EN COURS D'ECRITURE, NE PAS ENCORE EN PRENDRE COMPTE EN RPFORCES TERRESTRES YÖZIDYKK
Yözid Kara KuvvetleriPrésentation généraleCommandant des Forces Terrestres Yözid
Raskenli Lucas Kleinman AgabaşıLes Forces Terrestres Yözid est créé sous ce nom en 1913, son ancien nom était Yözidiye Orudusu “Armée Yözidie”. Même si officiellement, elle est reconu comme étant créer sous le beylicat yözid en 188 où on peut retrouver les plus anciennes traces des alp(soldats) yözids. Le premier Agabaşı (commandant) ou encore Erkân-ı Harbiye-i Umumiye Alpbaşı (direction du chef d’armée) des Forces terrestres yözid a été Izzettin Heşref Agabaşı, il a été assigné par le Beylerbey de Selim Ier.
Les Forces Terrestres Yözid ont pour mission de la part du Grand Bey et des Forces Armées Yözid d’accomplir les objectifs donnés par la constitution, les commandants en chef, les lois et le saint-coran. La priorité seconde des forces terrestres yözid, étant conforme à celle celle des forces armées yözid, est de protéger le sol terrestre Aykhanide, la population et les organisme gouvernementaux comme non gouvernementaux, cela implique que la main des forces terrestres yözid atteint aussi certaines parties civiles et non-militaire du pays.
Les premières réformes de l'armée ont commencer après la période de l'unification, sous le règne du Grand Bey Selim Ier. Le Grand Bey dissout le système militaire de l'époque, qui n'était pas professionnelle, pour installer la modernisation et la discipline sein de l'armée et de ses trois branches, dont les forces terrestre fait partie. Les premiers archives de cette organisation remonte au commandement de Muhammed Celebi Aghabaş, qui avait inscrit les premiers formations militaire de l'Armée de terre Yözid. La plupart des systèmes sont inspirés de l'Eurysie, après que des hommes d'états et militaires aient fait des voyages là bas, une réel inspiration s'est installé, en mélangeant l'armée yözid et son histoire au Nazum aux armées Eurysiens. Cependant, après la période Selimie, l'armée se retrouve en arrêt, la technologie avance comme elle peut et l'organisation est quasi inchangé de l'époque, ce qui n'est plus du bon temps. Alors, les libéralistes et nationalistes qui regagnent leur place dans le gouvernement et l'armée, lancent en 2004 des réformes de l'armée avec l'autorisation du Grand Bey, ses réformes ne sont qu'en réalité que des projets, des sytèmes et des doctrines qui ne trouverons pas leur isntallation tout de suite. C'est qu'à partir de 2012 que le nouveau gouvernement utilisera ces réformes pour réaorganiser l'armée. En 2004, l'état par ordre de trois conseillers de la cour Beylicale promulgues à l'internationale des affiches de propagande Aykhanide qui se perdent un peu partout, certains étrangers trouvent alors que l'état Aykhanide est une excellente occasion pour s'y installer. Un pays qui veut se développer, aura besoin de cerveaux, de savoir-faire, et étant trop férmée sur elle même pour nouer des relations et les acquérir par la diplomatie, l'immigration et l'accueil d'éxilés est choisit comme étant la meilleur solution au problème du pays. Et en effet, ça aide, car les Forces terrestre Yözid se voit redécouvrir les systèmes et doctrines militaires comptemporaine. La branche se délaisse alors de ses vieilles méthodes, et travail jusqu'en 2008 sur une réorganisation de l'armée qui durera de 2008 à 2013. Un nom se fait remarqué pour l'Armée terrestre Yözid parmi ces éxiles et refugiés venus s'installer au Grand Beylicat. L'ex haut-militaire de l'Empire Raskenois, Lucas Kleinman qui rejoins le Grand Beylicat en 1998. Il est officier jusqu'en 2004, où il participe aux nouvelles réformes militaire, son savoir faire et ses connaissances apportent à l'armée de terre Aykhanide le moyen de commencer enfin le projet de réorganisation de l'armée, en adaptant comme durant la période Sélimie, les doctrines et systèmes Eurysiens à celle des Yözids. En fin d'année 2004, Lucas Kleinman qui se fait maintenant appeler Raskenli Lucas Kleinman Subay (Officier Lucas Kleinman de Rasken) est officier subalterne jusqu'en 2012 où on refait appel à ses services concernant le projet. Lucas accepte, ayant déja rennoncé à sa nation natale, il embrasse le drapeau du Grand Beylicat, prête Allégeance au Grand Bey et se fait promouvoir au grade de générale. En 2013, il devient officiellement, comme promis par le Grand Bey après la réorganisation de l'état, le commandement de l'Armée de Terre Yözid. Lucas est désormais nommée Raskenli Lucas Kleinman Agabaşı, il installe une politique militaire nationaliste comme celle qu'elle aurait toujours voulu avoir dans son pays. Il trouve chez les yözid, un pouvoir concernant la conservation de la culture et de la patrie.
