21/02/2015
18:11:15
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Activités étrangères au Jashuria - Page 2

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2006


Les dés furent lancés.


Il y eut un écarquillement et le poing frappa la table dont le contenu s’envola de quelques millimètres : jetons, bouteille long neck de bière et cendrier.
L’homme aux lunettes de soleil d’aviateur se tourna vers son voisin et le sermonna.


Tu vois, je suis imbattable à ce jeu ! Ce n’est pas qu’une question de karma !


Il y avait tellement de fumée de cigarettes que l’air piquait et les poumons sifflaient pour de l’air frais. L’homme qui récupérait ses jetons ricana et tira une taffe sur une cigarette et expira la fumée sans se préoccuper de sa destination vis-à-vis des personnes attablées.

Okay, on peut parler business maintenant.
Je ne connais pas votre produit, mais apparemment il est plus cher. Et quand c’est plus cher, je veux être sûr que c’est pas genre, qualité qualité et on se prend des parts de marché et puis après c’est coupé coupé et les clients ronchonnent et vont tester ailleurs.

T’as compris ce que je dis ?


Il se tourna en tordant son cou vers un homme en costume trois pièces, droit comme un piquet et comme s’il ignorait son interlocuteur, il fit un geste de la main et du poignet rappelant les Eurysiens des bordures de la Leucitalée.

Attend, elles comprennent quand je parle ou faut que tu leur traduises ? Parce que j’ai pas envie de me répéter ou passer dans une langue de m%rde comme l’Anglais ou le Français.


La femme en face avança ses avants bras sur la table en bois recouvert d’une bâche plastique au logo d’un soda Alguarenos mondialement connu et, sans mettre en charpie la langue Jashurienne, confirma qu’elles comprenaient et parlaient parfaitement la langue du pays au Grand Fleuve.
L’homme aux lunettes resta coi pendant quelques secondes.


Okay.
On prend 80% et votre part est reversée sous forme d’avoirs sur nos produits de consommation. Ça se fait comme ça ici.




Les deux femmes ne se concertèrent pas. Elles fixèrent impassible l’homme dont le col de la chemise de luxe était ouverte jusqu’au deuxième bouton. Il s’affala un peu plus dans sa chaise, à l’aise. Il était chez lui dans ce bouge populaire et très fréquenté en ce samedi soir. Une des femmes prit son temps pour expliquer.

Nous connaissons votre réputation et c’est pour cela que par respect pour vous et votre institution, nous vous avons approché afin de discuter de cette affaire.
Il est important de respect ses aïeux et nous aurions eu tort de joindre une compétition qui s’oublie et fait oublier à la jeunesse ce qui leur donne toute opportunité dans un monde où l’argent décide et achète tout.

Et c’est aussi car nous savons que nous serions traitées avec respect qu’il est judicieux de faire appel à vos services, la qualité de votre réseau au sein du Jashuria, mais aussi à travers l’ensemble du Nazum du Sud.

Notre produit a déjà été testé par vos employés et ils pourront confirmer de la réaction du marché lorsqu’il atteindra avec délectation le palais de vos consommateurs.
Il y a tant de produits qui circulent, que nous pourrions penser que notre produit se perdrait dans la masse.
Toutefois, il est de qualité supérieure, est indétectable dans les urines et le sang après 24 heures, procure un effet qui n’altère que partiellement la perception du danger.
Nous pourrions lui prodiguer l’adjectif de produit responsable. L’addiction physique est faible, sauf pour son côté euphorisant et… coloré, et donc ne procure aucune contrainte de sevrage sévère. Ce produit est plus cher, car il n’est pas coupé et ne nécessite de l’être. Est-il besoin de vous rappeler son impact sur le marché Carnavalais ?


40% pour vous et notre part de 60% sera sous forme d’avoirs sur les produits que nous désignerons et la possibilité de transferts en cash électronique ou physique de la moitié à tout moment.
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Leurs lèvres se séparent avec un peu trop de tendresse pour être honnête. Ils se sourient. L’un veut y croire, l’espace d’une nuit, l’autre veut qu’il y croit, le plus longtemps possible. Le plus âgé est aussi le plus naïf, ou bien joue-t-il au naïf ? un instant d’évasion dans une vie laborieuse et routinière, faite de pression et d’objectifs irréalisables. Il laisse trainer son regard sur le corps dénudé de son cadet.

- « J’aime être avec toi. »

L’autre sourit, comme si cela valait une réponse, et s’étire dans le lit, les yeux mi-clos.

- « Tu fumes ? » il demande après un temps.

- « Un peu. »

- « J’ai quelque chose de mieux, ça vient d’Althalj, tu connais ? »

Le plus âgé esquisse un petit rire, il semble heureux.

- « Avec toi on voyage. »

L’autre minaude, fait glisser sa main sur son torse, comme une invitation.

- « Alors ? T’es partant ? »

Le plus âge hausse les épaules. Il aurait pu se contenter d’une soirée tranquille avec son ami Pharois, il ne le voit pas souvent, les pirates vont et viennent souvent entre les océans, et trop rarement entre ses jambes. Mais bon, c’est comme ça, il ne peut rien lui refuser.

- « Si tu en prends, j’en prends. »

- « Bien. »

Le plus jeune ne se le fait pas dire deux fois, il se redresse et d’un pas chaloupé, laissant onduler sur son corps les traits de lumières qui du dehors percent les volets clos, s’en va jusqu’à son sac.

- « Quand tu goûtes à ça, tu peux plus t’en passer. »

- « C’est de toi dont je peux plus me passer. »

Le Pharois rit un peu.

- « Je sais. »

Quand il revient vers le lit, il tient entre ses mains un petit sachet qui ressemble un peu à du thé.

- « C’est de la camomille ton truc ! » rigole le Jashurien.

Le Pharois fait la moue, d’un geste joueur le repousse contre les coussins.

