25/02/2015
02:58:39
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[11/06/2012-15/11/2012] Okaristan - le conflit est terminé.

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Après la décision de la Tcharnovie d'intervenir en Okaristan, contre la volonté du gouvernement Okaristanais officiel, la Loduarie a décidé de mener une frappe aérienne préventive, par le biais de son aviation et de ses missiles.

Opération Scalpel bleu - CLASSÉ SECRET DÉFENSE

https://www.avionslegendaires.net/wp-content/uploads/2017/07/MiG-31_Wikimédia.jpg

Lieu de l'opération : Grande République Populaire d'Okaristan
Type d'opération : Bombardement aérien, destruction d'unités au sol, nettoyage post-opératoire.
Objectif de l'opération :
  • Infliger le plus de pertes possibles au révolutionnaires Okaristanais et à leurs alliés Tcharnoves.
  • Mettre hors d'état d'usage une partie du matériel utilisé par les révolutionnaires Okaristanais et par leurs alliés Tcharnoves.
  • Infliger un sévère coup au moral des troupes, révolutionnaires et à la population.
  • Permettre à l'armée Okaristanaise de mener une contre-offensive contre les révolutionnaires.
  • Rétablir le prestige Loduarien en matière de victoires militaires.
Matériel mobilisé :
  • 5 chasseurs bombardiers de première génération
  • 10 avions de chasse de 3ème génération
  • 3 avions de ravitaillement de première génération (en retrait)
  • 1 AWACS de 2ème génération (en retrait)
  • 5 missiles air-sol de première génération
  • 1 porte avion de première génération
  • 2 corvettes de 4ème génération
  • 1 frégate de 2ème génération
  • 1 destroyeur de première génération
Trajet de l'opération :
https://zupimages.net/up/24/01/6tg2.jpg
Le point jaune représente le croiseur porte-aéronefs Loduarien et son escorte navale.
Les flèches noires représentent le trajet aller emprunté par l'aviation Loduarienne. (550 kilomètres + 2000 kilomètres)
Les flèches vertes représentent le trajet retour de l'aviation Loduarienne. (2000 kilomètres)
La flèche rouge représente le trajet des missiles (330 kilomètres)

Déroulé de l'opération :
La force aérienne Loduarienne basée en Loduarie, composé de 5 chasseurs bombardiers, d'un AWACS et de 3 avions ravitailleurs, part de l'aéroport militaire de Dolinne en direction du croiseur porte-aéronefs Loduarien. Les avions bombardiers sont ravitaillés dessus, tandis que les avions ravitailleurs attendent en retrait (dans les airs) et que l'AWACS, escorté par 6 avions de chasse de 3ème génération, partent sécuriser le trajet emprunté par l'aviation Loduarienne en direction de l'Okaristan.
Une fois ravitaillés, les 5 chasseurs bombardiers, équipé chacun de 1 missile air-sol, décollent du croiseur porte-aéronefs, accompagnés par 4 avions de chasse du croiseur porte-aéronefs.
La violation des espaces aériens concernés (se référer à la carte) sont réalisés en connaissance de cause, les pays traversés ne possédant officiellement aucune technologie radar.
En cas de problèmes rencontrés au niveau de l'autonomie des aéronefs Loduariens, les avions ravitailleurs se chargent de ravitailler en vol l'aviation Loduarienne, les chasseurs bombardiers en priorité.
Après être arrivés au 2000ème kilomètre, l'aviation Loduarienne lance 5 missiles de croisière air-sol en direction des zones tenues par les révolutionnaires Okaristanais et la Tcharnovie, notamment à savoir la zone de Dąbrotyn. (distance à franchir = 330 kilomètres environ)
Les avions repartent immédiatement après le tir, en direction du porte avion pour les chasseurs, et en direction de la Loduarie pour les avions plus lourds.

Parallèlement, la marine Loduarienne procède à un balayage radar aérien méthodique dans une zone couvrant jusqu'à 500 kilomètres de rayon à partir du croiseur porte-aéronefs, considéré comme centre. Il pourra appeler en renfort si besoin la force aérienne terrestre de Loduarie, et la marine Loduarienne pourra utiliser son arsenal anti-aérien. Ceci se fait dans le cadre du blocus imposé contre l'Empire du Nord.

En cas de repérage préalable d'aviation hostile à l'aviation Loduarienne par L'AWACS, celle-ci a ordre de se replier immédiatement. Elle n'est autorisé à attaquer que si il s'agit de l'aviation Tcharnove.
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11 Juin 2012, avant le levé du soleil.

C'était très tôt ce matin, lorsque des centaines d'aéronefs tcharnoves survolèrent le pays pour arriver à Dąbrotyn, une belle plaine déjà aménagée pour l'arrivée de la division. Ils furent acceuillis par des rebels haut-gradés du mouvement révolutionnaire. L'attaque est prévue pour le 27 de ce même mois, sur la ville de Dunaske, banlieue de la capitale Yuriigrad. Des points stratégiques sont à récupérer : les environs de la capitale, des ponts, des zones industrielles... Une carte militaire du lieue a été établie. Voici également là où se situe Dąbrotyn.

