21/02/2015
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[PERSONNALITES] Les personnalités influentes du Jashuria

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Les personnalités influentes du Jashuria

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« Le monde entier est un théâtre, et nous, hommes et femmes, n’en sommes que les acteurs. Et notre vie durant, nous jouons plusieurs rôles »

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SOMMAIRE

1. Siddhi Chalerm, directeur de la Porte Dorée
2. Lalana Preecha, Première Ambassadrice du Jashuria
3. Nantipat Sisrati, premier ministre du Jashuria
4. Mathawee Chaiyawan, directrice de Madavian Corporation
5. Apsara Sirisopa, ministre du Cercle Intérieur en charge des Grands Projets
6. Trinai Chavalit, commandant du Contingent d'Intervention Extérieur
7. Lamaï Bunmi, commandante du Pointe de Jade - Opération Saumon de Nacre
8. Sumalee Saelo, Seconde Ambassadrice du Jashuria
9. Dhani Shavate, amiral des forces navales jashuriennes dans la région d'Azur
10. Phara Wattana, Troisième Ambassadrice du Jashuria
11. Sarai Panomyaong, ancienne surintendante du Hall des Ambassadeurs et présidente de l’ONC
12. Parvati Mahajan, candidate jashurienne au Miss & Mister Mondial 2011
13. Parvati Mathai, Quatrième Ambassadrice du Jashuria


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CHALERM Siddhi

Portrait officiel

Siddhi Chalerm, Directeur de la Porte Dorée, la banque nationale jashurienne



Date et lieu de naissance : 30 septembre 1973 à Azur - Etat d’Azur
Nationalité(s): Jashurien
Origines sociales : Siddhi Chalerm vient de la classe aisée d’Azur.

Ethnie : Jashurien du nord
Taille : 1m75
Poids : 75 kg



Parcours universitaire :
  • Entrée à l’Université Publique d’Agartha - section économique (1991)
  • Licence en sciences économiques de l’Université Publique d’Agartha (1994)
  • Master en sciences économiques et politiques de l’Université Publique d’Agartha (1996)
  • Doctorat en sciences économiques de l’Université de Fortuna, en coopération avec l’Université Publique d’Agartha (1999)

Profession : Directeur de la Porte Dorée, la banque nationale jashurienne

Politisation :Siddhi Chalerm n’est pas politisé au sein de la classe politique jashurienne.



Fonctions occupées:

  • Gestionnaire de Fonds d’Investissements à Fortuna (1999-2002)
  • Gestionnaire de Fonds d’Investissements à Pemberton (2002-2005)
  • Adjoint au Directeur de la Porte Dorée (2005-2009)
  • Directeur de la Porte Dorée (depuis 2009)



Parcours :

Figure austère et compétente de la Porte Dorée, la banque nationale du Jashuria, Siddhi Chalerm s’est illustré sur la scène internationale pour sa politique avisée en matière d’économie globalisée et sur l’assouplissement des droits de douane sur le Grand Canal afin de favoriser le commerce mondial. Il entre sur sa quarantaine et semble au top de sa forme. Bien que jeune comparé aux grands pontes ayant jusqu’à présent régit la Porte Dorée, Siddhi est une personnalité impitoyable quand il s’agit de politique et d’économie. On peut le retrouver généralement dans les grands forums internationaux traitant d’économie avec ses analystes, qu’il préfère aux politiciens. Siddhi rigole peu, boit peu et reste concentré sur ses objectifs … du moins tant qu’il est en représentation pour les intérêts du pays. La rumeur veut qu’il soit en train de monter en parallèle de ses activités officielles un comité visant à l’établissement de nouvelles cryptomonnaies.

Siddhi Chalerm est né dans une famille aisée d’Agartha. Titulaire d’un diplôme d’économie et de sciences politiques de l’Université d’Etat d’Agartha et ayant fait ses armes en Eurysie, Chalerm voyage beaucoup, si bien qu’il passe plus de temps dans les airs et sur les tarmacs d’avion que sur le plancher des vaches. Il est marié à Chao-fa Boonmee, l’une des trois directrices du Musée National d’Art Contemporain du Jashuria. Si Siddhi et Chao-fa n’ont pas encore d’enfants, les deux amoureux ont une vie bien trop remplie pour penser à ça pour l’instant. Sa femme est sur la fin de sa trentaine et occupe une position enviable au sein du milieu culturel jashurien.

Siddhi est un Libéral convaincu. Ses années passées de par le monde lui ont fait comprendre qu’il y a tout intérêt à voir le Jashuria prospérer par une monnaie intelligemment négociée, des accords commerciaux réglés au cordeau et une maîtrise correcte de l’inflation. L’augmentation récente du PIB est une nouvelle qu’il prend très à cœur. C’est une preuve pour lui que tout fonctionne comme prévu. Le directeur de la Porte Dorée ne fait pas parti de la Table de Bouddha, son rôle public l’empêchant d’en être adhérent. Il conserve toutefois de très bonnes relations avec les membres de l’organisation. Après tout … les grandes entreprises font les grandes économies. Siddhi est Hindouiste, mais ne pratique que très peu le culte de ses parents et de ses ancêtres.

