17/08/2013
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Index du forum Continents Eurysie RSF de Translavya

ENCYCLOPÉDIE

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443
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Энциклопедия
Социальной Федеративной Республики Транславиa

Encyclopédie
de la République Sociale Fédérative de Translavya

Message de la DGSSP : LES SYMBOLES VONT ÊTRE MIS À JOUR PROCHAINEMENT

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La Petite Histoire de la Translavya
et de son peuple révolutionnaire

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Hauts-fonctionnaires
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Institutions
politiques et sociales

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Cartes
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Les symboles
(doit encore être mis à jour)
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Les marches militaires translaviques
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- ARCHIVES INTERNES -
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Président de la République (anciennement Président de l’Union) : Pietr Vadovsky
23 ans, penseur, diplômé en sociologie, Chef suprême des Armées, INTOUCHABLE

Primeur de Romanie (anciennement Président de la République de Romanie) : Gorgov Kievko
43 ans, penseur, diplômé en sociologie.

Primeur de Transrom (anciennement Président de la République de Transrom) : Sergeï Kakarin
32 ans, penseur, diplômé en sociologie.

Primeur de Lettovie (anciennement Président de la République de Lettovie) : Arman Tsukov
25 ans, penseur, diplômé en sociologie.

Primeur de Botchévie (anciennement président de la République de Botchévie) : Yegor Kolka
22 ans, penseur, diplômé en sociologie.

Commis de la République (anciennement Commissaire de l'Union) pour les affaires continentales : Peter Maderov
41 ans, diplômé de l’Ecole Ouverte translavique de Géopolitique générale (EOGG, 3ans).

Ambassadeur général : Vadar Korbatcha
35 ans, diplômé de l’Ecole Ouverte translavique d’Histoire sociétale (EOHS, 5ans), INTOUCHABLE

Général de l'Armée Populaire du Dernier Recours (APDR) : Toma Petrov
28 ans, diplômé de l’Ecole translavique de Sécurité et d’Intervention (ESI, 5ans).

Général de la cavalerie du Nord : Vatar Kadaria

Général de la cavalerie du Sud : Sopran Jokov
37 ans, originaire d'Iskandriane (parents hindous puis athées, lui-même athée).

Général-directeur de l’Armada de la République (corps naval de l'APDR) : Feredor Vigorov
26 ans, diplômé de l’Ecole translavique de Marine (EM, 2ans) et de l’Ecole translavique de Sécurité et d’Intervention (ESI, 2ans).

Ingénieur général des infrastructures sociales : Erik Dobrov
36 ans, diplômé de l’Ecole générale d’Ingénierie et de Sciences physiques (EGISP, 5ans).

