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ATELIERS DÉMOCRATES À OTUKHAN

En 2012, grâce aux efforts de tous les journalistes et celles des jeunes aykhanides qui désirent la liberté, nous avons pu changer notre gouvernement en une constitution après plus de 100 ans de monarchie absolue. Notre cause n’en est pas moins finis. Le règne Orhanien vient de commencer, et le Grand Bey ne pourra pas nous empêcher d’atteindre notre but. Le journal Fikr-i Hürriye (Liberté de l’idée) n’arrêtera pas tant que comme les autres nations, nous aussi prenons notre liberté. A l’évidence, la presse étant désormais libre, nous pouvons ouvertement vous offrir notre cause.
LibertéDePresse

Pour tous les jeunes voulant nous suivre, de toutes les villes de notre nation, la capitale Otukhan accueillera désormais les ateliers démocrates ! Nous allons ensemble travailler à rendre notre nation meilleure, car nous seuls savons ce qu’il y a de mieux pour nous. Ni les religieux, ni les beys ne nous empêcheront de faire de notre nation une nation idéale à nos besoins. Les ateliers démocrates seront dirigés par Sebahaddin Guermin Agha et ses compagnons. Comme les nationalistes et démocrates militaires nous ont offert la constitution, nous offrirons à nos futures enfants la liberté d’expression et toute autre liberté qui va avec. Le libéralisme est la solution !

Cette semaine le Grand Bey à fait un discours sur la liberté de la presse. Il à également évoqué de ne pas croire aux journaux étrangers. Qu’ils avaient des roses contaminées. Laissez nous vous rassurer que les journalistes étrangers sont les pionniers de la liberté dans le monde. Et que si il faut les suivre pour atteindre nos objectifs, nous le ferons. Comme on a pris de force la constitution et la liberté de presse, on prendra avec notre plume les autres libertés fondamentales. Si le Grand Bey est prêt à nous offrir cela, alors on le suivra également. Nous allons le faire de manière frappante et glorieuse ! Et nos noms et figures resteront dans les livres d’histoire comme “pionniers de la liberté aykhanide”.

Journaliste et poète Mehmed Namık / Hürriyet (Liberté) / 07/11/2012
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Presse: Gündem
Ahmed Şevfik Efendi
آهمد شوفيك افندى دوندن اونج، يانى ۰۴ / ۱۲ كونونده بيزلره بير متين سوندو، متنى شويليدى ؛ عضغرلى واتانداشلاريميز، ضولتيميزيم بكاسى ايچون، ولو بييميز ۱. ورهان ايلا وه نازارت-ى مالييه ايلا وه نزارت-ى داهيلييه ايلا كارار ورديغيميز پروژلرى سيزلره اينشآللاه شيموك اچيكلاياجاغيز. افنديلر، هانيمفنديلر، دولتيميزين كارارييلا وه آللاهين ايزنييل، اچتيغيميز ۳ بيليم مركزيندن سونرا، ساونما وه اسكرى دوروموموزودا ايلرلتمك ايچون، ينى اسكرى بينالار اچاجاغيز. ضولتيميزين ينى اناياساسينا اويكون، يوزيد سيلاهلى كووتلرى ايچون ايريجا بير كنل كوروم بيناسى اينشا تمكتييز! ع
Le 02 décembre le ministre du Nezaret des avancées technologiques, Ahmed Şevfik Efendi, nous à fait part avec un discours des projets "militaires et économiques du gouvernement". Nos journalistes vous redonnent ci-dessous le discours de notre ministre ;

"Très chers citoyens,
Pour la perpétuation de notre nation, nous allons vous parler, avec l'accord d'Allah, des projets que nous avons décidés d'entreprendre sous les instructions et la volonté du Grand Bey Orkhan Ier et avec la participation du Nezaret du trésor et des finances ainsi que du Nezaret de l’intérieur. Messieurs dames, avec la permission d'Allah, après l'ouverture de trois centres de recherches scientifique et technologique, nous avons conclu qu'il était nécessaire également d'investir dans le militaire. De ce fait, nous allons commencer les projets de construction militaire aussi tôt que possible, et je suis fier de vous annoncer, que notre gouvernement à décidé d'entreprendre la construction un tout nouveau bâtiment pour le quartier général de la défense, celui-ci sera, avec la permission de Dieu, à l'effigie de notre nouvelle constitution !"

Il peut être satisfaisant pour nos citoyens d'entendre ces nouvelles, mais une question se pose ; Alors que notre économie n'est que tout nouvellement formé avec la constitution, la construction d'autant de bâtiments qui vont coûter beaucoup sur le long et court terme, est-ce vraiment bon? Nous suivrons avec tous les journalistes de Gündem cette question pour vous tenir au courant de la situation économique du pays. Après quelques témoignages parmi le peuple et la jeune population d'Otukhan, nous voulons également faire remarquer que 78 % des étudiants d'Otukhan espèrent de nouveaux avancements dans les domaines de l'agriculture, de l'industrie et de la création de nouveaux métiers et université à travers du pays, nos citoyens pensent que la nation fait mal en privilégiant l'amélioration constante des grandes villes, qui pousse la population des autres villes et villages à quitter leur ville natale et rejoindre la capitale ou les grandes ville. Il est claire que tout ceci aura une mauvaise répercutions sur les métiers agricole qui sont de moins en moins privilégier. Nous allons suivre ceci et vous tenir au courant, à l'heure où vous lisez ce journal, nous avons déja entammé une discussion avec le ministre du Nezaret de l’industrie et de l’agriculture, son témoignage sera diffusé à la télé, comme également dans vos journaux.

Presse publique : Gündem (Nouvelles) / 04/12/2012 / Otukhan
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ENCORE COMBIEN DE TEMPS,
L’état va-t-il rester silencieux ?