Voici une liste des classes/branches de l’armée terrestre yözid, eux-mêmes constitués de plusieurs régiments. Les noms des classes datent de 1889 pour la plupart;
Classes combattantes :Atelier d’infanterie
•L'Atelier d'infanterie (“Piyade Ocağı”) est crée sous ce nom en 1901 après que les Aykhanides se soient inspirés de l'infanterie des pays étrangers avec les peu de sources à leur disposition. Le but était de créer une classe d'armée et une unité plus efficace et opérationnelle. La classe d’infanterie est entraînée de sorte à s’adapter à tous les types de terrains, leur entraînement se fait donc dans l’entièreté du pays, allant de climat aride et plaineuse jusqu'à hivernale et montagneuse. L’infanterie compose les principales unités de combat rapproché et de contre-attaque, son utilisation permet plusieurs tactiques militaires. Sa mission est d’être le plus rapide et efficace possible tout en restant opérationnel et paré aux ordres dans toutes les conditions, elle doit briser et neutraliser le pouvoir de l’ennemi.
La classe d’infanterie sert à neutraliser ou éliminer l’ennemi avec une tactique opérationnelle et efficace, mais aussi à assurer la défense en cas de besoin en travaillant en coopération avec les chars et l’aviation terrestre légère.
La classe d’infanterie regroupe plusieurs unités de combats, en voici une liste ; infanterie de sol, infanterie mécanisée, infanterie motorisée, commandos à fez, antichars, grenadiers et mortiers.
Le gouvernement Aykhanide projette d’augmenter ses effectifs durant les 5 années qui suivront l’année de 2013, espérant également développer des équipements militaires plus appropriés à l’infanterie.
Garage des tanks
•La classe des Garages des Tanks “Tank Garajları” est créés en 1928, date à laquelle les premiers tanks sont achetés puis dupliqués. En 2008 un projet de modernisation des tanks désormais très datés avait commencé, le projet est prévu à être terminé en 2014. Les tanks ont été ajoutés à l’armée de terre yözid suite aux projets d’ouverture au monde afin de rattraper les technologies des autres pays. La mission donnée aux tanks est très classique, elle permet aux commandants d’élaborer les opérations d'infanterie avec plus de tactiques. Les tanks représentent une force de frappe considérable au front, c’est une arme de décision importante. Elles ont une capacité de manœuvre très grande et c’est un appui important auprès des autres unités. Les tanks sont très utiles accompagnés des unités de soutien et avec une analyse du terrain au préalable. Les principaux projets de tanks yözids sont les projets chars Çelik-han et DEMİR. Celles-ci seront équipés des toutes nouvelles technologies du projet 2008 et seront plus efficaces que les anciens modèles inactifs présents dans le pays.
Le gouvernement Aykhanide prévoit de lancer la production de ligne d’un minimum de 500 chars de combat d’ici 2018.