Siddhi Chalerm est à la manoeuvre en novembre 2013 lorsque le Wanmiri lance son opération de modernisation du pays. Faisant pression sur le gouvernement jashurien pour débloquer les fonds d'investissement dormant dans les coffres de la Porte Dorée depuis des années, le président de la Porte Doré est parvenu à sécuriser des investissements pouvant rapporter gros au pays. Le Directeur de la Porte Dorée est en train de rassembler de nouveaux fonds pour que le Wanmiri soit éternellement redevable au Jashuria, et surtout, pour que les entreprises jashuriennes puissent s'implanter durablement dans le pays avant que les autres pays n'en fassent de même. Sa stratégie est correctement huilée, mais la présence de la Table de Bouddha en arrière-plan fait partie de ses principaux soucis. On ne sait jamais véritablement ce que la Table peut faire, ni quelles sont ses véritables intentions.
PREECHA Lalana

Portrait officiel

Madame Lalana Preecha, Première Ambassadrice de la République du Jashuria



Date et lieu de naissance : 30 septembre 1975 à Azur - Etat d’Azur
Nationalité(s): Jashurienne
Origines sociales : Lalana Preecha vient d’une famille modeste d’Azur

Ethnie : Jashurienne du nord
Taille : 1m70
Poids : 70 kg



Parcours universitaire :
  • Entrée à l’Université Publique d’Azur - section relations internationales (1993)
  • Licence en relations internationales de l’Université Publique d’Azur (1996)
  • Master en relations internationales et politiques de l’Université Publique d’Azur avec une année d’Erasmus à l’université de Fortuna (1998)

Profession : Première Ambassadrice du Jashuria

Politisation :De par son rôle institutionnel, Lalana Preecha n’est pas politisé au sein de la classe politique jashurienne. Il est de notoriété commune qu’elle est une Libérale.



Fonctions occupées:

  • Attachée de l’Ambassade jashurienne au Fortuna (1998 - 2002)
  • Adjointe de la Première Ambassadrice Sarai Panomyaong (2002-2007)
  • Première Ambassadrice du Jashuria (depuis 2007)


Parcours :

Souriante et avenante, Lalana Preecha est l’ambassadrice officielle du Jashuria auprès des Nations Unies. Détentrice d’une thèse en droit international, cette personnalité pétillante et rusée a fait ses armes dans l’humanitaire et auprès de grands organismes internationaux avant d’être propulsée lors du dernier changement de gouvernement à la tête des diplomates jashuriens. Sa personnalité et son bon caractère en font une diplomate appréciée, mais il ne faut pas s’y tromper : elle reste rusée comme un renard et sait obtenir ce qu’elle veut.

Lalana Preecha vient d’une famille pauvre d’Azur, dans le nord du pays. Ses parents sont de petits fonctionnaires d’Etat ayant élevé trois enfants avec de maigres ressources. Brillante élève, elle fut repérée assez rapidement pour son engagement dans les politiques locales de la métropole du nord. Détentrice d’une bourse d’étude, elle fut la première de sa famille à entrer à l’université et à profiter du système universitaire d’Azur. Faisant le reste de ses études à l’international, elle a rapidement gravi les échelons du monde diplomatique en travaillant auprès de l’ancienne première ambassadrice du Jashuria plusieurs années passées au sein de la prestigieuse ambassade jashurienne au Fortuna. Elle fut aux côtés de Nantipat Sisrati pour porter avec les militants le projet de réforme de la Constitution jashurienne.

Lalana fut intronisée ambassadrice du Jashuria après le départ de Sarai Panomyaong de la scène diplomatique jashurienne. Fidèle supportrice de l’action de Sisrati en tant que libéral-démocrate, elle fut bien entendue toute désignée pour remplacer l’ancienne ambassadrice lors de la rotation des mandats. Sa bonhommie naturelle et son aptitude à rester dans le consensus lui ont permis de rester légitime aux yeux du Ministère des Affaires Etrangères et jusqu’à présent, personne ne s’est plaint de son action. Dans les coulisses du pouvoir, on murmure que Lalana Preecha est celle qui souffle à Nantipat Sisrati la politique extérieure du pays. Etant donné le pouvoir et l'importance qu'a pris le Hall des Ambassadeurs ces dernières années, un observateur avisé serait tenté de croire que l'Ambassadrice est bien plus qu'un simple relais de communication entre le Premier Ministre et le monde extérieur, mais bel et bien l'instigatrice de la politique extérieure du Jashuria.

Lalana est fidèle aux valeurs de son pays et particulièrement portée sur l’idée de méritocratie. Elle finance officiellement un programme d’aide aux études pour les jeunes jashuriens prometteurs désireux de s’inscrire dans un parcours dans le milieu des affaires étrangères. Passionnée d'haïkus, il lui arrive de signer quelques-unes de ses missives avec ces petits poèmes jashuriens fabriqués à la volée. Elle s'est aperçue, après avoir laissé trainer ses oreilles dans les ambassades, que certains représentants pensent qu'elle est capable de lire dans les pensées de ses interlocuteurs. Il n'en est rien ... fort heureusement.

