21/02/2015
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[Géographie] Atlas de la Fédération

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Atlas de la Fédération de Zélandia.


Ce topic rassemblera les informations sur tous les territoires de la Fédération à travers le monde, de la géographie, aux activités économiques, sauf l'Histoire, qui est développée dans un topic dédié.

Sommaire :
Les Commune-Unies de Zélandia.

Le Commonwealth du Virginlân.

La Goudenkust.

L'État Libre du Vrijveldt.

Le Khālat(istan).
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Commune-Unies de Zélandia.



Généralités :



Nom officiel : Commune-Unies de Zélandia.

Nom courant : (la) Zélandia, les Commune-Unies, le Territoire métropolitain, l'Eurysie Zélandienne.

Gentilé : Eurysianer (masculin, féminin et pluriel).

Inspirations culturelles : Le Benelux.

Situation géographique :
Carte topo Zélandia
Carte satellite du territoire métropolitain de la Fédération || clique gauche pour agrandir.

Langue(s) parlée(s) : Zélandien (Frison), Flamand, Luxembourgeois et toutes langues importées par les individus immigrés (Dyffrynien, Kentois, Tanskien et Velsnien particulièrement).

Drapeau :
drapeau
Drapeau des Communes-Unies de Zélandia.

Devise officielle : Frijheid, Wolfeart, Mienskip (Liberté, Prospérité, Communauté).

Hymne officiel :

Monnaie nationale : Seelânske Pûn (Livre Zélandienne).

Capitales :(de facto, de jure il n'y en a pas) Blankenvoorde et Amstergraaf.


Présentation du territoire :
Le territoire Eurysien de la Fédération est constitué principalement de marais dans le nord-ouest du pays. L'intérieur des terres, au Sud, est moins humide grâce aux vents secs venus du nord du continent et descendant sur le territoire. Le sud-ouest du pays, lui, vers la commune d'Amstergraaf, a vu ses marais asséchés par la plantation de forêts (chêne en particulier) au XVIIe siècle afin de répondre à la demande des armateurs et grandes compagnies maritimes, grandes consommatrices de bois pour la construction de leurs flottes commerciales et militaires. Ces marais asséchés ont donc fini par donner des Landes. Le sud-ouest étant célèbre pour ses forêts, les collines du Flatlân-Septentrionale* et la chaîne de l'Hegelân (Haut-Pays) sont elles connues pour leurs importantes mines de charbons, exploitées dès le Moyen Âge, et le Flatlân-Méridionale* pour ses terres plus fertiles que le reste du territoire Eurysien. C'est dans ces dites régions, justement, que l'on peut observer les célèbres champs de coquelicots et de pavots, faisant la renommée de la Fédération. La production de ces champs sert dans la fabrication de stupéfiant, dont la Fédération est une grande exportatrice, comme l'opium, le cannabis ou encore la morphine, entre autre (pour des usages médicaux).

Les Commune-Unies ont aussi sous leur juridiction sur un chapelet de six îles à l'Ouest :
— Le Geveldichlân ou Grande-Terre, regroupant les trois îles supérieures. Ces trois îles sont reliées, entrent-elles par des bandes de terre artificielles et des polders aménagés dès le XVe siècle afin d'y installer des fortifications et des batteries côtières censées empêcher tous risques d'invasions ; on est alors au début des guerres Zélando-Velsniennes. Leurs principales communes sont Harzaal et Nij-Stêd (Ville-Nouvelle).
— Le Lytslân ou Petite-Terre, regroupant les îles inférieures. Ces dernières n'ont pas été reliées artificiellement, mais des fortifications et des batteries côtières y ont quand même été installées. Ces îles étaient d'ailleurs les repères des Westmen durant le Haut Moyen Âge. Leurs principales communes sont Westermond et Oosterzijl.

Concernant les chantiers des canaux communaux, ont commencé avec la proclamation de la Fédération, en vue tout d'abord, de favoriser le commerce. Petit à petit, ces derniers [les canaux] ont été aménagés dans une optique de circulation des individus, ainsi que d'embellissement des communes.

Quant aux deux grands canaux fédéraux, répartis sur le territoire Eurysien, eux ont vu leurs chantiers commencer au tournant des XIXe et XXe siècles, dans la seule optique de commercer plus rapidement, en particulier dans le centre du pays. Grâce aux canaux nord et sud, les communes d'Emzijl(au centre), de Coeberg(au Nord) et de Freichâtel(au Sud) ont pu être reliés directement ; en plus de relier les deux fleuves du pays : l'Heer au Nord et la Vy au Sud.

