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HRP : La Confédération de Kölisburg est complexe et certains passages peuvent ne pas être clair pour vous. Au fil du temps (et même déjà), certains rp peuvent vous permettre avant même que cette encyclopédie soit complète d'avoir une idée de ce qu'est la Confédération de Kölisburg. Aussi, si vous avez besoin de précision, vous pouvez m'envoyer un message sur Discord. La Confédération étant complexe et difficile à comprendre, la rédaction totale de cette encyclopédie prendra du temps. Je ne peux que vous inviter à la regarder régulièrement.
I - Le projet Kölisburg

II - Économie

III - Histoire

IV- Culture

V - Diplomatie et politique

VI - Les états membres de la Confédération

I - Le projet Kölisburg

Le projet Kölisburg c'est le projet d'une Confédération. Kölisburg c'est une Confédération qui réunit quatre états :

Palargue, Littarg, Prismurgue et Drock.


Vous avez ci-dessus, une carte du réseau autoroutier (jaune), ferroviaire (gris) et maritime (bleu) qui relit les quatre états en plus de leur position géographique en Kölisburg. Ces quatre états qui sont donc quatre pays indépendants forment ensemble la Confédération Royale Fédérale et Septentrionale de Kölisburg. En rouge, vous retrouvez les capitales de ces pays avec en ovale, Galagarde qui est la capitale Confédérale en plus d'être la capitale de l'état de Palargue. Pourquoi une capitale Confédérale? Vous comprendrez plus tard.

Les états de Kölisburg seront détaillés plus tard dans une prochaine partie mais il faut retenir qu'ils sont tous démocratiques et ont tous un gouvernement bien distinct qui n'obéit à aucune ou autorité, ou presque.
Au départ, Kölisburg était un état fédéral mais à cause de tensions beaucoup trop fortes et l'affirmation de l'indépendance de ces états, les quatre régions qui sont devenus des pays indépendants ont voulu se regrouper dans une Confédération à cause (ou grâce) à leur histoire commune. Ainsi, viens l'idée de former cette Confédération sous l'impulsion de la famille de Hasgue et Ebrick de Hasgue. Mais, chaque état voulait à ce moment dans un élan de fierté et surtout d'honneur avoir Ebrick de Hasgue comme dirigeant. Alors, la Confédération a prit une forme unique qui est toujours en vigueur actuellement.
Pour faire simple, voici un schéma de l'organisation de Kölisburg dans les GRANDES LIGNES :


Sur ce schéma, deux choses sont vitales : Le monarque est en haut de toutes les institutions puisqu'il représente directement le peuple. Le monarque peut, par consultation du peuple, absolument tout faire, tout créer, tout supprimer et tout modifier.
Aussi, bien que les kolisiens soient en bas, ils ont toujours le dernier mot. Le pouvoir est entre les mains des kolisiens.

Maintenant, commençons du bas vers le haut en commençant par le fonctionnement intérieur des états :

Actuellement, tous les états de Kölisburg ont comme chef de l'état la reine Constanze. Oui, ils sont tous monarchiques du fait de la réclamation de chaque état de vouloir la famille de Hasgue comme famille gouvernante et comme dit plus haut, pour éviter une grande guerre pour savoir qui aurait la famille de Hasgue le colonel avait donc décidé que la famille règnerait sur chaque pays membre de la Confédération. En revanche, ils ont tous un premier ministre appelé "Gouverneur" différent. Ces gouverneurs nomment les ministres de leur état après avoir été élus par les citoyens de leur état et les ministres formeront les membres de leurs ministères. En revanche, la reine valide les ministres avant qu'il n'entre au gouvernement. Il y a aussi des assemblées au sein de ces états qui régulent le pouvoir du gouvernement. Les assemblées sont élues par les citoyens des états, peuvent être dissoute par les citoyens des états par référendum d'initiative populaire et le premier ministre lui est élu par les citoyens MAIS il peut uniquement être renvoyé avec la majorité de l'assemblée d'état concernée ET accord des citoyens.