En 2004, Lalana Preecha s'est illustrée dans sa gestion des dossiers avec le Lofoten, Saint-Marquise et le Banairah pour l'établissement de nouvelles routes commerciales et de partenariats de développement conjoints. La Première Ambassadrice continue depuis lors à mettre les intérêts du Jashuria en avant dans de nombreuses situations. On la retrouve à la manœuvre lors du premier congrès pan-afaréens, mais aussi dans les négociations de l’ONC, ou encore dans les relations avec le Burujoa. C’est sous son impulsion que le pays s’est considérablement ouvert à l’international et peut aujourd’hui prétendre au titre de grande puissance mondiale.

A mesure que la fin de son mandat approche, la question est de savoir qui remplacera l’ambassadrice Preecha au titre de Première Ambassadrice du pays. Le titre est généralement porté pour une dizaine d’années et l’année 2014 voit normalement le terme de son mandat et son redéploiement sur d’autres scènes. La refonte du système diplomatique jashurien en 2012 et le déploiement des hauts-diplomates sur les secteurs continentaux a cependant redonné une nouvelle vigueur à son mandat. La primauté de la Première Ambassadrice n’est aujourd’hui plus que sur le papier, car elle partage désormais le pouvoir avec plusieurs autres hauts-diplomates, un pour chaque continent. Rattachée au secteur eurysien, qu’elle connait bien, elle n’est plus à la manœuvre sur le secteur nazuméen, secteur désormais à la charge de Parvati Mathai. Cette situation et ce redéploiement de la diplomatie jashurienne a permis à Lalana Preecha de prolonger son mandat, cette fois-ci en Eurysie, où elle est plus efficace. Elle reste cependant une actrice de poids dans le continent nazuméen et est régulièrement appelée pour conseiller les stratèges de l’Etat jashurien sur le secteur, au grand damn de Parvati Mathai.
3. Nantipat Sisrati, Premier Ministre du Jashuria

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Nantipat Sisrati, Premier Ministre du Jashuria


Cinquantenaire lors de sa nomination par le Cercle Extérieur du Mandala, Nantipat Sistrati fait parti de ces politiciens ouverts sur la mondialisation et acculturé aux idées libérales, ayant promis à l’assemblée élue de mener le pays vers de grandes épopées commerciales et technologiques … Bref … comme tout politicien ! Si ses discours peuvent sembler creux et plein de bons sentiments, il n’est pas arrivé au pouvoir par hasard et connait parfaitement la politique intérieure de son pays pour savoir quels leviers tirer pour parvenir à ses fins. Nantipat n’est peut-être pas le meilleur premier ministre du Jashuria ayant jamais existé, mais il sait s’entourer convenablement. C’est un grand amateur de vins et il aspire avant tout à une vie tranquille après son mandat politique.

Nantipat est né dans la région des Lacs. Ses parents faisaient parti des grands propriétaires terriens d’Ankévran et possédaient de nombreuses plantations de fruits exotiques. Fervent bouddhiste, Nantipat était promis à un grand avenir dans le domaine agroalimentaire, mais s’est toujours rêvé chef de parti. Faisant ses armes dans la politique locale d’Ankévran, il fut élu maire de la métropole centrale dans les années 80, sous l’égide du parti majorité, des modérés centristes un peu mou. Ne brillant pas par ses idées radicales, mais étant un politicien patient et avisé, il mena tranquillement sa barque en tant que maire d’Ankévran et sut éviter les scandales politiques. Son plus gros échec fut cependant sur la politique sanitaire de la ville, l’essentiel de son budget devant couvrir les frais du développement des infrastructures locales et ne laissant que peu de place au développement des hôpitaux. Si aujourd’hui les Jashuriens lui ont pardonné son manque de gestion de la santé publique, il s’est cependant illustré pour son flair en matière de commerce extérieur et de logistique.

Sentant sa réélection lui échapper au tournant des années 90, Nantipat manoeuvra l’échiquier politique pour devenir un représentant du Cercle Extérieur et prendre une position de plus en plus centrale dans son parti. Jamais premier, toujours bon second, il se positionna comme une personnalité modérée, sympathique et moins clivante que les principaux candidats de son parti. Cette attitude le plaça au-dessus de la mêlée et lui permis, à l’aube des années 2000, d’obtenir le poste de Premier Ministre du Jashuria, avec un programme politique parvenant à séduire essentiellement les Libéraux et les Modérés, tout en donnant de menus gages aux Nationalistes … Soutenant la rédaction de la Constitution du Nouveau Millénaire, il ne fut cependant pas écarté comme les autres rédacteurs à la fin du vote, pour obtenir un poste au Cercle Intérieur. Elu plus ou moins par défaut, avec un programme en demi-teinte, il fut le candidat du compromis de la Nouvelle Constitution … Ni trop ambitieux, ni trop mou … à l’image de sa carrière. Rien ne le prédestinait à devenir Premier Ministre, mais il eut la chance d’être le plus consensuel au meilleur moment, quand le Jashuria cherchait à stabiliser ses nouvelles institutions.

