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[encyclopédie] Présentation de la République de Lermandie

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Présentation de la République de Lermandie


Nom officiel : République de Lermandie
Nom courant : Lermandie
Gentilé : Lermandien, Lermandienne

Inspirations culturelles : Latine (française principalement)
Situation géographique :

Langue(s) officielle(s) : français
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : anglais, allemand, espagnol

Drapeau :
flagrepubliquelermandie

Devise officielle : Liberté, Patrie, Travail
Hymne officiel : "Oh liberté!"
Monnaie nationale : Le Lerm

Capitale : Bradis

Population : 67 millions habitants (en 2012)


Aperçu du pays :



Présentation du pays :

La République de Lermandie (ancienne les Colonies de Bradis durant la période coloniales sous la domination du Royaume de Teyla) est une démocratie semi-direct présidentiel héritière d’une culture latine d'influence Teylaise (cf: française) liée à son passé colonial. Le nom de Lermandie vient du nom du massif montagneux nommé par les autochtones d'origine, les Hamajak, situé dans la région administrative du Bemar. Sa superficie est de 316 021 km2 situé sur le continent aleucien enclavé entre l’Océan Trident à l’ouest et la Mer Intérieur à l'est (Nom attribué par les lermandiens en raison que cette Mer est à l’intérieur du continent aleucien). Le jour de la fête nationale et le 3 aout, jour de l'indépendance officiel de la Lermandie vis-à-vis du Royaume de Teyla.
La Lermandie a des frontières terrestres avec la Grande République de Westalia au sud et la l'Etat de Nebrownia à l'est.

Bien qu'étant une nation relativement militariste, la Lermandie est pays non hégémonique et démocratiquement stable depuis son indépendance et qui s'est récemment ouvert à de potentielle collaboration international et commercial.

Actuellement, la République de Lermandie est membres de plusieurs organisation internationnale tel que l'Alliance pour la Sécurité Économique Aleucienne en tant qu'un des pays membres fondateurs officiel depuis le 15 juin 2013 ainsi que de la Coopération Aleucienne des Nations en tant que membres extérieur depuis le 25 février 2014.

Fiche de candidature de la Lermandie:

Fiche de candidature de la Lermandie

Principaux dates:

Période précoloniale (av. 1604)

Période colonial (1604-1797)

1604: Fondation officiel des Colonies de Bradis par l’explorateur taylais Paul Dujardin Ce nouveau territoire colonial passe sous controle direct du Royaume de Teyla au détriments des populations autochtones qui y habitait, les hamajaks. Début d'importation d'esclaves en raison que les Hamajaks sont vulnérables aux maladies apporté par les colombs.

1605: Fondation de la capital colonial Bradis ainsi que du nouveau territoire colonial, Le Territoire colonial de Bradis. Les populations Hamajaks encore en vie sont expulsé de force.

1607-1615: Le gouverneur locale Felix Colomb, dirigeant des Colonies de Bradis nommé par le Royaume de Teyla, décide d'exproprier de forces les territoires autochtones dans le territoire nouvellement colonisé appeler l’Argenge. Cette action provoque des affrontements entre les Forces Coloniales de Bradis et le peuple autochtone hamajak durant cette période.

1684: Fondation du Territoire Colonial du Bemar au nord de Bradis

1687: fondation du Territoire Colonial de Viétie.

1690 Le territoire Colonial de Viétie est officiellement rattaché à l'administration des Colonie de Bradis

1741: Fondation du Territoire de l'Argenge au sud de Bradis, au détriments des populations hamajaks qui s'était réfugier dans la zone avec d'autres tribus originaires de la région.

1749-1751: Guerre Bradis-Hamajak.
Suite à l'accaparement des terre par les colons, les peuples hamajak de l'Argenge déclarent la guerre au gouvernement colonial. Bien que surpris par leurs férocités et leurs combativités, les Forces Coloniales de Bradis soutenue par l'Armée Royal de Teyla, neutralisent les guerriers autochtones, permettant d'absorber leurs territoires.

1776-1784: Tension entre la métropole colonisateur, le Royaume de Teyla, et les colons des Colonies de Bradis, suite à une augmentation des taxes sur les produits importés, ainsi qu'une tension administrative lié à la centralisation de la métropole colonisateur. Début des inspirations indépendantiste lermandienne. Durant cette période, les descendants des anciens chefs des tribus viétique , toujours en conflit ouvert contre les forces coloniales de Teyla, entament des négociations avec les Mouvement indépendantistes bradisienne.
.
1784:
- Incident de Portville (Massacre des colons de Portville par les Forces Coloniales de Bradis à cause d’une émeute sur les produits importé, notamment alimentaire.
- Avec la rébellion de Phillipe Palmès, ancien général des Forces Armée Coloniales de Bradis, le général Phillipe Palmes rejoint les rang des Forces Indépendantiste Lermandienne. Et ce dernier réussi à négocier une alliance de circonstance avec les anciens chefs de tribus viétique.
- Proclamation de l’indépendance le 3 août 1784 avec les 3 représentants des régions coloniales de Lermandie ainsi que les régions coloniales viétique. Début de la Guerre d’indépendance de la Lermandie.

1784-1797: Guerre d’indépendance de la Lermandie.
1786: Suite à une défaite majeur, une partie des Forces indépendantiste bradisienne se cachent dans le Massif Lermandien. Mais bien qu'ils ont été repérer par les Forces Coloniales, les indépendantistes, dirigé par le Général Philippe Palmès gagnent leurs première victoire majeure durant la Bataille du Massif de Lermandie. Et c'est grâce à cette victoire que les forces indépendantiste se renomment les Forces Indépendantistes Lermandiennes.
1792: Bataille de Bradis.
Les Forces Indépendantistes Lermandiennes battent les Forces Coloniales de Bradis. Ces dernières déménagèrent leur capital au port colonial de Radiaiville.
1797: Traité de Paix signée le 9 décembre 1797 entre les Forces Indépendantistes Lermandiennes dirigé par Général Philippe Palmès et les Forces Coloniales de Bradis ainsi que l'Armée Royal de Teyla dirigé par le roi Raymond V, souverain du Royaume de Teyla. La Lermandie devient officiellement indépendant.

Période Révolution Industrielle lermandienne (1797-1930)

1798: Les Colonies de Bradis devient officiellement une démocratie sous le nom de lLa Grande République de Lermandie avec la rédaction de la Constitution Républicaine et le 3 août 1784 deviens la fête national de la Proclamation de l’indépendance. Philippe Palmès est élus officiellement que étant le premier Président de la République; Bradis devient la capitale politique de la République de Lermandie. De plus, cette constitution acte la fusion des territoires viétiens (mais restant en partie autonome politiquement vis-à-vis du gouvernement lermandienne, et des territoires lermandiennes.

Drapeau de la Grande République de Lermandie
Drapeau de la Grande République de Lermandie

La Lermandie en 1820

1799: Les noms des régions de Lermandie hérités de la période colonials changent de nom. Le Territoire colonial de Bradis devient la Région de Bradis, le Territoire Colonial du Bemar devient le Bémar, le Territoire Colonial de Planimar devient la Plainimar et le Territoire Colonial de l'Argenge devient l'Argenge. Les régions administrative viétiques suive le même chemin avec la création des régions administrative tels que le Montapard, la Virkenlie et le Septimard.

1810-1815: 1ere Révolte des Hamajaks dans l’Argenge. Cette émeute sera finalement neutralisé par les forces gouvernementale.

1815: En conséquence de la 1ere Révolte des Hamajaks, le gouvernement lermandien commence une politique d'assimilation "volontaire" envers les populations hamajak.

1820:
- Des tensions politique entre des populations de culture lermandienne et des populations de culture viétien apparaissent et semble s'aggraver au fure et à mesure du temps en raison de problème administratif comme la prise en compte administratif des mariages métisse et homosexuel (légal en territoires viétiens depuis 1798) par l'administration lermandienne.
- Mavie Gousse, une essayiste politique de culture viétienne, crée une polémique en publiant un essaie "La Déclaration des Droits de la Viétie et de la Citoyenneté" sous son nom de plume Lympe de Goose. De plus, elle incite les fonctionnaires de culture viétienne travaillant pour l'administration lermandienne en territoire vietien d'abandonner leurs poste dans le but “pousser la Lermandie à enfin tendre vers une révolution complète”. Mais malgré les discours incitant à la sédition, le gouvernement lermandien ne prononce pas un mandat d'arrêt visant Mavie Gousse en raison qu'un texte portant sur la liberté d'expression est en cours d'étude au Parlement lermandien.

1821: Des fonctionnaires de culture viétienne ont abandonné leurs postes (trois postes de maires, un poste de préfet provincial ainsi que des démissions de fonctionnaires) entrainant alors un scandale. En effet, depuis 1798, la Constitutions Républicaine obligeait l'Etat lermandien a favorisé la libérté politique entre des populations de culture lermandienne et des populations de culture viétien. Et cette remise en cause entraina alors une crise politique à la Cours Suprême de la République entrainant une paralysie partiel en matière d'application des lois en vigueurs. De plus, ce blocage entraina la suspension du texte portant sur la liberté d'expression qui devait être voté en 1822.

1822: La Constitutions Républicaine fut corriger l'année suivant en modifiant la phrase L'Etat à l'obligation de promouvoir l'égalité entre lermandien et viétien en L'Etat se doit d'incité à promouvoir l'égalité entre lermandien et viétien par Référendum.

1823: Des industriels privées mettent en places les premières lignes de chemin de fer destiné au transport de minerais (notamment du fer et de la houille) ainsi que des céréales dans l'actuel Région de Bradis et du Bemar. La traction des wagons était réaliser par des chevaux.

