11/05/2017
16:08:12
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đź’ą [ORGANISATION] La Table du Bouddha

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La Table de Bouddha

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« Il est essentiel que vous compreniez … tout ceci est la volonté de la Table. Et vous savez bien à quel point il est malvenu de déplaire à la Table … »


SOMMAIRE

La Table de Bouddha : généralités
1. Le Rat : CEDIKIN
2. Le Bœuf : MADAVIAN CORPORATION
3. Le Tigre : SAPHIR AIRCRAFT
4. Le Lapin : TENRAKU COMPUTER SYSTEMS
5. Le Dragon : L'ARSENAL DE GUANDI
6. Le Serpent : MAENAN LOGISTICS
7. Le Cheval : ATMA ENERGIES
8 : La Chèvre : VENANTA RESOURCES
9 : Le Singe : SHAMBALA CORPORATION
10 : Le Coq : PALEMA
11. Le Chien : LOTUS INTERNATIONAL
12. Le Cochon : SURYA INC.
13. Le Chat : MATURI INDUSTRIES



La Table de Bouddha : généralités

L’histoire de la Table de Bouddha plonge dans les racines du Jashuria. On la retrouve à de nombreuses époques et elle constitue une réalité incontournable, connue de tous les Jashuriens. Mais qu’est-ce que la Table de Bouddha exactement ? Dans la mythologie bouddhiste, l’Eveillé, désireux de convoquer les animaux les plus sages et les plus adroits auprès de lui, décida de tenir un diner sur sa montagne et de les classer par ordre d’arrivée. La course fut lancée, sous l’arbitrage du Cochon, habile bonimenteur, mais piètre travailleur, et les animaux se lancèrent à l’assaut de la montagne de Bouddha, pour partager ses délices et s’attirer ses faveurs.

Selon la légende, c’est le Rat qui atteint le premier les marches du palais de jade de Bouddha, profitant de la crédulité du Bœuf pour se hisser à la première place. Le Cochon, devant classer les animaux selon leur ordre d’arrivée, se révéla si incompétent qu’il en oublia de courir vers la montagne. Quant au Chat, il fut trompé par le Rat, à nouveau, et oublia le jour de l’invitation à diner de l’Eveillé.

Sans entrer dans les détails, cette histoire de la Table de Bouddha remonte aux premières heures du Royaume du Jashuria et s’est transmise de générations en générations. Si pour les étrangers, il s’agit surtout d’un mythe destiné à donner corps au zodiaque bouddhiste et à alimenter les théories ésotériques outre-nazum, il revêt un sens bien concret dans l’histoire du Jashuria, et à raison ! Car en effet, la Table de Bouddha a bel et bien existé et existe toujours aujourd’hui.

Bien avant que le Jashuria ne soit apparu sur les cartes, c’est-à-dire, bien avant la fondation du Royaume du Jashuria et de l’empire Yahudharma, la société morcelée qui allait fonder le pays était constituée de cités-Etats dirigées par de grandes guildes marchandes et de corporations bâtisseuses. Soutenant des chefs locaux, désignés par les associations les plus puissantes, les grandes guildes du futur Jashuria disposaient d’un pouvoir économique et d’une influence politique leur assurant non seulement de belles parts dans l’avenir et la gestion des cités jashuriennes, sans endosser les responsabilités politiques qui incombent généralement à ces tâches. A l’image des conseils secrets œuvrant dans l’ombre du pouvoir, les grandes corporations jashuriennes connurent les délices de ceux qui œuvrent dans les coulisses et influencent par leur pouvoir économique, les décisions politiques.

Il est de notoriété commune que bien que le marché soit libre et ouvert, les règles de la concurrence et du libre échange transforment parfois le doux commerce en une arène sanglante. La Table du Bouddha est l’héritière de ces périodes tourmentées où les puissances économiques locales du Jashuria et du sud-est du Nazum s’affrontèrent à coups d’embargos, de sabotages et de guerres commerciales.

La Table est une entité qui s’est petit à petit formalisée comme une institution privée à part entière dans l’histoire du Jashuria. A l’origine construite autour d’une sorte d’accord de non-agression informel entre les plus grandes entités marchandes du Jashuria face aux entreprises étrangères, la Table de Bouddha s’est progressivement transformée en un contre-pouvoir performant au sein de l’empire Yahudharma, parvenant à de jolis succès commerciaux conjoints et entravant parfois la course du Dieu-Soleil (on leur doit l’assassinat du 5eme Dieu-Soleil de Yahudharma).

Si le fonctionnement de la Table a évolué au fil des siècles, quelques constantes demeurent : la mise en commun des forces, le souci du compromis malgré les intérêts divergents et l’idée que la prospérité du Jashuria doit passer par une organisation économique indépendante des structures d’Etat. Bien entendu, ces principes ont été appliqués avec plus ou moins de succès et d’envie par les invités du Bouddha … Ses membres sont liés par un pacte commun, mais comme on le sait dans le monde des affaires, un contrat peut très vite être rompu.

Plusieurs fois dissoute, mais jamais totalement disparue, la Table de Bouddha est l’âme économique du Jashuria : sa volonté d’entreprendre et son appétit pour l’indépendance et les affaires rondement menées. La Table ne peut accueillir que 12 convives, l’hôte étant le Bouddha (et il est absent depuis toujours). Ces convives, représentés par des animaux du zodiaque bouddhiste, représentent les corporations et les entreprises les plus influentes du Jashuria. Si la Table n’accueille que douze convives, elle comporte cependant treize invités. Le Chat, malheureux concurrent, n’est pas autorisé à siéger, mais détient un rôle spécial au sein de l’organisation.

La Table est une organisation que l’on ne rejoint pas au hasard. L’approbation au deux-tiers des autres membres est nécessaire pour remplir une place laissée libre. L’adhésion au sein du groupe est codifiée depuis des générations (un vieux reste des traditions ancestrales de l’organisation) et il est malvenu d’y déroger, notamment à la cérémonie du thé de bienvenue. Le Chat, bien entendu, n’aura pas le droit de siéger, puisque selon la légende, il est arrivé en retard. Ce système de cooptation permet de conserver un équilibre précaire dans les forces de l’organisation. Chaque Invité représente un des membres du zodiaque et est choisi pour la prospérité de son entreprise et son influence relative dans l’évolution du pays. Il va de soi que maintenir sa position au sein du groupe va de pair avec le bien être de son entreprise. Après tout … la table n’accueille par de Mouton Noir.

La Table de Bouddha telle qu’elle est connue dans sa version actuelle a été reformée après 1945 et la mise en place de la Seconde République du Jashuria. Elle présente depuis une forme stable, qui va de pair avec la relative tranquillité du pays. Ses membres ont grandement influencé les partis politiques libéraux et capitalistes du Jashuria et se sont taillés des parts de lion, aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays. Disposant de puissants relais au sein du Cercle Extérieur, les Invités de la Table peuvent être des alliés politiques ou des adversaires retors pour le Cercle Intérieur. S’ils ont pour mot d’ordre d’être séparés de l’Etat, ce n’est pas pour autant qu’ils ne cherchent pas à l’influencer, en tant que premier lobby privé du Jashuria. De manière générale, les Premiers Ministres s’étant succédés depuis la création de la Seconde République ont eu tendance à vouloir rester dans les petits papiers des Invités de la Table …

Les Invités se réunissent tous les mois, dans l’une des multiples résidences privées de l’organisation. Les employés du Palais sur la Montagne, nom donné au personnel chargé de la gestion de leur patrimoine commun, sont chargés d’organiser les réunions, de les sécuriser, et plus généralement, de veiller à toute l’infrastructure du groupe. Les réunions sont l’occasion de discuter des problématiques actuelles, de résoudre parfois des litiges entre les membres du groupe et même de planifier des actions communes. Chaque membre de la Table peut envoyer le représentant de son choix pour assurer ses intérêts, du moment qu’il a été clairement identifié par les membres de la Table. Il va de soi que les Invités du Bouddha n’hésiteront pas un seul instant à dévorer un Invité peu confiant dans ses capacités : les plats tardent à arriver au sommet de la montagne.

Les activités actuelles de la Table du Bouddha se concentrent autour du lobbying, du conseil, de la prospective, du développement économique, de la défense et de la promotion des intérêts capitalistes, … Elle dispose aussi d’un fond dédié à la philanthropie et à l’investissement privé. La Table est parfois (discrètement) consultée par les conseillers d’Etat sur des sujets qui relèvent de ses multiples domaines de compétences. Disons qu’il s’agit d’un … groupement économique d’intérêts communs … Pourtant, malgré tout, la Table n'est pas une mafia, car elle ne s'adonne pas à des activités illégales (du moins pas au quotidien). Elle représente le plus haut sommet de l'oligarchie de haute volée, ce pourquoi elle répugne à considérer les mafias comme des égales, bien que les lois du Jashuria soient particulièrement souples sur les activités que d'autres pays qualifieraient d'illégales.


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1. LE RAT : CEDIKIN


  • Nom officiel de la sociĂ©tĂ© : CEDIKIN
  • Forme juridique : SociĂ©tĂ© anonyme
  • CotĂ©e en bourse : Oui
  • Date de crĂ©ation : La crĂ©ation de la CEDIKIN date de 1802, durant la pĂ©riode de l’administration fortunĂ©enne. Créée Ă  l’origine par les FortunĂ©ens alliĂ©s Ă  d’anciennes corporations usurières, le CEDIKIN a grossi d’annĂ©es en annĂ©es pour capter l’essentiel des activitĂ©s bancaires du Jashuria. Si officiellement, le groupe date sa crĂ©ation Ă  1802, le fonctionnement mĂŞme de la CEDIKIN fait que sa masse protĂ©iforme absorbe tout ce qu’elle peut trouver pour ĂŞtre « too big to fail ».
  • Adresse de son siège social : Le siège social de la CEDIKIN est toujours situĂ© Ă  Azur, comme le veut la tradition du groupe.
  • Secteurs d’activitĂ©s : CEDIKIN est le plus gros conglomĂ©rat bancaire privĂ© du Jashuria. Ses activitĂ©s comprennent l’ingĂ©nierie patrimoniale, les investissements, les services bancaires, les crĂ©dits, la gestion immobilière privĂ©e, … Le groupe est suffisamment dĂ©veloppĂ© pour proposer des services d’assurances, de gestion des risques, de conseils, …
  • Nombre de salariĂ©s : 460 000
  • PrĂ©sence Ă  l’international : La CEDIKIN est implantĂ©e Ă  l’international par le biais de nombreuses filiales locales, notamment dans les grandes places boursières du monde et plus particulièrement dans les pays de l’ONC. Sur place, la CEDIKIN continue les mĂŞmes missions que la maison-mère, tout en rachetant et fusionnant avec de nombreuses institutions financières renommĂ©es.
  • Chiffre d’affaires : $ 120 000 000 000 en 2012
  • Capitalisation : $ 220 000 000 0000 en 2012
  • Fonds propres : $ 300 000 000 000 en 2012
  • RĂ©sultat net : +10% en 2012 (en augmentation nette depuis le dĂ©but des annĂ©es 2000)
  • PDG si applicable : Le CEDIKIN n’a pas de PDG officiel, mais une multitude de firmes d’avocats qui gravitent autour d’une ruche constituĂ©e de toutes les entreprises absorbĂ©es dans la structure de la CEDIKIN. Il est difficile, mĂŞme pour un observateur extĂ©rieur, de comprendre la complexitĂ© des organisations internes de la CEDIKIN. Le groupe a conservĂ© sa tradition de fusion et d’acquisition tant et si bien que le mouvement et l’agressivitĂ© Ă©volutionnaire font parti de l’ADN de l’entreprise. Tout fusionne et s’acquiert Ă  un rythme effrĂ©nĂ©, tant et si bien que le pouvoir change rapidement de mains au sein du conglomĂ©rat bancaire.
  • Contacter la sociĂ©tĂ© : press@cedikin.jas
  • Site internet : www.cedikin.jas
  • Projet en cours ou prĂ©vus : La CEDIKIN est constamment impliquĂ©e dans la constitution et la structuration des places boursières et dans la recherche de secteurs dans lesquels investir. Le groupe privilĂ©gie l’audace et le risque dans son approche des problèmes. De toute façon, contrairement Ă  la Porte DorĂ©e, plus conservatrice, la CEDIKIN a une approche frĂ©nĂ©tique de la gestion des marchĂ©s.

