21/02/2015
15:52:18
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📜 [ENCYCLOPÉDIE] Maronhi - Page 2

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4638
五 : DÉFENSE
A- OrganisationA- 1. Organisation des armées / A- 2. Chaîne de commandement /A- 3. Hiérarchies au sein des forces armées / A- 4. Organisation des armées au service de la défense nationale / A- 5. Branches et composantes des armées / A- 6. Unités opérationnelles / A- 7. Spécialisations et rôles des différentes unités / A- 8. Formation et entraînement des soldats / A- 9. Opérations conjointes et la coopération internationale / A- 10. Évolutions de l'organisation militaire

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A- 1. Organisation des armées


A- 2. Chaîne de commandement


A- 3. Hiérarchies au sein des forces armées

  • Shogunmei : Le Shōgunmei est une charge militaire détenue par le chef suprême de l'armée, soit par le ou la Gran Man. Son détendeur est responsable de la gouvernance militaire. Le Shogunmei ne doit pas être confondu avec les titres de seiitaishōgun ou de shōgun qui sont des titres honorifique attribués à un détenteur du Shōgunmei ayant été autorisé au triomphe par l'Assemblée des Man du fait de la réalisation d'un exploit militaire.

  • Bukegashira : Les Bukegashira sont les commandants en chef des forces armées. Ils sont responsables de la planification et de l'exécution des opérations militaires.

  • Hatamotoken : Les Hatamotoken sont des officiers supérieurs, directement subordonnés au Shogunmei. Ils ont une grande influence et un rôle de conseil auprès du Shogunmei, ainsi que des responsabilités militaires importantes.

  • Gokeninbu : Les Gokeninbu sont des officiers intermédiaires servant directement sous les Bukegashira. Ils sont chargés de la coordination des troupes et de la gestion des affaires militaires sur le terrain.

  • Ashigaruhei : Les Ashigaruhei sont des soldats de rang inférieur, l'équivalent des soldats de première et deuxième classe. Ils constituent la base des forces armées, avec des compétences variées dans les tactiques de combat et une discipline rigoureuse.


  • A- 4. Organisation des armées au service de la défense nationale


    A- 5. Branches et composantes des armées


    A- 6. Unités opérationnelles


    A- 7. Spécialisations et rôles des différentes unités


    A- 8. Formation et entraînement des soldats

    La formation des soldats maronhiens en forêt est une expérience unique qui met leur courage, leur résilience et leurs compétences à l'épreuve. Les vastes étendues de la jungle dense et impénétrable du grand bois offrent un terrain d'entraînement extrêmement exigeant, mettant au défi même les soldats les plus aguerris. Lors de cette formation, les soldats maronhiens sont confrontés à des conditions environnementales rigoureuses, caractérisées par une humidité élevée, des températures extrêmes et une faune et une flore diversifiées. Ils apprennent à s'adapter à ces conditions hostiles et à utiliser les ressources naturelles de la forêt pour leur survie, en apprenant des techniques de survie en milieu tropical telles que la recherche de nourriture, la purification de l'eau et la construction d'abris rudimentaires. La formation en forêt met également l'accent sur les compétences de navigation et d'orientation. Les soldats doivent apprendre à se déplacer efficacement dans un environnement complexe sans repères clairs, en utilisant des techniques telles que la lecture des étoiles, l'utilisation de boussoles et la reconnaissance des caractéristiques naturelles de la forêt pour se repérer. De plus, cette formation permet aux soldats de perfectionner leurs compétences en combat en milieu forestier. Ils sont confrontés à des scénarios d'engagement tactique spécifiques à la jungle, tels que les embuscades et les attaques surprises, où la connaissance du terrain et la maîtrise des tactiques de guérilla sont essentielles. La formation vise à préparer les soldats maronhiens à des opérations spéciales dans des environnements hostiles et inconnus. Elle leur permet de développer leur résistance physique et mentale, leur adaptabilité et leur capacité à travailler en équipe dans des conditions extrêmes.

    Illustration


    A- 9. Opérations conjointes et la coopération internationale

  • Coopération internationale

  • Exercices conjoints

  • Du 1er au 10 avril 2010, la marine impériale burujoise et la veille aérienne maronhienne menèrent des exercices conjoints avec la marine nationale de Maronhi dans le Golfe de Biwa, les eaux nationales de la République et internationales au couchant du Paltoterra. Les exercices eurent pour but d'améliorer l'interopérabilité des deux marines, de renforcer les relations bilatérales et de maintenir la stabilité régionale. La première phase des exercices dura trois jours et fut axée sur la formation et les manœuvres de base, tandis que la deuxième phase dura quatre journées et fut centrée sur des opérations de combat simulées dans des environnements variés. Les opérations de la deuxième phase comprenaient des opérations de lutte contre la piraterie, de patrouille et de surveillance côtière, ainsi que des opérations de défense aérienne et de lutte anti-sous-marine. Les résultats furent positifs, avec une bonne interopérabilité entre les deux marines, bien que les corvettes maronhiennes montrèrent des limites plus rapidement que la corvette burujoise lors des exercices de lutte anti-aérienne. En résumé, les exercices du 1er au 10 avril 2010 permirent de renforcer la coopération et la coordination entre les deux flottes.

