[11/06/2012-15/11/2012] Okaristan - le conflit est terminé. - Page 2

11 Juin 2012
Bataille de Dąbrotyn : bombardements Loduariens

Pas moins de cinq explosions importantes ont embrasées le nord est de la ville cet après-midi aux environs de 18 heures. Les missiles, tirés au large d’Eclipsia et se sont principalement abattus sur des zones tenues par les forces expéditionnaires tcharnoves. Si l’on se base sur leur relatif manque de précision, ces missiles n’étaient sans doute pas équipés d’électronique complexe, ce qui est plutôt une bonne chose pour les forces rebelles et affiliées : chaque missile s’écrasant au milieu d’une rue ou d’un bâtiment a eu la décence de ne pas éventrer de casernes ou de blindés. Pour autant c'est plus d'une dizaine de ceux-là qui auront été touchés, ralentissant considérablement la tentative de rebelles de prendre la ville en les privant d'une partie de leur avantage matériel.

Le constat est aussi amer que déstabilisant pour la coalition : certains font déjà remarquer que rien n'a été fait pour empêcher ces missiles d'accomplir leur mission, d'autres se demandent si ce bombardement pourrait être la première étape d'une intervention loduarienne plus importante.


MJ conflit a écrit :Bonus/malus détaillés:
Rebelles (Tcharnovie) Pas de bonus ni malus, justificatif RP possible : Les forces rebelles n'ont pas pu ou pas voulu poursuivre les appareils Loduariens.
UNCS (Kronos) Bonus 25%, justificatif RP possible : possible avantage de l'effet de surprise. La guerre urbaine s'organise ici en fronts quasiment figés offrant des zones claires à frapper. Pas d'aviation ennemie déployée pouvant perturber les opérations.

PERTES*


Forces bombardées
Tcharnovie
1 000 soldats professionnels (-47)
2 000 armes légères d'infanterie ( Niveau 5 ) (-47)
200 mitrailleuses ( Niveau 4 )
20 transports de troupes blindés ( Niveau 1 ) (-6)
50 véhicules de Combat d'infanterie ( Niveau 1 ) (-5)
20 avions ravitailleurs ( Niveau 2 )
10 avions de chasse ( Niveau 1 )

Missiles loduariens
Loduarie
5 Missile de croisière air-sol ( Niveau 1) (-5)

* les pertes de soldats annoncées sont assimilables à des combattants tués, blessés/mutilés, démissionnaires/déserteurs, capturés. Les ratios entre chaque cas sont à l'appréciation des parties concernées.

Fini de rigoler.


Opération Dalmata Rouge - CLASSÉ SECRET DÉFENSE


Éléments Loduariens déployés, comportant des troupes et du matériel.

Notes relatives à l'opération Scalpel Bleu : L'opération Scalpel Bleu, aux yeux de l'état major, est une réussite. Elle a permis de démontrer, d'une, la capacité de projection Loduarienne en conflit, de deux, sa capacité à mener des frappes aériennes ciblés et réussies, et de trois, rétablir une certaine forme de puissance Loduarienne. Désormais, l'opération Scalpel Bleu, qui était une opération censé être éphémère, s'est muté en opération de grande échelle, sensé démontrer une bonne fois pour toute la puissance Loduarienne. Cette nouvelle opération est nommé Dalmata Rouge, et se découpera en plusieurs missions annexes. L'opération Scalpel Bleu, quant à elle, est toujours d'actualité.
Lieu de l'opération : Grande République Populaire d'Okaristan
Type d'opération : Débarquement côtier, débarquement aérien, soutien militaire, déploiement à grande échelle, bombardement naval, bombardement aérien, destruction d'unités au sol, nettoyage post-opératoire.
Objectifs de l'opération :

• Établir une tête de pont solide en Okaristan, permettant le déploiement d'unités militaires Loduariennes en Okaristan.
• Parvenir à pénétrer suffisamment en Okaristan pour permettre à la Loduarie de mener des opérations avancées sur le territoire Okaristanais.
• Sécuriser des lieux considérés comme stratégiques par le pouvoir Loduarien en Okaristan.
• Faire partir toutes les unités étrangères du sol Okaristanais, par la diplomatie ou la violence.
• Permettre à l'Okaristan de se pacifier et éviter toute guerre meurtrière.

Matériel mobilisé :