Nantipat n’est pas un grand idéaliste. Il aime le pouvoir et le confort qu’il lui apporte, mais il aime aussi son pays et ses gens. Il est convaincu qu’il peut apporter une pierre à l’édifice avant la fin de son mandat, mais sait très bien qu’il ne sera pas réélu. Le Jashuria a besoin d’un homme de plus grande trempe pour manœuvrer dans les eaux internationales. N’ayant pas les deux pieds dans le même sabot, il ambitionne de retourner à Ankévran après son mandat, pour briguer à nouveau le poste de maire, auréolé de ses lauriers d’ancien ministre. Nantipat Sisrati est un membre reconnu des Accomplis, ce qui lui permet de manoeuvrer le Cercle Extérieur avec aisance, étant donné le nombre important de leurs représentants.


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4. Mathawee Chaiyawan, directrice de Madavian Corporation

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Mathawee Chaiyawan, directrice de Madavian Corporation

L’architecture et la maîtrise du territoire revêtent une importance particulière dans le pays, et ce depuis des millénaires. Il n’est donc pas étonnant que l’une des plus importantes entreprises de construction du monde soit Jashurienne. Madavian Corporation est connue pour ses constructions de qualité et son rayon d’action.

Mathawee Chaiyawan est l’une des directrices les plus actives du conglomérat bâtisseur, chargée des réponses aux appels d’offres à l’international, en particulier lorsqu’il s’agit de grands projets continentaux. Personnalité avide de nouvelles opportunités et de gros contrats bien juteux, la demoiselle est connue pour diversifier ses atouts en investissant dans des entreprises internationales.

Mathawee est une agarthienne pure souche. Sa famille dirige le conglomérat Madavian Corporation depuis des générations et assure les principaux chantiers publics du pays. Ingénieure de formation, elle a acquis la légitimité nécessaire pour piloter l’entreprise avec le conseil d’administration à la suite de nombreuses expériences de direction dans le monde. Fille d’une famille nombreuse, elle est parvenue à se hisser au-dessus de ses frères et sœurs, les écartant progressivement du pouvoir.

Madame Chaiyawan est une des membres de la Table de Bouddha. Elle occupe la position du bœuf, comme son père avant elle, et son grand-père avant lui. Elle n’était pas prédestinée à prendre la succession de la famille, mais étant donné que son frère ainé préfère passer son temps comme jet-setter à l’étranger plutôt que de s’intéresser à la pierre, au verre et au béton, le choix le plus pragmatique fut de confier les rennes du comité de direction à une personne capable comme Mathawee.

Mathawee Chaiyawan ambitionne de développer le conglomérat hors du Nazum. Actuellement, Madavian Corporation est sur la short-list de nombreux projets d’ampleur à l’international et elle voit ça comme une opportunité en or pour porter le savoir-faire jashurien hors des limites du continent. Sa dernière action d'importance est l'établissement d'une tête-de-pont des activités de la compagnie sur le secteur de Nulle Part à Kotios, où les deux navires cargos de l'entreprise s'activent à rendre la zone habitable.

En Mai 2005, Mathawee Chaiyawan propose aux Eglises Australes Unifiées de réaliser l'autoroute méridionale dans les terres antarctiques. Ce projet, validé par les EAU en décembre 2005, annonce de grandes perspectives pour le développement du BTP jashurien à l'international.
5. Apsara Sirisopa, ministre du Cercle Intérieur en charge des Grands Projets


Apsara
Apsara Sirisopa, ministre du Cercle Intérieur en charge des Grands Projets

Quarantenaire rusée comme un renard, Apsara Sirisopa est la ministre du Cercle Intérieur en charge des Grands Projets. Sa famille est originaire d’Ashtra et du Nikawa et vit au Jashuria depuis maintenant deux générations et revendique fièrement son métissage. Née à l’étranger, ses parents sont des ingénieurs ayant fait fortune dans l’innovation technologique autour des moteurs à réaction.

Apsara est une figure assez peu commune dans le paysage politique jashurien. Après une carrière en tant que chargée d’investissement dans une grande compagnie eurysienne, Apsara Sirisopa s’est intéressée à la politique. Etrangement, si ses activités lui auraient permis d’atteindre une position enviable chez les plus libéraux et les plus mondialistes du Cercle Extérieur, l’actuelle ministre en charge des Grands Projets a rejoint le réseau des partis étatistes, partisans d’une intervention forte de l’Etat dans le commerce et dans le pilotage économique de la nation jashurienne.

Peu convaincue par un libéralisme économique totalement débridé et sans contrainte, madame Sirisopa considère que l’Etat est une entreprise et qu’en tant que telle, il doit être capable de concurrencer les grandes mégacorporations sur leur terrain. C’est au cours de l’élection des nouveaux mandataires à l’issue de la ratification de la nouvelle Constitution que Sirisopa, bien que son parti soit minoritaire au sein du Cercle Extérieur, fut désignée pour prendre en charge le développement des Grands Projets.

Aspsara Sirisopa connait bien le fonctionnement du budget et sait placer ses pions avec sagesse. Elle sait que ses positions interventionnistes sont minoritaires au sein de la politique jashurienne, mais entend bien montrer que le Jashuria ne doit pas céder aux grandes firmes et peut se révéler être un investisseur avisé, capable de soutenir l’économie grandissante du pays. Elle a, malgré ses divergences d’opinion, l’approbation du Premier Ministre sur les investissements qui doivent être réalisés.