1824:
- Le gouvernement lermandien met au arrêts l'essayiste Mavie Gousse, ainsi que d'autre auteurs, pour Incitation à la sédition ainsi que Détention d'imprimerie non autorisé. Cette accusation peut entrainer la personne reconnu coupable d'être condamner à la Peine capital.
- En raison, de la modification de la Constitution Républicaine datant de 1822, des inégalité de développement territoriale apparaisse entre les territoires lermandien, devenant de plus en plus industriel, et les territoires vietiens, s'industrialisant très difficilement.
- Des manifestation, ou des emeutes, plus ou moins violent en territoire vietiens deviennent de plus en plus fréquent

1829:
- Après d'innombrable empêchement de jugement à cause des émeutes régulière, l'essayiste Mavie Gousse fut condamné à 20 ans ferme au lieux de la Peine capital.
- Par peur d'une potentiel revanche du Royaume de Teyla sur la Guerre d'indépendance lermandienne (des informations qui s'avère être fausse à cause des extrémiste nationaliste qui avait détourner une partie des renseignement d'espionnage), le gouvernement lermandienne du mettre en place une taxe sur la production alimentaire, une taxe sur le sels. le but de la création de ces deux taxes et de pouvoir financer plus facilement le développement industriel ainsi que de pouvoir financer correctement l'armée lermandienne.

1830: Mort de Phillipe Palmes. Sa mort met fin à la tolérance et à la fraternité entre les peuples lermandiens et vietiens.

1830-1833: Guerre civile lermandienne
1833:Traité de Portville: La République de Lermandie reconnait officiellement l'Indépendance de la République Viétique malgré la division de la Plainimar en deux (La Plainimar Lermandien pour la Lermandie et la Plainimar du Nord pour la Viétie. De plus, la Grande République de Lemrandie fut dissoute au profil de la 2nd République de Lermandie.

Leramndie_Vietie_1840
La Lermandie et la Viétie en 1840

1833: Naissance de la première ligne ferroviaire officiel (ligne encadré juridiquement par les lois lermandiennes) pour le trafic de marchandise exploité par La Compagnie des chemin de fer de Bradis entre le Port de Radiaiville et la capital Bradis. Cette ligne fut en partie financer par le Ministère de la Guerre dans un but expérimentale dans le domaine logistique.

1834: Début d'une forte militarisation de la Lermandie, encouragé par le patriotisme revanchard d'une partie de la classe politique lermandienne suite à la défaite fasse au indépendantiste viétique.

1837: Naissance de l'entreprise familiale MANBRAMA, une entreprise spécialisé dans la fabrication de machine industriel et ferroviaire.

1852: Abolition de l’esclavage.

1853: Naissance de L'Administration du réseau national suite à une guerre commerciale entre La Compagnie des chemin de fer de Bradis et La Compagnie des chemin de fer de Pitrat. En plus de gérer le réseau ferroviaire naissante, il devrait jouer le rôle d'arbitre jusqu'en 1933.

1854: Début du Plan Clarence( Développement des infrastructure ferroviaire centrer sur la capitale Bradis) commandé par le gouvernement lermandien et mis en pratique par L'Administration du réseau national. Ce plan fut activement financé par le secteur privé mais aussi par le secteur publique (notamment grâce au Ministère de l'Economie et au Ministère de la Guerre).

1860: Rattachement de la Principauté d'Antomont à la Lermandie en tant que protectorat.
note: en raison du faute d'orthographe concernant le "Massif Antomoint" avec un "i" au lieu de "Massif d'Antomont" dans les documents administratif provenant de la période colonial, le gouvernement accepta que ce massif garde le nom de "Massif Antomoint" en raison que les populations locales l'appelèrent ainsi par tradition.

1864: Création du Service Militaire Obligatoire pour les lermandiens de sexe masculin. Néanmoins la Principaux d'Antomont fut exempté de ce service militaire.

1880: Abandon de la méthode d'exécution réglementaire de la condamnation à mort par décapitation. Elle est alors remplacer par la chaise électrique.

1882: Le fleuve la Calogne est rendu apte à la navigation; tel que l'inauguration du premier barrage hydroélectrique lemrandienne à Chesville; après plusieurs années de chantier dans le but de facilité le transport logistique entre Radiaiville et Bradis en complément de la première ligne de chemin de fer connectant ces deux ville.

1884: Loi de la Liberté de la Presse et de la Critique.

1890: L'école deviens gratuite et obligatoire à partir de l'âge de 8 ans.

1899-1902: 2eme Révolte des Hamajaks.

1904: La République de Lermandie devient officiellement laïque. Le système scolaire lermandien devient alors officiellement laïque.

1907: Naissance officiel de Schmit Aviation par l'inventrice du premier aéronef lermandienne, Mme Stéphanie Schmit.

1908: La République de Viétie devient la République Nationaliste de Viétie, un régime que le gouvernement lermandien ne reconnaitra pas en raison que ce derner identifie ce nouveau régime politique comme étant une dictature sous le règne du Premier Président Rinochet.

1913: Le Président de la République Fernando Muller fait modifier par Référendum la Constitution Républicaine en interdisant le cumul de mandat présidentiel de plus de 2 fois de suite.

1916: Naissance du premier code de la route ainsi que du Certificat d’aptitude (qui deviendra le Permis de Conduire en 1935) via le décret "Décret concernant la réglementation de l’usage des voies ouvertes à la circulation publique".

1925-1928: Grande Guerre de 25
1925: Le Premier Président Rinochet envahie sans déclaration de guerre l'Antomont entrainant une déclaration de guerre de la République de Lemrandie
1928: La République de Lermandie gagne la guerre en rétablissant la démocratie en Viétie grâce à l'aide des population vietique convertie au communisme mais au prix de lourde dette.


Ere du Socialisme libéral (1930-...)

1930-1934: Crise Économique de 1930.
- N'arrivant plus à payer les dettes issue de la Grande Guerre de 25, les marchés financier internationaux écarta la la République de Lermandie entrainant alors une grave crise économique
- Le Parti Socialiste entre aux pouvoirs et transforme le système économique de la Lermandie en économie socio libéral. Début d'une très forte politique protectionniste et isolationniste.

1931: Mise en place du temps de travail minimum de 35h.

1932: Dans le but de redémarrer l'économie lermandienne, le gouvernement réforme le Service Militaire en le rendant non obligatoire MAIS en la mettant en place les Statuts Civiques des Citoyens; les citoyens de Classe 1 se doivent d'être disponible pour défendre la nation (mais avec les avantages de jouir complétement de leurs droit de citoyens tel que l'élection de l'Assemblée Constituante; et indirectement le Président de la République; et de proposé des lois au Parlement) tandis les citoyens de Classe 2 se doivent de participer à l'économie de guerre d'une manière ou d'une autre.

1933:
- Suite aux faillite de la majorité des entreprises ferroviaires, le gouvernement de lermandie les rachètent et les réunirent au sein de la la nouvelle entreprise publique, la Société Nationale des Transports ferroviaires. L'Administration du réseau lermandien est réformé devenant le Réseau ferré nationale.
- Naissance du Service des Études Économiques et de la Statistique.
- Naissance de la Loi Protectionnisme-1933, une loi obligeant les entreprises privées étrangères ou lermandienne à se déclarer au Ministère de l'Economie dans un but de recensement en échange d'une autorisation de faire du profile.

1934: Mise en place d'une politique protectionnisme pour protégé l'économie de la Lermandie qui a provoqué la Crise de 1930 via des Lois sur le Protectionnisme.

1935: Naissance du Code de la Route moderne ainsi que du Permis de Conduire moderne remplaçant alors le Certificat de d’aptitude

1940: Le gouvernement débute une politique d'investissement ambitieuse de projets d'infrastructure routière et autoroutière.

1948: Les femmes obtiennent le droit de vote mais doivent faire leurs Services Militaire Obligatoire.

1955: Suite à une épidémie d'asthme et de cancer du poumon, le gouvernement lermandien décide de mener une politique de décarbonation sur le long terme. Il décide alors de lancer une politique d’abandon des centrales électriques aux charbon aux profils des centrales à pétrole et au gaz. De plus, il décide de financer la construction de barrages hydroélectriques pour augmenter le rendement agricole pour répondre aux besoins alimentaires de leurs habitants.

1958: le Président Leonard Carter fait modifier la Constitution républicaine en faisant voter la Loi Carter-Becket dans le but de restreindre la Peine de Mort à la Trahison, à la désertion (en cas de mobilisations militaires) et aux Actes terroristes.

1958-1963: Grande Guerre de 58
Cette guerre marque une étape importe des relation entre la République de Lermandie et la grande République de Wetalia en tant qu'allié.

1960: Naissance de la première ligne du Réseau Express Régional gérer par la SNTF déssérvant Bradis et ses périphérie, le RER A. D'abord une initiative de la capitale, elle a été financé à 90% par le Ministère de la Guerre dans le but de résoudre les problème de circulation des marchandise provenant de Westalia à destination du front nord de la Grande Guerre de 58.

1963: Catastrophe de Ritanville, une catastrophe industrielle tuer près de 412 employés et habitants en mois de 72h.

1964: Début d’une politique de recyclage des déchets ménagère et toxique.

1965: Adoption de la Loi PROTENV, la premier loi majeur dédier à la protection environnementale adopter suite à la Catastrophe de Ritanville en 1963.

1967: Loi sur les monopoles des entreprises privées visant à interdire les monopole dans le secteur privée. Mais la l'entreprise pétrolière BEPAL bénéficie d'une autorisation provisoire par décret par le Président de la République Marcel Boulot.

1974-1979: Guerre Lermando-Maximiliane

1980-1983: 3eme Révolte des Hamajaks.
D’abord une manifestation pacifique, les Hamajaks les plus extrémistes mettent à feux et à sang la ville Stratis, provoquant alors près 653 morts et 7547 blessé côté Lermandiens, y compris des Hamajaks intégré dans la société lermandienne, suite à un accord sur l’autonomisation de l’Argenge entre le gouvernement lermandien et les représentants hamajaks et non sur une indépendance. L’Etat lermandien réprima alors très violemment les insurgés hamajaks.
1982: Le Président de la République Marcel Boulot est assassiné par un hamajak extrémiste durant le Salon de l’agriculture à Bradis. En réponse, le juge Ector Vauban en charge de l'affaire du "Massacre de Stratis" ordonna une condamnation à mort aux fusils 500 Hamajaks extremiste parmi les 3760 Hamajaks jugé coupable de sédition et d’acte de terrorisme capturé pour l’exemple.
1983: l’Armée lermandienne bombarde les camps insurgés avec du napalm, mettant un terme à la révolte.

