrestre, ajoutent leur propre couleur au tableau bigarré du Fujiwa. Toutefois, leur présence n'est pas sans soulever quelques tensions, en raison de leur passé colonialiste au Nazum. Ce lourd héritage historique a laissé des traces dans les relations entre les deux peuples, et bien que le temps ait atténué certaines rancœurs, la méfiance subsiste par endroits.

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[Maj date rp 24/04/2010]
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❀ V - EDUCATION


L’enseignement obligatoire dure neuf ans au Fujiwa, de 6 à 15 ans. La plupart des jeunes Fujiwans continuent leur éducation au lycée. Il existe ensuite diverses options d’enseignement supérieur. Le système scolaire fujiwans met l'accent sur la rigueur, la compétition et l'excellence académique. Les élèves sont attendus à se surpasser et à développer un esprit de compétition saine avec leurs pairs pour obtenir les meilleurs résultats possibles.


Organisation

Le système scolaire fujiwans est structuré de manière à offrir une éducation complète et de qualité à ses élèves. L'organisation du système scolaire se divise en plusieurs niveaux, à savoir : l'éducation préscolaire, l'enseignement primaire, l'enseignement secondaire et l'enseignement supérieur. L'année scolaire fujiwane commence en mars et se divise en deux semestres. Le premier semestre s'étend de mars à fin juin, suivi par les vacances d'été en juillet et août. Le second semestre débute en septembre et se termine en décembre, laissant place aux vacances d'hiver qui durent de fin décembre jusqu'à début février. Avant la rentrée en mars, les élèves profitent des vacances de printemps, qui ont généralement lieu lors de la première semaine de mars. Le tout est géré par le Ministère de l'Education des Sciences et des Technologies.

Le système éducatif obligatoire au Fujiwa

Au Fujiwa, l'éducation est obligatoire pour les enfants âgés de 6 à 15 ans. L'année scolaire débute en mars, et les enfants qui atteignent l'âge de six ans avant le 1er mars sont admis à l'école primaire. Ils suivent ensuite six années d'éducation élémentaire avant de poursuivre leurs études au collège pendant trois ans.

Les écoles primaires et les collèges publics fujiwans n'exigent pas d'examen d'entrée ni de frais de scolarité. Les manuels scolaires sont également fournis gratuitement. Les principales dépenses pour les parents concernent les uniformes (pour les collégiens), les fournitures scolaires, les déjeuners et les voyages scolaires. Néanmoins, de nombreuses écoles primaires et collèges privés offrent de meilleures opportunités d'accéder aux meilleurs lycées du pays, attirant ainsi de nombreux candidats malgré des frais de scolarité parfois élevés.

Le taux de scolarisation pour les années d'enseignement obligatoire au Fujiwa est de 99,8 %. Avant de commencer l'école primaire, de nombreux enfants fréquentent également la maternelle dès l'âge de trois ans. Cette étape est facultative, mais gratuite. Les enfants étrangers résidant au Fujiwa ne sont pas légalement tenus de fréquenter l'école, mais ils peuvent, comme les enfants fujiwans, bénéficier d'un enseignement gratuit et de manuels scolaires gratuits de la primaire au collège.

Le lycée et l'enseignement supérieur

Une fois l'enseignement obligatoire achevé, les étudiants disposent de plusieurs options. Pour les jeunes de 15 à 18 ans, il existe différents types d'établissements : lycées généraux, lycées agricoles, industriels ou commerciaux. Les élèves peuvent également suivre des cours du soir ou par correspondance pour obtenir leur diplôme de lycée tout en travaillant. Les lycées professionnels, qui associent enseignement général et formation technique spécialisée, sont une autre alternative. Au Fujiwa, 97,1 % des élèves ayant terminé le collège poursuivent leurs études dans l'une de ces filières.

De nouvelles formes d'écoles ont vu le jour, comme les établissements regroupant collège et lycée. Ces écoles séduisent de nombreux étudiants grâce à leur programme de six ans et une préparation rigoureuse aux examens d'entrée à l'université. Un autre phénomène récent, lié à l'évolution des frontières et à un nombre croissant de parents expatriés, est l'essor des écoles proposant des cours pour les enfants ayant suivi une partie de leur scolarité à l'étranger.

Concernant l'enseignement supérieur, il existe des universités proposant des cursus de quatre ou deux ans, ainsi que des écoles professionnelles offrant des programmes de deux ans ou plus. Après l'obtention d'un diplôme universitaire, les étudiants peuvent poursuivre deux années d'études spécialisées pour une maîtrise ou trois ans ou plus pour un doctorat. Pour de nombreuses entreprises fujiwannes, un diplôme universitaire est un critère minimum lors de l'embauche de nouveaux employés. Néanmoins, 90 % des diplômés du lycée qui ont cherché un emploi directement après leurs études ont réussi à en trouver un.

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Généralités

Le port de l'uniforme

L'uniforme scolaire au Fujiwa est une tradition forte et symbolique qui reflète à la fois la discipline et l'unité entre les élèves. Il est porté par les étudiants dans de nombreuses écoles, en particulier au niveau du collège et du lycée, bien que certaines écoles primaires puissent également l'exiger. L'uniforme varie selon les établissements, mais il suit généralement un modèle similaire.

Pour les garçons, l'uniforme classique consiste en une chemise blanche à manches longues ou courtes, souvent avec un col officier, accompagnée d'un pantalon noir ou bleu marine. Une cravate ou un nœud papillon, généralement aux couleurs de l'école, est porté avec la chemise. Durant les mois d'hiver, un blazer ou un gilet, portant l'emblème de l'école, est ajouté pour se protéger du froid. Les chaussures sont généralement des souliers noirs ou marron, complétés par des chaussettes hautes de la même couleur.

