Territoire Fédéral Nazuméen.Généralités :Nom officiel : Établissements Communaux au Nazum Occidental.
Nom courant : Territoire Nazuméen, Nazum Zélandien,
Khālat(istan).
Gentilé : Nazumeaner (masculin, féminin et pluriel) en général et pour les descendant de colons (Eurysiens, Afaréens, Aleuciens, Paltoterran) et Khālati(s) pour les locaux.
Inspiration(s) culturelle(s) (HRP) : Raj Britannique, Inde, côtes, comptoirs et concessions européennes en Inde.
Langue(s) parlée(s) : Zélandien (Frison), Flamand, Luxembourgeois, Dyffrynien et Kentois dû à la présence du territoire Caratradien d'
Osthaven, Jashurien, Stranéen, ainsi que les nombreuses langues locales.
Drapeau (de facto, de jure, il n'y en a pas) :
Drapeau du Khālat(istan).Capitale (de facto, de jure, il n'y en a pas) : Nij-Amstergraaf.
Hymne (de facto, de jure, il n'y en a pas) : शांति से संयुक्तSituation géographique :
Carte satellite du territoire Nazuméen de la Fédération || Cliquer pour zoomerPrésentation du territoire :Territoire aux côtes les plus densément peuplées. Le territoire Nazuméen à une place toute particulière dans le cœur des Zélandiens. En effet, ce dernier a, à sa fondation, été la porte d'entrée de Zélandia au commerce du Nazum Occidental, en particulier avec les Empires Xin et Tahoku.
Comme dit plus haut, le territoire est surtout peuplé sur sa bande littorale quand la place n'est pas occupée par de la mangrove. Cette bande littorale, justement, est aussi la seule zone composée de terres arables. Par ailleurs, l'économie du Nazum Zélandien tourne autour de deux cultures spécifiques :
- La culture du caoutchouc :
Le Territoire Fédéral Nazuméen est le producteur de caoutchouc de la Fédération. De la plantation à la transformation, les ports Nazuméens sont remplis de cette ressource.
- La culture du Jurda :
Fleur aux pétales orange poussant dans le Sud-Est du territoire, vers la commune de Ketterdam. Elle est découverte au XVIIe siècle à l'arrivée des premiers colons Zélandiens, rapidement remarquée par ces derniers pour sa "propriété spéciale". En effet, ses pétales, une fois séchés, permettent à celui qui en consomme de ne pas ressentir la fatigue, et par extension de rester éveillé. À partir de là, sa consommation touche l'ensemble de la Fédération ; le territoire Nazuméen en premier lieu, mais aussi des mines d'Afarée du Sud à l'Eurysie Zélandienne, en passant par les mines du Paltoterra et les plantations d'Aleucie. Les professionnels de santé conseillent cependant de ne pas en abuser et de quand même garder un cycle de sommeil régulier. Par ailleurs, les consommations régulières et excessives font déteindre la couleur orange des pétales sur la dentition.
Les cultures de Jurda sont toutes sous le monopole du Consortium des Agriculteurs de Jurda de Ketterdam (C.A.J.K).
À part ces deux cultures, la pêche est le troisième secteur le plus représenté au sein du territoire Nazuméen. La région est aussi la seconde plus grande productrice de stupéfiants (opium en particulier) après l'Eurysie Zélandienne. Concernant les ressources alimentaires, il y a bien quelques espaces agricoles privés par-ci et par là, mais sans plus. Le territoire comptant sur l'importation pour nourrir sa population. Par ailleurs, le Nazum Zélandien est l'un des territoires les plus préservés —avec le Paltoterra Zélandien— ; les populations Nazumis locales faisant ce qu'il faut pour.Précis sur la mégalopole
Nij-Amstergraaf-Rotterlo.
La mégapole de Nij-Amstergraaf—Rotterlo fait partie, avec les communes de Wettersêge en Wanminésie ; de Wan (ethnie majoritaire Nazumi avec qui les Zélandiens commerçaient tout particulièrement) et nesos (île en Novir ancien) et de Japsterdam en Sakuraima ; du Triumvirat Nazumi de la Fédération ; à savoir les trois communes Zélandiennes les plus importantes du Nazum en taille, démographie et richesse.
De son vrai nom Suryagarh ; de Surya (Soleil) et Garh (fort, bastion). La commune était la capitale de l’État Princier du Rajkhand ; premier État du Khālat avec qui les Zélandiens entrent en contact. Ces derniers y achètent des concessions portuaires tout en y construisant un fort afin de défendre leurs nouvelles acquisitions de la Royal Navy Caratradaise qui naviguait aussi dans les eaux régionales. Ce fort et ses concessions deviendront le comptoir de Nij-Amstergraaf. Dans le même temps, les Zélandiens fondèrent le comptoir de Rotterlo à quelques lieux de la capitale princière.
Le Rajkhand et les autres États princiers du Khālat resteront indépendants de Zélandia jusqu’au XIXe siècle ; plus précisément à partir de 1817 : date à partir de laquelle les Zélandiens intègrent les États Princiers par diverses moyens, scrupuleux ou non.
Le Rajkhand sera intégré par un traité bilatéral ratifié par l’État Princier homonyme et la Fédération. Quant à Suryagarh ; elle continuera d’être appelée ainsi et le terme de Nij-Amstergraaf ne désignera encore que le comptoir quartier portuaire de la nouvelle commune.
en 1922, la mégapole (communale) de Suryagarh—Rotterlo sera fondée avec la fusion des Assemblées de Conseil des deux communes. Cet évènement s’explique par le fait qu’en tant que premier comptoir Zélandien au Nazum ; Nij-Amstergraaf et Rotterlo étaient (et le sont encore) considérés comme les portes d’entrées du continent. Ainsi, la population des deux communes augmentent très rapidement à partir du début ou petit XXe siècle par l’arrivée d’immigrés Eurysianer et Aleucianer ; au point que peut avant 1922, les deux communes n’avaient plus de délimitations physiques et palpables, malgré des intérêts devenus communs. On se retrouve alors dans une situation ou une nouvelle commune géographique se crée ; mais où juridiquement, il y a encore deux communes distinctes et donc deux Assemblées de Conseil.
Suryagarh prendra son nom définitif de Nij-Amstergraaf(—Rotterlo) en 1949 par la jurisprudence locale.
L’économie communale tourne principalement autour de ses chantiers navals, mais aussi de son quartier d’affaire ; bien que de moindre importance vis-à-vis de celui de Japsterdam, ainsi que de son centre historique.
La ville reste malgré tout un hub important avec Osthaven, maintenant Caratradaise, au Nazum Occidental, aussi appelé Wanistan, en Zélandia.>>>>>> Sommaire.