1982-1984: Grande Guerre de 82
Cette guerre marque la fin de la Vietie en tant qu'Etat indépendant via un partage de territoriale avec le Nebrownia

1984: Après avoir consulté les citoyens par Référendum, le nouveau Président de la République Paul Fernandez fait inscrire sur la Constitution Républicaine:
“Les régions administratives d’Antomont, d’Argenge, de Bemar, de Bradis et de Plainimar demeurent et pour toujours et à jamais un territoire de la République de Lermandie”.

1985: Le Parlement lermandien rajoute dans la Constitution Républicaine:
“ Le droit de manifestation est un droit de la liberté d'expression sauf en cas violation flagrante de loi constatée tel que porter atteinte aux biens des citoyens ou de l’État ou à l'intégrité des habitants lermandiens.”.

1988:
- Le Parti Indépendantiste de l’Argenge, un parti représentant les hamajak en Lermandie en Argence, est créer par les représentants hamajak qui sont participer à la négociation avec le gouvernement lermandien en 1980 avec l'accord de la Cour Suprême de la République à condition de respecter la Constitution Republicaine. Néanmoins, ce parti est sous surveillance de l’Agence de la Sécurité Intérieure (A.S.I.), l'agence de renseigne du contre-espionnage et du contre-terrorisme.
- En raison d'une absence potentiel d'un Etat ou Nation qui pourrait menacé l'intégrité de la Lermandie (notamment par la disparition de la Vietie), le gouvernement lermandien acte une diminution progressive du budget des armées lermandiennes ainsi que des effectif professionnels.

1986:
Le Parlement lermandien vote la Loi ENVIRON-1, une loi majeur succédant à la Loi PROTENV de 1965 obligeant les entreprises privées a demandé des autorisations d'exploitations du sol lermandien (terrestre et maritime) au SPGL dans un but de protections de l'environnement et de la protections des ressources en eau potable.

1987: Le corp scientifique de l’Université de Bradis estiment une baisse de la production de pétrole lermandien d’ici 20 ans. Convaincu et ne souhaitant pas subir une crise énergétique et motivé par le désir de faire diminuer la pollution du pays, le gouvernement lermandien décide de financer la construction de parcs éoliens ainsi que de lancer son programme nucléaire civile sous la tutelle du Bureau sur Énergie Atomique ( B.E.A) créer la même année.

1989:
-Naissance de Bradis-Métropole, une administration urbaine spéciale créée par le gouvernement regroupant l’air urbain de Bradis à cause de son aire urbaine et de son son agglomération très étendu.
- Mort de Rosalie Chauve, 16eme Présidente de la République de Lermandie, suite à un duel à arme feu face à Roger Mulas, un rival du Parti Socialiste. Sa mort à entraine le début de la fin du monopole politique du Parti Socialiste de l'Assemblée Constituante ainsi que l'abrogation définitive du Droit aux duels à mort égalitaire de la Constitutions Républicaine, une des dernière lois suprême hérité de la colonisation du Royaume de Teyla.

1993: Le 17eme Président de la République Lermandienne Julien Dérocles, en poursuivant la politique reformiste de Rosalie Chauve, abroge via le Referendum du 2 septembre 1993 le Droit aux duels à mort égalitaire de la Constitutions Républicaine.

1994: Sous la pression du Parti Socialiste, le Président Dérocles fut forcer de signer la Loi de Programmation Militaire de 1994, provoquant une diminution drastique du budget des Forces Armées Lermandienne ainsi qu'une diminution des effectifs militaires opérationnel jusqu'à la valeur prévu de 10 000 soldats qui devra être atteint en 2010, au motif que la Vietie n'est plus une menace en raison de sa disparition.
Cette loi marqua le quasi démantèlement de la Marine Républicaine dans un premier temps, puis de l'Armée de l'Air à partir de 1996 et de l'Armée de Terre à partir de 2000

1995:
- En raison de la trahison et de l'incompétence du Parti Socialiste, le Président Déroclès quitte le Parti Socialiste et rejoint le Parti des Nouveau Centriste, provoquant ainsi un effondrement de la popularité de son parti d'origine
- Le Parti Socialiste (dominant à la majorité absolu à l'Assemblée Constituante) saisie la Cours Suprême de la République pour destituer le Président Déroclès. Ce dernier refuse sa destitution en raison du soutien des juges nommé par le Président Dérocles et des juges du Sénat ( les 2/3 des juges votant contre la destitutions) mais aussi en raison des élections législative de mi-mandat ayant lieu dans quelques mois.

1996:
- Naissance officiel du Parti de l'Union Républicaine suite à un accord entre les membres du Parti des Nouveau Centriste et des dissidents socialistes peu avant les élection législatives de mi-mandat.
- Le Parti de l'Union Républicaine s'allie avec le Parti Libéral de la Nation, provocant ainsi la naissance de la Coalition de Droites
- La Coalition de Droite remporte les élections de mis-mandat mais n'a pas réussit à obtenir la majorité absolut à l'Assemblée Constituante pour abroger la Loi de Programmation Militaire de 1994.

1999: Démarrage officiel du 1er réacteur nucléaire civil de la centrale nucléaire de Plaineville. D’autres centrales nucléaires sont en construction ou sont planifiées.

2002: Le gouvernement lermandien lance une politique de verdissement de son agriculture en limitant les produits chimiques .

2010: Pour la première fois dans l'histoire politique de la Lermanie, la nouvelle coalition de gauche, appelé "Le Front de Gauche" mener par le Parti Communiste Lermandien, le Parti Socialiste et le Parti Ecologiste et Solidaire sont majoritaire à 50% face à la "Coalition de droite" mené par le Parti de l'Union Républicaine et le Parti Libéral de la Nation (40%) durant Election de mi-mandat à l'Assemblée Constituante. Le Président de la République Nicolas Lemoine, membre du Parti politique Parti Libéral de la Nation, n'a pas d'autre choix que d'accepter une cohabitation, une première dans l'histoire de la Lermandie.

2013:
- Lors de l'élection présidentielle de 2013, le Parti de l'Union Républicaine dirigé par Michel Duval remporte la majorité des siège, soit un score de 47% , à l'Assemblée Constituante, et grâce à l'appui des 10% des sièges obtenue par le Parti Libéral de la Nation (Permettant ainsi la Coalition de Droite d'avoir la majorité absolut), Michel Duval est élut Président de la République de Lermandie. Entretemps, les élections sénatoriale ont eu lieu, et le Parti Libéral de la Nation obtient 50% des sièges du Sénat.
- 15 juin 2013: La République de Lermandie devient un des pays membre fondateur de l'Alliance pour la Sécurité Économique Aleucienne (ou ASEA) avec la Fédération de Sterus, la grande République de Westalia et l'Union des Cités d'Akaltie.

2014: La République de Lermandie devient un membres extérieur de la Coopération Aleucienne des Nations

Politique internationale :

A l'origine, la République de Lermandie était très ouverte économiquement avec d'autres États du monde avec la mise en place de traités de libre-échange.
Néanmoins, la Crise de 1929, provoqué par une non-maitrise de son économie ainsi que les conséquences de la Grande Guerre de 25, frappa très durement la Lermandie. Mais grâce à des personnes clairvoyants issue du Parti Socialiste, ces derniers réussirent à stabiliser l'économique lermandienne grâce à une politique protectionniste extrêmement agressive grâce à la nationalisation d'entreprises privées et de la reconnaissances des groupes syndicaux ouvrier de la part du gouvernement ainsi qu'un quasi-isolement de la Lermandie dans le monde (La Lermandie conserva des contacts diplomatiques au pays qui sont les plus proches pour des raisons économique et sécuritaires même si ces derniers n'échappèrent pas aux conséquences du Protectionnisme Lermandienne).
Et c'est grâce à ces politiques réussies du Parti Socialiste qui leur permit de rester au pouvoir de 1930 à 1996. Cette période sera nommée plus tard l'Age d'Or du Socialisme.

Avec sa réouverture diplomatique initié par le Président Michel Duval, président de la République de Lermandie élut en 2013, la République de Lermandie se rouvrit au monde même s'il se focalise principalement sur le continent Aleucie au niveau économique, politique, technologique et militaire.

Néanmoins, malgré son ouverture diplomatique, la République de Lermandie garda sa politique protectionniste pour éviter une nouvelle crise économique, sauf si les gains issue d'un traité de libre-échange remporte sur les coûts.

Au niveau des négociations, la République de Lermandie applique une doctrine de respects mutuels dans un rapport équitable, c'est à dire qu'une négociation n'est pas un évènement où les exigences doivent être faites mais une discutions sur des contreparties.
Mais une chose est sûr: un Etat que tente d'imposer sa vision à la Lermandie reviendrait "à recevoir une porte dans la figure".

Régions administratives:

CarteadministrativeLermandie
Région de Bradis (Capital régional: Bradis)
Bemar (Capital régional: Portville)
Argenge (Capital régional: Stratis)
Plainimar (Capital régional: Pitrat)
• Antomont (Capital régional: Alveville)

La topographie:
topo_lermandie

Climats:

CarteclimatLermandie
Explications:
- Climat océanique: température moyenne de 0°C à +25°C, influencer par les courants océaniques
- Climat intérieur: Été chaud et sec et hiver doux et humide
- Climat semi-continental: température moyenne de -5°C à +25°C

Economie et logistique:

espace_eco_lerm

Catastrophe de Ritanville


usine de Ritanville
l'usine de BEPAL à Ritanville en 1960

La catastrophe de Ritanville est un incident industriel majeur survenu dans la nuit du 2 au 3 décembre 1963, dans la commune de Ritanville, située au nord-est de Portville, en bordure du fleuve La Chotoise. À cette époque, la commune comptait environ 7200 habitants (recensement de 1962).

