15/06/2013
17:03:30
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Visite Diplomatique Saint-Marquise/Bratolia[Terminé]

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Le 04 Novembre 2006,
Royaume de Bratolia

Une légère pluie tombait sur les militaires assemblée en près de la petite piste de terre improvisée dans le champs.

En effet la construction du seul aéroport du pays n'étant encore pas achevée le seul moyen de recevoir des étrangers étaient de recevoir les voyageurs et les délégations Internationales sur ces pistes de fortunes bâties pour l'occasion.

Un groupement de soldats étaient sur place et pour l'occasion avaient depuis l'aube confinés chez eux les habitants afin que rien ne puisse troubler le déroulement de l'accueil et que la première impression que renvoya le Royaume soit parfaite.

Tout le monde était sous tension et cela se ressentait. C'était la première fois que le Royaume de Bratolia accueillait une délégation étrangère sur son sol. L'état avait-il tout organisé pour que cela se déroule dans les meilleures conditions. Cela expliquait la quantité de troupes déployées au sol formant un long cordon de sécurité.

Dans une voiture noire garée non loin étaient assis Drezka Bragdin,le ministre des affaires étrangères ainsi que la première ministre,Zamaïa,soeur aînée du roi et du dit ministre qui attendaient d'acceuillir comme ils se devait la présidente de Saint-Marquise et sa délégation diplomatique.

Le programme était de les accueillir avec le protocole nécessaire puis de les conduire auprès du Roi dans le Grand Palais où ils pourraient échanger sur les Points où la collaboration entre eux serait la plus bénéfiques. Ils étaient commerciaux, économique et pourquoi pas militaire ?

L'attente était certes longue mais l'événement était tellement exceptionnel que les heures n'étaient rien plus que des minutes aux yeux des hôtes Bratoliens.

Bientôt l'avion tant attendu fit son apparition dans le ciel.

Aussitôt les deux ministres sortirent de la voiture et s'approchèrent,attendant d'acceuillir leurs partenaires potentiels d'Aleucie qui devaient descendre de l'aéronef.
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Représentants
Les Représentants de Saint-Marquise dans le Jet Diplomatique

Le Jet Diplomatique saint-marquois avait atterri sur un sol meuble à Cinkardia, dans le Royaume de Bratolia. Se trouvait à bord, la Présidente, deux Grands Délégués chargés à la Diplomatie et le Premier Conseiller Henry Peters. Tous savaient que cette rencontre allait être hors du commun, car non seulement cette nation fut sortie de son état de léthargie, la République de Saint-Marquise avait répondu favorablement à l'invitation de ce royaume qui voudrait se faire une place dans ce monde.

Mais avant d'atterrir à Cinkardia, il y avait vingt-quatre heures, la Présidente Isabelle Deprey fit la Passation Temporaire des Pouvoirs Présidentiels au Haut Sénateur Amanda Portnell à huit clos dans le Capitole National à Mont-Law.
Ceci fait, le lendemain, elle entreprit avec Henry Peters et deux Grands Délégués, le voyage vers Bratolia. Ils montèrent dans le Jet Diplomatique de la République de Saint-Marquise qui partit à 9h00 de l'Aéroport John Mont-Law.

S'étant posé sur un tarmac en terre, Henry Peters remarquait, par le hublot, que leurs homologues avaient un air plus qu'anxieux. Il fit part à la Présidente qui, elle, était entrain de réviser son discours qu'elle voulait dire devant eux en guise de remerciement.

HENRY PETERS
"Madame la Présidente, il est temps de descendre pour aller à leur rencontre afin de montrer que la République de Saint-Marquise n'est pas une nation à qui elle doit faire peur."

La Présidente acquiesça :

LA PRÉSIDENTE ISABELLE DEPREY
"Vous avez raison, cette nation a besoin d'un partenaire, et Saint-Marquise pourrait lez devenir."

Henry Peters acquiesça à son tour et toute la délégation saint-marquoise se leva de leurs sièges pour descendre du jet afin d'établir le premier contact de l'Histoire.
Sous une pluie légère, la Présidente, entourée des deux côtés par les deux Grands Délégués d'un côté et de Henry Peters de l'autre, fit face à leurs homologues.
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Le jet atterrit sur la piste improvisée détrempée par la pluie,roulant un petit moment encore avant de s'immobiliser enfin en bout de piste.