Pour les filles, l'uniforme traditionnel est composé d'une chemise blanche à manches longues ou courtes, assortie d'une jupe plissée, souvent aux couleurs de l'école. Une cravate ou un nœud papillon, coordonné avec la jupe, est également porté. Les filles portent des chaussettes hautes ou des collants, selon la saison, et des chaussures noires ou marron. Comme pour les garçons, un blazer ou un gilet, orné de l'emblème de l'école, est porté en hiver.

Au cours des dernières années, les écoles au Fujiwa ont cherché à rendre leurs uniformes plus inclusifs et adaptés à la diversité des élèves. Cette évolution a pour objectif de favoriser un environnement d'apprentissage confortable et respectueux pour tous. Toutefois, ces changements ont suscité des réactions mitigées au sein de la société fujiwanne. Les uniformes plus inclusifs incluent des options unisexes, permettant aux élèves de choisir entre la jupe traditionnelle ou le pantalon, quel que soit leur genre. De plus, certaines écoles ont modifié leurs codes vestimentaires pour accueillir des élèves aux besoins spécifiques, tels que des ajustements pour des raisons médicales ou religieuses.

En plus de l'uniforme quotidien, les écoles au Fujiwa disposent souvent d'un uniforme sportif distinct pour les cours d'éducation physique et les activités sportives. Cet ensemble comprend généralement un survêtement, un t-shirt et un short aux couleurs de l'école, ainsi que des chaussures de sport adaptées.

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Les clubs extra-scolaires et les quartiers latins éducatifs

Au Fujiwa, les clubs extra-scolaires et les quartiers latins éducatifs jouent un rôle essentiel dans la vie scolaire des élèves. Ces clubs sont fortement conseillés, voire obligatoires, et ont un impact significatif sur le parcours scolaire des jeunes fujiwans.

Les clubs extra-scolaires englobent un large éventail d'activités, allant des sports aux arts en passant par les sciences et les langues. Ils offrent aux élèves la possibilité d'explorer et de développer leurs passions, tout en favorisant l'esprit d'équipe, la discipline et la persévérance. Les enseignants et les conseillers pédagogiques encouragent vivement les élèves à s'engager dans au moins un club, soulignant l'importance de l'épanouissement personnel et du développement de compétences transférables.

Dans le même esprit, les quartiers latins éducatifs sont des espaces dédiés à l'apprentissage collaboratif et à l'échange culturel. Ces zones regroupent des établissements scolaires, des bibliothèques, des centres culturels et des cafés, créant un environnement propice à la découverte, à la créativité et à l'interaction sociale. Les élèves sont encouragés à participer à des événements, des ateliers et des conférences organisés dans ces quartiers, afin d'élargir leurs horizons et de s'immerger dans un milieu intellectuellement stimulant.

La participation aux clubs extra-scolaires et l'engagement dans les quartiers latins éducatifs sont pris en compte dans l'évaluation du parcours scolaire des élèves au Fujiwa. Ces expériences sont considérées comme une partie intégrante de l'éducation des jeunes fujiwans, contribuant à leur croissance personnelle, à leur développement de compétences et à leur préparation pour l'avenir.

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Rites et cérémonies traditionnelles dans le système

L'importance des rites et des cérémonies traditionnelles dans les écoles fujiwannes est profondément enracinée dans la culture du pays. Ces événements contribuent à la formation du caractère des élèves, à l'inculcation des valeurs fujiwannes et au renforcement de la cohésion sociale. Voici quelques exemples concrets de ces cérémonies :

・ Cérémonie d'entrée : Au début de chaque année scolaire, les écoles fujiwannes organisent une cérémonie d'entrée pour accueillir les nouveaux élèves et leurs familles. Les élèves portent leurs uniformes, et il y a souvent des discours de la part des directeurs d'école, des enseignants et des représentants des élèves. Cette cérémonie marque le début du parcours éducatif des élèves et souligne l'importance de l'apprentissage et de la discipline.

・ Cérémonie de remise des diplômes : À la fin de l'année scolaire, les écoles organisent des cérémonies de remise des diplômes pour célébrer les réalisations des élèves qui terminent leur scolarité. Ces événements sont souvent accompagnés de discours, de remises de prix et de performances culturelles.

・ Fêtes culturelles : Les écoles fujiwannes célèbrent régulièrement des fêtes culturelles pour promouvoir la compréhension et l'appréciation des traditions et des arts du pays. Par exemple, lors de la fête du Tanabata, les élèves peuvent participer à des ateliers de fabrication de décorations en papier, écrire des souhaits sur des tanzaku (petites bandelettes de papier) et les accrocher à des branches de bambou.

・ Compétitions sportives : Les écoles fujiwannes organisent chaque année des compétitions sportives, appelées "undokai" en fujiwans, pour encourager l'esprit d'équipe, la discipline et la compétition saine entre les élèves. Ces événements impliquent souvent des courses de relais, des épreuves d'athlétisme et des jeux traditionnels.

・ Cérémonies commémoratives : Les écoles fujiwannes commémorent également des événements historiques importants, tels que la Journée du souvenir, pour honorer la mémoire des personnes qui ont sacrifié leur vie pour le pays. Ces cérémonies sont généralement marquées par des moments de silence, des discours et des offrandes de fleurs.

Ces rites et cérémonies traditionnelles jouent un rôle crucial dans l'éducation des élèves fujiwans en leur enseignant les valeurs du respect, de la discipline, de la solidarité et du patriotisme.

