PRODNOV - Guerre de réunification

En secret, la RSP et le Pharois Syndikaali ont convenu d'un scénario pour reprendre le Prodnov. Bien que les deux états majors le nient pour la forme, ces-derniers travaillent ensemble et l'opération est coordonnée pour éviter les bourdes. Étant donné le déploiement (organisé depuis maintenant presque deux mois) de matériel militaire au Prodnov, la préméditation laisse peu de place aux doutes.

L'opération se passe en plusieurs phases résumées ici. La chronologie est importante :


29/03/2010

Dans les airs :

- Les 80 chasseurs-bombardiers de la RSP décollent et frappent l'aviation stationnée en RLP. Leur objectif : la destruction des aéroports militaires.

• 80 chasseurs bombardiers lv1

- Peu de temps après, l'aviation pharoise décolle également. Son objectif officiel : stopper les combats, en tant que garant de la paix au Prodnov et au nom du respect des accords de Nevskigorod. Dans les faits, s'assurer que l'aviation de la RSP (avec qui des accords ont été signés) remporte les affrontements et établir une no fly zone au Prodnov.

• 128 chasseurs-bombardiers lv4
• 35 chasseurs bombardiers lv3
• 10 bombardiers furtifs lv1
• 3 avions ravitailleurs lv6
• 3 avions ravitailleurs lv5
• 1 avion AWACS lv3
• 1 avion AWACS lv1
• 1 avion de guerre électronique lv1
• 1 avion de guerre électronique lv2

A terre :

- 20 000 soldats de l'armée rouge Prodnovienne se mettent en marche.

• 20 000 soldats professionnels
• 5 000 armes d'infanterie légère lv9
• 10 000 armes d'infanterue légère lv6
• 5 000 armes d'infanterue légère lv4
• 3 000 mitrailleuses lourdes lv5
• 193 mortiers légers lv3
• 25 mortiers tractés lv1
• 25 canons tractés lv1
• 6 lance-roquettes multiples lv1
• 8 hélicoptères légers polyvalents lv1

- Ils sont accompagnés par les forces de l'Armée révolutionnaire internationale des stations libres. Celles-ci ont profité de la mobilisation à Kanavaportti pour déplacer leurs troupes, équipées par l'armée pharoise, au Prodnov.

• 20 000 soldats professionnels
• 20 000 armes d'infanterie légère lv8
• 500 mitrailleuses lourdes lv4
• 130 véhicules de combat d'infanterie lv5
• 50 transports de troupes blindés lv6
• 100 véhicules légers tout-terrain lv8
• 50 véhicules de transmission radio lv7
• 40 véhicules radars lv6
• 10 ponts mobiles lv1
• 20 hélicoptères légers polyvalent lv6
• 20 hélicoptères légers polyvalent lv5
• 9 hélicoptères d'attaque lv4
• 10 hélicoptères d'attaque lv3
• 20 camions citernes lv3
• 90 camions de transport lv3
• 30 lance-roquettes multiples lv5
• 200 lance-missiles anti-char lv6
• 26 canons anti-aériens mobiles lv5
• 10 chars d'assaut

- les forces militaires pharoises, elles, se contentent d'avancer et de suivre la progression du front.

• 10 000 soldats professionnels
• 10 000 Armes d'infanteries légères lv8

En mer

La marine Pharoise se mobilise presque entièrement dans la zone :

• 4 patrouilleurs lv7
• 2 patrouilleurs lv6
• 1 patrouilleur lv5
• 4 corvettes lv6
• 5 corvettes lv5
• 2 frégates lv5
• 4 frégates lv4
• 2 frégates lv3
• 2 destroyeurs lv1
• 1 croiseur lv1
• 3 sous-marins lv6
• 2 sous-marins lv5
• 2 sous-marins lv4
• 1 sous-marin lv2
• 4 sous-marins lv1
• 1 sous-marin lanceur d'engin lv4
• 3 sous-marin lanceur d'engin lv1
• 1 porte-avion
• 36 vedettes lv8
• 3 vedettes lv6
• 10 vedettes lv5
• 21 vedettes lv4
• 1 remorqueur lv2
• 2 pétrolier-ravitailleurs lv6
• 2 pétrolier-ravitailleurs lv3
• 2 dragueurs de mines lv7
• 1 transporteur de chalands de débarquements lv1
• 1 chalands de débarquement lv6
• 2 chalands de débarquement lv5

MANOEUVRES

visualisation schématique
L'offensive s'engage de manière équilibrée :

• 10 000 soldats Prodnoviens + 10 000 soldats de l'ARIS partent de Galkovine direction Nevskigorod
• 10 000 soldats Prodnoviens + 10 000 soldats de l'ARIS partent de Peprolov direction Nevskigorod

Leur objectif est de prendre la petite ville et de regrouper leurs forces.

• 5 000 soldats Prodnoviens partent de Galkovine en direction de Vimrast

Leur objectif est de prendre le contrôle de la ville.

• 5 000 soldats Prodnoviens partent de Peprolov en direction de Markhiv

Leur objectif est de prendre le contrôle de la ville.

• 10 000 soldats Pharois (5 000x2) suivent les forces Prodnoviennes en direction de Nevskigorod.

Leur objectif est de servir de support logistique. Elles ont ordre de ne pas intervenir dans le conflit sauf si celui-ci venait à mal tourner.

• Certains bâtiments de la marine pharoise va commencer à faire des allés-retours entre le Syndikaali pour ramener depuis Pharot 40 000 soldats Pharois à Peprolov port. Si Nevskigorod est capturé rapidement, elle débarquera les troupes à Nevskigorod.

• 30 000 conscrits Prodnoviens restent en arrière à Bridjesko et Peprolov pour sécuriser le territoire et prévenir de troubles éventuels.

[NOVIGRAD] Point sur la situation avant l’invasion.
Depuis 2006, Novigrad collabore activement avec le gouvernement révolutionnaire de la République Libre du Prodnov. Une collaboration notamment renforcée par les nombreux investissements novigradiens dans les infrastructures civiles et militaires de la RLP. La pérennité d’un gouvernement démocrate au Prodnov est vue comme une priorité par le Chancelier Antov qui compte beaucoup sur les bénéfices engendrés par la route commerciale du nord entre le Netharia, la RLP et le Vogimska. Depuis la fin de la révolution, Novigrad entretient donc une force militaire limitée sous mandat de maintien de la paix en accord avec les autorités locales et la coalition de l’ONC. Cette même force a d’ailleurs été renouvelée en fin 2008 et 2009 face à la montée des tensions au Vogimska.

Composition de la force novigradienne sur place :

- 3 000 professionnels (type unité d’élite)
- 3 000 armes légères d'infanterie (Niv 10)
- 200 lances-roquettes (Niv 4)
- 100 lance-roquette (niv 5)
- 500 mitrailleuses lourdes (niv 6)
- 250 mortiers légers (niv 3)
- 300 lance-missiles antichar (niv 1)
- 5 lance-missiles antiaérien mobile (niv 1)
- 10 Canon antiaérien mobile (niv 2)
- 2 hélicoptères d’attaque (niv 2)
- 4 hélicoptères lourd de transport (Niv 1)
- 10 Hélicoptères légers polyvalents (niv 1)
- 10 char d’assaut (niv 1)
- 40 véhicules de combat d’infanterie (niv 1)
- 5 véhicules de transmission radio (niv 1)
- 2 véhicules radar (niv 4)
- 25 véhicules légers tout-terrain (niv 3)
- 500 mines antipersonnel (niv 3)
- 250 mines antichar (niv 3)
- 10 Lance-roquettes multiple (Niv 1)
- 4 Bulldozer (niv 1)
- 30 autobus (niv 1)
- 5 Missile de croisière sol-mer (Niv 1)

Situation géographique : Deux-milles soldats sont positionnés à la frontière entre la RLP et Peprolov. Cette frontière restée militarisée depuis la fin de la révolution a bien évidemment été renforcée par des barricades, abris et autres avant-postes fortifiés au fil des années. Un millier de soldats sont positionnés dans l’arrière-pays près de la frontière entre la région de Nazakraine sous administration du Vogimska, leur mission initiale est de sécuriser et de faciliter la ligne de ravitaillement entre les deux pays.

Note sur le profil des militaires novigradiens : Le régiment spécial des Voïvoïdes est une force d’élite composée de militaires expérimentés, d’anciens mercenaires et de prisonniers bénéficiant d’un programme spécial de réinsertion. Profitant d’une plus grande liberté d’action et d’une meilleure rémunération que les militaires classiques de l’armée fédérale, les soldats des Voïvoïdes se spécialisent dans les affrontements de haute-intensité et le maintien de la paix en zone hostile. La réputation du régiment est notamment entachée par les sanglantes exactions commises lors de la guerre d’indépendance de la Slovanie ou lors des affrontements dans l’Ourak dans les dernières années du siècle dernier.

4 avril 2010 - CONFIDENTIEL - Seconde guerre civile prodnovienne en Eurysie : la Fédération d’Alguarena profite de sa présence en Afarée du Nord pour s’engager dans le conflit prodnovien et renforce depuis l’archipel sa force aérienne en Eurysie.