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6. Trinai Chavalit, commandant du Contingent d'Intervention Extérieure

La quarantaine bien tassée et les cheveux grisonnants, le commandant Trinai Chavalit est le responsable du Contingent d'Intervention Extérieure du Jashuria. Formé à l'occasion de l'intervention à Kotios, le CIE est une unité à peine formée et encore peu expérimentée, qui va faire ses premières armes dans la cité eurysienne indépendante. Trinai est un militaire de carrière, qui, même s'il n'a pas vécu les guerres du Jashuria, fait parti des militaires de confiance de l'Etat-major.

Trinai prend sa charge au sérieux, mais le poids des responsabilités est quelque chose qu'il a du mal à maîtriser, même à son âge. Se reposant beaucoup sur ses aides de camp, il est un commandant patient et préférant les tactiques de défense à l'attaque. Les simulations et les exercices de combat qui lui ont valu son grade sont formels : Trinai Chavalit est très bon pour défendre des positions et organiser la logistique d'un siège. Il est cependant d'une compétence standard pour tout ce qui correspond aux grandes manoeuvres offensives.

Malgré la victoire de Kotios sur les sécessionnistes et les troupes franciscaines, les soldats jashuriens commandés par Trinai Chavalit sont principalement restés à défendre le secteur de Nulle Part dirigé par la Madavian Corporation. L'essentiel de l'action a été menée par les miliciens de l'Union des Travailleurs, que l'armée jashurienne a fourni en armement. Si Trinai Chavalit regrette de ne pas avoir participé pleinement aux combats, il reste néanmoins content de ne pas avoir eu à sacrifier la vie de ses hommes. Néanmoins, il reste conscient que la force de l'armée jashurienne reste encore à prouver au reste du monde et prépare au mieux ses hommes pour que si jamais la guerre survient, le Jashuria en sorte vainqueur.

Le commandant Trinai Chavalit a participé à la mission de sécurisation du port de Nevskigorod lors de l'opération de résolution de la crise du Prodnov. Il s'y est illustré pour sa compétence en maintien de l'ordre et a été décoré pour avoir réalisé une "guerre propre" - comprendre une guerre sans victimes. Une partie de son contingent a été stationné pendant quelques temps à Nevskigorod après la cessation des hostilités avant d'être redéployé sur d'autres théâtres d'opération.

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7. Lamaï Bunmi, commandante du Pointe de Jade - Opération Saumon de Nacre

Quarantenaire sèche et impassible, la commandante Lamaï Bunmi fait partie de cette génération d’officiers de la marine jashurienne ayant vécu avec intérêt le développement de la flotte jashurienne après des années passées sur de vieux croiseurs en mauvais état. Fière de commander la Pointe de Jade, la corvette flambant neuve de l’amirauté, Lamaï Bunmi est aussi responsable de l’opération Saumon de Nacre, visant à chasser les pirates se terrant dans l’archipel limésien et les eaux internationales jouxtant la baie d’Azur.

Dotée d’une solide connaissance des eaux territoriales septentrionales et d’un bon sens de l’organisation, Lamaï Bunmi reste cependant prudente. La Thalassocratie Limésienne, bien que sur le déclin, reste une nation particulièrement bien rompue aux exercices en mer. Le fait qu’elle n’ait pas encore pris des mesures contre la piraterie est probablement le calme avant la tempête. La commandante Lamaï Bunmi s'est illustrée en décembre 2005 par la capture rondement menée de l'Embrun, un navire pirate particulièrement connu pour ses attaques réussies contre les navires de commerce depuis plus de cinq ans. Les données récupérées dans l'Embrun lui ont permis de découvrir la présence d'une base pirate cachée dans l'archipel limésien.

Suite à l'affaire des tensions avec la Listonie, le commandant Bunmi a été retiré de l'opération Saumon de Nacre - qui s'est soldée par une montée en compétence de la marine jashurienne - et a été placée au commandement de la Pointe de Jade pour effectuer des manoeuvres militaires dans la Baie d'Azur afin de veiller à ce que la présence militaire listonienne soit nulle dans le secteur.

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8. Sumalee Saelo, Seconde Ambassadrice du Jashuria

Sumalee Saelo
Madame Sumalee Saelo, Seconde Ambassadrice de la République du Jashuria


Austère et directe, Sumalee Saelo est la Seconde Ambassadrice de la Troisième République du Jashuria. Issue d’une grande famille d’anciens aristocrates du Jashuria liés à de grandes et augustes Pagodes, Sumalee Saelo est le reflet de la noblesse contemporaine du pays. Ayant vécu dans un cocon doré et s’étant illustrée dans ses études en droit international et sciences politiques, Sumalee Saelo aurait pu faire une très belle carrière dans une Pagode réputée, mais elle fut repérée par la Sérénité, qui en fit une agente dévouée à la défense des intérêts du pays à l’extérieur comme à l’intérieur. Accomplissant ses missions sans rechigner, Sumalee a une profonde connaissance des activités de la Sérénité et de la manière dont l’organisation opère pour défendre les intérêts du pays.

