30/07/2013
01:02:27
Index du forum Continents Aleucie Westalia

[Politique] Partis politiques dans la Grande République de Westalia

Voir fiche pays Voir sur la carte
Partis politiques en Westalia

Sénat Westalien

La politique telle qu'on la connaît dans la Grande République prend naissance durant les dernières années de la dictature horvanxienne. En 1917, le Président et dictateur John Moriss signe un décret qui autorise la création d'organisations politiques en prévision des élections législatives de 1918. L'opposition démocrate gagne celles-ci et, malgré le coup d'Etat raté des autoritaristes, arrivent à réformer le pays et à le faire entrer dans ce qui est considéré aujourd'hui comme le premier véritable âge démocratique de Westalia. Depuis cette date, de nombreux partis politiques se sont succédé pour donner naissance aux entités contemporaines qui régissent la vie politique du pays.

Cette section a pour but de présenter les différents partis politiques en activité ou ayant été actif sur le territoire de Westalia.

Partis politiques :
Logo PUR

Nom du parti : Parti de l'Union Républicaine (PUR)

Nom officiel du parti : Republican Union Party

Statut : Actif

Création : 14 janvier 1987

Origines politiques : Fusion entre le Parti de l'Union National, le Parti de la Nouvelle Justice et plusieurs petits partis conservateurs

Positionnement : Droite

Idéologie :
  • Libéral-Conservatisme
  • Populisme Westalien
  • Néo-Horvanxisme (depuis le début des années 2000)
  • Libre-échangisme (depuis le début des années 2010)
  • Asfortisme de droite (avant les années 2000)

Dirigeant : Victor Hardenbor (depuis 1987)

Personnalités importantes : Victor Hardenbor, Akito Fujitawa, Alfred Eisendorf, Henry Takajiwa, Wilson Larster, Victor Jr. Hardenbor

Histoire :

Avant 1987, la scène politique Westalienne est principalement dominée par les partis centristes ou de gauche. Les partis de droite et conservateur sont divisés entre eux et s'oppose parfois au sein même du Sénat. Bien que l'on a quelques exemples de coalitions de droite qui réussirent à former une majorité et un gouvernement, elles implosèrent généralement au bout de deux ans d'existence. Alors que la crise des ghettos commence à faire son apparition à la fin des années 80, Victor Hardenbor, alors membre du cercle dirigeant du Parti de l'Union National, organise un grand sommet politique de la droite avec le soutien du Parti de la Nouvelle Justice, autre figure politique de droite. Conscient qu'ils ont leurs cartes à jouer au cours de la décennie à venir, Hardenbor réussi à convaincre les participants de s'unir pour former un nouveau parti de droite capable de former un gouvernement stable et solide sur le long terme. Bien qu'un bon nombre refusera l'initiative, les principales entités politiques de droite accepteront d'essayer cette nouvelle approche. Ainsi, le 14 janvier 1987, le Parti de l'Union Républicaine officialise sa création et se prépare pour les élections de la même année, lors des quels il réalise un bon score. A partir de 1989, le PUR gagne en popularité et devient le premier parti d'opposition face au PLD, au pouvoir à cette époque. Ils finiront par atteindre les plus hautes strates du pouvoir en remportant la majorité dans toutes les chambres de la Grande République et les présidentielles entre 1991 et 1992. S'appuyant sur une politique sécuritaire, parfois qualifiée "d'autoritaire" ou "anti-hamajak", le parti va continuer à gagner en popularité et prendre le contrôle de la dirigeance de nombreux Etats-Républicains jusqu'au début des années 2000. Après la réforme constitutionnelle de 2003, le PUR voit sa côte se stabiliser, voir baisser progressivement aux profits de ses opposants, notamment le FPD à partir de 2007.

Aujourd'hui, le parti renouvelle sa politique sécuritaire et continu d'alimenter une rhétorique anti-hamajak pour reconquérir son électorat perdu. De ce fait, le PUR prend un virage de plus en plus à droite en adoptant ce que les théoriciens politiques appel le Néo-Horvanxisme, une version moderne de l'Horvanxisme. Tandis que l'idéologie d'origine se fonde sur un Etat au pouvoir fort, axer sur sa qualité de puissance régionale et un muselage de toute opposition, le néo-Horvanxisme se veut plus démocratique et considère qu'un Etat fort est nécessaire pour protéger les droits et les libertés des citoyens, dont la démocratie peut-être menacé à tout moment, sous-entendu par des rebelles hamajak. Ainsi, malgré les accusations que peut subir le parti, il réfute toutes tournures autoritaristes de sa ligne politique. D'un autre côté, son aile gauche, représenté principalement par Henry Takajiwa, pousse depuis le début des années 2010 à l'ouverture du pays sur le monde en multipliant les contacts diplomatiques, tout en renforçant l'aspect néolibéral de l'économie.
FPD-logo

Nom du parti : Front Populaire et Démocrate (FPD)

Nom officiel du parti : Popular Democratic Front

Statut : Actif

Création : 7 septembre 2006

Origines politiques : Schisme entre l'aile gauche et l'aile droite du Parti Libre et Démocrate. L'aile droite reste dans le parti, l'aile gauche et quelques membres de Union Social et Démocrate fondent le FPD.