Maintenant on passe un cran au dessus avec la Confédération :


Le monarque kolisien supervise le Premier Ministre CONFÉDÉRAL élu par les KOLISIENS. Le monarque nomme avec le Premier Ministre le Chef de la diplomatie. Les ministres confédéraux sont nommés par le Premier Ministre Confédéral et sont validés par le monarque. Ils supervisent les ministres d'états et le premier ministre confédéral supervise les gouverneurs ou premiers ministres d'état. Les ministres confédéraux supervisent les ministres d'états et les ministères confédéraux supervisent les ministères d'états. Dans tout, vous allez vous dire que tout est décidé au niveau confédéral donc ça en fait un état fédéral SAUF QUE, c'est là qu'intervient l'Assemblée Confédérale :
L'Assemblée Confédérale est avec le monarque gardienne de la démocratie. Elle peut faire démissionner les assemblées d'états, le chef de la diplomatie de le premier ministre confédéral. En effet, l'Assemblée Confédéral ressemble à une assemblée fédéral et c'est le but puisqu'elle permet aux membres confédéraux de ne pas abuser de leur pouvoir et aux assemblées d'états d'éviter qu'elles promulguent des lois qui tendent vers la fédération. Car oui, les Assemblées d'états ont une fâcheuse tendance à vouloir aller vers la fédération de Kölisburg pour s'assurer un maintien de leur institution. L'Assemblée Confédérale pour le moment représente des partis politiques MAIS, plus tard, l'Assemblée Confédérale n'aura pas de pouvoir mais devra uniquement représenter les états et non plus des partis. Les partis, eux, seront représentés dans les états membres de la Confédération. Concernant le Chef de la Diplomatie, il est là pour représenter l'avis entier de la Confédération pour permettre au reste du monde de pouvoir entretenir un lien d'abord avec la Confédération par consensus puis, par les états membres. Si jusque-là, ce n'est pas clair, merci de venir me voir sur Discord.

Il faut savoir que TOUTES les institutions confédérales ont vocation à disparaitre (sauf l'Assemblée Confédérale) car elles sont là uniquement pour permettre à la Confédération d'évoluer d'un système fédéral vers un système Confédéral. Au moment où j'écris nous sommes en 2012 et sachez qu'entre 2012 et 2014 les ministres et ministères confédéraux auront d'ailleurs disparu.

Dans tout ça, il n'y a qu'une institution qui n'est pas mentionnée et c'est la Cour Suprême de Kölisburg. C'est la SEULE institution Confédérale qui aura un vrai pouvoir. Cette Cour Suprême aura pour but de juger tout et tous le monde. Citoyens d'états, kolisiens, gouvernements, états, la Cour Suprême de Kölisburg sera une sorte de Cour de Justice Européenne. Elle sera la dernière étape.

Maintenant, venons-en à une dernière chose assez compliqué : Les citoyens d'états et les kolisiens.



On peut être kolisien sans être citoyen d'un état mais on ne peut pas être citoyen d'un état sans être kolisien. En effet, il y a deux "nationalités". En fait, tous citoyens ayant obtenu la nationalité d'un des états de Kölisburg est par conséquent considéré comme kolisien. En revanche, quelqu'un résidant sur le territoire de la Confédération ne faisant pas de réclamation de citoyenneté d'un des états n'est pas citoyen d'état. Mais, la Constitution Confédérale ayant garantie le droit à tous d'avoir une nationalité cela veut dire que toutes personnes n'ayant pas réclamée de citoyenneté d'un état dispose quand même de la nationalité kolisienne selon les conditions d'attribution de la nationalité kolisienne.

EXEMPLE : Monsieur X est citoyen de Prismurg et par conséquent kolisien. Il peut participer à la politique de l'état et la politique Confédéral.

EXEMPLE 2 : Monsieur Y est kolisien mais n'a fait aucune demande de citoyenneté dans les états. Il peut donc pariticiper à la politique confédérale mais pas à la politique des états.

Ceci permet de laisser plus de liberté sur la politique des états membres sur l'attribution de la citoyenneté et des visa. D'ailleurs, la nationalité principale de tous membres de la Confédération est la nationalité kolisienne puis vient ensuite la nationalité des états.