La seconde guerre civile prodnovienne, ouvre la voie à une nouvelle décennie sanglante pour l’Eurysie du Nord.
Après la sidération, la réaction, deux phases aujourd’hui caractérisées par le réajustement du dispositif militaire engagé au Kronos, considérant deux mois plus tard, l’éclatement d’un nouveau conflit au Prodnov. Un épisode de guerre réchauffé qui malgré son caractère soudain ne surprend personne.

Une attaque surprise au Prodnov, considérant le passif à couteaux tirés des deux pays et le climat de guerre permanent qui y réside, ne peut pas être efficace.

Les médias internationaux ont parlé d’une attaque surprise mais était-ce seulement pour masquer leur profond désintérêt pour un conflit latent et larvé depuis plusieurs années? Faut-il en effet rappeler à ces journalistes que les deux républiques du Prodnov, la République Libre et son alter égo maléfique, sont nées de la guerre civile et qu’il y a huit mois à peine encore, elles étaient au bord de l’affrontement compte tenu des revendications maritimes faites par la République Sociale du Prodnov? Dans ces conditions, l'espoir niais de voir se dérouler au Prodnov une guerre rapide, une guerre éclair comme les historiens aiment en relater les plus grands exploits de notre ère, est quasi-nul. Le Prodnov est un état né de la guerre et en état de guerre permanent…

Un fait d’autant plus vrai que ce climat de guerre permanent et de longue date a permis la formalisation de positions défensives, les frontières entre les deux états constituant des enjeux politiques cruciaux. Par conséquent, il est aisé de comprendre que la manœuvre militaire ennemie, va inlassablement se heurter à des moyens défensifs qui l’attendaient, ne serait-ce qu’aux frontières où une avant-garde est caractérisée et installée sur des positions fortifiées.

A titre d’exemple, il convient de citer le renforcement des dispositifs militaires sur place à moins d’une semaine de l’invasion, par conséquent, la posture défensive du régime prodnovien et de ses alliés de l’ONC ne fait aucun doute, tout comme l’incapacité désormais notoire des forces de la République communiste invasive, à surprendre les forces prodnoviennes.

L’armée de l’air fédérale d’Alguarena, une arme moderne et expérimentée.

L’armée de l’air fédérale d’Alguarena, est un levier de premier plan pour offrir à la présidence alguarena, les moyens d’imposer la paix au Prodnov. Une aviation sur le plan technologique la plus avancée au monde et qui se met au service d’escouades de pilotes d’exception, forgés par des combats aériens de longue haleine, à l’instar de la bataille aérienne opposants les escadrilles kah-tanaises et alguarenas

En sus d’un baptême du feu pour la majeure partie de ses pilotes, l’armée de l’air fédérale d’Alguarena entretient également ses forces au cours d’exercices aériens internationaux, les confrontant ainsi aux pilotes du monde entier. Des simulations aériennes, rendues possibles par l’organisation du salon de l‘aéronautique militaire d’Aserjuco. Avec ce salon de l'aéronautique militaire, les forces armées de l’air alguarenas se paient des entrainements récurrents, qui viennent se pérenniser d’année en année. Une fabrique de l’excellence où l’armée de l’air alguarena ne se connait aucun égal.

Une culture de la performance qui s’est d’ailleurs traduite par la constitution d'escadrilles d’élite, nourries par les meilleurs pilotes des affrontements et simulateurs aériens enregistrés dans le pays… Rassemblés sous l’escadrille SOMALA ces pilotes cumulent donc sur leurs seules expériences, des opérations de combat et des confrontations simulées face aux escadrilles du monde entier, invitées lors de ces salons de l’aéronautique militaire à Aserjuco.

La seconde guerre civile prodnovienne, un retour du communisme sanguinaire et totalitaire, qui a de quoi inquiéter les populations locales et mondiales.

Dans ces conditions, la Fédération d’Alguarena est tentée de peser toute la responsabilité qu’est la sienne, pour imposer la paix aux chiens sauvages qui sillonnent les terres d’abondance du globe. Des terres d’abondance où les communistes ont été porteurs de grands maux, à l’instar des crimes perpétrés par le précédent gouvernement prodnovien avant l’éclatement du pays. Un gouvernement ayant passé par le fil de la baïonnette, des dizaines de milliers d’habitants à Bridjesko, une ville prodnovienne soupçonnée par le pouvoir central, d’apporter une assistance sous toutes ses formes possibles, à un groupe révolutionnaire ayant assassiné un précédent dirigeant totalitaire.

La personnalité de Alexei Malyshev, dirigeant suprême du régime communiste et totalitaire de la République Sociale sécessionniste, a de quoi effectivement inquiéter les populations prodnoviennes, indépendamment du côté de la frontière où elles se trouvent, car ce même tempérament impétueux et prompt à démarrer les hostilités, qui peigna de rouge les pavés arborant les rues de Bridjesko, une agglomération saignée de nombreux habitants. La vie vaut-elle si peu de choses pour inlassablement voir et revoir les gouvernants totalitaires communistes, s’élancer dans des actions sanglantes dont ils font reposer le plus lourd tribut sur les populations locales? Une question réthorique qui ouvre la voie à la perception de ces nouveaux évènements, parmi les populations civiles où qu'elles soient...

Vers le Novigrad a écrit :-5 bombardiers stratégiques lvl 2
-20 avions de chasse lvl 6
-30 avions de chasse lvl 7
-4 avions ravitailleurs lvl 6

[PROVINCES-UNIES DU LOFOTEN] Point sur la situation avant l’invasion.

Depuis la fin de Révolution d'Octobre qui a vu le chute du Boucher de Staïglad, Kuklin Viktor, les Provinces-Unies du Lofoten sont un soutien actif et appuyé sur tous les plans : financiers, économiques, militaires, logistiques, et politiques.
Outre les investissements massifs réalisés via la Banque Centrale de Staïglad, les Provinces-Unies ont toujours alerté et anticipé, à juste titre, de la future guerre d'invasion du Pharois et de son satellite contre le Prodnov Libre.
Pour ces raisons, ils ont stationné plusieurs contingents de troupes, et plusieurs experts militaires qui depuis le début de la création de la RLP n'ont eu de cesse de former et de conseiller les troupes prodnoviennes aux meilleures tactiques de guerre, et à l'utilisation des matériels et équipements fournis par les Alliés de l'ONC.
700 officiers gradés, 1300 réservistes de la Garde Fédérale (unité d'élite) et 500 spécialistes (experts en formation) sont présents.

En outre, un système défensif et de protection de la frontière a été développé et s'est articulé autour de la base militaire fortifiée de Pavlograd, une base sous contrôle de la Milice Fédérale des Provinces-Unies, et située près entre la frontière de Prepolov et la ville de Staïglad.

Puis, en raison des menaces grandissantes des forces communistes, notamment de la RSP et de la Loduarie, la situation était telle que les Provinces-Unies ont décidé de consolider le contingent existant en faisant parvenir des troupes et du matériel supplémentaire, en plus de considérablement renforcer le dispositif de surveillance frontalier.
La frontière est donc l'une des plus surveillées et militarisées au monde, mis en exergue par le représentatif et très mis en avant poste-frontière avancé de Tanyushivka - Танюшівка

Très récemment, les activités belliqueuses et les menaçantes d'invasion ont été largement anticipées par les Provinces-Unies, raison pour laquelle un énième renforcement des effectifs de la RLP (avec transfert de matériel directement dans les effectifs de la RLP) a été opéré, quelques jours à peine avant l'offensive pharoise, montrant bien que la probabilité d'une invasion était considéré, pris en compte et considéré comme hautement probable.


EFFECTIFS INITIAUX AVANT INVASION :


Re : Activités étrangères en République Libre du Prodnov
Posté le : 25 août 2022 à 11:40:33 a écrit :
Composition de la force lofotène sur place :


Positionnement géographique : Troupes et équipements qui resteront présents sur le territoire de la RLP. Principalement près de la frontière d'avec la République du Peprolov (Base militaire de Pavlograd situé à80km au Nord de Staïglad) :

Troupes au sol :
10 000 professionnels répartis en 4 Régiments de 2500 hommes et femmes. (3 régiments au nord-ouest et 1 régiment près de la Lutharovie)
10 000 armes légères de lvl 5

Artillerie :
30 lances roquettes multiples lv2
20 canon tractés lv2

DCA :
20 canons antiaériens mobiles lv3
20 lances missiles antiaérien mobiles lv3

Vehicules :
20 véhicules blindés légers lv2
20 transports de troupes blindés lv1
50 vehicules de combat d'infanterie lv1
10 chars d'assaut lv1
30 camions de transport lv1
2 camions citernes lvl3
4 ponts mobiles lvl1
5 chars de dépannage lv1
4 vehicules de déminage lv2
5 vehicules de transmission radio lv3
5 vehicules radars lvl3

Cavalerie aéroportée :
2 helicoptères de transports lourds lv1
5 helicoptères de transports moyens lv1
10 helicoptères légers polyvalents lv1
2 hélicoptères d'attaque lv1

Aviation :
15 avions de chasse lv2
10 chasseurs bombardiers lv1
10 avions d'attaque au sol lv1
2 bombardiers stratégiques lv1