Concernant la campagne Zélandienne, le nord-ouest n'est qu'un immense marécage, le sud-ouest s'est spécialisé dans la sylviculture, par ses grandes plantations forestières, ainsi que la construction navale — c'est sur la côte ouest que l'on retrouve le plus de chantiers navals —. Les terres du Flatlân (Plat-Pays) vers les collines de Coeberg ainsi que de l'Hegelân (Haut-Pays) au Nord-Est, se sont tournées vers les activités minières (extraction et vente), et enfin, le Sud ; Sud-Est du territoire Eurysien sont, par rapport aux autres régions, le plus tourné vers la production agricole : Céréale, mais surtout floriculture, notamment la culture du coquelicot, du pavot ainsi que du chanvre. Néanmoins, l'activité économique la plus répandue, toutes régions confondues, reste la pêche.
coquelicot
Champ de tulipes dans l'est du territoire Eurysien de la Fédération

Précis sur la commune-capitale de
Blankenvoorde.

Canaux
Photo d'un canal type d'une ville Zélandienne. Il s'agit ici du Grand Canal de Blankenvoorde.

Les villes Zélandienne d'Eurysie sont connues pour leur nombre important de canaux, en particulier par rapport aux voies automobiles. Les citadins Zélandiens se déplaçant bien plus en bicyclette, sinon à pied ou en barque ou en péniche, plutôt qu'en voiture. Et Blankenvoorde n’y fait pas exception.

La ville a été fondée à la fondation du Royaume de Zélandia à l’emplacement du camp — et capitale de facto — du seigneur de guerre et premier roi de Zélandia : Loadewyk. La raison de sa fondation vient du besoin impératif du roi d’administrer son royaume de façon moderne (pour l’époque) ainsi que de maintenir un œil sur ses bannerets. Blankenvoorde devait donc surtout permettre de faire vivre les rois et leur famille ainsi que d’abriter leurs administrations. Cette fonction de capitale politique qu'à toujours la commune avec la présence en son sein des différents Secrétariats Fédéraux à l’Hôtel de Ville et d’un quartier des Ambassades, ne lui donnait en conséquence pas cette “obligation morale” qu’ont d'autres capitales, en particulier en Eurysie latine, de surpasser les autres villes du pays ; posant ainsi les bases d’une extrême décentralisation qui mènera la Zélandia à ce qu’elle est actuellement : une fédération de communes ou villes autonomes.

Cependant, avec, justement, l’avènement de la Fédération en 1599, Blankenvoorde n’a à partir de ce moment qu’un rôle diplomatique. De ce fait, les différentes Assemblées de Conseil de citoyens prendront conscience que leur commune a dorénavant une image, un certain standing à respecter avant le profit. Ainsi, des lois d’embellissement de la commune ne tarderont pas à être votées à la chaîne. Loi sur un quota minimum de fleurs, tulipes surtout, loi sur la propreté et le nettoyage des canaux, rues et places publiques ; mais aussi les lois sécuritaires qui permettent à la commune d’avoir l’un des taux de criminalité les plus bas de la Fédération : proche de zéro. Au XIXe siècle, Blankenvoorde sera la première commune d’où partiront les idées et théories socialistes Zélandiennes et Kah-Tanaises, et la première commune Zélandienne dont l’Assemblée de Conseil prendra des mesures et des lois socialistes. Le XIXe siècle gravera d’ailleurs pour de bon la rivalité et la distance entre Blankenvoorde la Batave Communaliste et Amstergraaf la Rhêmienne Corrompue ; rivalité existant depuis la proclamation de la Fédération.

La ville est surtout connue pour ses universités, et particulièrement ses facultés en sciences humaines, que cela soit l’Histoire, la Géographie ou bien la Littérature et les sciences sociales. Son économie, elle, repose sur l’art et la culture principalement ; et par extension le tourisme. La commune est notamment connue pour ses canaux, mais aussi ses musées, ses théâtres et ses bibliothèques : souvent affiliées aux Universités.

Son port, que cela soit le passage de marchandise ou bien la location de quais lui assure aussi une source de revenu importante.


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Commonwealth du Virginlân.



Généralités :



Nom officiel : Commonwealth du Virginlân.

Nom courant : Territoire Aleucien, Aleucie Zélandienne, Virginlân ou Virginie en Français.

Gentilé : Aleucianer (masculin, féminin et pluriel).

Inspiration(s) culturelle(s) (HRP) : Côte-est des États-Unis coloniale, colonisation hollandaise de New-York, New-Amsterdam.