8353

Située sur la route intercontinentale liant l'Afarée et l'Eurysie au Nazum, la Translavya était peuplée, jusqu'aux XVème/XVIème siècles, de cavaliers nomades, qui, à partir de cette période, se constituèrent progressivement en trois nations. Nations qui avaient pourtant tout en commun : culture, ethnie, histoire et traditions. Celles-ci se constituèrent face à l'arrivée de marchands venus de l'Ouest... marchands qui, avec eux, amenèrent les pillards du nord-ouest. Ainsi, pour se défendre et garantir le passage des marchands qui les enrichissaient (économiquement et culturellement), les cavaliers nomades s'agglomérèrent en trois grandes régions, fondant trois grandes cités (qui avaient, en toute logique, l'apparence de camps nomades sans fin) : Letjsa de Boutchouvarie, Oklanuu de Letvigur, et Anapul de Romaniia. Ils ne restent archéologiquement de cette période, que des fours, des forteresses, et de longues murailles de terre censées encercler les cités-camps. Ces trois Khanats, faisant de cette masse commune trois peuples artificiels, suivirent les avancées technologiques qui passaient par ici. En 1722, Mekir Pavlov Gulgunur, khan d'Oklanuu, maria ses filles Pania et Chana aux fils des khans de Letjsa et d'Anapul, pour rappeler aux puissances voisines qu'ils ne formaient toujours qu'un même peuple translavique. Bien que cela puisse paraître ennuyeux, nul n'a pourtant pris acte d'envahir les terres translaviques... peut-être à la fois pour ne pas se retrouver nez à nez avec les cavaliers qui gardaient la voie depuis trois-cents ans, et parce que ces steppes, ces plaines et ces montagnes, si elles étaient envahies, n'apporteraient rien sans le peuple qui les dompte. A la fin du XIXème siècle, [alors que le système d'habitation en tentes à étages spécifique à notre culture devenait de plus en plus complexe et ingénieux,] la terre, par la fin du petit âge glaciaire, se faisait davantage propice à la culture. Les plaines aux herbes courtes laissèrent place aux champs, et l'élevage put se diversifier. Les idées nouvelles, venues de l'Extrême-Occident, se confrontèrent à la productivité grandissante des trois nations. Mais cette productivité fut accaparée par les riches propriétaires, que les Khans entretenaient et dont ils profitaient aussi en échange. Une famine toucha la Boutchouvarie dans les années 1920. Celle-ci se propagea vers le sud, jusqu'à engloutir les trois khanats en 1928, pour ne cesser qu'en 1931. Résultat : cent-mille morts sur une population initiale de 4 millions d'individus. Un million restait en sous-nutrition, et un autre million étaient cas à une maigreur tenable. Face à ce meurtre dont les riches et puissants se rendaient complices, la Révolution Socialiste éclata : ceux qui tenaient encore debout marchèrent sur les palais, entraînés par les idées de Kavak Kotchev et Illian Podgorov (deux grands penseurs translaviques de ce temps). Le Khan de Romaniia, Juk Liviv Guriyur, tomba le premier, les rangs révolutionnaires ayant été gonflés par des Grecs volontaires ! Ceux-ci prirent la route du nord, et participèrent à la chute de la dynastie Gulgunur. Le Khan de Boutchouvarie, réfugié en la forteresse de Letjsa, n'eut d'autre choix que de se rendre, avant que l'édifice soit rasé par les canons montés depuis le port d'Oklanuu. La Révolution victorieuse, les trois nations étaient plongées dans un chaos institutionnel. Face à la terreur qu’inspirait le chaos et l’anarchisme, une paix des peuples fut moralement admise (appelée « la Mirna Roda »). Les localités choisirent nécessairement des chefs parmi les grandes figures de la Révolution, et ceux-ci se réunirent dans la plaine d’Anslav pour discuter de l’avenir du « grand peuple révolutionnaire des trois nations libérées ». Ils décidèrent de constituer trois républiques unies, sur les bases de l’ancien temps des khanats. En revanche, les représentants de Romaniia dont les localités se situaient sur la rive gauche du fleuve Rom, exigèrent, avec une majorité relative concernant cette question, de se constituer en une République distincte : la Transrom. La « question Transrom » n’avait pas vraiment d’opposants, mis à part les quelques révolutionnaires nostalgiques des traditions des khanats. Ainsi, les représentants des quatre républiques élurent dans la foulée un gouvernement provisoire et un président de la nouvelle Union. Le 1 mars 1932, l’Union des Républiques Socialistes de Translavya naissait par ses quatre composantes réformées. Il fut décidé à l’unanimité (les opposants ayant été arrêtés, puisque jugés complices des khans) que les Républiques changeraient de noms pour que ceux-ci annoncent l’ère nouvelle qui s’offrait à la Translavya. Les représentants des républiques s’en retournèrent chez eux pour organiser les nouvelles entités. [Ces suites débouchent sur l'organisation actuelle de la CCPT.]
En 1946, la plaine d’Anslav fut choisie pour accueillir la « cité administrative de toute l’Union ». Ainsi, des immeubles de bétons sortirent de terre par la force des convictions, et le drapeau de l’Union flottait enfin sur une « cité du peuple, nouvelle et révolutionnaire ». Entre guillemets sont marquées les différentes appellations utilisées par le premier président de l’Union, Illian Podgorov (présidence datée officiellement du 1 mars 1932 au 18 novembre 1975, date de son décès).
Vous remaquerez que les noms et les dénominations font l'oeuvre d'une slavicisation, due à l'influence politique socialiste qui s'est développée dans les années 1930, et jusqu'aujourd'hui.

Le 1 mars 2012, le peuple révolutionnaire translavique célébra les quatre-vingts ans de révolution perpétuelle, sur l'Allée de la Révolution et partout en Translavya, au côté d'invités d'autres nations, représentants et chefs d'Etat. Dans la nuit du 1 au 2 mars, à 00h00 heure d'Anslav, tous les drapeaux de l'Union et de ses Républiques furent abaissés pour laisser place aux nouveaux drapeaux : la faucille et le marteau laissèrent place à la Sphère de l'Universel.