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❀ VI - ECONOMIE


Depuis les années 1980, l'économie du Fujiwa a connu une lente libéralisation, après des décennies de régulation étroite et d'interventionnisme de l'État. Les réformes progressives ont permis l'émergence de nouveaux secteurs et la diversification de l'économie. Cependant, la présence de l'État dans les affaires économiques reste importante, bien que moins dominante qu'auparavant.

L'ouverture progressive de l'économie fujiwane a été accompagnée d'une croissance constante et d'un développement rapide des infrastructures jusque dans les années 2005, où la croissance s'est stabilisée. Les secteurs de l'agriculture, de l'énergie, du transport, du tourisme, de la pêche et du secteur manufacturier ont tous bénéficié de la libéralisation. Néanmoins, la transition vers une économie de marché a également suscité des inquiétudes politiques quant à la préservation des traditions culturelles.

Malgré la libéralisation de l'économie, l'État demeure un acteur clé, en particulier dans des secteurs stratégiques tels que l'énergie et les infrastructures. La politique économique du Fujiwa continue d'être influencée par les décisions gouvernementales, et de nombreux secteurs sont encore soumis à des régulations et des contrôles étatiques. Malgré une présence encore visible de l'État dans l'économie, la libéralisation a également bénéficié à de grandes fortunes fujiwanes. En effet, lors du processus de privatisation et de dérégulation, de nombreux individus ont hérité des avantages de l'État, leur permettant d'accroître leur richesse et leur influence. Aujourd'hui, le Fujiwa accueille une proportion considérable de riches et d'hommes d'affaires influents qui dirigent d'énormes entreprises privées.

Ces entrepreneurs et magnats ont profité des opportunités offertes par la libéralisation pour investir dans divers secteurs, tels que l'immobilier, l'industrie manufacturière, les technologies de pointe et les services financiers. Leurs entreprises, souvent transnationales, contribuent de manière significative à l'économie fujiwane et renforcent la position du pays sur la scène internationale.

La présence de ces riches et puissants hommes d'affaires témoigne de la dynamique du changement économique au Fujiwa et du rôle crucial joué par le secteur privé dans la croissance et le développement du pays. Toutefois, cette concentration de la richesse et du pouvoir économique soulève également des préoccupations quant à l'équité sociale et à la répartition équilibrée des bénéfices de la croissance économique entre tous les citoyens fujiwans.

⚠️ Les exportations et importations du pays sont principalement destinées au Nazum. Seules quelques nations hors du Nazum jouissent du privilège de commercer avec le Fujiwa, et elles sont si peu nombreuses qu'on pourrait les compter sur les doigts d'une main...


Classification

Le METI (Ministry of Economy, Trade and Industry) joue un rôle central dans l'encadrement et la régulation de la majorité des affaires liées à l'économie, au commerce et à l'industrie au Fujiwa. En tant qu'autorité publique, le METI est souvent impliqué dans l'élaboration et la mise en œuvre de stratégies négociées entre les pouvoirs publics et privés, cherchant à trouver un équilibre entre les intérêts des deux parties.
Le METI détient un pouvoir considérable dans la détermination des trajectoires économiques nationales, et il n'hésite pas à exercer cette influence face aux gros poissons de la finance. Ainsi, le ministère veille à ce que les grandes entreprises et les magnats de l'industrie respectent les régulations et les politiques économiques définies par le gouvernement. Le METI a également pour mission de promouvoir le développement durable, l'innovation et la compétitivité des entreprises fujiwanes sur la scène nazumie et internationale.

L'économie, et plus particulièrement son commerce extérieur, du Fujiwa est classifié en cinq grands secteurs : Agriculture et Pêche / Manufacture / Biens de Consommation / Culture et Divertissement / Tourisme. Voici le développement des sous-catégories des exportations commerciales du Fujiwa en 2010 dans différents secteurs [Les principaux biens et services affichés sont ceux qui s'exportent le plus. Le Fujiwa produit plus de produits quand ils sont à destination de son commerce intérieur...] :

Exportations


[Ces pourcentages donnent un aperçu général de la répartition des exportations du Fujiwa en 2010, après sa libéralisation progressive depuis 1980. Il est important de noter que ces chiffres peuvent varier légèrement en fonction des conditions économiques mondiales et des politiques intérieures.]

Détails des exportations fujiwanes

1. Agriculture et Pêche:

- Cultures de Céréales et Légumineuses : produits comme le riz, le blé, le maïs, le soja et les autres légumineuses.
- Produits Horticoles : fruits comme les pommes, les oranges, les poires, les raisins, les prunes, ainsi que des légumes comme les tomates, les concombres, les courgettes, les choux, les carottes, les pommes de terre.
- Produits de la Pêche : le poisson, les coquillages, les crustacés et les algues marines.
- Élevage : produits d'élevage comme la viande de bœuf, de porc, de poulet, ainsi que des produits laitiers.

2. Manufacture :

- Automobiles et composants : voitures, les camions, les pièces détachées et d'autres véhicules et composants automobiles.
- Électronique et semi-conducteur : appareils électroniques grand public comme les télévisions, les ordinateurs, les téléphones portables, ainsi que les semi-conducteurs et autres composants électroniques.
- Machines et équipements : machines industrielles, des machines agricoles, des turbines, des générateurs, et d'autres types d'équipements.
- Produits chimiques et plastiques : médicaments, des produits chimiques industriels, des plastiques, des produits de soins personnels, et d'autres produits chimiques ou pharmaceutiques.
- Métaux et produits métalliques : métaux comme l'acier et l'aluminium, ainsi que des produits fabriqués à partir de ces métaux.
- Textiles et vêtements : vêtements, des chaussures, des textiles pour la maison et d'autres produits textiles.
- Produits en bois : meubles en bois, les matériaux de construction en bois, le papier et les produits connexes.

