Lucie Calbert :
Cher Téléspectateur et téléspectatrice bonjour et bienvenue dans C dans l'ère du temps sur Teyla 2.
Le Premier ministre Antoine Carbasier vient de remettre sa démission à la Reine. Il n'avait pas le choix des suites de la motion de censure déposée et votée par l'opposition. Un constat amer pour l'homme qui surnomme "Le diplomate" tant ses réussites sur la scène internationale sont vantés. Le parti Les Royalistes se retrouve dans une situation compliquée des suites du vote de la motion de censure qui dépose le Premier ministre et son gouvernement. Le Premier ministre avait enclenché l'article de la constitution permettant d'engager l'honneur de la Reine sur la Loi de Sécurité. Cela permet au gouvernement d'outrepasser l'avis du gouvernement pour faire adopter un projet de loi. Une loi décriée par les oppositions de tout bord. Les uns dénoncent une loi brutale qui fera qu'augmenter les violences policières et la discrimination tant dit que les autres dénoncent une loi coûteuse et financée par la dette tout en ne visant pas juste. Seul le Parti Royaliste était favorable à cette loi, ce qui permis à l'opposition de qualifier la loi comme une loi flattant l'extrême droite.
Les oppositions en position de force face à un gouvernement minoritaire ont refusé toute négociation comparée à d'habitude notamment pour le Mouvement Royaliste et d'Union. Les oppositions ont réclamé l'abandon du projet de loi. Le Premier ministre et le ministre de l'Intérieur ont tout de même déposé le projet de loi au parlement, à l'Assemblée nationale. De nombreux amendements des oppositions venant de la gauche sont acceptés grâce à une alliance inédite entre les partis républicains et les partis royalistes. Les oppositions font bloc et rejettent le texte de loi dans son ensemble. Alors le Premier ministre a enclenché, il y à quarante-huit heures, l'article 54-4 de la constitution devant des députés médusés.
Sous les huées continue le Premier ministre tente de faire valoir ses arguments "Une loi pour protéger nos concitoyens. Une loi qui mettra les citoyens honnêtes sous la protection de l'état face aux dealers, au grand banditisme." Mais cela ne convint l'opposition qui dépose une motion de censure dans les deux heures suivantes. Les oppositions ne retiennent pas leurs coups dénonçant "Une volonté d'autoritarisme claire de la part du gouvernement outrepassant la souveraineté du peuple" selon la chef du groupe Mouvement Royaliste et d'Union. À droite, on dénonce un Premier ministre "Hors des réalités et hors du champ démocratique". Plus étonnant, dans le parti de la majorité des voix s'élèvent et appellent le Premier ministre à démissionner. Trois cent seize, c'est le nombre dé député qui ont voté pour cette motion de censure, dont trente deux venant du parti d'Antoine Carbasier. Le gouvernement tombe, la majorité semble divisée. Nous tenterons de répondre à la question suivante : Antoine Carbasier, une chute inévitable ?
Nous accueillons pour répondre à vos question Pierre Lacombe ancien Premier ministre de mille neuf cent quatre vingt à mille neuf cent quatre seize, spécialiste du parti Les Royalistes et président de l'association "A Cœurs ouvert" qui œuvre pour une meilleure prise en charge des patients subissant une greffe. Clémentine Roberval, auteur de "La recomposition invisible de la société" et professeur de droit public à l'Université de Gèvres et Mohamed Youss professeur en science politique, ex avocat et directeur adjoint de l'institution de sondage VoxPopulus. Merci à vous d'être présent pour cette émission et de tenter de répondre à la question de cette émission.
Tout les intervenants disent bonsoir tout en inclinant la tête ou bougeant les mains.
M.Lacombe, des hués, des critiques très dures envers le gouvernement, voilà la scène que nous avons vu à l'Assemblée nationale. C'est une scène rarement dans l'Assemblée nationale. Pourquoi la décision du Premier ministre a-t-elle mis le feu aux poudres ?
