Groupe paramilitaire "Bérets Rouges" : quelle est la fiabilité réelle de ce groupe de mercenaires ? Mercenaires Raskenois du groupe paramilitaire des Bérets Rouges, en train d'opérer des tirs de mortiers sur les positions des forces militaires communistes d'Okaristan, pendant la guerre civile Okaristanaise. La photo a été prise par un hélicoptère d'attaque de l'armée de l'air Loduarienne lors de la campagne de bombardements aériens opérée par nos forces aériennes en Okaristan. 439 morts sur 1000 hommes mobilisés. Ce sont les chiffres : lors de la première opération extérieure du groupe paramilitaire "Bérets Rouges", un peu moins de la moitié des mercenaires d'origine Raskenoise sont morts au combat, ou sous les bombes Loduariennes. Ainsi, une question se pose véritablement : ces mercenaires sont-ils fiables, sur le plan tactique comme opérationnel. Car en effet, 439 morts sur 1000 hommes au premier engagement, c'est beaucoup.
Tout d'abord, il convient de noter que l'étude de la fiabilité de ces mercenaires ne repose que sur le conflit Okaristanais. Lors de ce conflit par ailleurs, sur la totalité des pertes ennemies, les mercenaires Raskenois représentent la plus importante part, pour plusieurs raisons : la première étant la nature des combats qui s'y sont opérés. Nos forces aériennes, qui ont infligés ces pertes au forces des Bérets Rouges, ont opéré uniquement des bombardements tactiques sur les forces ennemies. La réussite de cette opération, répondant au nom de "Scalpel Bleu", n'est plus à démontrer, et justement, il est donc de mise que c'est cette opération qui a mené à de pertes aussi importantes en Okaristan pour les Bérets Rouges. Néanmoins, il convient également de rajouter quelque chose : ce sont les seuls Bérets Rouges qui ont aligné une forces antiaérienne face à nos forces, avec la reconnaissance radar qui va avec. Par ailleurs, ont estime que les pertes qui ont été infligés à nos forces aériennes par la force antiaérienne Raskenoise s'élèvent à 6 aéronefs tout confondu, dont 4 hélicoptères et 2 avions. Cependant, si les forces des Bérets Rouges ont réussi à aligner une puissance antiaérienne certaine face à nos forces, l'efficacité de celle-ci laisse à désirer. Les témoignages de canons antiaériens visant dans le vide ou au mauvais endroit, filmé par nos drones de reconnaissance, sont assez éloquent, et bien que les Bérets Rouges aient déployé une reconnaissance radar efficace, aucune communication radio digne de ce nom a été mise en place, ne permettant pas une efficacité aux forces antiaériennes Raskenoises, sans compter les frappes calculée qui furent opérés sur les canons antiaériens des Bérets Rouges par nos forces aériennes. Sur 50 canons antiaériens, 42 ont été détruits, et sur 20 radars, 4 ont passé l'arme à gauche. Sans compter le nombre de soldats opérant dans ces véhicules qui sont morts.
Dès lors, une force paramilitaire, qui plus est fait valoir ses mérites dans le monde et se déploie dans plusieurs pays en échange d'un beau sac de billets, incapable de structurer ses défenses ou même juste de se défendre face à n'importe quel ennemi peut facilement faire douter de sa fiabilité opérationnelle. Mais cela ne semble pas arrêter de nombreux acteurs étatiques du monde entier qui n'hésitent pas à payer ces mercenaires à prix d'or, sacrifiant leur propre souveraineté militaire, sans regarder la réalité opérationnelle.