21/07/2013
19:06:03
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[Géographie] Atlas de la Fédération

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Atlas de la Fédération de Zélandia.


Ce topic rassemblera les informations sur tous les territoires de la Fédération à travers le monde, de la géographie, aux activités économiques, sauf l'Histoire, qui est développée dans un topic dédié.


Sommaire :
L'Eurysie.

L'Aleucie.

Le Paltoterra.

L'Afarée.

Le Nazum.
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Territoire Fédéral Eurysien.


Généralités :

Nom officiel : Territoire Fédéral d'Eurysie.

Nom courant : Territoire métropolitain, Eurysie Zélandienne.

Gentilé : Eurysianer (masculin, féminin et pluriel).

Inspiration(s) culturelle(s) (HRP) : Le Bénélux.

Langue(s) parlée(s) : Zélandien, Flamand, Frison ainsi que des langues slaves et celtiques, importées par les individus immigrés.

Drapeau :
drapeau
Drapeau de la Fédération.

Capitale (de facto, de jure il n'y en a pas) : Blankenvoorde et Amstergraaf.

Hymne (de facto, de jure il n'y en a pas) :
Sterkte yn Seelân

Situation géographique :
Schéma montrant les territoires au-dessus, ou en-dessous, du niveau de la mer.
Carte altitute

Carte satellite
Carte satellite du territoire métropolitain de la Fédération.
HRP
ne faite pas attention aux fautes d'orthographes dans la légende, elles ont été remarquées trop tard. Ces bien "voies" et non "voix".

Présentation du territoire :
Le territoire Eurysien de la Fédération est constitué principalement de marais dans le nord-ouest du pays. L'est, est moins humide grâce aux vents secs venus du nord du continent, et descendant sur le territoire. Le sud-ouest du pays, lui, vers la commune d'Amstergraaf, a vu ses ses marais asséchés par la plantation de forêts (chêne en particulier) au XVIIe siècle afin de répondre à la demande des armateurs et grandes compagnies maritimes, grandes consommatrices de bois pour la construction de leurs flottes commerciales et militaires. Ces marais asséchés ont donc finis par donnés des Landes. Le sud-ouest étant célèbre, pour ses forêts, le centre du pays lui, dans les régions du Flatlân et de l'Hegelân, sont connus pour leurs importantes mines de charbons exploitées dès le Moyen-Âge, et l'est pour ses terres plus fertiles que le reste du territoire Eurysien. C'est dans ces régions de l'est justement, que l'on peut observer les célèbres champs de coquelicots et de pavots, faisant la renommée de la Fédération. La production de ces champs sert dans la fabrication de stupéfiant, dont la Fédération est une grande exportatrice comme l'opium, le cannabis ou encore la morphine, entre autre (pour des usages médicaux).

Les villes Zélandienne d'Eurysie, elles, sont connues pour leur nombre important de canaux, en particulier par rapport aux voies automobiles. Les citadins Zélandiens se déplaçant bien plus en bicyclette, sinon à pied ou en barque, plutôt qu'en voiture.

Canaux
Photo d'un canal type d'une ville Zélandienne. Il s'agit ici du Grand Canal de Blankenvoorde.

Les chantiers des canaux communaux, ont commencé avec la proclamation de la Fédération, en vue tout d'abord, de favoriser le commerce. Petit à petit, ces derniers [les canaux] ont été aménagés dans une optique de circulation des individus, ainsi que d'embellissement des communes.

Les quatre grands canaux fédéraux, répartis sur tout le territoire Eurysien, eux, ont vu leurs chantiers commencer au tournant entre les XIXe et XXe siècles, dans la seule optique de commercer plus rapidement, en particulier dans l'est du pays, où des marchandises partant de la capitale, étaient obligées de contourner la péninsule de Slohoven (nord-est) afin de rejoindre la commune de Noordcroen. Grâce aux canaux nord et sud, la commune-capitale [Blankenvoorde] ainsi que la commune de Noordcroen ont pu être relié directement, par l'intermédiaire de la Vy, le fleuve à l'est de la Fédération.