Pierre Lacombe :
Pour tant de choses, mais je pense que la première raison, c'est une certaine forme de brutalité de la part du gouvernement. Une brutalité nouvelle, non-habituelle pour la démocratie Teylaise. Le déclenchement de l'article 54-4 n'est pas nouveau pour notre démocratie, mais cette procédure fut enclencher uniquement dix fois auparavant et ceux uniquement pour les textes budgétaires. Pour les gens plus consciencieux, la procédure fut utilisée lors du premier mandat de Bernard Lavoile, là aussi un gouvernement avec une majorité relative. Ici, la procédure est très différente dans son utilisation. Le gouvernement tente de faire passer une loi. La coutume de la démocratie Teylaise c'est de dire qu'importe la composition du parlement, de la chambre basse la loi passe par le Parlement et nul ne pourra remettre en cause cela. Toutefois, c'est une coutume et non une obligation, ce qu'a fait le gouvernement est tout à fait constitutionnel. Cela n'est pas non plus le premier gouvernement à avoir pensé à utiliser l'article 54-4 pour fait adopter une loi. Mon gouvernement y a pensé, il y a un temps. Mais nous y avons renoncé pour diverses raisons. C'est tout de même le premier gouvernement à faire adopter une loi et non un texte financier par ce fameux article.
Mohamed Youss :
Ce que dit Monsieur Lacombe est très juste. La méthode n'est en soit pas choquante. Ce qui choc est la nature du texte adopté. L'article 54-4 permet au parlement de rejeter cette procédure. Il faut demander une lettre au roi appuyant les arguments du gouvernement. Pour savoir pourquoi il a déclenché un tel procédé. Ensuite seulement le Parlement pour rejeter la procédure aux deux tiers du parlement. Il est clair ici que l'opposition n'aurait pas eu le nombre de voix nécessaire pour atteindre les deux tiers. Du coup, l'opposition a mis sur la table une motion de censure.
Lucie Calbert :
Clémentine Roberval, cette motion de censure, arrive-t-elle au bon moment non pas pour le gouvernement, mais pour l'opposition ? Les médias n'arrêtaient pas de se demander non pas si, mais quand cette motion de censure aller arriver.
Clémentine Roberval :
C'est à travers cette motion de censure et le contexte qu'on voit que la droite royaliste au pouvoir est battue tactiquement et politiquement par l'opposition. Les médias ont raison de mettre cette question sur la table. C'était la véritable interrogation de tout le monde, dans chaque état-major de chaque parti politique. Quand est-ce que la gauche aller faire tomber le gouvernement pour avoir de nouvelles élections. La guerre entre le Premier ministre et son ministère de la Défense, de plus en plus visible médiatiquement à certes renforcé l'image du Premier ministre, mais elle a totalement détruit l'image du parti. Sous le regard de Monsieur Youss, le parti chute de huit points en deux mois à la question "Les Royalistes est-il un parti de gouvernement ?" Le parti s'effondre drastiquement dans de nombreux indicateurs primordiaux.
Pour le Mouvement Royaliste et d'Union il y avait deux choses à prendre en compte, il me semble. La première chose, c'est le contexte de la déposition de la motion de censure. Il faut que cette motion ne paraisse pas une manœuvre politique pour regagner le pouvoir auprès des Teylais. L'autre chose, c'est tout simplement se préparer à une campagne. Le parti, était-il prêt dans son organisation pour une campagne électorale et très certaine une primaire ? Il faut préparer les militants, avoir des équipes sur les réseaux sociaux. Il faut préparer toute une équipe de communicant, de comptable et tout simplement choisir les candidats du parti dans chaque circonscription. Cette dernière chose, de la part de nombreuses sources internes, est réglées en interne depuis deux semaines. Cela fait deux semaines que chaque candidat sait qu'il sera candidat. On leur a demandé de préparer leur réseau de militants, etc. Concernant le reste, c'est le gouvernement qui a offert sur un plateau la raison parfaite pour une motion de censure et de nouvelle élection. Les Teylais sont contre cette loi pour cinquante-deux pour cent d'entre eux, et ils sont contre la méthode employée pour quatre-vingt-six pour cent. Ce sont des nombres élevés. Il est clair que le Mouvement Royaliste et d'Union a bien fait d'attendre ce moment pour passer à l'action si j'ose dire.