Carte du lieu
Carte du lieu de l'attaque sans les indications

Carte militaire simplifiée
Carte militaire simplifiée, une plus détaillée est fournie aux soldats

Dąbrotyn

Après de longues heures de trajet et de positionnement stratégique, les troupes étaient prêtes. Si la peur se lisait sur les visages de quelques uns, d'autres étaient fiers. Il n'attendait plus que le début soit annoncé par les éclaireurs. Les minutes passèrent, jusqu'à ce que, enfin, à 8h49, le début de l'attaque soit donné pour les troupes tcharnoves, rus've, et okaristanaises. Les premiers coups de feu ne se firent pas entendu directement, ils ne résonnèrent que lors de la prise des ponts qui donnent l'accès à l'île, et lorsque les premiers soldats communistes furent pris de surprise. Ce n'était que le début d'un lourd et violent vacarme, qui allait peut-être occasionner le début de la conquête anti-communiste dans le pays et dans la capitale plus précisément. Les soldats ne pensaient désormais plus qu'à une chose, espérer survivre, pour leurs familles, leurs amis, et même pour leur nation. Les coups de feu s'intensifient peu à peu, le vacarme assourdissant ne faisait que commencer…

Les soldats Rus've et les Révolutionnaires Okaristanais faisaient feu incessamment sur les troupes rouges, dans l'espoir d'en tuer une, tandis que quelques autres escouades s'infiltraient dans la base en tuant peu à peu les rouges. Les lignes de front étaient loin de stagner, l'avancée des troupes antirouges était fulgurante et phénoménale. On entendait les cris de douleurs à plusieurs centaines de mètres à la ronde, et les tirs ne cessaient pas : les Rus've se fichaient bien de s'il leur restait encore des munitions, tant qu'ils touchaient des ennemis, ils étaient heureux d'accomplir leur principal objectif, oppresser les rouges en les encerclant et en tirant intensément pendant que les Tcharnoves passaient par derrière quand ils avaient le dos tourné. Une belle stratégie mise en place par trois commandants, Ivan Gradvosk-Moskva, Sergej Oleksandric, et Volodymyr Blatynzski. Une stratégie qui fonctionnait d'ailleurs à merveille car les lignes avançaient spectaculairement. Les Tcharnoves semblaient aussi avancer, mais faisaient moins de bruit quant à eux, leur objectif n'étant pas de faire des tirs de barrage. Le bilan humain côté communiste ne semblait que de s'alourdir, les Tcharnoves arrivaient bientôt à leur but..
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La tension s'accentuait dans le camp Tcharnove. C'était le premier combat, le premier véritable combat où la Tcharnovie allait pouvoir montré ce qu'elle valait. Il n'avait pas le droit à l'erreur. C'était aujourd'hui que le pays allait pouvoir montrer que les querelles n'étaient pas la seule de leur spécialité. Cependant, tous étaient heureux à l'idée de détruire des communistes, autant par vengeance du régime de Lénisk en Chérchérie, que pour libérer le pays des mains ingrates de Lorenzo le tyran.
Alors que l'armée avait fait un détour pour prendre leur ennemis en étaux, Ivan Gradvosk-Moskva fit alors un discours, dans la cacophonie des tirs de mitraillettes et des obus.


Ivan Gradvosk-Moskva a écrit :Camarade !
Aujourd'hui est un grand jour !
Un jour où la fureur de vos ancêtres et de votre nation va s'abattre sur les colonnes des diables rouges des communistes !
Venger vos femmes et vos familles qui sont morts dans la guerre, et libérer le pays de l'oppression !
Vive la démocratie, Vive la Tcharnovie !!!

Aussitôt après ce discours, des attaques du côté Tcharnoves se font entendre. Des combats sommes tous peu violent, car Ivan avait refusé que les Tcharnoves ne fassent trop de bouleau à la place des habitants du pays. La colère des soldats envers les communistes va devoir attendre. Mais déjà, on voyait les lignes de défense des communistes se faire détruire par la force de frappe apporté par le régime Tcharnove. Bien que cela n'en était qu'une partie, elle annonçait une nouvelle ère pour le pays. Une ère, où la Tcharnovie ne serait plus la piètre nation qui devait sa survie à des nations étrangères, une ère, où la Tcharnovie sera le bouclier de la démocratie dans l'Eurysie centrale, dans les Belkariem.
Cependant, il est admirable de noter que les communistes, bien que moins nombreux, se sont défendus jusqu'au bout. Mais cette fois ci, la victoire sera démocratique.
Malgré les blessés et les quelques morts cotés tcharnoves, les forces du régime communistes sont prêtes à la déroute.
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Alors que les combats ne faisaient que commencer, le commandant Volodymyr Blatynzski, chef des opérations révolutionnaires dans l'oblast principal reçu une balle en pleine jambe. Transporté d'urgence à la tente de premiers secours, un lieutenant vint le voir pour lui annoncer la terrible nouvelle :

"Commandant ! On ne peut plus se replier ! Les enfoirés de loduariens ont bombardé Dabrotyn ! Nous allons devoir établir un autre camp."