  • Opérations conjointes


  • A- 10. Évolutions de l'organisation militaire
    10289
    五 : DÉFENSE
    B- MatérielB- 1. / B- 2. / B- 3.

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    A- 1. Armes d’infanterie

    ➠ Arme légère d'infanterie : Suwa

    Types : Fusil d'assaut, Fusil de combat
    Cartouche :
    • 5.56×45mm
    • 7,62 × 39 mm
    • 7,62 × 51 mm
    • 5,45 × 39 mm (variantes semi-automatiques Suwa uniquement)
    Action Pêne rotatif à gaz
    Cadence de tir : 680–880 coups/min
    Vitesse initiale : 600 à 915 m/s (1 970 à 3 000 pieds/s)
    Portée de tir efficace : de 300 à 500 m (330 à 550 yd)
    Magasins de boîtes amovibles :
    • Chargeurs Suwa de 35, 50 coups


    A- 2. Véhicules blindés

    ➠ SSRS

    Le SSRS ou 戦術水陸両用装甲 (Senjutsu suiriku ryōyō sōkō) pour “Blindé amphibie tactique” est un véhicule blindé de reconnaissance et de patrouille utilisé par de nombreuses forces armées dans le monde, dont l’armée maronhienne. Le SSRS est un véhicule polyvalent et fiable qui est souvent utilisé pour la reconnaissance, la surveillance, la patrouille, ainsi que pour le transport de personnel.

    Détails sur les caractéristiques du SSRS
    SRSS, Blindé amphibie tactique.

    Moteur : 8 cylindres en V à essence développant 140 ch (104 kW)
    Poids : 7 tonnes
    Longueur : 5,75 mètres
    Largeur : 2,35 mètres
    Hauteur : 2,31 mètres
    Caisse : Tôle d’acier de 7 à 14 mm d'épaisseur
    Dessous de caisse : Tôle d’acier de 3mm d'épaisseur
    Vitesse max terre : 100 km/h
    Vitesse max eau : 10 km/h
    Autonomie : 750 km
    Pente maximale : 60%
    Obstacle vertical : 0,40 mètre
    Tranchée : 1,25 mètre
    Armement :
    Mitrailleuse lourde
    Mitrailleuse coaxiale


    ➥ Déploiement

    Le SSRS est un véhicule blindé amphibie qui peut être déployé sur le champ de bataille pour la reconnaissance en raison de sa capacité à se déplacer rapidement sur différents types de terrain et à résister aux tirs ennemis. Il peut être équipé de différents types de capteurs, de caméras et d'équipements de surveillance pour collecter des informations sur les mouvements ennemis, la topographie et les autres données importantes pour la planification de l'opération. Le SSRS peut aussi être affecté à des missions de patrouille, où il peut surveiller et sécuriser un secteur particulier et être utilisé pour intervenir rapidement si nécessaire. Mais il peut également être utilisé pour escorter des convois et des troupes sur les routes ou sur les terrains difficiles. Enfin, le SSRS peut également être utilisé pour transporter des fournitures, des équipements et des troupes à travers des zones difficiles d'accès, pour fournir un soutien logistique à une opération militaire.
    Le SSRS est aussi équipé d'un système de propulsion qui lui permet de naviguer sur l'eau et peut être utilisé pour traverser des rivières, des lacs et d'autres obstacles d'eau. Il peut également être utilisé pour des opérations de débarquement amphibie, où les troupes peuvent être transportées depuis le véhicule jusqu'à la rive ennemie. Le SSRS est doté de deux hélices, d'un gouvernail et d'un système de pompage d'eau pour le faire avancer dans l'eau. Le passage de mode terrestre à mode amphibie et vice versa peut être effectué en quelques minutes.

    ➥ Caractéristiques techniques

  • Motricité
  • Le SSRS est équipé de quatre roues motrices et d'une suspension indépendante, ce qui lui permet de se déplacer sur une variété de terrains, y compris les routes et les terrains accidentés. Il peut également être équipé de pneus spéciaux pour la conduite en conditions marécageuses. Le moteur et la transmission sont placés à l'arrière du véhicule. Le 4x4 SSRS dis­pose de deux roues intermédiaires pour faciliter le franchissement des fossés ou la progression en terrain mou. Il possède un système de réglage de la pression des pneus, un ensemble de protection NBC, un équipement d'orientation et un treuil monté à l'intérieur de la pointe avant.

