[DEFENSE] Les unités de l'armée de terre de la République Faravanienne
Posté le : 12 fév. 2024 à 23:48:39
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Posté le : 14 fév. 2024 à 02:01:10
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6ème division d'aérocombat de la garde républicaine

La 6ème division d'aérocombat de la garde républicaine (6-8 Air Cavalry Division of the Guard ou 6-e Air Cav. Div. Gd.), créée le 15 janvier 1981 et réactivée le 27 octobre 2012, est un des chantiers les plus novateurs des forces armées faravaniennes. En effet, à l'époque de sa création, la mise sur pied de cette unité aéromobile valide l'idée d'un combat en profondeur mené depuis la 3ème dimension. Comme les autres divisions de l'armée de terre, son rôle principal est de générer les forces nécessaires à l'élaboration de brigades interarmes ad hoc composées de groupements tactiques interarmes.
L'Aviation légère de l'Armée de terre, créée au départ dans un soucis de renseignement au profit de l'artillerie, migre rapidement vers l'aéromobilité avec les hélicoptères de manœuvre ce qui apporte un palliatif au transport rapide des troupes. Cependant la greffe d'armée air-sol sur un hélicoptères va amener cette arme à devenir ce coup de poing antichar et hautement mobile de la 3ème dimension. La 6ème division d'aérocombat de la garde républicaine compense ainsi sa « légèreté » par un mouvement rapide et déconcentré. La force de frappe ne se cantonne plus à des tirs sol/sol mais crée un coup de poing air/sol.
La 6ème division d'aérocombat de la garde républicaine, d'un point de vue territorial, est principalement concentrée dans la région militaire de Bandarhan, et reprend les traditions de la défunte 6ème division blindée de la garde républicaine. Cette dernière avait reçue ses lettres de noblesse en étant élevée a la distinction de la garde républicaine, distinction que la nouvelle division d'aérocombat gardera. Cette nouvelle unité est un des grands chantiers de la réforme de l'armée de terre. Sa mise sur pied a été décidée de par la loi de programmation pour les années 1980-1985 devenant une composante essentielle de la nouvellement créée Force d'Action Rapide en vertu de ses perspectives de puissance de feu et de mobilité.
A cet effet, afin d'en préciser le cadre d'emploi et d'en déterminer l'efficience des structures, une brigade aéromobile expérimentale fut été mise en place. Cette brigade expérimentale comprend alors les 1er et 3ème régiments d'hélicoptères et le 1er régiment d' infanterie qui sont trois éléments organiques de l'Armée de Terre. Cette brigade expérimentale va rapidement se transformer en 6ème division blindée de la garde républicaine et devenir le symbole de la transformation de l'Armée de Terre faravanienne.
Cependant, les moyens de cette unité ne permettent pas un engagement sur plan large du fait de ses moyens encore limités. En effet, il apparait que l'utilisation des moyens antichars des hélicoptères de combat et du régiment d'infanterie permet l'attrition des moyens blindés d'une à deux divisions blindées adverses. De plus de par l’inexistence de moyens héliportés suffisants la division demeure grandement affaiblie comparée a ses semblables de l'Armée de Terre.
C'est alors trois régiments d'hélicoptères à effectif moindre dans les corps d'armée (soit 150 engins au total se décomposant en 30 hélicoptères de reconnaissance « canon », 60 hélicoptères antichars et 60 hélicoptères de manœuvre pour les trois unités avec renfort des écoles) ce qui affaiblit l'action de la 6ème division d'aérocombat de la garde républicaine.
Ces 150 engins seront alors progressivement renforcés par 250 aéronefs supplémentaires afin de permettre de pousser l'action antichar en passant à 100 plateformes dédiées attaque, de permettre un accroissement de la charge de transport divisionnaire en passant à 200 engins de manœuvre et de densifier la protection divisionnaire en passant à 100 aéronefs dotés d'un canons pour les missions d'appui et de reconnaissance. In fine, c'est 5 autre régiments d'hélicoptères qui seront levés pour accommoder cette force formidable, venant porter leur nombre total a 8.
Cependant et faute de moyens, le choix a été fait à la période charnière entre les lois de programmation de 1990-1995 et 1995-2000 de dissoudre la division. Les régiments se retrouvent alors dispersés en soutien des autres grandes unités combattantes de l'Armée de Terre. Les 8 régiments seront quant a eux conservés, mais a une force bien moindre de leur état original. Il fut alors proposé de réduire les régiments au statu de bataillon d'hélicoptères. Il n'en sera rien.