Les troupes assemblée pour l'occasion accoururent aussitôt autour de l'appareil puis formant une haie d'honneur ils se mirent au garde a vous saluant ainsi les deux hôtes du royaume,tandis que la fanfare se mit a jouer l'hymne Saint-Marquois. Avançant au milieu de ce couloir improvisé par les militaires les deux ministres bratoliens arrivèrent au niveau de leurs homologues saint-marquois et leurs serrèrent la main ainsi qu'aux deux délégués.

La première ministre prit la parole la première d'un ton cordial,presque chaleureux mais marqué d'un fort accent bratolien. Elle avait appris la langue de ses hôtes à la hate et non sans mal :

Bonjour et bienvenue au Royaume de Bratolia. Veuillez nous excuser pour météo. Sachez que c'est véritable honneur pour moi en tant que première ministre de vous accueillir. Vous êtes première nation a poser pied sur notre sol et ça être pour nous grande joie. J'espère que vous avoir fait bon voyage ?

Se tournant vers son frère Drezka,ministre des affaires étrangères elle lui fit signe de prendre la parole car lui avait une meilleure connaissance de la langue.

Bien le bonjour à vous madame la présidente de Saint-Marquise. Bonjour cher Monsieur PETERS,je suis très heureux après vous avoir tant écris de vous voir en personne, après tout c'est bien grâce vous que ce jour est devenue une réalité et nous vous en sommes très reconnaissant.

Faisant une pause il sortit un papier de sa poche, le programme de la journée, et leur tendant il reprit.

Je me permet de vous annoncer le programme de notre rencontre afin de le fixer avec vous. Nous avons organisé entre notre souverain le roi et vous,noble présidente,une rencontre portant sur les nombreux sujets où une collaboration commune et souhaitable. Nous avons également organisé une déclaration commune médiatique,et comme vous le savez la photo finale de la poignée de main.

Se tournant vers cette dernière il reprit.

Avez vous une suggestion à formuler ? Si cela vous convient je vous invite à nous suivre,il n'est pas bon de rester ainsi sous la pluie.

Plaisanta t'il

Nous ferons le reste du trajet en voiture.

Derrière eux à ses mots un soldat ouvrit les portière de la voiture qui devaient les mener au palais de Cinkardia,les invitant par ce signe à y monter.
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L'accueil des bratoliens montrait à la délégation saint-marquoise à quel point il était important qu'une relation diplomatique pouvait fonctionner avec un tel accueil digne et correct.
Après les serrages de main protocolaire, avec un stress qui ne paraissait pas, la Présidente essaya de répondre aux interrogations des hôtes bratoliens.

LA PRÉSIDENTE ISABELLE DEPREY
"Merci pour votre noble accueil. Tout d'abord je voudrais vous rassurer en vous disant que nous avons fait un bon voyage, c'est un grand honneur d'être la première nation à poser les pieds sur votre sol.
Pour votre programme que vous avez concocter pour cette rencontre historique nous convient parfaitement. Nous n'avons pas de suggestions pour le moment."

Après ce discours un peu improvisé, la Présidente fit signe aux deux Grands Délégués ainsi qu'au Premier Conseiller de suivre leurs hôtes vers les voitures qui les attendaient.

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Le trajet en voiture se déroula dans un lourd silence. Les routes ayant été monopolisées pour l'occasion les véhicules progressaient rapidement et ne mirent pas plus de 20 minutes pour arriver jusqu'au palais royal.

Entrant par le grand portail doré elles vinrent se garer devant les marches où attendait la garde personnelle du roi qui salua par le garde a vous les étrangers.

Sortant de la voiture les deux ministres invitèrent leurs homologues à en faire autant,le ministre des affaires étrangères tenant la porte à la présidente.

C'est la première ministre en tête qui indiqua à la délégation de la suivre, pénétrant dans le bâtiment.

Le décor du palais était somptueux, décoré de meubles doré,au toit les lustres de cristal se reflétait dans le sol brillant de ces longs couloirs. Au fur et à mesure qu'ils progressaient les gardes les saluaient. C'est que le Royaume de Bratolia avait un fort gout du luxe et un grand attachements aux protocoles, même si cela donnait une apparence de lourdeur qui pouvait déconcerter les hôtes peu habitués.