1 avion ravitailleur lv1
1 avion de guerre électronique lv1
2 drones lvl1
1 AWACS lv1

Mines et missiles :
200 mines anti personnels lv1
250 mines antichars lvl1
10 missiles de croisières air sol lv1
6 missiles de croisière sol-mer lv2
3 missiles balistiques lvl1


Re : Activités étrangères en République Libre du Prodnov
Posté le : 28 oct. 2022 à 10:23:47 a écrit :

Nouveaux effectifs supplémentaires apportés par les Provinces-Unies (à rajouter aux effectifs précédents) :

5000 professionnels + Armes légères lv5
20 lances roquettes multiples lv2
20 lances missiles anti aériens mobiles lv3
10 chars d'assaut lv1
30 véhicules de combats d'infanterie lv2
3 ponts mobiles lv1
5 chars de dépannage lv1
3 vehicules de déminage lv2
2 vehicules transmission radio lv2
3 vehicules radar lv3
6 helicoptères légers polyvalents lv1
2 helicoptères de combats lv1
5 helicoptères moyen de transports lv1
4 chasseurs bombardiers lv1
4 avions de transports tactiques lv1

Militarisation de la frontière avec :
10 000 réservistes + armes légères lv4 en 4 régiments de 2500 réservistes répartis régulièrement le long de la frontière.
180 mines anti personnelles lv1
200 mines anti chars lv1
4 missiles de croisières sol mer
10 missiles de croisières air sol
2 missiles balistiques lvl2


Situation résumée :
12 500 soldats lofotènes sont positionnés à la frontière entre la RLP et Peprolov à la base militaire fortifiée de Pavlograd. (Nord-Est à 80km de Staïglad)
10 000 réservistes lofotènes aident et assistent les garde frontières prodnoviens (répartis de manière égale sur les frontières)



Note sur le profil des militaires lofotènes : 2500 des effectifs de la base militaire de Pavlograd sont différents des soldats du rang : parmi eux 700 officiers gradés de l'armée du Lofoten + 1300 membres de la Garde Fédérale (unité d'élite, envoyée sur les terrains difficiles, spécialistes en environnement urbain et retranché) + 500 spécialistes (des experts en armement et aux compétences tactiques spéciales, qui forment et conseillent les autres soldats à l'optimisation et l'utilisation des armes et équipements technologiquement avancés).


Autres éléments à prendre en compte :

• Staïglad, la capitale est une gigantesque métropole de près de 5 millions d'habitants et donc est considérée comme macrocéphale, donc configurée comme espace largement dominé par un pôle unique concentrant population, activités et fonctions au point de freiner voire d'empêcher l'affirmation de pôles secondaires. La ville est densément urbanisée, sur le modèle soviétique, et donc comprends de très nombreux immeubles et bâtiments imposants, massifs, et bétonnés. A l'inverse, la campagne est plutôt dépeuplée, la population prodnovienne est clairement urbaine, massivement regroupée dans les centres et aires urbaines.


• L'interopérabilité des effectifs lofotènes avec les armées Novigradiennes et Jashuriennes, qui ont déjà réalisé des exercices militaires communs, et donc ont l'habitude de se coordonner et de collaborer ensemble.


• L'armée et les services de sécurité (police y compris) sont largement dominés et influencés par les Provinces-Unies et le Novigrad, acquis aux idéaux et aux principes libéraux, aussi, ils se battront jusqu'au bout et peu de chances qu'ils soient réceptifs à l'influence communiste => Voir investissements de la Banque Centrale de Staïglad, et le nombre de commissariats et garnisons appartenant au Novigrad et aux Provinces-Unies.


• Le sud du Prodnov, notamment la Nazakraine, est logistiquement reliée à Vogimska, membre de l'ONC. Le chemin de fer est une composante importante, et a été massivement investie par les puissances étrangères pour le remettre sur pied. Le chemin de fer est donc développé, fonctionnel, et est utilisé par la logistique Prodnovienne pour rapidement acheminer, évacuer, troupes et armements si nécessaire. ICI


• Les Provinces-Unies disposent d'une base militaire aéronavale à Sorajevo, en Novigrad, la base se trouve positionnée dans la province n° 31989, d'où peuvent atterrir et décoller l'aviation alliée.

Détails des forces engagées en République Libre du Prodnov avant l’invasion :

Les forces jashuriennes restent inchangées par rapport aux accords de Nevskigorod. Le Jashuria ayant bien compris que personne n’avait l’intention de respecter les accords, le pays a conservé la force militaire déjà présente sur site et a retiré sa flotte, occupée avec le règlement de la crise du Mokhaï. Le Contingent d’Intervention Extérieur, commandé par Trinai Chavalit, opère avec des troupes spécialisées dans la défense de position, comme le veut la tradition militaire jashurienne. Sachant pertinemment qu’ils ne tiendront pas Nevskigorod, les Jashuriens se sont repliés en bon ordre vers Staïlgad pour rejoindre les forces de l’ONC stationnées dans la région.

Les Jashuriens sont des experts en défense de position et en combat urbain. S’ils ne disposent pas d’un matériel dernier cri, ni de l’avantage du nombre, ils connaissent Staïlgad depuis suffisamment longtemps pour pouvoir être efficaces dans les rues et les bâtiments de la capitale menacée. Le commandant Trinai Chavalit espère conduire les forces de la RSP dans une longue guerre d’attrition dans laquelle les forces de la RSP vont s’user tandis que la riposte prendra place du côté du Vogimska.

FORCES TERRESTRES DU CONTINGENT D’INTERVENTION EXTERIEUR:

• JAS - 3000 soldats professionnels
• JAS - 3000 armes légères d’infanterie de niveau 5
• JAS - 100 mitrailleuses lourdes de niveau 1
• JAS - 100 mortiers légers de niveau 2
• JAS - 100 lance-roquettes de niveau 1
• JAS - 100 lance-missiles antichar de niveau 1
• JAS - 10 canons tractés de niveau 2
• JAS - 10 mortiers tractés de niveau 2
• JAS - 5 canons automoteur de niveau 1
• JAS - 5 lance-roquettes multiple de niveau 1
• JAS - 10 canons antiaériens mobiles de niveau 1
• JAS - 10 lance-missiles antiaérien mobile de niveau 1
• JAS - 10 véhicules blindés légers de niveau 1
• JAS - 10 transports de troupes blindés de niveau 2
• JAS - 10 véhicules de combat d’infanterie de niveau 1
• JAS - 10 chars légers de niveau 1
• JAS - 10 chars d’assaut de niveau 1
• JAS - 20 camions de transport de niveau 3
• JAS - 5 camions-citernes de niveau 2
• JAS - 2 véhicules de transmission radio de niveau 1
• JAS - 2 véhicules radar de niveau 1
• JAS - 250 mines antipersonnel de niveau 1
• JAS - 250 mines antichar de niveau 1

FORCES AERIENNES DU CONTINGENT D’INTERVENTION EXTERIEUR:

• JAS - 10 avions de chasse de niveau 2
• JAS - 10 avions d’attaque au sol de niveau 1
• JAS - 2 drones de reconnaissance de niveau 1
• JAS - 1 avion ravitailleur de niveau 1
• JAS - 10 avions de transport tactique de niveau 1
• JAS - 5 hélicoptères de transport moyen de niveau 1
• JAS - 2 hélicoptères de transport lourd de niveau 1

Demande de renforts pour défendre la République Libre du Prodnov :

Dès l’annonce de l’attaque du Prodnov Libre par les forces de la République Sociale du Prodnov, l’Etat-major jashurien a entamé le transport de renforts. Problème, la distance entre le Prodnov et le Jashuria étant grande, les troupes vont mettre du temps à arriver et seront stationnées à Novigrad le temps qu’un couloir aérien sur Staïlgad ou au Vogimska soit sécurisé.

Les soldats de la 6eme armée jashurienne seront déployés en appui au Contingent d’Intervention Extérieur. La sixième armée jashurienne est essentiellement composée de fantassins spécialisés dans le combat urbain. Ils disposent de peu de soutien blindé et sont essentiellement équipés pour les guerres d’attrition. Ils compensent le manque de blindés par une grande mobilité dans les combats urbains et les zones densément peuplées. Issus de force de défense de la région des perles, le contingent de la 6eme armée est composé des troupes suivantes :

FORCES TERRESTRES DE LA SECONDE BRIGADE BLINDEE :

• JAS - 6000 soldats professionnels de la seconde brigade blindée
• JAS - 9000 armes légères d’infanterie de niveau 7
• JAS - 500 mitrailleurs lourdes de niveau 4
• JAS - 500 mortiers légers de niveau 2
• JAS - 500 lance-roquettes de niveau 3
• JAS - 500 lance-missiles antichar de niveau 4
• JAS - 10 mortiers tractés de niveau 2
• JAS - 10 canons automoteur de niveau 2
• JAS - 5 lance-roquettes multiple de niveau 1
• JAS - 10 canons antiaériens mobiles de niveau 2
• JAS - 10 transports de troupes blindés de niveau 2
• JAS - 20 chars légers de niveau 2
• JAS - 10 chars d’assaut de niveau 1
• JAS - 20 camions de transport de niveau 3
• JAS – 5 chars de dépannage de niveau 1
• JAS – 5 véhicules radar de niveau 1
• JAS – 3 véhicules de transmission radio de niveau 1

FORCES AERIENNES DE LA TROISIEME BRIGADE AERIENNE :

• JAS – 15 avions de chasse de niveau 4
• JAS – 5 chasseurs-bombardiers de niveau 1
• JAS – 2 bombardiers stratégiques de niveau 1

NOTES COMPLEMENTAIRES :

• Les forces jashuriennes sont habituées à combattre dans les endroits réputés difficiles, à savoir les jungles et les zones urbaines. Spécialisées dans la défense de position plutôt que dans l’attaque, les troupes jashuriennes préfèreront user le moral de leur adversaire en l’embarquant dans une situation à la Sarajevo. Les troupes de Trinai Chavalit sont celles qui ont participé à la sécurisation de Kotios avec le Grand Kah et le Pharois : ses troupes (uniquement celles du CIE) sont habituées aux tactiques du Pharois et des communistes de manière générale. Ce n’est pas le cas des autres troupes en renfort qui n’ont pas combattu avec les Pharois et le Grand Kah à Kotios.