Pendant des siècles et depuis Selim Ier, notre nation à manqué à son devoir. L’Union des beylicats stipulait qu’ils devaient s’entraider. Hors, les actions du Grand Bey et de son gouvernement n’atteignent pas ni ne projettent même pas d’améliorer la situation de nos citoyens en Guermin. Il est en notre devoir de vous montrer sous ces photos les conditions de vie des kusers, habitants des villages du désert de kuser, qui vivent dans des conditions que nos grandes villes n’ont plus connu depuis bien longtemps. Un journaliste guermin du journal Hürriyet sur place déclare dans son rapport ;

“Notre capitale et nos nouvelles grandes villes ne sont pas au courant, que dans notre pays, des gens vivent encore dans des conditions d’avant même le commencement de la civilisation. Ici, les gens ne se nourrissent que du lait de leur bétail, des champs sont présents, à des heures de marches de chez eux, ils se réveillent à 5 heures du matin, pour partir avec les enfants et les femmes dans les champs de Yeşilli Diyar, afin d’y travailler. Pourtant, ils ne profiteront pas de ces récoltes, car notre région possède des richesses que la nation manque à exploiter, ce qui fait que la région se trouve obligé de vendre plus de 80% de ses récoltes agricoles aux autres régions. Des capacités qu’on ignore se trouvent peut-être entre les mains des kusers, ces gens sont les pillier de notre confort, et nous leur rendons la vie plus dure encore à chaque fois que nous achetons et consommons des produits tel que l’orge produit principalement dans cette région.
Ce qui m’attriste, c’est de voir ces enfants qui travaillent toute la journée sous le soleil, pendant que nous vivons une période d’amusement et de luxe à Otukhan. Ils sont contraints à mettre des masques pour se protéger des produits utilisés dans les champs tout au long de la journée.”

Nous le savons, que d’autres pays avec une économie plus libéralistes n’ont pas recours à utiliser le travail des enfants par le biais de leur propre citoyens. Notre gouvernement doit trouver une solution, nous devons trouver une solution, pour que les enfants de kusers puissent accéder aux mektebs et à l’éducation religieuse comme nous le recevons dans nos villes et villages des régions d’Aykhan et de Marmar, ou encore de Kamar. Chaque année plus de 350 enfants meurts de maladies dues aux produits utilisées dans les champs, vous seules pouvez changer cela.

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Journaliste et poète Mehmed Namık / Hürriyet (Liberté) / 25/12/2012
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ARRESTATION DE MEHMET MUALIF EFENDI,
JUSTICE DOIT ÊTRE RENDU!!!

A la tête des mouvements libéralistes Aykhanides, Mehmet Mualif Efendi, a fierement manifesté avec le peuple en 2011 et 2012 pour renverser la monarchie absolue et instaurer la monarchie constitutionnelle élective que nous méritons. Né le 08 décembre 1979 à Muradköy, un village de Marmar, Mehmet Mualif raconte dans son livre biographique sa vie tourmentée dans une campagne du Grand Beylicat. Il y raconte comment à son enfance, la pauvreté, la misère et la famine régnait les villages les plus éloignés des grandes villes du pays. Il y explique avoir vécu ses pires années avant de pouvoir accéder aux études à l'âge de 17 ans seulement après avoir économiser la somme nécessaire de par son dure labeur dans les champs depuis ses 7 ans. Il y raconte comment les vieilles coutumes et valeurs de notre société ont fait reculer notre nation d'une dizaines d'années après la période d'or Sélimie. Comment nous sommes passés à vivre des réformes exemplaires multipliant la prospérité du pays tout entier à vivre des périodes improductif multipliant la famine et la maladie dans tous les recoins de la nation. En effet, après la période Sélimie, notre pays à négliger de suivre les réformes Sélimiennes et s'est retrouvée dans une impasse qui n'a fait que la faire reculer technologiquement et culturellement, nous sommes passée du conquérant unificateur Grand Bey Selim Ier à des Grand Beys incapables de sortir de leurs palais. Les Grandes Villes de Marmar et d'Aykhan vivaient dans la richesse et le luxe tandis que les autres beylicats subissaient la répressions et les conséquences du manque de budget financière. Ce sont nos illustres guides tels que Mehmet Mualif qui à fait révéillé le peuple des villes et villages du Grand Beylicat tout entier depuis 1998, ils ont fait réveillée le Grand Bey Mehmed Ier qui fut hélas incapable de comprendre et suivre les instructions du peuple affamée de liberté depuis bien longtemps. Alors, après avoir suivit les éminents Mehmet Mualif, Murad Tekim ou Ferhat Karakalp et bien encore, nous avons renversé le gouvernement aboli du Grand Bey Mehmet Ier, ainsi que de tous les beys du Grand Beylicat, et les avons éxecuter sur la place publique de chaque capitale Beylicale. Nous avons fait régner le sangs des nobles dans chaque ville et avons placés la grande famille dynastique d'Aykhan au palais de Muzaf hors de la capitale le temps de réinstaller une monarchie plus libérale. Nous sommes entrées avec la tête de Mehmed Ier accrochée sur une pique, dans le Sublime Palais qui autrefois était son foyer, et y avons festoyer notre liberté ! Nous y avons choisis les premiers élus du peuple dont Mehmet Mualif pour délibérer en aout 2011 du nouveau gouvernement à installer. Nous avons travaillée avec acharnement jusqu'en été 2012, remplissant les 1 an de discussion du nouveau gouvernement, et avons mis à la tête du Grand Beylicat le Grand Bey Orkhan Ier sous une monarchie constitutionnelle élective moderne et défenseur de la liberté et de l'équité!