  • Blindage
  • La caisse du SSRS est cons­truite en tôle d'acier dont l'épais­seur ne dépasse pas 7 mm, sauf sur la plage avant où elle atteint 14 mm. Le dessous de caisse n'a que 2 ou 3 mm d'épaisseur, ce qui rend le véhicule particulièrement aux mines. Le pilote et le chef de voi­ture se placent à l'avant. Chacun d'eux dispose d'un pare-brise pro­tégé au combat par un volet blindé. Ces deux emplacements sont ac­cessibles par deux trappes qui s'ouvrent verticalement, et qui sont le seul accès pour les quatre hom­mes de l'équipage.

  • Armement
  • La tourelle à ciel ouvert est armée d'une mitrailleuse lourde de 14,5 mm et d'une mitrailleuse coaxiale de 7,62 mm. Les armes pointent en site entre - 5° et + 30° et en azimut sur 360°. La dotation en munitions comprend 500 cartouches de 14,5 mm et 2 000 cartouches de 7,62 mm. La mitrailleuse de 14,5 mm est une arme très efficace dont le projectile peut percer 32 mm de blindage à 500 m de dis­tance.


    Moteur : Le SSRS est équipé d'un moteur diesel à quatre temps, développant une puissance de 140 chevaux et une vitesse maximale sur route de 90 km/h.
    Blindage : Le SRSS est doté d'un blindage en acier qui peut résister aux tirs de balles de petit calibre et aux éclats d'obus.
    Armement : Le SSRS est équipé d'une mitrailleuse blabla de 14,5 mm montée sur une tourelle rotative à l'arrière du véhicule. Il peut également être équipé d'un lance-grenades automatique AGS-17 de 30 mm.
    Équipage : Le SSRS a un équipage de quatre personnes, y compris le conducteur, le commandant, le tireur et le radio-opérateur.
    Dimensions : Le SSRS mesure environ 5,75 mètres de longueur, 2,35 mètres de largeur et 2,15 mètres de hauteur. Il pèse environ 7,5 tonnes.
    Capacités :



    A- 3. Navires de combat non-conventionnel

    ➠ Vedette fluviale Shizo-KP3

    Les vedettes KP3 sont des bateaux de combat fluvial, construits à l'origine par le constructeur Shizo pour la Marine populaire et nationale maronhienne dans le but de lutter contre le trafic de drogue, la guérilla et l’orpaillage illégal. Ce sont des bateaux planants conçus pour effectuer des missions d'assaut fluvial, de contrôle des frontières, de recherche et de sauvetage fluvial. Ces vedettes sont capables de transporter jusqu'à 500 gallons de carburant et 950 kg de munitions.

    Détails sur les caractéristiques du Shizo-KP3
    Shizo-KP3, Vedette fluviale maronhienne.

    Cylindrée : 12 t
    Longueur : 12,7 mètres
    Manche : 2.7 mètres
    Étai : 1,6 mètre
    Tirant d'eau : 0.65 mètres
    Ponts : 1
    Blindage : (confidentiel)
    Armement :
    • 2 (déterminer mitrailleuse)
    • 2 mitrailleuses de 12,7 mm à l'avant
    • 1 mitrailleuse de 12,7 mm à l'arrière ou lance-grenades (déterminer)
    Type de propulsion : Hydrojet
    Puissance : 2 × 510 CV
    Vitesse max : +34 nœuds
    Autonomie : 600 km à 25 nœuds
    Équipage : 6
    Troupes : 10 max


    ➥ Déploiement

    Ils ont été spécifiquement créés pour fonctionner principalement de manière autonome dans les missions de surveillance, de patrouille et de contrôle des fleuves et rivières. Ils peuvent également être déployés en tant que support de tir et de communication au niveau du groupe de combat fluvial. En temps de paix, ils peuvent être affectés au contrôle territorial, en plus de servir à la formation des troupes pour le déploiement fluvial

    ➥ Caractéristiques techniques

  • Propulsion
  • Son système de propulsion est de type turbine à eau (hydrojet), dérivé du système similaire de la série FU des Tābin Gāta, ses hélices étant entraînées par un arbre de type cardan, entraîné par 2 moteurs diesel Mizukaze de 510 chevaux à 2500 tr/min (tour par minute).

  • Construction et divisions
  • Dans sa structure interne, le KP3 dispose d'espaces d'hébergement aussi bien pour son équipage avec lits, petite cuisine et réfrigérateur, que pour le personnel en mission. D'autres versions spéciales du KP-3 peuvent accueillir jusqu'à 10 soldats pour servir de transport de personnel, en plus de ce qui est indiqué ci-dessus, ils disposent d'un système de purification d'eau embarqué et d'une capacité de production d'énergie électrique et leur autonomie de fonctionnement est de jusqu'à 5 jours.