• 1 destroyeur de première génération
• 1 frégate de 2ème génération
• 2 corvettes de 4ème génération
• 2 patrouilleurs de 4ème génération
• 1 porte-hélicoptère de 4ème génération
• 1 porte-avions de première génération
• 1 transporteur de chalands de débarquement de 3ème génération
• 5 chalands de débarquement de 5ème génération
• 2 navires cargos de 6ème génération
• 1 navire cargo de 2ème génération
• 2 navires cargos de première génération
• 2 pétroliers ravitailleurs de 5ème génération
• 5 avions de chasse de première génération
• 10 avions de chasse de 3ème génération
• 5 avions de chasse de 4ème génération
• 5 chasseurs bombardiers de première génération
• 5 avions d'attaque au sol de première génération
• 15 hélicoptères d'attaque de première génération
• 5 hélicoptères d'attaque de 3ème génération
• 10 hélicoptères légers polyvalents de première génération
• 5 hélicoptères de transport moyen de 3ème génération
• 2 hélicoptères de transport lourd de première génération
• 2 drones de reconnaissance de première génération
• 10 missiles mer-sol de première génération
• 5 missiles air-sol de première génération
• 50 véhicules de combat d'infanterie de 2ème génération
• 30 chars légers de première génération
• 10 chars d'assaut de première génération
• 20 chars d'assaut de 2ème génération
• 10 lance-roquettes multiples de première génération
• 10 canons automoteurs de première génération
• 50 véhicules de transport de troupes blindés
• 4 camions citernes de première génération
• 3 véhicules radars de 2ème génération
• 5 véhicules de transmission radio de 2ème génération
• 2 buldozers de première génération
• 20 camions de transport de 3ème génération
• 4000 soldats professionnels
• 2000 armes légères d'infanterie de 4ème génération
• 2000 armes légères de 9ème génération
• 200 mitrailleuses lourdes de 3ème génération
• 100 lance-roquettes de 2ème génération
• 100 lance-missiles antichars de 2ème génération
• 100 mortiers légers de première génération
• 100 mines antichar de première génération
• 500 mines antipersonel de première génération

Trajet de l'opération : Les forces Loduariennes se préparent à cette opération depuis le 12 juin, et partent du port de Dolinne le 20 août. Elles passent par la manche Blanche, et s'attendent à être intercepté par les forces pirates de Kotios, ce qui n'arrivera pas, la Loduarie ayant négocié le droit de passage maritime en l'échange de 5000 points de développement.
Déroulé de l'opération : Les forces Loduariennes vont opérer un débarquement naval et aérien en Okaristan, à l'aide de la force de débarquement Loduarienne et de la force aérienne Loduarienne. Celle-ci ont déjà mené des exercices de débarquement, notamment au début de l'année 2012, la pratique en elle-même ne sera pas un problème. De plus, la Loduarie ne s'attend pas à une résistance farouche : en effet, les capacités de détection des révolutionnaires Okaristanais et de leurs alliés sont très peu développés voir inexistants, et leurs forces sont regroupés dans d'autres lieux, tous comme leurs combats.
Le débarquement se structure en trois étapes :

• Étape 1 : nettoyage et repérage.
20 hélicoptères de combat Loduariens décollent, précédés de deux drones de reconnaissance. Ils se dirigent vers les côtes, et opèrent un repérage méthodique afin de repérer la meilleure zone de débarquement, et si besoin, éliminer les forces rebelles hypothétiquement présentes.

• Étape 2 : débarquement préalable.
5 chalands de débarquement sont lâchés par le transporteur de chalands de débarquement Loduarien, et se dirigent vers la zone de débarquement repéré. Chaque chalands comporte 1 char de 2ème génération, 1 véhicule de combat d'infanterie de 2ème génération et 20 soldats équipés d'armes légeres d'infanterie de 9ème génération. 5 hélicoptères de transport moyen débarquent chacun 16 soldats équipés d'armes légères d'infanterie de 9ème génération et 2 lance-roquettes. 2 hélicoptères de transport lourds débarquent 2 chars légers chacuns.

• Étape 3 : installation.
Une fois la zone sécurisé, l'intégralité des forces Loduariennes sont débarqués des navires cargos, du porte-hélicoptère, du porte-avion et du transporteur de chalands. Les forces Loduariennes procèdent à une installation d'un camp militaire, ainsi que plusieurs autres installations militaires visant à la logistique du camp et sa protection.

Après l'installation du camp, les forces aériennes Loduariennes procèdent à un nouveau bombardement aérien de nuit sur les forces Tcharnoves et leurs alliés à l'aide de 5 avions d'attaque au sol, 5 chasseurs bombardiers, 5 missiles air-sol et 10 missiles mer-sol. 2 drones de reconnaissance sont employés afin de guider au mieux les missiles mer-sol tirés depuis les navires Loduariens, repérer le maximum d'unités au sol et maximiser les dégâts. Les avions d'attaque au sol ciblent les unités terrestres et son équipés de munitions au phosphore blanc, maximisant les dégâts aux soldats mais pas aux véhicules blindés. Les chasseurs bombardiers, quand à eux, procèdent à des tirs de missiles air-sol sur l'aérodrome, et éliminent les avions de chasse basés au sol. Si ceux-ci décollent, l'aviation de chasse Loduarienne sera envoyé les abbatre.

Après cette attaque, l'armé Loduarienne enverra un ultimatum aux forces ennemie : se rendre, et être renvoyé dans sa nation, ou périr.

Rapport préliminaire à l'opération Dalmata Rouge-CLASSÉ SECRET DÉFENSE

Par l'état-major, à l'intention du Camarade Secrétaire Général Gereart-Wojtkowiak Lorenzo,

Après une étude fine de la situation en Okaristan, nous en sommes venus à un rapport incluant toutes les stratégies possibles de l'adversaire en Okaristan, à savoir les forces Tcharnoves et leur alliés mercenaires, ainsi que notre stratégie destinée à contrer les forces ennemies.