3. Énergie :

Aucune exportation majeure d'énergie en 2010, mais des investissements/partenariats à l'échelle régionale pourraient conduire à des exportations futures.

4. Biens de Consommation :

- Produits Alimentaires Transformés : aliments transformés comme les snacks, les boissons, les produits de boulangerie, les conserves, les plats préparés, etc.
- Articles de Sport et de Loisir : équipements sportifs, des articles de camping, des jouets, des jeux, des instruments de musique, des livres, etc.
- Produits de Beauté et de Soins Personnels : les cosmétiques, les parfums, les produits de soin de la peau, les produits de soin des cheveux, etc.

5. Tourisme :

- Hébergement Touristique : les hôtels, les auberges, les maisons d'hôtes, les locations de vacances, et d'autres formes d'hébergement destinées aux touristes.
- Restauration : revenus provenant des restaurants, des cafés, des bars, et d'autres établissements de restauration qui servent les touristes.
- Voyages et Transport : les revenus provenant des services de transport, comme les vols internationaux, le transport terrestre (autobus, taxis, location de voitures), et le transport maritime.
- Attractions Touristiques et Activités de Loisir : revenus provenant des sites touristiques (parcs nationaux, musées, monuments historiques), des activités de loisir (excursions, sports, spectacles), et des événements spéciaux.

6. Culture et Divertissement :

- Cinéma et télévision : films, séries télévisées, documentaires originaux, la vente de droits de diffusion internationale pour ces contenus. Financement de la coproduction internationale, augmentant ainsi la visibilité du Fujiwa sur la scène cinématographique et télévisuelle mondiale.
- Musique : musique enregistrée, ainsi que sur la promotion de tournées d'artistes et de groupes locaux à l'étranger. Inclus les genres musicaux de jazz, pop, rock et traditionnels.
- Jeux vidéo : exportations des jeux vidéo sur différentes plateformes, et au développement à l'étranger.
- Arts et artisanat : exportations des œuvres d'art traditionnelles et contemporaines, ainsi que des produits d'artisanat uniques qui reflètent la riche culture et l'histoire du pays.
- Littérature : exportations de livres, de romans, de poésie et d'autres formes de littérature écrites par des auteurs du Fujiwa et incluent la traduction de ces œuvres en différentes langues pour atteindre un public plus large.
- Théâtre et Danse : organisations de tournées internationales de spectacles vivants, y compris du théâtre et de la danse.
- Industrie du Manga et de l'Anime : exportations des produits liés à cette industrie.


Production Nationale & Domestique


[Voici un aperçu général des secteurs de production essentiels pour le marché intérieur du Fujiwa. Ces secteurs fournissent des biens et services principalement destinés à la consommation domestique].


Analyses

Agriculture : Le secteur agricole du Fujiwa s'est développé sur plusieurs siècles. Une expertise approfondie dans la culture du riz, du blé, du maïs et des pommes de terre fait du Fujiwa un pays qui a su préserver cet héritage jusqu'à aujourd'hui. L'agriculture fujiwane constitue une part importante de la production nationale et des exportations, mais elle rencontre des défis significatifs pour son développement. Les agriculteurs du Fujiwa, fiers de leurs pratiques traditionnelles, ont souvent été (et certains le sont toujours) réticents à l'égard de la modernisation des outils agricoles. Favorisant la qualité à la quantité, ils ont parfois rejeté les nouvelles machines, ce qui a pour conséquence que la production ne parvient pas à suivre l'augmentation constante de la demande nationale. L'hésitation à adopter ces nouvelles technologies découle aussi de la nature des terrains agricoles. De nombreuses productions agricoles sont situées dans des régions rurales et montagneuses du Fujiwa, où l'utilisation de gros tracteurs et de machines industrielles est souvent limitée. La province d'Anjō, qui concentre la plus grande part de la production agricole nationale, a vu émerger une alternative à ce manque de productivité du secteur agricole. Ce nouveau modèle, appelé agriculture synthétique, est une stratégie que la sphère politique a commencé à élaborer dans les années 2000, principalement en raison de prévisions alarmantes concernant l'autosuffisance alimentaire. La mise en place de laboratoires et d'industries de transformation alimentaire a été essentielle pour inverser cette tendance. Aujourd'hui, la méthode traditionnelle de production domine encore largement dans l'agriculture du pays, mais la production synthétique et l'agroalimentaire commencent à prendre une part de plus en plus importante dans ce secteur. Concernant l'élevage, le menu traditionnel du peuple fujiwans comprenait du riz, du poisson, des pommes de terre et des légumes secs. Au fil du temps, les Fujiwans ont progressivement substitué ces aliments par du lait, de la viande, des fruits, des légumes et du pain. En effet, la production de viande a radicalement augmenté au Fujiwa : la production annuelle atteint désormais 4,68 millions de bovins, 11 millions de porcs et 355 millions de poulets. C'est une augmentation notable par rapport aux élevages d'il y a quelques années, qui étaient beaucoup moins importants. Pour conclure, l'agriculture fujiwane serait en mesure de subvenir aux besoins alimentaires de la population. Par contre, ce n'est actuellement pas le cas. En effet, l'autosuffisance alimentaire ne dépasse guère les 50%. Les habitants doivent alors se fier aux importations pour pouvoir s'alimenter. Les terres cultivées au Fujiwa ne représentent que 15% à 17% de la superficie totale du pays, ce qui est relativement peu.