Au moment où il prononçait ces mots, le visage de Volodymyr blanchissait et semblait se décomposer. La nouvelle l'avait abattu moralement. Il s'empressa de faire une communication sur le canal radio du commandant Gradvosk-Moskva, où il répéta quasiment mot pour mot la phrase de son lieutenant. La nouvelle ne tarda pas à se répandre dans la bouche de tous les soldats. Une terrible nouvelle qui est venu abattre le moral de tous les soldats, ce qui ne fit que renforcer leur hargne envers les rouges. Ainsi, le feu s'intensifie comme on ne l'avait jamais vu auparavant sur aucun champ de bataille. Les tirs de barrage des Rus've étaient d'une telle puissance et d'une telle violence que même les soldats alliés en furent choqués. Le bilan humain côté révolutionnaire reste stable, nous ne comptons pas trop de morts, pour l'instant, il s'agit principalement là de blessés. La nouvelle avait pourtant bel et bien abattu le moral des Tcharnoves, qui se retrouvaient sans lieu de repos.
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"Merde !"

Ivan Gradvosk-Moskva eu juste le temps de se mettre dans un abris à proximité avant qu'une rafale de mitrailleuses ne frappent pas loin. C'est alors qu'il reçu une communication en provenance des forces du commandant Volodymyr Blatynzski. Un imprévu a eu lieu. Lorenzo a été plus rapide que prévu, Dabrotyn a été bombardé. Aucun retour était possible.
Ivan savait que tout se jouait dans la prise de la ville de Dunaske. Il fallait garder le moral le plus longtemps possible. c'est alors, avec le regroupement de soldats qui le suivaient, qu'il fit un discours afin de les remotiver :

"Camarade ! Ne faiblissez pas !
Nous sommes condamnés à devoir combattre ici, mais faisons honneur à la Tcharnovie !
Même si nous sommes encerclés, nous nous battrons !"


Il observa les regards des soldats, et presque tous semblaient ne plus vouloir se battre. C'est alors qu'un homme, le soldat Vladimir Marasimov, prit la parole :

"Camarade ! Souvenez vous en Chérchérie !
Nous nous sommes défendus et avons remporté la guerre en battant la Loduarie et le régime du tyran Lénisk ! Souvenez vous !
Nous nous battons pour notre survie, mais aussi pour la survie du peuple de l'Okaristan !
C'est ici que nous battrons définitivement le communisme et les ambitions Loduariennes !
Nous le devons envers nos ancêtres ! Vos parents et vos grand-parents ne se serraient pas arrêtés à ce morceau de la ville !
Venez avec moi !"


C'est alors que ce jeune homme fonça vers les lignes ennemis, avec l'appui de plusieurs hommes. Cette aide inespérée dans cette situation a permis à Ivan d'en profiter pour aller quelques mètres plus bas pour envoyer une communication à ses alliés :

"Nous tenons le coup, comment ça se passe de votre côté ?
Si vous voulez des renforts, je peux déployer des véhicules de combats d'infanterie pour percer les lignes.
Commandant Ivan Gradvosk-Moskva, à vous"
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12 juin 2012, au large de Norja, Manche Blanche.

Plus tôt dans la matinée, les radars de détection aérienne de la 1e Brigade antiaérienne "Norja" ont détectés une activité aérienne inédite au nord des régions capitales. Traversant la manche blanche d'ouest en est, une force aérienne en provenance de la Grande République de Vesna passait légèrement au delà d'une centaine des terres tanskiennes et à autant des terres Zélandiennes.

L'imprévue de la présence de cette force mobilisa immédiatement la sûreté aérienne tanskienne. Dans les régions capitales, en cette matinée, sont alors présentes les escadrilles multirôles 1/11 et 2/11 "Norja". Plus au nord, à Halvø est présente l'escadron de chasse 1/21 "Halvø".

Dès la détection d'une série d'appareils, 2 aéronefs de la sûreté aérienne décollèrent en direction des appareils non identifiés qui, sur leur trajectoire actuelle, passeraient à quelques dizaines de kilomètres à peine de la capitale. Chose impensable. Dans les quelques minutes suivant le décollage des appareils de la sûreté aérienne, l'ensemble des escadrons présents fut mis en alerte et sommé de décoller dans les plus brefs délais mais déjà, alors que le reste de la flottille prenait les airs, les aéronefs non-identifiés passaient le détroit puis continuaient vers l'est, ne témoignant pas d'hostilité particulière.