Elle résulte de l'explosion d'une usine chimique appartenant à la société BEPAL, spécialisée dans la fabrication de produits destinés à l’agriculture et aux Forces Armées Lermandiennes. Historiquement centrée sur la production de pesticides depuis 1920, l’usine est sollicitée dès la Grande Guerre de 25 pour produire du gaz moutarde. Sous la direction de BEPAL, des recherches sur des agents chimiques offensifs débouchent ensuite sur la mise au point de napalm, agent orange et phosphore blanc, utilisés dans la Grande Guerre de 58 et la Grande Guerre de 82.

I/ L'Incident

Dans la nuit du 2 décembre, une défaillance du système de confinement des cuves provoque une série de réactions chimiques incontrôlées. L’explosion principale libère des substances hautement toxiques dans l’atmosphère, contaminant l’air, les sols et les eaux. Un incendie se propage rapidement, attisé par les vents d’hiver descendant de la vallée de La Chotoise, atteignant l'agglomération de Portville.

II/ Les conséquence de l'Incident

Considérée comme la pire catastrophe industrielle de l’histoire de la République de Lermandie, elle provoqua:

• 412 morts officielles en moins de 72 heures (brûlures, asphyxie, intoxication)
• Une épidémie de pathologies respiratoires et cutanées dans les communes environnantes
• Des malformations congénitales signalées dans les naissances de 1964 à 1975
• 1200 emplois supprimés avec la fermeture définitive de l’usine
• Inculpation d’Ector Bavien, directeur du site au moment des faits
• Adoption en 1965 de la loi PROTENV, sur la protection environnementale et la régulation des industries à risques (une loi qui seras renforcer par la Loi ENVIRON-1 de 1986)

Malgré une enquête menée par une commission parlementaire, le gouvernement choisit de protéger la direction générale de BEPAL, invoquant la souveraineté industrielle dans les secteurs chimiques et pétrochimiques.
Cela n'empêche pas l’entreprise de verser des compensations : transfert d’actions boursières à l’État (soit 40% de la part boursière de l'entreprise), et indemnisations aux victimes identifiées par le Ministère de la Santé.

Suite à la catastrophe, l'usine sera rasé, son terrain est dépolluer et reboisé. A partir de 1974, la municipalité de Ritanville décide de transformer ce terrain en parc forrestier accessible au publique, bien que restant sous surveillance par le Ministère de la Santé, et inaugure un monument en hommage au victime de la catastrophe.

Malgrès les pressions des associations environnementales, BEPAL continuera la production des armes chimiques jusqu'en 1984, date de la fin de la Grande Guerre de 82 suite à un arrêt des commandes par les Forces Armées Lermandiennes.

Politiquement, avec une politique de deuxième chance, le gouvernement devint le grand vainqueur de cette catastrophe au yeux du public en démontrant que l'Etat est capable de sanctionner lourdement les entreprises ayant commis des négligence impardonnable tout en gagnant des bénéfice monétaires et un poids sur les décision des entreprises sur le long terme.

La Guerre Lermando-Maximiliane

En attente d'approbation des acteurs concerné


soldat lermandien
Un soldat lermandien, 1974

La Guerre Lermando-Maximiliane (ou Guerre du Patras) fut un conflit ayant débuté en 1974 et s'étant terminé en 1979, opposant l'Entente Aleucienne au Royaume de Maximus, sous l'égide de Sertiani Samir.
Le conflit représenta une victoire diplomatique et politique pour l'Entente Aleucienne, mais une défaite catastrophique pour le Royaume de Maximus, provoquant une instabilité politique croissante jusqu'à une révolution populaire survenue le [date à définir].

L'origine de ce conflit remonte à 1950, lorsque les putschistes menés par Sertiani, ayant renversé la République Maximiliane, entreprirent de réaliser le "verdadeiro destino", un projet visant à annexer la République d'Antomont et la ville de Lokglaz à Maximus.
Étant donné les relations très amicales avec la République de Lermandie, le Président Edgar le Tonnelier, 11ᵉ président de Lermandie, dénonça les intentions dictatoriales du régime maximilien en appliquant des sanctions économiques et diplomatiques.

Néanmoins, Fabiano Braga, chef de la première division durant le coup d'État, bras droit de Sertiani, reconnu comme paranoïaque et mégalomane par les services secrets lermandiens, était convaincu que son pays faisait face à une invasion imminente.
Ayant réussi à convaincre les autorités maximiliennes, Braga obtint le déploiement de forces armées à la frontière lermando-maximilienne. Par conséquent, avec l'accord des autorités antomiennes, l'État-major lermandien déploya des divisions à la frontière lermando-maximilienne et antomont-maximilienne.

À la suite de l'incident de Desligar, au cours duquel une unité maximilienne s'engagea dans une escarmouche avec des gardes-frontières antomiens, la 12ᵉ division d'infanterie antomienne, soutenue par la 58ᵉ division lermandienne, parvint à repousser les attaques menées par la Troisième Division de reconnaissance maximilienne.
Sous ce prétexte, l'État-major maximilien ordonna la mobilisation générale en vue de conquérir la République d'Antomont.

Le Début de la Fin

Le 21 juin 1974, à exactement 4h30, les forces armées maximiliennes franchirent la frontière antomont-maximilienne. Les bombardements d'artillerie initiaux exercèrent une forte pression sur les unités antomiennes et lermandiennes, les contraignant à une retraite stratégique derrière le fleuve Chotoise. En moins de deux semaines, les troupes maximiliennes réussirent à conquérir la ville d'Albeville.
Cependant, cette Blitzkrieg ne dura pas, malgré son fulgurant démarrage.

L’incompétence de l’armée maximilienne,due à la promotion d’officiers sur la base de leur loyauté au régime plutôt que sur leurs compétences, l’allongement des lignes logistiques et la dégradation de la discipline au profit de pillages généralisés ralentirent l’avancée.
Bien qu’ayant initialement perdu du terrain, les forces armées lermandiennes parvinrent à s'infiltrer derrière les lignes ennemies pour soutenir la résistance locale.
De plus, ayant anticipé un assaut dans le Massif lermandien, la 3ᵉ Armée, dirigée par le général d’armée Frank Dutertre, repoussa avec facilité les tentatives d’assaut maximiliennes, malgré le soutien de la République populaire Viétique. Une logistique bien planifiée, une défense coordonnée et une supériorité technologique permirent à la Lermandie d’infliger des centaines de milliers de pertes à Maximus.

La participation directe de la Viétie provoqua une déclaration de guerre par Michel Boulot, 11ᵉ Président de la République de Lermandie.

Sur le front d'Antomont, la situation se transforma en débâcle pour les forces maximiliennes.
Car oui, aussi surprenant que cela puisse paraître… piller un magasin ne vaut pas une tranchée.
La désorganisation provoquée par les pillages permit aux forces lermandiennes et antomiennes de se regrouper sous le commandement du général Dutertre. L’arrivée de la 11ᵉ Division Blindée, menée par le général de division Charles Cuvillier, déclencha une contre-offensive qui écrasa les troupes maximiliennes à Albeville.
Bien qu'une partie se replia derrière le Béseau, protégeant une portion de leurs gains, des milliers furent capturés, et pour la plupart, exécutés sur le champ. Pour de nombreux historiens et amateurs d’histoire alternative, ce fut le point de bascule vers une défaite inévitable pour Sertiani Samir.

En effet, la Lermandie était plus peuplée, plus riche, plus industrialisée et bien moins corrompue que Maximus et ses alliés viétiques.
Sans même évoquer l’état catastrophique des forces viétiques depuis la guerre de 1958, aggravé par l’occupation de Maireport et Evran par les forces westaliennes, qui détruisirent une économie déjà affaiblie.
Ainsi, la Lermandie pouvait se permettre une guerre d’attrition, ce que Maximus et ses alliés ne pouvaient envisager.

Parmi les événements marquants, on compte :
• Le blocus naval imposé par la Lermandie sur le port d’Ariples • Le renvoi du ministre de la Guerre Dimitri Allaire pour négligence, après l’approbation d’une opération visant à assassiner Sertiani via l’explosion de l’usine d’armement d’Aros. Cette tentative échoua tragiquement : la mort d’un enfant visiteur galvanisa l’effort de guerre maximilien.
Le front se figea pendant deux ans, ponctué de barrages d’artillerie et de frappes aériennes.
En Viétie, la situation se détériora. La flottille lermandienne, bien que modeste, détruisit la marine viétique.
Privée de ressources, la Viétie devint totalement dépendante de l’industrie de guerre maximilienne, notamment pour la nourriture et le coton, épuisant une économie déjà en surchauffe.

Le Tournant et la Chute

En 1976, le moment tant attendu arriva : les lignes de défense maximiliennes le long du Béseau furent compromises. Dans la nuit, des unités de sapeurs parvinrent à infiltrer la partie sud de la ligne, bénéficiant de la couverture offerte par les bombardements de la marine et de l’armée de l’air. Elles permirent le franchissement du fleuve par plusieurs unités mécanisées.
L’armée de l’air maximilienne, désormais incapable de protéger le territoire national, ne put empêcher des opérations aéroportées derrière les lignes maximiliennes.
La retraite dura trois mois, au cours desquels toutes les installations construites par l’occupant, chemins de fer, centres de distribution logistique, sites de défense antiaérienne (AA),furent soit abandonnées, soit complètement détruites. L’armée en déroute parvint toutefois à regagner Ariples et commença à renforcer les défenses de la ville.

