26/02/2015
09:17:00
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[RP OUVERT] Salle Kira Ceder (Conference de presse), Norja

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Salle Kira Ceder

Salle Kira Ceder


La salle Kira Ceder, du nom de la première femme à être devenue ministre en Tanska en 1939 est la salle des conférences de presse au sein de l'hôtel de Svølbir entre le Congres Fédéral et le palais gouvernemental. Ici les journalistes du monde entier peuvent adresser leur question au gouvernement. De manière générale, c'est au porte parole du gouvernement que reviendra la tâche de répondre à ces questions. Un ou une ministre peuvent toutefois y répondre.

Tous les journaux peuvent entrer ici néanmoins certains peuvent se voir supprimer leur accréditation si ils contreviennent à l'éthique en particulier par la déformation de propos lors de publications. Il n'est donc pas nécessaire de faire la demande d'accréditation (afin de faciliter le RP).
A l'arrivée du porte parole du gouvernement tanskien, les journalistes présents dans la salle se turent. Une fois installé au pupitre, chacun allait de ses questions. Le stranéen Reza Maulana, journaliste travaillant pour le Département des Affaires Internationales et Diplomatiques du quotidien Dunia!, prit la parole.

Reza Maulana: Bonjour monsieur, je vous questionne pour Dunia!, média opérant au Negara Strana. Récemment, nous avons pu voir un rapprochement progressif des institutions tanskiennes auprès des nations du Nazum du Sud Est. Alors que le gouvernement même a grandement soutenu le Wanmiri suite à la crise humanitaire survenu, la présence de la République Fédérale a également pu être remarquée par le biais des entreprises. Au Negara Strana, l'entreprise de semi-conducteur Tanskian Semiconductor Manufacturing Company a discrètement conclu plusieurs contrats avec les sociétés publiques stranéennes d'extraction de ressources. A cela s'ajoute les différentes campagnes de soutien au Nouveau Parti Socialiste, notamment relevé par les médias tanskiens. En tant que grande nation sur la scène économique et politique internationale, les agissements du Tanska sont loin d'être anodins et sans impacts.

Le gouvernement tanskien envisage t-il de se tourner vers le Nazum du Sud-Est ? Ces actions s'inscrivent-elles seulement dans une volonté de diversifier les débouchés commerciaux du Tanska ou bien traduisent-elle une envie de renforcer les liens diplomatiques avec ces nations, tel que le Negara Strana ?


Précision HRPN'ayant pas posté officiellement les résultats, on peut considéré que les élections législatives stranéennes n'ont toujours pas eu lieu. Les résultats (notamment ceux du Nouveau Parti Socialiste) sont donc inconnus à l'heure de ce RP.
¨Porte-parole du gouvernement

Anneli Huttunen a écrit :Bonjour tout le monde. Ok, aujoud'hui nous n'avons pas d'invités particulier à mes côtés, je serais donc seule à répondre à vos questions. Allez-y Reza.

Reza pose sa question.

Si une réponse courte vous sied, la réponse est oui. Pour une réponse plus en longueur, le gouvernement compte en effet suivre le pas pris par certaines entreprises tanskiennes dans la région. Il est vrai que jusqu'ici nous avions simplement émis un certain nombre d'avis invitant les compagnies tanskiennes à se pousser vers le marché du Sud-Est Nazum, principal foyer démographique mondial et porteur de nombreux espoirs notamment démocratiques.

Néanmoins depuis quelques mois maintenant le gouvernement met en place une politique plus active d'accompagnement des industries tanskiens dans leur recherche de débouché au Sud-Est Nazum et veut désormais aller plus loin. Cette politique ne peut pas être que commercial et, avec l'accroissement des échanges il est vrai, mais aussi avec des questions plus pragmatiques de coopération scientifique, politique, de question de sécurisation des routes maritimes, le gouvernement souhaite effectivement renforcer ses liens dans la région.