Si les deux aéronefs de la sûreté aérienne ont pu intercepter la flottille, celle-ci a simplement répondue ne faire que traverser en direction d'un pays de destination. L'absence de trajectoire annoncée au préalable poussa l'Etat-Major Tanskien, dans la foulée du passage des avions, à imposer une NOTAM (NOTice To AirMen) couvrant l'intégralité du pays ainsi que les abords directs des côtes tanskiennes sur plusieurs dizaines de kilomètres. Elle interdisait le passage à tout appareil non identifié tandis que le trafic aérien habituel était redirigé vers des couloirs aériens sécurisés et limités en nombre. L'objectif était simple, ignorant le nombre d'appareils pouvant à nouveau venir de Velsna et, en dépit du passage "inoffensif" des précédents appareils, le commandement général estimait qu'aucune autre traversée ne pouvait être faite de la sorte d'autant que l'espace aérien Velsnait venait d'être lui visiblement violer.

Dans les minutes qui suivirent, les 16 appareils des deux escadrons multirôles prirent les airs pour couvrir le territoire tanskien, escorté par deux avions de l'escadron de ravitaillement 1/101 "Fratercula" tandis que, du nord, 6 chasseurs tanskiens d'Halvø descendaient du nord afin de venir, pour la journée, combler le dispositif. Les 6 autres restaient eux au large d'Halvø afin de prémunir la Province Fédérale de toute incursion aérienne là aussi imprévue. Enfin, l'avion de guerre électronique 1/99 "Tölvu" était aussi de sorti afin d'identifier plus clairement tout possible appareil qui viendrait à s'approcher trop près de la capitale tanskienne, mais aussi d'en brouiller les systèmes de guidage et d'acquisition.

Au sol, la brigade antiaérienne tournait elle normalement, active, comme à l'origine, pour couvrir le ciel tanskien tandis qu'en mer la nouvelle frégate TMS Mannréttindi patrouillait au large de Norja afin, elle aussi, de venir compléter le dispositif radar et anti-aérien monté de toute urgence. Il ne s'agissait nullement de préparer un affrontement, mais de contrevenir à toute traversée inopinée de l'espace aérien tanskien ou de sa proximité directe. L'importance du dispositif est justifiée par l'état-major par l'importance, en premier lieu, de la flottille ayant traversé la mer à proximité directe de l'espace aérien tanskien et de sa capitale.

Deux heures plus tard, alors que le dispositif était en place, la flottille aérienne loduarienne était localisée sur les radars à l'approche directe de la NOTAM. En cas d'entrée dans la NOTAM, les appareils seraient interceptés par le dispositif tanskien et invité tout d'abord à faire demi tour puis, dans un second temps, à se poser sur un aérodrome militaire tanskien, escorté par la chasse tanskienne. La force aérienne décollant après le passage de la flottille loduarienne, celle-ci ne peut connaître son contenu avant la détection par les radars internes des appareils, de facto inférieurs au radar de la frégate et des batteries anti-aériennes, en particulier si l'AWACS n'est pas dans la région.

Dispositif de police aérienne d'urgence a écrit :
  • 16 avions multirôles lvl 2
  • 12 avions de chasse lvl 3
  • 1 avion ravitailleur lvl 7
  • 1 avion ravitailleur lvl 1
  • 1 avion de guerre électronique lvl 1
Dispositif de sûreté de l'espace aérien a écrit :
  • 3 radar lvl 4
  • 5 véhicule de transmission radio lvl 7
  • 10 lance-missile antiaérien mobile lvl 1
Navire en patrouille a écrit :
  • Frégate lvl 2

L'ensemble du dispositif est coordonné depuis le Commandement Opérationnel de la Force Aérienne à Norja. En parallèle, dès l'imposition de la NOTAM, une notice est envoyée d'urgence aux forces armées zélandiennes, caratradaises et teylaises pour les informer de la situation qui sont donc susceptible de faire évoluer la situation.

img
PS : image davantage illustrative, la circonférence de la planète et donc la déformation de la portée des radars qui n'est pas un rond étant impossible à représenter. La NOTAM s'étend à 150km sur les côtes, 200km dans les terres (au-delà des frontières tanskiennes).

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3240
12 juin, dans le continent de la guerre nommé Eurysie,


Déploiement Teylais a écrit :
  • 100 canons antiaériens de niveau 3
  • 50 canons antiaériens mobiles de niveau 2
  • 50 Lance-missiles antiaérien mobile de niveau 2
  • 15 véhicules de transmission radio de niveau 1
  • 1 véhicule radar de niveau 2
  • 20 avions de chasse de niveau 3



L'état-major a reçu le message de son partenaire de la République Fédérale de Tanska il y a de cela cinq minutes. Un message qui a surpris durant un instant l'état-major teylais. Les doutes sur la nation pouvant se permettre cela en Eurysie de l'Ouest et centrale ne sont pas grand. Le nom de la Loduarie est sorti très vite avec le nom du Pharois. L'état-major privilégie la piste Loduarienne car la Direction Générale du Renseignement Royale a cherché à anticiper les actions futures de la Lorenzo à travers des notes.

Analyste a écrit :Le régime de Lorenzo ne tient que sur des jeux de pouvoirs personnels, d'accumulation de cultes de la personnalité, est sur une armée censée être la vitrine de la puissance Loduarienne. La Direction Générale du Renseignement Royal souhaite attirer l'attention sur la fragilité du régime de Loduarien, dont les piliers peuvent s'effondrer dans un laps de temps court.