Pour tenter de défendre le territoire dans une guerre que Sertiani comprenait désormais être perdue, trois mesures furent décidées :
• 1. La création d’une milice chargée de mener des actions de guérilla à mesure de la progression lermandienne. • 2. Le redéploiement immédiat de toutes les divisions et brigades d’élite sur le front principal. • 3. L’abandon stratégique de la Viétie.
Tout au long du conflit, bien que les armées viétiques aient démontré efficacité et endurance, des tensions apparurent entre l’état-major maximilien et viétique.
Les Maximiliens accusaient la Viétie de parasitisme, invoquant son refus de suivre les "recommandations" maximiliennes. Les Viétiques répliquaient en dénonçant une tentative de prise de contrôle de leur armée. Ce différend était aggravé par des divergences idéologiques : Maximus, État fasciste d’inspiration royaliste et conservatrice, s’opposait radicalement à la Viétie, république laïque marquée par le marxisme-léninisme.

Le 7 janvier 1977, le corps expéditionnaire maximilien se retira de Viétie, laissant sur place tout son équipement, ses munitions et son ravitaillement.
Privée de soutien industriel, la Viétie connut aussitôt une panique au sein de son haut commandement, qui tenta de capituler. Celui-ci fut temporairement maintenu par une promesse d’aide logistique qui se heurta à d’innombrables “problèmes techniques”.
Le manque de soutien entraîna un déficit généralisé : munitions, rations, carburant, moyens de transport (hors chevaux), vêtements… rien n’échappait à la pénurie.
Malgré la qualité de son matériel, l’armée viétique dut se plier à une capitulation inconditionnelle, acceptée sans résistance par le gouvernement civil et l’armée.

Pendant cet épisode, l’armée maximilienne renforça ses positions dans les montagnes frontalières. L’année fut marquée par le retrait progressif des forces aériennes maximiliennes. Les appareils manquaient de carburant, les réserves pétrolières dans le nord du pays étant nettement inférieures aux prévisions. Les frappes aériennes régulières cessèrent.

L’année 1978 fut catastrophique pour Maximus. Entre le débarquement sur les plages d’Ariples, la destruction quasi totale de l’armée de l’air et l’échec des milices populaires, la situation empira significativement.
Concernant le débarquement d’Ariples : le blocus naval imposé par la Lermandie et la Westalie rendait l’invasion par la mer inévitable.
Des batteries sol-air et sol-mer furent déployées le long de la côte ouest, mais leur portée était trop faible pour inquiéter sérieusement la marine lermandienne. Elles servirent plutôt d’élément dissuasif.

Malgré ces préparatifs, l’armée lermandienne parvint à mener des opérations de commando à travers le front terrestre et maritime.
Ces commandos, bien qu’ayant subi de lourdes pertes, accomplirent leurs missions en neutralisant plusieurs centres de commandement et de communication, semant le chaos dans les défenses antiaériennes.
Quinze heures après leur destruction par les garnisons locales, des frappes aériennes massives furent lancées par l’armée lermandienne, touchant parfois des zones civiles.

La Première flotte de la Marine Républicaine lermandienne, soutenue par un groupe de combat naval westalien, débarqua avec près de 150 navires de guerre et 10 000 soldats.
Grâce à une opération navale réussie, appuyée par des bombardements terrestres depuis le front, Ariples tomba rapidement aux mains de l’Entente.
La ville d’Aripelas, cependant, opposa une résistance acharnée, obligeant l’Entente à recourir à des bombardements massifs.

Malgré la prise de plus de la moitié de la ville en 1979, la situation était limpide pour tous les belligérants : l’armée maximilienne était dans une position intenable.
La meilleure formation et la coordination des forces lermandiennes contrastait fortement avec une armée maximilienne rongée par les luttes internes et la corruption.

La Fin du Conflit et ses Conséquences

Malgré les succès tactiques et stratégiques de l’Entente, les forces alliées durent suspendre leurs opérations face à la menace d’intervention de la République Démocratique Vlastique, alliée historique de la République populaire Viétique.
Les autorités lermandiennes et westaliennes furent contraintes de proposer un cessez-le-feu avec le régime maximilien.
En janvier 1980, un traité de paix fut signé entre l’Entente et Maximus, permettant à l’Entente de récupérer les territoires qu’elle occupait.

Le bilan de la guerre fut désastreux : Ariples et Aripelas subirent des destructions respectives de 30 % et 50 %.
Le régime maximilien, sévèrement affaibli par sa défaite, fut finalement renversé lors d’un conflit ultérieur.
En Lermandie, malgré l’absence de gains territoriaux, cette guerre fut célébrée comme une victoire politique contre un envahisseur belliqueux, et une victoire stratégique : la République populaire Viétique avait perdu un allié. Neanmoins, le gouvernement lermandien a observé une hauses des activités terrorise hamajaks, aboutissant à la 3eme Révolte des Hamajaks.
Enfin, la République d'Antomont fut intégrer pacifique en République de Lermandie en 1980, mais avec l'intégration d'exception tel que l'acquisition de la citoyenneté sans avoir à effectuer un service militaire. Son intégration complète sera effectif en 2005
logistiques et transports lermandie

Listes des autoroutes de Lermandie:

Section Ouest-Sud

A11; planifié en 1940, inauguré en 1960; Axe Bradis-Travire; Commentaire: connexion à la Westalia

A12; planifier en 1940; inauguré partiel en 1982 et ouverture complète en 1999; Axe Radiaiville-Stratis; Commentaire: Autoroute à péage, Pont de l'Esperance

A13, planifier en 1940; inauguré en 1946; Axe Bradis-Radiaiville; Commentaire: première autoroute de Lermandie

A14, planifier en 1980; en cours de construction; Axe Bradis-Stratis; Commentaire: Future autoroute à péage, extention de l'autoroute vers la Westalia en projet.

Section Est

A21; planifier en 1940; inaugurer en 1948; Axe Bradis-Pitrat; Commentaire: Premier autoroute à péage

A22; planifier en 1950; inaugurer en 1973; Axe Pitrat-Mielville-Plage-Travir; Commentaire: Autoroute à Péage

A23; planifier en 1980; inauguré partiel en 1987 et ouverture complète en 2004; Axe Mielville-Plage-Buryville; Commentaire: connexion à la Westalia

A24; planifier en 1990; en cours de prise de décision; Axe Stratis-Mielville-Plage; Commentaire: Traverse des territoire peuplées d'hamajaks

A25; planifier en 1990; en cours de prise de décision; Axe Stratis-Sutton; Commentaire: Traverse des territoire peuplées d'hamajaks

Section Nord

A31; planifier en 1940; inauguré partiel en 1956 et ouverture complète en 1993; Axe Bradis-St-Marie-sur-Mer-Portville-Albeville; Commentaire: Autoroute la plus longue de Lermandie, Autoroute à péage

A32; planifier en 1950; inauguré en 1962; Axe Pitrat-Pameaux-Lisenmont; Commentaire: autoroute à péage

A33; planifier en 1970; inauguré en 1993; Axe Lisenmont-Partenville; Commentaire autoroute gratuite

A34; planifier en 1980; en cours de construction; Axe St-Marie-sur-Mer-Curiville; Commentaire: autoroute à péage

A35; planifier en 1990; en cours de prise de décision; Axe Portville-Lartonville-Pameaux; Commentaire: n/a

A11b; planifier en 1980; en cours de construction; Axe Bradis-Curyville; Commentaire: extension vers le nord de l'A11

Entreprise gestionnaire des autoroutes en Lermandie: Société autoroutière gouvernementale de Lermandie (SAGL)

L’industrie nucléaire en Lermandie


L’Industrie nucléaire en Lermandie est mise en place en 1987 dans le but de tenter de sortir de la dépendance dans le domaine des énergies fossiles (pétrole et charbon) tout en anticipant une fin prochaine des épuisements des ressources pétrolières sur le sol lermandien. Il est important de noter que la motivation des lermandiens sur le soutien du développement nucléaire en Lermandie est surtout liée à la lutte contre les émissiond egaz carbonique étouffant les principaux centres urbains.

Avant la mise en service du premier réacteur nucléaire sur le site de la centrale nucléaire de Plaineville en 1999, la BEA a mis en place divers réacteurs expérimentaux tel que la construction de réacteurs nucléaires à uranium naturel graphite gaz (Spatannin, Pellepierre), d’un réacteur à eau lourde (Sholz) et d’un réacteur à eau pressurisé (Cruaville).

Néanmoins, en 1995, le gouvernement lermandien fait le choix de choisir la filière des Réacteurs à eau pressurisée à cause de son coût moindre ainsi que de sa fiabilité.

La filière nucléaire lermandienne rassemble 2000 entreprises employant en 2010 près de 200 000 salariés (emplois directs et indirects) particulièrement qualifiés et formés principalement à l’Université de Bradis.

Actuellement, la filière nucléaire lermandien utilise 3 génération de réacteur:
- 3 réacteurs de génération V1 de 900 MWh conçu en 1999
- 10 réacteurs de génération V2 de 1300 MWh conçu en 2003
- 14 réacteur de génération V3 de 1600 MWh conçu en 2007

Centrales nucléaires en Lermandie

Listes des centrales nucléaires en service

Plaineville:
- Région: Argenge
-date inauguration: 1999
-réacteur actifs: 2 (1*900 MWh; 1*1600 MWh)= 2500
- Source froide: Chappe

Spatanin
- Région: Région de Bradis
- date inauguration: 2003
- réacteur actif: 4 (2*900 MWh; 1*1300 MWh; 1*1600 MWh =4700
- Source froide: La Calogne

Pellepierre
- Région: Région de Bradis
- date inauguration: 2005
- réacteur actif: 6 (3*1300 MWh; 3*1600 MWh)=8700
- Source froide: La Calogne

Cruaville
- Région: Bémar
- date inauguration: 2006
- réacteur actif: 2(2*1300 MWh)= 2600
- Source froide: la Chotoise

Sholz
- Région: Région de Bradis
- date inauguration: 2008
- réacteur actif: 5 (2*1300 MWh; 3*1600 MWh)= 7400
- Source froide: mer

Stanville
- Région: Plainimar
- date inauguration: 2009
- réacteur actif: 4 (2*1300 MWh; 2*1600 MWh)=
- Source froide: Le Ravre

Bratignac:
centrale nucléaire de Bratignac
- Région Plainimar
- date inauguration: 2013
- réacteur actifs: 4 (4*1600 MWh)
- Source froide: mer

Sutton:
- Région: Argenge
- date inauguration: en construction
- réacteur (en chantier): 3 (3*1600 MWh)
- Source froide: Boumart


Industrie nucléaire lermandie

La Vietie


Carte de la Vietie

La Vietie (ou République Populaire Vietique) était un État totalitaire sous domination communiste ayant disparu lors du Traité de Pitrat, un traité de paix mettant fin à son existence après la guerre de 1958.