• La tête de pont qui vise à être installée en Okaristan sera simple à installer si on s'en tient au plan, sans dérive. Nos forces devraient pouvoir le réussir sans problème, et ne pas non plus êtres dérangés par les forces ennemies; en effet si celle-ci possèdent peut-être des unités radar sur leur territoire national, il n'a pas été fait preuve de leur présence sur le territoire Okaristanais. Même pour leur communication radio. Une coordination efficace de leurs forces pour contrer notre débarquement est donc à exclure immédiatement, et si jamais les forces ennemies arrivaient, par un quelconque miracle, à placer face à nos forces une puissance de feu à peine équivalente, notre force aéronavale serait à même de les éliminer facilement.
• L'implantation d'un camp temporaire sera réalisé plus rapidement qu'il n'a pu l'être fait pour le Mokhai. De plus, cette fois-ci, nous disposons de meilleures moyens de protection et d'attaque. Le terrain est en effet à notre faveur : pas de jungle, pas de ville. Nous avons presque champ libre, le seul obstacle serait des forces ennemies dispersés, et ainsi donc faciles à éliminer au vu de nos moyens déployés. Néanmoins, le moins de temps devra être employé pour mettre sur pied ce camp, et les infrastructures telles que les défenses, le support logistique et des infrastructures médicales devront êtres privilégiés.
• Notre assaut aérien, dans le cadre de l'opération Scalpel Bleu, devrait être bien plus réussie que notre premier bombardement à l'encontre des forces ennemies, le 12 juin. En l'état, les forces ennemies ont étés bien choqués par notre premier assaut, et le deuxième sera autant plus massif, de telle manière que nous estimons que les dégâts infligés à l'ennemi seront augmentés de 200% par rapport à la première attaque. Même chose que pour les divisions radars, nos forces n'ont pas fait état d'une présence anti-aérienne ennemie, ce qui va grandement faciliter notre assaut. Si du moins il venait à y avoir une présence anti-aérienne ennemie, celle-ci est visiblement encore à l'état de production et n'est pas engagée.
Sitôt notre assaut aérien opéré, nous procéderons à un ultimatum visant à obtenir de reddition des forces ennemies, afin d'éviter toute nouvelle effusion de sang importante. Si l'ennemi refuse, nous lancerons l'offensive.

• Néanmoins, avant de lancer une offensive correcte, nous devrons mettre en place une logistique correcte à l'arrière. En l'état, même si contrairement à l'ennemi, nous disposons d'une logistique certaine, celle-ci ne sera pas assez importante pour suivre nos unités blindés. Ainsi, il faudra attendre que notre logistique soit suffisamment développé à l'arrière pour lancer toute offensive d'ampleur. La question de la protection de nos unités logistiques, quant à elle, est à privilégier avant tout. C'est ce support logistique qui nous permettra de tenir un front efficace.
Nous pourrons néanmoins mener des assauts éclairs et légers sur des positions ennemies qui viendraient à êtres détectés.

• Nos forces navales peuvent prendre en charge la défense antiaérienne et la détection radar. De plus, ayant déployé des navires de dernière génération avec des supports radars importants, la possibilité d'un renforcement des forces ennemies par les airs ou la mer est à exclure d'emblé. Nos forces navales sont assez efficaces pour les en empêcher.
• Il faudra également définir, dans un autre rapport, la suite exacte de l'opération en Okaristan, si nos forces parviennent à tenir face à l'ennemi. Ce qui devrait, en toute logique, réussir.

En conclusion, nos forces sont à même de réussir un débarquement en bonne et dûe forme en Okaristan. Une résistance ennemie efficace n'est pas à exclure, mais néanmoins reste fortement improbable et facile à éliminer, au vu de nos forces déployés, aussi bien au niveau aérien, naval et terrestre. Un moyen d'améliorer rapidement notre logistique sera à trouver, et impérativement, si nous tenons à tenir un front efficace et des victoires fulgurantes.

Le conflit de Dunaske approchait de sa fin. Les forces Tcharnoves progressaient très rapidement grâce à la hargne de savoir qu'ils n'avaient plus de camp. Les Rus've ne cessaient le feu, très rapidement, les Okaristanais oppressés de tous les côtés se rendirent. Les Forces révolutionnaires triomphaient et étaient fières de leur victoire, tout en annonçant partout que la victoire avait eu lieu, les soldats s'empressèrent d'aménager un camp dans Dunaske. Ils avaient enfin affiché une réussite pour commencer sur les chapeaux de roues la guerre. Dans le nouveau camp de Dunaske, la joie triomphait partout. Tous fiers de la réussite ils savaient malgré tout que cela n'était que le début glorieux d'un long et terrible combat qui ne faisait que montrer son début. Dans tous les esprits régnaient la joie certes, mais également un sombre et étrange sentiment de peur, et d'angoisse quant à l'inconnu qui approche : la suite de la guerre. Ce n'était qu'un fin trait de la futur guerre qui s'annonçait.