Lucie Calbert :
Maintenant, que le gouvernement est déposé, deux questions primordiales se posent. Quel avenir pour Antoine Carbasier et Gary Hubert ? Quel avenir aussi pour le Parti Les Royalistes. Trente-deux députés de la majorité ont voté cette motion de censure. Trente-deux sur deux cent quarante-neuf. Le chef de groupe Les Royalistes à l'Assemblée nationale à immédiatement après le vote demandé leurs exclusions. Le ministre de l'Intérieur, la ministre de l'éducation ont fait la même demande quelques heures après sur les plateaux télé. Enfin, le président du parti n'a pour l'instant rien dit. Il se passe quoi au parti Les Royalistes ?
Mohamed Youss :
Vaste sujet. Le parti se cherche. Gary Hubert a longtemps eu la main sur le parti. Il a exercé plus ou moins son influence selon les périodes, mais c'est le président du parti avec le plus de mandat à son actif. Il a un record de longévité incroyable tout de même. C'est un OVNI, car malgré toutes les affaires judiciaires, il arrive à avoir encore une grande influence au sein du parti. Quelque chose a véritablement changé il y a un an. Antoine Carbasier a réussi à imposer une primaire pour les élections. Une première en vingt ans de présidence Gary Hubert. Antoine Carbasier a développé pendant longtemps son réseau afin d'atteindre son but. C'est un homme qui c'est positionné au centre-droit voire au centre pour capter des électeurs de la gauche. Il pense que les électeurs de droite ancrés très à droite ne voteront pas ou voteront toujours pour le parti, notamment, car le parti a plusieurs lignes politiques en son sein. Dont une partie, des députés sont sur une ligne de droite dure conservatrice et non-libérale. Ce qui totalement à l'opposé de la pensée d'Antoine Carbasier qui a toujours bénéficié d'une très bonne image auprès de l'opinion publique et de certains cercles économiques. Gary Hubert n'a pas vu cet homme arrivé et son influence grandir au sein du parti. Il était obligé de déclaré une primaire sinon le risque d'une scission.
Pierre Lacombe :
Oui l'épisode fut très mal vécu par Gary Hubert d'autant plus qu'Antoine Carbassier réalise un score de plus de cinquante pour cent, élu dès le premier tour. Antoine Carbasier a battu Gary Hubert et son candidat à travers une ligne de centre-droit libérale. Cela a rebattu les cartes au sein des instances du parti. On a vu une arrivée massive des soutiens d'Antoine Carbasier dans les instances du parti. Gary Hubert et son entourage furent mis de côté durant la campagne. Cela l'a touché. À partir de là, une haine a vu le jour entre les deux hommes. Toutefois, Antoine Carbasier obtient qu'une majorité relative, cela rabat toutes les cartes au sein du parti encore une fois. Le Premier ministre est obligé de prendre Gary Hubert et des soutiens à lui dans le gouvernement. Ce qui se passe, c'est une guerre d'influence entre deux hommes de pouvoir. C'est pathétique, ce n'est pas digne.