Positionnement : Centre-gauche

Idéologie :
  • Social-libéralisme
  • Asfortisme de gauche
  • Libre-échangisme (depuis le début des années 2010)
  • Réformisme

Dirigeant : Simeon Belagri

Personnalités importantes : Simeon Belagri, George Garandor

Histoire :

A la suite du référendum de 2003 sur la réforme constitutionnelle ayant accordé plus de pouvoir au Président Fédéral et à son gouvernement, le Parti Libre et Démocrate se déchire dans un conflit idéologique interne entre son aile gauche et son aile droite, les premiers accusant les seconds de faire preuve d'une trop grande complaisance aux politiques dites "autoritaristes" du Parti de l'Union République, actuellement au pouvoir. Les tensions vont s'accumuler jusqu'en 2006 où Simeon Belagri et les membres de l'aile gauche vont quitter le parti en raison de désaccords idéologiques. Rejoint par quelques membres de l'Union Social et Démocrate, celui-ci va créer le Front Populaire et Démocrate, le 7 septembre 2006. L'objectif de ce nouveau parti est une réforme des institutions de la Grande République pour porter vers un nouveau système plus démocratique et qui laisse moins de possibilités à une concentration du pouvoir entre les mains d'un petit groupe d'hommes. Dans son viseur, le PUR qu'il accuse de dérives autoritaires et de transformation progressive de Westalia en une nouvelle dictature horvanxienne.

Le parti se présente aux élections de 2007 lors desquels ils vont réussir à se faire une première base de sénateur. Pour autant, même avec une trentaine de sièges, cette campagne électorale est vu comme un semi-échec pour ce parti aux grandes ambitions. Le PLD reste encore bien plus encré qu'eux au niveau national et ils manquent de popularité pour provoquer un véritable bond dans leurs futurs résultats. Les membres du parti vont faire jouer leurs relations et s'imposer médiatiquement dans le pays jusqu'aux élections de 2009, dans le but d'augmenter leur popularité. Lors de celles-ci, ils vont se révéler comme grands gagnants en prenant le contrôle d'une cinquantaine de sièges supplémentaires au Sénat, au profit du PLD qui voit son électorat se détourner au profit du FPD, bien plus séduisant grâce à son activisme fort dans l'opposition. Avec cette victoire électorale, il va devenir le premier parti d'opposition du pays et renforcera cette position lors des élections de 2011 qui s'avéreront moins réussites que les précédentes. Cependant, il est bien loin de pouvoir s'opposer frontalement aux sénateurs PUR qui possèdent une majorité absolue au Sénat depuis plusieurs années.

Très actif dans le pays, il est vu par la plupart des mécontents de la politique PUR comme le parti en capacité de s'opposer au gouvernement Hardenbor. Les élections de 2013 et de 2015 vont être décisives, tandis que Simeon Belagri voit sa popularité personnelle grimper exponentiellement chaque année.
PLD-logo

Nom du parti : Parti Libre et Démocrate (PLD)

Nom officiel du parti : Free Democratic Party

Statut : Actif

Création : 23 août 1965

Origines politiques : Fondation par des politiciens d'obédience Asfortienne sous le nom de Parti Asfortien

Positionnement : Centre-droit

Idéologie :
  • Asfortisme de Droite
  • Libre-échangisme (depuis le début des années 2010)
  • Néolibéralisme
  • Centrisme

Dirigeant : Karl Darilson

Personnalités importantes : Karl Darilson

Histoire :

Au début des années 60, l'Asfortisme est loin d'être aussi populaire qu'il ne put l'être par le passé. Cette période est dominée par les mouvements de gauche, dont notamment le socialisme qui a le vent en poupe. Au centre et à droite, cette idéologie fait peur. Après la dénonciation du caractère non-démocratique et de l'interdiction du communisme en 1961, le socialisme est vu comme le nouveau danger que représente ces mouvements populistes de gauche. De crainte que Westalia se transforme en un Etat bercé dans ces idéologies souhaitant transformer la société vers un système "non-démocratique" selon les opposants de l'époque, plusieurs politiques s'unissent pour faire revivre les idéaux de l'Asfortisme : protection de la démocratie, des liberté du peuple et de l'unité de la nation. Sous le nom du Parti Asfortien, ces hommes vont mener une lutte politique et faire entrer la scène politique du pays dans une aire de bipartisme, avec d'un côté la gauche socialiste et d'un autre les Asfortiens qui vont alterner le contrôle du pouvoir entre 1965 et 1981.