- « Tais toi, tu dis des bêtises. »

D’un mouvement gracieux, il se glisse contre l’autre avant d’attraper une feuille de papier à rouler qui se trouve sur la table de nuit. Lentement, il déverse le contenu du sachet dans la feuille. L’odeur est douce, comme un lointain parfum, mais la substance a l’apparence de n’importe quelle épice qu’on trouverait en supermarché. Quelques brins tombent sur son torse alors qu’il roule le joint et le porte à sa bouche pour rendre le papier collant d’un coup de langue.

- « J’aimerai que ce soit à moi que tu fasses ça après. »

- « Tais toi je te dis, passe-moi le briquet. »

Vaguement vexé, le plus âgé s’exécute. L’autre lui tend le joint, dans un discret cliquetis jaillit une flamme bleue qui consume le bout du papier en un amalgame de braises rougeoyantes. Le Pharois lui tend la cigarette.

- « Tu ne fumes pas ? »

- « J’ai déjà fumé tout à l’heure, mais vas-y, dis toi que c’est comme si tu m’embrassais à travers le papier. »

L’autre lui sourit tendrement, le cœur fondu. Décidément, qu’est-ce qu’il l’aime son petit pirate.

Dans un coin de la poche intérieur du sac du Pharois, un téléphone s’illumine silencieusement, notifié d’un message.

> Capitaine Kati
On avait dit pas plus de trente minutes par acheteur, tu déconnes Eelis, tu déconnes !


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2004
Une marche et une autre...


Tac, tac, en avant trois marches, en arrière une marche, demi tour sur une seule marche, *pfiou* c'est passé. Trois marches en avant encore et un claquement de doigt avec déhanché sur le côté, tête penchée, cheveux virevoltant dans le vent, écouteurs bien ancrés dans les oreilles, le fil pendait jusqu'à sa ceinture multicolore d'où un appareil rétro jouant de la musique à partir de cassettes avec bandes magnétiques.

Les religieux à la tête rasée descendaient les innombrables marches en provenance du Temple plus haut.
Son dôme était magnifique, étincelant, tel un soleil doré dont la couleur chaleureuse et galvanisante à elle seule suffisait à prodiguer un bien être et un sentiment d'appartenance Jashurien propre.

Des touristes prenaient en photo la vue imprenable sur l'agglomération en contrebas, plongée dans une brume chaude de ce mois de Mars.
Certains touristes utilisaient des appareils photos argentiques, bien que ceux-ci semblaient se faire de plus en plus rares, au profit de la nouvelle vague digitale et surtout... des "smart phones" ! La compétition était rude dans ce nouveau secteur. Les grands noms de l'industrie entraient dans une nouvelle ère du numérique. Jashurien, Alguarenos, Pharois et Fortunéen, tous sortaient des sentiers battus et promettaient un avenir technologique excitant.

La jeune femme sauta quelques marches à pieds joints et chantonna. Avec lucidité, elle s'arrêtant un instant et salua respectueusement les religieux haussant les sourcils à son passage.
Puis elle reprit sa danse ostentatoire rythmique sur les marches en faisant bouger de gauche à droite sa robe longue plissée et claquant ses chaussures en cuir d'écolière, utilisée des cours élémentaires jusqu'à l'université, ouvertes sur le dessus et fermée par une simple lanière bouclée.

Elle croisa le regard d'étudiantes Althaljirs qui dessinaient assises sur les marches, ayant revêtues le même uniforme universitaire Jashurien, sûrement des premières années. Elle leur sourit tout en fermant les yeux et en se laissant porter par la musique tout en escaladant cet escalier large et poli par des siècles de passages.


La vie au Jashuria était belle.

Cette année 2007 promettait d'être dans la continuité de cette saveur du succès économique et sociale qu'incarne la fierté du Nazum, le Saphir et le Fleuve de la Vie !




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5 mai 2008 - Actions de promotion de la culture alguarena au Jashuria : représentations théâtrales de rue, retranscriptions des œuvres littéraires alguarenas et financement de manifestations interculturelles locales.

(le post est hrp, il n'est pas un article de presse).


Spectacle de rue alguareno au Jashuria, en vue de solidariser les cultures.
La Fédération d’Alguarena, géographiquement et politiquement proche du Jashuria, veut soutenir le rapprochement culturel entre les deux nations.

La culture est un lien essentiel pour favoriser la connaissance de l’autre et appréhender la différence en territoire étranger afin que les opinions publiques soient suffisamment tolérantes pour désamorcer les velléités guerrières d’une poignée d’élites qui, élues ou non, peut décider du sort de milliers d’autres.

Le rapprochement entre les gouvernances jashuriennes, pharoises et kah-tanaises fait l’effet d’une longue fissure aux destinations multiples, susceptible de fragiliser le trophée qui symbolisait jusqu’ici la réussite d’une coopération jashurienne au coeur d’un dispositif international tel que l’Organisation des Nations Commerçantes, et avant ça sa genèse, la Ligue Méridionale, vieille alliance internationale regroupant plusieurs états de l’hémisphère sud, soucieux de sécuriser leurs routes commerciales environnantes et de concurrence celles ouvertes dans l’hémisphère nord.

Consciente que des enjeux politiques ne suffisent pas à solidariser les nations, quand bien même celles-ci auraient un sens commun, la Fédération d’Alguarena travaille désormais au développement et au financement d’actions interculturelles en territoires étrangers, à l’instar de celui jashurien, pour solidariser les cultures des deux pays. “Privilégier un ancrage local est la meilleure façon de rendre audible, intelligible sa culture à autrui” confiait Rita Porosca, directrice de la troupe de danseurs “Dance Lovers”, un groupe d’artiste spécialisé dans la danse traditionnelle alguarena et la représentation de rue. Subventionnée par les autorités alguarenas et notamment son département fédéral pour la promotion culturelle, Rita Porosca a pour fonction d’intégrer l’action culturelle comme missions fondatrices de son engagement à l’étranger. Elle poursuit de ce fait un objectif général tourné vers le dialogue entre les civilisations et le développement d’une fraternité cosmopolite, par l’établissement de passerelles entre la culture alguarena et celles étrangères.