Maintenant que vous avez comprit le principe des deux "nationalités" il y a une dernière chose à comprendre sur ce schéma :


À droite, il y a une flèche jaune entre le monarque et les kolisiens car le monarque peut tout faire avec l'accord du peuple. Si le monarque soumet au vote des kolisiens la suppression, la création ou la modification de n'importe quoi et qu'il y a plus de 50% des kolisiens pour, le monarque peut tout supprimer, tout créer et tout modifier.


Voici, le projet Kölisburg.

II - L'économie de Kölisburg

L'économie de Kölisburg est assez simple à comprendre, en tout cas au niveau Confédéral. Pour le niveau intérieur, nous verrons après.

Au niveau Confédéral, Kölisburg dans son économie est riche de ses ressources minières et de ses réserves de gaz et de pétrole. Ayant les premières ressources de fer et les deuxièmes plus grandes de cuivre au monde, Kölisburg a basé son économie sur l'industrie minière et les énergies fossiles. En revanche, Kölisburg est aussi fort de son commerce avec le monde. En effet, la part du commerce reste quelque chose de considérable en Kölisburg dû à ses nombreuses façades maritimes.


Vous avez ci-dessus, une carte des ressources minières, de pétrole de gaz de Kölisburg sur son territoire et sa Z.E.E.

En noir : Le pétrole
En cuivre : Le cuivre
En jaune : l'Or
En vert-grisâtre : L'aluminium
En gris foncé : Le fer
En gris clair : Le gaz

Si vous avez bien remarqué, Drock qui est l'un des quatre pays membres de la Confédération n'est pas sur la carte. Pourquoi? Tout simplement parce-que ses ressources minières unique sont du charbon. Ainsi, pour mieux comprendre encore l'économie de Kölisburg voici un tableau du PIB de Kölisburg en 2011 :

Sur 100% du PIB, 28,8% et 22,5 % du PIB sont générés respectivement par les énergies fossiles. En revanche, il y a une première colonne que vous ne comprenez sûrement pas et c'est normal :

Ce qui est appelé "Services Confédéraux" regroupent la richesse que génère les états membres de la Confédération ainsi que les impôts, taxes, etc etc... L'état en Kölisburg est une entité économique au même titre que les entreprises et peut donc être en concurrence avec celles-ci puisqu'il peut, comme tout citoyen, être actionnaire. En revanche, pour être actionnaire il doit avoir un revenu qui ne peut pas être celui du contribuable. En effet, tous les impôts et taxes émit par la Confédération vont à la Confédération. Ainsi, les états sont responsables de leurs impôts et de leurs taxes mais ne peuvent mettre en jeu l'argent du contribuable kolisien. D'ailleurs, c'est l'une des raisons pour laquelle les kolisiens sont attachés à la Confédération car avec le principe de "double-nationalité", beaucoup préfèrent se déclarer uniquement kolisien pour payer moins d'impôts et de taxes. Ainsi, la Confédération peut aussi générer des richesses mais pas de la même façon que les états puisqu'elle ne peut pas non plus se servir de l'argent du contribuable confédéral. En effet, il existe un statut attribué à certaines entreprises qui sont des "entreprises confédérales" ce qui leur permet d'avoir certains avantages et, en contre-partie, ils versent chaque années en fonction du choix de la Confédération un pourcentage de leurs bénéfices. En 2011, ce pourcentage était de 1,4%. Aussi, les "services confédéraux" représentent in-rp la richesse que moi, en tant que joueur, je génère via les points de développement.
En ce qui concerne le commerce, cela regroupe le commerce aussi bien extérieur qu'intérieur.

À titre informatif, voici les deux plus grandes entreprises confédérale qui sont respectivement une entreprise spécialisée dans le gaz et le pétrole et l'autre, dans l'extraction minière :


Aussi, Kölisburg possède un marché gigantesque dans les confiseries et le luxe puisqu'il est le premier exportateur de confiseries. Dans le luxe, c'est sur la joaillerie. Évidemment, grâce à ses minerais, Kölisburg est un gros producteur.