Coquelicot —> Champ de tulipes dans l'est du territoire Eurysien de la Fédération.
Concernant la campagne Zélandienne, le nord-ouest n'est qu'un immense marécage, le sud-ouest s'est spécialisé dans la sylviculture, par ses grandes plantations forestières, ainsi que la construction navale -c'est sur la côte ouest que l'on retrouve le plus de chantiers navals-. Les terres du Flatlân (Plat-Pays) au centre ainsi que de l'Hegelân (Haut-Pays) au centre-est, se sont tournées vers les activités minières (extraction et vente), et enfin, l'est du territoire Eurysien est, par rapport aux autres régions, le plus tourné vers la production agricole : Céréale, mais surtout floriculture, notamment la culture du coquelicot, du pavot ainsi que du chanvre. Néanmoins, l'activité économique la plus répandue, toute régions confondues, reste la pêche.

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Territoire Fédéral Aleucien.


Généralités :

Nom officiel : Territoire Fédéral d'Aleucie.

Nom courant : Territoire Aleucien, Aleucie Zélandienne.

Gentilé : Aleucianer (masculin, féminin et pluriel).

Inspiration(s) culturelle(s) (HRP) : Côte-est des États-Unis coloniale, colonisation hollandaise de New-York, New-Amsterdam.

Langue(s) parlée(s) : Zélandien, Flamand, Frison, langues celtiques importées par les immigrés ainsi que le français et l'allemand, dû à la présence du Miridian frontalier.

Drapeau :
Drapeau
Drapeau officiel de la Commune de Nij-Blankenvoorde et drapeau officieux du territoire Aleucien.

Capitale (de facto, de jure il n'y en a pas) : Nij-Blankenvoorde.

Hymne (de facto, de jure il n'y en a pas) :
Als er geld in je zak komt!

Situation géographique :
Carte Aleucie
Carte satellite du territoire Aleucien de la Fédération || Cliquer pour zoomer
HRP
Ce n'est pas Nij-Amstergraaf mais Nij-Blankenvoorde.

Présentation du territoire :
Le territoire Aleucien de la Fédération est constitué principalement de forêts et de plaines. Le territoire est majoritairement plat et s'élève peu au-dessus du niveau de la mer. L'Aleucie Zélandienne est traversée par un fleuve principal : le Niëgëren, ainsi que ses trois affluents : les Niëgëren supérieurs et inférieurs, ainsi que le Drakenrivier. Au centre-est du territoire, se trouve le lac Erie, alimenté par les rivières du même nom : l'Erie et l'Erie inférieure. Au centre-ouest, se situe la vallée du Menhetten, classé comme réserve naturelle lors du référendum territorial de 1892.

vallée
Vallée du Menhetten.


Les communes et communautés Aleucianers sont d'anciens comptoirs ou d'anciennes colonies du XVIe siècle, époque durant laquelle s'est constitué le premier empire colonial Zélandien durant la période monarchiste. Contrairement aux communes de métropoles, celles d'Aleucie ont, dès leur fondation, eux des plans d'urbanismes géométriques avec de grandes avenues droites, sans avoir de petites ruelles sombres. C'est d'ailleurs de ce "modèle Aleucien", que les communes d'Eurysie Zélandienne se moderniseront fin XIXe siècle.

Quant à l'architecture de ces communes, cette dernière mélange l'architecture de métropole, en particulier avec des toits à pignon, ainsi qu'une architecture Art Déco. Par ailleurs, les communes côtières comme Eindloopen ont aussi creusé des canaux comme les communes d'Eurysie, cependant, le territoire Aleucien a beaucoup moins de canaux que celui [le territoire], d'Eurysie.

Focus sur la commune de Nij-Blankenvoorde :
La commune de Nij-Blankenvoorde est le premier établissement à être fondé au XVIe siècle par les Zélandien en Aleucie. Peuplé de 310 646 milles habitants, c'est la commune la plus peuplée d'Aleucie Zélandienne. C'est aussi son principal port, ainsi que la porte d'entrée du territoire, en particulier pour les immigrés voulant s'installer sur ledit territoire. Par ailleurs, la commune a intégré à son territoire, la Gibson-Eiland (île Gibson en français), sur laquelle a été construit son Bureau Général de l'Immigration (B.G.I.).