Enfin arrivant dans une grande pièce ils firent face au roi,Zepastin Bragdin,qui les attendaient de dos regardant par une grande fenêtre
Le regard observant un point a l'horizon.

Se retournant au bruit il salua le groupe d'un geste de la tête. C'était un jeune homme aux cheveux bruns,aux yeux sombre. Sans son costume monarchique rien n'aurait laissé penser qu'il était un roi impitoyable.

Les deux ministres Bratoliens,ses frères et sœurs lui firent une large révérence puis après avoir échanger quelques mots avec le ministre des affaires étrangères le roi prit la parole à l'attention des Saint-Marquois. Chaque parole était traduite par le ministre qui servait d'interprète.

Bienvenue a vous,mes chers invités. Quelle joie de vous voir Madame la Présidente. Et vous chers ministres et délégués. C'est avec une grande émotion que je vous accueille en ma modeste demeure. Mais où sont mes bonnes manières ? Je vous en prie asseyez vous le voyage à dû être long.Voulez vous boire quelque chose ?

Il invita tout le monde a s'asseoir autour d'une grande table tandis qu'un valet apporta à boire aux hôtes,du thé ou du café au choix. Le roi reprit.

Nous avons tellement de choses a nous dire sur ce monde et notre avenir que je ne sais par où commencer. Votre nation et la nôtre ont beaucoup a se dire. Mais allez y, débutez donc je vous en prie.

Prononça t'il comme pour inviter la présidente à prendre la parole à son tour. Il ne souhaitait pas faire un long monologue lassant pour ses invités.
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Assis autour d'un grande table, la Présidente était entourée par les deux Grands Délégués et du Premier Conseiller Henry Peters.
Elle vit Zespatin Bragdin comme une personne importante mais qu'il fallait convaincre du fait par son charisme de jeune roi mais aussi de par sa prestance parfaite émise dans la pièce.
Après les paroles prononcées par le Roi Bratolien, la Présidente commença à parler :

LA PRÉSIDENTE ISABELLE DEPREY
"Votre Majesté, au nom de la République de Saint-Marquise, je vous remercie pour cet accueil que je qualifierai de royal à notre égard. Cette demeure où nous sommes est somptueuse pour une rencontre que nous avons répondu favorablement. Je ne peux qu'être reconnaissante de votre initiative que vous et votre frère aviez lancé pour vous ouvrir au monde.
Il est clair que nous avons beaucoup à se dire, votre Majesté, nous sommes là pour discuter, en toute diplomatie qu'il se doit, de notre éventuel partenariat.
Merci."

La Présidente avait un stress mais elle le contrôlait devant le Roi de Bratolia, cette rencontre était importante, elle fit signe tout en terminant son café, à Henry Peters de continuer :

HENRY PETERS
"Ce que veut dire Madame la Présidente, Votre Majesté, est que la République de Saint-Marquise est ouverte à toutes propositions de votre part. Le Gouvernement saint-marquois pourrait tisser des liens avec le gouvernement bratolien."

Il regarda la Présidente, puis regarda le Roi afin de terminer son monologue :

HENRY PETERS
"Ce serait le début d'une amitié saint-marco-bratoilenne qui commencerait dès à présent. Qu'en dîtes-vous, Votre Majesté ?"

Toute la délégation saint-marquoise était dans l'attente d'une réponse du Roi pour voir quelle sera sa réaction.
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Après avoir longuement écouté les propos Saint-Marquois le ministre des affaires étrangères faisant l'interprète du Roi répondit.

Mon frère le roi dit qu'il est entièrement d'accord avec vous. La première chose que vous propose sa majesté est une alliance militaire défensive. Ce monde est dangereux et il n'est pas bon de rester seul. Un partenariat Eurysio-Aleucien ne serait-il pas intéressant ?

Il fit une pause avant de reprendre.

Mais tout d'abord nous aimerions connaître votre position envers les nations de ce monde afin de voir si on peut s'unifier qur le plan international. Qui sont vos rivaux et nations considérées hostile ? Quelles sont celles qui sont vos alliés ?Pour notre part notre entente est bonne avec tous nos voisins excepté la Lambroisie. La Pharois et la Listonie sont nos deux autres partenaires majeurs.

