21/02/2015
16:44:03
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Guerre en Chérchérie

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Rapide résumé des évènements :

En Septembre 2009, la République Populaire de Chérchérie obtient son indépendance après plusieurs années de conflit ethnique larvé contre la République de Tchérie. Le mouvement indépendantiste, largement phagocyté par des mouvances eurycommunistes, nomme Lenisk Grande Guide du peuple, et ce dernier entame la transformation du régime en république soviétique dure, ainsi qu'un rapprochement avec la Nation Communiste de Loduarie et l'UNSC. L'UNSC est rejoint après un référendum et la Loduarie installe plusieurs bases militaires sur le sol chérchérin.

Malgré quelques déclarations favorables aux mouvances libertaires telles que celle du gouverneur de l'Oblast de Chérnigosk, Artyom Hafalen, appelant la république à armer les combattants du Valheim, l'Administration Judiciaire de l'Égide en Mährenie reste très méfiante du nouveau gouvernement chérchérin. La Mährenie s'engage au côté de la Tchérie dans des actions humanitaires visant à limiter l'impact d'une crise des réfugiés à la frontière chérchérinne en livrant des vivres et en construisant des camps modernes et salubres, elle profite de cette occasion pour infiltrer des espions en Chérchérie.

La dite crise s'intensifie radicalement lorsque dans les premiers mois de 2010, le gouvernement chérchérin divulgue plusieurs lois racistes visant à repérer et expulser les tchérins du sol de la république. Finalement, après plusieurs mois d'absence du "grand guide du peuple" Lenisk, une révolution éclate, notamment menée par Ivan Lovitch, chef de la police. Ce dernier a en fait préparé son coup de longue date avec l'aide d'agents de l'Inquisition qui ont organisé un transfert d'équipement kah-tanais de pointe. La situation reste cependant précaire pour les insurgés. L'aviation Loduarienne présente sur le territoire oblige notamment les insurgés à s'en tenir à des tactiques de guérillas, n'hésitant pas à utiliser des bombes au phosphore blanc pour éliminer les insurgés.

Dans ce contexte, et conformément à des plans établis de longue date, le Grand Kah décide à son tour d'intervenir par le biais de son inquisition. Pour les libertaires ça ne fait pas débat : Lenisk doit tomber.

Quelques postes utiles :

- Forces déployées par le Grand Kah dans la région.
- Matériel livré aux insurgés en préparation à la guerre civile.

- Déploiement de forces loduariennes dans la région.
- Renforcement (?) des forces loduariennes dans la région.
- Début de l'intervention loduarienne en faveur du gouvernement Lenisk.
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Cette fois vous avez droit de vous inquiéter.

Il existe un aphorisme, dans l'armée kah-tanaise, selon lequel "là où se trouve un régime autoritaire en difficulté se trouve aussi des loduariens". L'aphorisme, une fois encore, se justifiait, et cela n'apportait pour ainsi dire aucune satisfaction aux kah-tanais en faction en Mährenie. Ce pour deux raisons.

- Premièrement la Loduarie représentait, qu'on le veuille ou non, une puissance militaire capable, ce qui voulait dire que leur présence en Chérchérie pouvait transformer insurrection en bain de sang et complexifier à l'extrême ce qui aurait été en d'autres circonstances une révolution sans histoire.

- Ensuite, pour une part importante des kah-tanais, les loduariens restaient des camarades, et chaque occasion qu'il était donné à la Grande Union et à la Nation communiste de s'opposer représentait un petit drame, reproduction grandeur champ de bataille des éternels débats internes aux mouvements de gauches, qu'on eut préféré cantonné à un degré strictement théorique.

Hélas, en politique il n'existait pas d'amis, que des intérêts. Et l’intérêt du Grand Kah était de voir le régime de Lenisk disparaître. Que ce dernier reçoive le soutien armé d'une nation partenaire ne changeait rien à cet état de fait. Par conséquent on se préparait à la confrontation. Ou, plus précisément, on savait qu’on partait en guerre, et qu’il y aurait donc de la casse, des morts et du sang versé. Le but était de limiter les destructions matérielles et les pertes humaines, dans la mesure ou la stabilisation de la Chérchérie n’était pas un objectif vital pour la Confédération, mais une simple continuation de sa politique de stabilisation de l’Eurysie centrale. Politique dont les buts stratégiques à long terme pouvaient encore sembler assez obscurs au-delà du relatif capital sympathie qu’elle permettait d’engranger auprès des pays de la région.