A l'occasion des élections de 1981, le mouvement se renomme Parti Libre et Démocrate, se voulant être un phare politique pour tous les partisans de la démocratie. En pleine période d'isolationnisme à l'international, le pays connaît une crise économique mineur, provoqué par des décisions inadaptées du gouvernement de l'époque, alors encré à gauche. Ses propositions et l'impopularité de son adversaire vont permettre au parti de s'approprier la majorité des sièges du Sénat et de former un gouvernement dont les réformes vont atténuer la crise, permettant au pays de se relever doucement de cette période. Avec une habile maîtrise de leur électorat, ils vont rester au pouvoir jusqu'à la période de la crise des ghettos, à la fin des années 80. Cette crise d'ordre social va être très mal gérée par le gouvernement PLD de l'époque qui ne prendra pas les bonnes décisions à certains moments cruciaux ou qui seront considérés comme trop timoré par rapport à ce qui était attendu par la population. Avec l'aggravation de la crise, c'est le tout nouveau parti PUR qui gagne en puissance jusqu'à obtenir la majorité au Sénat, poussant le gouvernement PLD à démissionner.

Au début de l'ère politique PUR, le Parti Libre et Démocrate arrive à se maintenir comme principal parti d'opposition, avec toujours un certain espoir d'arriver de nouveau au pouvoir face à ses adversaires. Dominé par son aile droite au début des années 2000, le parti est peu critique des politiques sécuritaires du gouvernement Hardenbor, qu'il approuve même parfois. Après la réforme constitutionnelle de 2003, le parti se déchire jusqu'en 2006 où son aile gauche quitte le mouvement pour former son propre parti politique : le Front Populaire et Démocrate. Ce schisme interne marque le début de la chute pour l'un des plus vieux partis du pays. Les élections qui vont suivre vont être une succession de défaites face à un FPD de plus en plus populaire et qui prend dans l'électorat PLD. Dans les jeux politiques de l'opposition, la position du Parti Libre et Démocrate reste flou. Entre soutien discret à la majorité ou résurgence d'une véritable opposition depuis le début des années 2010, le mouvement pourrait devenir une clé dans la chute du gouvernement PUR comme dans son maintien au pouvoir, tout dépendant du résultat des élections à venir...
USD-logo

Nom du parti : Union Sociale et Démocrate

Nom officiel du parti : Social Democratic Union

Statut : Actif

Création : 2 mars 1917

Origines politiques : Création par des idéologues socialistes et leaders ouvriers après l'application de la loi de liberté politique de 1917

Positionnement : Gauche

Idéologie :
  • Socialisme
  • Social-Démocratisme (Depuis le début des années 90)
  • Progressisme
  • Réformisme (Depuis le début des années 50)

Dirigeant : George Palmer

Personnalités importantes : George Palmer

Histoire :

Le socialisme prend ses racines en Westalia à la fin du XIXème siècle, dans un contexte de forte industrialisation par le gouvernement d'Henry Horvanx. Cette période amène inévitablement à une augmentation de la population ouvrière, dont les conditions de vie sont précaires et le travail difficile. Sous la dictature, les mouvements socialistes sont réprimés et les opposants emprisonnés pour "déstabilisation de la société" ou "terrorisme". Après la mort d'Horvanx et la prise de pouvoir de son successeur, John Moriss, le pays entre dans une période de transition démocratique lente, mais progressive. Celle-ci amène à la loi de liberté politique, adoptée en 1917, qui permet la création de partis politiques d'opposition. Dans ce contexte, de nombreux théoriciens socialistes et leaders de mouvements ouvriers se rassemblent pour former l'Union Socialiste et Révolutionnaire des Ouvriers (USRO), ce qui en fait aujourd'hui le plus ancien parti du pays. Au cours des élections de 1918, ils vont réaliser un très bon score et se hisser parmi les principaux partis politiques du pays. Avec l'échec du coup d'Etat autoritariste de 1918, ils perdent indirectement en influence face à Stanislas Asfort et ses hommes qui forment le premier parti historique Asfortien et mènent par eux même les réformes sociétale de Westalia, au grand dam des socialistes qui sont tenus à l'écart du projet, considérant leur idéologie comme un trop grand risque pour l'avenir du pays. L'USRO va devenir un des principaux partis d'opposition, mais sans jamais accéder au pouvoir durant les décennies qui suivront. Malgré un schisme avec son aile communiste en 1934, qui partira fonder le Parti Communiste Westalien, le parti continuera de réaliser de bons scores aux différentes élections.