Quand il eu fini de traduire les propos du roi la première ministre prit la parole à son tour.

Dans ce cadre nous proposons également un droit à vos navires à stationer dans nos ports.

Attendant la réponse Drezka but une goutte de café. Ils n'y allaient pas par quatre chemin mais une alliance militaire était le meilleur moyen de consolider les relations naissantes entre les deux états.
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L'impression qu'avait la Présidente sur Frère du Roi, était sans doute la plus complexe car elle avait du mal à y entrevoir une éclaircie dans son jeu. En voulant faire une alliance militaire défensive, cela montrait que Bratolia voulait à tout prix se protéger, mais pour elle, il fallait donc qu'elle lui fasse part de la position de Saint-Marquise :

LA PRÉSIDENTE ISABELLE DEPREY
"Monsieur Drezka Bragdin et votre Majesté, pour répondre à votre question sur une éventuelle alliance militaire, je ne peux vous donner de réponse car il me faut l'accord de mon gouvernement pour entreprendre une telle opération, mais vous devrez savoir que notre nation est neutre de tous conflits, cette politique de neutralité est appliquée depuis 1941.
Ensuite, en ce qu'il concerne de nos alliés, nous pouvons compter sur la Jashuria, le Lofoten, le Bochizuela, l'Aumérine et l'Alguarena, mais nous avons des rapport assez tendus avec la Listonie, mais nous respectons votre alliance avec cette nation, nous ne voulons surtout pas vous en dissuader en une autre mesure.
Pour ce qui est de votre deuxième partenaire, le Pharois Syndikaali, nous avons très peu de contact avec ce pays, mais il se pourrait bien que dans l'avenir, la nation pharoise deviendrait un nouvel allié.
Toute délégation, ici présente, est d'accord pour un partenariat Euysio-Aleucien, ce serait un excellent début."

La Présidente voulait mettre un point d'honneur sur la position saint-marquoise en matière d'alliance militaire, Saint-Marquise ne voulait pas faire la guerre et ne la ferait pas. Elle espéra que le Roi ainsi que son frère aient compris la place de la Répubique.

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Cette position de neutralité n'était pas tellement au gout du roi. A quoi pouvait servir un allié qui ne vous defend pas si vous vous faites attaquer ?

Il était déçu par ce refus,cependant sans montrer son agacement il répondit sur un ton cordial.

Je vois. La neutralité ? Même si nous nous ferions attaquer ?

Il ne voulait pas qu'ils pensent qu'il voulait entrainer les Saint-Marquois dans une guerre. Lui il souhaitait seulement cette assistance dans un cadre défensif.

La première ministre prit la parole à son tour.

Que diriez vous d'un accord commercial ? Nous sommes une nation maritime mais nous ne possédons aucune flotte digne de ce nom. Ni aucune armée suffisamment développée pour tenir tête à nos voisins. A défaut d'une alliance consenteriez vous à une vente de matériel militaire ? Navires, blindés, aériens. Nous serions intéressé à vous en acheter, à vous plutôt qu'à d'autres. Si vous en possèdez évidemment.

Ce qu'elle ne disait pas c'est que si Saint-Marquise était d'accord le but était d'en tirer le meilleur prix possible au prétexte de l'amitié entre leurs états.
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La Présidente sentait une gêne entre elle et le Roi sur la position de Saint-Marquise en cas de conflits, elle voulu clarifier les choses.

LA PRÉSIDENTE ISABELLE DEPREY
"Votre Majesté et madame la Première Ministre, quand je vous ai parlé de notre politique de neutralité, cela ne veut pas dire que Saint-Marquise va vous laisser tomber au contraire elle aura le devoir d'aider ses alliés, dans un premier temps, en tant que médiateur quel qu'en soit le conflit.
Dans le cas où la médiation aurait échouer, Saint-Marquise pourrait garantir le droit d'asile à tous réfugiés de votre nation.
Mais je tiens à vous dire aussi que toute action militaire ne dépend pas seulement de moi mais de mon gouvernement."

