Territoire Fédéral Eurysien.Généralités :Nom officiel : Territoire Fédéral d'Eurysie.
Nom courant : Territoire métropolitain, Eurysie Zélandienne.
Gentilé : Eurysianer (masculin, féminin et pluriel).
Inspiration(s) culturelle(s) (HRP) : Le Bénélux.
Langue(s) parlée(s) : Zélandien, Flamand, Frison ainsi que des langues slaves et celtiques, importées par les individus immigrés.
Drapeau :
Drapeau de la Fédération.Capitale (de facto, de jure il n'y en a pas) : Blankenvoorde et
Amstergraaf.
Hymne (de facto, de jure il n'y en a pas) : Situation géographique :
Carte satellite du territoire métropolitain de la Fédération. ne faite pas attention aux fautes d'orthographes dans la légende, elles ont été remarquées trop tard. Ces bien "voies" et non "voix".
Présentation du territoire :Le territoire Eurysien de la Fédération est constitué principalement de marais dans le nord-ouest du pays. L'est, est moins humide grâce aux vents secs venus du nord du continent, et descendant sur le territoire. Le sud-ouest du pays, lui, vers la commune d'Amstergraaf, a vu ses ses marais asséchés par la plantation de forêts (chêne en particulier) au XVIIe siècle afin de répondre à la demande des armateurs et grandes compagnies maritimes, grandes consommatrices de bois pour la construction de leurs flottes commerciales et militaires. Ces marais asséchés ont donc finis par donnés des Landes. Le sud-ouest étant célèbre, pour ses forêts, le centre du pays lui, dans les régions du Flatlân et de l'Hegelân, sont connus pour leurs importantes mines de charbons exploitées dès le Moyen-Âge, et l'est pour ses terres plus fertiles que le reste du territoire Eurysien. C'est dans ces régions de l'est justement, que l'on peut observer les célèbres champs de coquelicots et de pavots, faisant la renommée de la Fédération. La production de ces champs sert dans la fabrication de stupéfiant, dont la Fédération est une grande exportatrice comme l'opium, le cannabis ou encore la morphine, entre autre (pour des usages médicaux).
Les villes Zélandienne d'Eurysie, elles, sont connues pour leur nombre important de canaux, en particulier par rapport aux voies automobiles. Les citadins Zélandiens se déplaçant bien plus en bicyclette, sinon à pied ou en barque, plutôt qu'en voiture.
Photo d'un canal type d'une ville Zélandienne. Il s'agit ici du Grand Canal de Blankenvoorde.Les chantiers des canaux communaux, ont commencé avec la proclamation de la Fédération, en vue tout d'abord, de favoriser le commerce. Petit à petit, ces derniers [les canaux] ont été aménagés dans une optique de circulation des individus, ainsi que d'embellissement des communes.
Les quatre grands canaux fédéraux, répartis sur tout le territoire Eurysien, eux, ont vu leurs chantiers commencer au tournant entre les XIXe et XXe siècles, dans la seule optique de commercer plus rapidement, en particulier dans l'est du pays, où des marchandises partant de la capitale, étaient obligées de contourner la péninsule de Slohoven (nord-est) afin de rejoindre la commune de Noordcroen. Grâce aux canaux nord et sud, la commune-capitale [Blankenvoorde] ainsi que la commune de Noordcroen ont pu être relié directement, par l'intermédiaire de la Vy, le fleuve à l'est de la Fédération.
—> Champ de tulipes dans l'est du territoire Eurysien de la Fédération.
Concernant la campagne Zélandienne, le nord-ouest n'est qu'un immense marécage, le sud-ouest s'est spécialisé dans la sylviculture, par ses grandes plantations forestières, ainsi que la construction navale -c'est sur la côte ouest que l'on retrouve le plus de chantiers navals-. Les terres du Flatlân (Plat-Pays) au centre ainsi que de l'Hegelân (Haut-Pays) au centre-est, se sont tournées vers les activités minières (extraction et vente), et enfin, l'est du territoire Eurysien est, par rapport aux autres régions, le plus tourné vers la production agricole : Céréale, mais surtout floriculture, notamment la culture du coquelicot, du pavot ainsi que du chanvre. Néanmoins, l'activité économique la plus répandue, toute régions confondues, reste la pêche.