Building —> Vue aérienne de l'Union State Building. Bureau de la S.O.T.C. en Aleucie.


Island—> Vue aérienne de Gibson-Eiland. Porte d'entrée de la commune de Nij-Blankenvoorde et d'Aleucie Zélandienne.


La campagne d'Aleucie Zélandienne elle, est l'une des moins peuplées de la Fédération. Cette dernière peut-être divisée dans un axe en diagonale nord-est ; sud-ouest. Au sud-est, le territoire est principalement forestier, et est surtout divisé en réserves naturelles protégées, avec quelques exploitations sylvicoles.

À l'inverse, le nord-est est surtout constitué de plaines et son environnement est peu protégé, à l'exception de quelques réserves naturelles comme celle de la Vallée de Menhetten. Grâce à ces grands espaces, d'immenses exploitations agricoles ont fleuri dans ces vastes plaines, faisant de l'Aleucie Zélandienne le grenier à blé de la Fédération.

Quant à son réseau de voies de communication, ce dernier est surtout adapté au transfert de marchandise et au commerce. Il [le réseau] est composé de grandes autoroutes, longeant principalement les côtes, reliant les grandes communes, entrent-elles et évitant le plus possible les forêts. Ce dernier est complété par de plus petits réseaux de routes, reliant les petites communes ainsi que les communautés entrent-elles, ainsi qu'aux entités plus grandes.

Le réseau de voies ferrées quant à lui, ne relie que les très grandes communes du territoire.

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Territoire Fédéral Paltoterran.


Généralités :

Nom officiel : Territoire Fédéral du Paltoterra.

Nom courant : Territoire Paltoterran, Paltoterra Zélandien, la Gouden Kust (Côte de l'Or).

Gentilé : Paltoterraner (masculin, féminin et pluriel).

Inspiration(s) culturelle(s) (HRP) : Nouvelle-Hollande (Brésil), Guyane Néerlandaise (Suriname).

Drapeau :
Drapeau
Drapeau officiel de la Commune de Koninklijke Haven et drapeau officieux du territoire Paltoterran.

Langue(s) parlée(s) : Zélandien, Flamand, Frison, Portugais.

Situation géographique :

carte
Carte satellite du territoire Paltoterran de la Fédération || Clique gauche pour agrandir.

Présentation du territoire :

Le territoire Paltoterran de la Fédération n'est principalement peuplé que sur sa bande littoral, la Gouden Kust (Côte de l'Or). Cette dernière concentre la majorité des grandes communes du territoire, ainsi que la commune de Koninklike Haven (Port-Royal). Le style architectural des villes de la Gouden Kust est le même que celui des villes coloniales Listoniennes, pour la simple et bonne raison que ce territoire est l'ensemble d'anciens comptoirs et fortins Listoniens installés au Paltoterra. Quant à l'intérieur des terres, ces dernières concentrent quelques grandes communes, principalement situées sur les trois grands fleuves du territoire, ainsi qu'une multitude de petites communes, faisant la jonction entre leurs homologues plus grandes. Le Paltoterra Zélandien est aussi le territoire comptant le plus de parcs fédéraux, parcs regroupant aussi les réserves indigènes ; sanctuaires pour les populations locales. Quant aux communautés (non visible sur la carte car trop petite), ces dernières se sont formées (et se forment encore), sur les terrains des concessions minières (d'extraction d'or principalement) ; petite colonies au milieu de plusieurs hectares d'une jungle tropicale luxuriante. Par ailleurs, le Territoire Fédéral du Paltoterra est le seul territoire à avoir de réelles divisions administratives, appelées paroisse. Ces paroisses sont divisées en trois niveaux :

  • Les communes : regroupant les grandes et les petites communes, dont Koninklike Haven.
  • Les parcs fédéraux : regroupant les communautés à forte majorité "indigène" ainsi que les espaces naturels protégés.
  • Les concessions minières : regroupant les communautés autre que Paltoteranne originelle ainsi que les exploitations et concessions minières en tant que telles.

