Le stress était bien présent parmi les membres du gouvernements bratolien présent, en effet, allait-elle accepter les clauses de ce contrat ? Elles étaient assurément justes et équitable,Bratolia avait certes des défauts mais l'honnêteté était sacré en ce pays. Aucune des deux parties ne s'engageait sur le terrain militaire, le gouvernement bratolien ayant compris que ce n'était pas la politique extérieure habituelle au saint-Marquois. Non, les clauses portait sur l'économie, la culture, le libre-échange. Des domaines ou une collaboration saurait être grandement bénéfique à l'avenir et ou les politiques nationales n'y faisaient pas obstacle.
Ce fut donc avec une joie non dissimulée que la signature de la présidente fut accueillie. Avec cet encre couché sur le papier formant ce traité, le premier signé avec une nation étrangère, c'était une nouvelle ère qui s'ouvrait devant les nations ici rassemblées.
Le premier ministre prit la parole, dans sa voix s'entendait la joie, même si il essayait tant bien que mal de ne pas la montrer:
Parfait ! Quel merveille ! Laissez moi vous dire que c'est un moment absolument historique entre nos nations !
Le gouvernement bratolien se leva à l'unisson de leurs fauteuils.
La première ministre a son tour prit la parole:
Je n'ajouterais rien à ce que dit monsieur le minsitre. Il ne reste plus qu'a nos ministères respectifs de mettre les clauses en place dans les jours à venir mais j'ai en eux toute confiance.
Puis soudainement le roi parla en bratolien a son ministre des affaires étrangères. Celui-ci l'écouta longuement, puis après un moment de silence, tandis qu'il cherchait les mots en saint-marquois afin d'interpréter les propos du monarque il prononça:
Il prononça cette dernière phrase sur le ton de la plaisanterie. Entre les hommes et femmes présent ici se formait quelque chose de plus que la simple cordialité. Une confiance naissante ? Une affection commune ? Peut-être.
Il s'avança vers la porte, attendant la réponse de la délégation de Saint-Marquise.