• Les troupes jashuriennes sont habituées à travailler avec celles du Lofoten, comme en témoignent les exercices militaires réguliers auxquels les deux armées ont participé. L’Etat-major jashurien collabore activement avec l’Etat-major lofotene pour partager ses renseignements.


• Les troupes jashuriennes se sont correctement comportées lors de l’occupation militaire du Prodnov et ont une connaissance optimale des rouages de l’ancienne administration du Prodnov. La population n’est pas foncièrement hostile à leur présence, sans être particulièrement enchantée de les accueillir.

16 avril 2010 - La Révolution varanyenne inquiète de savoir les révolutionnaires prodnoviens de nouveau sous le joug de leurs bourreaux communistes de Bridjesko.
Pour la classe politique varanyenne, l'action armée par la République de Peprolov (RSP) ne saurait être une révolution populaire, identiquement à celle du Varanya, considérant la présence de presque 20% d’immigrés au sein de la société civile peprolovites, se faisant plutôt une enième réplique des massacres de Bridjesko.

Née de la révolution démocratique mettant à bas le régime impérial du Shah, la République du Varanya nourrit depuis cette date une ambition politique nouvelle, souhaitant incarner la “violence utile” par la transformation profonde d’une société ébranlée par l'élitisme qui la réprime sans compter. Soucieuse d’incarner un modèle de transformation de la société, il arrive que son histoire trouve quelques échos bien malgré elle sur la scène internationale. Le cas de la révolution prodnovienne, pourrait figurer par ces faits divers appelant à un positionnement, au moins politique, de la part du gouvernement varanyen. Un positionnement difficile, considérant l’affrontement opposant les deux révolutions prodnoviennes, mais qui, compte tenu du modèle idéologique portée par les éléments factieux de Peprolov, le même qui saignait à blanc les populations de Bridjesko, amène inéluctablement les autorités révolutinonaires du Varanya à condamner l’invasion perpétrée par les armées de la République Sociale de Peprolov.

“La révolution communiste de Peprolov vient porter plus de sang dans une région qui en est imbibée et le modèle sociétal proposé, disons même imposé par la guerre, semble en tous points dupliquer des périodes de chaos et de violences rencontrées sous la gouvernance communiste… Le communisme en Eurysie est obsolète et il lui appartient de renoncer à de nouveaux massacres pour pérenniser un héritage à jamais honni…” faisait savoir Ebrahim Nassirian, ministre aux affaires étrangères de la République Varanyenne Unifiée, pour qui “la Révolution portée par la République Sociale de Peprolov, n’était ni vertueuse, ni populaire…” Un fait d’autant plus souligné par les experts, qui rappellent que plus de 16% de la population à Peprolov, est issue de l’immigration 2009 (soit plus en réalité, considérant l’immigration précédent cette date).
Par conséquent, il est bien difficile pour ces mêmes experts d’imaginer que la gouvernance de la République Sociale de Peprolov, jouisse du soutien populaire, alors même que sa population est largement composée de diasporas, construites sur une immigration économique. Récemment entrée dans le pays avec des aspirations tournées vers l‘amélioration de leurs conditions de vie, les migrants arrivés au Peprolov (RSP), principalement tahokais, ont dû peu souper de cette entrée en guerre cavalière, au sein d’un monde qu’ils aspiraient volontiers meilleur.

A ces faits, ls experts en ajoutent d’autres, notamment par l’insistance faite autour de la distinction entre les deux révolutions. “La Révolution prodnovienne n’est en rien comparable à celle varanyenne” affirme ainsi l’un de ces intervenants.

Schéma de la Révolution varanyenne:

• le pays traverse une grave crise économique et les plafonds de verre présents à différentes strates de la société civile amènent la population dans la rue pour des réformes sociales destinées à fournir plus d’équité face à l’emploi ou l’entrepreneuriat,

• le gouvernement impérial du Shah réprime violemment les mouvements de revendication,

• la revendication devient contestation et nourrit une situation insurrectionnelle après l’emploi de l’armée contre les civils,

• l’état insurrectionnel nourrit une révolution armée qui, aidée de puissances étrangères, parvient à renverser le gouvernement impérial du Shah, lui même aidé d’autres puissances étrangères.

Schéma de la Révolution prodnovienne:

• Un dirigeant communiste est assassiné par des terroristes,

• Craignant d’ouvrir la porte à des revendications en société, le gouvernement par intérim de Kuklin Viktor exerce une vague de répression sans précédent dans le pays, amorçant des exécutions de masse à Bridjesko,

• des éléments factieux de l’armée prodnovienne, certainement aidés depuis l’étranger, initient un coup d'État qui recueillera un certain soutien au sein de la population,

• Les instabilités politiques locales incitent aux interventions étrangères et une communauté internationale décide de la partition du pays : la République Libre du Prodnov de Staïglad et la République Sociale du Prodnov de Peprolov,

• Les deux républiques cultivent la rivalité d’abord économique, puis ensuite militaire, marquée par l’invasion de la République Libre du Prodnov, par les mêmes forces qui composaient jadis le régime répressif à Bridjesko.

Sous ce schéma, les experts varanyens sont donc tentés de ne pas identifier le régime de Peprolov (RSP) comme un élément révolutionnaire, mais bien l’extension, les soubresauts, du régime communiste tortionnaire qui mettait feu et sang dans le pays avant d’être renversé à l’occasion d’un coup d’état. Là où à contrario, ils sont tentés d’identifier la République Libre du Prodnov, comme des révolutionnaires à nouveau oppressés par les communistes bouchers de Bridjesko. Le Prodnov sonne donc au Varanya comme un état justifiant d’une longue relation tumultueuse avec sa classe politique et dont le processus révolutionnaire apparaît aujourd’hui plus menacé qu’il ne l’a jamais été auparavant.

ÉTAT DES LIEUX - CONFIDENTIEL - La présence Alguarena au Kronos en février 2010, une opportunité plus qu’un péril dans la défense prodnovienne.

Le déploiement des groupements aéronaval lofotenois et alguareno en Afarée du Nord et en Eurysie du Sud, offre des supports militaires de proximité appréciables pour les forces libres prodnoviennes, mobilisables en moins de 24h.

L’état-major de la République Sociale de Peprolov pensait la présence de l’Organisation des Nations Commerçantes au Kronos comme étant une réelle opportunité d’envahir son voisin, grossière erreur peuvent aujourd’hui affirmer les généraux de l’armée fédérale alguarenos. En effet, engagée depuis février 2010 au Kronos lorsque le conflit Prodnovien éclata quant à lui fin mars, la force aéronavale alguarena a largement les moyens, sous-entendait par là le temps, de se remettre en condition opérationnelle et de transiter vers la République Libre du Prodnov, via la République Fédérale de Novigrad, en moins de 24 heures (sachant que les 9 heures de vol séparant l'Afarée du Prodnov sont calées sur l’aéronef le moins rapide, à 840km/h).

Les opérations aériennes précédemment conduites sur février et mars 2010 au Kronos afaréen, font donc office d’échauffement vers d’autres affrontements aériens plus périlleux, dans une partie de l’espace aérien prodnovien pour début avril…

Fallait-il laisser tomber ses “chicos” (littéralement “ses gars” en espagnol) et les alliés en opération de maintien de la paix au Prodnov? Assurément non, et si des chicos devaient tomber, il apparaissait de plus en plus évident qu’on ne parlait pas des mêmes et qu’ils seraient d’origine buccale, pas alguarena s’était amusé à commenter un officier de l’armée fédérale pressenti sur ces opérations extérieures. Le contingent alguareno, limité en raison des accords de Nevskigorod, ne sera donc pas posé sur l’autel du sacrifice et toute agression à leur encontre et à celle des contingents alliés membres de l’ONC, seront traitées pour ce qu’elles sont, des actes de guerre indissociables aux réponses proportionnées qu’il appartient de mettre en face. C’est donc sous cette ligne politique claire, que la Fédération d’Alguarena a confirmé son positionnement à l’égard du Prodnov agressé, du Prodnov envahi.