Description et histoire de l’entreprise

Cedikin ou Pagode de Jade en Jashurien est l’une des plus anciennes institutions du pays. Créée lors de l’arrivée des colons fortunéens dans la région des Perles, Cediy Kin est le résultat de la fusion de nombreux usuriers, prêteurs sur gages et banquiers en un conglomérat bancaire privé qui opère avec la Porte Dorée, la banque nationale jashurienne. Première banque privée du pays, Cedikin est une entité tentaculaire, possédant des actions un peu partout dans le monde.

Le Cedikin était dirigé à l’origine par un conseil d'administration étendu comprenant les représentants régionaux de l'organisation bancaire. Basée à Agartha, la direction de l'entreprise a acté depuis longtemps les bénéfices dont elle pouvait tirer de la mondialisation des échanges, allant jusqu'à tenter d'influencer quelques politiciens pour qu'ils poussent vers des systèmes d'échanges globalisés. La Pagode de Jade s'est récemment illustrée en finançant en partie la reconstruction du secteur de Nulle Part avec la Madavian Corporation, afin de profiter de sa situation de port-franc dans le secteur eurysien. Si l'association opportune mais discrète d'une banque avec les communistes et les révolutionnaires de Kotios peut faire sourire, la Pagode de Jade se fiche éperdument de ces considérations idéologiques. Comme les membres du conseil d'administration le disent si bien : "Dieu n'existe pas, mais il y a tant de profits à faire en son nom."

La Pagode de Jade est régulièrement en conflit avec la Porte Dorée sur les questions relatives à l'inflation, au cours de la monnaie et aux échanges bancaires. Si l'entreprise est sensée travailler main dans la main avec la Porte Dorée, la Cedikin n'a jamais caché le fait de militer pour une privatisation complète de la gestion du budget du Jashuria et entend bien pousser à ce qu'une délégation de service public fasse tomber les finances du pays dans les mains de ses cadres.

La Cedikin, de par sa nature de conglomérat bancaire fondé sur la fusion et l’acquisition de multiples banques, est historiquement dans une approche frénétique de la gestion des marchés. Contrairement à la Porte Dorée, plus conservatrice dans son approche et mesurée, la CEDIKIN ne se contente pas du status quo et milite ardemment pour tout dévorer. Trop grosse pour échouer, du moins, selon ses propres cadres, la CEDIKIN et ses sbires aiment prendre des risques et se montrer constamment dans l’innovation dans la gestion des marchés. Le groupe, bien que constitué de multiples entreprises progressivement absorbées dans une structure tentaculaire, continue à promouvoir un darwinisme social des plus retors. La CEDIKIN valorise l’initiative et la prise de risques, se portant sur des sujets parfois atypiques et risqués dans le but de frapper un grand coup. Cette attitude pionnière lui a valu une excellente réputation dans le milieu bancaire.

Le conglomérat bancaire cherche depuis 2013 à investir largement au Wanmiri pour profiter de l'opportunité que constitue le projet Renaisans. Si la Porte Dorée a eu la première part du gâteau, en investissant dans des secteurs traditionnellement investis par le groupe bancaire, les cadres de la CEDIKIN ont monté un fonds d'investissement suffisamment robuste pour pouvoir s'accaparer certains projets juteux au Wanmiri.

La CEDIKIN est aussi complètement déployée dans le domaine des assurances. Ses actions restent stables, grâce au développement économiques du Jashuria. Les actions de la société sont côtées sur toutes les places boursières du monde, et récemment, le conglomérat bancaire s'est illustré pour le développement d'aides et de prêts spécifiques pour la mise en place de solutions visant à diminuer les consommations énergétiques des bâtiments les plus énergivores.

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2. LE BOEUF : MADAVIAN CORPORATION


  • Nom officiel de la sociĂ©tĂ© : Madavian Corporation
  • Forme juridique : Compagne privĂ©e issue de la fusion de grandes corporations jashuriennes
  • CotĂ©e en bourse : Oui
  • Date de crĂ©ation : La crĂ©ation de Madavian Corporation date de 1852, peu de temps après la fin de l’administration fortunĂ©enne. Créée spĂ©cialement pour rĂ©pondre au besoin croissant d’amĂ©liorer les villes et de loger la population, elle est fondĂ©e sur la fusion d’anciennes corporations issues des diffĂ©rentes parties du pays.
  • Adresse de son siège social : Le siège social de la Madavian Corporation est toujours situĂ© Ă  AnkĂ©vran, comme le veut la tradition du groupe.
  • Secteurs d’activitĂ©s : La Madavian Corporation est spĂ©cialisĂ©e dans la construction de bâtiments, les travaux publics, les ouvrages d’art, ainsi que la gestion immobilière, locative et l’entretien des structures existantes. Le groupe mène aussi des recherches en matière de nouveaux matĂ©riaux, procĂ©dĂ©s de construction, … Le groupe s’investit aussi dans la gestion des autoroutes, des aĂ©roports et des voies ferrĂ©es.
  • Nombre de salariĂ©s : 300 000
  • PrĂ©sence Ă  l’international : La Madavian Corporation est prĂ©sente Ă  l’internationale, notamment via de grands projets de travaux publics, les derniers en date Ă©tant la rĂ©habilitation complète du secteur portuaire abandonnĂ© de Nulle Part Ă  Kotios, la crĂ©ation de la plateforme logistique de Destanh et la mise en Ĺ“uvre de l’autoroute des Justes dans les terres mĂ©ridionales des Eglises Australes Unies
  • Chiffre d’affaires annuel : $ 60 000 000 000 en 2010
  • RĂ©sultat net : +20% en 2010 (en augmentation nette depuis le dĂ©but des annĂ©es 2000)
  • PDG si applicable : L’actuelle reprĂ©sentante du conseil de direction de la Madavian Corporation est madama Mathawee Chaiyawan, de la dynastie Chaiyawan. Le conseil de direction est constituĂ© des grandes familles historiques ayant participĂ© Ă  la fondation de la mĂ©gacorporation ainsi que des familles ayant rejoint le conseil après.
  • Contacter la sociĂ©tĂ© : press@madavian-corporation.jas
  • Site internet : www.madavian-corporation.jas
  • Projet en cours ou prĂ©vus : La Madavian Corporation est actuellement shortlistĂ©e pour la rĂ©alisation des travaux ferroviaires du Ruban DorĂ© entre le Negara Strana, le Jashuria et le Fujiwa.

Description et histoire de l’entreprise

Notre mission est de concevoir, financer, construire et gérer des infrastructures et des équipements qui contribuent à améliorer la vie quotidienne et la mobilité de chacun. Parce que notre vision de la réussite est globale et va au-delà de nos résultats économiques, nous nous engageons sur la performance environnementale, sociale et sociétale de nos activités. Parce que nos réalisations sont d’utilité publique, nous considérons l’écoute et le dialogue avec les parties prenantes de nos projets comme des conditions nécessaires à l’exercice de nos métiers. Notre ambition est de créer de la valeur à long terme pour nos clients, nos actionnaires, nos salariés, nos partenaires et pour la société en général. - Note d'intention visible sur le site de la Madavian Corporation.

Madavian Corporation est le plus grand conglomérat de travaux publics, d’infrastructures et plus généralement de construction du Jashuria, si ce n’est de tout le Nazum. Fondée il y a de cela un siècle sur les fondations des anciennes corporations de bâtisseurs, Madavian Corporation revendique un héritage de la construction à la fois ancré dans la tradition et résolument ouvert sur la modernité. Leur position dominante sur le marché de la construction au début du siècle dernier leur a permis d’obtenir les plans pour la conception des premières cimenteries du Jashuria et de développer leur produit phare que le monde entier s’arrache : le parpaing jashurien de 30cm par 50cm par 20cm (modifié par la suite en de nombreuses variantes).

La mégacorporation Madavian est née dans les mois qui suivirent la fin de l’administration coloniale fortunéenne. Conçue par le fragile Etat jashurien pour faciliter la modernisation du pays, la Madavian Corporation est le résultat de la fusion des intérêts des différentes corporations de construction éparpillées dans le territoire jashurien depuis des siècles. Son succès fut tel que la plupart des édifices publics du Jashuria portent la marque de la Madavian ou de l’un de ses nombreuses filiales. Bien que sévèrement amochée durant la période des Seigneurs de Guerre du Nazum, la mégacorporation a su tirer son épingle du jeu en concurrençant les autres firmes avec pugnacité après la réunification du pays.

Le groupe est aujourd’hui encore constitué et consolidé par les descendants des familles fondatrices, qui, par nécessité, ont du faire de la place à d’autres dynasties pour pouvoir consolider son expansion. Cette gestion a permis au groupe de maintenir ses traditions et son cap, tout en accueillant la modernité apportée par de nouveaux acteurs, renforçant ainsi le groupe d’années en années. La multiplication des filiales, notamment à l’international, a permis au groupe de briller et de continuer son ascension comme l’un des plus grands conglomérats de l’industrie du BTP du monde.

Madavian Corporation revendique une expertise mondiale en matière de conception, réalisation et entretien des grandes infrastructures de transports, des plateformes logistiques et de gratte-ciels. Spécialisée dans l’optimisation à outrance des parcelles, la compagnie dispose d’ingénieurs qualifiés et d’ouvriers parfaitement formés et surnuméraires, qui savent construire vite et bien. De par ses proximités avec le pouvoir en place, on retrouve Madavian Corporation dans tous les grands projets d’infrastructure depuis un bon siècle. Les relations de la Madavian avec les pouvoirs politiques jashuriens sont bien connues du grand public, mais l’entreprise fait en sorte de ne pas abuser de sa position dominante pour ne pas s’attirer les foudres de la justice jashurienne, qui est très peu conciliante en matière de prise illégale d’intérêt.

Le groupe a récemment entamé une transition vers des enjeux liés au développement durable et travaille d’arrache-pied à la modernisation de ses process pour pouvoir créer des villes plus ancrées dans la sobriété énergétique et la gestion des émissions de carbone. La récente évolution des logiciels de dessin, alliée à l’émergence des grandes transitions numériques, révolutionnent complètement les pratiques de la construction. Madavian Corporation cherche à être à la pointe dans ce domaine et n’hésite pas à sponsoriser de petits bureaux d’études montés en start-up pour pouvoir se décharger d’une partie de sa recherche et développement.