  • Opérabilité et affectations
  • Le premier bateau de ce type est entré en combat avec des orpailleurs illégaux sur le fleuve Opaya, tuant 7 orpailleurs armés, détruisant plusieurs centaines de kilos de matériel d’orpaillage illégal, ainsi que divers fusils. C'est l'une des rares vedettes qui a été testé à plusieurs reprises au combat dans l'histoire récente et peut-être le seul de son genre dans le combat fluvial, étant touché par des munitions de différents calibres là-bas. La maniabilité du KP3 ajoutée à un système de protection balistique innovant ont empêché la violation de son blindage externe, protégeant efficacement son équipage, ce qui a suscité l'intérêt d'autres nations pour ses performances au combat.


    ➠ Patrouilleur classe Kozue

    Détails sur les caractéristiques de la classe Kozue.
    Patrouilleur fluvial classe Kozue.

    Type : Patrouilleur
    Déplacement : 105 tonnes longues (107 t) standard
    Longueur : 29,0 m (95 pi 2 po)
    Faisceau : 5,8 m (19 pi 0 po)
    Tirant d'eau : 2,0 m (6 pi 7 po)
    Alimentation branchée
    4 × moteurs diesel Shibako VT-12M
    1100 ch (820 kW)
    Propulsion : 2 arbres d’hélice
    Vitesse : 17 nœuds (31 km/h ; 20 mph)
    Autonomie : 1700 nmi (3148 km; 1956 mi) à 12 nœuds (22 km / h; 14 mph)
    Complément : 15
    Armement :
    1 × .50 cal. mitraillette
    1 mortier de 81 mm


    Patrouilleurs fluviaux Kozue :

    Les patrouilleurs de classe Kozue sont une série de patrouilleurs construits pour la marine maronhienne à l'arsenal de la marine populaire et nationale d’Uminomon. Ils ont d’abord été conçus entre 1991 et 1992 en tant que patrouilleurs côtiers. En 2001, ils sont retirés de la patrouille côtière pour être assignés à la patrouille fluviale.

    °Propulsion
    Les patrouilleurs Kozue ont un déplacement standard de 105 tonnes longues (107 t) et un déplacement à pleine charge de 146 tonnes longues (148 t) avec une longueur entre perpendiculaires de 29,0 m ( 95 pi 2 po), un faisceau de 5,8 m (19 pi 0 po) et un tirant d'eau de 2,0 m (6 pi 7 po). Les navires sont propulsés par quatre moteurs diesel Shibako VT-12M entraînant deux arbres d'une puissance au frein de 1 100 chevaux (820 kW). Cela donne à la classe Kozue une vitesse maximale de 17 nœuds (31 km/h ; 20 mph) et une autonomie de 1 700 milles marins (3 148 km ; 1 956 mi) à 12 nœuds (22 km/h ; 14 mph).

    La classe Kozuei était initialement armée d'un support de mitrailleuse de calibre .50 et d'un support de mortier de 81 mm (3,2 pouces). En 1998, le support de mortier de 81 mm a été retiré. L'armement principal a ensuite été modifié en deux mitrailleuses de 12,7 mm (0,50 po) et un canon Kahiro de 20 mm (0,79 po). Ils ont été initialement conçus pour la patrouille côtière.


    A- 4. Avions de combat

    ➠ Avion d'attaque au sol Nahihira Nhi-30

    Biréacteur : 2 NIN Hachi 31FP (avec postcombustion et poussée vectorielle)
    Poussée unitaire : 130 kN (kilonewton) pour chaque réacteur avec PC (postcombustion)
    Envergure globale : 14,70 m
    Longueur globale : 21,94 m
    Hauteur globale : 6,36 m
    Surface alaire : 62,04 m2
    Masse à vide : 17 000 kg
    Masse carburant : 11 500 kg
    Masse avec armement : 26 400 kg
    Masse maximale : 35 800 kg
    Vitesse maximale : 2 200 km/h (Mach 2.0, 17000 mètres)
    Plafond : 20 000 m
    Vitesse ascensionnelle : 18 000 m/min
    Équipage : 1 pilote + 1 navigateur (NOSA)


    A- 5. Hélicoptères

    ➠ Hélicoptère de transport moyen type Nijo

    Turbomoteur : 2 Oyata TV3-117VM
    Puissance unitaire : 1 940 ch
    Nombre de pales : 5
    Diamètre du rotor : 21,35 m
    Longueur globale : 18,42 m
    Hauteur globale : 4,76 m
    Charge à vide : 7 100 kg
    Charge utile : 32 passagers
    Charge en interne : 4 000 kg
    Charge en externe : 4 500 kg
    Charge avec armement : 11 100 kg
    Charge maximale : 13 000 kg
    Vitesse maximale : 250 km/h
    Plafond : 6 000 m
    Vitesse ascensionnelle : 480 m/min
    Distance franchissable : 950 km
    Équipage : 3 (2 pilotes, 1 ingénieur navigant)
    Armement : (externe) 1 500 kg de bombes, roquettes et canons disposés sous six points d'emports