Au 27 octobre 2012, la 6ème division d'aérocombat de la garde républicaine est réactivée et viens renforcer les rangs de l'Armée de Terre qui avait perdue sa seule grande unité héliportée. Les régiments qui la composaient sont de nouveau regroupés ensemble, des modifications étant apportées pour moderniser la division. Nouveauté issue de la modernisation, les 7ème et 8ème régiments d'hélicoptères de combat deviennent des régiments d'hélicoptères des forces spéciales, destinés a soutenir l'action de ces derniers. Il fut ainsi considéré de diviser la division en deux brigades, tirant profit de sa symétrie afin de permettre une plus grande flexibilité. Ce plan sera abandonné du fait de la légèreté de la division, que l'on pourrait par ailleurs plutôt qualifier de « grosse brigade ». Une division classique est en effet composée de 3 brigades de 9 régiments chacun, contre les 10 de la 6ème division d'aérocombat de la garde républicaine. L'organisation de cette division aéromobile telle qu'elle est réactivée est ainsi faite en termes d'unités de mêlée, d'appui et de soutien :

Cette grande unité, forte de plus de 10 000 hommes, dotée de 3 000 véhicules divers dont 400 hélicoptères, comprend donc :
Sept unités de mêlée :
- Deux régiments d'hélicoptères des forces spéciales se répartissant chacun :
- Une escadrille de commandement,
- Une escadrille de reconnaissance mettant en œuvre les hélicoptère léger polyvalent IAF-525 « Ghazal » (Gazelle),
- Une escadrille de combat mettant en œuvre les hélicoptères d'attaque IAF-550 « Bofalo » (Bison),
- Une escadrille de manœuvre mettant en œuvre les hélicoptères de transport moyen IAF-107 « Temsah » (Crocodile),
- Une escadrille de manœuvre lourde mettant en œuvre les hélicoptères de transport lourd IAF-140 « Kayman » (Caïman),
- Une escadrille de manœuvre hybride mettant en œuvre les appareils de transport hybride IAF-220 « Susmar» (Alligator),
- Une escadrille de soutien et de ravitaillement.
- Quatre régiments d'hélicoptères de combat se répartissant chacun :
- Une escadrille de commandement,
- Une escadrille de reconnaissance mettant en œuvre les hélicoptère léger polyvalent IAF-525 « Ghaza » (Gazelle),
- Une escadrille d'appui-protection dédiée a la protection de la reconnaissance, des flancs et de la lutte anti-aérienne, elle aussi mettant en œuvre les hélicoptères léger polyvalent IAF-525 « Ghazal » (Gazelle),
- Deux escadrilles de combat mettant en œuvre les hélicoptères d'attaque IAF-550 « Bofalo » (Bison),
- Une escadrille de manœuvre mettant en œuvre les hélicoptères de transport moyen IAF-107 « Temsah » (Crocodile),
- Une escadrille de soutien et de ravitaillement.
- Un régiment d'infanterie aéromobile s'organisant en :
- Une compagnie de commandement et de soutien,
- Trois compagnies d'éclairage et d'appui,
- Une compagnie légère de renseignement,
- Une compagnie d'appui sol / air,
- Une compagnie de contre mobilité issue du génie.
Trois unités de soutien :
- Un régiment d'hélicoptères de commandement et de manœuvre disposant de :
- Une escadrille de commandement et de quartier général (unité de commandement de la 6ème division d'aérocombat de la garde républicaine),
- Deux escadrilles de manœuvre dont une d'hélicoptères de commandement, mettant en œuvre les hélicoptères de transport moyen IAF-107 « Temsah » (Crocodile),
- Deux escadrilles de manœuvre lourde mettant en œuvre les hélicoptères de transport lourd IAF-140 « Kayman » (Caïman),
- Une escadrille de manœuvre hybride mettant en œuvre les appareils de transport hybride IAF-220 « Susmar» (Alligator),
- Une compagnie de transmission divisionnaire,
- Une escadrille de commandement, de soutien et de ravitaillement.
- Un régiment d'hélicoptères de manœuvre disposant de :
- Une escadrille de commandement,
- Deux escadrilles de manœuvre mettant en œuvre les hélicoptères de transport moyen IAF-107 « Temsah » (Crocodile),
- Une escadrille de manœuvre lourde mettant en œuvre les hélicoptères de transport lourd IAF-140 « Kayman » (Caïman),
- Deux escadrilles de manœuvre hybride mettant en œuvre les appareils de transport hybride IAF-220 « Susmar» (Alligator),
- Une escadrille de soutien et de ravitaillement.
- Un régiment de soutien aéromobile s'organisant en :
- Une compagnie de commandement de de soutien,
- Un escadron de transport mixte,
- Une antenne chirurgicale avancée,
- Deux compagnies de maintenance,
- Une compagnie d'approvisionnement.
La 6ème division d'aérocombat de la garde républicaine est donc théoriquement équipée d'un matériel de combat spécifique listé ci-dessous :
Aéronefs (à raison de dix engins par escadrille) :
- 100 hélicoptère léger polyvalent IAF-525 « Ghazal » (Gazelle),
- 100 hélicoptères d'attaque IAF-550 « Bofalo » (Bison),
- 100 hélicoptères de transport moyen IAF-107 « Temsah » (Crocodile),
- 50 hélicoptères de transport lourd IAF-140 « Kayman » (Caïman),
- 50 appareils de transport hybride IAF-220 « Susmar» (Alligator).