Concrètement, cette jeune quadragénaire vient insuffler les principales orientations en matière de politique culturelle internationale, afin que les autres acteurs de la stratégie envisagée puissent instaurer une action locale sur zone.

Des missions exigeantes, qui combinent l’expertise artistique des intermittents en représentations, mais aussi la sagacité de personnes aux carrefours de la sphère professionnelle et politique, considérant les enjeux importants entourant ces manifestations culturelles, dans la préservation des bonnes relations entre les peuples et avec eux, les États. Une “gymnastique” imposée par la nécessité d’identifier des spectacles élaborés et chorégraphiés, tout en prenant régulièrement le pouls du climat social à l’étranger et en adoptant une lecture clairvoyante de la la scène politique locale, afin d’anticiper les frictions possibles entre les communautés.

Développer des relais d’influence au sein des populations est une impérieuse nécessité pour, si nécessaire, alimenter des actions de grogne sociale autour des orientations politiques clivantes, pour les nations réputées amicales vis-à-vis de la Fédération d’Alguarena. L’activité culturelle déployée en territoires étrangers découle donc d’une directive de l'administration culturelle, mais il faut cependant comprendre que l’orientation culturelle, y compris dans sa dimension artistique, est malgré tout conditionnée par des directives politiques elles-mêmes alignées sur les évolutions géostratégiques de la scène internationale et des sphères d’influence qui y bataillent des intérêts parfois insoupçonnables pour le grand public. De là à dire que Rita Porosca est une agent infiltrée du gouvernement fédéral alguareno, il n’y aurait qu’un pas !
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Le port du masque transblême, entre contre-culture et soft power
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Les contre-cultures, c’est connu, se construisent en réaction aux normes policées d’une société. D'énonciation d'archaïsmes artistiques, d'une idéologie d'Etat castratrice ou poussiéreuses, de mœurs étouffantes ou tout simplement d'un écart entre le récit national et la réalité vécue, elles se dessinent en creux, dans les impensés des gouvernements et des autorités morales. Si le Jashuria n’est pas un enfer conservateur ou religieux, il n’en demeure pas moins que les adolescents y cherchent des manières de se forger une identité qui leur soit propre, dans l’ombre de celle des générations précédentes.

C’est une mode étrange qui semble avoir vu le jour avec les premières plateformes de chat en ligne et dont on retrouve des occurrences à divers endroits du pays. Les motifs sont récurrents : des jeunes gens prennent des pauses censées être effrayantes, parfois munis d’armes ou de ce qui pourrait y ressembler, dans un décor généralement vide censé rendre mal à l'aise. Malgré l’inventivité des mises en scène, un élément revient toujours : masquant leur visage, un voile, blanc ou noir, recouvre l’entièreté de la tête. On ne peut plus explicite, le nom de « mouvement » revendique clairement l’héritage de la Transblêmie. La « Transblemian Face » semble de plus en plus populaire au sein du Jashuria.

Faut-il s’en inquiéter ? Difficile à dire. D’un côté tout ça évoque vraiment les modes passagères, typiques de cet âge de la vie chez les adolescents et pré-adolescents cherchant à se faire peur ou à choquer, pour le plaisir de repousser les limites.
De l’autre, plusieurs médias ont dénoncé à juste titre le caractère de mauvais goût de ces mises en scène. Il ne s’agit en effet pas que d’un simple style dérivé d’un film d’horreur à la mode, mais bien de reprendre les codes esthétiques et vestimentaires d’une des pires dictatures au monde.

Une mode qui n’est pas sans inquiéter les parents, également, dans ce qui ressemble fort à un début de panique morale. Le Grand-Duché a beau être loin, les faits divers impliquants des suicides ou des massacres commis par des individus en lien avec la Transblêmie sont encore frais dans les mémoires, d’autant que certains journalistes, avides de sensationnalisme, n’ont pas mis longtemps à déterrer et lister les drames sordides survenus ces dernières années dans plusieurs pays du monde et qu’on impute à l’influence de Blême.

Outre une critique purement morale, certains politologues ont commencé à soulever le fait que la porosité de la société jashurienne à la culture transblêmienne est à prendre au sérieux. Loin d’être une menace militaire, le Grand-Duché se distingue des autres nations par sa capacité à agir sur la psyché et les peurs des populations, les rendant de faits plus fragiles et sensibles à des suggestions terroristes ou suicidaires. Malgré son aspect bénin, la mode de la Transblemian Face est révélatrice d’une certaine impréparation du Jashuria à des attaques de type soft power, visant moins ses infrastructures que… les goûts et l'imaginaire de sa jeunesse.

Si pour le moment, aucun événement véritablement alarmant n’est à déplorer, on peut légitimement se demander de ce qu’il en sera dans le futur, si l’influence de Blême venait à doucement, lentement s’enraciner dans la contre-culture adolescente. Voir l’avenir de sa nation reprendre avec autant de désinvolture des vecteurs de pouvoir d’une nation étrangère a de quoi susciter le débat. Manque d’esprit critique ? Mauvaise éducation ? Déclin des valeurs morales ? Ou juste un manque de repère dans une société qui s’est récemment ouverte à la mondialisation, entraînant de fait une appétence pour les thèmes morbides, difficilement compréhensibles par les plus vieilles générations ?