De toute façon l’Inquisition en Mährenie avait pleinement acceptée la militarisation de ses effectifs, et ce qui était à l’origine une unité d’intervention spéciale avait largement recrutée parmi les volontaires kah-tanais, mähreniens et eurysiens, devenant un authentique ordre de chevalerie moderne, donc les effectifs importants étaient entièrement tournés vers la protection d’un idéal flou de justice, que l’on pouvait en gros résumer aux intérêts nationaux de l’intercommunale kah-tanaise. Pour autant, cette chevalerie communaliste avait attirée de nombreux hommes et femmes, et la Mährenie, dans son processus lent et assez inéluctable de communalisation, avait probablement réalisé que l’Ordre Rosique avait simplement été remplacé par une autre organisation para-religieuse, dont le credo était simplement plus intéressé par le bien-être de ses ouailles que par le respect d’un quelconque texte mystique.

Concernant la Chérchérie, maintenant, il n’était pas question de déployer les quarante huit-mille hommes du corps d’armée de l’Égide. Une telle entreprise aurait demandée une logistique que ne possédait pas l’organisation. Sauf bien entendu si elle se décidait à passer par la terre, traversant les quelques kilomètres séparant sa frontière de celle de la république populaire. Le seul souci était que la Tchérie risquait de désapprouver une telle incursion, et qu’il n’était pas dans l’intérêt de la Mährenie de déplaire à ses voisins. Non. L’opération serait menée par le cœur battant de la force inquisitoriale. La capitaine-Inquisitrice et protectrice de la Mährenie au nom de l’Égide Godeliève Thiers, et le lieutenant-colonel Jebel Condé avaient travaillés sur les plans ensemble, constatant de sa relative similarité avec celui qui leur avait permis de saisir la Mährenie.

Le 4ᵉ régiment d’aviation légère de la Garde Communale, désormais décoré du surnom "Libérateur" en mémoire de sa victoire contre l’Ordre Rosique, serait au cœur du dispositif. Les moyens du Régiment s’étaient vu largement accrus en préparation de l’opération et c’étaient des hélicoptères de combat et de transport modernes qui avaient fait le voyage depuis le Paltoterra jusqu’au territoire enclavé de Mährenie. Un matériel surclassant de loin tout ce qui se produisant dans la région. Comme si cela ne suffisait pas, un groupe opérationnel de l’armée de l’air – dit "Groupe ad hoc Quetzalcóatl" et composé de trois escadrons – avait été déployé pour assurer à la force aéroportée une relative sécurité dans le cadre de ses opérations. Si les forces du 4ᵉ Libérateur avaient principalement expérimentées des opérations musclées tel que des prises de ville ou d’infrastructures clefs de nuit, l’ajout d’une force de soutien aérienne était un plus indéniablement apprécié des troupes. Dernier ajout assez inattendu à l’opération, des officiers ushong qui étaient venus, avec quelques interprètes ou une solide formation en langues latines, observer les méthodes d’assaut aéroportées du Grand Kah. On les surnommait les "élèves doués", ce qui était plutôt affectueux de la part d’un peuple qui plaçait l’éducation au centre d’une grande partie de son identité.


Matériel déployé :

4ᵉ régiment d’aviation légère :
  • 10 Hélicoptère léger polyvalent de niveau 6
  • 14 Hélicoptère d'attaque de niveau 2
  • 10 Hélicoptère d'attaque de niveau 4
  • 5 Hélicoptère de transport moyen de niveau 4
  • 10 Hélicoptère de transport moyen de niveau 7
  • 5 Hélicoptère de transport lourd de niveau 5
  • 2 Hélicoptère de transport lourd de niveau 1
  • 700 soldats utilisant des armes d'infanterie de niveau 9, ils seront déployés dans un premier temps.