Drapeau République Vietique
Drapeau de la 1er et de la seconde République Vietique

Ayant pris son indépendance de la République de Lermandie sous le nom de la République Viétique en 1833 après la Guerre Civile Lermandienne, la Vietie fut une nation relativement instable liée à de mauvaise décisions politique ainsi que par les politiques déstabilisatrices de la Lermandie et de Nebrownia dans le but d'empêcher la Vietie d'être une menace.

République Nationaliste Vietique
Drapeau de la République Nationaliste Vietique

Dans ce contexte, un coup d’Etat orchestré par le Général Edouard Rinochet en 1907 fit devenir la République de Vietie en République Nationaliste Vietique, un régime fasciste totalitaire ayant désigné la République de Lemrandie comme son ennemi jurée.
Une guerre, appelée plus tard la Grande Guerre de 25 fut finalement déclarée par le régiment en envahissant le Plainimar Lermandien. Elle se termine en 1928 après la signature du Traité de Bradis obligeant la dissolution du régime Ricochet et la restauration de la démocratie en Vietie (avec les réparations de guerre).

Drapeau République Populaire Vietique
Drapeau de La République Populaire Vietique avant sa dissolution

Mais en 1932, le Parti Communiste en Vietie, sous la direction de Valérien Lénin tenta de prendre le pouvoir, plongeant ainsi la Vietie dans la guerre civile pendant 3 ans.
Et en 1935, les forces communistes gagnèrent la guerre après le Siège de Gelestal provoquant la chute de la 2nd République Vietique au profit de la République Populaire Vietique sous la direction de Valérien Lénin. La République Populaire Vietique deviens ainsi l'une des première régime communiste de l'Histoire.
Or, suite à l'accession au pouvoir de Joséphine Talin, un communiste patriotique et anti-lermandien, en tant que 1er Secrétaire du parti, provoquant ainsi une guerre froide envers la République de Lermandie, illustrée par des conflits frontaliers sporadiques mais fréquents.

En 1958, Joséphine Talin déclencha la guerre patriotique”, appelée aussi la Grande Guerre de 58 sans déclaration envers la République de Lermandie dans le but d’annexer les territoires vietiens de droits et de soumettre la Lermandie à la dictature communiste.
Et bien que les forces armées Lermandienne ai eu du mal cette fois si a repousser les forces communistes vietiens à cause d’un endoctrinement extrême ainsi que par l’utilisation d’armement chimique et biologique, la République de Lermandie gagna la Grande République de Westalia en tant qu’allié, ce qui permis aux forces alliés de repousser les forces communistes hors du territoires lermandien.
La Grande Guerre de 58 se termina en 1963 par le décès de Joséphine Talin ainsi que par le Traité de Columbia permettant à la République de Lermandie d’annexer les 4 provinces vietiens les plus à l’est de la Vietie.

Mais souhaitant une revanche que la Lermandie, le 1er secrétaire du Parti Communiste Nicolas Crouchet, un ancien général vétéran de la Guerre de 58, enclenche la 3eme Révolte Hamajaks en Lermandie en 1980 dans le but de préparer une nouvelle invasion en Lermandie.
Et c’est en 1982 par la mort du Président de la République de Lermandie Marcel Boulot que Nicolas Crouchet déclencha la Guerre de 82. Et malgrès ce contretemps, la Grande République de Westalia intervenu en faveur de la Lermandie
Mais le nouveau Président de la République Paul Fernandez eu parvenu à convaincre le dirigeant de l’Etat de Nebrownia (nom du dirigeant) de participer à la guerre via une offensive par l’est de la Vietie dans le but d’éliminer une bonne fois pour toutes la menace Vietien.
Et en 1984, le Traité de Pitrat provoqua la dissolution de la République Populaire Vietique par un partage territorial entre la République de Lermandie et l’Etat de Nebrownia .

La Guerre Civile Lermandienne (1830-1834)


Scène de la guerre civile en Lermandie en 1831
Une scène de la guerre civile en Lermandie en 1831

La Guerre Civile Lermandienne oppose de 1830 à 1834 la Grande République de Lermandie aux Forces indépendantistes Viétiens. Provoqué par une rébellions par des bataillons d’origine vietiens posté à Gelestal en soutien à l’essayiste indépendantiste vietien Mavie Gousse, cette rébellion s’était propagé dans les régions ayant un part important d’ethnie vietiens tel que les régions de Virkenlie, de Septimard, de Montapard et de la partie nord de Plainimar.

Suite à ces révoltes, le Général Achille Antonio, un militaire lermandien d’origine vietien se rebella avec d'autres officiers et soldats vietiens, et se joignit aux forces indépendantistes et prit sa direction.
Peut après, le Général Achille Antonio, entouré de ses conseillers vietiens indépendantistes, déclara comme revendication l’annexion du Bemar et de la Plainimar ainsi que de la libération de l’Argenge au profils des Hamajaks.
En conséquence, le Président de la République de la Grande république de Lermandie Remy Delacroix déclara la guerre aux indépendantistes viétiens et mobilisa toute la population masculine lermandien à la guerre. Mais le temps que cette populations soit formé et déployé sur les théâtre d'opération, les armées indépendantiste Viétiques ont pu avancer au sein du territoire loyaliste lermandien en vue de tenter d'occuper la capitale lermandienne, Bradis.

L'avancé des troupes indépendantistes Viétiens en territoire lermandien furent stoppé lors du Siège de Curyville en 1831, un siège ayant duré 6 mois grâce aux compétences logistiques et de commandement du Colonel Alfred Lafarge de la 4eme Régiment de la 1ere Division, jusqu'à l'arrivé des renforts promis par le Général François de Saint Arnaud.
Et grâce à la contre-offensive lermandienne de la bataille de Manstoville en novembre 1831; une bataille visant à stoppé une tentative d'encerclement de la 2eme Régiment de la 1ere Division cherchant à reprendre la ville de Blumet par une division vietien; commandé par le Général François de Saint Arnaud. qui obligeant les forces indépendantistes à se replier au risque de ce faire encerclé par plusieurs divisions lermandienne en pleine hiver.

Le conflit s’était déroulé essentiellement en Bemar et en Plainimar ainsi que dans la partie nord de la Région de Bradis. Il s'achève par un statu quo entériné par le Traité de Portville de 1834.
Mais divers opérations de sabotages de ravitaillement, tel que l'empoisonnement des rations militaire et l'humidification de la poudre à canon, et d'infrastructure comme la destruction de pont routier, ont eu lieu au quatre coin du territoire lermandien. Ces opérations de sabotages à provoquer un forme de répression par le Corp de la Gendarmerie, assisté par les forces de police locale, et d'emprisonnement dans des camp de travail pénitentiaire , voir des exécutions sommaire des "combattant de la liberté".

Malgré la défaite honorable des Armées lermandienne contre les Forces Indépendantistes, l'Etat-major des Armée lermandienne prirent conscience de leurs points faible comme une manque de coordination militaire, un manque de renseignement sur la population viétique (civile et militaire) dans le but de prévenir leur rébellion (une surveillance priorisé sur les populations hamajaks) ainsi qu'un manque d'infrastructure routière facilité l'acheminement du matériels et des effectifs sur le front.
Mais cette guerre à aussi permit l'expérimentation de la première ligne de chemin de fer lermandienne entre le port de Radiaiville et la capitale Bradis inauguré 1 mois avant la fin de la guerre dans le but de faire diminuer la main d'œuvre nécessaire dans le transports logistique de marchandise.

Les conséquences de cette guerre furent la naissance de la République Viétique, la dissolution de la Grande République de Lermandie (au profil de la 2eme République de Lermandie), le partage en deux de la Plainimar (le sud restant lermandien tandis que la partie nord devient vietique) ainsi que de libérer les "combattant de la liberté" des camp de travail pénitentiaire encore vivant.
De plus, une partie des populations d'origine lermandienne ont dû partir de la nouvelle république viétique pour fuir la répression feroce des anciens rebelles victorieux. Cette exode, aussi connu sous le nom d'Exode lermandienne, a eu pour conséquence sur le long terme de gripper la capacité économique de la Viétie.

Les conséquence sur le long terme en Lermandie fut la naissance de l'Agence de la Sécurité Intérieure( ou A.S.I.) en 1849 pour prévenir les activités terroristes et de contre-espionnage en territoire lermandien ainsi que la naissance du Service militaire en 1864 tout en abolissant le Droit du Sol dans le cadre de l'acquisition de la citoyenneté.

Une autre conséquence inattendu fut le décès mystérieux de Mavie Gousse en prison. Les Viétiens accusèrent la Lermandie de meurtre par vengeance mais aucune preuve ne fut établie. C'est pourquoi nombre de place publique et parc publique en Vietie ont un statut en effigie de l'essayiste.