Vous le savez mieux que moi, le Negara Starna est en période électorale et les résultats sont attendus avec importance pour ce qui est la première démocratie du monde, au sein des entreprises et ministères tanskiens. Mais nous aussi nous sommes en campagne. Les élections approchent et le gouvernement a donc pris la position de ne pas tracer d'approches définitives mais d'entamer des travaux de prospectives qui prendront un tour concret, nous l'espérons, durant l'été.

Après, il est évident que cette politique est influencée par l'orientation prise par les industriels tanskiens comme TSMC. Mais le gouvernement n'écarte pas l'hypothèse, et en débat même avec la direction de l'entreprise, d'apporter un poids supplémentaire dans ses implémentations par des négociations directes auprès des autorités stranéennes. TSMC a évoqué au ministère de l'économie sa recherche d'ouvrir une fonderie sur place pour accéder au marché régional, nous y voyons la une opportunité de développer de la formation, de l'apprentissage, du partage d'expérience plutôt que de l'envoi de main d'oeuvre qualifié tanskienne. Et cela ne peut se faire qu'avec l'investissement gouvernemental tanskien.
Salle Kira Ceder de conférence de presse


Anneli Huttunen

Anneli Huttunen : Bonjour à tous, bonne après midi. je n'ai pas d'invité avec moi aujourd'hui mais quelques points à évoquer en première instance avant de passer aux questions.

Alors tout d'abord le président et la première ministre seront à Valdö et Ny-Norja à partir du 7 jusqu'au 10 juin pour assister à une série d'ouvertures d'usines et de centre de formations, visiter les travaux d'assainissement des murailles de Ny-Norja et commémorer le 70e anniversaire de la fin de la bataille de Valdö.

Le ministre de l'industrie Jeppe Elkjær devrait prochainement partir pour le Negara Starna, je n'ai pas encore de date à vous donner. La promulgation de la législation sur les semi-conducteurs est bien entrée en vigueur hier et la première ministre tiens à préciser qu'il y a déjà plusieurs dossiers à l'étude dans les bureaux du gouvernement ou dans diverses provinces.

Enfin, la situation à la frontière avec la Rimaurie reste à ce jour tendu. Mars Loftsson a indiqué que des discussions étaient en cours et qu'une cinquantaine de civils avaient déjà franchit la frontière, en majorité avant le déploiement de forces blindés rimauriennes à la frontière d'Halvø. C'est plus ou moins tout pour l'instant, questions...allez y Jonas.


Jonas (Le Norjien) : Bonjour Anneli, merci pour le brief. Question assez brève pour ma part, est ce que le gouvernement considère le déploiement de forces armées en réciprocité au déploiement des forces rimauriennes à la frontière ?

Le conseiller défense de la Première ministre vient confier quelque mots dans l'oreille de la porte-parole du gouvernement qui s'apprêtait à répondre avant de se replacer dans la salle.

AH : Le gouvernement a été clair auprès des autorités Rimauriennes. le déploiement de la Garde Fédérale d'Halvø n'est fait que dans le cadre d'un accueil aux frontières de populations civiles. Il ne s'agit en aucun cas d'un déploiement militaire. Je suppose que vos parliez de la 46e brigade surtout. Oui, non, elle est toujours dans ses bases, il n'y a pas de mouvement de ce côté là. Néanmoins le ministre a bien transmis une demande formelle aux autorités rimauriennes de ramener leurs forces dans leurs bases et pourrait déployer des forces si nécessaire. Mais encore une fois la....la situation ne le nécessite pas. C'est une, oui c'est une surréaction de la part des autorités rimauriennes qui utilisent la force pour intimider leurs populations pour leur éviter d'avoir droit à un avenir meilleur et sans peine de mort. Cela n'intimidera aucunement Tanska, cela va de soit.

Le gouvernement ne souhaite toutefois pas avoir à déployer des forces. Cela augmenterait inutilement la tension mais il se tient évidemment prêt à le faire. A vous Lynd.


Lynd (TANSKE FRETTASTOFA) : Quelle est la situation de la cinquantaine de réfugiés ayant franchit la frontière selon le Gouvernement Rimaurien, quels sont vos chiffres ?