Mouvement libéraliste et constitutionnelle de 2012

Hors le goût de notre liberté si durement acquis est visiblement restée dans le palais de certains, qui publiquement menacent la flemme plus éveillée que jamais du loup yözid. Mehmet Mualif fut arrêtée en fin 2012 même, lui que nous suivions avec fierté, qui à continuer à écrire et parler pour le bien de la nation, s'est fait sauvagement arrêtée dans sa maison pour avoir soit disant trahis la constitution qu'il à lui même rapportée au chevet du peuple en 2011 avec tous les élus du peuple. Il n'avait qu'évoquer les erreurs que nous devons encore à soigner pour rendre le Grand Beylicat Aykhanide plus puissante. Il n'avait fait que défendre, comme il l'a fait toute sa vie, les valeurs auxquels il croyait être le plus bon pour son peuple, pour tous ses frères et ses sœurs, pour toutes nos mères et nos pères. Comme il l'avait fait en 2011, il n'avait fait qu'informer nos concitoyens des vérités à affranchir pour nous faire atteindre l'essence absolue de l'Homme. Ses dires ne furent en aucun une menace contre le gouvernement constitutionnelle. Pourtant, en 2012, il nous fut interdit d'interagir avec les autorités compétentes concernant son arrestation, son tribunal même fut interdit d'accès prétextant que la salle était remplis. Nous savons aujourd'hui que c'était pour nous empêcher de voir les atrocités lui ayant été faite. Nous avons appris fin octobre, que le tribunal avait décidée de relayer l'affaire Mualif au Sublime Palais et au Grand Bey, nous savions dès ce moment la que la sanction de Mehmet Mualif Efendi allait être injuste. Le procureur n'avait aucune justification en demandant une telle chose, et pourtant, le juge Hasan Muazdin Efendi d'Iskenderun à accepter cette demande à la grande surprise générale. Nous avons suivis pour vous l'affaire jusqu'à sa fin, et avons appris dès l'annonce par irade-i şahane (sublime ordre/décret) sa sanction non méritée. Mehmet Mualif à été forcée d'être séparée de sa famille et de son peuple dont il était tant amoureux, pour vivre sur l'île Mezin pendant deux ans afin de prouver ou non son innocence et sa fidélité au Grand Bey. Il est tangible que ce châtiment était injustifié, pourtant, Mehmet Mualif à acceptée son sors et à pu nous promettre de revenir parmi nous. Ce sont les seuls paroles que nous avons pu entendre de lui avant son départ en bateau depuis Sinastopol. Nous étions inquiet de ne pas pouvoir lui parler, les autorités d'Iskenderun puis de Sinastopol ne faisaient de répeter que Mehmet ne souhaitait nous parler. Hors nous savons désormais que ce n'était pas la réalité, Mehmet Mualif nous à fait parvenir une lettre lui même expliquant sa situation à Mezin. Il dit y être enfermée de 16 heure jusqu'au matin à 10 heure, ne profitant de la journée que six heures avant de retourner à sa cellule sous terre. Il avait pourtant été fait la promesse de le laisser libre sur cette île. C'est attristant de voir comment la justice est respectée par le Gouvernement. Nous n'allons pas laisser passer un tel scandal, Mehmet Mualif mérite le revisite de son cas en justice, devant un tribunal compétent et non devant le Grand Bey! Les jeunes de Sinastopol ont déclaré vouloir se rassembler pour lui sur la place d'Ahmet Bey à Sinastopol le 25 avril afin de demander que justice soit rendu à Mehmet Mualif, "y seront attendus tous les suiveurs de la liberté et des droits humains!" déclare le président du groupe des jeunes solidaire yözid Akif Harzen Agha.

Journaliste et poète Mehmed Namık / Hürriyet (Liberté) / 20/04/2014
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LA QUATRIEME ANNEE CRUCIALE

Nous voila en moitié d’année 2015, à quelques mois seulement de la 4ème année de notre gouvernement et régime constitutionnel.En 2012, quand nous-nous sommes battus pour obtenir nos droits et pour rendre notre nation meilleure, nous rêvions et aspirions à faire retrouver sa gloire passée à notre nation. Nous, le peuple, souhaitons retrouver un gouvernement qui fonctionne, avec une économie qui fonctionne, surtout, avec un peuple qui marche main dans la main et un gouvernement qui le guide vers la gloire et la réussite. Ces rêves sont aujourd’hui réalité, nous avons tous les moyens de faire tout cela ; Il suffit de planter sa graine pour récolter son fruit. Il est du devoir de tout citoyen Aykhanide qui se respecte, et qui respecte ses concitoyens, d’aller voter et émettre une voix, pour que la voix du peuple à son état le plus pur et solide se fasse entendre et se fasse respecter. Il est impératif que tous nos citoyens se préparent dès aujourd’hui à s’informer sur la politique de notre nation en redressement. Il y a encore beaucoup à faire, la révolution et l’établissement de la constitution n’était que la première étape de l’avenir florissant qui nous attend réellement. Nous nous devons d'ores et déjà de nous préparer et même plus encore de faire notre entrée dans la politique de notre pays. Car tel est ce pourquoi nous nous sommes battus, tel est ce pourquoi nos frères, nos sœurs et nos parents se sont battus en 2012. Tel est le devoir qui nous à été destinée depuis des années même avant cela. Tel est l’ordre qui nous à été donné à l’acquisition de notre droit à la liberté et à la démocratie.

Qui dit 2016, dit quatrième année de notre belle et nouvelle constitution, et dit aussi quatrième année du parlement Aykhanide, quatrième année du gouvernement Aykhanide. L’enjeux est des plus importants, en 2012, le parlement à été élu avec un taux d’abstention bien trop faible par rapport aux élections beylicales. Avec une vraie mobilisation, la nouvelle composition de notre futur parlement de 2016 sera, nous le croyons, bien plus représentative de la réalité du peuple, de ce que les Aykhanides veulent réellement. Nous devons tant être excités qu’être inquiétés. Nous devons être excités par nos choix et notre participation pourra définir un avenir prospère et juste pour notre nation et son peuple, elle peut aussi au contraire, à cause de notre trop faible action et volonté nuire à notre pays et ses valeurs. Nous qui avons peiné à retrouver les valeurs réformistes et libérales de la période Sélimie, après l’unification des beylicats le 23 Avril 1911. A son 101ème anniversaire, nous avons fait reprendre du début les travaux de notre nation. Car après une glorieuse période, notre nation à vécu un réel âge sombre, c’est à cause d’un gouvernement incompétent, de fonctionnaires, d’une armée, d’entrepreneurs incompétents que notre nations qui pourtant était entièrement près à décoller s’est retrouver à retomber en plein envol. En revenant en arrière, nous avons promis que les mêmes erreurs de cette période ne seront plus commises, nous en avons fait le serment. Nous l’avons fait en l’honneur de l’unificateur et en l’honneur de tous ces compagnons qui ont durement travailler à préparer notre nation à un avenir glorieux dans ce monde qui nous était nouveau. Aujourd’hui, c’est aujourd’hui que notre nation va prendre un cap bien précis, que notre peuple va lui faire prendre celui-ci. Les 4 années qui suivront ces élections seront cruciales pour notre pays tout entier.

Grand Bey Orkhan Ier

Dans cette actualité, notre Grand Bey à porter un discours à la presse publique et au peuple qui nous devons dire nous à sembler claire et juste. Il est évident que notre Grand Bey, lui aussi ayant fait serment en 2012 de travailler pour le meilleure avenir de ce pays, à lui aussi la volonté que son peuple soit informé des enjeux de ces élections et de la responsabilité que chacun d'entre nous avons à jouer. Voici son discours à l’entrée du Sublime Palais d’Otukhan, choix de place montrant sa volonté de rapprochement du peuple.