Situation géographique :
Carte topo Virginlân
Carte satellite du territoire Aleucien de la Fédération || clique gauche pour agrandir.

Langue(s) parlée(s) : Zélandien (Frison), Flamand, Luxembourgeois, langues celtiques importées par les immigrés ainsi que le français et l'allemand, dû à la présence du Miridian frontalier.

Drapeau :
drapeau
Drapeau du Commonwealth du Virginlân.

Devise officielle : Vrijheid en Vooruitgang(Liberté et Progrès).

Hymne officiel :

Monnaie nationale : Seelânske Pûn(Livre Zélandienne).

Capitales :(de facto, de jure il n'y en a pas) Nij-Blankenvoorde.


Présentation du territoire :
La Virginlân(Virginia en Rhêmien et Virginie en Français) est constituée principalement de forêts et de plaines. Le territoire est majoritairement plat et s'élève peu au-dessus du niveau de la mer. L'Aleucie Zélandienne est traversée par un fleuve principal : le Niëgëren et ses trois affluents : les Niëgëren supérieurs et inférieurs, ainsi que le Drakenrivier. Au centre-est du territoire, se trouve le lac Erie, alimenté par les rivières du même nom : l'Erie et l'Erie inférieure. Au centre-ouest, se situe la vallée du Menhetten, classé comme réserve naturelle lors du référendum territorial de 1892.

L’hydrographie du Nord-Ouest repose sur le lac Supérieur et le fleuve homonyme tandis que l’hydrographie de l’Est, elle, repose sur le lac Michigoma, son affluent : le Michigoma Supérieur et le fleuve, encore une fois, homonyme.

La campagne d'Aleucie Zélandienne, elle, est l'une des moins peuplées de la Fédération. Cette dernière peut être divisée dans un axe en diagonale nord-est ; sud-ouest. Au sud-est, le territoire est principalement forestier, et est surtout divisé en réserves naturelles protégées, avec quelques exploitations sylvicoles.

À l'inverse, le nord-est est davantage constitué de plaines et son environnement est peu protégé, à l'exception de quelques réserves naturelles comme celle de la vallée de Menhetten. Grâce à ces grands espaces, d'immenses exploitations agricoles ont fleuri dans ces vastes plaines, faisant de l'Aleucie Zélandienne le grenier à blé de la Fédération.

Quant à son réseau de voies de communication, ce dernier est notamment adapté au transfert de marchandise et au commerce. Il [le réseau] est composé de grandes autoroutes, longeant essentiellement les côtes, reliant les grandes communes, entrent-elles et évitant le plus possible les forêts. Ce dernier est complété par de plus petits réseaux de routes, reliant les petites communes ainsi que les communautés entrent-elles, ainsi qu'aux entités plus grandes.

Le réseau de voies ferrées, quant à lui, ne relie que les très grandes communes du territoire.

Le Commonwealth voit aussi sa juridiction apposée sur l’Oostelijke Archipel et ses commune et base navale de Maaszee et Vrijheid, au large de la Virginkust ainsi que sur la Groot Eiland et ses commune et base navale d'Amerszee et Anargie au large de la Furskust.

Précis sur la commune de
Nij-Blankenvoorde.

Ellis Island and the Empire State Building
À gauche la Gibson Eiland et son Bureau Général de l'Immigration. À droite le bureau Aleucianer de la Seelân Overseas Trade Company (S.O.T.C.) à Nij-Blankenvoorde.

Les communes et communautés Aleucianers sont d'anciens comptoirs ou d'anciennes colonies du XVIe siècle, époque durant laquelle s'est constitué le premier empire colonial Zélandien sous la monarchie. Contrairement aux communes de métropoles, celles d'Aleucie ont, dès leur fondation, eux des plans d'urbanismes géométriques avec de grandes avenues droites, sans avoir de petites ruelles sombres. C'est d'ailleurs de ce "modèle Aleucien" que les communes d'Eurysie Zélandienne se moderniseront fin XIXe siècle.

Quant à l'architecture de ces communes, cette dernière mélange architecture de métropole, en particulier avec des toits à pignon, et architecture art déco. Les communes côtières du Virginlân ont par ailleurs, elles aussi, des canaux comme les communes d'Eurysie. Cependant, le Commonwealth a beaucoup moins de canaux que les Communes-Unies.