Véhicules :
Une dizaine de type de véhicules routiers lourds et légers, embarqués ou non, aérotransportables ou non.
Armements :
Canons, missiles anti-char, missiles anti-air, roquettes, armement guidé en tout genre.
Posté le : 06 sep. 2025 à 20:32:22
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3ème Division de Cavalerie Blindée de la Garde Républicaine

La 3ème Division de Cavalerie Blindée de la Garde Républicaine (3-e Cavalry Division of the Guard ou 3-e Cav. Gd.), réactivée le 11 juin 2017, est l'héritière des grandes divisions blindées faravaniennes. Créées au début du XXème siècle, elles reprennent les traditions des unités de cavalerie persane traditionnelles. Cette arme relativement récente est issue des transformations dans les domaines de l’automobile qui ont permis la création de véhicules blindés lourdement armés. La 3ème Division est aujourd’hui l’unique grande unité blindée de l’Armée de Terre faravanienne, dans la garde républicaine et dans les unités classiques. Comme les autres divisions de l'armée de terre, son rôle principal est de générer les forces nécessaires à l'élaboration de brigades interarmes ad hoc composées de groupements tactiques interarmes.
La cavalerie blindée comporte la principale force de combat terrestre de l’Armée de Terre faravanienne. Les blindés sont le cœur du dispositif terrestre en formant un bloc renforcé capable de délivrer le feu au contact de l’adversaire, si nécessaire d’encaisser un feu nourri, tout en détruisant les unités blindés adverses. Considérée comme étant le principal outil de mêlée des forces terrestres, la division blindée emploi des véhicules lourds, fortement protégés et armés en conséquence. Si elle n’emploie pas uniquement que des chars, elle se repose majoritairement sur ces derniers et son infanterie est mécanisée. Contrairement aux divisions plus légères qui usent de leur grande mobilité pour agir, la division blindée va au combat frontalement. Elle utilise sa puissance de feu pour créer une brèche dans le dispositif adverse et elle l’exploite pour s'engouffrer dedans.
La 3ème Division de Cavalerie Blindée de la Garde Républicaine, d'un point de vue territorial, est principalement concentrée dans la région militaire de Sabriz. Elle est aujourd’hui la seule à reprendre les traditions de la redoutable cavalerie persane. Forte d’une longue expérience au combat, les faits d’arme de la division l’ont élevée à la distinction honorifique d’unité de la Garde Républicaine. Rétablie en 2018, sa mission est de renforcer l’armée de terre faravanienne en lui octroyant une capacité de mêlée endurcie à grande échelle. La 3ème Division compose ainsi le cœur de la force opérationnelle terrestre de la nation.
A cet effet, il a été prévu dès l’inception de la Division d’en faire une unité de très grande taille. Cela permet de générer des unités de combat complètes et autonomes capables de répondre à toutes les crises. Sur l’ensemble des théâtres de guerre ou le Faravan sera présent, la 3ème Division tiendra la ligne. Afin de répondre à ces objectifs ambitieux, l’unité est dotée de trois brigades de combat. Concentrant environ 30000 combattants et plusieurs milliers de véhicules dont plusieurs centaines de chars de combat, il s’agit d’une Division aux dimensions spectaculaires. C’est 31 régiments aux spécialités diverses qui la composent. L'organisation de cette division blindée telle qu'elle est réactivée est ainsi faite en termes d'unités de mêlée, d'appui et de soutien :

En tout, la division concentre 360 chars de combat principaux, 180 chars légers, 350 véhicules de combat d’infanterie, 140 transports de troupe blindés et 1480 véhicules blindés légers. On compte également 54 canons automoteurs, 40 lance-roquettes multiples, 30 canons antiaériens mobiles et 20 lance-missiles antiaériens mobiles. Sont également présents des véhicules spécialisés, tels que 11 radars, 39 véhicules radio, 20 bulldozers, 20 véhicules de déminage, 10 ponts mobiles et 42 chars de dépannage. A cela s’ajoutent 290 véhicules légers tout terrain, 990 camions, 170 camions citerne, 10 autobus et 20 utilitaires.
La 3ème Division de Cavalerie Blindée de la Garde Républicaine se décompose en 6 régiments de cavalerie lourde, 3 régiments de cavalerie légère, 7 régiments d’infanterie mécanisée, 2 régiments d’infanterie, 5 régiments d’artillerie, 3 régiments de transmission, 5 régiments de soutien et 1 régiment du génie.