Etablis de la cavalerie et des blindées
•Les établis de la cavalerie et des blindées ou encore “Süvari ve zırhlı çadırları” en yözid, est une classe d’unité existante depuis l’ère des premiers yözids. Ce pourquoi cette dernière est présanté comme ayant été fondée en 148. La raison de cette est que la première selle yözid ayant appartenu à un alp (soldat) selon les historiens est celle trouvée en 1938, elle appartiendrait à la date dite au dessus en s’appuyant sur le symbole du règne d’un bey ayant gouverné le beylicat de Yözid de de 146 à 149. De par la tradition, les soldats à cheval ont un titre spécial autre que celui du Alp, on les appelle aussi les Batur ou les Eren. La cavalerie à toujours pris une place très importante chez les yözids, en réalité, chaque alp même si destiné au sol à la guerre, montait à cheval quand il s’agissait d’escorter les beys ou les aghas. Un des sports national du pays est notamment la course à cheval. Une des unités les plus impressionnantes de l’histoire yözid est d’ailleurs celle des archers montée yözids, qui était une clé pour la victoire sur le territoire de Yözidie. Les lanciers étaient également appréciés au champ de bataille, envoyé en dernier généralement. Les tactiques yözids se faisaient principalement sur la cavalerie, les unités au sol devenant presque des unités de soutien. C’est aussi d’ailleurs, en plus de leur fonction en civil, une des raisons pour lesquelles la cavalerie et les blindés ont toujours été et sont aujourd’hui encore parmi les classes combattantes.
Le chef de la cavalerie et des blindés est nommé “Süvarbaşı”, et donc littéralement “chef cavalier”. Une des sous-branches les plus célèbres et utiles des parmi la cavalerie et sans compter les blindés, est celle des “Saraykulu” traduit en “fidèle du palais”. Avant la période Selimie et l’ouverture du Sublime Palais, les Saraykulu étaient appelées “Masakulu”, “fidèle de la table” en français. Leur mission était de garder la zone dite “Masa”(table) des villes, c'est-à-dire les résidences des beys et de leur famille. Depuis 1914, de l’époque Selimie, les Saraykulu sont les cavaliers protégeant les palais du pays. Par ailleurs, chaque beylicat à des uniformes respectant leur coutumes pour les cavaliers Saraykulu.
Concernant les blindés, elles ne sont que tout nouvellement projetés depuis 2004, le pays devrait en même temps que les autres projets en posséder en nombre suffisant d’ici 2015.
[center]Classes de soutien au combat : Régiments canonniers (artillerie)
•La classe des corps des canonniers (Topçu Ocağı, “Carrière des canonniers”) ou encore la Tophane (canonnerie) est fondée en au 15eme siècle sous le règne du Bey Karaman Çorumoğulları dans le beylicat de Tchorum, elle est très rapidement adoptée par le Beylicat Kamaride et Aykhanide également au cours du même siècle. C’était sous les commandements de ce corps qu’étaient envoyées les soldats formés à utiliser les canons. La première fonderie de l’artillerie yözid fut donc créée à Harukay, celle d’Otukhan fut créée 30 ans après et ses canons ont servi à conquérir Harukay 6 siècle plus tard.
Le chef des canonniers s’appelle le “Topçubaşı”, et ce depuis sa création. Durant la guerre d’unification les canons ont été l’arme la plus importante chez les Aykhanides, elle a permis à conquérir les villes dotée de châteaux et ce même depuis les mers.
Actuellement, la classe des canonniers est en plein projet de rénovation, comme les tanks, la production des nouvelles armes sont déterminée à être finis pour avant 2015.