Seul l’avenir nous le dira. Reste que plusieurs observatoires internationaux alertent depuis quelques temps sur l’augmentation des exactions de Blême dans les pays proches. La diffusion d’éléments de folklores transblême chez un de ses voisins, fut-il à l'autre bout du continent, ne doit rien au hasard, c’est connu, et il y a fort à parier – et à craindre ? – que le Grand-Duché ait tourné son regard vers le Jashuria.
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ALLOCUTION DU SECRÉTAIRE GÉNÉRAL


Camarades, Loduariens comme du monde entier.
Je ne tournerais pas autour du pot. Je serai direct face à vous, sans détour ni sens caché.
Par ce discours, je m'adresse autant aux peuples qu'à l'impérialiste Organisation des Nations Commerçantes.
Nous ne retirerons pas nos soldats de la République Sociale de Prodnov. Nous refusons tous les termes de l'ultimatum que L'ONC nous a adressé ainsi qu'à la République Sociale de Prodnov et nous assumons cet actes que nous considérons comme légitime. La République Sociale de Prodnov n'est pas un territoire de L'ONC. Il s'agit d'une nation issue de la partition du Prodnov, qui s'est vue libérée par le Pharois Syndikaali et la Lutharovie. En aucun cas, et je dis bien en aucun cas, L'ONC est autorisé à nous dire ce que nous devons où ce que nous avons le droit de faire.
Bien entendu, je pense que derrière cet ultimatum, il a une menace de la part de L'ONC, donc nous pouvons nous attendre dans les prochains jours à l'invasion de la République Sociale de Prodnov.
La Loduarie n'est pas hypocrite. Depuis toujours, nous défendons l'anti-impérialisme, et il est absolument hors de question que nous décidions un beau jour d'envahir un pays. Cela va à l'encontre de nos principes les plus fondamentaux, contrairement à L'ONC, qui justifie ces actes par la "liberté" capitaliste.
Malgré tout, nous devons nous protéger.
C'est pour cela que nous sommes actuellement en train de réfléchir à la mise en place de mesures en cas d'agression de la part de L'ONC contre la République Sociale de Prodnov.
En attendant, l'état d'urgence sera mis en place sur l'intégralité du territoire Loduarien, ce qui implique selon la Constitution de la Démocratie Communiste de Loduarie, la mise en place de l'état de Dictature Militaire sur l'ensemble du territoire Loduarien.
Je m'adresse maintenant au monde entier. La tâche est grosse : veut la guerre. Si ils la veulent, ils l'auront, mais ce sera à eux d'en endosser la responsabilité. Alors, nations et peuples du monde entier, je vous appelle, au nom des peuples qui se livreront bientôt une guerre fratricide au sein de l'ex-Prodnov : ne soutenez pas L'ONC. Soutenez le peuple et dénoncez L'ONC. La Loduarie ni la RSP ne veut la guerre : mais si L'ONC la déclenche, nous n'auront pas d'autre choix que de combattre. Alors, nations et peuples du Monde entier, faites le bon choix. Choisissez la voie de l'anti-impérialisme.
Vive la Loduarie, vive la communisme et vive la révolution prolétarienne éternelle !
HURA !


Drapeau de la Loduarie communiste

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  • Intéressant !
Le thé jashurien ferait un excellent détergeant selon l'industrie de la javel.
1770
Laura et Stefen Vomorovitch
Laura et Stefen Vomorovitch, dit les "chauve-souris"


Une nuit comme toutes les autres...

Minuit à peine, dans une petite municipalité de la banlieue d'Agartha, dans un silence de plomb, se faufilent deux silhouettes se tenant par la main. Leur pas ne semblent qu'effleurer le sol, alors qu'ils avancent rapidement, sautillant presque de croisement en croisement, de rue en rue, de chemins en chemins. Cela fait bientôt une demi-heure qu'ils errent joyeusement, silencieusement, comme cela dans les petites rues de cette communauté peu peuplée de Jashuria.
Un homme et une femme, tous deux d'une élégance particulièrement fine, se tenant par la main comme le jeune couple amoureux qu'ils incarnent. Alors qu'ils s'arrêtent à une intersection, un témoin aurait put voir le regard qu'ils s'échangèrent, à la lueur d'un réverbère. Un regard enflammé.

Sauf qu'il n'y a pas de témoin, les rues sont vides.

L'homme porte à sa poitrine, épinglé dans son veston rouge bordeaux, un insigne anarchiste en argent, d'une riche manufacture. La femme, quand à elle, ne possède pas de signes distinctifs dans la pénombre, si ce n'est l'épingle à cheveux dorées qui retient sa chevelure châtain en un chignon défait sur le haut de sa tête.

Stefen et Laura continuent leur course frénétiquement amoureuse dans les rues du village, sans semble trouver, ou vouloir trouver, un objectif à cette course. N'importe qui les ayant croisé du regard eut crut, à force de les voir courir, qu'ils étaient fou à lié.
Ils l'étaient sûrement, en réalité.

Ils disparurent dès les premières lueurs du jours.
Du moins, on aurait put dire qu'ils avaient disparus si quelqu'un les avait vu durant la nuit, ce qui n'était pas véritablement le cas.
Seule une grand-mère insomniaque mentionna le jeune couple à la police jashurienne lorsque celle-ci vint enquêté au porte-à-porte sur les différents cambriolages commis la même nuit dans la petite municipalité.

Friande de cette histoire croustillante, la presse locale nomma théâtralement les deux voleurs amoureux : les "chauves-souris".
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The World Post

25 novembre 2009 - AGARTHA : Des parents d’élèves d'origine alguarena, militent pour une restauration scolaire plus inclusive.


Le curry, bête honnie des parents d'élèves d'origine étrangère et désireux de voir plus d'inclusion au sein des cantines scolaires des établissements jashuriens?
Un collectif de parents d’élèves alguarenos réclame des plats moins épicés à la cantine scolaire au nom de l’inclusion des enfants d’origine étrangère.

Les parents étrangers installés au Jashuria en ont assez soupé du curry, à en croire les récents griefs partagés par plusieurs d’entre eux, au travers d’une pétition demandant, non pas le retrait pur et simple du curry des plats distribués en cantine, mais la proposition de plats alternatifs pour satisfaire les papilles de chacun.

Si les choix et les goûts culinaires de chacun peinent à être discutés, les parents étrangers ont également insisté sur le fait que leurs enfants n’avaient pas d’autres choix que de manger sur place les midis, considérant leurs agendas professionnels et leur relatif éloignement de l’école à Agartha. C’est pourquoi, ne pouvant s'adapter davantage, les parents demandent au profit de leurs enfants que l’école adapte ses menus pour permettre à chaque élève contraint de manger sur place, une alimentation variée et riche de saveurs.