Les défaites militaires s'accumulant pour le régime, le régime tente de maintenir une illusion d'unité nationale à travers une relance de sa marine nationale. Cela ne suffit pas pour unifier un pays, bien que la propagande du régime augmente le nombre de personnes pouvant être convaincu par cette propagande autour du programme de la marine Loduarienne, la direction estime que ce phénome est mineur. Face à l'insuffisance d'acte du régime pour se maintenir il y a plusieurs hypothèses possibles.

  • L'administration du pays, ou le pouvoir en place est résigné et ne trouve aucune solution pour résoudre le problème. Face à cette hypothèse, la réaction du régime va croître vers l'imprévisibilité.

  • Une action militaire d'envergure à l'étranger de la part du pouvoir en place. Le culte de Lorenzo ainsi que le culte du soldat qui doit mourir pour sa patrie sont deux cultes particulièrement forts au sein de la société Loduarienne. Renforçant l'hypothèse d'un théâtre d'opération pouvant permettre une victoire militaire facile pour le régime de Lorenzo. En cas de nouvelle défaite, le régime pourrait connaître une période de flottement et d'instabilité forte.

Pour l'état-major l'adversaire en face, c'est la Loduarie communiste, qui sera confirmée par les authentifications des appareils par Tanska. L'état-major a bien l'intention de faire subir une humiliation au régime et de montrer que Teyla est un partenaire fiable. Cela, va-t-il faire chuter Lorenzo et son emprise sur la Loduarie en cas de réussite ? Ce n'est pas aux militaires, mais bien aux politiques de répondre et de se préoccuper des conséquences si la chute de Lorenzo advient. Les ordres du Premier ministre en cas d'acte malveillant envers un partenaire du Royaume sont clairs. Toute aide qui pourra être fournie lui sera fournie.

Deux escadrons pour un total de dix avions de chasse décollent vers Tanska, après la réception du message par Teyla. Les chasseurs doivent être normalement sur zone d'ici quarante à cinquante minutes.

L'état-major met en alerte toutes les unités antiaériennes ainsi que les radars civils comme militaire du pays pendant trois heures. Les trois heures sont extensibles selon les futurs événements. Le Royaume se prépare à accueillir tout le trafic aérien détourné que la République de Tanska ne peut pas prendre en charge.

Le Royaume fait décoller trois appareils de chasse dans le sud du pays. Ils auront pour ordre d'aller à la frontière Loduarie-Teyla et de survoler la frontière tout en restant dans l'espace aérien de Teyla. Ils ne dépasseront pas la frontière.

F-16 d'illustration
Image d'illustration.

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27 Juin 2012, Moldarok, Oblast de Zladingrad.

A peine les soldats de l'empire du Nord furent accueillis que les révolutionnaires okaristanais haut gradés les ont accueillis avec le plus grand sourire. Ils leur montrèrent les baraquements, et tous le lieu tout en leur expliquant de rester vigilant et que des abris souterrains sont là pour se protéger en cas de bombardement. Une fois la visite terminée, ils se rendèrent dans une salle entièrement fermée, où ils s'asseyaient devant une carte de la ville où se déroulera l'attaque. Le plan leur fut expliqué et les soldats étaient parés à l'attaque. La date en serait fixé une fois l'attaque de Dunaske terminée. Il était prévu que l'attaque se déroulerait avec l'aide des Raskenois et de quelques escouades Tcharnoves restantes, évidemment, que des soldats professionnels. L'attaque était prévue à Kežca, un port stratégique du Nord de l'Oblast. L'attaque était prête, la date donnerait le coup d'envoi d'une grosse attaque. La région étant extrêmement boisée, ils arriveraient de la forêt environnente camouflés pour prendre par surprise les soldats rouges dans le dos. Enfin, un discours fut prononcé par le commandant du camp "Piotr Moskov" :

Piotr Moskov a écrit :"Messieurs, Mesdames, camarades de combat,

Nous avons tous ressenti la lourdeur de la tâche qui nous incombe. Chaque nuit, chaque jour, chaque instant passé ici représente un défi, mais c'est ensemble que nous relevons ce défi. Les liens qui se tissent entre nous, soldats, créent une force indomptable qui transcende la peur et l'adversité.

Regardons en avant avec espoir, car chaque bataille remportée ici est une avancée vers la paix que nous défendons. L'arrivée de ces renforts n'est pas seulement un renouveau logistique, c'est une injection d'espoir pur dans nos veines. C'est le rappel que, même au cœur de la tempête, des bras forts se tendent pour nous soutenir.

Nous ne sommes pas simplement des soldats. Nous sommes des gardiens de la liberté, des protecteurs de l'innocence, des artisans de l'histoire. Chacun de nous laisse son empreinte sur le sol que nous foulons, et aujourd'hui, avec l'arrivée de nos camarades, nous écrivons ensemble une nouvelle page, une page de résilience, de courage et d'espoir.

