Nom du parti : Parti de l'Union Républicaine (PUR)
Nom officiel du parti : Republican Union Party
Statut : ActifCréation : 14 janvier 1987
Origines politiques : Fusion entre le Parti de l'Union National, le Parti de la Nouvelle Justice et plusieurs petits partis conservateurs
Positionnement : Droite
Idéologie :- Libéral-Conservatisme
- Populisme Westalien
- Centralisme
- Néo-Horvanxisme (depuis le début des années 2000)
- Libre-échangisme (depuis le début des années 2010)
- Asfortisme de droite (avant les années 2000)
Dirigeant : Victor Hardenbor (depuis 1987)
Personnalités importantes : Victor Hardenbor, Akito Fujitawa, Alfred Eisendorf, Henry Takajiwa, Wilson Larster, Victor Jr. Hardenbor, Boris Valendof, Jacob Horpent, Ladislas Andover, Kunisada Yamanaka, Theodore Aterley, Arthur Horvanx
Ailes politiques :- Aile libérale :- Idéologie : Libre-échangisme, Néolibéralisme, Asfortisme de droite, Kaiko-bu (ouverture sur le monde), Conservatisme modéré
- Principale Figure : Henry Takajiwa
- Membres notables : Henry Takajiwa, Boris Valendof, Kunisada Yamanaka
- Aile modérée :- Idéologie : Libéral-Conservatisme, Libre-échangisme, Conservatisme modéré, Néo-Horvanxisme modéré
- Principale Figure : Akito Fujitawa
- Membres notables : Akito Fujitawa, Wilson Larster, Victor Jr. Hardenbor, Jacob Horpent
- Aile traditionaliste :- Idéologie : Néo-Horvanxisme radical, Conservatisme radical, Nationalisme, antimondialisme modéré
- Principale Figure : Alfred Eisendorf
- Membres notables : Ladislas Andover, Theodore Aterley
- Ne s'identifiant à aucune des ailes existantes : Victor Hardenbor, Arthur Horvanx
Alliances politiques :- Au niveau national : Aucune
- Au niveau régional : Union Nationale (Lerant et Dakantia)
Histoire :Avant 1987, la scène politique Westalienne est principalement dominée par les partis centristes ou de gauche. Les partis de droite et conservateur sont divisés entre eux et s'oppose parfois au sein même du Sénat. Bien que l'on a quelques exemples de coalitions de droite qui réussirent à former une majorité et un gouvernement, elles implosèrent généralement au bout de deux ans d'existence. Alors que la crise des ghettos commence à faire son apparition à la fin des années 80, Victor Hardenbor, alors membre du cercle dirigeant du Parti de l'Union National, organise un grand sommet politique de la droite avec le soutien du Parti de la Nouvelle Justice, autre figure politique de droite. Conscient qu'ils ont leurs cartes à jouer au cours de la décennie à venir, Hardenbor réussi à convaincre les participants de s'unir pour former un nouveau parti de droite capable de former un gouvernement stable et solide sur le long terme. Bien qu'un bon nombre refusera l'initiative, les principales entités politiques de droite accepteront d'essayer cette nouvelle approche. Ainsi, le 14 janvier 1987, le Parti de l'Union Républicaine officialise sa création et se prépare pour les élections de la même année, lors des quels il réalise un bon score. A partir de 1989, le PUR gagne en popularité et devient le premier parti d'opposition face au PLD, au pouvoir à cette époque. Ils finiront par atteindre les plus hautes strates du pouvoir en remportant la majorité dans toutes les chambres de la Grande République et les présidentielles entre 1991 et 1992. S'appuyant sur une politique sécuritaire, parfois qualifiée "d'autoritaire" ou "anti-hamajak", le parti va continuer à gagner en popularité et prendre le contrôle de la dirigeance de nombreux Etats-Républicains jusqu'au début des années 2000. Après la réforme constitutionnelle de 2003, le PUR voit sa côte se stabiliser, voir baisser progressivement aux profits de ses opposants, notamment le FPD à partir de 2007.
Aujourd'hui, le parti renouvelle sa politique sécuritaire et continu d'alimenter une rhétorique anti-hamajak pour reconquérir son électorat perdu. De ce fait, le PUR prend un virage de plus en plus à droite en adoptant ce que les théoriciens politiques appel le Néo-Horvanxisme, une version moderne de l'Horvanxisme. Tandis que l'idéologie d'origine se fonde sur un Etat au pouvoir fort, axer sur sa qualité de puissance régionale et un muselage de toute opposition, le néo-Horvanxisme se veut plus démocratique et considère qu'un Etat fort est nécessaire pour protéger les droits et les libertés des citoyens, dont la démocratie peut-être menacé à tout moment, sous-entendu par des rebelles hamajak. Ainsi, malgré les accusations que peut subir le parti, il réfute toutes tournures autoritaristes de sa ligne politique. D'un autre côté, son aile gauche, représenté principalement par Henry Takajiwa, pousse depuis le début des années 2010 à l'ouverture du pays sur le monde en multipliant les contacts diplomatiques, tout en renforçant l'aspect néolibéral de l'économie.