Le devoir du corps des canonniers, donc de l’artillerie en langage plus moderne, est de donner un avantage et un appui de feu considérable au front et en défense de territoire. Elle permet de stopper, neutraliser voire même détruire les engins militaires de l’ennemi sur une longue portée si bien calculée. Elle s’aide pour se faire des classes de soutien au combat tel que les classes de transmission, de renseignement et d'ingénierie leur permettant de traverser des terrains normalement non traversables avec l’artillerie ou encore leur fournir un avantage de défense. Les missiles et roquettes yözids auront une capacité de cible et de portée très importante, pouvant frapper même les cibles hors portée si aidé par la classe de renseignement avec un plan calculée. Elle permet également de détruire les réserves, les centres importants et la communication entre les autres classes des ennemis. L’armée de terre s’est engagée à fournir des obusiers et autres engins à canons automoteur d’ici peu.
Avant 2020, la nation Aykhanide devrait posséder un minimum de 1000 engins pour la classe des canonniers.
Régiments de défense aérienne
•Les premiers régiments de défense aérienne apparaissent durant la guerre de l'unification, les Harzenides, beylicat le plus développé technologiquement et ayant été aidé par des mercenaires étrangers, réussit à acquérir les premiers avions de l'histoire Yözid, et les utilisent sur le front montagneux du beylicat de Kamar. Les Kamars la jouent alors à la défensive, ils installent au sommet des montagnes entourant des villes, des cannons et engins militaires de cette époque qui ont permis aux Kamarides d'abattre la deuxième vague d'aviation Harzenide. Les autres beylicats eux, ont attendu plus longtemps pour acquérir des canons pouvant tirer aussi loin. Le premier à parler de régiment anti-aérien fut donc İsmet Melek, lieutenant de l'armée Kamaride avant et durant la période d'unification. Il est ainsi reconnu comme fondateur de la classe de la "Savunma-i Gayr-i Tayyare” signifiant "défense contre l'aviation". Ainsi, le chef des régiments anti-aériennes sont appelées les "Savutay", "savun" signifiant défendre et tay étant le raccourci de Tayyare, elle-même signifiant "aviation".
La mission de cette classe veut qu'elle déstabilise, anticipe, ralentis et éradique les assauts des fusées et missiles ennemis envers les troupes Aykhanides à l'intérieur comme à l'extérieur du territoire du Grand Beylicat. Elle permet, en tant que classe de soutien au combat, la défense et maintenant des troupes au sols des Forces Terrestres Yözid. Le gouvernement développe depuis 2011 des systèmes plus modernes qui permettent aux engins de défense aérienne des champs de tir plus élargis, une détection et anticipation d'ennemis et d'allées, d'engins de défense mobiles et de systèmes de défenses portatifs toujours prêts à être utilisés.
Aviation terrestre
•C’est en 1967 que l’armée Yözid, qui ne détient pas encore d’armée de terre car considérant l’armée de base comme étant l’armée du sol, fonde les premiers régiments de canonnier aviateurs, sous le nom de “Tayyare topçuluğu” signifiant “Canonnerie de l’aviation”. Ce sont les premiers régiments de l’aviation yözid.
L’aviation terrestre Yözid telle que nous la connaissons est elle fondée en 2005 durant la période des réformes militaires Aykhanide. C’est une des nombreuses classes qui a été crée sous la supervisation de Raskenli Lucas Kleinman Agabaşı, l’aviation terrestre est d’ailleurs la classe à laquelle il appartenait durant ses services d’officier de l’armée de terre. La classe est d’abord créée sous le nom de “Tayyare-i Kara”, signifiant littéralement “Aviation de terre” et c’est Musa Demirel Kurmay qui la lui donne. Musa Demirel est un des premiers à entreprendre les affaires nécessaires concernant le transfert et la fabrication d’outils militaires de l’armée de l’air dans l’armée de terre. Ainsi, il fonde en 2006 la première école de pilote en Kamar afin d’y faire entraîner les premiers pilotes de l’armée de terre. Cette école entraîne aujourd’hui les pilotes, officiers et techniciens de vol des Forces Terrestre Yözid.