Troupes déjà présentes au Prodnov

YUHANACA a écrit :YUHANACA - Forces terrestres / Contingent
YUH- 4000 Soldats professionnels
YUH- 4000 Armes infanteries de niveau 4
YUH- 500 mitrailleuses lourdes de niveau 3
YUH- 500 mortiers léger de niveau1
YUH- 300 lance roquette de niveau 1
YUH- 300 lance missile anti char de niveau 1
YUH- 10 mortiers tractés de niveau 1
YUH- 10 canons tracté de niveau 1
YUH- 20 transports de troupes blindés de niveau 1
YUH- 20 véhicules de combat d'infanteries de niveau 1
YUH- 5 chars légers de niveau 1
ALGUARENA a écrit :FORCES TERRESTRES / Contingent
ALG - 30 lance-missiles antiaériens mobiles lvl 4
ALG - 8 lance-roquettes multiples lvl 3
ALG -20 transports de troupes blindés lvl 4
ALG -20 véhicules de combat d’infanterie lvl 4
ALG - 20 chars légers lvl 3
ALG - 40 véhicules légers tout-terrain lvl 7
ALG -2 000 armes légères d’infanterie lvl 7
ALG -10 véhicules de transmission radio lvl 5 (Autre atlas / promis au Pontarbello)
ALG -2 véhicules radar lvl 4 (Autre atlas / promis au Pontarbello)
ALG - 1 000 soldats professionnels + équipages des véhicules ci-dessus.
FORCES AERIENNES DISPONIBLES POUR L’ARRIÈRE-PAYS
ALG -15 chasseurs-bombardiers lvl 2
ALG - 5 avions de transport tactique lvl 3
ALG -1 avion radar (AWACS) lvl 2
ALG -1 avion de guerre électronique lvl 1

SUPPORT AÉRIEN DISPONIBLE POUR L’ARRIÈRE-PAYS
A l'annonce du conflit et considérant la jonction entre le Kronos et le Prodnov, séparés de 9 heures de vol seulement, ainsi que le fait que l'engagement alguarena au Kronos est en début février 2010 et que l'éclatement du conflit est en avril (fin mars) 2010, la force aéronavale est capable de projeter des forces sur les deux fronts.

Renforts aériens de la force aéronavale présente en Afarée du Nord / Contingent
ALG - 9 avions de chasse lvl 5
ALG - 1 avion de guerre électronique lvl 4
ALG - 1 avion radar AWACS lvl 3
ALG - 7 chasseurs-bombardiers lvl 4
ALG - 6 avions ravitailleurs lvl 6
ALG - 10 chasseurs-bombardiers lvl 4
ALG - 10 avions de chasse lvl 6
ALG - 10 drones de reconnaissance lvl 4
ALG - 6 drones de reconnaissance lvl 2
ALG - 3 avions de transport tactique lvl 5

Renforts aériens / Contingent
ALG - 5 bombardiers stratégiques lvl 2
ALG - 20 avions de chasse lvl 6
ALG - 30 avions de chasse lvl 7
ALG - 4 avions ravitailleurs lvl 6

Déploiement de missiles balistiques depuis le Novigrad / Contingent
- 10 missiles balistiques lvl 4
- 3 missiles balistiques lvl 6 (départ pour le Novigrad via avions cargos et avions ravitailleurs sous escorte le 28/04)

Qui peut dire qui tira ? La République Sociale du Prodnov revendiqua la destruction de la ligne de chemin de fer menant à Nazakraina, et les routes praticables également. C'en était terminé de la liaison entre le Vogimska décadent et la RLP bâtarde, désormais il n'y avait plus d'espoir à attendre de renforts.

L'aviation prodnovienne frappa la première, bombardement de barrage contre les infrastructures stratégiques, les avions du Pharois Syndikaali sur ses talons, ciblant en priorité les connexions. Il y a un monde entre les déclarations officielles et la réalité du champ de bataille, surtout lorsque la menace vient du ciel, et se déplace plus vite que le son.

Qui peut dire qui tira ? On lisait d'avantage les faits dans la cohérence stratégique des uns et des autres que dans le témoignage de pauvres errent, chefs de gare ou ouvriers ferroviaires. Les faits étaient là : circuler dans cette tourbière revint à s'exposer aux quatre vents.
Isoler les armées, en faire des paquets, vulnérables, cibles facile dans un arrière-pays devenu rapidement hostile, où des bandes de résistant commencèrent à se former dès les premières annonces de réouvertures du conflit.

"La guerre de réunification du Prodnov est une guerre nationale. Que ceux qui entrent ici sans y avoir été autorisés sachent qu'ils viennent pour y mourir." déclara Alexei Malyshev, président de la République.

De fait, le pays était, à la faveur des premiers coups portés avec la violence de la surprise, devenu une cuvette, et bientôt un cimetière.

février 2010 - L’aviation pharoise et communiste, incapable de garantir la justesse de leur frappe aérienne, sans reconnaissance préalable, ni troupes au sol.

Les frappes aériennes dans l’arrière pays du Prodnov sans appui terrestre pour la confirmation de cibles, la fausse bonne idée des forces invasives qui conduit au bombardement de cibles civiles…
Si le dictateur fou Alexei Malyshev se réjouit du soutien et du concours de l’aviation pharoise, venue en grand nombre envahir le ciel prodnovien, plusieurs considérations d’ordre tactique amèneront les experts à minimiser l‘impact de celle-ci sur le champ de bataille , voire à en mesurer les effets contre-productifs. En effet, l’idée que l‘aviation puisse aveuglément frapper l’arrière pays avec une précision mortelle est un mythe fantasmée, dès lors que celle-ci est incapable de justifier une présence militaire au sol. L’invasion du Prodnov par les forces communistes d’Alexei Malyshev impose nécessairement une ligne de front et derrière celle-ci, un brouillard de guerre que le génie militaire de l’aviation pharoise encore bien inexpérimentée des conflits, ne saurait valablement percer…

Des troupes communistes qui envahissent le Prodnov et se heurtent aux éléments de sa défense nationale, rendant difficiles toutes les incursions terrestres dans l’arrière pays. Sans présence alliée au sol, les commandements de l’armée de l’air communiste et pharois oeuvrent à l’aveugle, alourdissant le lot de sang réclamé par la guerre. L’aviation communiste engagée dans des frappes aériennes contre les infrastructures énergétiques et les moyens de connexion, va rencontrer de sérieuses difficultés dans la localisation et la confirmation des cibles à frapper. Une absence de précision qui pourrait entraîner un large éventail de victimes collatérales sur lesquelles les forces invasives usent leur crédibilité. Sans aucun renseignement en temps réel sur les positions ennemies ou la présence effective de telle ou telle infrastructure sur ces coordonnées, il se pourrait que les bombes larguées sur ce qui semblent être un rail, un barrage hydraulique ou encore une centrale électrique, soient finalement finalement celles qui tombent sur un hôpital, une école maternelle ou la maison de repos de Tante Olga Barashnekov.

Une négligence diront les plus optimistes, une erreur de taille pour ménager l‘opinion publique dans la durée répondront les réalistes. Sans forces amies sur l'entièreté du pays, il peut être difficile de prendre des décisions tactiques éclairées pour frapper le pays, dans sa globalité et avec justesse. La difficulté des avions communistes à identifier des cibles, est d’autant plus dommageables que ces mêmes mouvances politiques sont les mêmes accusées d’avoir saigné Bridjesko. Voir de nouveaux communistes bombarder avec une précision relative, le pays, constitue un parallèle outrageant, avec l’héritage meurtrier du dernier régime rouge prodnovien. Une approximation et un amateurisme qui est donc de nature à minimiser son impact sur les cibles légitimes présentes dans le pays.

En l’absence de coordination étroite entre le lancement de frappes aériennes massives et la progression de troupes terrestres ennemies, l’offensive communiste et pharoise sur le Prodnov souffre d’une imperfection majeure, par son incapacité à justifier de la justesse de ses tirs et frappes air-sol, ce qui alourdit considérablement le tribut de la population civile dans ce hachoir à viandes que des autorités pharoises et communistes en totale connivence, affichent à la vue de tous. Libération et épuration du Prodnov se mêlent alors dans un dangereux puits d'eau trouble, dans lequel les assaillants semblent avoir déjà noyé leur âme et leur crédibilité.

Février 2010 - L'interruption du trafic ferroviaire et routier entre le Vogimska et le Prodnov, un vœu pieu uniquement cru de ceux qui le prononcent.

Avec plus de 300km de frontière terrestre entre le Vogimska et le Prodnov, l’idée qu’on puisse couper durablement et définitivement le trafic ferroviaire et routier entre les deux pays, est plus affaire de propagande que de réalités de terrain.
En effet, la capacité des forces aériennes communistes et pharoises, à interagir dans l’arrière du pays, considérant une ligne de front plus au nord et donc l’absence totale de forces terrestres au sud, est largement à relativiser s’accordent à dire les experts. Manque de précision, multiplicité des cibles voire méconnaissance des localisations de celles-ci, les obstacles sont encore trop nombreux pour cette aviation qui se pose pourtant en atout maître de l’invasion du Prodnov.