Après une expérience de terrain et la gestion de dossiers particulièrement risqués, Sumalee Saelo fut placée au service de Nantipat Sisrati pour former la nouvelle cohorte du Hall des Ambassadeurs du Jashuria. Si elle n’apprécie guère Sisrati et encore moins la Première Ambassadrice, Sumalee Saelo voit dans sa position une opportunité pour déployer la raison d’Etat sur de nouveaux fronts. Efficace, bien qu’austère et froide, Sumalee Saelo est principalement déployée sur les dossiers où les sourires de Lalana Preecha ne gagneront pas les cœurs.

Sumalee est actuellement employée par le Jashuria pour superviser le processus de transition démocratique de l'Alephie. Accompagnée d'agents de Sérénité et d'experts capables d'aiguiller le pays dans la bonne direction, la Seconde Ambassadrice entend bien faire comprendre à l'Alephie que le Jashuria entend peser dans les décisions qui concernent le Nazum. Sumalee Saelo est décolonialiste. Sa famille étant issue de la grande aristocratie jashurienne, elle a eu maille à partir avec les empires coloniaux pendant des siècles. Si traditionnellement, la famille Saelo est proche des Fortunéens et des Listoniens, par mariages ou par accords commerciaux, la jeune génération à laquelle appartient Sumalee souhaite profiter de la position grandissante du Jashuria pour reprendre les territoires des anciens colonisateurs et leur faire comprendre qui domine réellement le Nazum. Mais contrairement aux décolonialistes timbrés et sans moelle épinière, Sumalee est une femme prudente. Elle sait parfaitement comment fonctionnent les rouages de la politique et sait qu'il faudra plus que des manifestations et des coups de colère pour expulser les anciens colonisateurs du Nazum.

L'Ambassadrice de Glace, comme on la surnomme parfois dans les cercles des ambassades, n'est pas quelqu'un de commode, mais sait parfaitement tirer son épingle du jeu et mener une conversation pour vous faire comprendre qu'il est dans votre intérêt de coopérer. Elle n'apprécie ni les flagorneurs, ni les effets de cour et aime que l'on aille droit au but. Sumalee Saeloo est la nièce de Sarai Panomyaong. Elle et sa tante ont peu apprécié que le titre de Première Ambassadrice revienne à la parvenue Lalana Preecha plutôt qu'à Sumalee, mais le titre de Première Ambassadrice étant particulièrement exposé, les deux femmes ont fini par y trouver leur compte.

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9. Dhani Shavate, amiral des forces navales jashuriennes dans la région d'Azur


Dhani Shavate
Dhani Shavate, amiral des forces navales jashuriennes dans la région d'Azur


Cinquantenaire bien portant et charpenté, Dhani Shavate est l'amiral des forces navales jashuriennes stationnées dans la région d'Azur. Volontaire et sûr de lui, l'amiral Shavate est issu d'une longue lignée d'hommes de la mer : pêcheurs, prospecteurs, puis plus récemment, militaires de carrière. Formé à l'école navale d'Agartha, il a débuté sa carrière dans la marine marchande avant d'embrasser la carrière de militaire où ses connaissances de terrain le firent se distinguer de ses pairs. Doté d'un bon sens tactique et d'une profonde connaissance de la flotte jashurienne, il a su convaincre l'Etat-major de lui confier le commandement de la force navale jashurienne de la région d'Azur.

Fin amateur de cigares, l'amiral Shavate est un homme qui ne mâche pas ses mots et apprécie ses subordonnés les plus honnêtes. Fier de la discipline qu'il a su instaurer sur ses bâtiments, il ne recule devant rien pour faire en sorte que ses équipages soient les mieux formés possibles afin de parer à toute éventualité. Sous son commandement, les forces navales du nord du Jashuria se sont grandement améliorées dans leur compréhension des nouvelles tactiques de combat naval. L'arrivée des sous-marins de dernière génération dans la flotte est pour lui une aubaine à saisir.

En avril 2006, Dhani Shavate s'est illustré lors des exercices militaires menés dans les eaux internationales bordant les eaux de Jadis avec le Lofoten. Ses troupes en ressortent avec une expérience de terrain et de combat dans les zones froides du globe. Ces actions conjointes avec le Segren et le Lofoten ont consolidé l'alliance militaire entre les trois pays. La disparition du Segren n'a pas ébranlé la positivité sans faille de l'amiral, qui voit désormais dans le rapprochement avec l'empire du Burujoa un moyen de faire de l'Azur le fer-de-lance de l'amirauté jashurienne. Shavate entretient une rivalité cordiale, mais ferme avec son homologue de l'Océan des Perles.

Le renforcement de la marine jashurienne est une aubaine pour Dhani Shavate. Le commandant des forces maritimes jashuriennes est persuadé que le destin du Jashuria se joue sur le contrôle des mers et pousse l'Etat-major à continuer ses efforts pour faire de la flotte jashurienne la plus développée du Nazum.

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10. Phara Wattana, Troisième Ambassadrice du Jashuria

Phara Wattana
Madame Phara Wattana, Troisième Ambassadrice de la République du Jashuria


La Troisième Ambassadrice du Jashuria est une figure discrète, si on la compare aux deux premières ambassadrices du pays. Phara Wattana beau être jeune, elle dispose d’un important réseau de connivences et d'informateurs de tous poils dans le monde entier. Socialement investie en Eurysie et d'Aleucie, la demoiselle issue d'une famille d'expatriés jashuriens basés à Carnavale a fait des pieds et des mains pour pouvoir représenter les intérêts de la diaspora jashurienne. Cette dernière, nombreuse et éparpillée, à durant longtemps réclamé un droit à la représentation au sein de la république jashurienne, chose qui s'est faite progressivement. Phara Wattana, contrairement à Sumalee Saeloo qui est issue de l'ancienne aristocratie, a vécu l'essentiel de sa vie dans le confort des enclaves jashuriennes à l'étranger.