Outre ses travaux de génie civil, de construction, de conception et de réalisation, le groupe est aussi un acteur de l’immobilier au Jashuria. L’entreprise est dirigée depuis quelques années par la famille Chaiyawan. L’actuelle directrice de la Madavian Corporation est Mathawee Chaiyawan. Comme son père et son grand-père avant elle, elle a pris les rênes du consortium et se montre ambitieuse et déterminée à développer le conglomérat hors du Nazum. La Madavian Corporation est actuellement à Kotios et sur les terres glacées des Eglises Australes pour y développer de grands projets d'aménagements du territoire, le premier dans un contexte post-révolutionnaire, le second dans un contexte antarctique.

Etant la première mégacorporation industrielle du Jashuria, Madavian Corporation occupe la place du Boeuf au sein de la Table de Bouddha. Si cette place est aujourd'hui convoitée par les deux groupes mineurs – mais non moins importants que sont Sardar Corporation et Advanced Construction Syndicate (ACS), la Madavian conserve son statut de premier groupe nazuméen et jashurien, ce qui lui permet de prendre l’avenir avec optimisme.

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3. LE TIGRE : SAPHIR AIRCRAFT


  • Nom officiel de la sociĂ©tĂ© : Saphir Aircraft
  • Forme juridique : SociĂ©tĂ© anonyme
  • CotĂ©e en bourse : Oui
  • Date de crĂ©ation : Saphir Aircraft a Ă©tĂ© créée en 1970, suite Ă  un financement spĂ©cial de la Porte DorĂ©e pour dĂ©velopper une industrie aĂ©ronautique de pointe au Jashuria pour concurrencer les marchĂ©s aleuciens.
  • Adresse de son siège social : Le siège social de Saphir Aircraft est basĂ© Ă  Azur, et ses principales installations aĂ©ronautiques sont placĂ©es le long du Grand Canal, ainsi qu’à Vijaya.
  • Secteurs d’activitĂ©s : Saphir Aircraft s’occupe d’aĂ©ronautique, d’aĂ©rospatiale, et de fret aĂ©rien. Sa principale activitĂ© reste celle d’un constructeur aĂ©ronautique bien que la firme a dĂ©veloppĂ© depuis des annĂ©es un pĂ´le aĂ©rospatial en coopĂ©ration avec les membres de l’Organisation des Nations Commerçantes.
  • Nombre de salariĂ©s : 80 000
  • PrĂ©sence Ă  l’international : Saphir Aicraft est aussi implantĂ©e Ă  l’international, notamment dans les pays de l’ONC, mais aussi par le biais de la construction des aĂ©roports dans les pays amis du Jashuria.
  • Chiffre d’affaires : $ 45 000 000 000 en 2012
  • Capitalisation : $ 80 000 000 0000 en 2012
  • Fonds propres : $ 3 000 000 000 en 2012
  • RĂ©sultat net : +20% en 2012 (en augmentation nette depuis le dĂ©but des annĂ©es 2000)
  • PDG si applicable : Saphir Aicraft est pilotĂ© par un conseil d’administration dirigĂ© actuellement par Somchai Arthit, en place depuis une dĂ©cennie Ă  son poste. Sous son impulsion, Saphir Aicraft a largement investi dans le dĂ©veloppement des lignes aĂ©riennes intercontinentales depuis Agartha et Azur.
  • Contacter la sociĂ©tĂ© : press@saphiraircraft.jas
  • Site internet : www.saphir-aircraft.jas
  • Projet en cours ou prĂ©vus : Saphir Aircraft est constamment impliquĂ©e dans la recherche et le dĂ©veloppement des avions de ligne de pointe du Jashuria. Son partenariat avec le complexe militaro-industriel n’est plus Ă  prouver et l’entreprise bĂ©nĂ©ficie de larges subventions pour dĂ©velopper avec l’armĂ©e jashurienne les avions de combat de demain. Les autres projets de Saphir Aircraft sont le dĂ©veloppement d’aĂ©roports internationaux.

Description et histoire de l’entreprise

Saphir Aircraft est le leader de la construction aéronautique et des services qui y sont associés au Jashuria. Forte de sa position dominante sur le marché de l'aviation dans le sud-est du Nazum, le conglomérat s'est spécialisé ces dernières années dans la construction d'avions de ligne de qualité pour les transports intercontinentaux ainsi qu'une production de jets privés pour les particuliers les plus fortunés. Cette société n'est pas qu'un constructeur aéronautique, mais aussi un développeur, qui investit une grande partie de son argent dans la recherche et le développement de nouvelles solutions aéronautiques, qu'il s'agisse de moteurs, de design d'intérieur ou encore de systèmes de pilotage. La recherche et le développement revêtent une part importante de son activité, tout autant que le secteur de la fabrication d'avions. Une division de Saphir Aircraft s'est spécialisée dans l'aérospatiale et une autre travaille actuellement avec l'armée de l'air pour la création des futurs modèles d'avion de chasse modernes du Jashuria.

Saphir Aircraft possède ses ateliers de fabrication au sud du pays et le long du Grand Canal. Les grandes usines métalliques de la firme aéronautique sont remplies à ras-bord de coques d'avion, de composants et d'engins de montage et de levage. Il s'agit de véritables villes-usines où se pressent quotidiennement des milliers de travailleurs qualifiés produisant le fleuron de la technologie aéronautique jashurienne. Originellement ancrée dans la fabrication des avions de moyen-courriers, l'entreprise a su prendre le train de la mondialisation en marche et a concentré ses dernières années sur l'extension du marché des vols long-courriers avec la création de nouveaux modèles plus à même de traverser les océans pour une consommation de carburant moindre.

Depuis quelques années, Saphir Aircraft a déployé ses ingénieurs sur le développement de l'aérospatiale, espérant ainsi développer le réseau satellite du Jashuria et potentiellement revendre cette expertise à travers le monde. Dans le cadre de l'extension du port de Nulle Part à Kotios grâce à la Madavian Corporation, Saphir Aicraft cherche à créer une piste d'atterrissage en Eurysie qui appartiendrait totalement au Jashuria, ce qui lui donnerait un avantage stratégique pour l'avenir.

Le développement des technologies d'avions de reconnaissance et de drones est une des réussites les plus probantes des chercheurs et des ingénieurs de Saphir Aicraft depuis ces quelques dernières années. Les vols de mise en service des premiers drones de reconnaissance spécialisés dans la prise d'images en haute et basse altitude a eu lieu en 2007 le long du Grand Canal. Cette technologie a permis de confirmer la prédominance de Saphir Aircraft dans le domaine des nouvelles technologies aéronautiques appliquées au civil et au militaire. Les cadres de l'entreprise font grande presse de ces dernières innovations et cherchent à attirer dans leurs filets les cerveaux les plus brillants de leur génération pour développer les nouveaux modèles.

Le Tigre de la Table de Bouddha n'est cependant pas une entreprise sans ressources. Ayant acquis sa place de première entreprise de la Péninsule par le biais d'une série de fusions et d'acquisition, aussi bien dans le domaine sidérurgique que dans l'électronique, Saphir Aircraft a su écraser sa concurrence par le biais de méthodes qui seraient aujourd'hui qualifiées de très agressives. Et ce qu'elle ne pouvait dévorer, la firme s'est contentée de l'étouffer jusqu'à en ramasser les morceaux à la petite cuillère.

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2. LE LAPIN : TENRAKU COMPUTER SYSTEMS


  • Nom officiel de la sociĂ©tĂ© : Tenraku Computer Systems
  • Forme juridique : SociĂ©tĂ© anonyme
  • CotĂ©e en bourse : Oui
  • Date de crĂ©ation : Tenraku Computer Systems a Ă©tĂ© créée en 1975 Ă  Azur. Elle est depuis l’entreprise leader sur le marchĂ© jashurien et nazumĂ©en en matière de logiciels, systèmes et microcomposants.
  • Adresse de son siège social : Le siège social de Tenraku Computer Systems (TCS) est basĂ© Ă  Azur, dans un complexe gigantesque conçu par la direction du groupe.
  • Secteurs d’activitĂ©s : La Tenraku Computer Systems est l’un des acteurs-clefs de la constitution des rĂ©seaux informatiques nazumĂ©ens, de la fabrication et de la diffusion des microcomposants et des solutions systèmes. Elle produit Ă  la fois des systèmes d’exploitation, des logiciels, des jeux vidĂ©os, des tĂ©lĂ©phones mobiles, mais aussi des ordinateurs et objets connectĂ©s.
  • Nombre de salariĂ©s : 250 000
  • PrĂ©sence Ă  l’international : La TCS est prĂ©sente Ă  l’international car elle fournit de nombreux systèmes informatiques et solutions logicielles pour de nombreux pays. Les tĂ©lĂ©communications et l’internet n’ont aucun secret pour elle et elle dispose de son propre dĂ©partement international de recherche sur l’IA et la cybernĂ©tique.
  • Chiffre d’affaires annuel : $ 150 000 000 000 en 2010
  • RĂ©sultat net : +20% en 2010 (en augmentation nette depuis le dĂ©but des annĂ©es 2000)
  • PDG si applicable : Bien que l’entreprise soit dirigĂ©e par un conseil d’administration regroupant les reprĂ©sentants des diverses branches, le PDG actuel de TCS est monsieur Sanayan Dijapoor, un Jashurien quarentenaire aux manières parfaitement policĂ©es.
  • Contacter la sociĂ©tĂ© : press@tcs.jas
  • Site internet : www.tcs.jas
  • Projet en cours ou prĂ©vus : La TCS a largement investit dans la crĂ©ation de stockages de donnĂ©es en ligne ces dernières annĂ©es. Comprenant les enjeux de la cybersĂ©curitĂ©, ses filiales ont dĂ©veloppĂ© des solutions systèmes sĂ©curisĂ©es et des logiciels capables de repousser les attaques des hackers et de leurs virus. Le groupe s’implante en AfarĂ©e et en Eurysie pour Ă©tendre son rĂ©seau depuis quelques annĂ©es, procurant sur le marchĂ© ses produits.

Description et histoire de l’entreprise

Tenraku Computer Systems est à l’origine une petite entreprise de manufacture d’armement jashurienne qui a su prendre le train en marche de la modernisation dans les années 70 en s’intéressant à l’informatique et aux technologies civiles. Petite entreprise sans envergure au départ, elle se fit connaître pour ses projets de miniaturisation et de rétro-ingénierie des produits aleuciens qui inondaient le marché jashurien. Rapidement, l’entreprise acquit ses propres ordinateurs et commença à développer ses partenariats avec les arsenaux jashuriens et la société civile. Développant ses propres systèmes d’exploitation grâce à des ingénieurs motivés et à des financements publics, l’entreprise acquit une renommée solide dans le domaine et mis le paquet sur ce domaine naissant qu’était l’informatique, jusqu’à atteindre une position dominante dans la région.

Les relations de la TCS avec les arsenaux jashuriens est de notoriété publique et les contrats passés avec la Défense ont été pendant longtemps assez lucratifs pour permettre à l’entreprise d’investir largement dans des domaines pionniers : les télécommunications, l’internet, les réseaux sociaux, mais aussi l’intelligence artificielle. Pratiquant un lobbying intense dans les Etats voisins et écrasant une grande partie de la concurrence, la société basée à Azur multiplia les partenariats et les rachats afin de se constituer un vivier de cerveaux capables de mener l’entreprise vers le XXIe siècle.

L’émergence des services internet fut largement accompagnée par la TCS, qui mit en place les infrastructures jashuriennes capables de recevoir des transmissions haut débit. Se tournant désormais vers la construction des data centers et des systèmes de stockage cloud, la TCS tourne aussi son regard sur les applications mobiles et n’hésite jamais à sortir de sa zone de confort pour amener la technologie – SA technologie – dans les foyers jashuriens. Internationalisée depuis très longtemps, la TCS possède une position dominante sur de nombreux marchés, lui permettant de combattre pied à pied d’autres firmes étrangères sur leurs propres sols. La firme dispose aussi de ses propres studios multimédias, notamment dédiés au développement de jeux vidéos et de plateformes pour supporter lesdits jeux.