L'USRO va connaître de profonds changements au cours des années 50 en donnant la part belle de sa dirigeance aux modérés de son parti. Sous l'impulsion d'Alfred Lerbati, le parti va peu à peu abandonner son caractère révolutionnaire pour apparaître plus réformiste dans ses propositions, lui donnant une image de parti de gouvernance et pas seulement d'opposition. Bien que nombre d'opposant à ce changement quitteront le parti pour rejoindre les rangs communistes, ce choix va s'avérer gagnant. En 1955, l'USRO obtient une majorité de sièges au Sénat et se retrouve en capacité de former un gouvernement pour diriger le pays, ce qu'il fera jusqu'en 1959, date à laquelle il perd sa majorité et donc le pouvoir. Après cette victoire, le parti entre dans une rivalité politique face au Parti Asfortien, tout nouvellement créé dans le début des années 60. Il va ainsi alterner à plusieurs reprises position de pouvoir et opposition jusqu'en 1981. A partir de 1971, l'USRO se rapproche des mouvements civiques hamajaks avec qui il s'allie pour obtenir la signature des accords de Columbia, en 1979, ayant pour but de mettre fin à la discrimination raciale que subissent les amérindiens dans la société Westalienne. Le dernier gouvernement socialiste au pouvoir de la Grande République a gouverné de 1975 à 1981. A la fin de cette période, le gouvernement essaie de réformer l'économie du pays alors très néolibérale, mais échoue et provoque une crise économique mineur dans le processus. Cette erreur fatale va leur faire perdre les élections intermédiaires de 1981 et va amener leur rival, le Parti Libre et Démocrate, au pouvoir.

Depuis cette année-là, les socialistes n'ont jamais réussi à retrouver une majorité au parlement et connaissent une baisse continue de leur électorat. Historiquement, l'année 1981 est considérée comme le début du déclin de la gauche westalienne et le début de la montée en puissance de la droite, jusqu'à aujourd'hui. Après les élections de 1991 qui voient arriver au pouvoir le Parti de l'Union Républicaine, l'USRO se réforme complétement, adopte une ligne idéologique plus accès sur le social-démocratisme et change de nom pour prendre celui d'Union Sociale et Démocrate (USD), se modérant encore plus par rapport à ses positions d'origines. En 2006, avec l'arrivée du Front Populaire et Démocratique sur la scène politique du pays, l'USD souffre lui aussi de ce nouveau parti qui pioche dans l'électorat de gauche pour se faire une place. Malgré que les socialistes possèdent encore un encrage local solide, ils perdent de plus en plus en influence au fur et à mesure que les années passent. Le départ en 2013 de son aile hamajak met le parti dans une position encore plus délicate et n'envisage rien de bon pour les élections à venir...
PNW-logo

Nom du parti : Parti National Westalien (PNW)

Nom officiel du parti : National Party

Statut : Actif

Création : 29 octobre 1961

Origines politiques : Rassemblement de nostalgiques autoritaristes et horvanxiens pour lutter contre le communisme, le socialisme et les hamajaks.

Positionnement : Extrême-droite

Idéologie :
  • Nationalisme
  • Horvanxisme historique
  • Suprémacisme Westalien (anti-hamajak)
  • Anti-socialisme et anti-communisme

Dirigeant : Henry Ross

Personnalités importantes : Henry Ross

Histoire :

Avec l’insurrection ouvrière de Northcoal, pilotée dans l'ombre pas des membres du Parti Communiste, le pays connaît une période d'instabilité politique intérieur en 1961. Face à la menace d'une amplification de la révolte, le gouvernement comme la population craignent que l'insurrection prenne une ampleur nationale. Dans les années 60, l'horvanxisme et les idées autoritaristes des années 10 sont considérées comme depuis longtemps appartenant au passé. Pour autant de nombreux nostalgiques de cette époque stable et prospère existent dans la société Westalienne et n'arrivent pas vraiment à se retrouver politiquement en raison d'une lutte constante du gouvernement, durant l'ère Asfortienne, face aux idéologies autoritaristes. Face à la menace communiste, plusieurs citoyens se rassemblent pour former des "brigades anti-révolutionnaires" et protéger la nation et sa population contre "l'ogre rouge". Ces groupes armés vont rapidement se réunir entre eux pour former un parti politique fin octobre 1961 qui prendra le nom de Parti National Westalien (PNW), premier parti se revendiquant officiellement des idées d'Henry Horvanx depuis la chute de la dictature, il y a de cela 43 ans. Souhaitant débarrasser la société des communistes, des socialistes et de la "peste révolutionnaire hamajak", ils sont à l'origine connu pour agir de façon très violente au début des années 60.

