05/10/2015
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Province de l'Escrot

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escrot

La province de l'Escrot est une province cantaise relevant du Territoire royal des Pays de l'Erdrin. Elle est située au bout du delta de l'Erdrin où se jette dans la Manche Blanche son principal chenal, l'Escrot, qui lui a donné son nom. Comme ses voisines, Meur et Rate, la majeure partie de ses terres ont été gagnées sur le delta ou la mer.

Sa capitale provinciale est Roune, qui est par ailleurs la capitale royale et fédérale du Canta. Elle est la deuxième ville classée, partiellement au patrimoine mondial, surtout pour ses édifices médiévaux.

La province compte actuellement plus de 1.320.000 habitants soit environ 64% de la population régionale, Roune, sa capitale, compte 927.362 habitants. Elle est la seule province cantaise à compter plus d'un million d'habitants, elle accueille donc à elle seule plus de 10% de la population de toute la Fédération.

Géographie :
Superficie : 946 km2

La quasi-totalité des terres habitées ou cultivées de la province, environ 90%, ont été gagnées soit sur la mer, dans les environs des Ports-Saint-Martin ou La Jaunaie ou sur le delta au Grand et au Petit Traict.

Démographie :
Population provinciale exacte : 1.320.321 habitants
Densité : 1.395 hab/km2

Politique et Administration :
Commissaire de la reine : Clarence Rancourt, depuis 1999

Vices présidents :
Charles Grandpré, 2e vice-président chargé de l’éducation et de la jeunesse
Violette Lessard, 5e vice-présidente chargée des affaires intérieures
Tyson Sansouci, intendant aux finances régionales

Nombre de députés fédéraux : 97 circonscriptions fédérales
Nombre de conseillers territoriaux : 42 conseillers

Nombre de conseillers au parlement régional : 173 députés régionaux

Villes principales :
La province de l’Escrot est la province qui compte le moins de commune de tout le Canta, seulement cinq. Cela est principalement dû à deux facteurs : la grande taille de La Jaunaie, Roune et Grand Traict, troisième, deuxième et plus grande municipalité du pays qui ont absorbé plus d’une vingtaine de villages au cours de leur histoire et par les agrandissements successifs des petites municipalités insulaires par la poldérisation du delta de l’Erdrin, entre le XVIe et le XXe siècle, les 5 communes de l’Escrot ont vu leur superficie augmenter de 80% en moyenne.

Roune : 927.000 habitants, 237 km/2 ; 3.911 h/km2 ; capitale fédérale

Grand Traict : 137.000 habitants, 310 km/2 ; 441 h/km2 ; ancienne cité dortoir en reconversion accueillant maintenant de nombreux centres commerciaux, l’aéroport international Thomas Ier et de nombreux lieux culturels : théâtres, stade, arénas, cinémas...

La Jaunaie : 122.000 habitants, 230 km/2 ; 530 h/km2 ; coeur économique cantais, accueillant de nombreux sièges de grandes entreprises ainsi que de nombreux centres de recherches associés à des universités et grandes écoles, c’est le commune la plus prisée de la petite couronne rounnaise

Petit Traict : 98.000 habitants, 120 km/2 ; 816 h/km2 ; cité dortoir en reconversion accueillant également de nombreuses installations industrielles comme le port de Roune tels que les sections Roune 2000 et Roune 3000 et également MondoPoorte, les portes du monde.

Les-Ports-Saint-Martin : 36.000 habitants, 49 km/2 ; 734 h/km2 ; très chic station balnéaire accueillant les rounnais les plus fortunés pendant les week-end, comprenant notamment de nombreux casinos, des thalassos et des palaces réputés.
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Vexillologie :

Le drapeau de la province de l’Escrot est relativement récent puisque créé en 1987 afin de doter la province d’un véritable drapeau, en remplacement du drapeau de Roune qui servait jusqu’alors de drapeau officieux de la province. Cette création est principalement le fait des 4 autres communes de la province qui souhaitaient disposer depuis de nombreuses décennies d’un véritable drapeau provincial.