La commune de Nij-Blankenvoorde, qui ne déroge pas à la description plus haut des communes du Virginlân, est le premier établissement à être fondé au XVIe siècle par les Zélandien en Aleucie. Peuplé de huit millions neuf cent huit mille cinq cent vingt-trois habitants, c'est la commune la plus peuplée d'Aleucie Zélandienne. C'est aussi son principal port, ainsi que la porte d'entrée du territoire, en particulier pour les immigrés voulant s'installer sur ledit territoire.
Cette fonction, qui a été attribuée de facto à la commune est facilement représentable par la Gibson Eiland. Rattachée en 1892 à la commune ; l’île originelle se voit rapidement agrandie d’une partie artificielle afin d’y construire le Bureau Général de l’Immigration de la commune.

Nij-Blankenvoorde est aussi un hub économique et de transport important pour le commerce Zélandien. Autrefois simple relai le long de la côte pour les navires qui descendaient vers le Paltoterra ou bien abri pour les trappeurs et autres commerçants de fourrures et de bibelots avec les locaux ; la commune était une réserve sans fond de capitaux financiers pour la couronne avant de devenir le symbole du rêve Aleucien Zélandien, aussi appelé rêve libertarien.

La cité sera aussi l’un des deux points de départ — avec Amstergraaf en Eurysie — de la révolte qui dissoudra la monarchie, puis l’Alliance de Zélandia afin d’instaurer la Fédération comme elle est de nos jours.


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Territoire Fédéral Paltoterran.


Généralités :

Nom officiel : Territoire Fédéral Paltoterran.

Nom courant : Territoire Paltoterran, Paltoterra Zélandien, la Gouden Kust (Côte de l'Or).

Gentilé : Paltoterraner (masculin, féminin et pluriel).

Inspiration(s) culturelle(s) (HRP) : Nouvelle-Hollande (Brésil), Guyane Néerlandaise (Suriname).

Drapeau :
Drapeau
Drapeau de la Gouden Kust.

Langue(s) parlée(s) : Zélandien (Frison), Flamand, Luxembourgeois, Portugais.

Situation géographique :

carte
Carte satellite du territoire Paltoterran de la Fédération || Clique gauche pour agrandir.

Présentation du territoire :

Le territoire Paltoterran de la Fédération n'est principalement peuplé que sur sa bande littoral, la Gouden Kust (Côte de l'Or). Cette dernière concentre la majorité des grandes communes du territoire, ainsi que la commune de Koninklike Haven (Port-Royal). Le style architectural des villes de la Gouden Kust est le même que celui des villes coloniales Listoniennes, pour la simple et bonne raison que ce territoire est l'ensemble d'anciens comptoirs et fortins Listoniens installés au Paltoterra. Quant à l'intérieur des terres, ces dernières concentrent quelques grandes communes, essentiellement situées sur les trois grands fleuves du territoire, ainsi qu'une multitude de petites communes, faisant la jonction entre leurs homologues plus grandes. Le Paltoterra Zélandien est aussi le territoire comptant le plus de parcs fédéraux, parcs regroupant aussi les réserves indigènes ; sanctuaires pour les populations locales. Quant aux communautés (non visible sur la carte, car trop petite), ces dernières se sont formées (et se forment encore), sur les terrains des concessions minières (d'extraction d'or en particulier) ; petites colonies au milieu de plusieurs hectares d'une jungle tropicale luxuriante. Par ailleurs, le Territoire Fédéral du Paltoterra est le seul territoire à avoir de réelles divisions administratives, appelées paroisse. Ces paroisses sont divisées en trois niveaux :

  • Les communes : regroupant les grandes et les petites communes, dont Koninklike Haven.
  • Les parcs fédéraux : regroupant les communautés à forte majorité "indigène" ainsi que les espaces naturels protégés.
  • Les concessions minières : regroupant les communautés autres que Paltoteranne originelle ainsi que les exploitations et concessions minières en tant que telles.

Il est cependant à noter, que ces divisions administratives ne sont que culturelles ; chaque commune ayant sa propre législation et politique, comme le veut la constitution fédérale.

Précis sur la commune de Koninklike Haven.

Fondée au début du XVIe siècle par des colons Listoniens ; Porto Real de son nom portugais et Koninklike Haven de son nom Zélandien est la principale commune de la Gouden Kust (côte de l'or) en termes de population et d'activité économique. Véritable laboratoire génétique, linguistique et culturel, c'est du mélange des populations de la commune que sera inventé le terme Paltoterraner ; au départ pour désigner les colons descendants d'un parent Zélandien et d'un parent Listonien. Ce terme sera ensuite généralisé à tous les descendants de colons Eurysiens, puis l'ensemble des descendants de colons, et enfin à l'ensemble des citoyens résident sur le territoire, qu'ils soient Paltoterrans ou non.