Diplômée en Alguarena et ayant participé à de nombreuses ONG en Afarée et en Eurysie, Phara Wattana est celle qui représente le mieux les intérêts de la diaspora jashurienne au sein du Hall des Ambassadeurs. Connaissant parfaitement la vie des expatriés, elle n'a pas son pareil pour manipuler les autres et parvenir à leur faire accepter les investissements jashuriens.

Phara Wattana fut l'une des premières concernées par les évènements qui frappèrent la communauté alguareno au Norstalkian. Amoureuse de ce peuple, elle a fait parti des ambassadeurs ayant poussé le Hall des Ambassadeurs et le Cercle Intérieur à prendre une position officielle quant aux actions indignes du Norstalkian sur les ressortissants alguarenos sur son territoire.

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11. Sarai Panomyaong, ancienne surintendante du Hall des Ambassadeurs et présidente de l’ONC


Sarai

Madame Sarai Panomyaong, ancienne surintendante du Hall des Ambassadeurs et candidate à la présidence de l’ONC

Née dans le centre du Jashuria dans les années 40, Sarai Panomyaong s’est illustrée pour son parcours en tant qu’experte en droit international. Anciennement Surintendante du Hall des Ambassadeurs -institution qu’elle a dirigé pendant près de quinze ans - , la Dame de Soie est une figure connue mais discrète de la scène diplomatique pour ses qualités de médiatrice et de diplomate polyglotte. Ayant formée la plupart des ambassadeurs jashuriens de ces dernières années, la Dame de Soie est particulièrement attentive aux évolutions du monde contemporain et cherche à éviter à tout prix que la situation ne s’embrase.

Forte de son expérience en tant que figure dans l’ombre des diplomates jashuriens, l’ancienne Surintendante du Hall des Ambassadeurs a été proposée par la Troisième République du Jashuria pour prendre la direction de l’Organisation des Nations Commerçantes. Sous sa présidence, elle portera un programme d’apaisement des tensions avec l’Union Albienne et le Liberalintern afin de laisser à l’ONC la possibilité de rattacher les nations indépendantes à sa sphère d’influence. Son objectif est de faire en sorte que les grandes organisations internationales ne s’occupent pas des affaires de l’ONC et retournent à leurs luttes intestines tandis que l’organisation approfondit son cercle d’influence dans les petites nations, notamment via un soft power plus adapté que la rhétorique guerrière.

L’enjeu de Sarai Panomyaong est de redorer le blason de l’ONC en montrant au monde entier la prospérité des nations appartenant à son réseau d’influence et en mettant en avant l’idée que l’ONC, c’est la paix. L’ancienne Surintendante est cependant loin d’être naïve sur la capacité de l’ONC à affronter pied à pied ses adversaires et à en ressortir victorieuse, mais elle sait pertinemment que la guerre est une solution ayant un manque clair d’élégance. Sous sa présidence, l’ONC oeuvrera sur deux axes clairs : l’extension de ses relations diplomatiques et la mise en place d’une stratégie de soft power déterminée et efficace.

Il est à noter que Sarai Panomyaong est la tante de Sumalee Saeloo, la Seconde Ambassadrice du Jashuria.

Sarai Panomyaong a été élue à la présidence de l'ONC en 2009 et tient son rôle malgré les revers qu'a subi l'organisation à l'international. Bien que sa ligne diplomatique prône l'apaisement, son mandat est entaché de plusieurs dossiers hérités de ses prédécesseurs, à savoir la situation au Prodnov et l'intervention militaire au Kronos.

Depuis la fin de son mandat, Sarai Panomyaong continue de servir l'Organisation des Nations Commerçantes en tant que représentante de la Troisième République du Jashuria. Son expertise à la tête de l'ONC en fait une figure respectée, malgré un mandat houleux, placé à la fois sous le signe du conflit et de la diplomatie.

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12. Parvati Mahajan, Miss Mondiale 2011


Parvati Mahajan 2

Parvati Mahajan, lors du concours de Miss & Mister Mondial 2011

Mademoiselle Parvati Mahajan est née à Azur dans la Troisième République du Jashuria il y a de cela 27 ans. Passionnée par l’ingénierie informatique, elle a suivi l’intégralité de ses études à l’Université d’Etat d’Azur avant de rejoindre le programme spécialisé dans la recherche sur les intelligences artificielles à Agartha. Elle travaille depuis dans le domaine de l’intelligence artificielle et s’est spécialisée dans le développement de solutions pour le milieu éducatif, notamment en zones de crises humanitaires.

Parvati est profondément attachée à la religion hindoue et aux traditions jashuriennes. Repérée par les membres du comité jahsurien de Miss Mondial, Parvati s’est impliquée dans la promotion de nombreux festivals traditionnels jashuriens et s’est lancée dans la promotion de programme de promotion de la santé publique en parallèle de son travail. Praticienne avertie de la méditation, elle est aussi une danseuse accomplie des danses traditionnelles jashuriennes, depuis sa plus tendre enfance.