En 1986, à la faveur du changement du commissaire de la reine, un concours artistique est lancé récoltant plus de 35.000 propositions, un premier tri est effectué par l’administration provinciale qui en élimine plus de 32.000, suivi ensuite d’un second tri effectué par l’université de Roune qui réduit le choix à 700 drapeaux, réduit dans un troisième temps à 50 drapeaux par l’assemblée préfectorale avant d’une dernière sélection finale à 5 drapeaux effectuée par les conseils municipaux de La Jaunaie, du Grand et du Petit Traict et des Ports-Saint-Martin. Enfin, un référendum provincial permet de choisir le vainqueur final, un projet proposé par une retraitée de La Jaunaie qui a récolté plus de 37% des suffrages.

Sa conceptire l’a doté de 3 éléments symboliques : un fond de vagues bleues sur fond blanc rappelant la dimension maritime et fluviale de la province ainsi que l’omniprésence de l’eau, sous diffénrente forme : canaux, Erdrin, mer, pluie… dans toute la province. Ce fond de vagues est assez rare dans les drapeaux provinciaux puisqu’il n’est repris que, partiellement, par le drapeau de la province de …

Le second élément est une croix de St Georges rouge. La grande croix centrale est au contraire un élément assez répandu dans les étendards cantais, de quelques niveaux qu’il soit. Elle sert souvent à rappeler la puissance de l’Eglise catholique au sein de la société cantaise et témoigne d’une forme d’allégeance d’un territoire ou d’une institution à la religion catholique. Le rouge, couleur noble, est en revanche un peu plus rare puisque souvent réservée à la Ckey et sert à davantage souligner la richesse de la province mais aussi les nombreux provinciaux originaires du premier duché du pays.

Enfin, le dernier élément est la croix pattée, qui ne se retrouve sur aucun drapeau provincial à une double signification. Si la conceptrice originale de l’étendard a voulu rappeler les racines Ets de la province, puisque la croix pattée a longtemps été le symbole de la civilisation Ets. Certains pensent que cette seconde croix à 4 branches symboliserait les 4 “petites” villes de l’Escrot écrasant symboliquement Roune qui serait ici représentée par la croix de St Georges.
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Politique provinciale :


Commissaire de la Reine :

Comme toutes les provinces cantaises, l'Escrot est dirigée par un "Commissaire de la Reine", une personne ayant le statut de fonctionnaire fédéral, nommé par la reine après consultation de l'Assemblée provinciale. Il est toutefois courant que le Commissaire n'a jamais travaillé dans le domaine public et soit élu dans une autre assemblée locale. Il représente la partie exécutive de l'administration provinciale, assisté par des "mandataires provinciaux", des conseillers élus par leurs pairs pour assister le commissaire dans ses tâches comme la gestion des "services publics industriels" : eau potable, assainissement, déchets ménagers... Le commissaire est nommé par la reine afin de "dépolitiser" une fonction jugée avant tout technique, puisque les provinces s'occupent avant tout des services publics "ingrats" que sont l'eau, les déchets, les transports scolaires...

La commissaire de la Reine de l'Escrot est Clarence Rancourt. Madame Rancourt a vécu toute sa vie dans l'Escrot, elle est ainsi née en 1950 à Roune, elle y grandit et y étudie, obtenant en 1974 un diplôme en droit public de l'Université Royale de Roune. L'année suivante, elle s'inscrit au barreau de Roune et y plaide pendant près de 20 ans. En 1985, elle entre en politique en se présentant aux élections municipales du Grand-Traict, ville où elle s'est installée en 1982. Elle est élue adjointe au maire chargée des affaires générales et juridiques. Elle se rapproche alors du Grand Parti Capitaliste, elle prend la présidence de la section du Grand-Traict en 1988 puis de la section provinciale de l'Escrot en 1992. Elle ne cache pas son attrait pour la fonction de Commissaire de la reine, c'est chose faite en 1999 quand l'Assemblée provinciale adresse un "portrait robot" à la reine, similaire à celui de Clarence Rancourt.