La commune est connue au sein de la Fédération pour être la seconde commune la plus monarchiste derrière Emzjil en Eurysie, et la première commune la plus monarchiste si l'on ne compte pas les villes Eurysiennes. La mentalité de ses citoyens est assez traditionnelle, voir conservatrice sévère chez certains (c'est de manière générale le cas du territoire Paltoterran qui est le plus traditionaliste, tout territoires fédéraux confondus).

Koninklike Haven est aussi connue pour ses voitures de collection colorées, et continuant de rouler comme lors de leur sortie d'usine malgré leur ancienneté.

Ancienne église construite durant la période Listonienne et reconvertie en salle de concert lors de la prise de Porto Real par les Zélandiens.→ Description sur l'image.

Exemple d'une voiture colorée vintage faisant maintenant la renommée de la commune, en partie grâce à leur bonne condition d'entretien malgré leur ancienneté.→ Description sur l'image.

Économiquement, le territoire est principalement tourné vers la pêche, ainsi que l'extraction d'hydrocarbure off-shore. Cependant, une grosse part de l'économie de la région tourne aussi autour de l'extraction minière, d'or essentiellement ; secteur, par ailleurs en situation de monopole commercial par la Nordic Gold Mining Society (N.G.M.S.), qui est propriétaire de l'ensemble des concessions minières du territoire. L'arboriculture fruitière représente, elle aussi, une part non négligeable de l'économie, mais tout de même moindre que les deux premiers secteurs et enfin, contrairement à ce que l'on pourrait penser, en vue du fait que le Paltoterra Zélandien soit majoritairement recouvert de jungle, la sylviculture ne représente qu'un faible pourcentage de l'économie régionale, pour deux raisons. D'abord, parce que les communautés indigènes Paltoterranes s'y opposent ensuite, car la faible offre de bois précieux face à une demande grandissante, permet de garder les prix du marché élevé. C'est d'ailleurs de ce territoire que viennent en grande partie les bois précieux de la Fédération.

Ici une concession minière en plein milieu de la jungle→ Description sur l'image.
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Sommaire
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Territoire Fédéral sud-Afaréen.


Généralités :

Nom officiel : Union d'Afarée du Sud.

Nom courant : Territoire sud-Afaréen, Afarée Zélandienne, Kwamalistan.

Gentilé : Afaréaner(masculin, féminin et pluriel). Sur le territoire, ce terme est utilisé par les descendants de colons Zélandiens pour se désigner eux-mêmes uniquement. Désignant les autres peuples et descendants de colons Caratradais par plusieurs termes péjoratifs. Le terme de Kleurde (coloured) est aussi utilisé pour désigner les métisses.

Inspiration(s) culturelle(s) (HRP) : Colonie du Cap, Afrique du Sud sous apartheid, républiques Boers.

Langue(s) parlée(s) : Afaréaner (variant du Zélandien), Zélandien (Frison), Flamand, Luxembourgeois, Dyffrynien et Kentois dû à la présence du Gabalaigh Caratradais de Carreg Deheubarth, ainsi que de (très) nombreuses langues locales dont le Kwama : la langue du principal groupe ethnique "indigène".

Drapeau :
drapeau
Drapeau de l'État Libre du Vrijveldt.

Capitale (de facto, de jure, il n'y en a pas) : Baai Stêd.

Hymne (de facto, de jure, il n'y en a pas) :
Vorentoe, Suid-Afarea!

Situation géographique :
carte

Présentation du territoire :

Le Territoire Fédéral sud-Afaréen est le moins peuplé, le plus pauvre et le plus inégalitaire de tous les territoires ultramarins de la Fédération. En effet, par la quasi-inexistence des voies de communications ; les grands axes se résumant aux voies fluviales, et les petits axes se cantonnant à des routes de terre battue reliant les petites communes et communautés, le mélange des populations et des cultures est presque impossible, renforçant les inégalités de toute sorte entre les communautés (villages et très petites communes) des tribus locales, et les communautés (ayant encore l'apparence d'avant-postes et de fortins) Afaréaners. Idem dans les grandes et petites communes telles que Baai Stêd, et à l'exception de Elizabeth Haven ; dans lesquelles les Assemblées de Conseil locales ont décrété pour chacune de leur territoire respectif une politique d'apartheid à l'encontre des descendants des peuples locaux, ainsi que des descendants Caratradais dans leur ensemble ; et ce, pour des raisons de "sécurité" face au Parti du Congrès d'Afarée du Sud (P.C.A.S.) Parti anti-raciste et revendiquant les indépendances des anciens royaumes Sud-Afaréens, considéré comme terroriste uniquement par les communes Afaréaners. À l'inverse, les métisses ou Kleurde (coloured) ne sont pas visés par cette politique d'apartheid.