Deux brigades blindées lourdes assurent la force de frappe principale de la division. Elles regroupent les éléments les plus blindés et les articulent de façon à ce qu'elles soient en mesure de percer les lignes adverses. La brigade d'infanterie mécanisée les accompagne et s'assure de la sécurisation des lignes de front, des arrières et des flancs en cas de percée par les éléments blindés. Cette combinaison permet de conserver l'initiative en toutes circonstances en coordonnant des moyens puissants. D'autres unités accompagnent ces brigades et ont la mission de soutenir ces dernières. C'est par exemple le cas des éléments divisionnaire d'artillerie, sol-sol comme sol-air, ou encore le soutien matériel.
Nous allons à présent rentrer d'avantages dans le détail des unités qui composent la division, leur rôle et leur ordre de bataille.

On retrouve au premier plan les régiments de cavalerie Aswaran, véritable cœur de la 3ème Division. Ces régiments de char de combat lourd sont littéralement le fer de lance de la division et de l’armée de terre faravanienne. Ils sont la raison d’être de cette grande unité et regroupent en conséquence les blindés les plus lourds. Ces régiments reprennent les traditions de l’antique cavalerie lourde Aswaran qui ont dominé les champs de bataille des empires perses. Ces chevaliers sur-armés étaient la colonne vertébrale des armées d’alors et prenaient le rôle de cataphractaires. Reprenant cet héritage honorable, les régiments contemporains utilisent leur puissance de feu et leur épais blindage pour percer les lignes adverses. Cette manœuvre doit permettre de déstabiliser l’adversaire pour conserver l’initiative et ainsi remporter la victoire. En raison de leurs traditions de cavalerie, les compagnies prennent à la place la dénomination d’escadrons.
Ces régiments, au nombre de 6 dans la division (soit 3 régiments dans chaque brigade blindée), sont composés de 7 escadrons :
- Un escadron de commandement, mettant en oeuvre 3 chars de combat de commandement, 3 véhicules blindés légers, 8 véhicules légers tout-terrain et 5 camions de transport,
- Trois escadrons blindés, mettant en oeuvre 19 chars de combat, 19 véhicules blindés légers et 4 camions de transport,
- Un escadron de reconnaissance, mettant en oeuvre 40 véhicules blindés légers de reconnaissance,
- Un escadron anti chars, mettant en oeuvre 40 véhicules blindés légers dotés en missiles anti-chars,
- Un escadron de soutien, mettant en œuvre 2 véhicules légers tout-terrain, 3 camions de transport et 2 chars de dépannage.
En tout, un régiment Aswaran regroupe 60 chars de combat, 100 véhicules blindés légers, 10 véhicules légers tout-terrain, 20 camions de transport et 2 chars de dépannage.

Également central à la 3ème Division se trouvent les régiments de cavalerie Dehqan. Ces régiments de chars légers se basent sur l’organisation de la cavalerie Aswaran mais en utilisant du matériel plus léger. Ces régiments reprennent également les traditions d’unités de cavalerie antique. Les cavaliers Dehqan étaient plus légèrement armés que leurs homologues Aswaran. Utilisant principalement des lances et des arcs, cette force mobile appuyait les armées persanes. Les régiments contemporains utilisent leur mobilité plus importante pour conduire les missions de reconnaissance en force. Ils informent le reste de leur brigade des positions adverses et tirent parti de leur puissance de feu pour exploiter les faiblesses de l'ennemi. Les Dehqan sont également en mesure de couvrir les flancs d’une offensive blindée lourde en se déplaçant avec les chars de combat principaux. Similairement aux autres traditions de cavalerie, les compagnies prennent à la place la dénomination d’escadrons.
Ces régiments, au nombre de 3 dans la division (soit 1 régiments dans chaque brigade de combat), sont composés de 7 escadrons. Leur organisation ressemble à celle des régiments Aswaran :
- Un escadron de commandement, mettant en oeuvre 3 chars légers de commandement, 3 véhicules blindés légers, 8 véhicules légers tout-terrain et 5 camions de transport,
- Trois escadrons blindés, mettant en oeuvre 19 chars légers, 19 véhicules blindés légers et 4 camions de transport,
- Un escadron de reconnaissance, mettant en oeuvre 40 véhicules blindés légers de reconnaissance,
- Un escadron anti chars, mettant en oeuvre 40 véhicules blindés légers dotés en missiles anti-chars,
- Un escadron de soutien, mettant en œuvre 2 véhicules légers tout-terrain, 3 camions de transport et 2 chars de dépannage.
En tout, un régiment Dehqan regroupe 60 chars légers, 100 véhicules blindés légers, 10 véhicules légers tout-terrain, 20 camions de transport et 2 chars de dépannage.