    ➠ Hélicoptère d'attaque type Hojio

    Turbomoteur : 2 Oyata TV3-117VM
    Puissance unitaire : 2 200 ch
    Nombre de pales : 5
    Diamètre du rotor : 17,30 m
    Longueur globale : 17,51 m
    Hauteur globale : 4,25 m
    Masse à vide : 6 500 kg
    Masse charge utile : 2 500 kg
    Masse carburant : 1 454 kg
    Masse avec armement : 11 100 kg
    Masse maximale : 11 500 kg
    Vitesse de croisière : 260 km/h
    Vitesse maximale : 346 km/h
    Plafond : 4 500 m
    Plafond avec effet de sol : 2 200 m
    Plafond sans effet de sol : 1 500 m
    Vitesse ascensionnelle : 900 m/min
    Distance franchissable : 750 km
    Équipage : 3 + 8 soldats
    Armement :
    • (interne) Canon gatling à 4 fûts de 12,7 mm
    • (externe) 4 paniers à roquettes de 57 mm
    • (externe) 4 missiles antichar ___ ou 4 missiles ___

    AJOUTS EN COURS
    + RACCORDS AVEC LES DONNÉES STANDARDS À FAIRE
    3701
    五 : DÉFENSE
    C- EntretienC- 1. / C- 2. / C- 3.

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    B- 1. Systèmes de propulsion

  • Le Oyata TV3-117VM est un turbomoteur maronhien conçu par le constructeur Oyata au milieu des années 1990. Il équipe la quasi-totalité des hélicoptères produits par les compagnies maronhiennes Nijo et Hojio, les deux plus importantes de Maronhi.
  • Le moteur, de conception modulaire pour faciliter la maintenance, est constitué d'un compresseur axial à douze étages, suivi d'une chambre de combustion annulaire et d'une turbine de régénération à deux étages. Une turbine libre à deux étages dite « de puissance », fournissant du couple sur l'arbre de sortie du moteur, est également présente dans le moteur, à l'arrière de la turbine de régénération et juste avant la tuyère d'éjection des gaz. Les guides de stator des quatre premiers étages du compresseur sont à incidence variable, et l'entrée d'air du moteur est dotée d'un système de filtres anti-poussières, pour pouvoir accepter de fonctionner de longues périodes dans des environnements difficiles (sable, terre, etc.).



    B- 2. Nourriture

    KKKSR : Ration de combat individuelle réchauffable (Kojin no kanetsu kanōna sentō ryōshoku)

    Date limite d'utilisation optimale : (à remplir)
    Dimensions :
    * Dimensions (mm) : 294 longueur, 149 largeur, 63 hauteur.
    * Poids : 1 500 g.
    Spécificités :
    * Contient un ensemble de réchauffage ;
    * Étanche à l'eau grâce à un film de suremballage ;
    * Tous les composants sont analysés et leur traçabilité est assurée ;
    * Adaptée au paquetage du combattant ;
    * Emballage rigide, robuste (protège de l'écrasement pendant le transport) et biodégradable (composition en mycélium*, brevet de Sasaki Nobusue**, lauréat du prix teltican de l'Environnement***).
    * Ces rations sont assemblées en usine par chaînes automatisées à Irako, Uminomon, Siwa et Lawao.

    Composition :

    Menu 1
    Hors-d'œuvres :
    -> Edamame (fèves de soja)
    Plats cuisinés en barquettes 300 g :
    -> Sushi assorti (maki, nigiri, sashimi)
    -> Poulet Teriyaki
    -> Nouilles sautées aux légumes

    Menu 2
    Hors-d'œuvres :
    -> Rouleaux de printemps
    Plats cuisinés en barquettes 300 g :
    -> Poulet au curry
    -> Pécari aigre-doux
    -> Riz blanc

    Menu 3
    Hors-d'œuvres :
    -> Goya Champuru (remoulade d'amère)
    Plats cuisinés en barquettes 300 g :
    -> Tofu sauté avec légumes
    -> Pécari Rafute (poitrine de pécari mijotée)
    -> Nouilles de riz avec tempura de légumes

    Menu 4
    Hors-d'œuvres :
    -> Salade de chou au sésame
    Plats cuisinés en barquettes 300 g
    -> Yakitori (brochettes de poulet)
    -> Saumon Teriyaki
    -> Donburi (bol de riz) au zébu

    Menu 5
    Hors-d'œuvres :
    -> Soupe de ravioles créoles
    Plats cuisinés en barquettes 300 g :
    -> Canard laqué
    ->Nouilles sautées aux crevettes
    -> Légumes sautés à l'ail

    Menu 6
    Hors-d'œuvres :
    -> Ceviche de poisson blanc mariné aux agrumes
    Plats principaux en barquettes de 300 g :
    -> Sushi roll au saumon et avocat
    -> Poulet teriyaki avec riz et légumes sautés
    -> Empanadas au thon et aux légumes

    Menu 7
    Hors-d'œuvres :
    -> Guacamole accompagné de chips de banane
    Plats principaux en barquettes de 300 g :
    -> TRouleau de pâte de maïs au poisson pané avec sauce soja épicée
    -> Yakisoba de poulet et légumes
    -> Viande de zébu hachée et pimentée aux haricots rouges et riz