Les inégalités, et par extension, la pauvreté du territoire, sont aussi visibles par un autre facteur : la mise en place d'une seconde solidarité. En effet, les communes Afaréaners, malgré leur autonomie politique accordée à chaque entité de la Fédération par la constitution fédérale, ce sont toutes unies sous un Parlement — monocamérale —, voyant ses compétences liées à la politique intérieure (sécurité), l'industrie et la distribution des ressources importées. Cependant, les mœurs et l'éducation, entre autres, sont des compétences qui restent liées aux communes, indépendamment des autres. Les communes et communautés n'étant pas sous l'autorité de ce Parlement sont donc délaissées et les ressources importées monopolisées par les communes et communautés Afaréaners et Kleurde. La commune d'Elizabeth Haven, habitée majoritairement par les descendants des colons Caratradais, ainsi que les communautés dites indigènes ont mis en place une seconde solidarité, avec laquelle les produits importés atteignant les quais de ladite Elizabeth Haven sont ensuite distribués aux communautés délaissées par le Parlement Afaréaner.

Le territoire Sud-Afaréen est aussi pauvre en ressources alimentaires. Excepté les ressources halieutiques, qui nourrissent les populations côtières, quand le territoire n'est pas composé de déserts sableux ou rocailleux, ce dernier est sinon composé de savanes le long du Groot Valrivier et de ses affluents. Un sol peu propice, donc, à l'agriculture et plus favorable à l'élevage, obligeant ledit territoire à importer une grande partie de ses ressources alimentaires et ainsi à être dépendant des autres communes de la Fédération.

Il est aussi l'un des seuls territoires à avoir des subdivisions territoriales autres et plus grandes que les communes, à l’instar de la Goudenkust Paltoterrane. En effet, l’Afarée du Sud est divisée entre le Vrystaat Vrijveldt (État Libre du Vrijveldt) : regroupant les communes Afaréaner sous la juridiction du Parlement de Baai Stêd ou Kamer van Setlaars (Chambre des Colons), les communes Caratradaises et enfin les Kwamastan (de Kwama, nom de la principale ethnie et du suffixe Perse -stan ; pays, terre) : regroupant les communes et communautés des ethnies locales. Ces subdivisions territoriales sont considérées comme des fictions juridiques par la jurisprudence Zélandienne. En effet, de jure, la constitution fédérale ne reconnaît que les communes et communautés comme subdivisions. Cependant, lesdites communes étant libre de se gouverner comme elles l’entendent, les communes Afaréaner ont donc pu se regrouper au sein d’une entité politique — malgré tout très décentralisée — et ont imposé par la coutume la nomination des autres entités d’Afarée du Sud ; bien que ces dernières se gouvernent de facto comme d’autres communes Zélandiennes.

L'Afarée du Sud n'est cependant pas exempte davantage. Cette dernière cache en effet, sous les dunes du Draak woestyn, l'un des endroits sur terre où la température est la plus élevée, et où sa mer de sable rencontre la vraie mer, ainsi que sous les roches du Draak Berg, les plus grandes sources de diamants de la Fédération, ainsi que d'or (dans une moindre mesure) que les compagnies minières locales revendent à travers le monde.

Vue aérienne du Draak woestyn. Là où la mer de sable rencontre la vraie mer. C'est en partie sous ces dunes que le territoire sud-Afaréen extrait les célèbres diamants qui font la renommée de la région et le succès des joailliers Zélandiens.
Précision sur l'image.

Précis sur la commune de Baai Stêd.


Fondée en 1653 soit un an après la Kaapkoloanje, devenue depuis lors le Gabalaigh de Carreg Deheubarth et l’ancienne commune de Kaap Stêd, devenue Caer Penrhyn. Baai Stêd, tout comme sa “sœur ennemie” n’était à sa création pas une colonie — de peuplement — mais seulement une escale sur la route vers la Wanminésie et le Nazum de façon générale. C’est uniquement à partir de l’année 1817 que la commune commencera à s’agrandir, et le territoire d’Afarée du Sud à devenir une colonie de peuplement, mais aussi pénitentiaire.