Il est cependant à noter, que ces divisions administratives ne sont que culturelles ; chaque commune ayant sa propre législation et politique, comme le veut la constitution fédérale.

Précis sur la commune de Koninklike Haven.

Fondée au début du XVIe siècle par des colons Listoniens ; Porto Real de son nom portugais et Koninklike Haven de son nom Zélandien est la principale commune de la Gouden Kust (côte de l'or) en termes de population et d'activité économique. Véritable laboratoire génétique, linguistique et culturel, c'est du mélange des populations de la commune que sera inventé le terme Paltoterraner ; au départ pour désigner les colons descendants d'un parent Zélandien et d'un parent Listonien. Ce terme sera ensuite généralisé à tous les descendants de colons Eurysiens, puis l'ensemble des descendants de colons, et enfin à l'ensemble des citoyens résident sur le territoire, qu'ils soient Paltoterrans ou non.

La commune est connue au sein de la Fédération pour être la seconde commune la plus monarchistes derrière Emzjil en Eurysie, et la première commune la plus monarchiste si l'on ne compte pas les villes Eurysiennes. La mentalité de ses citoyens est assez traditionnelle, voir conservatrice sévère chez certains (c'est de manière générale le cas du territoire Paltoterran qui est le plus traditionaliste, tout territoires fédéraux confondus).

Koninklike Haven est aussi connue pour ses voitures de collection colorées, et continuant de rouler comme lors de leur sortie d'usine malgré leur ancienneté.

Ancienne église construite durant la période Listonienne et reconvertie en salle de concert lors de la prise de Porto Real par les Zélandiens.—> Description sur l'image.

Exemple d'une voiture colorée vintage faisant maintenant la renommée de la commune, en partie grâce à leur bonne condition d'entretient malgré leur ancienneté.—> Description sur l'image.

Économiquement, le territoire est principalement tourné vers la pêche, ainsi que l'extraction d'hydrocarbure off-shore. Cependant, une grosse part de l'économie de la région tourne aussi autour de l'extraction minière, d'or principalement ; secteur, par ailleurs en situation de monopole commercial par la Nordic Gold Mining Society (N.G.M.S.), qui est propriétaire de l'ensemble des concessions minières du territoire. L'arboriculture fruitière représente elle aussi une part non-négligeable de l'économie, mais tout de même moindre que les deux premiers secteurs et enfin, contrairement à ce que l'on pourrait penser, en vue du fait que le Paltoterra Zélandien soit majoritairement recouvert de jungle, la sylviculture ne représente qu'un faible pourcentage de l'économie régionale, pour deux raisons. D'abord, parce que les communautés indigènes Paltoterranes s'y opposent, ensuite par la faible offre de bois précieux face à une demande grandissante, permet de garder les prix du marché élevé. C'est d'ailleurs de ce territoire, que viennent en grande partie les bois précieux de la Fédération.

Ici une concession minière en plein milieu de la jungle—> Description sur l'image.
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Territoire Fédéral Sud-Afaréen.


Généralités :

Nom officiel : Territoire Fédéral d'Afarée du Sud.

Nom courant : Territoire Sud-Afaréen, Afarée Zélandienne.

Gentilé : Afaréaner(masculin, féminin et pluriel). Sur le territoire, ce terme est utilisé par les descendants de colons Zélandiens pour se désigner eux-mêmes uniquement. Désignant les autres peuples et descendants de colons Caratradiens par plusieurs termes péjoratifs.

Inspiration(s) culturelle(s) (HRP) : Colonie du Cap, Afrique du Sud sous apartheid, républiques des Boers.

Langue(s) parlée(s) : Afaréaner (variant du Zélandien), Zélandien, Flamand, Frison, Dyffrynien et Kentois dû à la présence du Gabalaigh Caratradais de Carreg Deheubarth, ainsi que de (très) nombreuses langues locales dont le Kwama : la langue du principal groupe ethnique "indigène".

Drapeau :
drapeau
Drapeau officiel de la commune de Baai Stêd, et drapeau officieux du territoire Sud-Afaréen.

Capitale (de facto, de jure il n'y en a pas) : Baai Stêd.

Hymne (de facto, de jure il n'y en a pas) :
Vorentoe, Suid-Afarea!