“ J’exprime à tous mes citoyens, mes plus chères fidèles et enfants, la joie et l’honneur que j’éprouve de pouvoir consacrer un temps précis au projet que nous avons tous en commun; un avenir meilleur pour le Grand Beylicat. Depuis 2012, nous avons déjà fait de premiers pas de fondements, qui nous espérons vont permettre à notre nation de se redresser parmi les plus belles et puissantes. Je demande à Allah que cette quatrième année de notre nouveau régime se passe de la manière la plus bénéfique et juste. Qu’il nous accorde à nous en tant que peuple fidèle de ses demandes sa miséricorde. Qu’il bénisse notre voie car nous ne jurons que par lui. A cet honneur, je souhaite plus profondément encore paix et miséricorde pour l’âme de notre sublime ancêtre et mon grand-parent, le Grand Bey Selim Ier, ainsi qu’à tous ses compagnons et tous ses fidèles soldats faits martyrs durant la guerre de l’unification.

Nous avons de grands projets, et j’aimerais aussi l’annoncer, de grands futurs partenaires avec lesquels nous projetons de travailler pour le meilleure de notre nation. Je parle là tant de partenaires à l’intérieur qu’à l’extérieur de notre nation. Et pour ceux qui s’en inquiètent, nous ne laisserons aucune main dangereuse toucher à ne serait-ce qu’une poignée de terre sur notre sublime nation. Nous avons obtenu cette nation avec le sang, et nous ne la donnerons qu’avec du sang, jamais nous n’oublierons cette citation de nos ancêtres. Il va donc s’en dire qu’aucun des projets que nous entreprendrons ne nuira ni au territoire Aykhanide ni à son peuple. Ils leur seront au contraire tous les deux bénéfiques. Nous poursuivrons cependant la volonté du Grand Bey Selim Ier avec la volonté d’ouverture au monde. Je pense là à des nations qui ont vocation à devenir amis avec le nôtre, tel que l’Empire Raskenois, l’Azur ou le Jashuria. Nous connaissons la volonté de notre peuple, et n’oublions évidemment ni les projets de renforcement diplomatique avec des nations turciques ni les projets de renforcement diplomatique avec les nations islamique. Avec du temps, et avec de bons choix pris dans les élections qui arrivent, nous y parviendrons, si Allah le veut, très rapidement.

Concernant les affaires internes du pays, nous avons l’objectif ferme de poursuivre nos efforts dans nos projets sociaux, économiques et culturels, tant que sur l’éducation et la santé. Nous nous devons d'être une nation qui défend les plus démunies. Nous sommes un pays musulman, et il ne peut être tolérée que des fidèles ont faim dans une nation musulmane. Ce pourquoi nous comptons sérieusement travailler sur des projets d’organisations Vakf (aide humanitaire) tant pour notre peuple que d’autres peuples en dehors de notre territoire qui auraient besoin de nous. Si Allah le veut, nous allons également construire plus d’infrastructures, plus d'hôpitaux et plus de mekteb, de sorte à ce que dans les villages et villes les plus reculées de notre pays, nos enfants aient quand même accès à l’éducation et la santé. Nous sommes conscients des besoins du peuple, et feront en sorte de travailler pour elle du mieux que possible. Très bientôt, nos entreprises en énergies fossiles de gaz et de pétrole se verront également fleurir. Nous doublerons l’investissement dans notre industrie en énergies et ressources minérales que nous financerons grâce à nos projets de ventes de nos ressources agricoles et naturels excédentaires.Nous n’oublierons pas aussi notre armée et notre défense nationale, nous avons déja vendus plusieurs armes à l’étranger tel qu’à l’Azur en raison d’une nécessité de fonds, mais nous prévoyons dans un avenir proche de nous procurer, fabriquer et stocker nos propres armes pour notre propre armée. Notre ministère de la guerre, nous avons de la chance, fait un très bon boulot d’organisation au niveau des armées. “

Il est évident que notre Grand Bey projette un gouvernement plus ferme encore pour les élections de 2016, nous en attendons de même pour la parlement, qui nous devons l’avouer se doit d’être plus compétent et organiser. Suivez quotidiennement la politique de notre pays et n’oubliez de vous préparer aux élections !
Constitution Aykhanide
Journaliste et poète Mehmed Namık / Hürriyet (Liberté) / 29/07/2015 [/left]
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Presse: Gündem

LA VALSE DES BEYS
Danse des turcs
D’ici quelques mois commenceront les élections beylicales, le 19 Mars 2016 plus précisément. A cette même date en 2012, nous avons élu selon notre beylicat de naissance le Haut-Bey qui allait diriger les 4 années qui suivent le beylicat et allait probablement rejoindre un poste important du gouvernement. Les guerminides ont élu le Haut Mehmed Rıfat Bey, ou Mehmed III des Guermin. Celui-ci était le membre le plus âgé de la dynastie Guerminide, et annonce aujourd’hui sa re-participation aux élections beylicales de 2016. Initialement, Mehmed Rıfat Bey était en concurrence avec son petit frère Hasan Rıfat Bey, qui accusait son frère Mehmed de ne pas défendre les valeurs pour lesquelles le peuple s’est battu en 2012. Hélas, Hasan Rıfat Bey est décédé en Juin 2014 durant son voyage au beylicat de Kamar où sa voiture beylical est tombé d’une falaise suite à un accident de la route causé par un camionneur Kamaride. De ce fait, cette année, Mehmed Rıfat Bey est donc pour l’instant le seul de sa famille à se présenter aux élections concernant le Beylicat Guerminide. Sa réeléction est cependant peut-être bénéfique pour tout le pays puisqu'il à été nommé Beylerbey durant les quatre ans de son règne par le Grand Bey Orkhan Ier, preuve de ses bonnes compétences. Par ailleurs, le beylicat de Guermin c’est amélioré dans nombreux domaines, et grand nombres des guerminides autant que l’ensemble des aykhanides ont été satisfait de son règne sur le Beylicat de Guermin et sur le Grand Beylicat en tant que Beylerbey.