  • 4000 soldats utilisant des armes d'infanterie de niveau 9, ils seront déployés dans un second temps.
  • 5 Transport de troupes blindé de niveau 2, ils seront déployés dans un second temps.
  • 10 camion de transport de niveau 3
  • 4 Camion-citerne de niveau 3

Groupe ad hoc Quetzalcóatl :
  • 10 Chasseur-bombardiers de niveau 4
  • 20 Avion d'attaque au sol de niveau 1

Matériel présent en Chérchérie, saisi par les unités aéroportées une fois en position.
  • 10 000 armes légères d'infanterie de niveau 8
  • 200 lance-roquetttes niveau 7
  • 200 lance-roquetttes niveau 7
  • 200 Lance-missiles antichar niveau 7
  • 400 Mitrailleuse lourde niveau 8
  • 200 Mortier léger niveau 6

Stratégie de l'opération :

Le groupe ad hoc Quetzalcóatl sera déployé durant la nuit du 18 Janvier avec pour mission d'attaquer les forces Loduariennes par surprise. Les kah-tanais ne savaient pas si les loduariens se préparent à leur intervention, mais partent du principe que les récentes opérations de bombardement indiscriminés menée par ses forces dans la région tendent à démontrer qu’elle considère avoir les mains libres pour sauver le régim. L’aviation aura donc pour objectif d’attaquer les pistes où sont situées les avions ennemis. Dans un premier temps il ne sera pas question de détruire les appareils, mais plutôt de ruiner les pistes en larguant des bombes de façon à empêcher tout décollage de la part des forces loduariennes. Cette première opération sera suivie d’un ultimatum : les loduariens recevront pour instruction de ne pas quitter leurs camps et de se préparer à quitter le pays. L’alternative étant une confrontation armée avec les forces kah-tanaise.

Dans un second temps, l’aviation kah-tanais sécurisera le ciel, abattant les aéronefs loduariens si nécessaire, repérant les positions gouvernementales dans le pays sinon. Cette étape de sécurisation ouvrira la voie aux forces 4ᵉ régiment d’aviation légère dont les forces se dirigeront d’abord en direction de Onsburg pour capturer son aéroport et plusieurs infrastructures clef tels que les anciens ministères et locaux de l’armée gouvernementale. Les hélicoptères auront pour mission de cibler les blindés du gouvernement et d’imposer l’immobilité à son infanterie une immobilité. Une fois Onsburg capturé, le matériel caché sur place par les insurgés pourra être distribué aux six-cent hommes de la force kah-tanaise qui se retrancheront en attendant que les appareils de transport du régiment acheminent quelque quatre mille soldats supplémentaires, ainsi que des véhicules de transport et des blindés qui serviront notamment à garder le contrôle de la capitale. Durant cette étape, les pilotes du groupe ad hoc Quetzalcóatl retourneront en Mährenie pour faire remplir les réservoirs et les stocks de missiles de leurs appareils.

Ils seront remplacés par des pilotes frais qui repartiront ensuite mener une dernière opération visant à capturer la cité idéale du Régime, Leniskgrad, où on suppose que se terre le gouvernement.
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Discours d’Ivan Gradvosk-Moskva, et situation de la Chérchérie

Ivan Gradvosk-Moskva a écrit :« Cher citoyens de la rébellion contre l’ancien gouvernement centrale,
J’appelle à faire une trêve entre nos armées afin de soigner les blessés et de préserver le peuple dont j’ai la charge. Cela fait maintenant presque un mois que ce conflit dure, et je ne peux laisser voir la Chérchérie tomber entre les mains de communistes terroristes, ou alors tomber entre les mains d’autres organisations affreuses.
J’appelle également les chefs de la révolte a se joindre au palais de Onsburg afin de négocier un traité de paix et ainsi mettre fin à ce conflit fratricide. Je sais qu’en temps que fils de notre défunt tyran, vous me voyez comme un monstre, comme un dictateur qui veut refaire revenir la dictature dans le pays, cependant, je ne suis pas comme lui, je rêve de voir la Chérchérie devenir puissante, devenir prospère. Je veux la voir grandir et prendre une place importante à l’internationale.
Ne refuser pas de venir à cette rencontre, je ne veux plus voir mon peuple mourir sans que je puisse faire quelque chose. Penser à vos familles, vos amis, mais surtout au pays que ce conflit nous laissera. Si nous ne faisons rien, la Chérchérie tombera, et avec elle tombera le rêve de nos défunts ancêtres qui voulaient que les Chérchéres soient libres !
Unissons nous tant qu’il est temps, et créons ensemble une nation plus démocratique et plus stable pour les générations à venir.
J’en appelle donc aux Tchéres, nos frères ennemis : Venez nous soutenir, vous qui voulez vous rachetez du génocide Chérchére, vous qui nous voyez mourir pour une querelle idiote. Si vous voulez que nous ne vous détestons plus, alors aidez nous, par des différents moyens, que ce soit avec une aide humanitaire, que ce soit en envoyant vos hommes soutenir les nôtres, que ce soit en accueillant les migrants du conflit, les orphelins, les femmes, les enfants. J’en appelle à la solidarité entre les peuples de cette région, déjà trop tourmenté par les conflit régionaux. Le grand-Kah peut être une solution, mais je pense que la meilleur reste celle de la libération solitaire, sans aide d’une puissante nation !
Rejoignez nous et refondons ensemble la Chérchérie telle que nos pères et mères la voyaient !
Vive la République de Chérchérie, vive la Démocratie ! »