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5. LE DRAGON : L'ARSENAL DE GUANDI


  • Nom officiel de la sociĂ©tĂ© : L’Arsenal de Guandi / Guandi Technologies & Armaments Incorporated
  • Forme juridique : Compagne privĂ©e dĂ©tenue en partie par l’Etat jashurien
  • CotĂ©e en bourse : Oui
  • Date de crĂ©ation : La crĂ©ation de Guandi Technologies & Armaments Incorporated, aussi surnommĂ©e l’Arsenal de Guandi, remonte Ă  la pĂ©riode coloniale. Issu des anciens arsenaux fortunĂ©ens reconvertis après l’indĂ©pendance du Royaume du Jashuria, l’Arsenal de Guandi a pris diverses formes et divers noms, mais a toujours Ĺ“uvrĂ© pour l’Etat jashurien, jusqu’à sa privatisation partielle dans les annĂ©es 80. L’entreprise actuelle est nĂ©e vĂ©ritablement dans les annĂ©es 80 et a accompagnĂ© la mondialisation du pays.
  • Adresse de son siège social : Le siège social de l’Arsenal de Guandi est toujours situĂ© Ă  Agartha, comme le veut la tradition du groupe.
  • Secteurs d’activitĂ©s : L’Arsenal de Guandi est le premier grossiste d’armes au Jashuria. ChargĂ© de dĂ©velopper le marchĂ© de l’armement et d’assurer les recherches en matière d’armement, l’activitĂ© de l’Arsenal de Guandi est de superviser les efforts du complexe militaro-industriel jashurien et d’offrir aux pays du monde entier un marchĂ© unique, accessible pour tous les acheteurs. Les activitĂ©s de l’Arsenal comprennent : la vente d’armes de tous calibre, la recherche et dĂ©veloppement dans les secteurs de l’armement, de l’informatique, des tĂ©lĂ©communications, des matĂ©riaux, des biotechnologies, …. Mais aussi la fabrication des hĂ©licoptères, des avions, appareils radioĂ©lectriques, …
  • Nombre de salariĂ©s : 250 000
  • PrĂ©sence Ă  l’international : L’Arsenal de Guandi entretient un rĂ©seau de plus de 800 filiales au travers du territoire jashurien et dans les pays alliĂ©s du Jashuria. Etant donnĂ© que les donnĂ©es et les projets que l’Arsenal manipule sont sensibles, l’essentiel de la recherche et de la production est menĂ© sur le sol jashurien. En revanche, le marchĂ© de l’armement se dĂ©ploie dans le monde entier.
  • Chiffre d’affaires annuel : $ 20 000 000 000 en 2010
  • RĂ©sultat net : +10% en 2010 (en augmentation nette depuis le dĂ©but des annĂ©es 2000)
  • PDG si applicable : L’actuelle figure de l’Arsenal est Konala Badhiraka. Cet homme d’une cinquantaine d’annĂ©es s’est illustrĂ© pour sa discrĂ©tion et son sens des affaires, mais surtout pour avoir accompagnĂ© le changement radical de direction de l’Arsenal, qui s’est modernisĂ© rapidement sous sa direction. Grâce Ă  lui, le complexe militaro-industriel a complètement rattrapĂ© son retard sur la scène internationale.
  • Contacter la sociĂ©tĂ© : press@guanditecharms.jas
  • Site internet : www.guanditecharms.jas
  • Projet en cours ou prĂ©vus : L’Arsenal de Guandi, grâce Ă  ses connexions historiques avec l’Etat jashurien, a rĂ©ussi Ă  obtenir le contrat-cadre lui permettant de lancer la modernisation des armĂ©es du Jashuria pour les 20 prochaines annĂ©es. En 2010, l’Arsenal s’est vu confier la responsabilitĂ© de dĂ©velopper une politique de militarisation commune et de recherche avec la RĂ©publique du Fujiwa, suite Ă  la rencontre officielle entre les deux pays.

Description et histoire de l’entreprise


L'Arsenal de Guandi est l'entreprise chargée de la vente à l'international de l'armement produit au Jashuria. Cette ancienne compagnie d'Etat, privatisée dans les années 80, dispose d'une autorisation spéciale pour regrouper en un même point de vente les productions des différentes entreprises d'armements du complexe militaro-industriel jashurien. Héritant d'usines peu modernisées et d'un secteur de l'armement désuet, Guandi Armements est devenue en quelques années l'une des entreprises phares dans la vente de matériel militaire au Nazum, grâce à ses excellents contacts, mais surtout, grâce à la qualité de sa communication à l'extérieur du pays. Si le matériel jashurien était loin d'être aussi performant que celui des nations aleuciennes, il était cependant de bonne qualité, confectionné à bas prix et parvient à séduire les petites nations qui ne disposaient pas des ressources nécessaires pour entretenir une armée surqualifiée. Le matériel militaire produit par le Dragon de la Table du Bouddha restait jusqu’au début des années 2000 fiable et peu onéreux.

Les dirigeants de l'Arsenal de Guandi sont les entrepreneurs les plus liés intimement à la politique du pays, étant donné que le secteur militaire est une affaire d'Etat. Force est de constater que Guandi Armements reste surtout une entreprise de vente, un grossiste qui investit une grande partie de son temps et de son énergie à la promotion du matériel militaire jashurien. Si l'entreprise finance en partie la recherche et développement sur le secteur militaire, elle est avant tout une entreprise à but commercial. Son but n'est pas de faire la guerre, mais de se remplir les poches avec. Le Dragon, malgré son statut privé, reste à l'écoute des demandes de l'Etat. Les membres de la Table n'hésitent pas à rappeler de temps à autre au Dragon de la Table qu'il est "tenu en laisse" par ses maîtres du Cercle Intérieur. Ce sujet de moquerie est assez peu toléré par le Dragon, qui y voit une contestation de son autorité.

Etrangement, l'Arsenal de Guandi ne milite pas pour l'extension du marché des armes sur le sol jashurien. La population est d'ordinaire rétive à l'idée de manipuler des armes, quand bien même la réserve militaire est obligatoire pour les jeunes du pays. L'Arsenal de Guandi a considéré qu'il était plus rentable d'être le premier fournisseur et grossiste d'armes pour l'armée du pays et sa réserve, plutôt que d'être tenu pour responsable de la prolifération des armes de poings à moindre prix dans les régions du pays. Le Dragon estime que les profits qu'il génère doivent être significatifs, par le biais de gros contrats, et non par de la vente au détail à des boutiques à peine sécurisées. L'Arsenal de Guandi est connu pour avoir farouchement milité contre l'ouverture de magasins d'armes destinées au public dans le pays, malgré la pression d'investisseurs étrangers. Et le pays ne s'en porte que mieux. La guerre, oui ... mais pas chez nous !

L'extension du marché des armes à l'international est une aubaine pour l'Arsenal de Guandi, qui a pu fournir plusieurs pays en armement de bonne qualité et vider une partie des stocks datant des décennies précédentes. L'Arsenal cherche actuellement à faire de la place dans ses vieux stocks, à vider ses entrepôts et à y installer de nouvelles armes et munitions. Le grossiste en armement, s'il dispose de nombreuses installations, n'aime pas perdre de la place avec du vieux matériel inutilisé et inutilisable par l'armée régulière d'aujourd'hui. Mais il existe toujours une quantité de petits Etats prêts à se payer du vieux matériel à agiter sous le nez de leurs voisins.

Depuis le début des années 2000, l’Arsenal de Guandi est devenu Guandi Technologies & Armaments Incorporated. Prenant acte du fait que la simple activité de grossiste ne suffisait plus à consolider le complexe militaro-industriel jashurien et suite au fort développement des activités de recherches civiles sur le territoire, les dirigeants de l’Arsenal ont opté pour une transformation du vieux modèles des arsenaux pour en faire une constellation d’entreprises et de filiales spécialisées dans la recherche et le développement de nouvelles technologies militaires. Désormais à la tête d’une myriade d’entreprises de recherche et de production, l’Arsenal table sur le foisonnement intellectuel du Jashuria et les liens qu’il entretient avec les autres pays pour booster son secteur de l’armement et de la recherche militaire (75%) et civile (25%).

La transformation de l’Arsenal de Guandi de simple grossiste doté d’un stock fiable mais peu moderne en un conglomérat d’entreprise high-tech a largement participé à la modernisation du Jashuria, qui tire grands bénéfices des découvertes de l’Arsenal. Ceci a permis à l'armée jashurienne de grandement s'étoffer au fil des années, pour devenir l'une des armées les plus grandes et mieux équipées du monde. Les récentes négociations avec la République du Fujiwa ont permis à l'Arsenal de développer son réseau commercial, par le biais de partenariats juteux avec l'estimé voisin de la Troisième République du Jashuria.

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6. LE SERPENT

  • Nom officiel de la sociĂ©tĂ© : MAENAN LOGISTICS
  • Forme juridique : SociĂ©tĂ© anonyme
  • CotĂ©e en bourse : Oui
  • Date de crĂ©ation : 1950
  • Adresse de son siège social : Le siège de Maenan Logistics est historiquement placĂ© Ă  Azur, lĂ  oĂą les Ă©changes avec les nations de la cĂ´te est sont les plus intenses
  • Secteurs d’activitĂ©s : Maenan Logistics dĂ©ploie ses compĂ©tences dans le domaine de la logistique, du conditionnement, des transports, du stockage et de la distribution. Il s’agit d’un conglomĂ©rat les plus impliquĂ©s dans la logistique dans le Scintillant et l’OcĂ©an des Perles.
  • Nombre de salariĂ©s :
  • PrĂ©sence Ă  l’international : De par ses activitĂ©s logistiques, la Maenan est
  • Chiffre d’affaires : 20 000 000 000 000 Mahts en 2016
  • Capitalisation : 8 600 000 000 000 Mahts en 2016
  • Fonds propres : Non communiquĂ©
  • RĂ©sultat net : 400 000 000 000 de Mahts en 2016
  • PDG si applicable : Le PDG de l’entreprise Maenan Logistics est Nimun Adirpat, un ancien responsable de la marine marchande jashurienne. Cet homme est en poste depuis le 2010 dans le groupe, après le dĂ©part de dame Ashanti Ashikata, l’ancienne reprĂ©sentante du groupe.
  • Contacter la sociĂ©tĂ© :Il est possible de contacter la sociĂ©tĂ© directement sur le site internet ou via les cabinets d’avocats ou de relations publiques dont s’entoure rĂ©gulièrement le groupe.
  • Site internet : www.maenan-logistics.jas
  • Projet en cours ou prĂ©vus :Maenan Logistics a participĂ© très largement au dĂ©veloppement de la plateforme logistique entre le Banairah et le Jashuria. On la retrouve aussi Ă  Kotios, dans la rĂ©fection du port de Nulle-Part, ainsi que dans la mise en place des quais de mouillage au MokhaĂŻ ou encore Ă  Jib-Outhi. Le projet le plus vaste que la corporation met en place actuellement est le programme Ruban DorĂ© portĂ© par le Jashuria dans le cadre des Accords de Sokcho, qui vise Ă  crĂ©er des lignes ferroviaires cĂ´tières au Nazum pour relier les diffĂ©rents pays.