La victoire avait également causé un macabre feu sanglant. Les pertes étaient de chaque côté. Les barres d'immeubles de banlieues autrefois sombre l'était d'autant plus avec la macabre spectacle qu'y avait laissé la bataille. Au total, parmi les 1000 tcharnoves, 53 y ont laissé leur peau, et 31 ont été mutilés par les ogres rouges. Parmi les 3000 Rus've, ce sont 189 courageux qui y ont laissé leur peau, et 74 qui ont été blessé plus ou moins gravement par les okaristanais. Parmis les 200 révolutionnaires, 42 ont été laissés 6 pieds sous terres, 27 ont été déclarés blessés. Cette longue bataille aura causé des longues minutes de silence, pour honorer l'esprit de ces vaillants soldats morts au combat en héros.

Suite à l’attaque aérienne loduarienne, les Bérets rouges ont rapidement fait convoyer tous leurs véhicules radar disponibles en Okaristan. Couplé à la cinquantaine de canons antiaériens mobiles déjà sur place, ce réseau pouvait s’avérer redoutable contre les cibles volantes. De plus, la portée des radars étant d'environ 500 km, cela laissait le temps aux troupes de se préparer en conséquence. Et cette portée, les Bérets rouges ainsi que les forces alliées allaient en avoir grandement besoin.

Un mois après le bombardement de la Loduarie, le moment tant redouté arriva. La Loduarie avait lancé son plan d’invasion (ou de soutien selon le côté) de l’Okaristan. Le plan est bien rodé, à ceci près qu’une flotte de cette taille ne passe pas inaperçue. En fait, dès que la flotte passa le détroit entre Zélandia et Uspon, la majorité des nations étaient au courant de ce qui se passait.

2h00

Soldat – Commandant Anchorage, on a un signal sur les radars.

Kerl Anchorage – C’est la flotte loduarienne ?

Soldat – On ne peut pas encore savoir, faudrait attendre un peu pour voir si on capte plus de signaux collés les uns aux autres.

Kerl Anchorage – D’accord, prévenez-moi s'il y a du nouveau.


2h20

Soldat – Commandant, ça mord.

Kerl Anchorage – Alors, qu’est-ce qu’on a ?

Soldat – Vu qu'ils sont loin, ce n’est pas précis, mais je dirais entre 10 et 40 navires.

Kerl Anchorage – Bon, ça pourrait être pire, quoi que. Quelle est leur trajectoire ?

Soldat – On ne peut pas en être sûr, mais il semblerait qu'ils viennent par ici.

Kerl Anchorage – Bon, c’est logique, il n'y a pas de doute. Ils arrivent dans combien de temps ?

Soldat – Au vu de leur progression durant les 20 minutes, je dirais qu'ils seront là dans 12 heures, plus quelques heures pour préparer le débarquement si c’est ça qu'ils prévoient.

Kerl Anchorage – Ok, on reste en contact, je vais au QG allié.


2h40

Kerl Anchorage – Amenez-moi auprès de l'état.

Rebelle Okaristanais – Bien.

Kerl Anchorage – Messieurs, nous avons un problème. Nos radars ont détecté une flotte que nous identifions comme celle de la Loduarie, et elle sera là dans environs 12 heures.

24/07/2012

Réponse à ce poste
Konstantin Magnus salua d'un geste ample l'impérial venu parlementer.

- Monsieur l'ambassadeur, c'est un plaisir de vous rencontrer ! Nous sommes chargés de veiller à la sécurité de la Manche Blanche et des suspicions de contrebande sont parvenus à nos oreilles, j'en suis navré mais il s'agit d'une procédure standarde dans le cadre de la lutte contre la piraterie, nous allons devoir escorter vos navires jusqu'à Kotios pour un contrôle de routine. Si vous le voulez bien, quelques uns de mes hommes vont monter à votre bord pour vous expliquer la marche à suivre pendant que nos vedettes s'assureront de votre sécurité grâce aux lances-missiles que voici. Considérez cela comme un malheureux contre-temps, je suis certain que vous pourrez reprendre votre route d'ici peu.

- Bien, j'imagine que nous n'avons pas le choix de toute manière. Repartons promptement, je ne tiens pas à m'éterniser ici marin koyotite.

Le capitaine revint sur son navire accompagné de quelques pirates. D'autre montèrent dans le deuxième cargo et les navires partirent vers Kotios.

URAKAN a écrit :Suite à l’attaque aérienne loduarienne, les Bérets rouges ont rapidement fait convoyer tous leurs véhicules radar disponibles en Okaristan. Couplé à la cinquantaine de canons antiaériens mobiles déjà sur place, ce réseau pouvait s’avérer redoutable contre les cibles volantes. De plus, la portée des radars étant d'environ 500 km, cela laissait le temps aux troupes de se préparer en conséquence. Et cette portée, les Bérets rouges ainsi que les forces alliées allaient en avoir grandement besoin.

Un mois après le bombardement de la Loduarie, le moment tant redouté arriva. La Loduarie avait lancé son plan d’invasion (ou de soutien selon le côté) de l’Okaristan. Le plan est bien rodé, à ceci près qu’une flotte de cette taille ne passe pas inaperçue. En fait, dès que la flotte passa le détroit entre Zélandia et Uspon, la majorité des nations étaient au courant de ce qui se passait.