III - Histoire de Kölisburg

L'histoire de Kölisburg commence en 870. Des peuples nomades se forment et commencent à se sédentariser. Évidemment, dû aux conditions climatiques, cette sédentarité se produit beaucoup plus tard que dans beaucoup de pays dans le monde puisque à ce moment, la glace et le froid ne permettait absolument pas à un peuple ou des clans de pouvoir vivre de façon pérenne sur le territoire de l'actuel Kölisburg et en Eurysie Septentrionale. Ainsi, en 870, on observe que des groupes de personnes commencent à se former et des seigneurs de guerres commencent à se faire nobles. Les sociétés commencent à s'organiser en petits clans de guerres mais, évidemment, clans de guerres veut donc dire "guerres". Pendant près de 300 ans, les clans vont enchaîner les guerres et les combats sans répit plutôt que de se développer et les clans vont se baser une une économie de guerre et vont, donc, impacter pendant des années les membres de leurs clans qui vont développer une rancoeur les uns envers les autres. En 1234, le clan de Könis remporte une victoire décisive à Hasgue. Cette bataille est extrêmement importante en Kölisburg puisque ce clan sera bientôt l'un des quatre clans (au 18ème siècle) qui restera dans l'histoire et l'actuel famille royale de Kölisburg tire ses origines de ce clan. Les guerres de clans continuent de temps et temps mais les clans commencent sérieusement à se développer à partir du 16ème siècle en commençant à s'intéresser à la culture, les arts et surtout la création d'un identité nationale sur laquelle se retrouver. Étonnamment, les clans constatent qu'ils sont les seuls à avoir gardé ce système de clans quand ils voient, qu'autour, des vrais pays avec de vraies nations commencent à se former. Ainsi, la guerres des clans vont quand même continuer mais cette fois dans le but d'unir les peuples et surtout de pouvoir créer un vrai pays avec une nation. Au 18ème siècle, les guerres de clans sont extrêmement violentes puisque les volonté nationalistes commencent à vraiment se développer et devenir de plus en plus forte. La noblesse des clans poussent chaque jours les clans à la guerre pour récupérer un maximum de territoire mais pour une grosse partie de la bourgeoisie, ces guerres sont simplement sauvages et ne servent presque à rien puisque pour chaque mètre de terre prit, un autre est récupéré plus loin. En 1750, la guerre étant tellement violente il reste quatre clans : Könis, Littarg, Drock et Prismurgue. Le clan de Könis change de nom et devient en 1772 le clan Palargue. Les clans malgré une paix signée en 1795, continuent de se mettre des bâtons dans les rues et, craignant un regain de tensions, une minorité dans la noblesse des clans et la bourgeoisie soumette les clans à une union. En 1812, c'est chose faite, les clans s'unissent pour laisser place à l'Union Fédérale des États Septentrionaux. (spoiler alert : Ce sera un échec.) Cette Union qui se veut libre et démocratique commence sérieusement à mettre en place des institutions qui auraient pourtant pu durer et qui était plutôt avantgardiste avec un parlement bicaméral composé d'une haute cour de vote et d'une basse cour de vote et notamment un système présidentiel. Seulement, voilà, qui doit être le président? Les états désormais membre de l'Union propose tous leur favoris mais ils n'arrivent pas à se mettre d'accord. Viens donc l'idée d'instaurer un système dans lequel le président gouverne pour 5 ans et devra être issu, tous les 5 ans, d'un des états. L'état choisi présentera plusieurs candidats et tous les citoyens de l'Union devront voter pour leur favori. Pendant 20 ans, le système restera en place et va pouvoir durer puisque les états conviendront de ce système comme étant un système qui peut durer dans le temps et permet à chacun d'être représenté bien que le président a pour consigne de ne pas faire de favoritisme. Si, dans les faits, aucun président n'en a fait il y a bien eu quelques réformes par-ci, par-là qui donnait quelques avantages à l'état dont il était issu mais, de toute façon, le président d'après faisait pareil alors ce n'était que justice et les citoyens n'y voyaient pas d'inconvénients. En