Assemblée provinciale :

L'Assemblée Provinciale, assure quant à elle la partie "législative" de l'Escrot. Elle vote notamment le budget, contrôle l'action du commissaire et des mandataires, création, gestion et suppression des services publics, gestion du patrimoine bati, tenu du tableau des emplois... Bien que dirigeant la plus grande province du pays, l'Assemblée de l'Escrot est loin d'être la plus grande assemblée de ce type puisqu'elle ne compte "que" 60 conseillers provinciaux, soit un conseiller provincial pour 22.000 habitants, tous élus au scrutin universel direct par liste proportionnelle fermée avec quota municipal. C'est la seule province qui dispose de plus de députés fédéraux que de conseillers provinciaux. Leur mandat est par ailleurs plus court que les autres provinces, 3 ans contre 4 ans pour la plupart des autres provinces.



Les quotas municipaux sont les suivants :
- Roune : 36 conseillers
- Grand-Traict : 9 conseillers
- La Jaunaie : 7 conseillers
- Petit-Traict : 5 conseillers,
- Les-Ports-Saint-Martin : 3 conseillers



Histoire politique récente :

Pendant de nombreuses années, la province était dirigée par des alliances de circonstances formées entre les socialistes et les libéraux-capitalistes ou à de plus rares exceptions entre les libéraux-capitalistes, les républicains et les rounnais ou encore entre les socialistes, les écologistes et les Cata. Uni, qui est perçu comme une menace est presque systématiquement écarté de tout accord décisionnel. Cela continue jusqu'en 2012, malgré la forte percée d'Uni à l'élection de 2009 qui devient alors le parti majoritaire à la chambre provinciale. Entre 2009 et 2012, les socialistes et les libéraux-capitalistes vont systématiquement s'allier pour essayer d'endiguer le poids d'Uni au sein de l'instance exécutive de l'Escrot. Toutefois, lors de l'élection de 2012, Uni arrive à remporter 31 sièges sur 60, c'est la première fois qu'un parti remporte la majorité absolue des sièges en Escrot grâce à 58% des suffrages. A partir de là, Uni peut donc diriger la province sans aucune entrave, il s'agissait par ailleurs de la dernière province où Uni était encore dans l'opposition, ne disposant d'aucun poste de "mandataires provinciaux".

Hémicycle :

commissariat
La Villa Harlemer, Commissariat de la Reine de l'Escrot, Roune

L'Assemblée provinciale de l'Escrot siège logiquement à Roune, dans la Villa Harlemer, qui accueille également le Commissariat de la Reine de la Province de l'Escrot. La Villa Harlemer est un hôtel particulier néoclassique construit entre 1785 et 1792 dans ce qui est alors le village d'Oronaire pour un riche banquier cantais, Richard Harlemer. Ce dernier est très proche de la famille royale de l'époque, ce qui lui coutera sa tête en 1817, lors de la 1ère révolution cantaise. Sa Villa est alors réquisitionnée par la République cantaise qui la transforme en entrepôt. En 1822, la jeune monarchie cantaise vend le bâtiment aux enchères pour une bouchée de pain, afin d'éponger ses dettes. Après avoir changé à 3 reprises de propriétaires, la Villa Harlemer est acheté par le Commissariat de la Reine de la Province de l'Escrot en 1998. Elle le transforme afin de disposer d'un véritable hémicycle pour ses conseillers et de bureaux plus commodes pour l'exécutif provincial.