Entre 1961 et 1970, il connaît un certain succès et arrive à s'établir à l'échelle nationale en jouant sur la peur des mouvements de gauche et hamajak. Mais le parti voit ses acquis électoraux s'envoler progressivement durant les années 70, alors que la stabilité politique prend bien place et que le socialisme ne fait plus aussi peur qu'à l'origine. Restant extrêmement minoritaire au Sénat, si ce n'est pas inexistant certaines années, le PNW va reconnaître une petite heure de gloire lors de la signature des accords de Columbia, en 1979, qui vont lui permettre d'accentuer sa rhétorique anti-hamajak, désormais premier aspect politique du parti, récupérant à cette occasion nombre de mécontents de ces accords. A partir de 1980, il commence à abandonner ses pratiques violentes pour se concentre sur son apparence politique nationale, un choix surtout poussé à la suite d'une menace d'interdiction par le gouvernement socialiste de l'époque. Ce n'est qu'à partir de 1989, et l'arrivée de la crise des ghettos, que le mouvement horvanxien va vraiment pouvoir s'implanter durablement dans le paysage politique de la Grande République. Réalisant des scores historiques grâce à la colère contre les hamajaks, qui règne alors à cette époque, la répression contre ce peuple amérindien réalisée par le Parti de l'Union Républicaine, à partir de 1991, va banaliser la haine de ceux-ci et permettre au PNW de gagner de très nombreuses voix, popularisant l'Horvanxisme à un niveau encore jamais vu depuis la chute de la dictature. Bien que le parti est encore minoritaire au Sénat, il gagne du terrain chaque année et pourrait bien devenir une force d'opposition non négligeable lors des prochaines élections. Bien que le PUR, actuellement au pouvoir, partage quelques similarités idéologiques avec le PNW, les deux partis ne se considèrent pas comme des alliés et n'ont jamais vraiment travaillé ensemble au Sénat, le premier considérant le second comme trop extrémiste.
POL-logo

Nom du parti : Parti des Ouvriers Libres

Nom officiel du parti : Free Workers Party

Statut : Actif

Création : 9 novembre 1964

Origines politiques : Créer à la suite de l'interdiction du Parti Communiste Westalien

Positionnement : Extrême-Gauche

Idéologie :
  • Socialisme révolutionnaire
  • Socialisme Alberi-Markatiste
  • Populisme de gauche
  • Syndicalisme

Dirigeant : John Taranti

Personnalités importantes : John Taranti

Histoire :

Fin 1961, le gouvernement matte avec violence l’insurrection des ouvriers de Northcoal et toutes les révoltes liées à cet événement. Rapidement, le pouvoir ordonne une enquête qui va aussitôt pointer du doigt le Parti Communiste de Westalia comme tête pensante d'un projet de déstabilisation de la Grande République. Même à l'époque, les preuves qui les accablent paraissent maigres et donne l'impression que le gouvernement cherche un bouc émissaire chez qui rejeter la faute, dans une période où la peur du communisme bat son plein, chez les élites. Assez rapidement, le Conseil de la Justice Fédérale valide l'interdiction du Parti, à la demande du Premier Ministre Fédéral de l'époque, William Horson. Les principaux cadres du parti sont arrêtés et jugés de façon expéditive, coupant de manière radicale les têtes pensantes de l'idéologie communiste westalienne. Pour autant, tous ses membres ne sont pas réduits au silence et se réunissent dans la clandestinité pour maintenir une activité idéologique et politique au cours des premières années d'interdictions. A partir de 1963, le gouvernement change de couleur et repasse à nouveau sous la bannière socialiste de l'Union Socialiste et Révolutionnaire des Ouvriers (USRO). Pas question pour l'USRO de lever l'interdiction de son rival de longue date à gauche, pour autant, cette période plus clémente pour les communistes de Westalia va leur permettre de se réunir de nouveau au grand jour. Giovanni Alberito, dernier théoricien communiste encore libre dans la Grande République, va rassembler autour de lui plusieurs leaders syndicalistes et d'ancien membre du PCW pour former un tout nouveau parti politique : le Parti des Ouvriers Libres (POL).

A la création du POL, fini la mention "communisme" au sein du parti. On parle désormais de socialisme révolutionnaire, voir de socialisme Alberi-Markatiste, théorisé par son fondateur dans le but de tourner la page du PCW et également pour éviter une étiquette capable de faire interdire le parti par le Conseil de la Justice Fédérale, qui garde alors un œil très attentif aux faits et gestes de ce nouveau mouvement d'extrême-gauche. Dans ces premières années, le parti fait souvent la une pour ses affrontements violent avec les membres du Parti National Westalien, qui n'hésitent pas à attaquer meetings ou réunions du POL. Malgré tout, le parti se révèle plus populaire que son opposé d'extrême-droite au cours de ses premières années d'existence. Parfois se présentant en soutien de l'USRO, parfois en se positionnant comme opposant, il joue un rôle décisif au sénat dans la balance USRO-Asfortien lors des périodes sans majorité absolu, entre les années 60 et 80. Considéré comme un parti très actif sur le terrain, il est représenté dans de nombreux mouvements sociaux ou grèves depuis sa création. Très proche des syndicats, il a même été parfois consulté par certains gouvernements lors des grands mouvements de contestations ouvrières.