2h00

Soldat – Commandant Anchorage, on a un signal sur les radars.

Kerl Anchorage – C’est la flotte loduarienne ?

Soldat – On ne peut pas encore savoir, faudrait attendre un peu pour voir si on capte plus de signaux collés les uns aux autres.

Kerl Anchorage – D’accord, prévenez-moi s'il y a du nouveau.


2h20

Soldat – Commandant, ça mord.

Kerl Anchorage – Alors, qu’est-ce qu’on a ?

Soldat – Vu qu'ils sont loin, ce n’est pas précis, mais je dirais entre 10 et 40 navires.

Kerl Anchorage – Bon, ça pourrait être pire, quoi que. Quelle est leur trajectoire ?

Soldat – On ne peut pas en être sûr, mais il semblerait qu'ils viennent par ici.

Kerl Anchorage – Bon, c’est logique, il n'y a pas de doute. Ils arrivent dans combien de temps ?

Soldat – Au vu de leur progression durant les 20 minutes, je dirais qu'ils seront là dans 12 heures, plus quelques heures pour préparer le débarquement si c’est ça qu'ils prévoient.

Kerl Anchorage – Ok, on reste en contact, je vais au QG allié.


2h40

Kerl Anchorage – Amenez-moi auprès de l'état.

Rebelle Okaristanais – Bien.

Kerl Anchorage – Messieurs, nous avons un problème. Nos radars ont détecté une flotte que nous identifions comme celle de la Loduarie, et elle sera là dans environs 12 heures.

24/07/2012

Le rebelle amena Kerl au QG allié de l'oblast de Zladingrad, là-bas, il rencontra Viliam Baník, un haut gradé du mouvement révolutionnaire qui coordonnait entre autre les opérations à Zladingrad. Lorsque Kerl lui expliqua la situation, il commença à devenir fou de rage, et immédiatement, il prévenait ses autres camarades de la révolution :
"Camarades, les loduariens ne veulent rien lâcher, ces sales rouges continuent à manifester résistance et à continuer de nous attaquer lâchement à distance. Les radars raskenois ont détecté une potentielle flotte venue faire un débarquement. On n'en sait que peu sur ce qu'il se passe mais on suppose qu'il faudra préparer une défense près des côtes. Kerl aurait une stratégie à proposer selon ses dires, je vais vous la confier par la suite pour mieux planifier tout ça, en attendant, faites patienter l'offensive de Kezca, pas maintenant, on n'en a pas encore besoin..."

Quelques longues minutes plus tard, il retourna à sa communication :
"Le projet est de n'opposer aucune résistance pendant que d'autres les prennent par surprise en sabotant leur matériel pour les empêcher de repartir, après ça on les capture ou on les tue, c'est pas encore défini, à voir. Par contre, on ne sait ni leur nombre, ni où il vont arriver. Pour cela on reste donc dans l'inconnu total. Bref dans tous les cas, dites à tous les gars de rester sur leurs gardes, l'ennemi peut frapper à tout instant sur n'importe quelle côte. Prévenez également les pirates, on sait jamais."

Rapport militaire secret a écrit :Résumé secret de la stratégie opérationnelle Loduarienne en Okaristan

Légende :

• Flèches bleues : arrivée de la flotte Loduarienne
• Flèches jaunes : débarquement Loduarien
• Flèche vertes : déplacement de la flotte Loduarienne après débarquement
• Flèche violette : opération aérienne Loduarienne
• Rond rose : flotte Loduarienne pendant l'opération aérienne
• Rouge : zone contrôlé par le gouvernement Okaristanais
• Bleu : zone contrôlé par les forces rebelles et ennemies
• Vert : zone contrôlé par les forces pirates rebelles

Le débarquement Loduarien, réalisé sur l'extrémité est du pays, vise à l'implantation d'une force militaire stabilisé et à poser les fondements d'une opération à la faveur de la Loduarie. La Loduarie peut en théorie compter sur l'aide de la Lutharovie voisine.
L'offensive terrestre est donc sensé se passer sans problème et opposition, la voie étant libre.

L'offensive aérienne, elle, vise à frapper un bon coup dans les forces ennemies dans le but d'obtenir une reddition.
Celle-ci se passe la nuit, de manière à surprendre le plus les forces ennemies et ne pas se faire repérer.
Ainsi donc, considérant que l'ennemi est bien installé dans la zone littorale ouest, l'aviation Loduarienne compte prendre à revers les forces ennemies.
Bien que les forces ennemies disposent de radars puissants, elles n'ont aucun moyen de faire transiter leurs informations par radio, ne disposant d'aucune transmission radio engagée en conflit, rendant vulnérable les forces ennemies au sol et dans les airs.
La question de l'aviation ennemie n'est donc pas un problème, ne pouvant se repérer efficacement du fait que l'assaut se passe de nuit et que la transmission radio est inexistante.
Le seul véritable problème pour l'aviation Loduarienne est donc la présence de DCA ennemie. Pour parer à celle-ci, les forces Loduariennes ont à leur disposition 15 missiles de croisière, qui devront pouvoir saturer et détruire une part de la DCA ennemie. Le reste pourra être détruite par l'aviation d'attaque au sol, les chasseurs bombardiers et les hélicoptères de combat.
En plus de cette puissance aérienne certaine, les forces Loduariennes disposent d'un soutien naval, apportant radar pour détecter des cibles aériennes, transmission radio, antiaérienne si possible et soutien au sol par l'utilisation des obusiers navals.