Manufacture : L'industrie manufacturière est l'un des piliers majeurs de l'économie fujiwane, représentant 20% de la production domestique et 50% des exportations. Durant la période prospère du Royaume d'Aichi, l'infrastructure du Fujiwa a été considérablement modifiée pour accueillir de vastes industries. Cette expansion industrielle a été facilitée en grande partie par l'importation de main-d'œuvre en provenance des colonies, de l'époque, du Negara Strana et du Haekang pendant l'ère coloniale. Au fil des années, la manufacture est devenue la spécialité nationale du Fujiwa, avec une diversité impressionnante dans les types de produits fabriqués. L'industrie automobile, l'électronique, les produits chimiques, le textile et les biens de télécommunications font partie des principaux secteurs de production. Chaque branche de l'industrie manufacturière contribue au développement global de l'économie fujiwane. Par exemple, les progrès réalisés dans la production d'automobiles et de composants électroniques ont un impact direct sur l'amélioration des infrastructures de transport. Cette synergie entre les secteurs favorise un cycle économique sain, où chaque progression industrielle entraîne des améliorations dans d'autres domaines. Richement doté en matières premières telles que les métaux et minéraux, présents en abondance dans ses montagnes, ainsi que le pétrole, le charbon et le gaz naturel, le Fujiwa peut alimenter son secteur manufacturier sans être trop dépendant des importations. Ces ressources naturelles constituent un avantage indéniable, favorisant l'autosuffisance de l'industrie manufacturière et renforçant l'économie nationale.

Culture et Divertissement : Le secteur de la culture et du divertissement au Fujiwa détient une place substantielle dans l'économie nationale. Contribuant à près de 15% des exportations, il met en avant le cinéma, la télévision, les jeux vidéo, la musique, la littérature, mais aussi les mangas, les animes et toute forme d'art qui fait rayonner la culture fujiwane à l'échelle internationale. Au sein de la nation, ce secteur détient une place de choix dans le cœur des citoyens. Les gouvernements successifs au Fujiwa ont toujours pris au sérieux le maintien et la valorisation de ces arts culturels et divertissants. Enracinées dans des traditions séculaires, ces manifestations culturelles rythment la vie quotidienne et façonnent l'identité du pays. En termes de production domestique, les biens et services culturels contribuent à 8% du total national, témoignant de leur importance primordiale. L'ouverture des frontières et l'essor de l'économie ont propulsé les œuvres culturelles et divertissantes fujiwanes sur la scène internationale, principalement dans la région du Nazum. Loin d'être une tâche ardue, la mission de partage de la culture fujiwane à l'étranger a rencontré un écho favorable. En effet, le charme de la culture fujiwane séduit et attire de nombreux investisseurs et acheteurs internationaux, contribuant ainsi à la diversification et à la croissance de l'économie du Fujiwa.

Transports : Le secteur des transports au Fujiwa est perçu non seulement comme une nécessité, mais également comme une véritable œuvre d'art. Que ce soit par la route, les voies ferrées, ou par les airs, la mobilité est intrinsèque à la vie quotidienne des Fujiwans. Les systèmes de transport tels que le FTX (Fujiwa Train Express), réputé pour sa ponctualité, sa sécurité, son confort et sa propreté, suscitent une admiration unanime, tant chez les résidents que chez les étrangers. Ces services de transport de qualité supérieure sont le reflet des priorités politiques du pays et sont soutenus par un engagement inébranlable envers l'amélioration continue. La concrétisation de cet engagement se retrouve dans l'excellence du système aéronautique en pleine expansion, ainsi que dans la popularité incontestable des transports en commun. Mais le secteur des transports du Fujiwa ne s'arrête pas aux frontières du pays. En effet, son expertise dans ce domaine a permis d'exporter divers biens et services à l'étranger. Des voitures et motos fujiwanes sont vendues à travers le monde, tandis que les compagnies de transport fujiwanes offrent des solutions logistiques et de fret à l'international. De plus, l'ingénierie ferroviaire du Fujiwa est sollicitée pour le développement et l'amélioration des systèmes ferroviaires à l'échelle nazuméenne. Le secteur des transports au Fujiwa est donc bien plus qu'une simple infrastructure nécessaire à la vie quotidienne, il est une vitrine de l'expertise et du savoir-faire du pays, un facteur de croissance économique et une fierté nationale. Le secteur des transports du Fujiwa est également marqué par l'essor de la Propeller Toad Transport (PTT), entreprise privée fujiwane qui a révolutionné le transport aérien de marchandises. Bénéficiant d'une flotte moderne et performante, PTT a rapidement fait sa place dans le marché du fret, bouleversant les acteurs traditionnels et redéfinissant les normes du secteur au niveau national. C'est par son engagement à offrir un service de qualité supérieure, une gestion efficace du fret et une capacité d'adaptation à des environnements de transport complexes que PTT a su se distinguer. Ses avions, équipés des technologies les plus récentes, lui permettent d'assurer une livraison rapide et fiable des marchandises, gagnant ainsi la confiance de nombreux clients aussi bien sur le marché intérieur qu'à l'international.

Pêche : La pêche occupe une place spéciale dans l'économie du Fujiwa. Bien que ce secteur n'ait pas une part aussi élevée que d'autres secteurs dans l'économie globale du pays, son influence dépasse largement sa taille. Situé dans la région du Nazum, le Fujiwa dispose d'une vaste étendue d'eaux poissonneuses, idéales pour la pêche. Malgré l'aspect émergeant de l'industrie, une flotte grandissante de chalutiers arpente ces eaux, ramenant des cargaisons quotidiennes de poissons et de fruits de mer frais. Bien que le secteur de la pêche ne soit pas un moteur majeur des exportations, sa valeur réside dans sa contribution à l'approvisionnement alimentaire national et à l'emploi local. Des milliers de Fujiwans dépendent de la pêche pour leur subsistance, et le secteur offre des opportunités économiques dans de nombreuses communautés côtières. Au fur et à mesure de son développement, le secteur de la pêche du Fujiwa a commencé à gagner en reconnaissance, tant au niveau national que régional. Avec un engagement croissant en faveur de pratiques de pêche durables et respectueuses de l'environnement, l'industrie de la pêche du Fujiwa est en passe de devenir une référence en matière de gestion responsable des ressources marines.