En plus de sa carrière dans les hautes technologies, Parvati s’est engagée dans des œuvres sociales. Elle a fondé une organisation à but non lucratif visant à fournir une éducation technologique aux enfants défavorisés des zones rurales du Mokhaï. Elle croit fermement que l'accès à l'éducation est la clé pour briser le cycle de la pauvreté et s’investit pleinement dans cette dynamique.

Parvati voit sa participation à Miss Mondial comme une opportunité unique pour promouvoir la représentation des femmes nazumies dans le monde et pour sensibiliser le public aux causes liées à l’éducation des plus démunis. Elle espère que la plateforme de Miss Mondial permettra d’inspirer des jeunes filles à poursuivre leurs rêves et à devenir des battantes dans un monde de plus en plus propice à l’émancipation féminine. Elle espère que cette plateforme servira à promouvoir les activités de ses sponsors officiels, engagés dans la promotion de la santé publique et dans l’éducation populaire dans les territoires les plus défavorisés du Nazum.

La demoiselle est aussi connue du grand public pour quelques apparitions dans des films jashuriens, notamment le reboot du célèbre “L’amour sur le canal”, où elle apparait dans le rôle secondaire de Jamila, interprété dans les années 50 par la ravissante Ayshwara Mehari. Elle a aussi prêté sa voix à plusieurs dessins animés éducatifs et apparaît régulièrement dans l’émission “C’est pas Brahmane”, l’émission scientifique jashurienne comme la voix-off présentant l’émission aux côtés des très connus Féred et Jamil.

Parvati Mahajan a été élue Miss Mondial 2013 à Azur, capitale de la mode pour l'année 2013. Elle est la première "Première dauphine" jashurienne de l'histoire de la Troisième République du Jashuria. Depuis sa nomination, la jeune femme a commencé une tournée des associations caritatives, comme le veut la tradition, afin de diffuser le prestige de sa fonction tout autour du globe. Elle est depuis retournée à ses activités, auréolée du prestige de son titre, ce qui lui permet d'organiser de belles levées de fonds et de se consacrer à sensibiliser le public à ses actions pour les plus démunis.

Parvati Mahajan est une Jashurienne d’origine kodava. Mesurant 1,70m, la demoiselle présente des traits délicats et avenants. Sa peau couleur caramel et ses longs cheveux noirs sont caractéristiques de l’ethnie kodava, de même que ses yeux d’un marron profond. Parvati a le visage souriant et rond et présente une certaine grâce dans ses gestes et ses expressions. Mademoiselle Mahajan s’exprime avec un timbre de voix clair et est parfaitement à l’aise à l’oral. Son air candide et honnête est parfaitement adapté à une compétition comme celle de Miss Mondial. Bien qu’elle soit loin des grands canons de la beauté, elle présente une certaine authenticité et une bonhomie naturelle qui la rend immédiatement sympathique.

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1911
13. Parvati Mathai, Quatrième Ambassadrice de la Troisième République du Jashuria


Parvati Mathai

Parvati Mathai, Quatrième Ambassadrice de la Troisième République du Jashuria

Madame Parvati Mathai est la Quatrième Ambassadrice de la Troisième République du Jashuria. Nommée à ce poste en 2012, sa nomination fut le fruit de nombreuses négociations au sein du Hall des Ambassadeurs pour savoir qui représenterait le visage souriant et avenant du Jashuria dans la politique du Nazum. Madame Mathai est issue d’une famille ordinaire d’Azur. Représentante parfaite du système d’ascension sociale jashurien, elle est passée par le cursus honorum du Hall des Ambassadeurs après plusieurs années à travailler comme directrice générale d’une firme jashurienne spécialisée dans les relations publiques. Passionnée par les relations internationales et d’une nature joviale et sociable, sa nomination au poste de Quatrième Ambassadrice a permis de rajouter une nouvelle corde à la lyre bien fournie de l’arsenal diplomatique jashurien.

La nomination de dame Mathai à la tête des relations au sud-est du Nazum fait suite au départ à la retraite du précédent tenant du titre, monsieur Amar Panja. Ayant occupé le poste pendant plus de 20 années consécutives, ce soixantenaire avait formé nombre des diplomates jashuriens durant sa période de poste. Il assure aujourd’hui la passation des affaires entre Mathai et lui.

Très imprégnée de la culture hindoue du Jashuria, Parvati Mathai est une figure qui incarne les traditions religieuses du pays à l’étranger. Si Lalana Preecha incarne la modernité du régime, si Sumalee Saeloo incarne son attitude combattive et si Pharah Wattana incarne la figure de la diaspora étrangère, Parvati Mathai est là pour représenter les traditions séculaires d’un pays aux multiples cultures, qui cherche à s’imposer dans la péninsule par son soft power.

Parvati Mathai étant la Quatrième Ambassadrice du Jashuria, elle est en charge des relations diplomatiques sur le secteur du Nazum. Cette charge était autrefois occupée par Lalana Preecha, qui elle, s'est redirigée vers le secteur eurysien.

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