La relation entre les parents et l’institution académique jashurienne peut-elle se montrer épicée pour autant? Une partie des parents semble démontrer que oui, prête à saisir les instances de santé après avoir motivé auprès d’un médecin, complaisant ou non, l’intolérance de leurs enfants à l’ingestion d’épices marquées, telles que le curry en somme. “La santé de mes enfants n’a pas de prix, mais elle ne devrait pas s’acquérir en contrepartie de son éducation” confie Luciana Panomyaong, une alguarena mariée à un jashurien depuis trois ans et qu’elle a rejoint l’année dernière au Nazum avec son fils de treize ans et issu d’un premier mariage.

Ne pas pénaliser les enfants au titre qu’ils doivent varier leur alimentation, voilà un enjeu quotidien pour cette femme quadragénaire, engagée dans un projet scolaire en faveur de l’inclusion. “La gastronomie jashurienne est ce qu’elle est, et je ne viens pas renverser la table, entendons-nous bien. Je voudrais simplement que l’alimentation à destination des étudiants et élèves, en tout cas pour ce qui concerne notre école à Agartha, soit suffisamment variée pour ne pas contraindre nos enfants à la consommation de repas beaucoup trop épicés pour eux.”

Longtemps tabou, la capacité d’intégration des étrangers sur le modèle gastronomique et culinaire jashurien est depuis devenue un sujet pris à bras-le-corps par de nombreux expatriés installés avec leurs familles.

“La restauration scolaire est un droit pour chaque enfant” tonne une dernière fois la parente d’élèves face à notre caméra, rappelant qu’une absence de variété des menus pouvait contraindre certains parents à retirer leurs enfants de la cantine et donc à mettre en place des substituts préjudiciables à la fois aux parents, par la gêne occasionnée dans leurs agendas professionnels mais avant-tout et surtout pour les enfants, contraints de quitter l’établissement sur la pause déjeuner pour trouver où se restaurer en extérieur, avant de finalement revenir une demi-heure à une heure plus tard. Se substituer à l’offre de restauration scolaire impose nécessairement des organisations limitantes pour le déroulé du parcours éducatif des enfants concernés, c’est sur ces motivations très précises, que les parents ont insisté pour ramener la variété alimentaire au coeur des devoirs du système éducatif jashurien.

Des interventions “radicales” jugeront certains, pour qui, “une cuillère à soupe de curry n’a jamais tué personne”. Le débat reste entier et considérant son empreinte au sein de certains établissements scolaires de la capitale, le sujet actuellement présenté pourrait connaître une certaine volatilité, d’un établissement à un autre…
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Une guerre injuste se déroule au Prodnov et des civils et militaires y sont tués. Encore le produit d'une dictature sanglante ! Cette guerre de réunification insensée touche en premier la population, alors fait un dont aux CdD. Ces dons seront reversés à la RPL.

Envoyé vos dons pour que la paix soit un rêve devenu une réalité au Prodnov !


Les Chevaliers du Devoir

Let's build the world of tomorrow, with love as our only foundation!

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HRpIl y a une faute sur l'affiche, c'est dictature et non pas dicature ^^
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Rencontre entre Aoki Saburo et les dirigeants des partis de l'Assemblée Populaire


Il est au alentour 10 heures du matin, les quatre dirigeants des partis de l'Assemblée Populaire sont arrivés en avance. Il y a bien sûr Duan Song, la présidente du Parti Populaire, mais aussi Chen Xia du Parti Plébéien, Lin Yawendu Parti Communiste et Quan Yijun du Parti du Peuple. Duan Song s'était affirmé de manière naturelle, leadeuse de la contestation législative et elle était donc la meneuse du quatuor. Elle regarda sa montre, 10h 12. Elle enrageait, Aoki Saburo était en retard, même pire, peut-être qu'il ne viendrait pas à la réunion. Ils se trouvaient tous dans le bureau du président de séance de l'Assemblée qui se trouve dans le Palais Pourpre.


-Il arrive quand ! Il a presque un quart d'heure de retard, à tout moment, il a fait dépêcher ses milices de mes deux !


On frappe à la porte.

-Ça doit être lui...

Lin s'avance et ouvre la porte, Aoki Saburo entre, le visage sans expression, il lui sert la main et va vers les autres pour en faire de même.

-Pardonnez mon retard, j'ai été très occupé.

-Effectivement, vous êtes en retard... répondit froidement Duan

-Bon commençons si vous le voulez bien. De quoi vouliez-vous me parler ?

-Vous le savez très bien Saburo.

-Je vous prierai de m'appeler autrement, je suis votre président !

-Être président suppose avoir été élu, hors, vous êtes plus proche du despote que du président.

-Ahh... C'est alors de ça que vous voulez parler.

Chen pris la parole,
-Nous voulons vous parler du pays. De ses enjeux, du rapport de force entre vous et l'assemblée, des puissances armées présentes sur notre territoire et de l'avenir. Vous n'êtes pas sans savoir qu'une constitution est en cours de débat. Une constitution axée sur le Kah. L'assemblée aspire à la démocratie et le peuple aussi en dehors de vos milices et lieutenants. Le pays va très mal et malgré le fait que vous annulez presque systématiquement les dettes d'État, nous sommes quand même endetté et imprimer des billets comme vous le faites n'aidera pas. Le pays est endetté à 212% de son PIB, c'est énorme et tout cela en partie pour votre "fantaisie" un sous-marin d'attaque alors que le chômage n'a jamais été au plus haut et que nombre de famines existent. L'inflation galope et vous avez voulu créer une monnaie propre au pays bien trop élever par rapport aux autres monnaies. Au départ, c'était un Épi Communiste égal à trois dollars, cela a posé d'énorme problème comme du pain à 6 dollars, du lait à 5 dollars et bien d'autres. Aujourd'hui, un Épi Communiste est égal à 0.05 dollar, soit 5 centimes. Nous sommes ruinés et il faut désormais un sac de billet entier pour acheter une bouchée de pain. Même si vous ne voulez pas le dire publiquement, le chômage explose, il est à 21% ! Vos réformes économiques sont une catastrophe !