La Présidente se voulait rester ferme sur la position saint-marquoise et voulait démontrer comment fonctionnait la République :

LA PRÉSIDENTE ISABELLE DEPREY
"Il faut que vous compreniez comment fonctionne notre nation, Votre Majesté et Madame la Première Ministre, je suis certes la Présidente de la République mais j'ai un pouvoir limité établi par notre Constitution. Je ne peux faire un acte militaire, quel qu'en soit le motif, sans le consentement de la Grande Assemblée c'est-à-dire l'aval de la Chambre Citoyenne et du Sénat. Sans cet accord, il est impossible pour moi d'effectuer l'action militaire demandée.
Je terminerais pas cette déclaration qui risque de ne pas vous plaire, mais je dois la dire quand même, Saint-Marquise ne entrera jamais en guerre, quel qu'en soit la raison, sauf si il y est contrainte, dans ce cas-là, la République défendra ses intérêts ainsi que ceux de ses alliés."

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Le roi ne laissait passer aucune émotion face à ce discours de pacifiste. Certes il était très embêté par cette volonté de Saint-Marquise de tenir à cette neutralité qu'il estimait exagéré.

Cette présidente n'avait donc aucun pouvoir ? Quel étrange gouvernement que les démocraties...

Cependant il préféra changer de sujet puisqu'il n'y avait rien à en tirer de ce côté ci des négociations.

La première ministre prit la parole a son tour.

Très bien. Nous comprenons votre position et nous la respectons bien évidemment. Et puis le militaire n'est pas tout de toute manière.

L'nterrompant le ministre des affaires étrangères reprit.

Sur d'autres plan que pouvez vous nous proposer d'autre ?

Si le militaire échouait restait l'économie,la culture,plein d'autres sujet ou une collaboration pouvait tout de même avoir lieu. Faisant silence les bratoliens assemblés autour de la table attendait la proposition Saint-Marquoise.
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La Présidente se concertait avec Henry Peters mais savait que la politique de neutralité de Saint-Marquise ne plaisait pas à tout le monde surtout à un royaume comme Bratolia. Mais quoiqu'il ne soit, il y avait d'autres sujets que la République pouvait proposer en échange :

LA PRÉSIDENTE ISABELLE DEPREY
"Pour répondre à votre question, votre Majesté et monsieur le Ministre, nous pouvons vous soumettre de faire un accord de libre-échange ainsi qu'un échange commercial et culturel.
Sachez que la culture saint-marquoise regorge de patrimoine exceptionnel que nous pouvons discuter entre nous car Saint-Marquise a beaucoup à y gagner avec cet accord avec Bratolia."
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Le roi observait la présidente parler, d'un regard perçant. Quand elle eu fini de proposer son accord de libre-échange ainsi que les échanges culturels il fit signe a son frère,ministre des affaires étrangères à prendre la parole. Il était satisfait tout de même. A défaut d'alliance militaire s'ouvrait un avenir économique prometteur.

Celui-ci obtempera et commença.

Soit. Ces accords que nous vous proposez nous intéresse grandement. Je résume donc si vous le permettez :
-Accord de libre-échange commercial, c'est a dire facilitez le commerce entre nos nations.
- Accord d'échange culturel,facilitez et encourager la découverte de nos cultures réciproque.
C'est bien cela ?


Quand il eu terminé la première ministre déclara.

Et que dites vous d'une facilitation des visas ? Afin de faciliter les entrée de nos ressortissants dans nos nations ? Si cela vous convient je vous propose de mettre cela en place par nos ministères respectifs.

Acheva t'elle de dire avant de tendre a la présidente un contrat presigné par le Roi que la présidente n'avait plus qu'à lire et à contresigner pour que tout cela prenne effet.

Si vous êtes d'accord signez ici. A moins que vous souhaitez ajouter quelque chose ?

Prononça Drezka désignant du doigt l'emplacement où devait reposer la signature Saint-Marquoise.
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Contrat Saint-Marquois Bratolien a écrit :
Collaboration Saint-Marquise-Bratolia
Le 04/11/2006,A Cinkardia


ARTICLE PREMIER:LES PARTIES
Le présent traité concerne l'instauration d'une collaboration bi-laterale entre:
-Le Royaume De Bratolia
-La Republique de Saint-Marquise

ARTICLE DEUXIÈME:VALIDITÉ

Ce traité est valide pour une durée indeterminée et ad vitam aeternam sous réserve des conditions suivantes:

1.Jusqu'a ce qu'une des parties se retire unilatéralement.