Si le siècle dernier peut-être considéré comme l'âge d'or du Parti des Ouvriers Libres, le nouveau siècle semble plutôt être le début de son déclin progressif, commun à tous les mouvements de gauche contemporains. Plutôt rangé du côté de la défense des droits hamajaks, il est en opposition directe contre le Parti de l'Union Républicaine, au pouvoir depuis 1991. Les discours vif et fort qui ont fait leur fierté ne séduisent plus autant qu'à l'époque. La population de gauche semble se modérer et opte plutôt pour un rassemblement derrière le Front Populaire et Démocrate. Avec l'ouverture du pays sur le monde, le POL pourrait également être séduit par des contacts à l'international afin de se renouveler, mais les élections à venir annonce un score de nouveau historiquement bas pour le parti, sauf si celui-ci arrive à se relever miraculeusement...
PE-logo

Nom du parti : Parti Écologiste

Nom officiel du parti : Green Party

Statut : Actif

Création : 14 août 2001

Origines politiques : Fusion de divers mouvements politiques écologistes et de gauche

Positionnement : Gauche à centre-gauche

Idéologie :
  • Écologie politique
  • Progressisme
  • Réformisme

Dirigeant : Michael Fendsen

Personnalités importantes : Michael Fendsen, Gerald Hostan

Histoire :

Les idées écologistes dans la société Westalienne prennent principalement forme à la fin des années 80, notamment poussées par une suite d'accidents industriels et des rapports de santés accablant la surindustrialisation du pays, en vigueur à cette époque, et qui serait coupable d'une forte pollution ayant entrainé une augmentation des maladies mortelles, dont les cancers. Dans un premier temps, les mouvements dit "vert", sont principalement des associations qui ne se revendiquent d'aucune couleur politique et connaissent un certain succès avec le courant "tout-nucléaire", une énergie considérée comme propre, moins polluante et plus rentable que ses alternatives, malgré quelques oppositions minoritaires. En 1991, Gerald Hostan, ingénieur et militant écologiste, va même recevoir le poste de Ministère Fédéral des énergies et des services publics dans le gouvernement PUR récemment élu. Démonstration d'une volonté forte de la part de l'Etat de développer la filière nucléaire dans la Grande République, au profit des énergies fossiles, tel que le charbon qui est particulièrement produit et utilisé sur le territoire. Malgré une première approche favorable envers le gouvernement, les mouvements écologistes vont peu à peu montrer leur opposition après les manifestations de 1993 et vont prendre progressivement un virage à gauche en soutenant les hamajaks au cours de ces manifestations. Vient rapidement l'idée d'une "transition totale des énergies" vers un modèle renouvelable au niveau de la société, mais le passage dans une opposition frontale aux politiques du Parti de l'Union Républicaine (PUR) vont rendre ces mouvements impopulaires durant le reste des années 90 et les multiples divisions entre eux ne leur permettront jamais de pouvoir former une entité unie.

A partir de 2001, Gerald Hostan, démissionnaire depuis 1995 de son poste de Ministre Fédéral, fait encore figure de symbole chez les écologistes et fonde son propre parti : le Mouvement Vert. Au cours de l'année, il va se rapprocher de différentes personnalités écologistes ou de gauche pour unir ces mouvements disparates et sans cohésion au cours de l'Assemblée de New Landor, le 14 août 2021, pour créer le Parti Écologiste (PE). La nouvelle entité politique n'arrive pas à s'encrer nationalement au cours des différentes élections fédérales, mais arrive notamment à se faire une place au sein de certaines Assemblées d'Etats-Républicains, telle que celle de New Austaria ou de Terracristo. Souvent en alliance avec les partis de gauche, telle que l'Union Social et Démocrate, le PE est souvent vu comme assujetti au puissant mouvement Socialiste et la trop grande complaisance de Gerald Hostan, qui soutiens l'alliance, commence à être mal vu au sein du mouvement. Ainsi, l'aile gauche du parti arrive à l'écarter progressivement du pouvoir pour y placer Michael Fendsen, autre figure importante, au cours de l'année 2010. La nouvelle direction en place, elle fait sortir le mouvement de l'alliance de gauche et compte se présenter indépendant lors des prochains scrutins. En 2011, le Parti Écologiste se présente aux élections sénatoriales primaires et acte le meilleur score de son histoire en intégrant le Sénat via deux sièges en leur possession. Ce nombre paraît certes dérisoire en comparaison avec ses rivaux, mais c'est ironiquement le seul parti de gauche à avoir augmenté son score au niveau national depuis le début du XXIème siècle...