Situation géographique :
carte

Présentation du territoire :

Le Territoire Fédéral Sud-Afaréen est le moins peuplé, le plus pauvre et le plus inégalitaire de tous les territoires ultramarins de la Fédération. En effet, de par la quasi-inexistence des voies de communications ; les grands axes se résumant aux voies fluviales, et les petits axes se cantonnant à des routes de terre battue reliant les petites communes et communautés, le mélange des populations et des cultures est presque impossible, renforçant les inégalités de toute sorte entre les communautés (villages et très petites communes) des tribus locales, et les communautés (ayant encore l'apparence d'avant-postes et de fortins) Afaréaners. Idem dans les grandes et petites communes telles que Baai Stêd, et à l'exception de Elizabeth Haven; dans lesquelles les Assemblées de Conseil locales ont décrété pour chacune de leur territoire respectif une politique d'apartheid à l'encontre des descendants des peuples locaux, ainsi que des descendants Caratradiens dans leur ensemble ; et ce, pour des raisons de sécurité face au Parti du Congrès d'Afarée du Sud (P.C.A.S.) : parti anti-raciste et revendiquant les indépendances des anciens royaumes Sud-Afaréens, considéré comme terroriste uniquement par les communes Afaréaners. À l'inverse, les métisses ou Kleurde (coloured) ne sont pas visés par cette politique d'apartheid.

Les inégalités, et par extension la pauvreté du territoire est aussi visible par un autre facteur : la mise en place d'une seconde solidarité. En effet, les communes Afaréaners, malgré leur autonomie politique accordée à chaque entité de la Fédération par la constitution fédérale, se sont toute unies sous un parlement —monocamérale—, voyant ses compétences liées à la politique intérieure (sécurité), l'industrie et la distribution des ressources importées. Cependant, les mœurs et l'éducation, entre autres, sont des compétences qui restent liées aux communes, indépendamment des autres. Les communes et communautés n'étant pas sous l'autorité de ce parlement sont donc délaissées, et les ressources importées monopolisées par les communes et communautés Afaréaners et Kleurde. La commune d'Elizabeth Haven, habitée majoritairement par les descendants des colons Caratradiens, ainsi que les communautés dites indigènes ont mis en place une seconde solidarité, avec laquelle les produits importés atteignant les quais de ladite Elizabeth Haven sont ensuite distribués aux communautés délaissées par le Parlement Afaréaner.

Le territoire Sud-Afaréen est aussi pauvre en ressource alimentaire. Excepté les ressources halieutiques, qui nourrissent les populations côtières, quand le territoire n'est pas composé de déserts sableux ou rocailleux, ce dernier est sinon composé de savanes le long du Groot Valrivier et de ses affluents. Un sol peu propice donc, à l'agriculture et plus favorable à l'élevage, obligeant ledit territoire à importé une grande partie de ses ressources alimentaires, et donc d'être dépendant aux autres communes de la Fédération.

L'Afarée du Sud n'est cependant pas exempte davantage. Cette dernière cache en effet, sous les dunes du Draak woestyn, l'un des endroits sur terre où la température est la plus élevée, et où sa mer de sable rencontre la vraie mer, ainsi que sous les roches du Draak Berg, les plus grandes sources de diamants de la Fédération, ainsi que d'or (dans une moindre mesure) que les compagnies minières locales revendent à travers le monde.

Vue aérienne du Draak woestyn. Là où la mer de sable rencontre la vraie mer. C'est en partie sous ces dunes que le territoire Sud-Afaréen extrait les célèbres diamants qui font la renommée de la région et le succès des joailliers Zélandiens.
Précision sur l'image.

Précis sur la commune de Baai Stêd.


La commune de Baai Stêd est la plus peuplée de tout le territoire Afaréen. Malgré cela, elle est restée comme du temps de sa fondation par manque d'investissements fédéraux ou internationaux. Elle a cependant toutes les installations pour avoir un confort de vie moderne (eau courante, électricité, Internet) du moins dans la ville elle-même. Dans ses faubourgs, qui sont de véritables ghettos, c'est la pauvreté qui règne en maître, principalement à cause de la politique d'apartheid.