-Si vous avez de meilleures idées, je vous écoute !

-Il nous faut des réformes libérales, à commencer par la dénationalisation de 60% des entreprises, minimum. Dit fermement Lin.

-Pardon ? C'est une blague ! Vous voulez redevenir capitalistes, c'est ça ! Nous avons fait une révolution, le peuple tout entier s'est soulevé contre cela pour prôner le communisme et le socialisme ! Je ne dénationaliserai pas les entreprises.

-Vous croyez à vos mensonges ? Seulement 25% du peuple vous étaient de près ou de loin favorable. Vous avez fait une révolution avec des milices armées qui ont commis des massacres et vous êtes prêt à tout pour retourner la situation ! Le socialisme, ce n'est pas forcément cela. L'idéologie du social, c'est l'égalité et la liberté ! Hors là, vous êtes un dictateur et plus personnes ne vous fait confiance, à part les sadiques comme vous et les personnes que ça arrange de vous avoir au pouvoir. Rendez-vous à la raison, votre dictature chaotique ne mènera qu'à votre perte et le peuple que vous prônez comme justification, en aura plus qu'assez et vos moyens de répressions ne suffirons plus. L'Assemblée Populaire, que vous avez pourtant nommée, est elle-même contre vous. La constitution que nous rédigeons est modérée pour le moment, mais nous guettons vos actes et elle peut se radicaliser contre vous à tout moment.

-Vous me menacez ? Sachez que j'ai encore des alliés puissants et que des forces armées de la Loduarie et du GASP viennent me soutenir. Des centaines de soldats loduariens et des milliers de mercenaires du GASP pour faire régner l'ordre et soutenir ma politique.

-Le Grand-Kah qui est la 3e puissance du monde nous soutiennent, le Fujiwa qui est une puissance en plein essor et qui commence à être une puissance régionale majeure, le Banairah, 9e puissance et le Burujoa, l'Empire où le soleil ne se couche jamais. Tous nous soutiennent dans notre projet de démocratisation et la démocratie et synonyme, d'élection, d'autodétermination et de remise en question de votre pouvoir fragile qui repose sur la peur.

-Bande de lâche, vous faites appel à l'ennemie pour vous protéger. Je peux vous dissoudre si je veux et vous faire tous arrêter.

-Les forces de l'OMPM sont là pour vous en empêcher, nous vous connaissons trop bien malheureusement.

-Elles ne sont pas encore coordonnées et vous seuls pouvez représenter le mouvement de contestation, aucunes autres figures politiques n'en aurez le cran !

-Retenez vos hommes et je retiendrai les miens, dit de ton menaçant Duan

-Votre pouvoir, Aoki Saburo, ne tiens qu'à un fil et ce fil finira tôt ou tard par céder. Plus tôt il cèdera, plus ce sera doux, plus tard il cèdera, plus cela fera mal. Nous vous proposons de jouer fairplay. L'Assemblée fait son travaille et vous perdez de plus en plus de pouvoir jusqu'à ce que des vraies élections soient faites et cela durera peut-être quelques mois. Ou, deuxième option, vous vous entêtez et cela se transforme en nouvelle guerre civile, mais cette fois-ci, ce sera donc Jashuria, Grand-Kah, Burujoa, Banairah, Fujiwa Priscyllia, nous et les conscrits contre vous, les milices, les mercenaires qui travailleront contre de l'argent et la Loduarie. Vous serez en infériorité et cela ne sera qu'un bain de sang.
Si vous choisissez la première option et que cela se passe bien, vous pourrez surement immigrer en Loduarie, sinon vous serez jugé ou tué. À vous de choisir.

-Je n'ai pas encore dit mon dernier mot.

-Malheureusement pour vous si. Cela se passe maintenant, saisissez votre chance.

-Mais rien n'est joué, Mme. Song, il n'est pas sûr à 100% que ces pays vous soutiennent dans une guerre civile.

-Notre pays est stratégique. Nous sommes situés entre l'Afarée, l'Eurysie et le Nazum, au bord de la mer. Nous sommes idéalement positionnés pour le commerce et de nombreux pays aimeraient en profiter. De plus, nous sommes dans la sphère d'influence du Banairah et du Jashuria...

-Vous pensez avoir réponse à tout n'est-ce pas ? Mais que ferez-vous de mes milices qui me sont dévouées ? Elles continueront le combat.

-Mais quel combat ? Ce qui leur profite, c'est qu'ils peuvent pilier, détruire ce qu'ils veulent et violer toutes les personnes que ça leur chante. Ils ne font pas ça pour l'idéologie. Si vous êtes destitué et que nous ne reprenons par leur bien, ils ne bougeront pas le petit doigt, ils seront déjà riches et ils nous laisseront tranquille. Ce sont comme des mercenaires.

-Nous verrons bien comment évolue la situation...

-Vous venez de signer votre arrêt de mort.

-Et vous aussi.

Il se lève et repart.
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Logo de la brigade du Jaguar Paltoterran

15 septembre 2010 - CONFIDENTIEL - Les mercenaires du Jaguar Paltoterran, mandatés par la Fédération d’Alguarena afin d’offrir leur aide dans la formation et la structuration des armées alliées.

Insigne de la Brigade expéditionnaire des Tigres d'Orient.
Considérant l’impact d’une armée alliée structurée sur le devenir d’un conflit, la Fédération d’Alguarena sous-traite la formation d’alliés et le conseil militaire, par l’emploi d’une société paramilitaire de renom pour structurer ce qui est aujourd'hui, la première Brigade expéditionnaire jashurienne, des tigres d'Orient.