Les régiments d’infanterie Daylam fournissent à la 3ème division une infanterie lourde et mécanisée. L’infanterie organique est cruciale à une division, même blindée. Dans le cas de la 3ème division et de son trait blindé lourd, la majorité de l’infanterie est protégée par des véhicules blindés. Encore une fois, ces régiments puisent dans les traditions antiques du pays en honorant les faits d’armes des Daylamites. Ce peuple de guerriers est issu des montagnes Nord du Faravan. Il est connu pour avoir fourni aux armées persanes une infanterie aux qualités martiales impressionnantes. Se distinguant au combat rapproché, ils employaient le plus souvent des boucliers pour se battre. Ils sont également renommés pour leur grande autonomie et résilience sur le champ de bataille. D’autant de traits qui font écho aux régiments d’infanterie contemporains. En effet, cette infanterie mécanisée se voit conférée une grande mobilité en plus d’une puissance de feu considérable. L’utilisation de véhicules de combat d’infanterie permet une bonne synergie avec le cœur blindé de la division. Ces régiments sont ainsi en mesure d’accompagner l'effort blindé principal et de couvrir son avancée. L’infanterie apporte une certaine souplesse qui est appréciable pour garder les flancs, assurer la sécurité des unités blindés ou conduire un assaut interarmes.
Ces régiments sont au nombre de 7 dans la division (soit 2 régiments les brigades blindées et 3 dans la brigade d’infanterie mécanisée). 7 compagnies leurs sont également rattachées dans leur ordre de bataille :
- Une compagnie de commandement, mettant en oeuvre 2 véhicules de combat d’infanterie de commandement, 4 véhicules blindés légers, 8 véhicules légers tout-terrain et 5 camions de transport,
- Quatres compagnies d’infanterie mécanisée, mettant en oeuvre 12 véhicules de combat d’infanterie, 4 véhicules blindés légers et 4 camions de transport,
- Une compagnie d’appui, mettant en œuvre 20 véhicules blindés légers et 4 camions de transport. Cette compagnie spéciale est chargée du renseignement dans la profondeur ou encore des actions chocs. Elle vise à faciliter l’engagement du régiment par des actions commando,
- Une compagnie de soutien, mettant en œuvre 2 véhicules légers tout-terrain, 5 camions de transport et 2 chars de dépannage.
En tout, un régiment Daylam regroupe 50 véhicules de combat d’infanterie, 40 véhicules blindés légers, 10 véhicules légers tout-terrain, 30 camions de transport et 2 chars de dépannage.

Les régiments d’infanterie Paighan sont le pendant mobile des unités mécanisées Daylam. Les régiments Paighan suivent le même principe d’organisation que ces derniers mais utilisent des véhicules à roue plus légers. C’est l’unité d’infanterie de base dans l’armée faravanienne. Elle occupe néanmoins une place de second rang dans la 3ème Division. Cela est dû à la nature blindée de la division et des difficultés d’intégration entre les unités plus lourdes et plus légères. Les régiments Paighan reprennent les traditions de l’infanterie persane éponyme. Cette dernière était la principale force de conscrits de l’époque antique. Elle composait le gros des forces d’infanterie déployées sur le champ de bataille. Cette infanterie se distinguait par sa légèreté, tant dans son armement que dans ses protections. Cela la rendait plus vulnérable que de l’infanterie lourde mais lui permettait d’être plus mobile et moins cher a entretenir. L’utilisation de transports de troupes blindés offre une grande mobilité à l’infanterie. Cette mobilité se gagne au dépend de la protection et de la puissance de feu de l’infanterie. L’utilisation des Paighan n’est donc pas aussi frontale que pour le reste des unités de mêlée qui composent cette division. En revanche, son positionnement en deuxième ligne permet de disposer d’une réserve capable d’intervenir rapidement pour renforcer l’effort principal ou en cas de contre offensive adverse. Malgré sa légèreté, cette infanterie reste particulièrement efficace grâce à l’armement qu’elle emploie. Les actions débarquées plus lentes et les milieux fermés sont les conditions que ces unités privilégient pour se battre. Les Paighan seront par exemple particulièrement adaptés au combat léger. Cette bonne complémentarité aux forces blindées explique le rattachement des régiments à la 3ème Division.
On compte deux de ces régiments dans la division, tous deux inclus dans la brigade d’infanterie mécanisée. Leur organisation ressemble aux régiments d’infanterie Daylam :
- Une compagnie de commandement, mettant en oeuvre 2 transports de troupes blindés de commandement, 4 véhicules blindés légers, 8 véhicules légers tout-terrain et 5 camions de transport,
- Quatres compagnies d’infanterie mécanisée, mettant en oeuvre 12 transports de troupes blindés, 4 véhicules blindés légers et 4 camions de transport,
- Une compagnie d’appui, mettant en œuvre 20 véhicules blindés légers et 4 camions de transport. Il s’agit du même type de compagnie que celles incluses dans les régiments Daylam,
- Une compagnie de soutien, mettant en œuvre 2 véhicules légers tout-terrain, et 5 camions de transport. Les véhicules de dépannage spécialisés ne sont pas jugés nécessaires dans ces types de régiments du fait de leur légèreté.