Mohamed Youss :
Vous avez évoqué la question de l'avenir du parti et de ses hommes forts. L'avenir du parti est flou à moyen-long terme. Je ne vais pas mouiller en disant cela, mais lors des prochaines élections le Mouvement Royaliste et d'Union aura la majorité absolue et le parti Les Royalistes sera loin derrière. Pour l'instant, il y a un écart de quinze points dans les sondages entre les deux formations politiques. Mais ce que tout le monde va regarder c'est la position du parti. Sera-t-il devant le parti Parti Monarchique pour la Liberté et le Progrès ? Nouveau parti de droite, dont le président est un ancien membre du parti Les Royalistes, Florian Pourta. Florian Pourta souhaite d'ailleurs faire venir des membres et des militants Les Royalistes pour augmenter la capacité électorale de sa formation. Toutefois, selon les sondages, la réponse est oui pour le moment. La réelle question, c'est de combien de point ? Pour l'instant, l'écart est au alentour des douze pour cent, mais pour l'instant la dynamique est très clairement en faveur du Parti Monarchique pour la Liberté et le Progrès. Tout alors que la majorité va devoir se trouver un candidat pour mener la campagne et des candidats solides pour rivaliser. Chose rare plus d'une soixantaine de députés de la majorité ne souhaite pas se représenter. C'est un mauvais signe, le parti va perdre des têtes connues dans leur circonscription.
Lucie Calbert :
Clémentine Roberval, le constat dressé ici est plutôt défavorables à la majorité. Une question se pose. Qui voudra prendre la tête de la campagne pour devenir Premier ministre, même si on comprend tous que cela sera chef de l'opposition au final ?
Clémentine Roberval :
C'est une question primordiale et qui nous donnera beaucoup de réponses. Des rumeurs circulent de la part des entourages de plusieurs ministres. Les ministres fidèles au Premier ministre ainsi que lui-même pourrait partir pour le nouveau parti formé par Florian Pourta. Si cela s'avère véridique alors le candidat sera un candidat favorable à Gary Hubert ou le ministre de la Défense lui-même. Il pourra parfaire sa stature d'homme d'état encore plus à travers le chef de l'opposition principale. Si Antoine Carbasier reste, il y aura une bataille ardue dans la commission du parti qui désigne les candidats. Les deux hommes tenteront de placer des députés favorables à eux dans chaque circonscription. Un député de la majorité ma dit il y a deux heures. "Si Antoine reste, la guerre sera totale, il fera tout pour mettre fin au règne Gary Hubert quitte à reconstruire sur des cendres. Ce n'est pas vivable, on va se retrouver avec des candidats dissidents dans toutes les circonscriptions." Ça en dit beaucoup sur l'état du parti. Le parti est divisé entre deux lignes politiques, entre deux hommes comme en mille neuf cent soixante dix à quatre vingt dix.
Lucie Calbert :
Maintenant que des élections auront lieu d'ici deux mois. Un mois de campagne non-officielle permettant des primaires et un mois de campagne officielle environ. Que compte faire Rosalie Chabas, la cheffe du parti Mouvement Royaliste et d'Union grand favori des sondages ? Ma question va plus loin. Le parti, compte-t-il revenir sur cette fameuse loi de sécurité qui est malgré tout adoptée ?
Pierre Lacombe :
Rosalie Chabas a d'ors et déjà annoncé que son parti reviendra sur cette loi une fois au pouvoir. La procédure ne sera pas si longue que cela. Le parti a mis en ligne sur son site internet le projet de loi qui abrogera les mesures principales de cette loi. Cette loi apporte aussi une réforme complète des forces de sécurité. La loi supprime comme dit les mesures controversées : l'assouplissement des règles de tir, le recrutement de dix mille policiers. Elle oblige que le code d'identification des policiers soit visible à chaque instant, elle instaure les caméras piétonnes lors des contrôles de police. Si la caméra est éteinte durant le contrôle via un geste du policer, la loi instaure la suspension immédiate du policier en attendant la fin l'enquête. Elle oblige chaque policier sur le terrain d'avoir une séance de psy par semestre. Elle sera payée par le ministère de l'Intérieur. Le parti, selon ses dires, veut mettre cette mesure en place pour une meilleure prévention des suicides au sein de la police. Tout le parti, c'est mit d'accord sur la nécessité de cette réforme.
Concernant Rosalie Chabas, elle a annoncé qu'elle ne souhaite pas devenir Première ministre et qu'elle se concentre sur sa fonction de maire de la capitale. Le parti a donc annoncé l'organisation d'une primaire, le vote sera organisé dans une vingtaine de jours avec deux débats. Il faut attendre que tous les candidats se déclarent toutefois deux personnalités du parti ont annoncé leurs participations.