revanche, en 1832, la président de Prismurgue s'octroie plus de pouvoir et, insatisfait, il est poussé vers la sortie par les autres états. Ainsi, l'état de Prismurgue veut faire sécession en 1833. Les tensions reviennent. Pour l'état de Drock et l'état de Littarg ce serait une catastrophe mais, Palargue qui est l'état le plus puissant craint aussi de voir cette Union s'effondrer. Ainsi, c'est lui qui prend les choses en mains et pose l'ultimatum : Quittez l'Union et vous serez un ennemi de l'Union. L'état de Drock et de Littarg s'engagent à rester mais l'état de Prismurgue quitte immédiatement l'Union. Si les états n'ont pourtant pas de suite déclaré la guerre à l'état de Prismurgue espérant le faire revenir à la raison, un évènement va mettre le feu au poudre. Le président, pas issu de prismurgue donc, Anatole Kiefer est un homme venant de Littarg qui a été assassiné le 14 avril 1833 alors qu'il se rend à l'opéra. L'attaque a été revendiqué par un groupe de séparatiste de Prismurgue qui veut voir l'Union s'effondrer. Immédiatement, l'état de Littarg ordonne à l'Union de réagir sous peine de, lui aussi, la quitter. Une attaque féroce et revancharde est immédiatement lancée contre l'état de Prismurgue bien que, contrairement à son ordre, l'état de Littarg décide de rester neutre dans ce conflit qui ramènent les états aux guerres de clans. Ainsi, l'état de Littarg commence à questionner l'intérêt de l'Union qui était, donc, d'unir quand il constate que les guerres ne cessent pas. L'état de Littarg dans ce climat compte lui aussi, faire sécession. C'est là que sur demande d'une partie de la noblesse de Littarg et de Palargue ainsi que de la bourgeoisie de Palargue, une famille déjà bien connue dans cette guerre qui a arrêtée de s'y engager va être appelée. Depuis 3 ans, la guerre n'en finie pas et les morts s'empilent. La noblesse de Littarg a peur de l'état qui veut se séparer et la bourgeoisie de Parlague n'en peut plus. La famille de Hasgue qui s'est illustrée pour ses victoires est appelée par ceux qui veulent la fin de ces guerres à combattre. Eux, qui ont toujours combattu au nom de l'Union vont rejoindre le camp des pacifistes. L'Union déclare la famille de Hasgue comme des traîtres immédiatement après l'annonce. Entre l'état de Palargue et l'état de Prismurgue, la guerre continue mais il y a des déserteurs. La famille de Hasgue monte une armée de 10 000 hommes avec 15 000 déserteurs en plus du soutien de l'état de Littarg qui s'engage à revenir dans l'Union si la famille de Hasgue rétabli l'ordre. Tout repose entre les mains du chef de famille le Colonel Ebrick de Hasgue. Il va parcourir le front avec son armée et va même aller jusqu'en Drock pour faire arrêter les membres du gouvernement qui, profitant de la guerre, s'enrichissaient et laissait mourrir les citoyens sur le front. À cette occasion, le peuple de Drock ne veut plus laisser repartir le Colonel. Ainsi, son fils Charles est fait Roi de Drock laissant au peuple de Drock la promesse que le Colonel ne laissera pas tomber l'état aux mains de puissances étrangères ou de la guerre. Il repart donc à Prismurgue pour combattre sur le front. Pendant ce temps, des généraux un peu trop influents commencent à organiser des complots un peu partout pour tenter de renverser les vestiges de l'Union et surtout les états pour instaurer des juntes militaires. Par chance, la désorganisation de ces complots et la tentative d'instauration de l'un d'entre eux en Drock échoue. Le Roi Charles, fils du Colonel, entre d'ailleurs dans l'histoire en faisant, à Wälhen, renverser les généraux qui ont tentés de prendre d'assaut les institutions du nouveau régime. En plus d'envoyer un signal fort, l'état de Drock a prêté allégeance à la famille de Hasgue ce qui permet à la famille d'asseoir son pouvoir et d'obtenir le soutien définitif de deux états (Littarg et Drock) sur 4. En effet, l'état de Palargue et de Prismurgue sont d'accord sur une chose : La famille de Hasgue est une menace. Ainsi, après la victoire de Wälhen, son fils assois son autorité sur Drock et continue d'envoyer un soutien à son père toujours sur le champ de bataille. Mais, en Avril 1849, a