Par ailleurs, les différents services administratifs étaient répartis dans divers bâtiments de Roune : hôtel particulier, mairie centrale de Roune, office d'arrondissement, immeubles de bureaux... Cette situation était particulièrement peu commode occasionnant des coûts d'entretien du patrimoine administratif démesuré et des services séparés de plusieurs kilomètres. En 2012, la nouvelle majorité Uni de l'Assemblée Provinciale approuve l'achat de la tour du "Port aux saumons", une tour de bureaux flambant neuve à La Jaunaie. Cette tour, dont l'achat est financée par la vente des autres bâtiments administratifs, mesure 215 mètres de hauteur pour 100.000m2 de surface utile. Cet achat fait un peu polémique, non en raison de son coût, mais plutôt en raison de son emplacement, La Jaunaie, est située à plusieurs dizaines de kilomètres la Villa Harlemer. Il s'agit par ailleurs du premier Centre Administratif Provincial situé en dehors de sa capitale provinciale.

commissariat
Tour du Port aux Saumons, Centre administratif provincial, La Jaunaie

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Politique fédérale :

Réparation des députés fédéraux par parti :

Cata : 2
Verts : 1
Socialistes : 2
UNI : 78
Liberté : 2
Capitalistes : 8
Républicain : 1
Rounnais : 2
Divers : 1

Total : 97

Réparation des députés fédéraux par municipalité:

Roune : 71 circonscriptions
Détails
Cata : 0
Verts : 0
Socialistes : 0
UNI : 59
Liberté : 2
Capitalistes : 7
Républicain : 1
Rounnais : 1
Divers : 1

Total : 71

Grand Traict : 9 circonscriptions
Détails
Cata : 0
Verts : 1
Socialistes : 0
UNI : 7
Liberté : 0
Capitalistes : 0
Républicain : 0
Rounnais : 1
Divers : 0

Total : 9

La Jaunaie : 8 circonscriptions
Détails
Cata : 2
Verts : 0
Socialistes : 0
UNI : 5
Liberté : 0
Capitalistes : 1
Républicain : 0
Rounnais : 0
Divers : 0

Total : 8

Petit Traict : 6 circonscriptions
Détails
Cata : 0
Verts : 0
Socialistes : 2
UNI : 6
Liberté : 0
Capitalistes : 0
Républicain : 0
Rounnais : 0
Divers : 0

Total : 6

Les-Ports-Saint-Martin : 3 circonscriptions
Détails
Cata : 0
Verts : 0
Socialistes : 0
UNI : 3
Liberté : 0
Capitalistes : 0
Républicain : 0
Rounnais : 0
Divers : 0

Total : 3

Un député fédéral pour 13.608 habitants en moyenne.
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Fiches d'identité des XXII arrondissements de Roune

Ier arrondissement
Population : 47.752 habitants
Superficie : 7 km²
Densité : 6.822 h/km²

Nombre de conseillers d'arrondissements : 127
Nombre de députés : 3 circonscriptions
Tendance politique : Centre gauche


IIe arrondissement
Population : 25.568 habitants
Superficie : 5 km²
Densité : 5.144 h/km²

Nombre de conseillers d'arrondissements : 68
Nombre de députés : 2 circonscriptions
Tendance politique : Extrême gauche


IIIe arrondissement
Population : 9.400 habitants
Superficie : 3 km²
Densité : 3.133 h/km²

Nombre de conseillers d'arrondissements : 25
Nombre de députés : circonscription unique
Tendance politique : Gauche


IVe arrondissement
Population : 55.272habitants
Superficie : 6 km²
Densité : 9.212 h/km²

Nombre de conseillers d'arrondissements : 147
Nombre de députés : 4 circonscriptions
Tendance politique : Centre gauche


Ve arrondissement
Population : 16.920 habitants
Superficie : 10 km²
Densité : 1.692 h/km²

Nombre de conseillers d'arrondissements : 45
Nombre de députés : circonscription unique
Tendance politique : Centre


VIe arrondissement
Population : 36.848 habitants
Superficie : 18 km²
Densité : 2.047 h/km²

