ATELIERS DÉMOCRATES À OTUKHAN
En 2012, grâce aux efforts de tous les journalistes et celles des jeunes aykhanides qui désirent la liberté, nous avons pu changer notre gouvernement en une constitution après plus de 100 ans de monarchie absolue. Notre cause n’en est pas moins finis. Le règne Orhanien vient de commencer, et le Grand Bey ne pourra pas nous empêcher d’atteindre notre but. Le journal Fikr-i Hürriye (Liberté de l’idée) n’arrêtera pas tant que comme les autres nations, nous aussi prenons notre liberté. A l’évidence, la presse étant désormais libre, nous pouvons ouvertement vous offrir notre cause.
Pour tous les jeunes voulant nous suivre, de toutes les villes de notre nation, la capitale Otukhan accueillera désormais les ateliers démocrates ! Nous allons ensemble travailler à rendre notre nation meilleure, car nous seuls savons ce qu’il y a de mieux pour nous. Ni les religieux, ni les beys ne nous empêcheront de faire de notre nation une nation idéale à nos besoins. Les ateliers démocrates seront dirigés par Sebahaddin Guermin Agha et ses compagnons. Comme les nationalistes et démocrates militaires nous ont offert la constitution, nous offrirons à nos futures enfants la liberté d’expression et toute autre liberté qui va avec. Le libéralisme est la solution !
Cette semaine le Grand Bey à fait un discours sur la liberté de la presse. Il à également évoqué de ne pas croire aux journaux étrangers. Qu’ils avaient des roses contaminées. Laissez nous vous rassurer que les journalistes étrangers sont les pionniers de la liberté dans le monde. Et que si il faut les suivre pour atteindre nos objectifs, nous le ferons. Comme on a pris de force la constitution et la liberté de presse, on prendra avec notre plume les autres libertés fondamentales. Si le Grand Bey est prêt à nous offrir cela, alors on le suivra également. Nous allons le faire de manière frappante et glorieuse ! Et nos noms et figures resteront dans les livres d’histoire comme “pionniers de la liberté aykhanide”.
Cette semaine le Grand Bey à fait un discours sur la liberté de la presse. Il à également évoqué de ne pas croire aux journaux étrangers. Qu’ils avaient des roses contaminées. Laissez nous vous rassurer que les journalistes étrangers sont les pionniers de la liberté dans le monde. Et que si il faut les suivre pour atteindre nos objectifs, nous le ferons. Comme on a pris de force la constitution et la liberté de presse, on prendra avec notre plume les autres libertés fondamentales. Si le Grand Bey est prêt à nous offrir cela, alors on le suivra également. Nous allons le faire de manière frappante et glorieuse ! Et nos noms et figures resteront dans les livres d’histoire comme “pionniers de la liberté aykhanide”.
Journaliste et poète Mehmed Namık / Hürriyet (Liberté) / 07/11/2012