    Menu 8
    Hors-d'œuvres :
    -> Sashimi de saumon mariné aux agrumes
    Plats principaux en barquettes de 300 g :
    -> Tempura de légumes avec sauce dip à l'avocat
    -> Sushi bowl avec acoupa, avocat, concombre et edamame
    -> Pains de manioc garnis de pécari effiloché à la sauce teriyaki

    Menu 9
    Hors-d'œuvres :
    -> Tranches de banane plantain frites avec sauce soja sucrée
    Plats principaux en barquettes de 300 g :
    -> Ceviche de crevettes et mangue
    -> Poulet grillé à la sauce teriyaki avec riz sauté aux légumes
    -> Rouleau de pâte de maïs au zébu grillé et salsa à la coriandre

    Menu 10
    Hors-d'œuvres :
    -> Salade de chou et carottes avec vinaigrette au sésame
    Plats principaux en barquettes de 300 g :
    -> Sushi tempura aux crevettes et légumes
    -> Zébu sauté à la sauce soja et au gingembre avec riz blanc
    -> Petits pains de manioc au fromage de brebis aux algues nori

    Produits complémentaires :
    -> Riz nature
    -> Sauce soja
    -> Thé vert
    -> Beignets de manioc aux fruits
    -> Biscuits aux amandes
    -> Ensemble de réchauffage (dont 6 comprimés de purification d'eau et 1 sac à déchets)
    -> Barre de chocolat noir
    -> Bonbons au gingembre
    -> Paquet de 10 serviettes / mouchoirs


    AJOUTS EN COURS
    55
    六 : JUSTICE
    A- Institutions juridiquesA- 1. / A- 2. / A- 3.

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    À remplir.
    六 : JUSTICE
    B- Organisation judiciaire et procédures légalesB- 1. / B- 2. / B- 3.

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    À remplir.
    六 : JUSTICE
    C- Principes fondamentaux de la justiceC- 1. L'esprit des lois / C- 2. Les lois fondamentales / C- 3. Les lois de mœurs / C- 4. Les lois de sécurité / C- 5. Les lois particulières

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    C- 1. L'esprit des lois


    C- 2. Les lois fondamentales

    • Majorité civile : 23 ans
    • Majorité judiciaire : 15 ans
    • Majorité sexuelle : 17 ans

    • Service d'État : obligatoire. Un an pour tout homme entre sa majorité judiciaire et sa majorité civile. Le service peut être militaire ou autre selon la classe de l'individu, ses capacités, sa localité ainsi que la place restante.
    • Droit de nationalité : limité. Droit du sang uniquement (au moins 1 parent maronhien)
    • Double nationalité : limitée. Elle n'est autorisée qu'avec la nationalité burujoise pour des raisons historiques.
    • Laïcité : inexistante.

    • Liberté d'expression : garantie.
    • Liberté de culte : limitée. Libre si le culte est permit par l'État. Celui-ci le permet généralement si ledit culte est d'ores et déjà porté par une communauté maronhienne sur le territoire et qu'il entre en correspondance avec le reste des éthiques et des pratiques religieuses marohiennes. À contrario, les autorités se montrent moins souples avec des confessions professant des lois particulières pour leurs fidèles (ex : lois religieuses du judaïsme ou de l'islam), encore plus quand celles-ci s'opposent aux lois de Maronhi.
    • Liberté de rassemblement : garantie. Encadrement par les forces de l'ordre obligatoire en cas de grands rassemblements.
    • Liberté d'association : garantie.

    • Droit à l'insurrection : limité. Doit être approuvé par plébiscite par la majorité de la population. Le vote blanc et l'abstention comptent en défaveur de celui-ci.
    • Droit de grève : limité.
    • Droit d'héritage : garanti. La Maronhi garantit à toute personne qu’elle pourra hériter de ses parents ou autres l'ayant mentionné par testament, sans taux d'imposition ou autres charges à payer. Dans le cas où un héritage ne pourrait être revendiqué, les biens reviennent à l'association de quartier, ou de métier prioritairement, voire à la commune du défunt si ce dernier n'appartenait à aucune association de métier ou de quartier.
    • Droit d'entreprendre : garanti. Le pouvoir maronhien encourage davantage, aves les années, la libre entreprise. Sous le mandat d'Awara, l’Etat devient de moins en moins gourmand en terme de taxes sur son marché intérieur, tout en renforçant tout de même ses multiples polices spécialisées contre les abus, comme le "Sotorihiki" qui lutte principalement contre la spéculation sur les marchés (Lire Article Kongoinko : "Spéculation du riz matée sur les marchés du sud"). De manière générale, les règles liées au droit d'entreprendre s'assouplissent. La justice se montre cependant sans pitié concernant les abus.