Jean-Luc Bourgard, député du parti, a annoncé sa participation hier au journal de treize heures. Au contraire de Rosalie Chabas, le député est sur une ligne plutôt centriste. Toutefois, il reste fidèle aux prises de décision et à la direction du partie. Sur la scène internationale, il a remis en cause plusieurs fois les liens conséquents de l'armée avec le Grand-Kah. Il souhaite l'arrêt immédiat de la formation des pilotes Teylais à travers le mercenariat ou encore stopper la formation de la protection civile du Grand-Kah. Il n'a pas remis en question la relation économique. Jean-Luc Bourgard souhaite une médiation entre tous les acteurs de la région concernés pour le Mohkai. Concernant la Loduarie, il ne s'est pas encore exprimé la dessus en dehors d'une réaction ferme à la suite des entraînements Lodurien à la frontière. Sur les autres sujets, il adopte une ligne sociale-libérale.
Paul Lacombe se définit comme humaniste et communiste. C'est sans doute l'un des adhérents et politique connu du parti le plus à gauche du parti. Il prône un approfondissement des liens avec l'axe Loduarie-Grand kah dans tous les domaines possibles. Il veut mettre fin à la coopération spatiale avec Mirdian et Sylva. Il veut remplacer cela par "L'Alliance pour l'Espace - l'AE". Soit une alliance technologique avec la Loduarie dans un premier temps et étendre cette alliance au Grand-Kah, et même Shuharri. Toutefois, il souhaite toujours développer l'OND en lui donnant des accents communistes à travers divers projets de réformes. Chose très étonnante, il se réclame de la social-démocratie pour l'économie. Toutefois, il souhaite l'introduction d'un revenu universel. La nationalisation des banques et la mise sous tutelle par l'état des dix fortunes les plus riches du pays. Vous le comprenez la social-démocratie semble avoir une définition toute autre dans la bouche de l'actuel maire de Vivanant.
Clémentine Roberval :
D'ici deux jours, nous aurons tous les candidats déclarés pour la primaire du parti Mouvement Royaliste et d'Union, d'ici à deux-trois semaines on aura une vision d'ensemble sur les candidats de chaque parti politique au poste de Premier ministre. Florian Pourta devra être le candidat principal pour le Parti Monarchique pour la Liberté et le Progrès. Il y a une question essentielle pour ce parti et celui de la majorité actuelle. Doivent-ils, veulent-ils négocier ? On peut penser qu'une négociation entre les deux partis de droite pour une répartition des circonscription pourra permettre de rivaliser dans un nombre conséquent de circonscription avec la gauche. Toutefois pourquoi un nouveau parti doit négocier avec un parti très mal vu par toute la population ?
Mohamed Youss :
Je rajoute qu'à gauche cette séquence a rapproché les divers partis politiques. Il y a gauche deux partis républicains et un parti royaliste. Entre les deux idéologies il y a jamais eu de coopération en dehors de certaines motions de censure. Toutefois, cette séquence, à changer la donne semble-t-il. Plusieurs réunions entre les députés des trois partis ont déjà eu lieu avant la déposition du texte. Cela a permis une bataille acharnée sur le texte de loi. L'alliance a remporté toutes les batailles majeures en commission sur les amendements ce qui a obligé le gouvernement a enclencher l'article 54-4 aussi tôt et ne pas pouvoir enclencher un débat dans l'hémicycle. Le gouvernement a tout perdu, les oppositions de droite comme de gauche ont gagné.
Lucie Calbert :
Merci de nous avoir écoutés, vous pouvez retrouver cette émission sur le site TeylaTV ou sur toutes les plateformes de streaming en podcast. On se retrouve demain pour une nouvelle émission, avec une nouvelle question, et n'oubliait pas de sortir couvert en toutes circonstances. Bonne soirée.