Tourisme :
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❀ VII - CULTURE


La culture du Fujiwa, riche et profonde, est le fruit de siècles d'histoire et de traditions séculaires qui ont façonné l'identité du pays. Pendant longtemps, en raison d'une politique de fermeture des frontières, cette culture a été préservée et réservée principalement au peuple fujiwans. Cependant, à la lumière des récentes réformes politiques et de l'ouverture progressive du pays au monde extérieur, la culture fujiwane fait l'objet d'un débat public croissant sur sa préservation, son évolution et son influence à l'échelle régionale et mondiale. D'une part, la culture traditionnelle fujiwane, avec ses rituels ancestraux, ses arts séculaires et ses pratiques sociales, reste profondément respectée et honorée par la population. Que ce soit la cérémonie du thé, les pièces de théâtre kabuki ou la littérature classique, ces éléments traditionnels continuent d'être préservés et célébrés comme des piliers de l'identité fujiwane. L'ouverture du Fujiwa, tout en apportant une richesse d'échanges culturels et une influence mondiale, a également entraîné une prise de conscience accrue de la nécessité de préserver et de protéger les éléments uniques de la culture fujiwane. Ce débat, qui se déroule au sein du public, des politiciens et des intellectuels, est un reflet de la tension entre la préservation de l'identité culturelle et l'adaptation à un monde globalisé. Malgré les défis que pose l'ouverture, la culture fujiwane reste une source de fierté pour les habitants du pays. Elle demeure un témoignage vibrant de l'histoire du Fujiwa, tout en continuant à évoluer et à s'adapter au monde moderne.


Religions

La singularité du paysage religieux au Fujiwa réside dans le fait que de nombreux Fujiwans pratiquent divers courants religieux tout au long de leur vie. Cette pratique polyvalente trouve son origine dans les racines historiques du pays, notamment l'obligation de pratiquer le shintoïsme à l'époque de l'Ancien Fujiwa, ainsi que la propagation du bouddhisme depuis les terres du Jashuria. Il est donc courant de voir les Fujiwans pratiquer conjointement le shintoïsme et le bouddhisme. Les Fujiwans fréquentent souvent des sanctuaires shintoïstes pour célébrer le Nouvel An, se rendent dans des temples bouddhistes pour les rites funéraires et célèbrent des fêtes chrétiennes comme Noël sans percevoir de contradiction. En outre, une part non négligeable de la population se déclare non-pratiquante, athée ou agnostique. Pourtant, cela n'empêche pas ces individus de participer aux événements saisonniers traditionnels, mettant en évidence le fait que la culture et la tradition de la société fujiwane transcendent les croyances religieuses pour devenir le fil conducteur de la vie du peuple.

D'après le dernier recensement anthropologique, voici les dernières données (2010) sur la pratique des courants religieux (Ces chiffres dépassent 100% car de nombreuses personnes s'identifient à plus d'une religion) :


Shintoïsme : Le shintoïsme fujiwans, bien qu'il partage des racines avec le shintoïsme nazuméen, a évolué de manière distincte pour former une expression unique de la spiritualité et de la vénération de la nature. Les Fujiwans qui pratiquent le shintoïsme, appelés Shinboku, croient fermement en l'interconnexion de tous les êtres vivants et de la nature. Les éléments naturels tels que les arbres, les rivières, les montagnes et même les phénomènes météorologiques sont considérés comme abritant des esprits, ou kami. Ces kami ne sont pas vus comme des entités lointaines, mais sont intégrés dans la vie quotidienne. Les rites shintoïstes comprennent des offrandes à ces kami, des prières pour le bien-être et la prospérité, et des célébrations des saisons et des cycles de la nature. Une particularité du shintoïsme fujiwans est la pratique du "Kamisama-no-michi", littéralement le "chemin du kami". Il s'agit d'un pèlerinage où les fidèles parcourent des sentiers sacrés à travers le pays, visitant des sanctuaires shintoïstes majeurs et se connectant directement avec les kami en s'immergeant dans la nature. Ces pèlerinages sont à la fois un voyage physique et spirituel, considéré comme un moyen pour les pratiquants de purifier leur esprit et d'approfondir leur lien avec les kami. Ce courant religieux accorde une grande importance à l'harmonie sociale. Les rituels collectifs, comme les festivals saisonniers, renforcent le sentiment de communauté et les liens sociaux. La tradition orale joue un rôle important dans le shintoïsme fujiwans. Les mythes et légendes sont transmis de génération en génération, racontant l'histoire des kami et des héros mythiques. Ces histoires, en plus de transmettre des enseignements moraux et spirituels, offrent un aperçu précieux de la culture et de l'histoire du Fujiwa.