Le devoir de la Tayyare-i Kara est de servir et soutenir les unités de combats et opérations au sol des Forces Terrestres Yözids, pour se faire, la classe use des nombreux engins et matériels militaires mis à sa disposition. La longue portée, la multifonctionnalité, la vitesse et la puissance des canons et engins militaires de l’air permettent de concentrer une frappe importante au front, et ce à n’importe où où les commandants des forces terrestres souhaitent grâce à une perspective aérienne. La classe est aussi disposée, en plus de l’appui-feu aérien rapproché, à mener des batailles de reconnaissances et de défenses aériennes. Les avions de transport permettent d’envoyer les unités d’opérations dans les lieux précis et nécessaires à l’opération tandis que les avions ravitailleurs permettent de préserver le morale et la bonne fonctionnalité de chaque soldat et engins militaires terrestres en transportant du carburant, des l’équipement militaire, du personnel de renfort ou encore des fournitures de secours pour mener à bien chaque opération. En outre, cette classe joue un rôle extrêmement important, en particulier pour les opérations en zones de montagnes qui sont la spécialités des soldats s'entraînant dans la région montagneuse de Kamar.
Centre d’ingénierie et fortifications militaire
•Le centre de l’ingénierie et des fortifications militaires, ou "Mühendis ve Hisar alanı" en Yözid, est une classe d’unité nouvelle devenue essentielle pour l’armée sur le territoire de la Yözidie et à l'extérieur de celle-ci. Bien que les ingénieurs militaires existaient déjà bien avant la fondation de la classe dans le Grand Beylicat Aykhanide, elle est fondée aux alentours de 1959, cette classe d’unité fut créée pour répondre aux besoins de défenses, de fortifications et d'ingénierie au front. Evidemment sur le territoire yözid, l’armée dispose des fortifications déjà présentent depuis longtemps, tel que des châteaux, cependant sur les terres plus reculé du pays ou en dehors de celle-ci cette classe devient bien plus importantes grâces aux nouvelles technologies du Grand Beylicats qui proposent des installations de fortifications militaires extrêmement facile à monter et efficace. L’un des exemples iconiques de l’armée de terre yözid à donner serait les ponts démontables pour les tanks et véhicules militaires. Les ingénieurs, “Mûhendis” en yözid, possédant des compétences très variées, allant de la construction de fortifications, de ponts, à la gestion des sièges et des opérations de génie militaire, pour la plupart acquis aux Eurysiens ou aux nations du Nazum du Sud. Le chef de ces unités sont eux appelés les "Mühendisbaşı" en yözid, signifiant chef/tête d'ingénieur.
La classe est aussi compétente dans l’aménagement du champ de bataille ou des zones de défenses pour l'accueil des classes de combat ou de soutien au combat, elle est très utile pour définir l’emplacement idéal à l’artillerie par exemple. L’une des particularités des Mühendis, est qu'au-dessus de leurs gilets par balles, ils portent une tenue traditionnelle et surtout une ceinture d’ingénieur tradition en soie plutôt qu’en cuir. Cette coutume vient de la guerre d’unification. Les ingénieurs avaient tendance, puis ce que plus souvent hors du combat, à remettre leurs uniformes militaires aux soldats pour se contenter des vêtements qu’ils trouvaient dans les villes et villages proches des fronts, en guise de ceintures, ils n’utilisaient que du tissu en soie ou en laine enroulée et attachée où ils mettaient leurs outils et leur pistolet. Ce geste bien apprécié et raconté aux enfants parmi d’autres histoires héroïques de la guerre a fait que la classe s’approprie ces mêmes tenues retrouvés sur les ingénieurs de la guerre, même s’ils ont désormais un minimum de protection.
La classe d'ingénierie et de fortifications militaires est aujourd’hui encore en développement et les ingénieurs ne finissent jamais de trouver de nouveaux engins et infrastructures militaires pratiques et efficaces.
Centre de renseignement
•aCentre de transmission
•aClasses de service et soutien au combat :Chambres de maintenance
•aTransports
•aMédecins
•aVétérinaire
•aConseil du trésor militaire
•aSalons des marcheurs
•aBureaux de service des personnels
•aHautes classes :Erkân (Haut commandants, nobles)
•aUmêra (Commandants)
•a