En tout, un régiment Paighan regroupe 50 transports de troupes blindés, 40 véhicules blindés légers, 10 véhicules légers tout-terrain et 30 camions de transport.

Les régiments d’artillerie sont les unités d’appui feu indirect organique aux différentes brigades de mêlée de la 3ème Division. Ils apportent à ces brigades un soutien en artillerie sol-sol et en défense aérienne courte portée. Leur rôle est de répondre aux différents besoins en appui feu des unités de leurs brigades. A ce titre, ils se déplacent en même temps que la brigade et sont donc plus flexibles que leurs pendants plus lourds. Leur utilisation est fondamentalement tactique et répond directement aux besoins du champ de bataille. Pour cette raison, les ordres de tirs peuvent provenir directement des unités au front sans passer par le commandement de brigade. L'accent de ces régiments est mis sur la mobilité. Pour cette raison, l'ensemble des pièces d'artillerie sont autoportées. Il en va de même pour les systèmes de défense sol-air qui accompagnent directement les formations blindées au contact. Les pièces d'artillerie autoportées sont également plus résilientes que des pièces traitées. En raison de leur blindage ou de leur mobilité, elles se trouvent moins vulnérables. Elles sont donc davantage adaptées au combat lourdement mécanisé. La logistique des obus étant particulièrement lourde, l'échelon du train de ces régiments se trouve renforcé. En raison de leurs traditions d'artilleurs, les compagnies prennent à la place la dénomination de batteries.
On compte trois régiments d'artillerie dans la division, soit un par brigade de mêlée. Ils sont composés de 7 batteries :
- Une batterie de commandement, mettant en oeuvre 2 véhicules blindés légers et 2 camions de transport,
- Trois batteries d’artillerie, mettant en oeuvre 6 canons automoteurs, 2 véhicules blindés légers et 2 camions de transport,
- Une batterie d’artillerie sol-air, mettant en œuvre 10 canons antiaériens mobiles, 1 véhicule radar, 4 véhicules blindés légers et 4 camions de transport,
- Une batterie d’acquisition, mettant en œuvre 1 véhicule radar, 1 véhicule de transmission radio et 8 véhicules blindés légers. Cette batterie est chargée de désigner les cibles pour les batteries d’artillerie. Grâce à son radar sol elle peut détecter les mouvements de troupes au sol et diriger les tirs de contre batterie,
- Une batterie de soutien, mettant en œuvre 8 camions de transport.
En tout, un régiment d’artillerie regroupe 18 canons automoteurs, 10 canons antiaériens mobiles, 2 véhicules radar, 1 véhicule de transmission radio, 20 véhicules blindés légers et 20 camions de transport.
Le régiment d’artillerie lourde est le cousin plus lourdement armé des régiments d’artillerie classique. C’est l’unité dédiée pour l’appui feu indirect stratégique de la 3ème Division. Ce régiment apporte une option de frappe haute précision et longue portée directement au commandement de la division. En s’approchant au maximum du front, les frappes peuvent être conduites en profondeur du dispositif adverse. Cette capacité permet d’atteindre des objectifs stratégiques tels que des postes de commandement et de communication, des dépôts logistiques, etc. L’artillerie lourde peut également être employée contre des positions fortifiées en préparation d’un assaut. Enfin, leur appui feu peut également être apporté plus directement au champ de bataille dans un cadre davantage tactique. Néanmoins, leur aspect plus lourd que les régiments d’artillerie classique implique un temps de réaction plus lent. En conséquence, ils ne seront pas autant aptes à soutenir une action que des canons automoteurs. Afin de fournir cette capacité de frappe stratégique, le régiment d’artillerie lourde emploi des lances roquettes multiples. Les missiles tirés disposent d’une grande précision et d’une allonge pouvant aller jusqu'à la centaine de kilomètres. Leur dotation en charges hautement explosives ou à sous-munitions confère une flexibilité dans l’emploi en fonction des cibles à détruire. En raison de la portée de ces munitions, le régiment n’est pas doté d’une batterie d’acquisition. A la place, le ciblage est effectué par d’autres moyens stratégiques organiques à la division ou extérieurs à l’unité. Ce régiment possède également des traditions d'artilleurs, les compagnies prennent donc à la place la dénomination de batteries.
Un seul régiment d’artillerie lourde est présent dans la division. Il se trouve placé sous commandement divisionnaire. 6 batteries le compose :
- Une batterie de commandement,
- Quatre batteries d’artillerie lourde,
- Une batterie de soutien.
(Voir l’ordre de bataille de la division pour l’organisation détaillée)
En tout, un régiment d’artillerie lourde regroupe 40 lances roquettes multiples, 1 véhicule de transmission radio, 20 véhicules blindés légers et 20 camions de transport.