Au Beylicat Marmaride, les choses sont plus mouvementées, la famille dynastique de Marmar est réputée pour être une famille vaste, riche et.. imprévisible. En 2012, c’était l’aîné de la famille, le Haut-Bey Djellal Muhammed Kerim Marmaroglu, ou Djellal Ier des Marmar qui s’était présenté seul aux élections beylicales. Cependant, au cours de cette année Djellal Bey est tombé gravement malade, bien que ni la famille ni le Haut-Bey ne se soient exprimés là- dessus, le fait qu’il ne se montrait plus en public et était représentés à toutes ses réunions et conférences nous a tous amené à cette conclusion. Cette dernière est comme qui dirait confirmé, la famille dynastique des Marmar à aujourd’hui remis ses représentants aux élections beylicales, et la feuille s’annonce intéressante. Première information, le Haut-Bey Djellal ne se représentera pas aux élections de 2016! C’est une surprise générale et en même temps une inquiétude pour leur Haut-Bey en Marmar. A sa place, et contre toute attente pour la famille Marmar reconnue pour être soudée et organisée dans leurs mouvements, 6 membres de la famille se présentent aux élections. Le premier, le fils aîné de Djellal Bey, l’Agha Murad Akif. Murad Akif Agha est diplômé d’un grand Mekteb (école) spécialisé en économie et finances, le Mekteb-i Ciraat d’Iskenderun. Il explique être légitime à reprendre la couronne beylicale de Marmar en dénonçant les autres participants qui mot pour mot selon ses dires à sa conférence de présentation électorale “de profiter de la situation de mon père pour se présenter inconsciemment aux élections”, il est claire que la famille Marmar se voit désorganisé de part la fâcheuse situation, quoi que ce soit, qui est arrivée au Haut-Bey Djellal. Le second participant est le petit frère de l’Agha Murad Akif Marmaroglu, l’Agha Oktay Ali Marmaroglu, à sa conférence de présentation électorale, il à dit juger incapable son frère de s’occuper des affaires beylicales, expliquant que la volonté de son père était que lui (Oktay) se présente aux élections au nom du successeur de son père. Son approche très.. lacunaire des valeurs démocratiques actuel à eu des réactions très mitigés entre ceux qui n’ont pas apprécié sa fermeté et son attitude pris de haut et d’autres qui ont vu en lui l’âme d’un Haut-Bey pour le Beylicat Marmaride. Quoi qu’il en soit, cette dispute fraternelle est imprévue et pourrait bien coûter beaucoup tant à la dynastie qu’au beylicat de Marmar. Le troisième participant est l’oncle des deux Aghas et le frère du Haut-Bey Djellal Ier des Marmar, le bey Erkhan Namık Marmaroglu. Erkhan Bey des Marmar est connu pour avoir toujours été proche de son frère aîné, il à même été durant les quatre années de règne de son frère Bey en tête du conseil beylical du beylicat de Marmar (sorte d’adjoint/bras droit du Haut-Bey, un peu comme le Beylerbey du Grand Bey). Ainsi, Erkhan Bey est en forte position dans ces élections beylicales qui approchent à grand pas. Enfin, les trois autres participants sont selon nous moins importants bien que pas non plus insignifiants. D’abord, il y à le cousin des deux Aghas et fils aîné du troisième petit frère du Haut-Bey Djellal, l’Agha Demir Kutay Marmaroglu qui se présente comme successeur légitime au trône de Marmar de part la mauvaise volonté et l'inaptitude de tous les autres prétendants. Puis, il y a le second fils du plus petit donc sixième petit frère du Haut Bey Djellal Ier, Hızır Tuncay Marmaroglu, déteneur majoritaire de l’entreprise Bal’Marmar, le plus gros producteur de Miel dans le Grand Beylicat. Il dit être accablé par l’incapacité et le déséspoir des autres prétendants, étant donc dans l’obligation de se présenter par question d’honneur. Enfin, et en dernier, le plus petit fils et 5 ème fils du Haut-Bey Djellal Ier, qui se présente au nom de son père car jugeant ses deux frère trop avide de pouvoir. Il mise sa candidature sur une promesse quelque peu surprenante, “entièrement libéraliser le Beylicat de Marmar, tant à l’intérieur que pour l’international, en changeant son statut afin d’être plus bénéfique à l’entièreté de la nation tant qu’au beylicat de Marmar et à tous ses entrepreneurs”. Il faut dire que sa promesse à fait beaucoup parler, il est vrai que le Beylicat Marmaride est beaucoup plus enclin à accueillir des entreprises et à son peuple est idéologiquement en faveur du libéralisme économique de par les opportunités énormes qui se présentent au beylicat en pleine prospérité. Cependant, pour beaucoup son idée est irréalisable, et même s’il l’était, est trop dangereuse car profiterait plus aux entreprises venant d’autres pays qu’aux entreprises marmaride ou aykhanide.

Concernant le Beylicat Ouzhemide, les choses se passent de manière prévisible.. même un peu trop pour ainsi dire. En 2012, le Heut-Bey Orkhan Ekrem Ouzhemoglu à été nommé Bey sans élection n’ayant aucun autre représentant au trône. Le peuple avait d’ailleurs peu apprécié que la famille n’avait choisit qu’un seul représentant afin de s’assurer l’élection. Malgré quelques manifestations, le peuple travailleur d’Ouzhem à préférer arrêter de manifester, surtout que Orkhan Bey des Ouzhem avait promis un investissement considérable dans les engins mis à disposition pour les agriculteurs afin de répondre à la demande et à bon prix. Durant les quatre années où il fut Haut-Bey, il à non seulement réussi à améliorer les conditions des agriculteurs, en mettant aussi à disposition des machines moins chères et plus efficaces, mais à également réussi à augmenter les contrôles du travail pour empêcher le travail infantile et améliorer la situation éducative de la région. Il à même fourni ⅓ de l’investissement de sa trésorerie dynastique. Alors, forcément, il est encore aujourd’hui le seul à se présenter aux élections. Dans tout les cas, la famille Ouzhemide est peu vaste en prétendants, ayant eu en majorité des filles, dont les enfants même si hommes ne sont légitime au trône, il n’aurait pu avoir comme concurrent son seul fils ou le fils aîné de celui-ci. Hélas, son petit-fils est médicalement instable et son fils, Mikail Ouzhemoglu, comme vous le savez sûrement, est quelqu’un d’assez adynamique. Ainsi, le seul prétendant se prévoit être sûrement le Haut-Bey actuel Orkhan Ouzhemoglu, qui restera donc probablement le seul à se présenter pour les élections de 2016, accomplissant 2 mandats beylical sans être élu.