Les forces Loduariennes engagées sont donc celles-ci :

• 1 destroyeur de première génération
• 1 frégate de 2ème génération
• 2 corvettes de 4ème génération
• 2 patrouilleurs de 4ème génération
• 1 porte-hélicoptère de 4ème génération
• 1 porte-avions de première génération
• 5 avions de chasse de première génération
• 10 avions de chasse de 3ème génération
• 5 avions de chasse de 4ème génération
• 5 chasseurs bombardiers de première génération
• 5 avions d'attaque au sol de première génération
• 15 hélicoptères d'attaque de première génération
• 5 hélicoptères d'attaque de 3ème génération
• 10 hélicoptères légers polyvalents de première génération
• 2 drones de reconnaissance de première génération
• 10 missiles mer-sol de première génération
• 5 missiles air-sol de première génération

Une fois les forces ennemies suffisamment touchées et les forces Loduariennes à cours de munitions, la force aérienne retourne sur les plate-formes navales Loduariennes se ravitailler. Si besoin, de nouveaux assauts aériens seront prévus.

Du plus, un ultimatum est envoyé au forces ennemies : se rendre ou l'anéantissement.

"Étoile Rouge vous me recevez ? Étoile Rouge...
– Étoile Rouge, je vous reçois 5 sur 5.
– Toutes les cibles ont été éliminées Étoile Rouge. Rentrez au bercail.
11 Novembre 2012
Opération Dalmata Rouge

Beaucoup auront observé l’arrivée d’une flotte Loduarienne comme le début de lourdes complications pour la coalition internationale soutenant les forces rebelles dans le conflit Okaristanais. S’il était sans doute prévisible de voir la plus interventionniste des forces eurycommunistes s’impliquer dans une enième guerre menaçant ses alliés naturels, de nombreuses questions demeuraient quant à la forme que prendrait cette intervention. Finalement, il ne fut pas question d’un débarquement sur les zones contrôlées par les rebelles mais d’un bombardement aérien de ces dernières, lancé depuis un porte-avion et soutenu par des missiles tirés depuis la flotte eurycommuniste, dont le navire amiral pilonna aussi une partie du dispositif défensif côtier installé lors des derniers mois par la coalition.

L’escadrille de chasse tcharnoves présente dans la région fut insuffisante – tant sur le plan numérique que technologique – pour empêcher d’opérer l’aviation loduarienne, laquelle fut précédée par une pluie de missiles s’abattant sur les positions ennemies, notamment sur les canons antiaériens coalisés, repérés en amont par des drones. Ces mêmes canons, technologiquement dépassés, ne représentaient de toute façon pas un risque trop important pour le corps expéditionnaire loduarien qui fut en mesure de mener une longue campagne de bombardement. Si les deux côtés ont subits des pertes matérielles importantes, l’objectif premier des loduariens : affaiblir les forces ennemies, limiter au maximum leur contrôle du ciel et nuire à leur capacité logistique et de déploiement, semble globalement atteint.

L'aviation Loduarienne a gagnée cette manche.
MJ conflit a écrit :Bonus/malus détaillés:
Rebelles et Coalition Internationale Bonus - 8%, justificatif RP possible : la coalition manque de moyens de communication (Véhicule de transmission radio) et doit encore consolider le contrôle des régions récemment prises au régime.
Loduarie Bonus - 5%, justificatif RP possible : la Loduarie manque d'informations sur ses cibles et se déploie dans l'urgence.

PERTES*


Coalition internationale
Tcharnovie
953 Soldats professionnels (-249)
953 Armes légères d'infanterie (Niveau 5) (-249)
200 Mitrailleuse lourde (Niveau 4) (-4)
14 Transport de troupes blindé (Niveau 1) (-4)
45 Véhicule de combat d'infanterie (Niveau 1) (-2)
20 Avion ravitailleur (Niveau 2) (-9)
10 Avion de chasse (Niveau 1) (-8)

Bérets Rouges
1000 Soldats professionnels (-439)
1000 Armes légères d'infanterie (Niveau 11) (-439)
40 Mitrailleuse lourde (Niveau 6) (-40)
10 Lance-roquettes (Niveau 5) (-4)
2 Mortier léger (Niveau 5) (-2)
2 Mortier tracté (Niveau 2) (-2)
1 Transport de troupes blindé (Niveau 4) (-1)
2 Véhicule de combat d'infanterie (Niveau 2) (-2)
10 Camion de transport (Niveau 2) (-6)
1 Hélicoptère de transport moyen (Niveau 1) (-1)
50 Canon antiaérien mobile (Niveau 4) (-41)
20 Véhicule radar (Niveau 5) (-4)