Anneli pris le temps de vérifier le chiffre notifié sur ses quelques notes avant de répondre.

AH : A 11h ce matin le total s'élevait à 62 personnes, en majorité des hommes autour de la trentaine. Je ne donnerais pas plus d'informations sur leur identité ou leur condition de santé, vous comprendrez pourquoi. Ce que je peux vous dire néanmoins c'est qu'ils ont été accueillis par les hommes et les femmes de la Garde Fédérale d'Halvø et qu'ils sont actuellement pris en charge dans 3 campements construits pour le moment à la hâte entre la province et Rauði krossinn. Ils et elles font l'objet de test de santé, d'enregistrement auprès des autorités et de suivi par Rauði krossinn. Pou le moment aucun n'est encore autorisé à quitter les campements mais ils sont parfaitement libres de se déplacer à l'intérieur, de disposer d'un téléphone portable à n'importe quelle heure et sans limitation ni suivi de notre part. Nous voulons simplement éviter leur dispersion dans un territoire qui pour le moment leur est inconnu. Les autorités provinciales on aussi indiquées que les routes étaient aussi surveillées par les autorités rimauriennes de leur côté de la frontière rendant toute traversée plus difficile. La Garde Fédérale s'attend donc à plus de franchissements nocturnes et hors des routes et des sentiers battus. A ce titre, il n'est pas impossible que des drones de surveillance soient déployés pour pouvoir mieux quadriller les forêts frontalières et ainsi venir en aide aux populations civiles qui souhaiteraient obtenir l'exil chez nous.

Petrea (Ny-Norja libérée) : Bonjour Anneli, merci pour ses réponses. La mienne sera moins...eurysienne (rires) la situation en Translavya inquiète nombre des compatriotes de ma province et la crainte d'une intervention loduarienne aussi, quelle est la position du gouvernement, avez vous plus d'information à ce sujet ?

AH : Merci pour ta question Petrea. Alors oui évidemment le gouvernement suit avec la plus grande vigilance la possible évolution et dégradation de la situation en Translavya. A ce titre, vous ne l'aurez pas manqué, nous avons répondu à la négative sur l'absurde demande qu'ils ont exprimés envers l'exposition universelle d'Anslav. Néanmoins, nous tenons à ce que la souveraineté du pays et la stabilité régionale soit assurée. A ce titre, nous sommes évidemment en discussion avec le régime lorenzien pour éviter toute escalade de leur part comme nous avons déjà vécu. Et les moyens présents à Kyli devraient être prochainement renforcés au delà du déploiement du patrouilleur TMS Joki. En particulier le gouvernement étudie l'envoi d'un ou plusieurs drones comme ce que l'on peut faire pour observer la situation en Velsna. Le gouvernement regrette néanmoins le peu de coopération du gouvernement Translave qui semble détaché des réalités de ses capacités et de toute réflexion juridique.
Salle Kira Ceder de conférence de presse, 4 janvier 2014, 7h.


Gen. Sölvarsson

Anneli Huttunen : Bonjour à toutes et à tous.

Je m'excuse par avance de convoquer une conférence de presse aussi matinale. Tout le monde a pu voir les informations à la télévision et je m'attends logiquement à une série de question à ce sujet.

Mais avant de revenir sur ce point et de faire entrer notre invité je vais revenir sur plusieurs autres informations. Alors tout d'abord le ministre de l'économie a indiqué qu'il étudierait sérieusement la question de la réévaluation du budget provincial d'Etelämanner. Il note les bons résultats économique de la province qui a aussi bénéficié des investissements technologiques et industriels liés au secteur aérospatial il est important de le rappeler.

Le ministre Loftsson a eu ses homologues caratradais et teylais au téléphone en fin de soirée hier soir pour discuter de la situation en Manche Blanche ainsi que des tensions avec la Confédération de Kölisburg. Ils ont réitérés leur engagement à la paix et à la lutte contre le fascisme ainsi que les appels au calme et au non emballement. Le positionnement de missile par deux états confédérés ont été notés nous y reviendront.