C'est aussi la commune qui abrite le parlement Afaréaner du territoire.

L'un des ports de la commune et son quartier commerçant attenant. —> Description sur image.

Parlement Afaréaner d'Afarée du Sud. —> Description sur image.


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Territoire Fédéral Nazuméen.


Généralités :

Nom officiel : Territoire Fédéral au Nazum Occidental.

Nom courant : Territoire Nazuméen, Nazum Zélandien.

Gentilé : Nazumeaner (masculin, féminin et pluriel) en général et pour les descendant de colons (Eurysiens, Afaréens, Aleuciens, Paltoterran) et Nazumi(s) pour les locaux.

Inspiration(s) culturelle(s) (HRP) : Indes orientales Néerlandaise, Indonésie, comptoirs et concessions européennes en Extrême-Orient.

Langue(s) parlée(s) : Zélandien, Flamand, Frison, Dyffrynien et Kentois dû à la présence du territoire Caratradien d'Osthaven, Jashurien, Stranéen, ainsi que les nombreuses langues locales.

Drapeau :
Drapeau
Drapeau officiel de la Commune de Nij-Amstergraaf et drapeau officieux du territoire Nazuméen.

Capitale (de facto, de jure il n'y en a pas) : Nij-Amstergraaf.

Hymne (de facto, de jure il n'y en a pas) :
Als er geld in je zak komt!

Situation géographique :
Carte Nazum
Carte satellite du territoire Nazuméen de la Fédération || Cliquer pour zoomer

Présentation du territoire :
Territoire aux côtes les plus densément peuplées. Le territoire Nazuméen à une place toute particulière dans le cœur des Zélandiens. En effet, ce dernier a, à sa fondation été la porte d'entrée de Zélandia au commerce du Nazum Occidental, en particulier avec les Empires Xin et Tahoku.

Comme dit plus haut, le territoire est surtout peuplé sur sa bande littorale quand la place n'est pas occupée par de la mangrove. Cette bande littorale, justement, est aussi la seule zone composée de terres arables. Par ailleurs, l'économie du Nazum Zélandien tourne autour de deux cultures spécifiques :

  • La culture du caoutchouc :
  • Le Territoire Fédéral Nazuméen est le producteur de caoutchouc de la Fédération. De la plantation à la transformation, les ports Nazuméens sont remplis de cette ressource.

  • La culture du Jurda :

  • Fleur aux pétales oranges poussant dans le Sud-Est du territoire, vers la commune de Ketterdam. Elle est découverte au XVIIe siècle à l'arrivée des premiers colons Zélandiens, rapidement remarquée par ces derniers pour sa "propriété spéciale". En effet, ses pétales, une fois séchés, permettent à celui qui en consomme de ne pas ressentir la fatigue, et par extension de rester éveillé. À partir de là, sa consommation touche l'ensemble de la Fédération ; le territoire Nazuméen en premier lieu, mais aussi des mines d'Afarée du Sud à l'Eurysie Zélandienne, en passant par les mines du Paltoterra et les plantations d'Aleucie. Les professionnels de santé conseillent cependant de ne pas en abuser et de quand même garder un cycle de sommeil régulier. Par ailleurs, les consommations régulières et excessives font déteindre la couleur orange des pétales sur la dentition.
    Les cultures de Jurda sont toutes sous le monopole du Consortium des Agriculteurs de Jurda de Ketterdam (C.A.J.K).

À part ces deux cultures, la pêche est le troisième secteur le plus représenté au sein du territoire Nazuméen. La région est aussi la seconde plus grande productrice de stupéfiants (opium en particulier) après l'Eurysie Zélandienne. Concernant les ressources alimentaires, il y a bien quelques espaces agricoles privés par-ci et par-là, mais sans plus. Le territoire comptant sur l'importation pour nourrir sa population. Par ailleurs, le Nazum Zélandien est l'un des territoires les plus préservés —avec le Paltoterra Zélandien— ; les populations Nazumis locales faisant ce qu'il faut pour.

Précis sur la mégalopole
Nij-Amstergraaf-Rotterlo.


[À venir !]

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