Pendant que le dirigeant du pays faisait son discours, la guerre frappait de plein fouet le pays divisé actuellement en trois camps :

Carte de la Chérchérie le 04/02/2011

Premièrement, il y a les restants de l’ancien gouvernement, en rouge sur la carte, se situant principalement vers les terrains des bases militaires Loduariennes et dans le nord d’Onsburg.

Communistes
Drapeau des forces Communistes

Matériels:
  • 1000 soldats professionnels
  • 10 000 armes légères d’infanterie niveau 3
  • 10 lance-roquettes niveau 1
  • 10 lance-missiles anti-char niveau 1
  • 5 mortiers tractés niveau 1
  • 5 canons tractés niveau 1
  • 10 véhicules de transports de troupes blindés niveau 1
  • 100 véhicules de combats d’infanterie niveau 1
  • 2 hélicoptères de transport moyens niveau 1

  • Ensuite, on retrouve les forces républicaines, dirigé donc par Ivan Gradvosk-Moskva, le fils de Lénisk. Leurs territoires ( marqué en jaune mauve sur la carte ) recouvrent une grande partie du pays. Ils contrôlent les deux plus grandes villes du pays, à savoir Onsburg et Léniskgrad.

    Républicain
    Drapeau des forces Républicaines

    Matériels :
  • 9000 soldats professionnels
  • 20 000 armes légères d’infanterie niveau 4
  • 20 000 armes légères d’infanterie niveau 3
  • 2 000 armes légères d’infanterie niveau 1
  • 990 lance-roquettes niveau 1
  • 910 lance-missiles anti-char niveau 1
  • 35 mortiers tractés niveau 1
  • 35 canons tractés niveau 1
  • 70 véhicules de transport de troupes blindés niveau 1
  • 800 véhicules de combats d’infanterie niveau 1
  • 38 hélicoptères de transports moyens niveau 1

  • Enfin, on retrouve les rebelles pour remettre la république populaire dans le pays, principalement situé à l’ouest du pays ( en noir sur la carte ). Ils contrôlent Nomkosol, la plus grande ville à l’ouest.

    Rebelles
    Drapeau des forces rebelles

    Matériels :
  • 20 000 réservistes ( HRP : pris dans les forces Kah-tanaise pour le RP )
  • 10 000 armes légères d’infanterie niveau 8
  • 10 000 armes légères d’infanterie niveau 1
  • 400 mitrailleuses lourdes niveau 8
  • 200 mortiers légers niveau 6
  • 400 lance-roquettes niveau 7
  • 200 lance-missiles anti-char niveau 7
  • 80 lance-missiles anti-char niveau 1
  • 10 mortiers tractés niveau 1
  • 10 canons tractés niveau 1
  • 20 véhicules de transports de troupes blindés niveau 1
  • 200 véhicules de combats d’infanterie niveau 1
  • 10 hélicoptères de transports moyens niveau 1
  • 2301
    Trêve entre les forces « rebelles » et les forces républicaines :

    Après quelque jours de discutions entre les forces rebelles et les forces républicaines suite au discours d’Ivan Gradvosk-Moskva, une trêve de 20 jours a été mis en place afin de soigner les civiles, les soldats et d’évacuer les potentiels futur terrains de conflit sur le front. Les deux camps cependant continuent de lutter contre les communistes au sud qui résistent encore avec l’aide des forces Loduariennes. Cependant, une rumeur circule comme quoi les forces communistes et les soldats Loduariens seraient en train de se replier en Loduarie.