Constitution d’un ORBAT, définition quantitative et qualitative des moyens humains et matériels dédiés à l’unité militaire, la société paramilitaire du Jaguar Paltoterran semble depuis quelques temps très investie sur le sujet de l’optimisation des ressources militaires inscrites au sein de la coopération internationale associée à la défense des valeurs portées par l'Organisation des Nations Commerçantes. Un projet à l’objectif double pour la société militaire privée, par la démonstration factuelle du support qu’elle est en mesure de fournir dans le conseil militaire et l’installation durable de sa notoriété grâce à son concours offert aux principales armées du monde, à l’instar de la Troisième République du Jashuria. “A ce stade, nous ne le cachons pas, très peu de nations requièrent le service des sociétés militaires privées. Dans ces conditions, celles-ci à l’instar du Jaguar Paltoterran, doivent réfléchir à offrir d’autres services, et le conseil militaire visant la structuration des armées alliées, s’inscrit clairement dans ce sens” a confié le numéro deux de l'organisation, Arturo del Pozo.

Discrète depuis la guerre d’indépendance du Pontarbello, où elle avait fourni un support décisif aux forces de l’Armée Nationale du Pontarbello Libre, dirigée par le Général Leopoldo Sapateiro, la société militaire privée du Jaguar Paltoterran s’est aujourd’hui offerte une nouvelle notoriété, par sa participation active, au sein du processus d'efficience des armées d’états membres de l’Organisation des Nations Commerçantes.

“L’ère des mercenaires n’est pas encore arrivée, les puissances militaires de ce monde ont encore la volonté de se battre, dans leur forme la plus totale. Si le mercenariat veut tenir le cap, le temps qu’une opinion publique défavorable incite les états à les solliciter, il doit adapter son offre à ces états, en proposant du conseil militaire, en étant présent sans se substituer à l’armée nationale…” explique encore l’officier général inscrit au sommet de l’organisation. Qu’il soit question d’actions directes ou indirectes, le Jaguar Paltoterran ne semble pas avoir dit son dernier, et souhaite rénover sa relation commerciale avec les principaux états de l'Organisation des Nations Commerçantes, afin d’identifier de nouvelles dynamiques.

La Troisième République du Jashuria, acteur majeur de l‘espace nazuman, compte alors parmi les cibles commerciales de choix du Jaguar Paltoterran. “La Troisième République du Jashuria est très investie, malgré une absence de participation aux principaux conflits de notre décennie, dans la régulation des tensions et des crises politiques inscrites au sein de sa région limitrophe. Nous avons toutes les raisons de croire qu’elle constitue, par conséquent, un partenaire fiable, pour le développement de nos activités de conseillers militaires.” Considérant le relatif isolement du Jashuria et la nécessité de soutenir sur de moyennes et longues distances ses principaux alliés, le choix et la priorité ont été naturellement donnés à la constitution d’une force expéditionnaire. Les forces expéditionnaires sont, rappelons-le et comme le nom l’indique, des unités militaires d’importance, capables de se projeter sur des théâtres ennemis ou simplement des théâtres extérieurs, tout en exécutant un large panel de missions parmi celles attendues.

Une force d'infanterie parachutiste, des véhicules aéroportés, un contingent amphibie, des escouades commandos, les options ne manquent pas pour donner vie à ce contingent pour l’heure unique en son genre et sur lequel la Troisième République du Jashuriia peut capitaliser à l’international, sachant le caractère complet du dispositif, pour porter les opérations extérieures de ce pays, au sein d’une région contestable et dont les dynamiques restent éloignés bien que palpables. Faire valoir la puissance et le caractère opérationnel d’un pays, là où d’autres nations se cantonnent à l’accumulation d’une force brute, sans s’accommoder d’une architecture militaire complète, qui puisse assurer la maintenance et la logistique des forces combattantes.

Le conseil militaire est donc un “terrain nouveau” sur lequel la Brigade paramilitaire du Jaguar paltoterran espère bâtir ses prochaines victoires, entendez par là, des victoires commerciales, qui façonneront le futur du mercenariat, jusqu’ici le grand absent des principaux rendez-vous militaires de notre décennie.
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Bannière de correspondance - Brigade Jaguar Paltoterran.

18 septembre 2010 - CONFIDENTIEL - La Brigade Expéditionnaire des Tigres d’Orient, une structuration militaire novatrice, portée par la société militaire privée du Jaguar Paltoterran.


Logo de la Brigade Expéditionnaire des Tigres d'Orient jashuriens
La Brigade Expéditionnaire des Tigres d'Orient, est un contingent jashurien tourné vers les opérations extérieures.


Structurer l’armée jashurienne pour lui offrir des opportunités d’optimiser son contingent disponible pour des opérations, voilà le pari fou dans lequel a souhaité se lancer la Brigade du Jaguar Paltoterran, société paramilitaire privée mandatée par la Fédération d’Alguarena afin de proposer des améliorations structurelles aux forces armées alliées.

Depuis la création de l'Organisation des Nations Commerçantes, ses nations membres cherchent l’instauration d’un cycle de paix-prospérité-partage, de sorte à pérenniser le commerce international qui leur est profitable. Toutefois, force est aujourd’hui de constater que cette même organisation est impliquée de façon croissante, dans le déploiement de forces armées pacificatrices à différents endroits du monde. Fort de ce constat, l’état-major alguareno s’est interrogé sur la capacité opérationnelle de chaque armée alliée, à pouvoir projeter une force militaire pour intervention sur un théâtre extérieur. Peu satisfait de la réponse donnée à cette étude, un long travail de renforcement et plus encore, de structuration, s’est donc opéré, pour offrir des alternatives structurelles, à l’organisation militaire des nations alliées et partenaires de la paix mondiale.