Le régiment d’artillerie sol-air est l’unité de protection dédiée de la 3ème Division contre les menaces aériennes. Plus spécifiquement, les lances missiles anti-aériens mobiles employés permettent une défense contre les cibles aériennes et, dans une moindre mesure, contre les cibles balistiques. Les systèmes sol-air permettent d’établir une bulle d’interdiction dans laquelle la division peut évoluer en toute sécurité. En plus de cela, l’unité est chargée d’assurer la défense des positions fixes de la division et de ses assets à haute valeur ajoutée. C’est le cas des centres de commandement et de communication, des dépôts logistiques et autres. En raison des caractéristiques techniques de ce matériel de défense sol-air, il se retrouve incapable d’accompagner directement les mouvements de la division. En effet, les batteries sont semi mobiles, empruntant des positions fixes pour s’activer puis reprenant le mouvement pour atteindre une nouvelle position fixe. Dans la mesure où ces lances missiles anti-aériens mobiles ne peuvent pas tirer en mouvement, plusieurs unités se relaient afin de fournir une couverture permanente aux troupes en mouvement. A ce titre, le régiment d’artillerie sol-air complète les défenses courte portée qui manoeuvrent en même temps que les brigades. En employant des systèmes à courte et longue portée, plusieurs couches de défense protègent la division. De cette façon, l’ensemble des menaces du spectre peuvent être traités par l’outil adapté dans un réseau complet et intégré. Tout comme les régiments d’artillerie classiques, ce régiment possède également des traditions d'artilleurs, les compagnies prennent donc à la place la dénomination de batteries.
Un seul régiment d’artillerie sol-air est présent dans la division. Il se trouve placé sous commandement divisionnaire. 6 batteries le compose :
- Une batterie de commandement,
- Quatre batteries d’artillerie sol-air,
- Une batterie de soutien.
(Voir l’ordre de bataille de la division pour l’organisation détaillée)
En tout, un régiment d’artillerie lourde regroupe 20 lances missiles anti-aériens mobiles, 5 véhicules radar, 5 véhicules de transmission radio, 10 camions citernes, 20 véhicules légers tout-terrain et 30 camions de transport.
Le régiment de combat du génie est le principal acteur de mobilité et de contre-mobilité de la 3ème Division. Grâce à ses sapeurs, il agit pour faciliter la manœuvre des unités de la division en ouvrant des axes de progression et en entravant la manœuvre adverse. Ses missions sont variées et multiples, on peut néanmoins les catégoriser en 4 spécificités distinctes. Il revient ainsi aux sapeurs du génie de conduire les missions de démolition. Dans ce cadre, ils sont habilités à l’emploi d’explosifs de toutes sortes. Grâce à cela, les sapeurs sont en mesure de créer une brèche et permettre d’ouvrir un nouvel itinéraire pour les unités de la division. Au contraire, ils peuvent employer leurs explosifs pour détruire des infrastructures ou points d'accès. Ces actions sont privilégiées dans des scénarios défensifs afin de contraindre l’adversaire dans ses mouvements. Ces sapeurs disposent également d’unités spéciales de plongeurs pour accomplir leurs missions. Pour les aider dans ces missions de démolition, les sapeurs mettent également en œuvre des engins lourds tels que des bulldozers. Ces derniers peuvent aider à la création de brèche ou au contraire à modeler l'environnement de combat en faveur de la division, notamment dans un cadre urbain. Le déminage est une autre mission du régiment dans laquelle les sapeurs utilisent leurs véhicules spécialisés pour contrer les mines et explosifs adverses. Ces engins peuvent être employés pour créer des brèches dans un dispositif de mines défensif tout comme ils peuvent contribuer à la sécurisation d’une zone. Le régiment est également doté de ponts flottants permettant de remplir la mission de franchissement. Ainsi, grâce à ce matériel spécialisé, la division peut franchir les coupures humides (fleuves, etc). Cette capacité simplifie considérablement l’effort logistique de la division. Elle permet également aux commandants de choisir des axes de mobilités qui n’auraient pas pu être considérés autrement. Enfin, la dernière mission du régiment est de prendre en charge les crises nucléaires, radiologiques, bactériologiques et chimiques. Les sapeurs spécialisés peuvent identifier la menace et adopter la posture préférentielle pour la contrer.
Le régiment de combat du génie est unique dans la division. Il se trouve placé sous commandement divisionnaire. 8 compagnies le compose :
- Une compagnie de commandement,
- Deux compagnies de combat du génie, chacune dotée de 10 bulldozers,
- Deux compagnies de combat du génie démineurs, chacune dotée de 10 véhicules de déminage,
- Une compagnie de franchissement, dotée de 10 ponts mobiles,
- Une compagnie nucléaire, radiologique, bactériologique et chimique,
- Une compagnie de soutien.