Presqu’aveugle et monopolisée sur la destruction de cibles terrestres innombrables, l’aviation actuellement employée pour détruire l’entièreté des voies routières et ferroviaires vers le Prodnov court derrière une chimère. Car en effet et ce au sein de nombreux, voir tous les systèmes ferroviaires, des itinéraires de secours sont généralement prévus pour faire face aux destructions ou aux interruptions d'une voie principale. Ces itinéraires alternatifs sont alors conçus pour permettre une certaine continuité du service ferroviaire en cas d’interruption ou de destruction sur son circuit principal.

Les voies ferrées “secondaires” qui se destinent à donner de la continuité au réseau ferré sont relativement nombreuses, pour offrir à ce même réseau, la possibilité de mettre en place des itinéraires bis. Qu’il s’agisse de voie de déviation pouvant être prévus à proximité de la voie principale ou de voies parallèles avec des connexions indépendantes entre lignes, des solutions appropriées sont donc calibrées, y compris en temps de paix, pour ne pas interrompre le réseau ferré dès qu’un sanglier traîne la patte un peu trop longtemps en traversant la voie. Et si le principe est vrai pour le réseau ferré, beaucoup s’accorderaient à dire qu’il l’est doublement voire triplement, pour le cas du réseau routier. Si vous mettez en parallèle de ces faits, les centaines de kilomètres de frontières reliant le Vogimska au Prodnov, vous mesurez rapidement l’ampleur de la tâche…

Couper l'ensemble des voies routières (et ferroviaires) de ce pays vers un autre à l'aide de frappes aériennes est extrêmement difficile, voire impossible, compte tenu du caractère vaste de ce dernier. Frapper toutes les voies avec des frappes aériennes précises, serait une tâche immense, peut-être même incommensurable pour qui se la projette. Et dans ce projet, il faudrait mobiliser d’importantes ressources de renseignements sur les cibles, d’avions et de munitions, dont l’absence près de la ligne de front serait notable pour les forces terrestres amies.

L’emploi de son aviation pour la destruction scrupuleuse de toutes les voies terrestres et ferroviaires serait relativement inefficace car elle est d’ordinaire employée pour détruire des cibles spécifiques et imposantes. Même si des routes étaient frappées avec succès, la neutralisation de celle-ci sur près de 300km de frontière est un coût en munitions et une immobilisation permanente de son aviation lourdement préjudiciable aux forces terrestres. Cibler et détruire sélectivement toutes les routes à travers le Prodnov ou même une région serait extrêmement complexe et coûteux pour la coalition invasive, car cela impliquerait de localiser et de frapper de nombreuses petites cibles dispersées sur une vaste étendue géographique et dont les substitut ne sont pas tous cartographiés ou visible à l’occasion d’une frappe aérienne, faut-il le rappeler, sans observateur au sol…

« On ne sort de l'ambiguïté qu'à son détriment. »


Coordination des Agences du Renseignement Pharois Extérieur
CARPE & BAGUE – plan d’action.
Plan d’action proposé par le Coordination des Agences du Renseignement Pharois Extérieur et le Bureau Armé pour la Guerre Extérieure et ratifié par les ministres de la Défense Pharois et Prodnovien.

Comme convenu, l’aviation prodnovienne frappera la première. Le gouvernement Malyshev assume sa fonction d’avant-garde et les risques éventuellement encourus. L’aviation pharoise suit derrière, prête à se porter en renfort en cas d’affrontement avec des appareils ou de la DCA ennemi, afin notamment de le prendre en tenaille.
La proximité des modèles d’avions chasseurs-bombardier de fabrication Aumérinoise et – dans le cas Pharois – d’inspiration Aumérinoise, ainsi que l’aide des pilotes Pharois apportée à la formation des pilotes Prodnoviens assure la coordination des deux armées.
La présence de modèle d’avions AWACS a également pour fonction de faciliter la coopération dans les airs.
Plan de frappe :

carte stratégique
Les frappes rouges ont pour fonction la destruction des infrastructures aériennes du Prodnov au niveau des grandes villes, les plus susceptibles d’opposer une résistance armée et de servir de garnison.
A ce stade il n’est pas encore clair de savoir si les forces de l’ONC sont toutes massées à la frontière, dans ce cas la prise de l’arrière-pays sera rapide, ou s’il faudra compter sur des forces plus en arrière.
Une série de frappes rapide aura lieu en Nazakraine occupée pour détruire la nouvelle ligne de chemin de fer récemment inaugurée et couper ainsi le Prodnov de tout renfort par voie de terre.

Les frappes orange ont pour fonction d’ouvrir le front pour l’infanterie en prenant pour cibles les infrastructures de défense (murs, barricades, tranchées), la destruction des pièces d’artillerie et d’éventuels blindés. Les casernes et bases militaires frontalières seront également pilonnées afin d’enclencher la désorganisation de l’ennemi et d’affaiblir ses positions en l’obligeant, avant même les premiers combats, à la prise en charge de blessés ou à des mouvements de troupes de repli qui l’exposerait. Par ailleurs, la marine opérera si nécessaire un tir de barrage depuis les côtes afin d'ajouter sa puissance de feu aux premières opérations, de sorte d'empêcher le repli du gros des troupes de l'ONC et forcer leur reddition.

La zone grisée entre Staïglad et Nevskigorod cristallise les interrogations stratégiques. Selon l’obstination que mettra l’ennemi à défendre ses infrastructures au frontières, les combats peuvent être intenses ou au contraire rapide, permettant la jonction des deux armées d’infanterie au niveau de Nevskigorod. Une fois la petite ville prise, les Pharois contrôleront la côte et pourront mettre en place rapidement un couloir humanitaire afin de commencer l’évacuation des civils de Staïglad et d’éventuels forces de l’ONC souhaitant se rendre.

Il est attendu que la prise de Staïglad pourra donner lieu à un siège, auquel cas le couloir humanitaire pharois sera nécessaire pour limiter les pertes civiles, et empêcher les assiégés de se cacher derrière la population. Le gouvernement Malyshev assume « les destructions matérielles nécessaires à la libération du pays ».

Toujours dans l’incertitude de la répartition géographique des forces ennemis et des soutiens dont notre offensive bénéficiera, la prise de l’arrière-pays est d’avantage objet de spéculations.

Deux cas de figures :

• les forces de l’ONC sont massivement regroupées au frontières et à Staïglad où elles se réfugieront pour tenir le siège. Dans ce cas là l’intensité des premières heures de l’affrontement devrait permettre à l’un des deux camps de prendre le dessus et s’emparer ou conforter ses positions sur le reste du territoire, peu défendu. Note qu'en cas de repli stratégique vers Staïglad, les forces de l'ONC pourront aisément être prises pour cible par l'aviation et leur retraite coupée (cf. frappes oranges).
• les forces de l’ONC sont d’avantage réparties sur le territoire auquel cas la prise de la côte et l’encerclement de Staïglad sera rapide, donnant à l’offensive un avantage à court terme pour le siège. La prise du pays restera néanmoins dangereuse car sujette aux guérillas. L’avantage aérien devrait cependant permettre de limiter les contre-offensives massives contre nos forces, obligeant les forces de l’ONC à se retrancher dans des villes stratégiques de l’arrière-pays, faute de pouvoir contrôler un territoire aussi vaste sans se regrouper et donc s’exposer à des frappes aériennes.

Dans tous les cas, la prise de ville stratégiques sera nécessaire à court termes, notamment pour permettre de servir de point d’appui logistique, de carrefours de ravitaillement et empêcher la mise en place pérenne de stratégies de guérillas. La guérillas urbaine est cependant un facteur à prendre en compte, tout dépendra donc, à nouveau, de l'éclatement des forces de l'ONC et du soutien des populations locales.

Compte tenu de la taille du pays qui permet à nos véhicules de le traverser (théoriquement) en un peu moins de 24h et de le survoler entièrement en moins de 3h, la majeure partie du Prodnov devrait tomber en quelques jours.
Selon les cas de figure, Staïglad pourra résister d’avantage en cas de défense acharnée. Le Premier Ministre Malyshev a assuré assumer les conséquences d’un tel siège.

Veuillez prendre note.


Capitaine Ilmarinen,
Directeur de la CARPE.

Après le discours historique de la Présidente Magdalena Sireskaya de nombreux jeunes hommes pro-démocrate se sont enrôlés dans la Garde Républicaine.

Situation vis-à-vis des contingents alliés de l’ONC : Aux premières heures de la menace, les forces du Yuhanaca et du Jashuria se sont repliés à Staïglad. Elles ont été rejointes plus tardivement par les forces du Lofoten. Grâce aux investissements internationaux qui ont permis d’améliorer les infrastructures de l’aéroport de Staïglad, une importante opération d’exfiltration des soldats et d’une partie des ressortissants étrangers a pu être menée en urgence. De leur côté, les Etats-Majors novigradiens et alguarenos ont publiquement fait savoir qu’ils refusaient de se replier avec le reste de l’ONC et d’abandonner le Prodnov à son sort.

Situation vis-à-vis des forces militaires de la RLP : Le commandement militaire de la RLP est dirigé d’une main de fer par le Général Serguei Gorbatov. C’est un ancien officier supérieur de l’armée rouge déchue du Prodnov qui s’est mis en retrait dès les premières heures de la révolution démocrate. La menace communiste de Peprolov n’ayant jamais été un secret, les forces de la RLP sont préparés au pire depuis déjà plusieurs mois. Néanmoins sans l’appui de la logistique de l’ONC, elles sont désorganisées et sous-équipées.