Pour le Beylicat Kamaride, les circonstances sont plus différentes! En effet, tout le Grand Beylicat le sait, dans le Beylicat Kamaride tout se passe toujours différemment. Dans la tradition kamaride, comme on nous l’apprend dans les mektebs, le dirigeant du beylicat Kamaride doit être choisit selon trois critère de domaines, puis élu par le conseil des doyens. Evidemment, c’était à l’époque de la monarchie absolue, le beylicat Kamaride était la seul exception pour être choisi de cette manière. Bien qu’aujourd’hui ils n’échappent pas à la façon instaurée par la constitution, la dynastie Kamaride à su instaurer ses propres lois, comme ils l’ont toujours fait. Nous l’avons vu en 2012 et le reverrons en 2016. En 2012, l’ancien conseil des doyens, qui existe toujours malgré le changement de système, s’est réuni au palais de Yenikale pour choisir de nouveau le prétendant au trône. Alors que nous attendions, comme ce qui se passe aujourd’hui chez les Marmarides, que la dynastie se désorganise, les Kamarides, en l’entiereté de la grande dynastie qu’ils représentent, se sont mis d’accord sur une organisation, en instaurant un code dynastique auquel chaque homme et femme de la dynastie jure fidélité une fois arrivée à l’âge d’elligibilité au trône dynastique. Nous sommes autant surpris que nous l’étions en 2012 de voir qu’encore aujourd’hui aucun membre de la dynastie n’ait désobéi à ce code d’ailleurs. Enfin, en 2012 donc, le conseil à dû délibérer entre 4 prétendants sur trois critères : la force, la sagesse et la connaissance, chacun d’entre eux basé sur trois tests choisis par les doyens. Alors que l’on s’attendait, au vu de son âge, qu’Aslan Kamar Bey aurait pu faillir aux tests de force, il s’est d’abord montré vainqueur dans les domaines de la sagesse et connaissance, mais comme si ça suffisait pas à appuyer sur la plaie des trois autres jeunes agha de la dynastie en remportant les trois tests de force basée sur un concour d’arc, d’épée turc et de course au mouton. Pour ceux ne connaissant pas assez les coutumes kamarides, la course au mouton est une course avec parcourt où les participants portent des moutons sur leur dos. Ainsi, le conseil des doyens à juger Aslan Bey éligible au trône, et il à été le seul à pouvoir se présenter dans la famille, empêchant donc un vote d’avoir lieu. Cette année encore, le Haut-Bey Aslan Kamaroglu à décider de se représenter aux élections, avec face à lui cette fois 2 prétendants pour les test des doyens. Le premier, et des plus connus dans tout le Grand Beylicat pour sa force, Akbulut [Akbouloute] Kamaroglu, frère aîné d’Aslan Bey qui avait perdu face à lui en 2012, on dirait bien qu’il veut une revanche. En second, et contre toute attente, le plus jeune des premiers enfants du père d’Aslan et Akbulut Bey, leur plus petit frère donc, qui n’avait pas l’âge de participer aux élections en 2012 mais qui en à maintenant l’âge, le bey Kutay Kamaroglu. Celui-ci est non seulement fort et endurant, mais en plus est diplômé du grand Mekteb-i mühendis-i Makine de Yenikale spécialisé en polytechnique. En outre, un prétendant qui semble tout aussi excellent qu’Aslan Bey pour le Beylicat de Kamar réputée pour son industrie malgré son âge. Nous suivrons de près l'avancement des choses.

Puis, pour le beylicat Harzenide.. les choses sont plus compliquées. Heureusement, les harzenides le savent et y sont préparés depuis 2012 même. Cette année-là, le peuple à voté entre le Haut-Bey actuel Kemal Harzenoglu et son frère Mustafa Ali Harzenoglu. Mustafa étant incapable de faire perpétuer la dynastie, et n’ayant pas une forte popularité en Harzen, Kemal Harzenoglu fut élu sans difficulté. Hors voilà, le père de son excellence le Haut-Bey Kemal Harzenoglu, l’ancien Haut-Bey Muhammed Kerim Harzenoglu eut 4 fils et une fille, 2 de ses fils, que la miséricorde d’Allah soit sur eux, sont décédés jeune. Quant à son unique fille, elle n’a jusqu’ici encore jamais voulu épouser qui que ce soit. Concernant le Bey Mustafa Ali Harzenoglu il a été jugé inapte à être prétendant au trône en 2013 suite à la demande d’examen médical du Grand Bey Orkhan Ier lui même, il est depuis logé au Sublime Palais auprès du Grand Bey et loin du beylicat de Harzen. Suivant la logique des choses, nous avions pensé que ce serait Kemal Bey qui serait élu, sans élections du coup, mais contre toute attente, et à la grande surprise voire la grande peur de tous, le Haut-Bey Kemal Harzenoglu à annoncé qu’il ne se représentera pas aux élections beylicales, sans exprimer ni raison ni motivation derrière. De ce fait, aucun autre homme de la dynastie de Harzen naurait pu être prétendant au trône, l’unique fils du Haut Kemal Harzenoglu Bey a 8 ans. De ce fait selon notre constitution le vote devra se faire parmi les prétendantes femmes de la famille. Fort heureusement! et comme si c’était dans les plans de Kemal Harzenoglu Bey, ses 5 filles toutes éligible au trône dans ces circonstances se sont toutes inscrites aux élections beylicales. La valse s’annonce des plus intéressantes en Harzen..

Enfin et pour finir, au Beylicat Tchorumides les informations ne sont pas non plus ennuyantes, ou si, cela dépend de ce que vous attendiez. En fait, depuis les élections beylicales de 2012 presque rien à changé. Les prétendants au trône sont les mêmes ; ils sont encore trois. En premier, et l’actuel Haut-Bey Murad Tchorumoglu, connu pour sa discipline, il fut par ailleurs en plus de sa qualité de Haut-Bey, ministre des armées et de la défense nationale durant les 4 dernières années. Sa réelection et pour dire vrai assez probable. Néanmoins, ces anciens concurrents ont depuis la première élection augmenté en légitimité. D’abord, le jeune Enes Tchorumoglu Bey, plus petit frère de Murad Bey, à terminé ses études et est à la tête de l’entreprise TOPRAK spécialisée dans le design et la mise en production des chars aykhanides. L’état détient 60% de l’entreprise, et divers beys(nobles) dont lui en majorité détiennent des parts. Il est donc à la tête de l’entreprise, chargé par le Grand Bey Orkhan Ier lui-même en 2014. Le troisième concurrent de son excellence Murad Bey est son frère aîné Fuat Ekim Tchorumoglu, qui avait perdu les élections de 2012 et avec un grand coup du fait de sa différence avec ses deux frères. Fuat est un intellectuel, en revanche, il n’est pas des plus stratège et n’apprécie pas forcément le domaine militaire, c’était ces dires du moins durant sa présentation électorale de 2012. En revanche, tout le monde le sais, en Tchorum on donne une grande importance à l’armée, et le Haut-Bey du Beylicat de Tchorum doit être un commandant fort et stratège, car élevé pour être ainsi. En revanche, Fuat est doublement diplômé du Mekteb-i Kalem d’Otukhan spécialisée en histoire et en littérature, une école prestigieuse pour le dire plus correctement. Ce qui, dans un autre beylicat, aurait pu lui valoir un grand prestige.. Tout de même, depuis 2012, Fuat à grandement investi dans les projets militaires du Grand Beylicat, et son nom apparaît même avant celui de son plus petit frère. Il est actuellement directeur du grand Tchorum-u Mekteb-i Askeriye (Institut militaire de Tchorum), et à grandement amélioré la discipline et le professionnalisme des nouvelles recrues depuis son arrivée en décembre 2013.