Le 8 avril 2012, le président de l'Union, Pietr Vadovsky, en accord avec les quatres présidents des Républiques de l'Union, proclama l'effectivité d'une "réforme des statuts d'Etat" : l'Union des Républiques Socialistes de Translavya devenait la République Sociale Fédérative de Translavya. L'Union devenait une République unique, et les Républiques unies devenaient ses régions. Concrètement, seuls les statuts des hauts-fonctionnaires et des corps administrateurs changeaient, pour s'adapter à la réelle forme de l'Etat.


Les exilés



Exil de la famille Seo suite à la chute de la junte à Hangok
1975 - aujourd'hui

Portraits


En 1975, à Hangok, une révolution a lieu : la junte hangokoise de Seo Jong-Kang est renversée. En imposant violemment et par le sang sa vision du monde durant dix-neuf ans, Seo Jong-Kang, soutenant la pensée d'un Kandosung extrême (s'apparentant à un communisme spécial) pousse le peuple hangokois à la révolution : il est assassiné par la foule. Sa famille est alors bannie par le nouveau régime royal. Lâchée à la frontière par les forces victorieuses, elle entame un long périple à travers le Nazum accompagnée des hautes familles de la junte, en direction de la Translavya, où une république universelle de paix s'est constituée il y a plusieurs décennies. En effet, face aux mouvements hostiles qui agitaient la société hangokoise, Seo Jong-Kang avait pris soin de demander à l'Etat translavique de bien vouloir les accueillir s'ils venaient à être renversés. L'Etat translavique, état universel, accepta sans conditions que tous ceux qui se trouvaient menacés, quelque fuent leurs actes passés ou leurs convictions, soient accueillis.
Arrivés en Translavya sur un navire de fortune, la famille Seo et les quatre-vingt-dix-huits autres hangokois et hangokoises en exil reçurent les soins nécessaires à leur santé, et passèrent différents examens médicaux. Il leur fut attribué des maisons neuves balnéaires sur les côtes de Lettovie (ancienne République de la CCP de Translavya et actuelle Primauté de la RSF de Translavya). La femme de Seo Jong-Kang, Seo Ha-Eun, avait alors 55 ans, et leur fils Seo Kwang-Seon, 19 ans. Celui-ci se maria à l'âge de 24 ans, en 1980, à Seo Chiyun, fille d'une famille exilée à leur côté, âgée de 20 ans (ayant alors 15 ans lors de l'exil des familles). Ils eurent un fils né en 1983 : Seo Sun-woo. Celui-ci se maria à son tour, en 2005 à 22 ans, à Seo Jung-Ahn, petite-fille d'exilés, qui a alors 25 ans. Ils eurent deux enfants : un fils, Seo Min-Ho, né en 1998, et une fille, Seo Do-Hee, née en 2006.

Seo Ha-Eun meurt à l'âge de 78 ans, en 1998, dans sa maison en Lettovie. Sa tombe se trouve au cimetière d'Oklanov. Aujourd'hui (2013), son fils Seo Kwang-Seon, âgé de 57 ans, est peintre : il retrace son histoire et ses souvenirs d'Hangok à travers son art. Sa femme, Seo Chiyun, a 53 ans, et participe à la Polesvida de la cité où ils vivent. Leur fils, Seo Sun-woo, 30 ans, travail pour les services ferroviaires de la République, et sa femme, Seo Jung-Ahn, 33 ans, s'occupe de leurs enfants Seo Min-Ho, jeune garçon de 15 ans, et Seo Do-Hee, jeune fille de 7 ans. Le premier est passionné de philosophie, tandis que la seconde suit des cours de gymnastiques. Ils sont tous deux scolarisés à Oklanov.

Les descendants des hautes familles hangokoises exilées se sont intégrés à la République, sans problèmes. Ils ont pu bénéficier de tous ses services, ils y travaillent, ils y pensent, et ils participent au collectif translavique : ils sont Translaviques, citoyens de la République universelle. Leur coeur et leurs pensées sont toujours tournés vers ce pays d'où leurs parents viennent, et où l'Histoire de leur sang s'est faite. Ils rêvent un jour d'y retourner, au moins pour la voir, la sentir, et la toucher, la terre de leurs ancêtres.

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Emblème
« Человек думает. »
« L’Homme pense. »


Drapeaux

Гимн RSFT
Hymne de la RSFT



L'Etoile de la Révolution (premier symbole), a été adoptée sous cette forme le 1 mars 2012. Les drapeaux de la République et des Primautés ont été adoptés dans leurs formes présentes, le 8 avril 2012. Vous pouvez voir l'Etoile de la Révolution et les drapeaux dans leurs formes précédentes via les archives internes de l'encyclopédie.