Description des forces militaires du Prodnov Libre :

- La Garde Républicaine (20 000 professionnels) : C’est la garde nationale du Prodnov Libre, elle accueille une vingtaine de régiments et est donc la force la plus nombreuse de la RLP. Elle se compose surtout de jeunes hommes qui se sont enrôlés au lendemain de la révolution de Staïglad. Des vétérans de l’ancienne armée rouge encadrent les recrues et tentent activement de les préparer aux manœuvres défensives d’une guerre totale.

- Les Corps spéciaux d’assaut (5 000 professionnels) : Le CSA est un corps spécial des forces de sécurité de la RLP. Il accueille de nombreux soldats expérimentés et repentis de l’ancienne armée rouge prodnovienne. Ce sont des spécialistes des manœuvres offensives et du combat de haute-intensité. Grâce à leur entrainement auprès des forces occidentales de l’ONC, ils utilisent maintenant des tactiques plus modernes au combat.

- La Légion Étrangère du Prodnov (5 000 professionnels) : Les hommes du Colonel Sokolov sont des volontaires internationaux expérimentés qui font office de corps d’élite pour les forces de sécurité de la RLP. Ils proviennent de différents pays d’origine : vogimskan, novigradiens, lofotenois, jashuriens, alguarenos…etc. La plupart sont fanatiquement anti-communistes et ne reculeront devant rien pour faire de nombreuses victimes chez les rouges.

Description des défenses frontalières : Les frontières occidentales et orientales ont été fortifiées avec l’aide des forces de l’ONC. Des clôtures, bunkers, canons, mines et barbelés entravent la voie ainsi que de nombreuses tranchées bétonnées qui accueillent des garnisons de soldats retranchés. [Demande de bonification défensive]

Répartition des troupes à la frontière occidentale avec Bridjesko :
• 5 000 professionnels (Garde républicaine) – ALI niv 1
• 1 500 professionnels (CSA) – ALI niv 4
• 1 500 professionnels (Légion Etrangère) – ALI niv 5
• 250 mitrailleuses lourdes niv 1
• 20 mortiers tractés niv 1
• 40 canons tractés niv 1
• 50 canons antiaériens niv 1
• 10 canons antiaériens mobiles niv 1
• 5 véhicules de transmission radio niv 1
• 5 véhicules radar niv 1
• 500 mines antichar niv 4
• 250 mines antipersonnel niv 4

Répartition des troupes à la frontière orientale avec Peprolov (sauf côté Markhiv) :
• 5 000 professionnels (Garde républicaine) – ALI niv 1
• 1 500 professionnels (CSA) – ALI niv 4
• 1 500 professionnels (Légion Etrangère) – ALI niv 5
• 250 mitrailleuses lourdes niv 1
• 20 mortiers tractés niv 1
• 40 canons tractés niv 1
• 50 canons antiaériens niv 1
• 10 canons antiaériens mobiles niv 1
• 5 véhicules de transmission radio niv 1
• 5 véhicules radar niv 1
• 500 mines antichar niv 4
• 250 mines antipersonnel niv 4

Répartition des troupes à Nevskigorod :
• 1000 professionnels (CSA) – ALI niv 4
• 100 mitrailleuses lourdes niv 1
• 100 mines navales niv 1
• 10 missile de croisière sol-mer niv 2 (tir sur la flotte pharoise dès son approche)
• 1 véhicule de transmission radio niv 1
• 1 véhicule radar niv 1

Situation des contingents novigradiens : Le haut-commandement de Novigrad est en désaccord avec la décision de repli du reste de l’ONC. Il n’envisage pas une seule seconde la honte d’une retraite totale et est prêt à sacrifier ses hommes pour défendre les populations locales et sa réputation. Deux compagnies du régiment d’élite voivoïde défendaient jusqu’ici la ville frontalière de Markhiv, une compagnie supplémentaire sécurisait la frontière vogimskane au sud de Gyrty. À l’approche de l’offensive communiste, l’une des deux compagnies de Markhiv s’est repliée à Staïglad. La compagnie de Gyrty s’est retirée pour sécuriser une base aérienne de campagne au sud de sa position. Le millier d’homme restant à Markhiv va défendre la ville jusqu’à la mort tout en profitant de deux tirs de missiles balistiques pour réduire les forces ennemis lorsqu’elles traverseront la frontière de ce côté.

Répartition des troupes novigradiennes à Markhiv :
• 1 000 professionnels (élite) – ALI niv 10
• 150 mitrailleuses lourdes niv 6
• 100 lance-missile antichar niv 1
• 20 lance-roquette niv 5
• 50 mortiers légers niv 3
• 2 véhicule de transmission radio niv 1
• 5 char d’assaut niv 1
• 200 mines antipersonnel niv 3
• 2 missiles balistiques niv 4 (tir depuis Novigrad – portée : 4000km)

Situation du contingent alguarenos : Dès le début de la menace d’invasion, le contingent de spécialistes alguarenos s’est retiré à Staïglad où il organise les défenses urbaines aux côtés des forces locales.

Carte tactique du haut-commandement militaire de la RLP :

"Nous sommes le 29 Mars 2010... Et le Prodnov s'embrase."







Nos experts et journalistes ne peuvent pas aujourd'hui donner de chiffres précis.
Les forces de la République Sociale du Prodnov (RSP) et ses alliés ont traversé la frontière avec la République Libre du Prodnov (RLP) avec près de 40 000 soldats. L'infanterie mécanisée et motorisée a, semble-t-il, percé sur l'ensemble des fronts afin de rejoindre des objectifs précis contournant les positions de la RLP.
Les combats ont été immédiatement de grande ampleur. Il y a fort à craindre que des pertes importantes en ces premiers instants de guerre ouverte dépassent les 5 000 pour la Garde Républicaine.

Les premières photos, vidéos, images de combattants qui se rendent face à la pression intense des armées combinées de la RSP sont à prendre avec prudence jusqu'à ce qu'elles soient vérifiées, néanmoins, les informations de la presse internationale semblent confirmer un repli massif des armées de la RLP vers la capitale.



En ces instants dramatiques, des rapports journalistiques sur le refus de combattre de certaines nations de l'ONC en appui de la RLP ne peuvent qu'abonder vers une stratégie défensive urbaine plutôt que faire front au sein d'une campagne qui laisserait la RLP à un désavantage en terme d'effectifs, de matériel, équipements, en volume et en qualité.

Mais les nouvelles de l'avancée terrestre fulgurante de la RSP n'a été possible que par une acquisition franche de l'espace aérien.
Il est rare... c'est peut être la première fois qu'un tel déploiement aérien a été visible sur l'ensemble du territoire. Les images filmées par des téléphones mobiles de mauvaises qualités montrent toutefois une dominance sans pareille des airs par la RSP, mais surtout par des avions de confection pharoise.

Il est encore trop tôt pour disposer de données précises, mais les grandes lignes sont là : une nouvelle phase de la guerre civile du Prodnov est enclenchée avec une force dépassant les attentes de nos experts.
Nous semblons bien loin de la taille des armées du conflit Pontarbelois, dernière grande bataille et campagne terrestre de ces dernières années.


A travers ce conflit opposant la RSP et la RLP, des forces internationales vont une fois de plus se faire face sur le champ de bataille.




MJ Conflit a écrit :« Maîtrisez les airs. Maîtrisez la campagne. Frappez forts soldats ! »

La RSP et l'allié Pharois auront déployé une force aérienne conséquente afin d'obtenir une suprématie des airs dans les quelques minutes précédent l'assaut terrestre. La victoire aérienne est presque totale et le dispositif anti-aérien de la RLP est amputé.
L'assaut préparé des troupes terrestres de la RSP et coordonné avec les forces ARIS et précédemment sous le commandement de la RLP (passés à la RSP) porte de francs résultats et un succès important, forçant au repli les unités frontalières. Tandis que les soldats de l'ONC suivent un plan anticipé de repli vers la capitale, la RLP n'obtient pas la possibilité de redéployer correctement ses troupes et se fait envelopper localement forçant des unités entières à la reddition.
Les forces Pharoises suivent derrière les combats menés par l'armée principale de la RSP et l'ARIS.