Description et histoire de l’entreprise

Maenan Logistics est l'un des grands conglomérats mondiaux dédié au conditionnement, au transports, au stockage et à la distribution des marchandises de toutes sortes. C’est un prestataire de transport de marchandises doté de nombreux actifs à son nom et réalisant chaque année des profits grandissants grâce à l’intensification du commerce entre le Nazum et le reste du monde. L’immense réseau que l’entreprise s’est créé durant des années est une force que ses dirigeants n’hésitent pas à promouvoir auprès de leurs clients, ce qui lui a permis d’être particulièrement présente à l’internationale et d’apparaître comme un partenaire de confiance dans les principaux ports du monde.

De par la possession d’entrepôts dans les ports du monde entier ainsi que dans les gares ferroviaires et les hubs routiers, l’entreprise est capable de stocker d’énormes quantités de marchandises. Elle dispose en outre de conteneur, de tracteurs et de remorques, ainsi que de gros porteurs et même sa propre flotte marchande. Ces professionnels de la logistique contractuelle sont des experts du courtage de fret routier. Ils sont donc capables de proposer différentes offres de service à tous les types de chaines logistiques.

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7. LE CHEVAL : ATMA ENERGIES


  • Nom officiel de la sociĂ©tĂ© : Atma Energies
  • Forme juridique : Compagnie privĂ©e dĂ©tenue en partie par l’Etat jashurien
  • CotĂ©e en bourse : Oui
  • Date de crĂ©ation : Atma Energies a Ă©tĂ© créé suite Ă  la privatisation des entreprises d’extraction de gaz et de matières pĂ©trolières dans les annĂ©es 40. Petit poisson au milieu d’un grand vivier d’entreprises chacune accrochĂ©e Ă  ses territoires hĂ©ritĂ©s de la pĂ©riode des Seigneurs de Guerre, Atma Energies – alors Atma Petroleum - , le groupe a rĂ©ussi Ă  dĂ©vorer ses pairs pour devenir l’une des plus grandes firmes d’extraction du monde.
  • Adresse de son siège social : Le siège social de Atma Energies est toujours situĂ© Ă  Azur, Ă©tant donnĂ© qu’une grande partie de l’activitĂ© pĂ©trolière se situe dans cette rĂ©gion.
  • Secteurs d’activitĂ©s : Atma Energies est une mĂ©gacorporation spĂ©cialisĂ©e dans le secteur de l’énergie et de l’extraction des ressources pĂ©trolières, gazières, … Son rĂ´le est de trouver et d’exploiter les gisements de ressources pĂ©trolifères, gazières et toute autre Ă©nergie susceptible d’être extraite de la terre. Son influence s’étend sur la crĂ©ation des infrastructures dĂ©diĂ©es Ă  cette mission.
  • Nombre de salariĂ©s : 350 000
  • PrĂ©sence Ă  l’international : Atma Energies est prĂ©sente Ă  l’international et notamment dans ses concessions maritimes. Le groupe possède des parts dans l’énergie au Prodnov, ainsi que de solides parts dans les alentours de Kotios. RĂ©cemment, l’ouverture du port-franc Ă  l’embouchure de Galiya au Mokhai a signĂ© l’ouverture d’une nouvelle plateforme pour Atma Energies. Sa prĂ©sence est aussi confirmĂ©e dans les nouvellement amĂ©nagĂ©es Iles limĂ©siennes et l’île de Destanh.
  • Chiffre d’affaires annuel : $ 60 000 000 000 en 2010
  • RĂ©sultat net : +15% en 2010 (en augmentation nette depuis le dĂ©but des annĂ©es 2000)
  • PDG si applicable : Le groupe d’Atma Energies est reprĂ©sentĂ© par une myriade de shareholders. L’actuelle reprĂ©sentante de la sociĂ©tĂ© est Parvati Serin, qui dirige le conglomĂ©rat liĂ© Ă  la communication du groupe. Elle a pris la succession de Mahani Ajaph, l’ancien directeur de la communication, suite Ă  son dĂ©part Ă  la retraite.
  • Contacter la sociĂ©tĂ© : press@atma-energies.jas
  • Site internet : www.atma-energies.jas
  • Projet en cours ou prĂ©vus : Atma Energies a grandement profitĂ© de l’établissement des gazoducs et des lignes de l’émergence du marchĂ© spĂ©cial avec le Banairah. Depuis le dĂ©but des annĂ©es 2000, l’évolution positive des relations entre les deux pays a permis Ă  Atma Energies de sĂ©curiser un marchĂ© juteux avec son comparse afarĂ©en. Il en rĂ©sulte que le groupe s’est progressivement redĂ©ployĂ© vers les explorations maritimes, notamment vers la NivĂ©rĂ©e. Les rĂ©centes dĂ©marches menĂ©es entre les pays du Nazum a grandement profitĂ© au groupe qui sait dĂ©sormais que ses plans d’exploitation pour les prochaines annĂ©es sont assurĂ©s.

Description et histoire de l’entreprise

Atma Energies a été créé suite à la privatisation des entreprises d’extraction de gaz et de matières pétrolières dans les années 40. Petit poisson au milieu d’un grand vivier d’entreprises chacune accrochée à ses territoires hérités de la période des Seigneurs de Guerre, Atma Energies – alors Atma Petroleum - , le groupe a réussi à dévorer ses pairs pour devenir l’une des plus grandes firmes d’extraction du monde. Basé à Azur, cette entreprise s'investit dans le secteur de l'extraction, du traitement et de la valorisation des produits issus de l'exploitation pétrolière et gazière. De manière générale, tout ce qui est regroupé sous le terme d'hydrocarbures est le pré carré de Atma Energies.

Atma Energies est l’entreprise leader dans le marché de l’énergie et de l’extraction des ressources pétrolifères et gazières au Jashuria. Créée à la suite de la période des Seigneurs de Guerre, cette entreprise, auparavant modeste, s’est hissée au rang de première compagnie pétrolière du Jashuria en dévorant ses rivaux un par un avec une brutalité sans pareille. Se développant depuis Azur, capitale économique du Nord du pays, la compagnie est progressivement devenue une mégacorporation étendant son réseau sur les activités liées au pétrole et au gaz. Si elle n’est pas aussi imposante que peuvent l’être des compagnies comme celles du Lofoten ou du Banairah, Atma Energies n’a pas à rougir de son ampleur et de ses hauts-faits.

Cotée en bourse, la mégacorporation déploie ses activités dans de nombreux secteurs car Le secteur pétrolier couvre l’exploration et la production d’hydrocarbures, ainsi que les services associés à ces activités. Dans un contexte d’intensification de la concurrence et de maturité des marchés, les investisseurs qui pilotent Atma Energies recherchent les activités qui leur assureront un niveau de performance optimal par le biais de grandes opérations de prospection. Atma Energies a mis les bouchées doubles ces dernières années pour identifier de nouveaux secteurs de développement, notamment par l’intensification des grands projets, des opérations d’explorations marines et une gestion plus fine de la production et de la consommation.

S’occupant aussi bien de l’extraction que du raffinage, Atma possède de nombreuses raffineries opérationnelles dans le pays et sur des plateformes offshores. Bien que le pays tienne grandement à ses barrages hydroélectriques et à l’énergie nucléaire, Atma Energies entretient de larges stocks de barils de pétrole afin de combler les demandes du secteur pétrochimique et assurer au Jashuria un stock conséquent en cas de crise. Bien que l’entreprise revende une très large part de sa production vers l’extérieur, elle est directement concurrencée par des groupes plus importants comme ceux du Lofoten et du Banairah. Si l’entreprise domine une large part du marché nazuméen, elle n’est pas aussi imposante que ses comparses internationales.

Les opérations de forage d’Atma Energies sont supervisées avec soin par le groupe et s’améliorent continuellement, grâce à un département technologique de qualité, qui n’a pas à rougir face à ses concurrents. Le groupe développe depuis quelques années des opérations de forage au large de la Nivérée, notamment grâce à l’expertise de chercheurs du Shuharri qui apportent leur savoir-faire sur les questions liées à l’exploitation en milieu arctique.

L’extension continue des sites pétroliers a fait d’Atma Energies un acteur du secteur sur qui l’on peut compter. Ses infrastructures restent parfaitement adaptées à la production et sont capables de traiter efficacement le raffinage et le transport. Le réseau d’oléoducs et de gazoducs est surveillé en permanence par des forces de sécurité privées, que le groupe entretient avec soin pour éviter les tentatives de sabotage.

L’entreprise travaillant sur des territoires compliqués à aménager, Atma Energies s’est longtemps intéressée à l’urbanisme et aux réseaux afin d’éviter de mettre en danger ses installations. Il en résulte que le groupe possède un département risque parfaitement opérationnel ainsi qu’une division spécialisée dans le traitement des problématiques écologiques. Malgré la pression de groupes écologistes au cours des années, le groupe a très largement travaillé sur son image et sur son expertise sur ces sujets pour limiter l’impact des extractions sur l’environnement. Bien entendu, tout n’est pas parfait, mais le groupe sait qu’il y a une carte à jouer, notamment face à la concurrence du secteur hydroélectrique et nucléaire.

L’entreprise occupe la place du Cheval au sein de la Table de Bouddha. Très intéressée par les perspectives engendrées par les actions communes, Atma Energies s’investit dans le devenir de la Table, surtout quand cela peut lui permettre d’accéder à des marchés étrangers. Les récentes opérations au Mokhaï, avec notamment la récupération du port-franc, lui assurent l’émergence d’une nouvelle plateforme logistique dans les années à venir.

La présence d'un immense conglomérat lié aux barrages hydroélectriques et à l'énergie nucléaire a longtemps tenu la mégacorporation loin des activités liées à l'électricité domestique. La volonté de l'Etat jashurien de maintenir au maximum une énergie propre empêche Atma Energies de se développer dans ce secteur, d'autant que l'entreprise en charge est parfaitement capable de lui tenir tête. Les actions d'OPA hostiles ne manquent pas et les deux entreprises se livrent une concurrence féroce pour grapiller des parts, l'une chez l'autre. Le développement des activités de prospection au Wanmiri est une aubaine pour le groupement, qui a d'ores-et-déjà placé ses billes pour effectuer des opérations de prospection au large des archipels wanmiriens. Le groupe espère toucher le jackpot et mettre en oeuvre les opérations de forage.