Concernant Baai Stêd en particulier, cette arrivée de nouveaux colons et de criminels s’explique par la découverte à cette époque des premières veines de diamant du territoire.
La commune s’agrandira alors rapidement. Trop rapidement même par rapport au nombre de colons qui parviennent à devenir Boers (paysans au sens d’agriculteur, colon) ou Trekboers (Boers nomade). En effet, le XIXe siècle voit la Fédération de Zélandia en guerre contre les différents royaumes Sud-Afaréens ; rendant dangereuse l’installation dans les terres de colons qui sont pour la plupart des citadins pauvres des communes Eurysiennes. Ce conflit participera à la montée d’une haine envers les citoyens de couleur, qu’ils descendent de locaux ou non. Plus, la guerre des Bwrs (1911-1914) qui a lieu dans l’ancienne Kaapkoloanje et opposant les Bwrs (descendants des colons Zélandiens) et les forces Caratradraises fait émerger des tensions entre les descendants de Caratradais, pourtant Zélandiens, et la communauté Caratradaise locale avec la communauté de “souche” Zélandienne. Ces tensions se cristalliseront par la formation de ghettos Noirs et Caratradais, des différences de salaire, des violences et une utilisation du terme Afaréaner, signifiant tout simplement Afaréen, qui servira à ne désigner exclusivement les citoyens d’ascendance Zélandienne “pure”, ou bien les Kleurde (coloured).
Par ailleurs, à la fin de ladite guerre en 1914 ; les communes Afaréaner sous l’égide de Baai Stêd prendront la décision de s’unir sous un Parlement monocaméral avec pour compétences politiques le Commerce Extérieur de ses communes ainsi que leur défense ; cela dans le but : d'une, unifier leurs prises de décisions communes, et de deux prendre de gré ou de force le monopole sur les denrées alimentaires au détriment des communes Caratradaises comme Elizabeth Haven ou bien encore des Kwamastan.

Malgré ces disparités, l’économie de la commune se porte bien, tout du moins comparée aux autres communes du territoire, et tourne principalement autour de ses joailliers, mais aussi de ses pubs et ses auberges qui accueillent encore les équipages de passage ainsi que la location de quai. En bref, son économie est restée quasiment la même qu’à sa création, avec le même but : servir de relai.

Comme dit plus haut, c'est aussi la commune qui abrite le Parlement Afaréaner du territoire.

Parlement Sud-Africain
Parlement Afaréaner d'Afarée du Sud à Baai Stêd.


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Territoire Fédéral Nazuméen.


Généralités :

Nom officiel : Établissements Communaux au Nazum Occidental.

Nom courant : Territoire Nazuméen, Nazum Zélandien, Khālat(istan).

Gentilé : Nazumeaner (masculin, féminin et pluriel) en général et pour les descendant de colons (Eurysiens, Afaréens, Aleuciens, Paltoterran) et Khālati(s) pour les locaux.

Inspiration(s) culturelle(s) (HRP) : Raj Britannique, Inde, côtes, comptoirs et concessions européennes en Inde.

Langue(s) parlée(s) : Zélandien (Frison), Flamand, Luxembourgeois, Dyffrynien et Kentois dû à la présence du territoire Caratradien d'Osthaven, Jashurien, Stranéen, ainsi que les nombreuses langues locales.

Drapeau (de facto, de jure, il n'y en a pas) :
Drapeau
Drapeau du Khālat(istan).

Capitale (de facto, de jure, il n'y en a pas) : Nij-Amstergraaf.

Hymne (de facto, de jure, il n'y en a pas) : शांति से संयुक्त

Situation géographique :
Carte Nazum
Carte satellite du territoire Nazuméen de la Fédération || Cliquer pour zoomer

Présentation du territoire :
Territoire aux côtes les plus densément peuplées. Le territoire Nazuméen à une place toute particulière dans le cœur des Zélandiens. En effet, ce dernier a, à sa fondation, été la porte d'entrée de Zélandia au commerce du Nazum Occidental, en particulier avec les Empires Xin et Tahoku.

Comme dit plus haut, le territoire est surtout peuplé sur sa bande littorale quand la place n'est pas occupée par de la mangrove. Cette bande littorale, justement, est aussi la seule zone composée de terres arables. Par ailleurs, l'économie du Nazum Zélandien tourne autour de deux cultures spécifiques :

  • La culture du caoutchouc :
  • Le Territoire Fédéral Nazuméen est le producteur de caoutchouc de la Fédération. De la plantation à la transformation, les ports Nazuméens sont remplis de cette ressource.