Guerre Civile lermandienne

Listes des batailles notable:

Front du Bemar:
Bataille d’Acton (mars 1830) → Victoire Indépendantiste
Bataille de Jefyville (juin 1830) → Victoire Indépendantiste
1er Bataille de Blumet (septembre 1830) → Victoire Indépendantiste
1ere Bataille de Verdan (octobre 1830) → Victoire Lermandien
1ere bataille de Tamparville (octobre-novembre 1830) → Victoire Indépendantiste
2eme Bataille de Blumet (février 1831) → Victoire Lermandien
2ere Bataille de Verdan (Avril 1831) → Victoire Lermandien
3eme Bataille de Blumet (février 1832) → Victoire Lermandien
2eme bataille de Tamparville (janvier-février 1834) → Victoire Indépendantiste

Front du Bradis:
1ere Bataille de Stanville (février 1831) → Victoire Indépendantiste
Siège de Curyville (de juin 1831 à décembre 1831) → Victoire Lermandien
Bataille de Manstoville (novembre 1831) → Victoire Lermandien
2eme Bataille de Stanville (Avril 1832) → Victoire Indépendantiste
Bataille de Pameaux (Mai 1833) → Victoire Indépendantiste
3eme Bataille de Stanville (juillet 1833) → Victoire Lermandien

Front de Plainimar:
1ere Bataille de Buriville ( Mars 1830) → Victoire Lermandien
Siège de Maireport ( de Avril 1830 à décembre 1831) → Victoire Indépendantiste
2eme Bataille de Buriville ( Février 1831) → Victoire Indépendantiste
1er Bataille de Solanique ( Mars 1831) → Victoire Indépendantiste
Siège de Pitrat (Avril 1831 à octobre 1831) → Victoire Lermandien
2eme Bataille de Solanique (Avril 1832) → Victoire Lermandien
3eme Bataille de Buriville (septembre 1833) → Victoire Lermandien

Force mobilisé:

Grande République de Lermandie:
- commandants: Président Remy Delacroix; Général François de Saint Arnaud
- effectifs: 1 534 000 hommes
Force Indépendantiste Vietique:
- commandants: Général Achille Antonio
- effectifs : 1 742 000 hommes

Pertes:
Grande République de Lermandie: 250 000 morts et disparus
Force Indépendantiste Vietique: 420 000 morts et disparus

La Grande Guerre de 25 (1925-1928)


La Grande Guerre de 25 oppose de 1925 à 1928 la République de Lermandie à la République Nationaliste Viétique. Ce conflit à été provoqué par le Général Edouard Rinochet, dictateur de la Viétie ayant pour objectif de soumettre la “Perfide démocratie et démagogique” de Lermandie à sa volonté.
Actuellement, cette guerre est la plus violente auquel les Force Armées Lermandiennes en raison du nombre de mort ( 1.2 millions de mort coté lermandien; soit environ 1 000 morts par jours en moyennes). La violence de cette guerre fut lié à l'agressivité des Armées Viétiques, par l'utilisation de gaz de combats et par la nature industriel de cette guerre. Il est à noter que pour la première fois, les civiles ont été gravement touché par cette guerre les à des massacres importantes provoqué par les militaires vietique par divers moyens tel que l'utilisation de bombardement d'artillerie, l'utilisation de gaz de combat ou par des exécutions sommaires.
Coté lermandiens, les actes contre les civiles vietiques fut pour la plupart non délibérer mais provoquer par l'artillerie et le bombardement par l'aviation des principaux villes vietique.

Les revendication du dictateur vietique n'est pas seulement idéologiques. En effet, le Général Rinochet veux acquérir des raisons territoriales dans le but d'acquérir des ressources minières et agricole lermandienne en vue de la préparation à plusieurs guerres d’annexion à des civilisations aleucienne.

Malgré les préparations des forces armées lermandienne depuis plusieurs années grâce aux mises en garde de l’Agence de la Sécurité Extérieur (A.S.E.), l’agence d’espionnage de la République de Lermandie , ainsi qu’un financement excessive de la recherche en armement lermandienne, l’armée viétique franchit la frontière le 4 septembre 1925.
Le Président de la République de Lermandie Fernando Muller, dirigeant la Lermandie depuis 1913 avec un second mandat, riposta en déclarant la guerre totale et déclara la mobilisation totale.
Mais malgré la résistance acharnée des forces armées lermandienne, avec le soutien des volontaire westaliens, l’armée vietique parvient à atteindre Portville en 1926. Cette ville, devenue l’une des centre urbain martyre de cette guerre fut rasé à près de 95% après 11 mois de siège et de bombardement d’artillerie avec des munitions radioactives avant d'être mis en respect par les renforts du 1er Régiment de la 2eme Division du 4 Corps d’armée. La particularité de ces munitions fut identifiée comme étant des obus à uranium appauvri extrait d’un camp de prisonnier politique dédiée à l’exploitation minière à Acton.
Néanmoins, l’armée lermandienne parvienne à contenir l’invasion viétique à près de 100km après la frontière terrestre lermandienne grâce à l'efficacité du commandement lermandien et de la logistique ferroviaire lermandienne. Or étant donné que l'armée vietique est elle aussi efficace, cette guerre a fait émerger une nouvelle type de guerre entre 1926 et 1927: la guerre des tranchées.

Bataille de Camparville
La Bataille de Camparville(1926), une des batailles qui a stoppé l'armée vietique dans le Bemar

Pour tenter de débloquer la situation, les deux camps organisent des opérations navales dans le but de faire céder l’autre.
C'est pourquoi le Général Edouard Rinochet ordonna une opération de débarquement navale à l’Est de l’Argenge en coulant au passage la 2eme Groupe naval lermandienne.
Mais bien que l’opération de débarquement vietique ai été un succès, ces forces d’invasions ont été stoppées par la 3eme Corps d’armée lermandienne à Sutton en juin 1926 et à Arcatton en 1927. Ce corps d’armée parvenait à repousser totalement cette force d’invasion viétique en février 1928.
Coté lermandien, après que le Président Muller ai mener personnellement les négociations diplomatique avec l’Etat de Nebrownia, en colère contre le général Edouard Rinochet pour avoir empêché le trafic marchandise de traverser la Vietie pour rejoindre l’autre partie de son territoire, l’Amiral Gregory Legrain au commande de la 1er et la 3eme Groupe naval lermandienne organisa un blocus naval dans le but d’affaiblir l’économie vietique. Et malgré une tentative de la marine vietique de dissoudre ce blocus lermandienne, le blocus tiendra jusqu’à la fin de la guerre.

Au niveau terrestre, bien que la situation soit plutôt stable, l’armée lermandienne parvenu lentement à libérer une grande partie des territoires lermandien occupé en 1928 grâce au déploiement efficace de l’aviation lermandienne (dans un but de combat aérien et de bombardement), par l’arrivé des premier chars d’assaut lermandienne opérationnel sur le front mais aussi par l'émergence des résistants communistes en Vietie financé par l’A.S.E. qui déstabilise l’économie vietique par des grèves et des sabotages industriels.

En janvier 1928, le Général Edgar Le Tonnelier aux commandes du 1er Corps d’armée lermandienne réorganisa son armée et avec le soutien de l’Etat Major lermandienne, les premiers divisions blindé lermandienne, appuyé par la jeune aviation militaire lermandienne, parvenu à percer le front en Plainimar et se dirigea vers la capitale vietique, Gelestal. Et malgré une tentative de l’armée viétique de stopper le 1er corp d’armée à Fionville en mars 1928, ce corps d’armée parvenait à se rapprocher à moins de 100 km de la capitale viétique avant la déclaration d'armistice en avril 1928. Cette offensive, historique sera plus tard nommée l'Offensive de la Plainimard.

L'Offensive de la Plainimar en 1928
L'Offensive de la Plainimar en 1928

Entretemps, voulant venger la destruction inhumaine de Portville et voulant capitaliser sur l'avancée du 1er Corp d’armée, l’Etat major lermandien débuta une opération de bombardement de grande ampleur de la capitale viétique Gelestal, ceux malgré une probable opposition de la jeune aviation viétique.

Cette guerre fut officiellement terminée en juin 1928 par la signature du Traité de Bradis, obligeant la dissolution du régime dictatorial du régime de Ricochet, la restauration de la démocratie en Viétie et les réparations de guerre.

Le Général Edouard Rinochet ne put être jugé en raison de son décès lors du premier bombardement aérien de sa résidence à Genestal en mars 1928.
Mais d’après une légende, n'ayant pas cru à une approche d’une aviation de bombardement lermandien, le Général Ricochet fut tué assise sur son “trône” dans sa salle de bain située au 4eme étage de sa résidence privée. Néanmoins, son corp fut retrouvé dans les décombre et sera confirmer par les médecins légistes missionné par le Ministère de la Guerre lermandienne.

Mais malgré la victoire de la Lermandie sur la Viétie, la dette lermandiennes provoquée par l’économie de guerre et le sur-financement de l’armement dans le domaine de la recherche et du développement fut tellement important qu'une crise économique se déclara en 1930 par une faillite de la République de Lermandie (mais malgré tout atténué par les réparations de guerre vietique, le soutien économque de la Grande République de Westalia et l’absence de territoire à annexé qui aurait été nécessaire à financer).

Cette guerre a permis l'évolution de la doctrine militaire lermandienne, c'est à dire de la bataille en formation d'infanterie de ligne à des tactiques de combats semi individuels et autonomes (illustré par le changement d'uniforme bleu non discret à des uniformes plus discret et plus protecteur face aux projectiles mais aussi par le développement d'armement plus efficace). De plus, cette guerre a profondément fait évoluer les technologie militaire ainsi que les technologie de productions industriels.

Un autre point fut la suspension du durée du mandat du Président Fernando Muller par la Cour Suprême de la République pour des raisons de guerre total. Son mandat qui devait initialement se terminé en Mars 1927 se terminera alors en juillet 1928, c'est à dire 1 mois d'écart entre la capitulation vietique et l'élection de l'Assemblé Constituante.