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La Supra est l'assemblée populaire et ministérielle de la République. Techniquement, les Primautés n’ont pas de parlement décisionnaire : celui-ci est commun à toute la République. La Supra est chargée de la législation générale et est composée de 300 membres des ministères (nombre égal par ministère), et de 250 juristes et spécialistes en sciences économiques, sociales, pédagogiques, naturelles et civilisationnelles.
Attention : ce n'est pas une assemblée représentative. Elle n'est pas élue par tout le peuple translavique. Elle ne fait que proposer des lois et des modifications, débattre, et approuver ou désapprouver les propositions de loi et de modification du président de la République. Nul compromis. Nulle opposition. La Raison nous guide : une seule voie pour le collectif.

Les Primautés sont quant à elles chargées de l’encadrement de la politique écologique et économique locale. Il n’est permis aucune compétitivité de quelque sorte entre Primautés. La Supra y veille. Les Primeurs des Primautés (anciens présidents de Républiques) les représentent et constituent la plus haute juridiction locale. Des parlements de gestion y constituent la garantie démocratique (élus au suffrage universel direct).
La République est en revanche la seule au monde à adopter ce fonctionnement : les quatres Primeurs et le président de la République assurent son unité idéologique. En effet, pour maintenir l’idée d’universalisme, il est interdit d’ériger des statues à l’effigie des élus (y compris des présidents et des Primeurs). Cette politique est faite pour lutter contre les déviances observées dans d’autres Etats. Une loi ne peut être adoptée que si le vote effectué auprès des parlements des Primautés donne un résultat favorable en chacun d'eux, ce sondage étant effectué suite au vote favorable de la loi par la Supra et suite à l'approbation de celle-ci par le président de la République.

La Polesvida est l'organisme pour la vie générale locale. La Polesvida est constituée de tous les citoyens d'une même cité. Une cité accueille entre 5000 et 10 000 individus. Un citoyen est un individu âgé de 16 ans et plus. La Polesvida est administrée par des citoyens élus (1 pour 100 environ). Ces citoyens-administrateurs peuvent travailler en complément, si leurs charges ne sont pas trop importantes.

La Lova universelle l'organisme chargé de la gestion des ressources et de leur redistribution. En complémentarité locale de la Polesvida, elle permet une redistribution sans perte des ressources, maximisant ainsi leur utilisation. Constituée d’un service local affilié aux lieux de distribution (supermarchés, etc.), les ressources sont transférées par voies ferrées entre Primautés pour permettre une redistribution dans absolument toute la République, en minimisant tout de même les trajets, bien que nos trains fonctionnent à l’énergie verte.

La Saniska est l'organisme médical général. Se servant du système ferroviaire quasi-permanent pour assurer une liaison entre les localités et les hôpitaux, ce service assure 24/7/365 une solution aux urgences médicales. La Poltsa (police) y est rattachée en tant que service d’intervention spécial, bien qu’aussi déployée sur tout le territoire en permanence.

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Pietr Vadovsky, portrait officiel en uniforme de président de l'Union (puis de la République sociale fédérative).
Il porte l'Étoile de la Révolution, que vous pouvez retrouver sur le portrait d'Illian Podgorov, et sur la photographie de Pietr Vadovsky en uniforme de Commandant en chef de la Poltsa.
Revoluskaya

Pietr Vadovsky transperçant le désespoir,
portrait en uniforme de guerre.
Supremskaya

Pietr Vadovsky en uniforme de Commandant en chef de la Poltsa,
secondé des officiers généraux de la Poltsa
Poltaskaya

"Pietr Vadovsky, le fils de la Révolution"
Synskaya

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Bandeau
Внутренние архивы
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Archives internes
de l'encyclopédie de la République Sociale Fédérative de Translavya

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Les symboles
avant le 1 mars 2012

-
Les symboles
avant le 08 avril 2012

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Carte administrative
avant le 08 avril 2012

-
Institutions
politiques et sociales
avant le 08 avril 2012

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Emblème


Drapeaux

L'Etoile de la Révolution et les drapeaux de l'Union et des Républiques ont été adoptés dans cette forme, à la création de l'Union des Républiques Socialistes de Translavya, et ont été abandonnés le 1 mars 2012. Vous pouvez voir l'Etoile de la Révolution et les drapeaux dans leurs autres formes abandonnées via les archives internes de l'encyclopédie.

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