Le ministre a aussi réitéré auprès de ses homologues la volonté tanskienne d'une présence temporaire au sol. Cette présence doit durer tant que nécessaire c'est-à-dire tant que les civils sur place seront toujours menacés par les fascistes comme ce fut le cas avant notre intervention. Notre position est claire et intangible. Personne n'a d'intérêt à l'escalade. Ce n'est pas dans l'intérêt d'aucun pays à proximité, ce n'est pas dans l'intérêt de la région et ce n'est pas dans l'intérêt des millions de civils vivant sur place qui veulent juste vivre en paix et en liberté loin du fascisme.

Sur le lancement d'un homme dans l'espace. La ministre Arthúrsdóttir en déplacement à Akrak a tenu a saluer la réussite scientifique et technologique de la part des Loduariens et à féliciter Evan Enceriver. Sur le programme spatial, nous attendons prochainement le lancement de satellites. Prévus initialement pour la fin du mois ils sont reportés à la fin mars pour des raisons de vérifications accrues de certains paramètres du lanceur sur lesquels je ne donnerait pas plus d'information.

Je vais maintenant accueillir le général Sölvarsson, Chef d'Etat-Major pour revenir sur la situation au Hvítneslånd.

Elle se décale, le général Sölvarsson rentre dans la salle.

Sölvarsson : Bonjour mesdames, bonjour messieurs. Merci d'être présent ici.

J'avais promis à certains d'entre vous, à l'annonce du lancement de l'opération, que je donnerais un rapport complet de la situation dès lors qu'un cadre serait établit et que les éléments que je vais évoquer maintenant ne compromettent pas la sécurité du personnel sur place qu'il soit militaire ou civil. Je vais donc revenir sur ce que nous faisons, et plus important encore, pourquoi nous le faisons ainsi que sur la stratégie employée. Il m'a été demandé par la première Ministre de faire ça ce matin de la façon la plus claire et transparente possible.

Je vais présenter la situation telle qu'elle fut hier soir à 23h00 heure locale, après des opérations lancées le 2 janvier à 4h00 du matin soit une période de 43 heures.

Tout d'abord, et je pense qu'il s'agit la de la première et principale information à vous donner et à donner aux familles de nos soldats et soldates présents sur place, il n'y a à cet instant aucun tanskien tué sur le champ de bataille. Ma pensée et mes sentiments vont toutefois envers les soldats caratradais et teylais qui ont eu perdu la vie. Ils sont peu nombreux, mais il y en a, et c'est la une tragédie qui rappelle le coût humain de cette opération.

La situation est donc celle d'un déploiement amphibie coalisé dirigé depuis une importante flotte qui comprend, pour notre part, le porte-avions ainsi que plusieurs navires et la 46e brigade motorisée. Les 10 000 soldats supplémentaires réquisitionnés n'ont pas encore été déployés pour le moment. Ils sont en cours d'acheminement rapide et cela commence dès aujourd'hui La force constituée comprend au total environ 12 500 hommes et femmes au sol, répartis plus ou moins équitablement au sein de la coalition, et presque autant d'hommes et de femmes en mer et dans les airs. Nous affrontons une force estimée à 8 000 à 12 000 troupes fascistes bien qu'une partie non négligeable est déployé sur d'autres théâtres que celui sur lequel nous sommes actuellement déployés.

La décision du débarquement a été prise conjointement il y a un certain temps par les dirigeants de nos trois pays. Dans le cas de Tanska, la décision a été prise après consultation de la représentation fédérale en comité restreinte qui a validée le principe de l'opération dans le mandat proposé. Nous avions averti à plusieurs reprises que la situation sur place était dangereuse et nous inquiétait au plus haut point. Notre précédente intervention à Konstantinpolis était le signe de notre détermination aujourd'hui à nouveau démontrer.