Alors, mes camarades, levons nos armes et nos cœurs vers l'avenir qui s'annonce. Ensemble, avec détermination et solidarité, nous surmonterons tous les obstacles. Les étoiles qui brillent au-dessus de nous témoignent de notre destinée commune, celle d'une victoire que nous construirons pas à pas, ensemble, unis dans la fraternité et animés par l'espoir.

Que le vent de la liberté guide chacun de nos pas, et que la lumière de l'espoir éclaire notre chemin vers la gloire et la paix !"
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Grande République de Velsna

Bureau du Maître de l'Arsenal


Drapeau

Communiqué de Presse à l'attention du gouvernement de Loduarie


A été constaté ces derniers jours un viol pour le moins indiscret de l'espace aérien de la Grande République de Velsna dans le cadre du conflit qui sévit en Okaristan, par une aviation militaire provenant de votre espace aérien et étant selon toute vraisemblance (confirmée par le Royaume de Teyla et la Fédération de Tanska) affiliée au gouvernement de Loduarie. Sans accord de notre part, il est inutile de préciser que l'accès à cet espace est soumis à notre acceptation uniquement et que sans une réponse de notre part, il est strictement interdit aux vols militaires.

Je vous prie en conséquence de modifier le tracé de vos opérations aériennes pour le cours de vos opérations ou d'accepter une rencontre avec moi-même afin de régler cette question.


Ainsi a été fait ce courrier à la date du 2 juillet 2012 par le Maître de l'Arsenal
Matteo DiGrassi

HRPJe suis sous protection, je ne peux pas être impliqué dans des opérations militaires pour l'instant.
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Pendant ce temps, quelque part dans le passé...


Le capitaine Konstantin Magnus était né à Kotios. De son véritable nom Konstantin Minus, il avait préféré s'en inventer un nouveau lorsque, par chance, les archives nationales de la Commune avaient été brûlées par les fascistes, en même temps qu'une bonne partie de sa famille. Après une période de deuil écourtée en raison du fait qu'il ne l'aimait pas tant que ça, Konstantin Magnus s'était engagé au sein des pirates de la Fraternité des mers du Nord, force révolutionnaire locale qui avait le mérite de payer correctement pour un boulot somme toute pas trop dur : voler était plus simple que produire, et la présence pas trop chiante des bases militaires kah-tanaises et pharoises sur place rendait la zone virtuellement inviolable.

Parce qu'il avait eu la chance, dans sa jeunesse, d'étudier au Canta et parlait assez correctement la langue, on lui avait dans un premier temps filé un poste d'opérateur radio et de diplomate - ça revenait au même - puis, montant en grade, il avait pris la tête de la commission chargée d'entretenir les bonnes relations entre les pirates et le puissant voisin Cantais. Clef de la Manche Blanche, l'axe Kotios-Canta avait le potentiel de fermer la mer en cas d'urgence à la manière de deux mâchoires.
Or la guerre en Okaristan n'était-elle pas précisément une urgence ?
Et la mise au pas des impérialistes étrangers décidés à y ramener leur grain de sel, une priorité ?

Depuis quelques mois la Fraternité avait commencé à cibler assez précisément les navires de l'Empire du Nord. La nation aleucienne avait le mauvais goût de nouer des relations contre-natures avec tout ce que l'humanité connaissait de pire : fascistes au Samara, capitalistes en Alguarena, motifs suffisant pour rappeler à ces peine-culs que, si la Fraternité n'était aux yeux de certains qu'une monstrueuses excroissance pirate sans lendemain, elle disposait malgré tout de trente-milles hommes entrainés, et d'un paquet de vedettes et de navires pour les embarquer.

L'Empire pensait sans doute échapper à ses ennemis en passant au large du Canta, mais il venait de se jeter dans la gueule du loup.

https://www.zupimages.net/up/24/01/056n.jpg
- Bonjour ! C'est les pirates !

- Merci de ne pas résister et de mettre les moteurs à l'arrêt. On voudrait voir votre équipage sur le pont supérieur et si vous pouviez nous envoyer une passerelle ce serait bien aussi.

- Sinon on vous coule !

- Ça va sans dire. Mais on préférerait éviter ça.

- Cette opération est sous le signe de la co-lla-boration. Vous connaissez ça bien non, les impériaux ? Collaborer ? Ba plutôt que de le faire avec des fascistes on vous propose de le faire avec des types biens pour une fois.

- Ouais nous.

- Ça va sans dire.


HRP : proposition de retour dans le temps et d'antidater les postes précédent qui RP sur l'arrivée saine et sauve des navires de l'Empire au Rasken... puisque ces derniers ont été interceptés au large du Canta. A moins évidemment qu'ils n'essayent d'engager le combat.
Désolé pour le saut dans le temps qui va potentiellement demander d'éditer certains messages après coup.