Nombre de conseillers d'arrondissements : 98
Nombre de députés : 3 circonscriptions
Tendance politique : Centre gauche


VIIe arrondissement
Population : 75.576 habitants
Superficie : 21 km²
Densité : 3.599h/km²

Nombre de conseillers d'arrondissements : 201
Nombre de députés : 5 circonscriptions
Tendance politique : Centre droit



VIIIe arrondissement
Population : 62.792 habitants
Superficie : 14 km²
Densité : 4.485 h/km²

Nombre de conseillers d'arrondissements : 167
Nombre de députés : 4 circonscriptions
Tendance politique : Centre gauche


IXe arrondissement
Population : 53.392 habitants
Superficie : 10 km²
Densité : 5.339 h/km²

Nombre de conseillers d'arrondissements : 142
Nombre de députés : 4 circonscriptions
Tendance politique : Centre gauche


Xe arrondissement
Population : 28.952 habitants
Superficie : 12 km²
Densité : 2.413 h/km²

Nombre de conseillers d'arrondissements : 77
Nombre de députés : circonscriptions
Tendance politique : Droite


XIe arrondissement
Population : 49.632 habitants
Superficie : 19 km²
Densité : 2.612 h/km²

Nombre de conseillers d'arrondissements : 132
Nombre de députés : 3 circonscriptions
Tendance politique : Centre gauche


XIIe arrondissement
Population : 33.840 habitants
Superficie : 7 km²
Densité : h/km²

Nombre de conseillers d'arrondissements : 90
Nombre de députés : 2 circonscriptions
Tendance politique : Centre droit


XIIIe arrondissement
Population : 7.520 habitants
Superficie : 4 km²
Densité : h/km²

Nombre de conseillers d'arrondissements : 20
Nombre de députés : circonscription unique
Tendance politique : Centre droit


XIVe arrondissement
Population : 96.256 habitants
Superficie : 13 km²
Densité : h/km²

Nombre de conseillers d'arrondissements : 256
Nombre de députés : 7 circonscriptions
Tendance politique : Centre droit


XVe arrondissement
Population : 34.216 habitants
Superficie : 9 km²
Densité : h/km²

Nombre de conseillers d'arrondissements : 91
Nombre de députés : 2 circonscriptions
Tendance politique : Centre gauche


XVIe arrondissement
Population : 60.160 habitants
Superficie : 12 km²
Densité : h/km²

Nombre de conseillers d'arrondissements : 160
Nombre de députés : 4 circonscriptions
Tendance politique : Centre droit


XVIIe arrondissement
Population : 38.352 habitants
Superficie : 15 km²
Densité : h/km²

Nombre de conseillers d'arrondissements : 102
Nombre de députés : 3 circonscriptions
Tendance politique : Centre droit


XVIIIe arrondissement
Population : 70.312 habitants
Superficie : 17 km²
Densité : h/km²

Nombre de conseillers d'arrondissements : 187
Nombre de députés : 5 circonscriptions
Tendance politique : Centre droit


XIXe arrondissement
Population : 49.632 habitants
Superficie : 5 km²
Densité : h/km²

Nombre de conseillers d'arrondissements : 132
Nombre de députés : 3 circonscriptions
Tendance politique : Centre droit


XXe arrondissement
Population : 17.672 habitants
Superficie : 9 km²
Densité : h/km²

Nombre de conseillers d'arrondissements : 47
Nombre de députés : circonscription unique
Tendance politique : Extrême droite


XXIe arrondissement
Population : 58.656 habitants
Superficie : 7 km²
Densité : h/km²

Nombre de conseillers d'arrondissements : 156
Nombre de députés : 4 circonscriptions
Tendance politique : Centre droit


XXIIe arrondissement
Population : 86.480 habitants
Superficie : 14 km²
Densité : h/km²

Nombre de conseillers d'arrondissements : 230
Nombre de députés : 6 circonscriptions
Tendance politique : Centre droit
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