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8. LA CHEVRE : VENANTA RESOURCES


  • Nom officiel de la sociĂ©tĂ© : VENANTA RESOURCES
  • Forme juridique : SociĂ©tĂ© anonyme
  • CotĂ©e en bourse : Oui
  • Date de crĂ©ation : Venanta Incorporated a Ă©tĂ© créée officiellement en 1932 au Jashuria. Issue du rachat de plusieurs compagnies minières et nĂ©goce de matières premières menĂ© par quelques vieilles familles jashuriennes, la firme s’est progressivement rĂ©organisĂ©e en un conglomĂ©rat disposant de plusieurs branches d’activitĂ©s. La firme a subi une rĂ©organisation complète au dĂ©but des annĂ©es 2000 et est devenue Venante Resources, confirmant ainsi sa position d’entreprise majeure dans l’exploitation minière.
  • Adresse de son siège social : Le siège social de Venanta Resources est basĂ© Ă  AnkĂ©vran.
  • Secteurs d’activitĂ©s : Venanta Resources est un conglomĂ©rat minier chargĂ© du l’acquisition, de l’extraction, de la transformation et du nĂ©goce des matières premières. Ses domaines d’activitĂ©s concernent aussi bien la nĂ©gociation des droits miniers que la transformation desdits produits miniers sous une forme usinĂ©es, comme le dĂ©montre sa grande production sidĂ©rurgique. Le conglomĂ©rat gère aussi l’import-export de ses propres matĂ©riaux. Elle s'est lancĂ©e depuis deux dĂ©cennies dans la rĂ©paration des Ă©cosystèmes ravagĂ©s par l'exploitation minière, ce qui l'a positionnĂ© correctement vis Ă  vis des pays qui ont subi les ravages de cette exploitation et qui dĂ©sirent rĂ©parer les dĂ©gâts après l'Ă©puisement des filons.
  • Nombre de salariĂ©s : 85 000
  • PrĂ©sence Ă  l’international : L’essentiel des activitĂ©s d’extraction de la Venanta se trouvent Ă  l’international, tandis que ses usines sidĂ©rurgiques et ses usines de transformation sont au Jashuria. Ceci fait que la firme a dĂ©veloppĂ© une expertise unique Ă  l’international, notamment dans la nĂ©gociation des contrats d’exploitation des concessions minières.
  • Chiffre d’affaires : $ 170 000 000 000 en 2012
  • Capitalisation : $ 170 000 000 0000 en 2012
  • Fonds propres : $ 500 000 000 000 en 2012
  • RĂ©sultat net : +20% en 2012 (en augmentation nette depuis le dĂ©but des annĂ©es 2000)
  • PDG si applicable : L’actuel PDG du conglomĂ©rat minier Venanta est monsieur Tanakrit Prapass. Issu des hautes universitĂ©s jashuriennes, ce quarantenaire est une figure souriante et ferme de la politique de l’entreprise.
  • Contacter la sociĂ©tĂ© : press@venanta.jas
  • Site internet : www.venanta-resources.jas
  • Projet en cours ou prĂ©vus : La Venanta est impliquĂ©e dans des opĂ©rations d’exploitation au MokhaĂŻ, oĂą l’entreprise a vĂ©u avec amertume les annĂ©es d’instabilitĂ© liĂ©e au rĂ©gime d’Aoki Saburo. A la fin de son rĂ©gime, la firme s’est rĂ©engagĂ©e au MokhaĂŻ pour pouvoir rĂ©exploiter les filons de matières premières et rĂ©cupĂ©rer ses pertes.

Description et histoire de l’entreprise

Venanta Resources est une vieille institution jashurienne. Créée par opportunisme, l’entreprise est le fruit du rachat de plusieurs compagnies minières par de vieilles familles aristocratiques jashuriennes. Ces familles profitèrent de l’opportunité du rachat pour fusionner en un conglomérat de taille moyenne responsable des principales exploitations minières dans la région d’Ankévran. Développant son activité à la suite du boom économique jashurien, Venanta Resources a bénéficié de l’opportunité de développer ses activités à l’international en attirant à elle des investisseurs eurysiens. Les techniques de séduction de la firme ont porté leur fruit et elle a réussi à exploiter la crédulité des Eurysiens pour s’assurer de la maîtrise de plusieurs concessions à l’international, lui permettant un décollage vers une position stratégique au-delà du Nazum. Spécialisée dans l’exploitation minière et la sidérurgie, la firme a été durant longtemps accusée de dégradation de l’environnement par les écologistes ; ce qui a poussé le conglomérat à adopter de nouvelles méthodes d’extraction plus sûres pour l’environnement et a financer de nombreux projets de réparation de l’environnement après son passage.

Venanta Resources a adopté une politique particulièrement agressive ces dernières années pour obtenir de nouvelles concessions. Le groupe étant assuré de sa position et sûr de son image de marque, il n'hésite plus à se positionner à la fois comme opérateur minier, mais aussi comme expert en reforestation et en entretien de l'environnement. Ce shift progressif de l'image de companie minière sans foi ni loi à protecteur de l'environnement est vu avec cynisme par les militants écologistes, mais force est de constater que les Jashuriens travaillant pour la firme sont des gens compétents, qui arrivent à générer du profit par la reforestation et la réparation des environnements après la fin de l'exploitation des gisements miniers. Cette expertise l'a positionné comme un opérateur "soucieux de l'environnement" ce qui lui permet d'obtenir de juteux contrats ... Mais il ne faut pas s'y fier : le groupe reste un conglomérat minier et son objectif reste le profit. Si elle s'est lancée dans l'écologie ... c'est bien parce qu'il y a de l'argent à se faire.

Venanta intègre dans sa structure le marketing des matières premières et les activités ayant trait à la production, l'approvisionnement, la transformation, le raffinage, le transport, le stockage, le financement et la fourniture de : minéraux, métaux, produits énergétiques et produits agricoles stratégiques. L'entreprise produit aussi l'ingénierie financière et logistique et d'autres services sur la chaine d'approvisionnement. Etant donné sa prédominance sur le marché des ressources, Venanta est régulièrement intégrée dans les conseils mondiaux de négociation des prix des matériaux, devenant ainsi l'une des entreprises qui fixe les prix au lieu de les subir.

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9. LE SINGE

  • Nom officiel de la sociĂ©tĂ© :Shambala Corporation
  • Forme juridique : SociĂ©tĂ© Anonyme
  • CotĂ©e en bourse : Oui
  • Date de crĂ©ation : 1991
  • Adresse de son siège social :Shambala Corporation est installĂ©e depuis sa crĂ©ation Ă  Azur.
  • Secteurs d’activitĂ©s : Shambala Corporation s'occupe principalement des relations publiques, des mĂ©dias et du divertissement sous toutes ses formes. Shambala possède aussi des filiales concernant les biens et services de consommation ainsi que des cabinets d'avocats spĂ©cialisĂ©s. Elle entretient aussi un rĂ©seau satellitaire, par le biais de l'une de ses filiales liĂ©es aux programmes de conquĂŞte spatiale.
  • Nombre de salariĂ©s : 150 000
  • PrĂ©sence Ă  l’international : Shambala est prĂ©sente Ă  l’international par le biais de l’acquisition de cabinets d’avocats et de mĂ©dias.
  • Chiffre d’affaires : 15 000 000 000 de Mahts en 2016
  • Capitalisation : 25 000 000 000 de Mahts en 2016
  • Fonds propres : 8 000 000 000 de Mahts en 2016
  • RĂ©sultat net : 3 000 000 000 de Mahts en 2016
  • PDG si applicable : La direction du groupe est assurĂ©e par Chopra Sandiwarat qui a Ă©tĂ© Ă©lu par le conseil d’administration du groupe.
  • Contacter la sociĂ©tĂ© :Shambala Corporation est son propre cabinet de relations publiques. Il est possible de la contacter Ă  tout moment.
  • Site internet :www.shambala.jash
  • Projet en cours ou prĂ©vus :Le groupe explore les pistes concernant la crĂ©ation de nouveaux data centers dans le reste du monde et la consolidation des infrastructures rĂ©seaux avec Tenraku Systems, de mĂŞme que le dĂ©ploiement de nouveaux satellites.

Description et histoire de l’entreprise

Oui, Shambala Corporation fait ce que l’on appelle négativement de la propagande. Si elle le cache comme toutes les autres entreprises sous le vocable passe-partout de « relations publiques », il ne faut pas s’y tromper : les requins du marketing sont là pour vous glisser leur vérité à l’oreille et faire en sorte que vous applaudissiez des deux mains aux pires tours de sagouins qu’ils peuvent inventer. Shambala Corporation est une jeune entreprise au regard de l’ancienneté de ses consoeurs, mais elle est probablement l’une des plus ingénieuses et des plus agressives pour ce qui concerne son domaine d’activité. Cherchant à analyser, anticiper et interpréter l’opinion pour mieux l’influencer, l’entreprise s’est spécialisée dans le conseil stratégique aux entreprises et aux institutions qui font appel à ses services.

S’étant illustrée dans le média training pour les acteurs politiques et économiques, le groupe Shambala a largement diversifié ses offres depuis des années pour se lancer dans la communication, l’acquisition de grands médias et la valorisation du capital des marques qui lui sont confiées. Avec son armée d’avocats et d’experts en marketing, Shamballa Corporation est une entreprise sur qui il faut compter pour jouer le rôle de l’éminence grise dans les conseils d’administration. Dotée d’un réseau étendu et d’une capacité à retourner l’opinion publique sur n'importe quel sujet, l’entreprise dirige le média Mandala News, la plus grande chaine d’information du pays.

Le groupe a particulièrement bien négocié le virage vers le numérique et l’apparition des plateformes de contenu, tant et si bien que le groupe est connu pour financer, par le biais de ses filiales tentaculaires, des centaines d’influenceurs. On raconte que son réseau est à peu près aussi étendu que celui des fermes à trolls de la Sérénité.

La grande fierté de Shamballa est la possession directe de Mandala News, le principal média d'informations du Jashuria. Bien que le secteur soit hautement concurrentiel et que la compétition soit rude, Shamballa a réussi à maintenir sa position en tête des audiences avec Mandala News depuis quelques années. Malheureusement, la corporation est aujourd'hui concurrencée par les plateformes de contenus en ligne et l'apparition d'influenceurs parlant directement à leur public sur la toile.

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10. LE COQ : PALEMA


  • Nom officiel de la sociĂ©tĂ© : Palema Incorporated
  • Forme juridique : Compagnie privĂ©e
  • CotĂ©e en bourse : Oui
  • Date de crĂ©ation : Palema est le rĂ©sultat d’une sĂ©rie de fusions et d’acquisitions particulièrement rapides dans l’histoire de la crĂ©ation des entreprises. Les Guildes Scintillantes se sont Ă©charpĂ©es pendant des dĂ©cennies pour le contrĂ´le de leurs domaines respectifs mais dans les annĂ©es 80, l’arrivĂ©e de la famille Mahojawani au pouvoir a changĂ© la donne, fĂ©dĂ©rant les guildes dans une seule et mĂŞme entitĂ©.
  • Adresse de son siège social : Le siège social de Palema Incorporated est toujours situĂ© Ă  Agartha, mĂŞme si le groupe possède ses principales antennes Ă  Azur et AnkĂ©vran
  • Secteurs d’activitĂ©s : Palema Incorporated est une mĂ©gacorporation spĂ©cialisĂ©e dans le secteur des produits de luxe.
  • Nombre de salariĂ©s : 200 000
  • PrĂ©sence Ă  l’international : Le marchĂ© du luxe jashurien se porte bien. L’exotisme de ses produits commence Ă  prendre Ă  l’international et montre de remarquables poussĂ©es dans certains pays. Le raffinement de la culture jashurienne, alliĂ© au savoir-faire des maĂ®tres-façonniers a largement dĂ©passĂ© les frontières du pays pour toucher l’Aleucie et l’Eurysie.
  • Chiffre d’affaires annuel : $ 55 000 000 000 en 2010
  • RĂ©sultat net : +15% en 2010 (en augmentation nette depuis le dĂ©but des annĂ©es 2000)
  • PDG si applicable : Palema Incorporated est reprĂ©sentĂ©e par monsieur Jahni Mahojawani, l’actuel voix du conseil des guildes de Palema. La famille Mahojawani dirige le conglomĂ©rat depuis les annĂ©es 80, Ă  la suite d’une sĂ©rie de fusions et acquisitions « violentes » qui ont mis fin aux luttes internes entre les guildes.
  • Contacter la sociĂ©tĂ© : press@palema-group.jas
  • Site internet : www.palema-group.jas
  • Projet en cours ou prĂ©vus : Le dĂ©veloppement de Palema se concentre aujourd’hui sur le marchĂ© eurysien et aleucien.