Désormais, le PE souhaite poursuivre cette dynamique pour les prochaines élections, mais ce qu'ils qualifient de "conscience écologique" n'est que très récent au sein de la population westalienne et risque de prendre encore plusieurs années avant de réellement faire sa place sur la scène politique nationale.
MSH-logo

Nom du parti : Mouvement Social Hamajak

Nom officiel du parti : Hamajak Social Movement

Statut : Actif

Création : 20 mars 2013

Origines politiques : Scission de l'aile hamajak de l'Union Sociale et Démocrate

Positionnement : Gauche

Idéologie :
  • Autonomisme amérindien
  • Socialisme
  • Progressisme
  • Réformisme

Dirigeant : Gary Sikyatavo

Personnalités importantes : Gary Sikyatavo

Histoire :

L'activisme politique hamajak est souvent plus anciens que l'on ne souhaiterait le croire. Déjà dans les dernières années de la Ier République, plusieurs mouvements se sont opposés aux guerres amérindiennes, avec de se faire dissoudre et persécutés sous la période de la dictature. On ne voit réapparaître de vraies mouvances politiques structurées qu'à partir des années 60, où une forme de nationalisme hamajak se popularise au sein de cette population amérindienne, qui prend conscience qu'elle n'est pas traitée de façon égale par les lois de la Grande République, alors très discriminatoire et établissant une véritable ségrégation entre les citoyens westaliens et hamajak, dont le droit de vote est particulièrement restreint. Avec la croissance démographique exponentielle de cette dernière au cours du XXème siècle, elle commence à devenir une force politique non-négligeable au sein de la population électorale du pays. Divisée entre plusieurs mouvements, certains peuvent souhaiter la création d'un État indépendant pour les hamajaks, tandis que d'autres souhaitent seulement l'égalité des droits et la reconnaissance d'une certaine autonomie, comme cela peut se faire dans d'autres pays, prémisse d'une division entre autonomistes et indépendantistes dans les décennies qui suivront. Avec l'entrée dans l'opposition pour l'Union Socialiste et Révolutionnaire des Ouvriers (USRO) en 1971, celle-ci va chercher le soutien des mouvements hamajaks, avec qui ils décident de s'allier dans le but de mettre fin aux discriminations raciales et à la ségrégation actuellement en place. Les véritables intentions de l'USRO sont plutôt de créer un nouvel électorat de gauche qui lui permettrait de prendre le dessus sur son rival du Parti Asfortien, au pouvoir à cette époque. La stratégie semble payer puisque l'USRO et ses alliés hamajaks entre au pouvoir en 1975 renouvellent l'exploit jusqu'au début des années 80. Bien que le nouveau gouvernement socialiste multiplie les lois visant à réduire les inégalités, la "part du contrat" de l'USRO ne sera remplie qu'à partir de 1979. Cette année-là, une grande manifestation à lieu à Columbia et pousse le pouvoir à négocier avec les mouvements amérindiens les Accords de Columbia, qui mettent totalement fin à la ségrégation et aux lois raciales en vigueur depuis plusieurs siècles.

Bien que beaucoup d'hamajak considèrent les accords de Columbia comme "le strict minimum qu'il fallait faire", ceux-ci continuent de lutter pour de nouveaux droits et reconnaissances du gouvernement tout au long de la dernière partie du XXème siècle. Ceux-ci sont principalement actifs au sein de l'aile hamajak de l'USRO, désormais appelé Union Social et Démocrate (USD), à partir de 1991. Au cours de l'année 1983, un projet d'Etat-Républicain autonome amérindien est en cours de réflexion par le gouvernement socialiste, mais il se frotte rapidement à une forte opposition de la population westalienne, dans un contexte de grande révolte hamajak du côté de la Lermandie. Une situation suffisante pour rendre le projet impopulaire et le faire avorter. Avec une population d'environ 450 000 individus en 1900 à plus de trois millions en 1990, elle représente désormais une minorité importante, mais qui a pourtant beaucoup de mal à s'insérer dans la société et vivent principalement dans la pauvreté. La crise des ghettos est probablement le meilleur exemple de conséquence de cette population qui ne cesse de croître, mais dont l'intégration est particulièrement difficile, même plusieurs siècles après le début de la colonisation. La délinquance y est très présente et des gangs violents comme influent se forment entre la fin des années 80 et le début des années 90. Cette explosion de violence fera chuter le gouvernement du Parti Libre et Démocrate et permettra l'entrée du Parti de l'Union Républicaine au pouvoir, en 1991. Le PUR, bien plus vif, va appliquer une politique de répression féroce contre les ghettos et réappliquera ces pratiques avec les manifestations pro-hamajak qui en découleront. C'est au cours de ces années que l'activisme amérindien connaît son âge d'or et qui séduit toute une nouvelle génération d'hamajaks qui se sentent opprimés et qui n'ont connu que la politique sécuritaire du gouvernement PUR.