Voilà donc la scène politique des six Beylicats du Grand Beylicat Aykhanide. Fort heureusement, concernant le beylicat Aykhanide, notre Grand Bey est en bonne santé et fort pour diriger notre sublime nation, qu’Allah le protège lui et les siens.

Presse publique : Gündem (Nouvelles) / 25 Novembre 2015 / Otukhan
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LA CAUSE TURC EST EN EVEIL!


Nous les Yözids sommes un peuple fier et unis sous une même cause. Notre cœur bat pour l’unification. Comme Selim Ier à unifier la Yözidie, nous allons unifier et coordonner le monde turc afin de protéger contre l’opression tous nos frères et soeurs, qu’ils soient ou non musulman. Plus haut encore que la Yözidie, le Yurtia, le Zakrevsk, l’Alaskhan, la terre des quatre vallées, et tout le territoire habité par les notres, nous ne retenons qu’un seul nom ; La terre des Turcs, la Türkiye, le Turan, le Turkistan, appelez-le comme vous voulez, car nul doute qu’elle est vrai. Aux chevets des lits dans le Grand Beylicat les enfants rêvent et continueront à rêver de l’union turcique, aux portes de leur maisons en Yurtia les révolutionnaires continueront à brandire le drapeau du turc libre, aux fenêtres des immeubles au Zakrevsk les mères continuerons à chanter la gloire des turcs, sur les tables des écoles du Kaderstan ils continueront à lire et à voix haute l’histoire victorieuse des empires turcs, et partout, où il y a un turc ou un amis du turc, la culture et la foi du turc ne cessera d’exister.

La semaine dernière, les jeunes de la société de l’Ittihad-i Turan sesont regroupés à Iskenderuniyye, la deuxième plus grande ville du beylicat de Marmar se trouvant tout à l’Ouest du grand beylicat près la frontière avec le Wazackstan et la Yurtia. L’objectif des jeunes était de s’infiltrer dans le relais du grand antenne d’Iskenderuniyye pour y diffuser et jusqu’en Morakhan dans leur région de Yurtia et de Zakrevsk une musique traditionnelle yözid qu’ils ont réecris puis chanté en Turkij, langue de la province de Zakrevsk. L’acte de bravoure des jeunes yözids a parcouru les rues d’Iskenderuniyye, et va bientôt parcourir les routes de la nation entière. Nous tous, les citoyens Aykhanides, sommes au courant désormais comme ces jeunes de la situation au Morakhan, nous avons certe une volonté d’amitié tout autant que notre gouvernement avec le Morakhan et en particulier avec l'État de Zakrevsk, mais elle n’est pas plus grande que notre esprit révolutionnaire qui ne s’est pas éteinte depuis 2012! La Yurtia mérite la liberté que nous avons atteinte. Et surtout, avant tout, méritent de pratiquer leur religion sans crainte. Une chose est sûr, nous n’abandonnerons pas avant que la Yurtia soit libre, ou du moins pas avant que le gouvernement de Morakhan agisse envers l’injustice religieuse et culturelle que subissent les Yurts! Et nous sommes persuadés, qu’en sa qualité de défenseur de la foi, notre Grand Bey Orkhan Ier saura comment agir pour remédier à ce problème pacifiquement, car dans le cas contraire, la liberté s'obtient aussi par le sang! Si il le faut, nous prendrons les armes comme nous l’avons fait à la révolution de 2012 et avant cela encore à la guerre de l’unification. Les Yurts doivent savoir qu’ils ont le monde turc à leur côté, et le Morakhan doit faire un pas vers le choix de l’acceptation culturelle ou le garantit de liberté.

Ce n’est pas seulement les yözids, ou les pays turciques qui doivent se rendre compte de la gravité de la situation et de la nécessité d’intervention, c’est le monde entier qui doit l’accepter et l’adosser. Les Yurts crient, et si leur voient ne suffisent pas à réveiller les gouvernement du monde, alors nous crierons avec eux, et si encore ça ne suffit pas, nous feront assez du bruits avec nos armes pour qu’ils sursautent sur l’évidence et la vérité pour laquelle nous nous efforçons de nous battre.

PropagandeHürriyet/YurtiaLibreNO1
Journaliste et poète Mehmed Namık / Hürriyet (Liberté) / 27/11/2015 [/left]
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LA GUERRE AU GONDO


Confrères et consœurs, en 2012, nous avons réussi par la seule force de nos armes et de notre fois à sauver notre pays de l’absolutisme chaotique des gouvernements post-selimien. En combattant, nous avons réussi à rétablir la paix dans notre nation. Nous vivons désormais libres et notre nation se développe. Nul doute que la paix apporte la prospérité. Nul doute que nous combattrons de ce fait, tous ceux qui portent atteinte à la paix. Nous devons d’abord en tentant d’instaurer cette paix avec diplomatie, et ça ne marche pas, avec nos points et nos armes.