  • La culture du Jurda :

  • Fleur aux pétales orange poussant dans le Sud-Est du territoire, vers la commune de Ketterdam. Elle est découverte au XVIIe siècle à l'arrivée des premiers colons Zélandiens, rapidement remarquée par ces derniers pour sa "propriété spéciale". En effet, ses pétales, une fois séchés, permettent à celui qui en consomme de ne pas ressentir la fatigue, et par extension de rester éveillé. À partir de là, sa consommation touche l'ensemble de la Fédération ; le territoire Nazuméen en premier lieu, mais aussi des mines d'Afarée du Sud à l'Eurysie Zélandienne, en passant par les mines du Paltoterra et les plantations d'Aleucie. Les professionnels de santé conseillent cependant de ne pas en abuser et de quand même garder un cycle de sommeil régulier. Par ailleurs, les consommations régulières et excessives font déteindre la couleur orange des pétales sur la dentition.
    Les cultures de Jurda sont toutes sous le monopole du Consortium des Agriculteurs de Jurda de Ketterdam (C.A.J.K).

À part ces deux cultures, la pêche est le troisième secteur le plus représenté au sein du territoire Nazuméen. La région est aussi la seconde plus grande productrice de stupéfiants (opium en particulier) après l'Eurysie Zélandienne. Concernant les ressources alimentaires, il y a bien quelques espaces agricoles privés par-ci et par là, mais sans plus. Le territoire comptant sur l'importation pour nourrir sa population. Par ailleurs, le Nazum Zélandien est l'un des territoires les plus préservés —avec le Paltoterra Zélandien— ; les populations Nazumis locales faisant ce qu'il faut pour.

Précis sur la mégalopole
Nij-Amstergraaf-Rotterlo.


La mégapole de Nij-Amstergraaf—Rotterlo fait partie, avec les communes de Wettersêge en Wanminésie ; de Wan (ethnie majoritaire Nazumi avec qui les Zélandiens commerçaient tout particulièrement) et nesos (île en Novir ancien) et de Japsterdam en Sakuraima ; du Triumvirat Nazumi de la Fédération ; à savoir les trois communes Zélandiennes les plus importantes du Nazum en taille, démographie et richesse.

De son vrai nom Suryagarh ; de Surya (Soleil) et Garh (fort, bastion). La commune était la capitale de l’État Princier du Rajkhand ; premier État du Khālat avec qui les Zélandiens entrent en contact. Ces derniers y achètent des concessions portuaires tout en y construisant un fort afin de défendre leurs nouvelles acquisitions de la Royal Navy Caratradaise qui naviguait aussi dans les eaux régionales. Ce fort et ses concessions deviendront le comptoir de Nij-Amstergraaf. Dans le même temps, les Zélandiens fondèrent le comptoir de Rotterlo à quelques lieux de la capitale princière.

Le Rajkhand et les autres États princiers du Khālat resteront indépendants de Zélandia jusqu’au XIXe siècle ; plus précisément à partir de 1817 : date à partir de laquelle les Zélandiens intègrent les États Princiers par diverses moyens, scrupuleux ou non.
Le Rajkhand sera intégré par un traité bilatéral ratifié par l’État Princier homonyme et la Fédération. Quant à Suryagarh ; elle continuera d’être appelée ainsi et le terme de Nij-Amstergraaf ne désignera encore que le comptoir quartier portuaire de la nouvelle commune.
en 1922, la mégapole (communale) de Suryagarh—Rotterlo sera fondée avec la fusion des Assemblées de Conseil des deux communes. Cet évènement s’explique par le fait qu’en tant que premier comptoir Zélandien au Nazum ; Nij-Amstergraaf et Rotterlo étaient (et le sont encore) considérés comme les portes d’entrées du continent. Ainsi, la population des deux communes augmentent très rapidement à partir du début ou petit XXe siècle par l’arrivée d’immigrés Eurysianer et Aleucianer ; au point que peut avant 1922, les deux communes n’avaient plus de délimitations physiques et palpables, malgré des intérêts devenus communs. On se retrouve alors dans une situation ou une nouvelle commune géographique se crée ; mais où juridiquement, il y a encore deux communes distinctes et donc deux Assemblées de Conseil.

Suryagarh prendra son nom définitif de Nij-Amstergraaf(—Rotterlo) en 1949 par la jurisprudence locale.

L’économie communale tourne principalement autour de ses chantiers navals, mais aussi de son quartier d’affaire ; bien que de moindre importance vis-à-vis de celui de Japsterdam, ainsi que de son centre historique.
La ville reste malgré tout un hub important avec Osthaven, maintenant Caratradaise, au Nazum Occidental, aussi appelé Wanistan, en Zélandia.

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