Régime
Loduarie
1 Frégate (Niveau 2)
5 Avion de chasse (Niveau 1) (-4)
10 Avion de chasse (Niveau 3) (-2)
5 Avion de chasse (Niveau 4) (-1)
5 Chasseur-bombardier (Niveau 1)
5 Avion d'attaque au sol (Niveau 1) (-2)
15 Hélicoptère d'attaque (Niveau 1)
5 Hélicoptère d'attaque (Niveau 3) (-2)
10 Hélicoptère léger polyvalent (Niveau 1) (-2)
2 Drone de reconnaissance (Niveau 1)
10 Missile de croisière (Niveau 1) (-10)
5 Missile de croisière (Niveau 1) (-5)
17 Soldats professionnels (-17)


* les pertes de soldats annoncées sont assimilables à des combattants tués, blessés/mutilés, démissionnaires/déserteurs, capturés. Les ratios entre chaque cas sont à l'appréciation des parties concernées.

A huis-clos, la piraterie signe les accords de Kotios avec l'Empire du Nord


Ils ont repris la mer comme ils avaient été arraisonnés, sans que la Commune n'ait fait de déclaration officielle, sans que le Pharois n'ait annoncé s'en être mêlé, somme toute comme si rien, non rien ne s'était passé. Les cargos nordistes sortirent des ports pirates de Kotios pour rejoindre la Manche Blanche dans un silence pudique. Les plus futés regardèrent ailleurs, les journalistes curieux soulevèrent quelques questions mais somme toute, dans ce grand chaos, l'affaire semblait rendue à un non-événement.

La piraterie ne cherchait pas à se faire des ennemis, elle en avait assez sur le dos pour ne pas se les y mettre délibérément. Mais il fallait envoyer un message : pour les adversaires de la liberté, les mers du nord ne seraient jamais un endroit sûr. A moins de traiter directement avec leurs protecteurs. Le Pharois avait obtenu, en secret, une garantie de non intervention de l'Empire dans la région d'Albi. Le sud pouvait bien brûler du reste, cela ne les concernait pas. Plus de chaos, moins de normes, plus de besoins auxquels répondre, autant d'intérêt à venir pour les contrebandiers. Kotios, elle, avait demandé de l'argent. La Fraternité se maintenait au pouvoir en perfusant la commune des dividendes de la piraterie, elle entendait bien justifier sa place centrale dans l'échiquier politique kotioïte. Cinq milles unités internationales, en cash. Intraçable, directement injectée dans les infrastructures, le marché noir, et les notes de frais en alcool et cannabis. On trinquerait ce soir à la bonne santé du généreux Empereur du nord, sur les quais de Kotios.

Quant aux cargos, ils arrivèrent à bon port. Seulement un peu en retard, c'est vrai. Discrètement, avec pudeur, le Pharois se faisait une nouvelle fois faiseur de roi.

Vous ne passerez pas.

Le bloquage des forces navales de l'Empire du Nord avait été une véritable aubaine pour les forces Loduariennes. Ni une ni deux, les forces navales Loduariennes s'étaient implanté autour de l'Okaristan, elles et leurs radars.
L'Empire du Nord avait évité le blocus Loduarien à l'ouest, mais ne pouvait éviter celui qui les attendait à l'est.
Non, la Loduarie veillait au grain, et veillait à ce que aucun support logistique, aérien comme naval, arrive à bon port en Okaristan. Tout comme terrestre, d'ailleurs.

L'Empire avait deux choix. Se rendre, et voir son aviation et/ou ses navires temporairement détournés, ou périr.
Tout simplement.

Matériel Loduarien utilisé a écrit :

• 1 destroyeur de première génération
• 1 frégate de 2ème génération
• 2 corvettes de 4ème génération
• 2 patrouilleurs de 4ème génération
• 1 porte-hélicoptère de 4ème génération
• 1 porte-avions de première génération
• 1 avions de chasse de première génération
• 8 avions de chasse de 3ème génération
• 4 avions de chasse de 4ème génération
• 5 chasseurs bombardiers de première génération
• 3 avions d'attaque au sol de première génération
• 15 hélicoptères d'attaque de première génération
• 3 hélicoptères d'attaque de 3ème génération
• 8 hélicoptères légers polyvalents de première génération
• 2 drones de reconnaissance de première génération

14 Novembre 2012, une date historique, la fin du règne rouge.

La nouvelle est tombée ce matin, les troupes des Bérets Rouges ont encerclées, en compagnie des escouades Nordistes et Tcharnoves, Yuriigrad, la capitale de l'Okaristan où sont supposément cachés Maksimov et son bras droit. Après des heures de tentatives pour trouver une stratégie pour la prendre, quand tout à coup, une transmission radio fut place dans le bâtiment :

"1-2 1-2, vous me recevez ? Ici l'escouade okaristanaise qui stationne dans Yuriigrad, on est encerclé donc on a décider de vous abréger le travail, on a pris Maksimov et son enfoiré de bras droit, si vous voulez on vous le livre en échange d'une petite prime. On peut aussi vous donner Yuriigrad, tant que vous nous libérez de cette dictature et que vous nous graciez pour notre aide ! Alors, affaire conclue ?"