Aujourd’hui, et depuis 2011, années de commencement de notre révolution, un pays lointain en Afarée, qui s’était pourtant libérée de ses oppresseurs, se retrouvé empoisonné par les dégâts causés par l’oppression. Cela fait depuis 2012 que leur gouvernement et leur peuple combattent et subissent les attaques de factions monstrueuses qui ne recherchent que l’obtention du pouvoir et de l’argent. D’autres encore, plus terribles, cherchent à instaurer une idéologie du mal en n’hésitant pas à étouffer pour cela d’innocents citoyens sous des brouillards de guerre. Aykhanide, notre gouvernement n’interdit point pour rien ce genre d’idéaux, ils sont pire que le poison. Ils souhaitent offrir à tous une fleur d’un jardin de fleur qui sont en réalité toxiques ! Il est en notre devoir de citoyen Aykhanide, de yözids et de bons croyants de nous informer sur la situation du Gondo face à cette absurdité d’Armée Democratique et à cette menace de MLL. L’armée democratique est une faction communiste dangereuse qui prend de plus en plus de place au Gondo et qui monte de plus en plus en hauteur dans ses objectifs abominables. Si aucune mesure n’est prise, il est clair qu’un Gondo sous dictature communiste sera un problème pour d’abord les communautés musulmane d’Afarée, puis pour nos amis tel que les Azuréens. Notre Grand Bey Orkhan Ier et son gouvernement doivent agir, car nous Aykhanide savons que nous devons agir. Nous voulons agir. Une menace communiste même des plus moindre, est, et vous devez le comprendre, une menace pour le monde entier!

Le Bey, député et chef du parti de l’IBF (Parti de l’union et du progrès) à ce lundi parlé sur cette situation pour faire la demande au gouvernement du Sublime Palais de faire une proposition de moi quant au soutien actif du Gondo quant à l’éradication des opposants communistes.

“ Depuis pas très longtemps, d’autres nations commencent à venir en aide à l’objectif de ces kuffar (mécréants) qui suivent l’Armée Démocratique gondolaise! Ne le voyez donc pas.. je me rectifie, le monde ne voit-il pas l’intérêt de venir en aide au gouvernement Gondolais? Les Ouwanlindais sont sortis de nul part avec à leur tête le “pésident-amiral” leur servant de dirigeant, ils ont fait parler leurs amis communistes du monde concernant une soit-disant nécéssité d’aider l’Armée Démocratique face au gouvernement et aux clovaniens. Au point où ce chef Ouwanlindais qui accusait le gouvernement gondolais d’être aux bottes de puissances étrangères s’était fait attitré par le Grand Kah du titre de ‘Camarade de la victoire Afaréenne” contre lequel il à sagement accepté d’attendre l’intervention du Grand Kah. Une puissance comme le Grand Kah, que nous admirons certes un peu dans leur organisation militaire, mais qui reste une nation idéologiquement dangereuse au Grand Beylicat, ne présente rien de bon avec leur intervention au Gondo. Il est clair que désormais l’Armée Démocratique fait trop de dégâts et que la position du gouvernement plus de plus en plus vers une défaite. A côté, le peuple crie de rage pour la paix, ils ne veulent pas de régime communiste, seulement la paix. Comment font ces Ouwanlindais et Kah Tanais pour propager leurs idées en défendant des armées rebelles aussi indignantes? Je vais vous dire, pendant que ces monstres terroriste le peuple Gondolais et la paix qu’ils demandent, nous en tant que peuple de l’unification, maître absolue d’elle même, devons mettre en oeuvre nos moyens par la plume et la parole pour arrêter les saccages de cette armée démocratique qui menace d’abord le Gondo mais aussi tous les pays d’Afarée, continent où se trouvent des amis du Sublime Palais. Et qui dit amis menacées, dit aussi que nous sommes menacées. Nous ne resterons pas les bras croisés, et demandons au Sublime Palais de prendre les décisions qui correspondent à la dignité des yözids! Il faut que nous soutenions le gouvernement gondolais et encourageons les autres nations à faire de même.”

En ajout, le porte-parole du parti de l’AHP (Parti de la libertine Aykhanide), Arif Yavuz Bey, a déclaré que le gouvernement devait agir de manière diplomatique seulement en rejoignant l’effort de paix et non du combat.

“ Monsieur Muaddin, nous pensons que l’IBF doit se calmer sur ses propos, qui ont une portée internationale plus grande qu’on le penserait. La guerre au Gondo dure depuis 2011, et certes l’armée démocratique gagne en puissance avec l’intervention du Grand Kah, mais pour l’heure, les forces Kah Tanais sembles plutôt vouloir maintenir une stabilité correct dans le pays, et soutenir plus que l’armée démocratique les populations gondolaises en évitant que les armées des deux côtés ne causes trop de dégâts inutiles. Il serait imprudent, pour le moment, d’accuser un pays dont nous sommes en relation neutre voire cordiale d’un engagement aussi poussé alors que ce n’est pas le cas. Le plus sage est de prendre l’exemple du Sylva, l’aide humanitaire est le plus important et nous devons, même si on envoie pas de rations, montrer en parlant de la situation et montrant notre engagement inciter d’autres nations à faire de même. Mieux encore, nous devons nous ranger du côté de la paix, car au bout d’une succession d'engagements des deux côtés, une guerre sanglante peut survenir et cela n’arrangera pas la situation. Il faut se ranger du camp de la paix et inciter les autres nations à faire de même. Si j’ai bien compris, c’est aussi la solution pour laquelle opte le Califat constitutionnel d’Azur, il est clair qu’il faut suivre leur exemple. En soutenant notre ami, nous allons renforcer la portée de son action pour qu’elle puisse atteindre sa cible. Sauver la paix, pour sauver l’avenir du Gondo.”

Les tensions montent et le silence du BTF, parti socialiste accusé communiste par beaucoup de partisans de droite et d’extrême droite, fait monter la tension dans les débats politiques. Son excellence le Beylerbey à répliqué en répondant aux requêtes en disant que le Sublime Palais allait assez rapidement agir et de façon prudente mais forte face à la situation qui touche notre sublime nation, peu important que ce soit de près ou non.

Pendant que le gouvernement prend une décision, nous ne devons rester les bras croisés. Nous en tant qu’Aykhanide allons utiliser notre plume et notre parole pour informer et diffuser notre pensée, nous allons faire comprendre à tout le monde que nous sommes prêts à nous tenir droit debout devant la menace communiste. Les paroles du porte-parole de l’AHP nous à beaucoup inspiré, il est clair qu’il faut se ranger du côté de la paix, et faire comprendre la vrai situation. La paix, porte en elle un avenir prospère, sans elle une nation ni moins un peuple ne peut avancer, une guerre berce le chaos, la paix berce la pérennité.

PropagandeHürriyet/La Paix mourante au Gondo
Journaliste et poète Mehmed Namık / Hürriyet (Liberté) / 27/11/2015 [/left]
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