Bouddhisme : Le bouddhisme fujiwans, importé du Jashuria, est une composante importante de la mosaïque religieuse du pays. Il est parvenu à fusionner avec le shintoïsme pour former un syncrétisme spirituel qui est aujourd'hui une caractéristique essentielle de la culture religieuse fujiwane. Le bouddhisme est arrivé au Fujiwa en tant que tradition monastique, avec des moines jashuriens voyageant à travers les frontières pour établir des temples et partager leur foi. Les enseignements bouddhistes, centrés sur la quête de l'illumination et la libération de la souffrance, ont trouvé un écho parmi les Fujiwans. Cependant, le bouddhisme fujiwans s'est distingué de son homologue jashurien en incorporant des éléments de la pratique shintoïste existante. Par exemple, les Fujiwans ont adopté le concept bouddhiste de la réincarnation, mais l'ont lié à leur croyance shintoïste en l'existence de kami, en suggérant que les esprits de la nature peuvent renaître sous différentes formes. De même, les temples bouddhistes sont souvent situés à proximité ou même à l'intérieur de sanctuaires shintoïstes, reflétant la coexistence harmonieuse de ces deux systèmes de croyances. Les rituels bouddhistes, tels que la méditation et la récitation de sutras, sont pratiqués aux côtés des rites shintoïstes. De nombreux Fujiwans se rendent aux temples bouddhistes pour des occasions telles que les funérailles et les commémorations des ancêtres, en plus des visites régulières aux sanctuaires shintoïstes.

Shin-Natara : Le Shin-Natara est une ramification du shintoïsme qui s'est développée au sein du Fujiwa, offrant une interprétation unique et contemporaine de cette ancienne foi. Elle se distingue par une vision plus abstraite et personnelle des kami, les divinités respectées dans le shintoïsme. C'est une expression authentique de la diversité et de l'innovation spirituelle qui caractérisent la culture religieuse du pays. Elle prend de plus en plus de place parmi les croyants du shintoïsme dit plus traditionnel.

Confucianisme : Le confucianisme, bien que né hors du pays, a trouvé une place significative au sein de la culture fujiwane. Il est considéré à la fois comme une philosophie de vie et une pratique religieuse, bien que ses contours soient définis de manière un peu différente par rapport à sa forme originelle. Au Fujiwa, le confucianisme est moins une série de dogmes religieux qu'un cadre pour guider la conduite morale et le comportement dans la société. Il est considéré comme une éthique sociale et politique, axée sur l'harmonie, la bienveillance, le respect des aînés et la piété filiale. Ces principes sont ancrés dans la vie quotidienne des Fujiwans, imprégnant leurs interactions sociales, leurs décisions politiques et leur comportement familial. Parallèlement à cette éthique sociale, le confucianisme est aussi une pratique spirituelle pour certains Fujiwans. Des temples dédiés à Confucius existent au Fujiwa, où les gens viennent pour méditer sur les enseignements du sage, pour offrir des prières, et pour participer à des cérémonies commémorant les moments importants de la vie de Confucius. Cependant, ces pratiques religieuses sont souvent imbriquées avec les croyances shintoïstes et bouddhistes, reflétant la nature syncrétique de la religiosité fujiwane. Au-delà des temples, le confucianisme influence aussi le système éducatif fujiwans. Les enseignements sur l'apprentissage continuel, le respect des aînés, et la quête de l'excellence personnelle sont incorporés dans le curriculum scolaire, formant une partie importante de l'éducation morale des jeunes Fujiwans.

Islam : L'Islam, bien qu'il ne représente pas la majorité de la population, occupe une place importante dans le tissu multiculturel de la nation. Il est arrivé sur les rives du territoire grâce aux commerçants et aux voyageurs, se mélangeant peu à peu aux croyances et aux pratiques indigènes pour créer une forme unique d'Islam fujiwans. Dans sa pratique, l'Islam fujiwans conserve les piliers centraux de la religion : la foi en un Dieu unique, Allah, la prière quotidienne, le jeûne pendant le mois de Ramadan, l'aumône, et le pèlerinage. Cependant, il existe une certaine flexibilité dans la manière dont ces piliers sont observés, reflétant l'accent mis sur l'harmonie sociale et le respect des différentes traditions religieuses.

Christianisme : Le christianisme, bien qu'il soit une des plus petites religions au Fujiwa, est néanmoins un élément clé de la diversité. Les Fujiwans chrétiens respectent les principes fondamentaux de la foi chrétienne, tels que la croyance en Jésus-Christ en tant que fils de Dieu et Sauveur de l'humanité, la lecture et l'étude de la Bible, et la participation aux sacrements. Contrairement aux autres religions, c'est la seule qui n'a pas voulu s'adapté aux autres coutumes religieuses qui composent le pays. En effet, dans un pays où la coexistence harmonieuse de divers courants religieux est la norme, ces communautés chrétiennes peuvent parfois apparaître comme des îlots isolés, plus centrées sur leurs propres croyances et traditions que sur l'échange et l'intégration à la culture fujiwane dans son ensemble. Cela a conduit à une situation où, bien que le christianisme soit respecté comme une partie de la diversité religieuse du Fujiwa, il est souvent perçu comme un courant à part, avec ses propres rituels et pratiques, qui diffèrent des autres croyances plus couramment pratiquées dans le pays.

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Diasporas

L'Etat du Fujiwa est un pays qui a réouvert ses frontières que récemment (depuis les années 2000) mais qui loge des diasporas nazuméennes. Ces nazuméens sont installés au Fujiwa depuis plusieurs dizaines d'années, de générations en générations. En effet, le pays a eu des périodes d'ouvertures assez brèves dans son histoire mais suffisante pour avoir eu la possibilité d'accueillir diverses populations étrangères. Si l'on se base sur les récents recesenment des années 2010, on retrouve une proportion assez forte de Jashuriens et de Burujois. Les raisons de ces installations proviennent vraisemblablement de la proximité géographique et culturel qui lie le continent du Nazum.