    • Égalité de tous devant la loi :
    • Droits des femmes :
    • Droits des enfants :
    • Droits des animaux :
    • Statut juridique de l'animal : être vivant doué de sensibilité

    • Esclavage : interdit.
    • Travaux forcés d’intérêts généraux : autorisés. Le travail joue un rôle prépondérant dans la politique de réparation et de réintégration du système carcéral (Lire Article Kongoinko : "Système carcéral national, un modèle qui fait ses preuves"). Les prisonniers sont alors nommés bagnards.
    • Peine capitale : autorisée. Appliquée pour actes graves (homicide volontaire, viol, terrorisme, haute trahison) ou récidivisme de certains actes moins graves.


    C- 3. Les lois de moeurs

    • Divorce : limité. Dépend du type de mariage ou des clauses du contrat de concubinage. Souvent sous conditions pour le mariage.
    • Relation sexuelle hors-majorité sexuelle : autorisée. À condition d'une non-opposition des parents ou tuteurs. L'opinion de ceux-ci est généralement basée sur la proximité des âges.
    • Relation sexuelle hors-mariage : autorisée.
    • Relation extra-conjugale : limité. Dépend du type de mariage ou des clauses du contrat de concubinage. Pour la plupart des mariages et des concubinages restrictifs, peut, être sanctionnée en cas de plainte d'un des membres du couple.
    • Relation et mariage consanguins : interdits.
    • Contraception : autorisée.
    • Avortement : limité. Pour cas dits exceptionnels (viol, problèmes de santé majeurs, etc).
    • Euthanasie : limitée. Sous réserve d'un professionnel de la santé agréé et non selon la volonté du patient.

    • Homosexualité : autorisée.
    • Bisexualité : autorisée.
    • Transgenrisme : interdit. La dysphorie de genre y est reconnu comme une névrose.
    • Eunuchat : autorisé. Les eunuques sont reconnus comme formant le troisième genre. Y sont notamment regroupés les mâles nés sans appareils reproducteurs ou castrés après la naissance.
    • Non-binarité : interdite. Non reconnu comme existant.
    • Autres genres : interdits. Non reconnus comme existants.

    • Mariage : autorisé. Encadré uniquement par les pouvoirs religieux. Il existe donc différentes formes de mariages. La plupart sont seulement accessibles aux couples hétérosexuels, féconds comme stériles.
    • Couple polygame : interdit.
    • Concubinage : autorisé. Encadré uniquement par les pouvoirs publics. Librement ouvert à tous, dont les homosexuels, eunuques et stériles. Il existe différentes formes de contrat de concubinage qui déterminent le degré de liberté des partenaires.
    • Adoption : autorisé. Seulement pour les couples hétérosexuels mariés.
    • Fécondation in vitro : limitée. Encadrée par professionnels de santé en cas de problème de fécondation pour couples hétérosexuels.
    • Gestation pour autrui : interdite.

    • Prostitution : interdite.
    • Pornographie : interdite.
    • Images érotisantes : autorisées.
    • Jeux d'argent : limités.. Interdits du moment où ceux-ci se basent sur le hasard.
    • Sectarisme : limité.
    • Prosélytisme : limité. Accordé aux religions admises et reconnues par l'État.
    • Franc-maçonnerie : interdite.


    C- 4. Les lois de sécurité

    • Possession d'arme à feu : autorisée. Un permis de port d'armes et une validation psychologique agréée sont cependant nécessaires en plus de la majorité civile.
    • Espionnage domestique : interdit.
    • Torture : interdite.
    • Chasse : autorisée. Selon la localité, un stage est nécessaire sur les règles de sécurité pour les aspirants à la détention du droit de chasse.
    • Pêche : autorisée. Dans le cas de l'exercice d'une pêche artisanale, aucun permis n'est demandé.


    C- 5. Les lois particulières

    • Clonage humain : interdit.
    • Clonage animal : limité. À l'élevage et à la science.
    • Recherche génétique : limitée. Autorisée par des instances de recherches agréées.
    • Organismes génétiquement modifiés : limités.
    • Engrais et pesticide dans l'agriculture : limités.
    • Additifs alimentaires : interdits.

    • Consommation d'alcool : autorisée.
    • Production d'alcool : autorisée. Celle-ci est ouverte aux professionnels et aux particuliers.
    • Vente d'alcool : autorisée.

    • Consommation de tabac : autorisée.
    • Production de tabac : autorisée. Celle-ci est ouverte aux professionnels et aux particuliers.
    • Vente de tabac : autorisée.

    • Consommation de drogues douces : limitée. Sous prescription médicale.
    • Production de drogues douces : limitée. Celle-ci est réservée aux professionnels.
    • Vente de drogues douces : limitée. Celle-ci est réservée aux professionnels de la santé.