Trifftenberg, le Colonel Ebrick de Hasgue inflige une défaite sans précédent aux deux états qui se sont alliés pour cette bataille confirmant l'autorité du Colonel. Le 14 Avril, la paix est signée. Le retour à la démocratie et à la paix se fait et les représentants des états signent le traité de paix. Soutenu par l'état de Drock et de Littarg, le Colonel fait écrire une nouvelle constitution pour les états transformant l'Union en République où chaque état est un état souverain mais ils sont tous unis par un système central qui maintient un ordre et une paix établie. La constitution est rédigée en 1851 et une République voit donc le jour. Sauf que, la même année, l'état de Prismurgue décrète la déchéance nationale de la famille de Hasgue. Ils partent donc en exil dans l'état de Drock qui a accepté de les recevoir tandis que l'état de Palargue confirme la décision de l'état de Prismurgue. Ainsi, le régime kolisien commence à apparaître puisqu'un président prend les rennes de la République après avoir été élu. Seulement, 4 ans plus tard, un nouveau président vient tout renverser puisqu'il annonce, dès le début de son mandat, faire revenir la famille de Hasgue en Palargue. Après 2 ans de mandat, il fait dissoudre l'Assemblée Fédérale, fait démissionner son gouvernement et s'octroie les pleins pouvoirs avec le soutien de l'armée. Il invite le Colonel à revenir en Palargue pour prendre le contrôle de la République. La famille de Hasgue vient à Galgarde après en passage triomphal en Prismurgue. Ainsi, en 1859, un référendum octroie les pleins pouvoirs au Colonel après intiative du Président. Encore un 14 Avril (et oui.), en 1859 cette fois, un second référendum est ordonné par le Colonel avec la question suivante : « Voulez-vous que moi, Colonel Ebrick de Hasgue, proclame un état confédéral avec un roi à sa tête et ma personne pour le diriger ? ». les kolisiens répondent Oui à 77% et Non à 6%. Durant le 19ème siècle, le Colonel qui est donc sacré Roi de la Confédération va instaurer un régime étrange mêlant confédération et fédération puisque les états membres sont représentés en tant qu'état mais aussi en partis politique à l'Assemblée Fédérale qui est une grande assemblée de 850 personnes qui prend les décisions pour la Confédération toute entière. Dans le même temps, le Roi est autant Roi de la Confédération que des états-membres. Pourtant, il existe toujours des présidents des états mais qui n'ont qu'un rôle de représentation auprès du roi. Il va aussi créer le concept de double-nationalité qu'on résume souvent par cette phrase : Tu peux être kolisien sans être un citoyen national mais pas l'inverse. En effet, en Kölisburg, tous ceux qui résident et qui demande la nationalité kolisienne sont kolisiens mais, si ils ne demandent pas une nationalité d'un des états, alors, ils ne sont pas un citoyen national. Pour autant, cela veut donc dire qu'ils ne peuvent pas participer aux décisions politiques de l'état dans lequel ils vivent mais ils peuvent très bien décider pour la Confédération. En fait, ce système a été créé dans le but de répondre à un besoin d'une partie de citoyen qui ne se sentait membre d'aucun état et qui voulait quand même participé à la Confédération. Cela a aussi permit aux nostalgiques de l'Union Fédérale de retrouver une forme de souveraineté sur tous. Habilement, le Colonel venait en fait de faire de l'opposition son principal allié en plus de facilité des démarches administratives. Plusieurs réformes plus tard, la Confédération se retrouve à être une Confédération de pays avec leurs propres institutions et gouvernement mais la représentation se faisant à l'Assemblée Fédérale et un gouvernement représentant aussi la Confédération. En 2011, institutions confédérales (gouvernement de la Confédération, Premier Ministre de la Confédération, etc...) seront définitivement supprimées par la Reine Constanze qui conservera l'Assemblée Fédérale en la renommant "Assemblée Confédérale" qui a un pouvoir réduit mais peut voter sur des textes constitutionnels, des projets de lois qu'un état propose à adoption aux autres états, les traités internationaux qui s'appliqueraient à toute la Confédération, etc...