Les Jashuriens sont les plus nombreux et les mouvements se sont intensifiés ces dernières années. En effet, de nombreuses familles jashuriennes ont de la famille au Fujiwa ou ont au moins un membre de la famille de racine fujiwane. Avec l'ouverture des frontières du Fujiwa, la confiance établie avec son voisin a générer le phénomène de ce rapprochement familial. Beaucoup de Jashuriens viennent désormais s'installer sur le sol fujiwans et réciproquement, les Fujiwans trouvent des opportunités personnelles à faire leur vie au Jashuria. Il existe un profond respect mutuel entre les deux ethnies. D'après les derniers chiffres, on compterait près de 3 millions de Jashuriens résidant dans le pays.

Dans le cas des Burujois au Fujiwa, la situation est un peu différente. Bien que le Burujoa ne soit accessible directement par la mer, des similitudes culturelles importantes existent entre les deux nations. Ces similitudes ont encouragé un flux régulier d'immigrants burujois au Fujiwa, malgré la barrière géographique. Pour les Fujiwans originaires d'Aichi (anciennement le Royaume d'Aichi), le Burujoa est respecté pour sa stabilité impériale. Ils apprécient grandement de voir des empereurs, culturellement similaires, détenant encore le plein pouvoir et étant véritablement vénérés. Les impérialistes et nationalistes fujiwans citent souvent l'exemple du pouvoir burujois dans leurs discours politiques. D'après les derniers chiffres, on compterait près de 1 million de Burujois résidant dans le pays.

Quant à la présence des Stranéens au Fujiwa, celle-ci est plutôt modeste. En raison de différences idéologiques profondes - les Stranéens étant principalement socialistes - il existe une certaine méfiance entre les deux populations. Cette méfiance est encore exacerbée par le passé colonial du Fujiwa sur le Negara Strana. Cette histoire coloniale difficile a laissé des cicatrices qui perdurent jusqu'à aujourd'hui. Par ailleurs, le Negara Strana a maintenu ses frontières fermées pendant des siècles, limitant ainsi l'immigration. Cependant, malgré ces défis, une petite diaspora stranéenne a réussi à s'établir au pays. Ce sont principalement des individus et des familles qui ont cherché de nouvelles opportunités ou qui ont été contraints de quitter leur pays d'origine pour diverses raisons. La relation entre les Stranéens et le reste de la population fujiwane reste complexe et est souvent teintée de prudence et de résilience. D'après les derniers chiffres, on compterait près de 50k de Stranéens résidant dans le pays.

La présence des Haekangais au Fujiwa est assez notable, principalement en raison des déportations massives de familles haekangaises vers le Fujiwa pendant la période coloniale du Royaume d'Aichi. Cette migration forcée a conduit à l'établissement d'une diaspora haekangaise considérable au Fujiwa. En termes de culture et d'ethnie, les Haekangais partagent de nombreuses similarités avec les Fujiwans originaires du Royaume de Jinse. Par exemple, le dialecte coréen parlé par les Haekangais ressemble beaucoup à celui des ex-habitants de Jinse. Ces similarités culturelles ont facilité leur intégration au sein de la société fujiwane, malgré les circonstances difficiles de leur arrivée. Au fil du temps, la diaspora haekangaise au Fujiwa s'est progressivement assimilée tout en préservant certains aspects de sa culture et de ses traditions. En effet, au fil des générations, les frontières ethniques et culturelles entre les Fujiwans et les Haekangais ont progressivement commencé à s'estomper. Aujourd'hui, il n'est pas rare de rencontrer des Haekangais dont un ou les deux parents sont originaires du Fujiwa. Les mariages mixtes entre les Fujiwans et les Haekangais sont également devenus assez courants. D'après les derniers chiffres, on compterait près de 1.2 millions de Haekangais résidant dans le pays.

Bien qu'une analyse détaillée des communautés en provenance d'autres nations du Nazum ne soit pas actuellement possible, en raison de leur présence moins significative et des restrictions frontalières qui restent quand même persistantes au Fujiwa. Il est important de noter que cela est une estimation et peut varier en fonction de facteurs tels que les changements dans les politiques migratoires, les taux de natalité et de mortalité, et d'autres facteurs socio-économiques.


Langues

Dans la société multiculturelle du Fujiwa, l'uniformité linguistique est un phénomène marquant. En effet, près de 92,4% des citoyens du pays ont le fujiwan comme langue maternelle. Cette langue, porteuse de l'histoire et des traditions du peuple fujiwan, se transmet de génération en génération et contribue à maintenir l'identité nationale. Néanmoins, le paysage linguistique du Fujiwa ne se limite pas à une seule langue. Près de 47% de la population totale parle également le dialecte coréen. Ceci est particulièrement le cas dans les populations issues de l'ancien Royaume de Jinse. Cette double compétence linguistique souligne l'histoire complexe du pays et atteste de la diversité culturelle de ses habitants. Les 7,6% restants de la population représentent une diversité de langues et de cultures, principalement issues de l'immigration. Les communautés d'origine jashurienne, burujoise, stranéenne et haekangaise sont particulièrement représentées et contribuent à enrichir le paysage linguistique du Fujiwa.

Sur le plan de l'éducation, l'anglais occupe une place prédominante. Première langue étrangère enseignée dès l'école primaire - et même souvent dès la maternelle - elle est très répandue parmi les plus jeunes générations. Sa maîtrise est largement encouragée et est considérée comme une compétence essentielle dans le contexte globalisé actuel. Le jashurien, quant à lui, arrive en seconde position en tant que langue étrangère. Son apprentissage est particulièrement encouragé chez ceux qui ont des liens familiaux ou culturels avec le Jashuria, mais également chez ceux qui sont intéressés par les opportunités économiques et culturelles que cette langue peut offrir.
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