Forces militaires de la Fraternité :
  • 10 vedettes lv 5
  • 1 patrouilleur lv 5
39


Suite à la prise de contact du dirigeant de la Chérchérie, mais surtout du chef des opérations en Okaristan, il avait été convenu que les Bérets Rouges prêteraient main-forte aux forces chérchères ainsi qu'aux forces rebelles en Okaristan. L'aide que les mercenaires allaient apporter n'était pas négligeable. En effet, pas moins de 1000 hommes partaient pour le champ de bataille. Le 26 juin, les deux premiers avions des Bérets Rouges se posèrent à l’aéroport contrôlé par les rebelles. Une fois descendu de l'appareil, le chef des opérations des Bérets Rouges en Okaristan, Kerl Anchorage, se fit accueillir par celui qui avait demandé l’aide des Bérets Rouges en Okaristan, Ivan Gradvosk-Moskva.

Carte
Kerl Anchorage, chef des opérations des Bérets Rouges en Okaristan


Kerl Anchorage – Bonjour, je suppose que vous êtes la personne qui a demandé notre aide ?

Ivan Gradvosk-Moskva – C’est bien cela. Je vous souhaite la bienvenue en enfer.

Kerl Anchorage – Haha, je vous remercie pour cette délicate attention, mais ne vous inquiétez pas, on a déjà connu l’enfer il y a 2 ans. On n'est pas encore rouillés.

Bien, comme convenu, un total de 1000 Bérets Rouges participeront aux opérations en Okaristan à vos côtés. Nous n'avons pas encore reçu tous nos avions de transport, mais voici le premier lot de mercenaires. Nous devrions recevoir tous les hommes ainsi que le matériel le 28 juin ou le 29 au plus tard, et nous devrions être totalement opérationnels pour les combats le 1er juillet.

Ivan Gradvosk-Moskva – Bien, nous vous attendons avec impatience.



Liste des effectifs et du matérielle envoyé
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4 Juillet 2012, 9h du Matin, Varaksava, Frontière entre le Kallland et le Finnevalta.

Les pirates furent prévenus tôt ce matin que des camions humanitaires en partance du Finnevalta allaient bientôt se présenter à la frontière. En effet, les habitants des environs membres du parti pirate les avait prévenu. Furent alors mobilisés une trentaine de pirates au poste frontière de Varaksava. Equipés d'armes à feu, ils menacèrent les gardes rouges que, s'ils ne partaient pas d'ici rapidement ça allait mal se passer pour eux. Les quelques résistants furent abattus et le reste fuyais très rapidement. Les cargaisons furent analysés et listées, puis les camions furent escortés par des fourgonnettes en direction d'un entrepôt secret, où furent stockés toutes les denrées. Elles seront distribuées en temps et en heure dans les villes et villages de l'oblast par des bénévoles. Bien que, évidemment, cela puisse étonner les camionneurs, les pirates étaient bel et bien exceptionnellement présents sur la route pour les accueillir. Malgré évidemment que les conducteurs furent apeurés par les armes, cette action était bien nécessaire, car jamais les cargaisons ne serait passées avec les gardes de frontière rouges. Les camions furent ensuite de nouveau escortés jusqu'au poste-frontière, où les gardes n'étaient toujours pas revenu, ils passèrent sans aucun soucis et retournèrent au Finnevalta. Quant aux pirates eux, ils retournèrent vaquer à leurs occupation en attendant la prochaine opération.
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16 Juillet 2012, au beau milieu de la Manche Blanche.

Un cargo en provenance du Tanska naviguait tout en communiquant sa position sur un canal radio secret fréquemment. La raison de ces communications fréquentes ? L'attente d'une interception des pirates. En effet, le cargo étant un navire clandestin à direction de l'Okaristan (cargaison d'armes), les pirates allaient l'intercepter pour l’amener à bon port plus facilement. Pour l'occasion, ils avaient sorti les grands navire, pour rammener la cargaison saine et sauve au Kallland sans avoir de risque de faire abattre des innocents tanskiens. 5 Vedettes données par le Pharois et un cargo volé furent mobilisé pour la cargaison. Sur les vedettes se tenaient des pirates armés, s'approchant peu à peu de la cargaison tanskienne, tout en leur communiquant de ralentir pour s'immobiliser. Les pirates montèrent sur le navire pour tenir un discours explicatif :

Pirates a écrit :"Equipage, ne paniquez pas ! Nous venons en paix. Nous allons peut-être en cette heure nous sacrifier pour rammener cette cargaison en sécurité sans abattre d'innocent tanskien. Nous allons vous transférer sur ce cargo et vous rentrerez au Tanska sains et sauf. Quant à votre cargo, nous essaierons de le ramener à bon port au Tanska une fois la cargaison livrée. Nous préférons sacrifier nos vies que celles de nos alliés, la solidarité avant tout. Je suis heureux de votre collaboration mais il est temps maintenant pour nous de remplir notre part de la mission. Veuillez ne pas informer la presse ou quiconque de l'opinion public de ce que vous avez vécu, cela pourrait nous mettre en péril. Encore une fois merci de votre aide, et je vous salue une dernière fois. Je vous souhaite un bon retour messieurs !"
Aussitôt la fin de ce discours prononcé que l'équipage changea de bateau et que les deux équipages s'éloignèrent jusqu'à disparaître dans le brouillard de l'horizon de la Manche Blanche.
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16 juillet 2012, Manche Blanche.