Ils n'hésitèrent pas une seule seconde avant de dégainer à leur tour leur radio pour répondre d'un bref mais conscis :

"D'accord, rendez-vous sur la Place Principale de Yuriigrad."

Arrivés là-bas seulement quelques minutes plus tard, ce n'était effectivement pas un mensonge : une brigade communiste s'était bel et bien rebellée pour capturer les dirigeants du pays. La nouvelle fut alors répandue dans tout le pays, les gros titres citaient :
"La fin de la guerre !"
Tandis que le peuple hurlait de joie à tue tête dans tout le pays pour célèbrer, mais leur capture ne signifiait pas la fin, tant qu'ils n'abandonnaient pas, des communistes rôderaient alors encore. Une vidéo fut alors publiée et diffusée partout, du Général Maksimov, donnant son pays à la démocratie et aux révolutionnaires : ils avaient gagné, la fin de la guerre était enfin là, devant eux, ne restait alors plus qu'à faire partir la Loduarie et la guerre était terminée.

Un gouvernement provisoire fut alors établi dans le lieu où siégeait l'assemblée de sécurité, avec un groupe d'une dizaine de hauts gradés révolutionnaires en attendant les élections et la mise en place d'un système politique démocratique et durable. Evidemment cela prendrait du temps de se restructurer, mais pour le moment, l'heure était à la gloire, au triomphe, la nation respirait la liberté, et un vent d'air frais soufflait alors sur les trois oblasts. L'indépendance du Kallland bientôt proclamée, l'ère d'un nouveau pays semblait alors se dresser devant un peuple entier, ivre de joie...

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Le Norjien International - EURYSIE

Sûreté maritime et stabilisation : le gouvernement lance l'Opération Elapida

Face à la déstabilisation de la situation régionale suite à l'invasion loduarienne du Kolcovo, le gouvernement tanskien lance l'opération Elapida en Manche Blanche

Par Oleana Järnefelt (Norja), le 25 novembre 2012



. . .L'annonce a été faite ce matin, la République Fédérale de Tanska a lancé l'opération Elapida. L'objectif de cette opération de patrouille maritime et aérienne est de rétablir et de préserver la stabilité en Manche Blanche Orientale.

L'opération doit garantir une présence navale permanente et une présence aérienne fréquente de Tansa dans la zone où de nombreux troubles sont apparus depuis que la Loduarie Communiste, imposant un blocus inhumain sur les populations civiles du Kolcovo (anciennement Okaristan) a aussi décidé d'en envahir les régions orientales pour y proclamer récemment une pseudo-république.

L'opération doit être active d'une part dans les zones maritimes au sud de la province d'Etelämanner, et d'autre part dans des zones à proximité directe des régions occidentales du Kolcovi. Le commandement de l'opération, assuré à Halvø, est confié au contre-amiral Endre Brekke. Le Parlement Provincial d'Halvø a approuvé, hier, l'opération en commission de défense tandis que le Congrès Fédéral a donné un mandat de 6 mois au gouvernement pour le moment. Les premiers équipages ont pris la mer dès ce matin pour assurer les opérations.


La partie suivante n'est pas contenue dans l'article et figure ici à titre d'indication.

Forces tanskiennes engagées dans la zone de patrouille 1 :
- TMS Fiskur (patrouilleur lvl1)
- TMS Frelsi (corvette lvl1)
- 2 hélicoptère de transport moyen lvl 3
- 89 professionnels

Forces tanskiennes engagées dans la zone de patrouille 2 :
- TMS Mannréttindi (frégate lvl2)
- TMS Jafnrétti (corvette lvl4)
- TMS Samtök (sous-marin d'attaque lvl1) (déploiement non public)
- 1 avion de guerre électronique lvl1
- 2 avions ravitailleurs lvl1
- 12 avions de chasse lvl3
- 2 hélicoptère de transport moyen lvl 3
- 246 professionnels

Les navires tanskiens de la zone de patrouille 1 ne font que patrouiller en mer. Les navires tanskiens de la zone de patrouille 2 assurent une protection des aéronefs déployés et récoltent les informations (disponible par radar, radio, vision, guerre électronique) sur les navires passant dans la zone sans effectuer aucune action, ils sont aidés des deux hélicoptères (1 par navire). Ils ne pénètrent pas le blocus imposé. Les avions de chasses assurent la protection du ciel en effectuant des patrouilles aériennes tout ce qu'il y a de plus classique. L'avion de guerre électronique est la pour faire du renseignement et récupérer toutes les informations pouvant être récoltées sur l'activité aéronavale loduarienne dans la région (HRP en ignore : pour vous donner une idée, c'est ce que font les avions de l'OTAN en Mer noire à quelques dizaines/centaines de km de la Crimée ou depuis les espaces aériens polonais et roumains. Comme indiqué dans l'article, ces missions ne figurent pas dans le mandat officiel, de même que la carte de déploiement).
Les informations récoltées sont ensuite transmises par canaux sécurisés à l'Empire Raskenois.