A retenir:

• Défense préparée +10%, justificatif RP possible : Les experts de l'ONC participent à l'élaboration du plan défensif frontalier
• Défense préparée, mais manque d'engagement au plan de la part de l'ONC. Communication inefficace, d -10%, justificatif RP possible : L'ONC et surtout l'état-major de la RLP ne communiquent pas convenablement (et en temps et en heure) sur le vrai plan défensif de repli vers la capitale
• Assaut de masse, effectifs importants (quantité + qualité) -20%, justificatif RP possible : Les forces de la RSP et Pharoises sont plus nombreuses, mais surtout disposent de meilleures équipements. La disproportion des capacités de nuisance désavantage la RLP en terrain ouvert

PERTES*




COMBATS AERIENSUNITÉS RSP + ARIS + PHAROIS + REBELLIONS DES ARMEES RLP ENGAGÉES :


RSP
80 chasseur-bombardier niv 1 (-4)

PHAROIS MERIROSVO
128 chasseur-bombardier niv 4
10 bombardier furtif niv 1
3 avion ravitailleur niv 6
3 avion ravitailleur niv 5
1 Avion radar Awacs niv 3
1 Avion radar Awacs niv 1
1 Avion de guerre électronique niv 2
1 Avion de guerre électronique niv 1

ARIS
26 canon antiaérien mobile niv 5 (-1)

RLP passée RSP
7 canon antiaérien mobile niv 1 (-2)
1 véhicule radar niv 1


UNITÉS RLP + ONC :


ALGUARENA
10 avion de chasse niv 6 (-4)
1 Avion radar Awacs niv 3
20 chasseur-bombardier niv 2 (-2)
1 Avion de guerre électronique niv 1

RLP
10 avion de chasse niv 1 (-9)
10 avion d'attaque au sol niv 1 (-6)
100 canon antiaérien niv 1 (-61)
25 canon antiaérien mobile niv 2 (-20)
20 canon antiaérien mobile niv 1 (-19)
1 lance-missile antiaérien mobile niv 2 (-1)
3 véhicule radar niv 2 (-3)
10 véhicule radar niv 1 (-9)




COMBATS TERRESTRESUNITÉS RSP + ARIS + PHAROIS + REBELLIONS DES ARMEES RLP ENGAGÉES :


RSP

5000 Armes légères d'infanterie niv 9 (-12)
10000 Armes légères d'infanterie niv 6 (-36)
5000 Armes légères d'infanterie niv 4 (-64)
3000 mitrailleuse lourde niv 5 (-12)
193 mortier léger niv 3 (-3)
25 mortier tracté niv 1 (-1)
25 canon tracté niv 1 (-2)
6 lance-roquettes multiple niv 1
8 hélicoptère léger polyvalent niv 1

ARIS

20000 Armes légères d'infanterie niv 8 (-45)
500 mitrailleuse lourde niv 4 (-12)
130 véhicule de combat d'infanterie niv 5 (-3)
50 transport de troupes blindé niv 6 (-7)
100 véhicule léger tout-terrain niv 8 (-1)
50 véhicule de transmission radio niv 7
40 véhicule radar niv 6
10 pont mobile niv 1
20 hélicoptère léger polyvalent niv 6
20 hélicoptère léger polyvalent niv 5
9 hélicoptère d'attaque niv 4
10 hélicoptère d'attaque niv 3
20 camion citerne niv 3 (-3)
90 camion de transport niv 3 (-3)
30 lance-roquettes multiple niv 5
200 lance-missiles antichar niv 6 (-35)
10 Char d'assaut niv 3

RLP passée RSP

250 Armes légères d'infanterie niv 5 (-25)
1000 Armes légères d'infanterie niv 4 (-60)
2000 Armes légères d'infanterie niv 1 (-112)
20 mitrailleuse lourde niv 1 (-6)
10 Véhicule blindé léger niv 2 (-2)
10 Véhicule blindé léger niv 1 (-4)
5 Transport de troupes blindé niv 1 (-2)
10 Véhicule de combat d'infanterie niv 1 (-4)
10 Camion de transport niv 1 (-2)
1 Camion citerne niv 1
7 Véhicule de transmission radio niv 1
1 Véhicule radar niv 1
250 Mine Antipersonnel niv 4 (-52)
350 Mine Antipersonnel niv 1 (-150)
250 mine antichar niv 4 (-12)

UNITÉS RLP + ONC :

ALGUARENA

6 véhicule radar niv 6 (-1)
12 Armes légères d'infanterie niv 9 (-2)
10 véhicule de transmission radio niv 7
12 Armes légères d'infanterie niv 9 (-2)
200 Armes légères d'infanterie niv 9 (-4)
45 transport de troupes blindé niv 6 (-1)

NOVIGRAD

1000 Armes légères d'infanterie niv 10 (-6)
20 lance-roquettes niv 5
150 mitrailleuse lourde niv 6
50 mortier léger niv 3
lance-roquettes niv 5
100 lance-missiles antichar niv 1
hélicoptère d'attaque niv 2
hélicoptère léger polyvalent niv 1
5 Char d'assaut niv 1
véhicule de combat d'infanterie niv 1
2 véhicule de transmission radio niv 1
véhicule radar niv 4
véhicule léger tout-terrain niv 3
200 mine antipersonnel niv 3
mine antichar niv 3
lance-roquettes multiple niv 1
bulldozer niv 1
2 missile balistique niv 4

RLP

5000 Armes légères d'infanterie niv 5 (-865)
5000 Armes légères d'infanterie niv 4 (-1213)
20000 Armes légères d'infanterie niv 1 (-3531)
1000 mitrailleuse lourde niv 1 (-45)
50 mortier tracté niv 1 (-37)
100 canon tracté niv 1 (-26)
25 Véhicule blindé léger niv 1 (-24)
20 Véhicule blindé léger niv 2[ b](-17)[/b]
20 transport de troupes blindé niv 1 (-9)
90 véhicule de combat d'infanterie niv 1 (-34)
5 camion de transport niv 2 (-2)
10 camion de transport niv 1 (-4)
5 camion citerne niv 1 (-3)
1 camion citerne niv 3 (-1)
2 bulldozer niv 2 (-1)
1 pont mobile niv 1 (-1)
1 véhicule de déminage niv 2 (-1)
2 véhicule de transmission radio niv 2 (-1)
10 véhicule de transmission radio niv 1 (-2)
3 véhicule radar niv 2 (-1)
10 véhicule radar niv 1 (-2)
25 hélicoptère léger polyvalent niv 1 (-6)
923 Mine Antipersonnel niv 4 (-398)
100 Mine Antipersonnel niv 1 (-43)
1944 mine antichar niv 4 (-61)
150 mine antichar niv 1 (-101)
1 missile balistique niv 1 (-1)



* les pertes de soldats annoncées sont assimilables à des combattants tués, blessés/mutilés, démissionnaires/déserteurs, capturés. Les ratios entre chaque cas sont à l'appréciation des parties concernées.

Guerre au Prodnov : les civils à la recherche d'un refuge


Des centaines de voitures en file indienne sur des routes d’ores et déjà encombrées. Sur le toit de certains véhicules, de grands sacs, faits à la hâte, bien souvent c’est tout ce qu’ils pouvaient emporter face à l’imminence des affrontements. C’est le sort de milliers d’habitants des Oblasts frontaliers, que ce soit depuis la baie de Nevskigorod, de Markhiv ou de Vimrast, tous fuient les violents combats entre les forces démocrates et communistes du Prodnov. Seulement quelques heures après l’offensive éclair de la RSP soutenue par la deuxième puissance mondiale pharoise, les réfugiés affluent en masse en direction de l’arrière-pays sudiste où la guerre n’est pas encore arrivée. Au-dessus d’eux, le vrombissement assourdissant des chasseurs de la RSP surprend régulièrement les civils terrifiés alors que les rumeurs des frappes aériennes dévastatrices sont dans tous les esprits. Femmes, enfants, vieillards, ils sont des dizaines de milliers à avoir tout abandonné pour tenter de survivre à ce nouvel épisode sanglant de l’histoire prodnovienne. Presque tous connaissent un proche, un frère, un père, contraint de se battre dans un camp ou l’autre. Tandis qu’un véritable drame se joue dans cette nation endeuillée et fragmentée par un énième conflit, la colère et l’incompréhension commence à se faire sentir au cœur de la foule. « L’ONC nous a abandonné ! » enrage une jeune femme dont le compagnon est resté en arrière avec le reste des jeunes hommes volontaires pour se battre. Tous craignent le carnage qui pourrait s’en suivre mais aussi la situation humanitaire terrible qui pourrait survenir dans un pays dont la survie alimentaire dépendait jusqu’ici majoritairement des exportations occidentales.

À Staïglad, l’immense capitale du Prodnov, bastion démocrate dans la région, ce sont des centaines de milliers d’habitants qui tentent de fuir la bataille à venir. Les principales artères routières de la commune complètement embouteillée, certains habitants décident d’abandonner leur véhicule sur place afin de rejoindre Gyrty ou St Brivnokov avant l’encerclement de la capitale. Sans le renfort de l’ONC, l’imminence d’une défaite totale est quasi certaine. De leur côté, les familles les plus aisés ont déjà suivi les soldats du Lofoten et du Jashuria lors de la grande opération d’exfiltration de ces derniers. D’autres familles craignant le retour du communisme dans la région se sont immédiatement dirigés vers la frontière vogimskane sous l’œil désespéré des gardes-frontières.

Prodnovien !
Accueille chaleureusement le soldat de la République Sociale


Contrairement aux putschistes de Staïglad, les forces de la République Sociale ne s'en sont jamais prises aux civils. Auprès d'elles, la population est enfin en sécurité. Le camarade Malyshev a assuré dans son discours du 29 mars n'avoir comme unique soucis que la réunification du pays et l'expulsion de l'envahisseur hors de nos terres. Camarade Prodnovien, si tu vois un soldat, parle lui en russe et accueille-le chaleureusement car grâce à son sacrifice, ton pays sera enfin libre !