La livraison d'armement s'effectua, secrètement dans le calme relatif de la mer tandis que la frégate TMS Mannréttindi, en mer a proximité de l'interception, et 6 avions tanskiens au dessus du ciel halvien restaient en alerte prétextant un exercice maritime. Alors que l'équipage du navire travaillait dans un silence absolu, quelques bruits lointains traduisaient une activité nouvelle. Sur le pont du navire, un hélicoptère Stormsvale s'apprétaient à décoller tandis qu'à l'aide de jumelle, un membre d'équipage distinguait, au loin, au ras de la mer et sous toute détection radar, huit points rouges descendant vers le sud.

Sur le pont, une quinzaine d'hommes embarqués à bord de la frégate quelques jours plus tôt embarquèrent, sur l'hélicoptère remplaçant celui d'habitude à bord de la frégate. Il décolla et parti rejoindre le groupe descendant vers le sud. Sous l'attentive surveillance de la frégate et des aéronefs à quelques dizaines de lieus plus au nord, dans une nuit noire sanctifiée d'une lune camouflée de nuages, les hélicoptères s'approchèrent des côtes rebelles. Ils avaient décollés une à deux heures auparavant de la base militaire d'Halvø. Peu après leur passage, 3 avions de transports survolèrent la mer, passant à quelques lieus de la frégate, la aussi à une altitude ne dépassant pas les 150 pieds.

Le matériel tanskien devait, d'ici quelques bonnes heure, être convenablement délivré. Les hélicoptères n'en délivraient pas. A proximité du campement rebelle chargé de recueillir le matériel, alors que la nuit battait son plein, les hélicoptères arrivèrent, et lentement se posèrent. Dans une tranquillité toute tanskienne, une centaine d'hommes descendirent des hélicoptères, un équipement conséquent sur le dos. Après quelques minutes de vérification et de déchargement de matériel, les hélicoptères repartirent tandis que les hommes préparaient déjà un curieux terrain, quadrillé par quelques infrarouges.

Une demi-heure plus tard, les pilotes des aéronefs, distinguant grâce à des lunettes de visions nocturnes les petits points lumineux et après avoir progressivement ralentis jusqu'aux limites mécaniques de leurs appareils en descendant aussi bas que possibles, ouvrirent leur cales et larguèrent, à l'aide d'imposants parachutes, une demi-douzaines de petits véhicules légers. Ne pouvant d'habitude emporter qu'un seul véhicule blindé, la capacité avait été porté à deux par la légèreté et la petitesse de ces véhicules. Les Forces spéciales tanskiennes avaient leur logique propre.

Sans perdre de temps, les appareils, ayant soigneusement délivré le matériel, firent demi-tour en direction d'Halvø opérant un trajet à même altitude pour éviter toute détection radar. Cette nit là, il eut fallut être chanceux pour observer un avion tanskien volant à si faible altitude.

largage de véhicules à basse altitude

Message secretInformation secrète réservée aux personnes autorisées

sdf
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Réponse au poste de Menisque.


Les navires nordistes naviguaient tranquillement et seraient arrivés dans quelques heures, vers 22 heures au maximum. Le capitaine, tendu depuis le départ, était à la barre. Le capitaine de [i]la Dote, Émeric Von Volstein était un vieil homme barbu aux origines zélandiennes et dont la famille avait une forte tradition navale. Depuis huit générations, ils étaient marins de pères en fils et aujourd'hui, il était le chef d'un cargo impérial. Mais alors qu'il commençait à se détendre et relâcher la pression, un officier arriva en panique dans la cabine. [/i]

- Capitaine ! Des pirates arrivent par bâbord !

Le capitaine regarda et il vit effectivement des vedettes pirates approcher rapidement, portant des pavillons noirs.

- Merde ! Ah tous les coups, on a été découvert. Comme quoi, naviguer sous faux pavillon ne nous aura pas sauvés. Nous ne sommes pas en capacités de nous battre, nous ne le ferons qu'en dernier recours. Voyons ce qu'ils nous veulent...

Les pirates approchèrent et gueulèrent dans leurs mégaphones. Un officier alla voir le capitaine.

- Monsieur, je me porte volontaire pour servir d'intermédiaire.

- Ce n'est pas la peine officier, un capitaine doit avoir le sens du sacrifice et des responsabilités, j'irais, et je vous fais confiance pour naviguer s'il m'arrivait quelque chose. En cas de problème, prenez soin de ce bateau, c'est toute ma vie...

Le capitaine sorti et monta abord d'une vedette.

- Que nous voulez-vous ?

https://s.france24.com/media/display/ca66e00a-1331-11e9-823c-005056a964fe/w:980/p:16x9/ezadeen-2.jpg
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