Guerre de 25

Grande République de Lermandie:
- commandants: Président Fernando Muller; Général Patrick Duval
- effectifs: 3 700 000 hommes
Force Indépendantiste Vietique:
- commandants: Général Edouard Rinochet
- effectifs : 4 200 000 soldats

Pertes:
Grande République de Lermandie: 1 millions de morts et disparus (civiles compris)
Force Indépendantiste Vietique: 2.2 millions morts et disparus (civiles compris)

La Grande Guerre de 58


La Grande Guerre de 58 oppose de 1958 à 1963 oppose l’Entente Aleucienne et la République Populaire Viétique. Provoqué par Joséphine Talin, un fervent dirigeant communiste patriotique, anti-lermandien et anti-démocrate.
En effet, le but de Joséphine Talin est “d’annexer les territoires vietiens de droits”, de soumettre la Lermandie à la dictature communiste et d’abolir le capitalisme en Westalia.

4 Tonnerre II en deployement en vue de la Bataille de Maireport
4 Tonnerre II en reploiement en vue de la Bataille de Maireport en 1962

I/ Avant la Guerre

Peu après la Grande Guerre de 25 et la prise du pouvoir des communistes en République Viétique, la République de Lermandie, traumatisée par la dernière guerre, prennent des mesures pour empêcher les forces viétique d’envahir des territoires lermandiens.

Durant la période 1933-1958, dite de la Guerre Froide Ouest Aleucienne, sentant un prochain conflit contre un régime communiste hostile à la Lermandie qui se mire à innover aux niveaux des technologies militaires, le gouvernement lermandien mit en place des financements très élevé destiné à A.R.D.L.(Agence de la Recherche de la Défense Lermandienne) ( et au Complexe Militaro-Industriel Lermandienne.
D’autant plus que les communiste vietique mirent au point le premier Turboréacteur en 1940 pour son aviation dans le but de contourner le Traité de Bradis, provoquant ainsi une véritable course à l’armement ainsi qu’une guerre d’espionnage.

C’est pourquoi le gouvernement sous la présidence de Edgar le Tonnelier, récemment élut, finance dès son entré en fonction en 1944 la Ligne Tonnelier, une ligne de fortification solide de 660 km construit le long de la frère viétique, motivé par la récente prise de pouvoir de Joséphine Talin, devenue Premier Secrétaire du Parti Communiste et dirigeant de facto de la Viétie, réputé agressive et raciste.

Entretemps, la Grande République de Westalia et la République de Lermandie se rapprochèrent politiquement et économiquement (un rapprochement déjà initié lors de la Grande Guerre de 25, grâce à une entente fort cordiale et amicale entre le Président le Tonnelier et le Président Fédéral Seiji Ishiyama.
Cette rapprochement permit un renforcement économique de la République de Lermandie malgré une doctrine économique très différente.

Cette amitié aboutit alors à la naissance de l’Entente Aleucienne en 1952, une alliance militaire entre la République de Lermandie et la Grande République de Westalia. Ce dernier étant motivé par une politique anticommuniste et pro capitaliste. Et le gouvernement mise sur cette alliance pour dissuader Joséphine Talin d'attaquer la Lermandie.

II/ La Grande Guerre de 58

Peu après l'élection de Dylan Courbet en tant que nouveau président de la République de Lermandie, Joséphine Talin profita de la fin de la passation de pouvoir pour lancer une offensive de grande ampleur en Plainimar sans déclaration de guerre, dans le but de tromper la vigilance des militaires lermandienne stationné dans les forts de la Ligne Tonnelier.

Mais malgré une certaine surprise de la part de l’Etat major lermandien et westalien, les forces lermandiennes parviennent à tenir les fortifications efficacement.
Alors, les forces de l’Entente Aleucienne ripostèrent et prennent quelques régions frontalière du Plainimar du Nord.
Néanmoins, après 3 mois de conflit, des forces armées viétique parviennent à percer les fortifications dans le Bemar et parviennent à encercler quelques divisions lermandienne dans le secteur, au prix de très lourdes pertes. les forces vietiques parvienne à prendre la moitié des forts de la Ligne Tonnelier (l’autre moitié ont été sabotée par des garnisons lermandiens)
Les forces armées de l’Entente Aleucienne ripostèrent alors pour repousser cette invasion via la contre-offensive de Lartonville.

En printemps de 1959, malgré des lourdes pertes des deux camps, les forces de l’Entente Aleucienne parviennent à reprendre du terrain dans le Bemar et reprendre difficilement les forts occupés. Et en août 1959, les forces de l’Entente parviennent à traverser le Ravre et réussissent à occuper Pameaux.

Mais malgré quelques prises territoriales en Montapard et en Plainimar, l’offensive de l’Entente du être stoppé à cause d’un hiver beaucoup plus rigoureux que d’habitude pour éviter toute usure prématurée des véhicules de combats ainsi qu’une rupture de la logistique.

En octobre 1960, les forces viétique lancèrent une opération naval sur deux régions à l’Est de l’Argenge, en territoire lermandien, et à l’Est de Dakantia et dans le but de couper la logistique de guerre westalienne mais aussi de préparer une offensive direction la capitale lermandienne ainsi que Fort Arvey.
Mais après 6 mois de batailles, les forces de l’Entente, composé principalement de forces militaires westalienne, réussissent à repousser totalement les forces vietiques.

A partir de juin 1961, grâce à une opération navale conjointe lermando-westalienne dans le sud de la Vietie, la situation se débloqua alors et les offensives de l’Entente reprirent de plus belle.

Malgré une contre-offensive vietique lors de la Bataille des Sept Actan dans la région de Septimard, les forces de l’Entente parvenèrent alors à occuper 60% du territoire vietique avant le décès de Joséphine Talin en janvier 1963 d’un cancer du poumon.

II/ L’après guerre

La Grande Guerre de 58 se termina officiellement en avril 1963 après la ratification du Traité de Columbia à l’avantage Entente Aleucienne.
Ce traité permit alors la République de Lermandie les quatres provinces de Montapar et de la Plainimar du Nord les plus à l’ouest de la Vietie. Et la Grande République de Westalia occupèrent alors Maireport et Evran, les deux principaux ports du sud de la Vietie, en tant que comptoir commercial.

La Ligne Tonnelier


logo Ligne Tonnelier
Emblème de la Ligne Tonnelier

La ligne Tonnelier, nommée en hommage au 12ᵉ président de la République, Edgar le Tonnelier, est un vaste système de fortifications militaires construit par la République de Lermandie le long des frontières avec la Vietie et Maximus, entre 1944 et 1982.

Le terme "Ligne Tonnelier" peut désigner l'ensemble du système fortifié, allant de la Mer Intérieure jusqu’à l’Océan Trident (également appelé Océan Scintillant) ou ,plus fréquemment, il fait référence aux fortifications orientées contre la Vietie, incluant les bastions clés d’Artaville et de Sutton.

I/ Composition défensive

La ligne se compose :
• d’un obstacle presque continu de barbelés,• défendu par des tirs croisés de mitrailleuses,• soutenus par de l’artillerie,• le tout protégé par des structures en béton armé et blindage épais.
Sa mission principale était de protéger le territoire national contre une attaque fulgurante, notamment pour éviter une répétition de la guerre des tranchées, comme celle de la Grande Guerre de 25, durant laquelle l’Armée de Terre du Sibir avait subi de lourdes pertes.

II/ Structure en profondeur

La Ligne Tonnelier est structurée en plusieurs niveaux depuis la frontière :
Ligne des avant-postes:
• Détection d’une attaque rapide• Retardement par dispositifs : routes minées, barrières, etc.• Permet l’alerte de la ligne principaleLigne principale de résistance:
• Située à environ 2 km en retrait• Double réseau de rails antichars et barbelés• Zones de tir croisées entre casemates de mitrailleuses et artillerie lourdeAbris d’intervalles:
• Casernes souterraines pour troupes à ciel ouvert• Destinés au combat rapproché et à la rotation tactiqueInfrastructures arrières:
• Réseaux logistiques : télécoms, électricité• Voies ferrées militaires à écartement 0,60 m• Dépôts de munitions, casernes, postes de commandement
La ligne principale s’étend presque en continu du nord au sud, avec un barrage de feu mitrailleur défendant les obstacles de rails et de barbelés.

III/ Détail technique

Barbelés:
• Largeur : 12,5 mètres
• Six rangées de piquets en forme de queues de cochon (~1 m de haut)
• Ardillons plantés dans le sol, dépassant de 20 cm
• Rôle : ralentir l'infanterie pour l'exposer au feu mitrailleur
Rails antichars:
• Sections de 3 mètres, enterrées à la verticale sur six rangs
• Hauteur visible : 60 cm à 1,3 m
• Rôle : bloquer les véhicules blindés avant leur destruction par l'artillerie
Logistique ferroviaire :
Les positions fortifiées sont connectées au réseau ferré national pour le ravitaillement rapide en munitions, carburant et vivres.

IV/ Dispositifs défensives

Ligne Tonnelier

1944-1958; section Lermandie:
• ZF-01 "Zone fortifiée de Tangre-Sud"• ZF-02 "Zone fortifiée de Tangre-Nord"• ZF-04 "Zone fortifiée de Blumet"• ZF-05 "Zone fortifiée de Verdan"• ZF-06 "Zone fortifiée de Stanville"• ZF-07 "Ligne Pitrat-Buryville"• ZF-08 "Zone fortifiée de Mielville"• ZF-09 "Zone fortifiée d'Artaville"• ZF-10 "Ligne de Nord-Sutton"• ZF-11 "Ligne de Sud-Pitrat"
1950-1974; section Antomont
• LF-01 • LF-02• LF-03• LF-04• LF-05• LF-06
1964-1982; section Lermandie
• ZF-12 "Ligne de Vienne"• ZF-13 "Zone Fortifié de Pameaux"• ZF-14 "Zone Fortifié de Blumet"• ZF-15 "Fort du Col Marius"• ZF-16 "Fort de Tamparville"
V/ Aujourd'hui

Ayant perdu de son utilité en raison des progrès technologique et militaire, la majorité des forts, la plupart des dispositifs défensive furent désaffecter et reclassé.
Néanmoins, divers fortification furent prêter à divers association historique, d'autres furent reconvertie en centre d'observation spatial tel que le Fort du Col Marius (renommé en Observatoire de Jeffyville).
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