La constitution des forces a donc été faites conjointement et il fut décider d'assemblée une composante navale suffisante pour dissuader toute agression envers elle. Nous nous sommes assurés que la présence navale soit publique et reconnue. Il ne s'agit pas, à nouveau, d'un acte de guerre ni même d'une menace envers l'UEE ou Kölisburg comme certains dirigeants politiques étrangers ont pu le notifier. Le mandat est clair et je peux le rappeler à nouveau. Il s'agit de la libération des civils de l'occupation de milices fascistes face à l'inaction du gouvernement central et de ses partenaires. SI ceux-ci viennent de réagir, ça n'est qu'à la suite de notre intervention pour éviter de paraitre entièrement immobile. Les forces tanskiennes partiront dès que la suppression de la menace fasciste et le retour à l'état de droit seront accomplis. Ni plus ni moins.

Les premières forces, teylaises au nord, tanskiennes et caratradiennes au sud (il montre sur une carte sortie pour l'occasion), ont débarquées hier matin à 4h00 en affrontant peu de résistance de la part des milices vraisemblablement dépassées et sous équipées face à nos forces. En un peu moins de 2 jours, nous estimons avoir mis hors d'état de nuire ou fait prisonnier environ un millier de miliciens quand la coalition accuse une 27 tués et blessés, sans tanskien. Le débarquement est une réussite opérationnelle en dépit d'un avantage numérique limité. Nous estimons que les forces miliciennes n'étaient pas prêtes à une telle opération et s'attendaient avant tout à un débarquement dans la ville de Kønstantinopolis comme ce fut le cas l'année dernière. De plus nous tirons parti de notre avantage aérien et mécanisé.

L'objectif stratégique immédiat de l'avancée des forces au sol est double. La capitale fasciste Leeuwenberg d'une part, et le port de KOnstantinopolis d'autre part. Nous ne souhaitons pas mener un siège et c'est la raison pour laquelle les forces tanskiennes ne rentreront dans aucune des deux villes pour l'instant avant d'avoir pu négocier la reddition des forces y étant présente. D'autre part, et cela revient notamment à nos éléments ainsi qu'aux forces caratradiennes, il s'agit d'atteindre la jonction avec les forces Kölisiennes sans chercher l'affrontement évidemment.

Dès à présent, les forces tanskiennes et alliées ont donc chacune des tâches assignées le tout sous commandement opérationnel. Nous tenons à éviter au maximum les potentiels affrontements en zone habités, plus encore si elles le sont densément afin de limiter les pertes civiles que pourraient provoquer. A ce titre, dès que cela sera possible, nous déploierons des forces plus légèrement armées, dans les zones habitées libérer pour assurer la stabilité et la pacification des territoires. Des rapports préliminaires que nous avons reçus, il est vraisemblable que la population ait vécu plusieurs mois d'horreur et d'une milice fasciste contrôlant autant que possible le quotidien des civils et rationnant jusqu'à la nourriture. Nous mettrons en place, dès que possible et dès que la sécurité du personnel sera assuré, un corridor humanitaire semblable à ce qui fut fait à Kønstantinopolis lors de notre précédente opération. Dans ce cadre, l'aviation aérienne tanskienne et alliée opèrera davantage dans le ciel du Hvítneslånd.

Jusqu'à présent, l'aviation tanskienne a principalement assuré la sécurité des navires en mer et du débarquement. Seuls les bombardiers stratégiques ont pris part à des appuis aériens directs envers nos forces. L'aviation alliée déployée dans ces premières 48 heures totalisait une cinquantaine d'appareils de combat des trois pays ainsi que plusieurs dizaines d'avions en réserve comprenant entre autres des appareils du Duché de Sylva dont nous remercions à nouveau la participation au sein de l'alliance aussi bien dans la défense de l'Eurysie que dans son apport ici en soutien des civils du Hvítneslånd.

Les zones libérées pourront être accessibles à des journalistes accrédités. Plusieurs journalistes tanskiens, teylais ou caratradais sont déjà sur place et pourront ainsi effectuer un travail d'information et de presse libre. Bien évidemment, cela se fera dans le cadre de la protection de la vie de nos soldats mais aussi des civils et des journalistes et les zones de tension pourront voir leurs accès restreints avec escorte voir interdits. Je suis ouvert à vos questions.

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