Le luxe au Jashuria est sans doute l’un des secteurs économiques les plus anciens, mais également les plus résistants. Et pour cause, la rareté d’un objet ou d’un matériau explique sa valeur et ainsi son coût élevé. Collectionneur, noble ou passionné de belles choses attribuent à ces objets de luxe un raffinement sans égal. Que la valeur soit monétaire ou symbolique, le luxe s’apparente à un univers lié au désir, au plaisir et au goût. Les collections jashuriennes séduisent par leur sophistication. Du prêt-à-porter à la joaillerie, en passant par la parfumerie et la maroquinerie, le secteur est vaste avec des opportunités de carrière diversifiées. Il n'est donc pas incohérent que les industries du luxe se trouvent représentées au sein de la Table de Bouddha.

Jahni Mahojawani est le représentant du conglomérat des industries de luxe. Anciennement connues sous le nom des Milles et Merveilleuses Guildes Scintillantes, les anciennes entreprises du luxe au Jashuria se sont regroupées sous le nom de Palema, un nom quand même bien plus digeste que son ancienne appellation. Palema fonctionne encore sur un système de guildes, représentées en haut lieu par un délégué officiant au conseil de direction de l’entreprise. Vieille association de guildes spécialisées dans le luxe, Palema tire sa force de ses nombreuses maisons et guildes qui oeuvrent en son sein et donnent à l’ensemble une portée commerciale inégalée, mais aussi peu unifiée, où les coups-bas sont légions. Afin de maintenir leurs approvisionnements, leur indépendance face aux façonniers, la qualité des produits lors de la fabrication, puis le niveau de marge au moment de la vente, les groupes du luxe ont rapidement évolué vers un modèle d'intégration verticale jusqu'au réseau de distribution, créant des organisations comme Palema.

Les industries du luxe au Jashuria ont beau conserver une unité de façade, elles se livrent en interne une guerre sans merci pour le contrôle des parts de marché et rivaliser d’ingéniosité pour prendre la direction du groupe. L’actuel directeur de Palema à la Table de Bouddha est Jahni Mahojawani, le représentant des industries de la mode, est à la fois un dandy exubérant, mais aussi un fieffé renard, qui manœuvre sa barque avec adresse et n’hésite pas à écraser les membres les plus rebelles de Palema sous ses bottes.

Les multiples entreprises qui composent Palema s'intéressent depuis quelques temps aux produits eurysiens, qui ont commencé à gagner en popularité au travers de la population jashurienne. Palema ne désespère pas de pouvoir obtenir le savoir-faire eurysien, quitte à racheter rapidement quelques entreprises locales afin de développer ses productions et d'étendre son marché.

L'arrivée sur le marché jashurien des produits de luxe khaultes a été une surprise pour l'organisation, qui ne s'attendait pas à une réception aussi unanime des liqueurs de la part des Jashuriens. Ceci a forcé Palema à réinvestir dans les industries eurysiennes et à démarcher des producteurs de liqueur afin de donner à leurs clients les meilleurs produits alcoolisés. Malheureusement, Palema peine encore à convaincre sur ce marché-là, étant donné que leurs clients achètent un bien de consommation, mais aussi une marque et un savoir-faire.

Si Palema est entièrement dirigée vers le luxe, elle n’en reste pas moins consciente que son image de marque est parasitée par les perceptions négativées des autres continents liées au Nazum. Le Nazum ayant été considéré pendant très longtemps comme l’usine du monde, l’image d’un continent incapable de produire autre chose que des verroteries et des objets « traditionnels » reste encore vivace, malgré les efforts des nouvelles entreprises contemporaines. Ces dernières, bien décidées à montrer que le Nazum dispose d’un savoir-faire hors du commun, font des pieds et des mains pour sortir de cette image vaguement arriérée qui leur colle à la peau. Dans cette optique, Palema a largement investi dans le marketing, les relations publiques et la communication.

Palema a rapidement pris le pli du commerce en ligne et distribue ses produits dans le monde entier. Selon les prévision, le quart des produits de luxe produits par Palema devraient être vendus en ligne d'ici 2020, ce qui augure de belles perspectives pour la numérisation du luxe. Bien entendu, le fait qu'Azur ait gagné le concours pour l'organisation de Misse et Mister Mondial 2011 va jouer en la faveur de Palema, qui espère devenir l'un des leaders mondiaux du luxe.

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7. LE CHIEN . LOTUS INTERNATIONAL


Lotus


  • Nom officiel de la sociĂ©tĂ© : Lotus Pharmaceutics International
  • Forme juridique : Compagnie privĂ©e
  • CotĂ©e en bourse : Oui
  • Date de crĂ©ation : Lotus Pharmaceutics International a Ă©tĂ© créée dans les annĂ©es 70 et est l’entreprise qui a le mieux rĂ©ussi Ă  surmonter la Guerre de l’Aspirine dans ces annĂ©es-lĂ . Evoluant en dĂ©vorant ses concurrents, le leader jashurien de l’industrie pharmaceutique a pris un rĂ©el tournant dans sa manière de procĂ©der dans les annĂ©es 2000 pour se lancer Ă  l’international et passer de simple producteur Ă  concepteur de produits pharmaceutiques.
  • Adresse de son siège social : Le siège social de Lotus Pharmaceutics est toujours situĂ© Ă  Agartha, mĂŞme si le groupe dispose de ses nouveaux sièges dans la Pharma Valley jashurienne au nord du pays.
  • Secteurs d’activitĂ©s : Lotus Pharmaceutics International est une mĂ©gacorporation spĂ©cialisĂ©e dans le secteur des produits pharmaceutiques et de la recherche mĂ©dicale
  • Nombre de salariĂ©s : 200 000
  • PrĂ©sence Ă  l’international : Lotus International ne se dĂ©veloppe Ă  l’international qu’au dĂ©but des annĂ©es 2000. Si ses produits commencent Ă  conquĂ©rir des marchĂ©s Ă  l’international, la compagnie est surtout basĂ©e au Nazum, oĂą ses principaux efforts sont concentrĂ©s Ă  assurer sa position dominante sur le marchĂ© continental.
  • Chiffre d’affaires annuel : $ 35 000 000 000 en 2010
  • RĂ©sultat net : +20% en 2010 (en augmentation nette depuis le dĂ©but des annĂ©es 2000)
  • PDG si applicable : Lotus Pharmaceutics Internaional est reprĂ©sentĂ©e par une myriade de shareholders et leurs avocats. L’actuel reprĂ©sentant de la sociĂ©tĂ© Ă  l’extĂ©rieur est le cabinet d’avocats Majhani & Kurokawa & Partners.
  • Contacter la sociĂ©tĂ© : press@lotus.jas
  • Site internet : www.lotus.jas
  • Projet en cours ou prĂ©vus : Le dĂ©veloppement de la Pharma Valley dans le nord du Jashuria a constituĂ© une aubaine pour le groupe, qui a consenti Ă  des investissements importants pour faire de ce projet une rĂ©alitĂ©. DestinĂ©e Ă  remplacer progressivement les anciens fabricants de mĂ©dicaments aleuciens, le groupe Lotus s’est lancĂ© dans des centaines de projets pour assurer un avenir aux mĂ©dicaments et aux produits pharmaceutiques jashuriens sur le marchĂ© mondial. Le groupe s'intĂ©resse de près Ă  l'aide humanitaire dĂ©ployĂ©e au Chandekolza, notamment pour ses recherches sur le traitement des maladies infantiles et sur les maladies liĂ©es Ă  l'insalubritĂ© des territoires.

Description et histoire de l’entreprise

Lotus International est un conglomérat international jashurien spécialisé dans l’industrie pharmaceutique de pointe qui s’est dirigée vers le début des années 2000 dans la fusion et l’acquisition d’entreprises leaders dans le domaine de la santé, de la recherche pharmaceutique, des biotechnologies et de la production et distribution de médicaments. Occupant la place du Chien à la Table de Bouddha, le groupe Lotus International dispose d’une ampleur internationale, qui n’est concurrencée que par Carnavale ou le Lofoten. Créée à la suite de la fusion de plusieurs groupes pharmaceutiques en perte de vitesse dans les années 70, Lotus International s’est fait connaître sur la scène internationale pour avoir été le grand gagnant de ce que les médecins et historiens ont nommé la Guerre des Aspirines. Le monopole de la distribution des médicaments était jusque dans les années 70, géré par le gouvernement jashurien et le Ministère de la Santé.

Suite à la grande vague de libéralisation du pays, l’Etat a consenti à vendre les parts de Phomum, l’entreprise étatique qui gérait la distribution, l’acquisition des brevets et une grande partie de la recherche pharmaceutique publique. Lotus International, jusqu’alors un petit groupement d’entreprises adossée à une bonne firme de marketing, parvint à se hisser en tête de la compétition féroce entre les groupes pharmaceutiques déjà institués en mettant la main sur les principales usines médicamenteuses du pays. En quelques années, Lotus International s’est fait connaître pour sa capacité à attirer dans ses filets d’importants chercheurs spécialisés dans le domaine de la lutte contre les maladies tropicales.

L’importance du marché nazumi dans le domaine médical et pharmaceutique a permis à Lotus International de se déployer dans les différents pays du continent et de consolider leurs positions en mettant la main – souvent de manière agressive – sur les brevets liés aux pesticides et aux médicaments contre les maladies tropicales. S’il était de notoriété commune que les médicaments préparés par le conglomérat étaient dans les années 90 de moins bonne facture que les produits aleuciens, l’augmentation du PIB du Nazum a permis à Lotus International de monter en gamme assez rapidement dans la qualité de ses produits. Si historiquement, le Jashuria était un sous-traitant dédié à la production de principes actifs pour d’autres grandes firmes, Lotus International est parvenue à mettre en œuvre son plan d’indépendance dans les années 90 et voler de ses propres ailes pour s’occuper de son propre territoire.

Lotus International est connue pour financer assez largement la recherche de médicaments et les essais cliniques. Son ampleur et ses résultats l’ont placé en tête des entreprises pharmaceutiques jashuriennes et elle peut se féliciter de sa position inespérée dans le classement des Big Pharma. L’entreprise pratique un lobbying assez intense, notamment autour de la question des OGM, où elle cherche à bénéficier de toutes les latitudes possibles pour mener des tests à grande échelle. Son rôle de sous-traitant est désormais révolu depuis le début des années 2000. Si son positionnement sur les marchés internationaux est encore jeune par rapport à d'autres entreprises de Big Pharma, Lotus International est une entreprise patiente et avisée, qui ne met jamais ses oeufs dans le même panier.

Le développement de la recherche OGM a conduit Lotus Pharmaceutics International a aussi intervenir dans le domaine du droit, en étant à l’initiative de nombreuses propositions concernant la réglementation et l’encadrement de la recherche sur les OGM. Les deux secteurs les plus importants pour les brevets sont ceux de la santé et de l'agriculture, là où Lotus espère pouvoir récupérer de juteux contrat, bien entendu. Le marché potentiel se chiffre en centaines de milliards de dollars jashuriens, ce qui n’est pas rien. L'opportunité générée par l'ouverture du Chandekolza à l'international a permis à Lotus Pharmaceutics de déployer ses produits dans la région et de mener des tests pour améliorer la salubrité des infrastructures locales. Le groupe espère pouvoir utiliser l'opportunité créée par le projet d'aide humanitaire pour développer de nouveaux vaccins.