Le Mouvement Social Hamajak voit le jour le 20 mars 2013, à la suite de la répression violente subit contre les défenseurs des droits amérindiens, au cours de la manifestation du 24 février 2013. Cette création acte la scission de l'aile hamajak de l'USD qui ne sent plus considéré par le parti socialiste et se rassemble désormais autour de Gary Sikyatavo, figure de la lutte pour les droits. Avec une population de plus de 4 millions d'hamajaks sur le sol westalien (selon le dernier recensement de 2010), l'ancien sénateur socialiste espère convaincre son peuple de voter pour lui au cours des élections à venir, dans le but de "faire pression sur Hardenbor et son gouvernement" et pour "acquérir les revendications légitimes" de ceux-ci. Une partie assez compliquée quand on sait que les hamajak ont tendance à voter de moins à en moins à gauche et qu'un grand nombre d'entre eux sont abstentionnistes. De courant autonomiste, bien plus modéré, le parti est en voie de faire un score correct pour le prochain scrutin. Tout dépendra également des événements encore à venir, comme les indépendantistes, alors très minoritaires, qui soutiennent pour certains les actions du Southern Hamajak Liberation Front, considéré comme un mouvement terroriste en Westalia.
PCW-logo

Nom du parti : Parti Communiste Westalien

Nom officiel du parti : Westalian Communist Party

Statut : Interdit

Création : 30 octobre 1934

Interdiction : 15 décembre 1961

Origines politiques : Scission de l'aile communiste de l'Union Socialiste et Révolutionnaire des Ouvriers

Positionnement : Extrême-gauche

Idéologie :
  • Communisme
  • Socialisme Révolutionnaire
  • Socialisme Markatiste

Dernier dirigeant : Alfred Smith

Personnalités importantes : Alfred Smith, George Markati, Giovanni Alberito

Histoire :

Les premières bases du communisme en Westalia furent importées au début des années 1900, en pleine dictature et dans un contexte où la classe ouvrière connaît des conditions de travail très difficiles et une pauvreté importante. Labellisé comme terroriste jusqu'en 1919, c'est l'avènement de la Grande République qui va autoriser les théologiens communistes à pouvoir s'exprimer librement en public. Contrairement au socialisme qui s'est beaucoup développé par lui-même en Westalia, le communisme va plutôt être influencé par les courants étrangers, à tel point qu'on les qualifiait souvent à cette époque d'agents de l'extérieur. Encore peu populaire, il va d'abord s'intégrer en politique comme une branche de l'Union Socialiste et Révolutionnaire des Ouvriers, avec qui ils partagent plusieurs points communs idéologiques. Le mouvement va par la suite prendre de l'ampleur au cours des années 20 et 30 en séduisant les parties de la classe ouvrière les plus précaires et de nombreux syndicats qui adhèrent au idéaux révolutionnaires communistes. Avec cette prise d'influence et de popularité, l'aile communiste de l'USRO va entrer en conflit avec les autres ailes plus modérées du partis qui commence à délaisser les invectives révolutionnaires pour séduire un électorat plus large. Cette différence de vision politique va entraîner un schisme du parti, qui permettra au communiste de former leur propre parti politique : le Parti Communiste Westalien. C'est autour de George Markati, grand théoricien politique communiste, que le parti va se rassembler et construire sa propre doctrine.

Malgré la scission avec l'USRO, les deux mouvances vont tout de même continuer à s'allier politiquement lors des élections dans un grand front de la gauche qui durera jusqu'en 1959, date à laquelle les socialistes, suffisamment populaire électoralement, décide de se séparer du trop extrémiste PCW. Cette séparation marque le début de la chute du parti qui, bien qu'encore très influent, entre parallèlement dans un cycle de divisions internes et laisse de plus en plus de pouvoir aux révolutionnaires les plus extrêmes du mouvement. Ainsi, selon le rapport officiel de la Grande République, plusieurs cadres du parti ont commencé à déstabiliser le pays en créant dans l'ombre de grands mouvements ouvriers, dont le plus célèbre est celui de Northcoal. "Ville la plus pauvre du pays", elle est un épicentre des mouvances socialistes et communistes. L'échauffement des tensions à provoquer une insurrection de la classe ouvrière qui sera rapidement attribué aux faits du PCW. "Visant à déstabiliser le pays pour pousser à un révolte capable de faire tomber le gouvernement", toujours selon le rapport, le Premier Ministre Fédéral de l'époque et anti-communiste convaincu, William Horson, pousse rapidement l'opinion publique à une interdiction du Parti communiste. Malgré la défense bien élaborée de son dirigeant de l'époque, Alfred Smith, le mouvement politique, tout comme l'idéologie communiste, seront définitivement interdite par le Conseil de la Justice Fédérale. Alfred Smith sera arrêté et condamné à vie pour sa supposée participation à un complot de renversement de l’État et nombre des autres cadres seront condamnés à des peines aussi lourdes dans des procès expéditifs et médiatisés. Les derniers communistes libres vont rester dans l'ombre quelques années, avant de trouver en Giovanni Alberito, et la fondation du Parti des Ouvriers Libres, une nouvelle entrée sur la scène politique nationale.
Haut de page