2.Respect total de l'ensemble des clauses des Articles 4,5 et 6.

3.Une absence de conflit entre les parties signataires,comprenant les tensions diplomatiques et commerciales.

Le traité est brisé si un des signataires se retire unilatéralement et sans accord des ou de l'autre signataire.

ARTICLE 3:DOMAINE REGIS PAR LE PRESENT TRAITÉ

Ce traité traite des trois domaines suivants:

1.Economique(Article 4)
2.Culturel(Article 5)
3.Circulation des biens et personnes(Article 6)

Il ne traite nullement d'autres eventuelles cooperations et ne peut être invoqué par l'un des signataires en dehors de ces trois domaines.

ARTICLE QUATRIÈME:ECONOMIE


Par le présent traité est instauré:

1.Une collaboration commerciale entre les signataires incluant une absence de taxe supplementaire sur les produits,ne reservant ainsi que les taxes du droit economique interieur.

2.Un accés facilité par les vehicules commerciaux respectifs aux ports et/ou aeroports.

ARTICLE CINQUIÈME:CULTURE


Par le présent traité est instauré:

1.Une collaboration plus poussée dans le domaine culturel(sous réserves d'accord ultérieur des ministères respectifs)

2.Un accés facilité et encouragé aux etudiants et professeurs étrangers aux universités.

3.Un accés facilité et encouragé aux chercheurs,historiens et scientifiques étrangerd dans le cadre d'echange et de recherche internationale.

4.Un accés facilité et encouragé aux artistes étrangers et à leurs oeuvres dans le cadre de l'enrichissement culturel.

ARTICLE SIXIÈME:CIRCULATION DES BIENS ET PERSONNES.


Par le présent traité est instauré:

1.Une facilitation de délivrance des visas de Tourisme et de Travail selon les lois du pays.

2.Une protection consulaire aux ressortissants étrangers.

ARTICLE SEPTIÈME:CONSÉQUENCE DE NON-RESPECT DU PRÉSENT TRAITÉ


1.Si dans le cadre de l'Article 2 une des parties brise le présent traité de façon unilatérale sans accord(Art2/1°) ALORS: Est appliquée la peine de 6000 points de dévellopements comme dédomagement.

2.Si dans le cadre de l'Article 2 une des parties ne respecte pas pour diverses raisons une ou les clauses de l'Article 4,5,6 (Art2/2°) ALORS: Est rompu le présent traité et est appliqué la peine de 6000 points de dévellopements comme dédomagement.

3.Si dans le cadre de l'Article 2 survienne une hostilité manifeste(Art2/3°) ALORS:Est rompu le présent traité et est appliqué la même peine que les deux clauses précedentes.


SIGNATURE a écrit :

Lu et Approuvé a Cinkardia le 04/11/2006 en présence de la delegation Saint-Marquoise.
Par Zepastin BRAGDIN,Roi de Bratolia.
Par Zamaïa BRAGDIN,Première des Minsitres.
Par Drezka BRAGDIN,Ministres des Affaires Etrangères.
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Malgré que Drezka lui montra l'emplacement où il fallait qu'elle signe, la Présidente prit le temps tout de même de lire le traité qui était sous ses yeux.
Elle le parcourait avec une attention singulière et aidé par les yeux du Premier Conseiller Henry Peters pour bien comprendre ce que voulait le Royaume de Bratolia en présentant ce contrat :


Quelques minutes plus tard, après une lecture intensive du traité, elle fit un signe de tête à Henry Peters, prit le stylo et décida de finalement le signé :

La Présidente a écrit :
Je, soussigné, Isabelle Deprey, Présidente de la République de Saint-Marquise, d'avoir pris conscience des clauses inscrit dans ce présent Traité et le signe en toute connaissance de cause.

FAIT À CINKARDIA, BRRATOLIA,
LE 4 NOVEMBRE 2006

sceau national


Satisfaite de son choix, la Présidente remit, en main propre au Ministre des Affaires Étrangères et Frère du Roi, Drezka Bragdin du Royaume de Bratolia, le traité qu'elle avait fièrement signé avec une concertation, au préalable, avec le Premier Conseiller Henry Peters.
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