    Carte
    Carte de la Chérchérie et des différents camps le 04/03/2011

    Les deux camps se sont entendus afin de discuter sur un moyen de mettre pacifiquement fin au conflit en mettant en place une rencontre entre tous les belligérants impliqué dans la guerre civile tel que les républicains Chérchéres, les Rebelles Chérchére et la Marhënie.
    Cette rencontre aura lieu le 10/03/2011 à Onsburg.

    Durant ces quelques jours avant les négociations, les soldats et combattants en profitent pour se reposer et aider l’aide humanitaire envoyé depuis la Marhënie, Sylva et de la Tchérie. Plusieurs infrastructure du pays ont été également touché, donc il faudra de la main d’œuvre afin de les réparer.
    On pense déjà au réparation car l’espoir d’une paix semble sur le point de se réaliser. Les deux camps, ayant des points communs, comme celui de la démocratie, permet mieux d’envisager la fin de ce conflit qui dure depuis plusieurs mois maintenant.



    Cependant, à travers cette heureuse paix qui semble se dessiner, une information des plus intéressantes a fuité, cette information concerne ni plus ni moins que le gouvernement Tchére lui-même !
    Une ligne de télécommunication secrète entre Léniskgrad et Bennesbourg a été découverte par le service des renseignements de l’O.L.C. ( Organisation de la libération de la Chérchérie ). Cette nouvelle a rapidement mis un climat de suspicion avec ceux qu’ils rencontreront dans quelque jours. Plusieurs questions se sont alors posé dans le quartier général des forces rebelles à Nomkosol.
    Pourquoi le gouvernement Républicain était en contacte avec la Tchérie, mais était elle déjà là lorsque Lénisk dirigeait ?
    Ainsi, est ce que la Tchérie aurait refuser d’intervenir en Chérchérie car ils savaient que le gouvernement Républicain allait renverser le régime de Lénisk ?
    Ils auraient donc soutenu Ivan Gradvosk-Moskva durant tout ce temps ?
    Pour le moment, malgré la découverte de cette information, les chefs de la résistance n’allait pas laisser cette nouvelle détruire une potentielle paix pour le pays.
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    ARBITRAGE DE L'ESCARMOUCHE ENTRE LES FORCES AEROPORTEES MÄHRENIENNES ET LA DCA LODUARIENNE

    ARBITRAGE CONFLIT

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    « J’aime l’odeur du Loduarien au petit matin. »


    MJ Conflit a écrit :« Feu. »
    « Mais ce sont nos alliés ? »
    « Pour la forme, lieutenant, pour la forme. »

    Anéantie, la DCA Loduarienne devra malgré tout envoyer une lettre d’excuse à la veuve du pilote dont l’hélicoptère s’écrasa dans les montagnes. « Un tir héroïque de nos soldats qui ne se débandèrent pas malgré leur infériorité numérique évidente ! » dira le général Loduarien. « Une panne système malheureuse » expliquera pour sa part Loduariya sovyetskaya, générale Kah-Tanaise déployée à la tête des opérations.


    A retenir:

    • TENTATIVE POUR LA FORME DE STOPPER LE DÉPLOIEMENT AEROPORTE DE MÄHRENIE

    • Valeureux état-major Loduarien +12%, justificatif RP possible : héroïsme naturel Loduarien
      Loduariya sovyetskaya -12%, justificatif RP possible : mauvaise maintenance du matériel


    PERTES*


    UNITÉS MÄHRENIENNES ENGAGÉES :

    10 Hélicoptère léger polyvalent de niveau 6
    14 Hélicoptère d'attaque de niveau 2 (-1)
    10 Hélicoptère d'attaque de niveau 4
    68 Soldats professionnels (-2)


    UNITÉS DCA LODUARIENNES ENGAGÉES :

    10 canons antiaériens (-10)
    5 canons antiaériens mobiles (-5)
    4 canons antiaériens lance-missiles (-4)
    42 Soldats professionnels (-42)

    * les pertes de soldats annoncées sont assimilables à des combattants tués, blessés/mutilés, démissionnaires/déserteurs, capturés. Les ratios entre chaque cas sont à l'appréciation des parties concernées.
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