(Voir l’ordre de bataille de la division pour l’organisation détaillée)
En tout, le régiment de combat du génie regroupe 20 bulldozers, 20 véhicules de déminage, 10 ponts mobiles, 10 transports de troupes blindés, 10 véhicules blindés légers, 10 véhicules légers tout-terrain et 30 camions de transport.
Les régiments de transmission sont les principaux acteurs des communications pour les brigades de la 3ème Division. Ces régiments assurent le maintien de toutes les forces de transmissions entre les unités de la division, tant hertziennes que informatiques. Elles installent et entretiennent le fonctionnement des télécommunications et systèmes d’informations des brigades. Une mission particulière de ce régiment est d’assurer le raccordement avec les systèmes de communications de l’Organisation des Nations Démocratiques. Le rôle principal des régiments de transmission reste la liaison entre les différentes unités, avec la hiérarchie, les unités subordonnées, les alliés, les autres grandes unités, etc. Un rôle secondaire de ces régiments de transmission réside également dans la guerre électronique. Par ce rôle, les unités de transmissions peuvent observer les mouvements de troupes adverses via leurs communications qui sont interceptées par des centres d’écoutes avancés.
Trois régiments de transmission sont présents dans la division, soit un par brigade de mêlée.
En tout, les régiments de transmission regroupent 10 véhicules de transmission radio, 10 transports de troupes blindés, 10 véhicules blindés légers et 20 camions de transport.
La brigade de soutien est l’unité centrale pour les questions de logistique de la 3ème Division. Elle répond directement au commandement divisionnaire afin d’optimiser les procédés. En lien avec les différents régiments de soutien des brigades, cette brigade est capable de répondre à tous les besoins logistiques. C’est pour cette raison que l’unité est élevée au rang de brigade, même s’il s’agit davantage d’un gros régiment dans les faits. Les missions de la brigade de soutien peuvent être sous-divisées en trois catégories majeures. La première est la fonction de la maintenance, assurée par le régiment du matériel. Ce régiment s’assure principalement du maintien en condition du matériel et, le cas échéant, de réparer les éventuelles avaries. On retrouve également un régiment du train dont la mission est la logistique au sens premier du terme. Le transport est donc au cœur de cette unité. Le transport de matériel en général occupe la majeure partie de l’activité du régiment. L’approvisionnement des forces au front en munitions et autre fret est également assuré par le train. Enfin, la gestion des énergies opérationnelles, à savoir les essences, revient à cette unité. La particularité de ce régiment est par ailleurs d’adopter des traditions de cavalerie. Ses compagnies sont donc appelées escadrons. La dernière mission assurée par la brigade de soutien est la centralisation des soins médicaux. Grâce à l’antenne chirurgicale qui lui est attachée, la brigade prend en charge les blessés pour triage, traitement et éventuellement évacuation vers les infrastructures médicales de l'arrière.
La brigade de soutien est unique dans la division, elle supervise deux régiments possédant chacun 6 compagnies ou escadrons. (Voir l’ordre de bataille de la division pour l’organisation détaillée)
On retrouve subordonné directement au commandement de la brigade :
- Une compagnie de commandement,
- Une antenne chirurgicale avancée.
Le régiment du matériel comprend :
- Une compagnie de commandement,
- Deux compagnies de maintenance,
- Deux compagnie du matériel,
- Une compagnie de soutien.
Le régiment du train comprend :
- Un escadron de commandement,
- Deux escadrons de transport mixte,
- Un escadron d’approvisionnement,
- Un escadron de logistique des essences,
- Un escadron de soutien.
En tout, la brigade de soutien regroupe 40 camions citerne, 10 chars de dépannage, 10 autobus, 10 véhicules utilitaires, 10 transports de troupes blindés, 10 véhicules blindés légers, 20 véhicules légers tout-terrain et 100 camions de transport.
Les régiments de soutien agissent comme l’échelon logistique pour les brigades de la 3ème Division. En lien avec la brigade de soutien, elles assurent la maintenance et le ravitaillement des unités de combat appartenant à leurs brigades respectives. A une échelle moindre que la brigade de soutien, ces régiments sont en mesure de réparer, d’assurer le maintien en conditions opérationnelles et d’acheminer le ravitaillement. En particulier, elles sont responsables pour approvisionner correctement les unités de combat de leurs brigades en répartissant la logistique qui leur est allouée. Ainsi, il reviendra typiquement aux régiments de soutien d’assurer le dernier kilomètre de logistique, entre les dépôts avancés et les unités sur la ligne de front. Ces unités sont essentielles au soutien de la division et doivent permettre aux unités de mêlée de pouvoir combattre sans relâcher la pression sur l’adversaire.
Trois régiments de soutien sont présents dans la division, soit un par brigade de mêlée.
En tout, les régiments de soutien regroupent 20 camions citerne, 10 véhicules blindés légers, 10 véhicules légers tout-terrain et 40 camions de transport.