    • Consommation de drogues dures et d'autres stupéfiants : limitée. Celle-ci est encadrée par des chamans agréés pour certains stupéfiants.
    • Production de drogues dures et d'autres stupéfiants : limitée. Celle-ci est aussi encadrée par des chamans agréés pour certains stupéfiants.
    • Vente de drogues dures et d'autres stupéfiants : interdite.

    • Orpaillage : limité. Droit peut-être accordé sous contrôle de l'Etat.
    • Déboisement : limité. Restreint par des quotas d'abattage par secteur.

    • Écoles publiques : autorisées. Elles sont prises en charge par les institutions publiques locales.
    • Écoles privées : autorisées. Pour tous les types d'enseignement.
    • Enseignement des théories évolutionnistes : autorisées.
    • Enseignement des théories du genre : interdites.
    • Violences sur élèves : limitées.
    七 : INSTRUCTION
    A- Instruction PériscolaireA- 1. / A- 2. / A- 3.

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    3559
    七 : INSTRUCTION
    B- Primaire & SecondaireB- 1. / B- 2. / B- 3.

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    B- °. Uniformes

    Bien qu'en Maronhi soit imposé aux établissements publics comme privés, gratuits comme payants d'exiger le port d'uniformes à leurs élèves, ces établissements ont cependant un choix plus ou moins libre quant aux uniformes choisis. Ainsi, certains établissements peuvent exiger des tenues traditionnelles des différentes cultures créoles-nazumis comme autochtones-maronhos, mais aussi des uniformes plus occidentalisés. Il existe cependant une tendance d'uniformes scolaires répandue, pour le primaire comme le secondaire.

    Les uniformes scolaires maronhiens les plus communs se composent généralement de kimonos traditionnels pour les garçons, avec des hakamas assortis. Ces kimonos sont souvent de couleur sombre ou sobre, reflétant la simplicité et la discipline attendues dans le contexte scolaire. Les hakamas, ces larges pantalons, ajoutent une touche de formalité et de dignité à l'ensemble, tout en facilitant les mouvements nécessaires. Pour les filles, les uniformes scolaires se composent de kimonos avec des jupes longues, conçues pour refléter la modestie et l'élégance. Les kimonos des filles sont souvent de couleurs plus chaudes et chatoyantes, souvent agrémentés de motifs subtils. Des obis, ces larges ceintures ornementales, sont parfois portées autour de la taille, ajoutant une touche de raffinement à l'ensemble de l'uniforme.

    Comme signe distinctif d'appartenance à un établissement, sont souvent choisis une casquette type pour les garçons, ornée de l'emblème dudit établissement, et une jupe type pour les filles, à la couleur choisie par celui-ci. Dans une commune ne peuvent coexister deux établissements imposants la même casquette ou la même jupe.

    Quant aux souliers, bien qu'il n'existe pas non plus de règle nationale, la plupart des établissements tolèrent généralement deux formes en dehors des activités sportives du cadre scolaire : les chaussures fermées en cuir et les chausses geta ou dérivés. Pour les établissements du primaire, la tendance est généralement à une imposition stricte de la geta, ou autres dérivés pour les régions plus autochtones ou cathayennes. Pour les établissements du secondaire, la tendance est plus partagée. À noter, qu'en intérieur, est demandé aux élèves, du fait de la présence à l'échelle nationale de la pratique, de retirer leurs souliers, que ceux-ci soient fermés ou non, ou que les élèves portent des chaussettes ou non.

    La sacoche, équivalent du cartable occidental pour les élèves maronhiens, doivent pour tous, à l'échelle du pays, répondre aux critères imposés par le Département de l'Instruction. Ceux-ci ne sont permis à la vente qu'à quelques compagnies de vente agréées et à l'achat que dans le pur cadre scolaire. Pouvant êtres recouverts par une bâche rétroréfléchissante censée attirer le regard et la vigilance, ils sont l'élément central permettant d'identifier un élève. L'étiquette d'identité interne de chaque sacoche doit obligatoirement être complétée, et ce avec les bonnes informations relatives au propriétaire de ladite sacoche.

    Uniformes communs du primaire & secondaire pour filles & garçons. Uniformes communs du primaire & secondaire pour filles & garçons.Uniformes communs du primaire & secondaire pour filles & garçons.Uniformes communs du primaire & secondaire pour filles & garçons.Uniformes communs du primaire & secondaire pour filles & garçons.Uniformes communs du primaire & secondaire pour filles & garçons.Uniformes communs du primaire & secondaire pour filles & garçons.Uniformes communs du primaire & secondaire pour filles & garçons.Uniformes communs du primaire & secondaire pour filles & garçons.Uniformes communs du primaire & secondaire pour filles & garçons.Uniformes communs du primaire & secondaire pour filles & garçons.Uniformes communs du primaire & secondaire pour filles & garçons.Uniformes communs du primaire & secondaire pour filles & garçons.
    Uniformes communs du primaire & secondaire pour filles & garçons.

    À remplir.
    七 : INSTRUCTION
    C- Études SupérieuresC- 1. / C- 2. / C- 3.

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