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12. LE COCHON : SURYA INCORPORATED

  • Nom officiel de la sociĂ©tĂ© :Surya Incorporated
  • Forme juridique :Surya Inc. est une sociĂ©tĂ© anonyme pilotĂ©e par un conseil d’administration et d’actionnaires
  • CotĂ©e en bourse : Surya Inc. est cotĂ©e en bourse depuis plus de 50 ans
  • Date de crĂ©ation : 1885
  • Adresse de son siège social : Le siège social de Surya Incorporated se situe Ă  Wipulasin depuis plusieurs gĂ©nĂ©rations et n’a pas bougĂ©. Si l’entreprise possède des sièges dans les grandes villes du Jashuria, son siège historique est restĂ© Ă  Wipulasin.
  • Secteurs d’activitĂ©s : Surya Inc. est une mĂ©gacorporation regroupant en son sein de nombreuses industries spĂ©cialisĂ©es dans l’agroalimentaire et la production et transformation industrielle des agroressources. Le groupe dĂ©veloppe aussi ses propres semences OGM et ses propres souches vĂ©gĂ©tales dans ses laboratoires. En tant que corporation de grande ampleur, Surya Inc. contrĂ´le aussi la distribution, la promotion et les services autour de ses produits. Son service marketing est l’un des plus robustes au monde. Outre le secteur agroalimentaire, le groupe s’est diversifiĂ© dans la pharmacie et les cosmĂ©tiques, ainsi que dans l’étude des processus de viabilisation des sols.
  • Nombre de salariĂ©s : 200 000 salariĂ©s
  • PrĂ©sence Ă  l’international : Surya Inc. est prĂ©sent Ă  l’international, notamment par le biais de ses filiales de distribution. Le groupe possède des terres agricoles et d’élevage dans le monde entier, principalement au Nazum. La corporation entretient une sĂ©rie de filiales de fastfoods dans l’ensemble du monde.
  • Chiffre d’affaires : 130 milliards de $ jashuriens en 2014
  • RĂ©sultat net : 5 milliards de $ jashuriens en 2014 (+5% par rapport Ă  l’annĂ©e prĂ©cĂ©dente)
  • PDG si applicable :L’actuel PDG de Surya Incorporated est madame Mekhala Nakarin. Descendante de la famille Nakarin, l’une des plus grandes familles de propriĂ©taires terriens de Wipulasin, cette quarantenaire plantureuse Ă  l’esprit aiguisĂ© est la figure de proue du groupe.
  • Contacter la sociĂ©tĂ© :presse@surya-inc.jas
  • Site internet : www.surya-inc.jas
  • Projet en cours ou prĂ©vus :Surya Inc. travaille actuellement Ă  la viabilisation de terres agricoles au Wanmiri, dans le cadre d’un partenariat visant Ă  dĂ©velopper les terres agricoles et Ă  augmenter la productivitĂ© et la rĂ©silience des agriculteurs dans la rĂ©gion d’Aaethalio. Ce projet de grande ampleur lui permet aussi de tester dans des environnements contrĂ´lĂ©s des semences dĂ©veloppĂ©es dans ses laboratoires comme le riz dorĂ©.

Description et histoire de l’entreprise

Surya Inc. est une vieille institution au Jashuria. Issue de la fusion de plusieurs grandes familles de propriétaires terriens représentants les intérêts combinés de la production de nourriture et d’agriressources, Surya Inc. a toujours montré une approche double. A la fois ogre Gargantua quand il s’agit de s’emparer des possessions de ses voisins et d’une prudence rare quand il s’agit de maintenir ses acquis, le groupe a très largement profité de la réunification du Jashuria et de la possibilité offerte par la viabilisation de plus en plus de terres fertiles pour devenir le leader nazumi en matière de production agroalimentaire et de distribution.

Surya Inc. impose une concurrence brutale aux corporations voisine, aussi bien au niveau local qu'international. La corporation s'est illustrée dans certaines actions coup de poing pour viabiliser des territoires et exproprier de petits propriétaires. Si l'Etat a depuis longtemps mis le nez dans les affaires de Surya Inc. et vérifie qu'elle respecte les règles, son armée d'avocats reste particulièrement puissante, suffisamment pour donner du fil à retordre aux justices internationales. Surya Inc. investit massivement dans les territoires étrangers, notamment grâce à ses filiales, qui ont développé de nombreuses chaînes de fastfoods et de production de produits agroalimentaires.

La corporation est aussi propriétaire de nombreux laboratoires de biotechnologies. Lancé dans la recherche sur les OGM depuis des années, Surya Inc., par le biais de ses filiales, est parfaitement consciente du rôle crucial des OGM dans le futur de l’alimentation. Déposant de nombreux brevets, notamment le fameux « riz doré », la firme met un point d’honneur à créer des semences et des produits capables de s’adapter à de nombreux environnements, mais aussi capables de régler les carences de certaines populations. Les laboratoires de Surya Inc. sont parmi les plus développés du monde sur la recherche en biotechnologies liées à l’alimentation et la firme se veut leader dans le domaine.

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13. LE CHAT

  • Nom officiel de la sociĂ©tĂ© :Maturi Industries
  • Forme juridique : SociĂ©tĂ© anonyme
  • CotĂ©e en bourse : L’entreprise est cotĂ©e en bourse depuis les annĂ©es 50
  • Date de crĂ©ation : 1901
  • Adresse de son siège social :Le siège social de l’entreprise est toujours situĂ©e Ă  Agartha, depuis sa crĂ©ation.
  • Secteurs d’activitĂ©s : Maturi Industries se concentre sur la construction automobile. Ses activitĂ©s se dĂ©veloppent aussi bien auprès de la grande consommation que sur la crĂ©ation de modèles pour les industries.
  • Nombre de salariĂ©s : 320 000 salariĂ©s
  • PrĂ©sence Ă  l’international : La compagnie est prĂ©sente dans tous les continents, notamment par le biais de ses concessions automobiles.
  • Chiffre d’affaires : Non communiquĂ©
  • Capitalisation : Non communiquĂ©
  • Fonds propres : Non communiquĂ©
  • RĂ©sultat net : Non communiquĂ©
  • PDG si applicable : Le PDG de Maturi Industries est actuellement Pridyia Maturi, l’arrière-petit-fils de Sanjaak Maturi, le fondateur de l’entreprise. Les principaux actionnaires de l’entreprise sont gĂ©nĂ©ralement des fonds privĂ©s ainsi que les filiales tierces du groupes.
  • Contacter la sociĂ©tĂ© : Tout contact avec la sociĂ©tĂ© passe par son cabinet de relations publiques
  • Site internet : www.maturi.jas
  • Projet en cours ou prĂ©vus : Maturi Industries est leader dans le dĂ©veloppement des automobiles Ă©lectriques et des bornes de recharge. Le groupe mène des recherches clefs en matière de dĂ©veloppement des batteries longue durĂ©e.

Description et histoire de l’entreprise
L’histoire de l’automobile au Jashuria date du début du siècle dernier. La modernisation du pays, accompagnée par l’acculturation des Jashuriens à la culture fortunéenne et à ses apports, a permis d’amener dans le pays les premières automobiles. Immédiatement, l’appétit des ingénieurs jashuriens pour ces caissons de bois et de métal capable de transporter des particuliers a séduit les entrepreneurs. Les villes jashuriennes étant particulièrement bien développées et n’ayant rien à envier aux villes eurysiennes de l’époque, la voiture semblait un produit de choix, bien qu’onéreux, que les tranches les plus riches de la population pouvaient s’offrir et utiliser. A mesure que l’automobile séduisait les hautes-sphères du Jashuria, les ingénieurs du pays réfléchissaient à la manière de concevoir les premières automobiles spécifiquement jashuriennes, dans un pays dont la modernisation allait croissante.

Si les premières usines d’automobiles débutèrent la mise en production des modèles eurysiens dans les années 1900, il faut attendre la seconde décennie du XXe siècle pour que des départements de conception apparaissent dans les industries. Maturi Industries est issue de cette histoire de l’automobile jashurienne. Née de la fusion de plusieurs industries automobiles désireuses de s’émanciper des modèles eurysiens et de développer leur propre ligne de modèles, Maturi Industries s’est progressivement intégrée au marché jashurien en offrant aux couches moyennes l’accès à des véhicules de gamme standard, là où les automobiles eurysiennes étaient jusqu’alors des ouvrages d’art. Standardisant la production de modèles compacts et bon marché, Maturi Industries a malheureusement du faire face à de grosses pointures dès sa prise d’indépendance. Cantonnée au marché du véhicule bas et moyen de gamme pour les couches moyennes de la population, Maturi Industries, bien que dans une position pionnière au Jashuria, n’attint avec ses produits qu’un marché restreint pour l’époque : la voiture compacte pour les ménages de la classe moyenne.

Maturi Industries sut néanmoins se renouveler et dans les années 60, à mesure que la classe moyenne jashurienne progressait, commença à standardiser des produits de meilleure qualité, tout en conservant une image « tout public », là où d’autres marquent continuaient sur de la production haut de gamme. Refusant de se laisser enfermer dans un seul secteur, l’entreprise multiplia les contrats avec les transporteurs routiers et les exploitations agricoles, obtenant un savoir-faire dans les machines-outils motorisées et les transporteurs de fret. Ces contrats juteux lui permirent d’investir pleinement dans les départements de conception et de réfléchir à l’intégration de nouveaux modèles pour redorer son image face à des entreprises haut de gamme, mais tournées vers de la production de luxe. Après une longue traversée du désert face à de nouvelles marques bien décidées à laisser leur empreinte dans le paysage jashurien, Maruti s’est hissée de dure lutte en tête des constructeurs automobiles de la région en acquérant un contrat avec l’Arsenal de Guandi pour la fabrication de nouveaux véhicules militaires. Le département de recherche militaire de Maturi Industries offrit les liquidités nécessaires pour envoyer sur le marché des modèles familiaux aux lignes courbes et à faible consommation, qui redorèrent l’image de marque de Maturi Industries. Bien loin de refuser sa marque de « constructeur pour les pauvres », la marque s’est réinventée en assumant pleinement la création de modèles pour toutes les bourses, des modèles économiques et peu consommateurs de carburant.

Maturi Industries s’est rapprochée au tournant des années 90 des constructeurs fujiwans pour ajouter à son arsenal des compétences en électronique, anticipant le développement de l’électronique intégrée dans les voitures. De cette collaboration sont nées plusieurs filiales spécialisées dans l’intégration système et dont les expertises se sont déployées par la suite dans la robotique et l’optimisation des systèmes de production, voire même la domotique. Le rachat de l’entreprise fujiwane Ao-Hana a permis à Maturi de se lancer discrètement dans la production de modèles bien plus luxueux qu’à l’accoutumée, espérant ainsi sortir de son image destinée à un public moyen, pour toucher des acheteurs aisés. Bien que la concurrence soit rude, surtout au début du XXIe siècle, Maruti Industries dispose de divisions de conception dont la capacité de travail font pâlir les entreprises eurysiennes, tandis qu’elle contrôle la totalité de la chaîne d’assemblage par ses usines au Wanmiri et au Jashuria.

Rattachée à la Table de Bouddha de par son ancienneté, sa fidélité au Jashuria et sa prospérité économique, l’entreprise occupe désormais le siège du Chat au sein de l’organisation. Grâce à sa croissance et à la fiabilité de ses modèles, Maturi Industries s’est hissée dans les premiers constructeurs automobiles mondiaux.

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