A ce titre, la Troisième République du Jashuria, unique membre de l’Organisation des Nations Commerçantes au Nazum, a fait l‘objet d’un diagnostic assez scrupuleux, porté par des conseillers militaires de la Brigade du Jaguar Paltoterran et qui ont abouti à la formulation d’une proposition d’ORBAT, pour structurer une force militaire dissuasive jashurienne. Créée sous la désignation de Brigade Expéditionnaire, les Tigres d’Orient sont pour ainsi dire, une force de réaction rapide, que les mercenaires du Jaguar Paltoterran ont conçu, de sorte à soutenir la capacité d’intervention jashurienne sur la scène internationale. Une action gagnant-gagnant pour l’état-major alguareno, qui a mandaté et payé la société militaire privée pour ce faire, car une intervention jashurienne par-delà les limites du Nazum ont jusqu’ici clairement été tournées au profit de l'Organisation des Nations Commerçantes.

La dissuasion pour base défensive efficace? Par cette initiative, l'état-major fédéral alguareno montre qu’il n’en est plus si sûr et œuvre désormais à corps perdus, dans le développement de capacités militaires offensives auprès de ses principaux alliés internationaux. La Brigade Expéditionnaire des Tigres d’Orient, est une donc une proposition de (re)structuration militaire jashurienne, qui risque de fondamentalement changer la doctrine de son état-major.

ORBAT de la Brigade Expéditionnaire des Tigres d'Orient jashuriens
Le conseil militaire fourni par la Birgade paramilitaire du Jaguar Paltoterran, amène à repenser la structure organisationnelle des armées alliées (clic gauche pour agrandir).


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Jashuria

Une chose qui était plaisante, au moins, dans ce pays, était le climat. Et dans l'ensemble, les Jashuriens étaient des gens plutôt sympathiques, plein d'amour, et surtout d'une hospitalité sans faille. Mais les renseignements n'étaient pas là pour profiter d'un bain de soleil ou diner en compagnie d'une vieille dame.

Le gouvernement jashurien était vraiment naïf si il croyait que le Milouxitania ne se douterait pas que des espions et autre hommes cachés viendraient fouiner dans les affaires de l'état. Le Chancelier Fédéral avait d’ailleurs eu ces mots pour le chef des opérations en Nazum, en secret : "Le gouvernement jashurien n'est pas un ennemi, mais il faut tellement se méfier de leurs actions et de leur rancune qu'il faudrait presque les considérer comme tel. L'explosion du marché jashurien en Milouxitania ces derniers mois n'est pas une coïncidence. Nous sommes certes encore fort impuissants mais ne sommes pas stupides. Et nous savons très bien qu'ils tentent de nous infiltrer, furieux de ne pas avoir pu nous mettre dans leur poche."

C'est ainsi qu'un nombre assez élevé, le plus élevé que le Milouxitania n'est encore envoyé, de membres des renseignements qui partirent pour le Jashuria. Rien de plus simple que de se cacher parmi une société aussi ouverte sur le monde, et le déguisement était un art chez les renseignements.

Et la première chose qui vint aux oreilles du chancelier fut l'importance qu'avait pris le gaz naturel milouxitan. Celui-ci, encore sous-vendu, trouvait sa place dans cet état dépourvu, et les PDG milouxitans étaient présents. Encore peu nombreux, mais cela ne saurait tarder au vu de l'expansion du marché.

Le Jashuria, futur partenaire économique du Milouxitania ? Dans cinq ans, du thé contre du gaz ? Un jour peut-être...
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Une massive manifestation anti-ONC organisée à Lyonnars se répand dans tout le pays

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Un exemple des manifestants dans la ville de Galaisie, face à l'hôtel de ville.

Tout commence à Lyonnars. Le Parti Communiste de notre belle nation, ayant appris les récentes décisions politiques au sein de l'ONC, a décidé d'organiser une grande manifestation à Lyonnars, afin de dénoncer l'Organisation des Nations Commerçantes. Animée par notre Camarade Secrétaire Général et des membres du Parti Communiste, la manifestation a compté plus de 1 millions de personnes, et a été suivi un peu partout dans le pays (6 millions de manifestants au total), grâce aux différentes antennes du Partir disséminés un peu partout.
Mais pourquoi de telles manifestations, et pourquoi maintenant ?

Il se trouve que l'ONC, ces derniers jours, a voté un projet d'ampleur, un projet qu'ils ont nommé "Commission de médiation interétatique pour la justice et le droit". Cette organisation annexe à l'ONC, comme son nom l'indique, permet de juger les personnes considérées comme criminelles par l'ONC. Le problème ? C'est que cette soi-disant commission ne se fixe aucune limite. Ainsi, elle se réserve non seulement le droit de juger toute personne échappant à la juridiction nationale des états membres de l'ONC, mais également à émettre des avis de recherche internationaux contre eux et venir les chercher dans leur pays.

Prenons un exemple simple. Vous êtes un milicien communiste vivant par exemple en Arcanie. Vous avez déjà tué, par le passé, des soldats du Lofoten au côté des pirates rouges Pharois. Le Lofoten émets un avis de recherche contre vous. En l'état, vous n'êtes en sécurité nul-part, même dans les pays qui vous protègent.

Ainsi, l'ONC fait encore une fois preuve d'un impérialisme plus que flagrant, camouflé par l'ambïguitée que sa commission invoqué.
Actuellement, comme par hasard, les seules personnes recherchés sont les camarades Baldassare Calabraise et Alexei Stanislasvovich Malyshev. Pour faire court : 2 chefs d'états communistes qui ne reviennent pas à l'ONC. Et quels sont donc leurs crimes et la raison de leur recherche ?
Le Camarade Baldassare Calabraise est accusé d'avoir orchestré des crimes contre sa population sur son territoire (à tord soit dit en passant), mais donc pas contre l'ONC, et surtout sans aucun rapport avec l'ONC.
Le Camarade Alexei Stanislavovich Malyshev est quant à lui accusé de crimes de guerre suite à son implication dans la guerre Prodnovienne, faits non vérifiés et faux, et surtout de menace contre la paix mondiale par son attaque contre l'ONC. Il également entre autres accusé d'avoir rompu les Accords de Nevskigorod. Ces deux derniers faits sauraient êtres vérifiés, nous pouvons l'accorder à l'ONC. Mais en remettant dans le contexte, on obtient un tout autre résultat.
L'ONC a précipité le Prodnov dans la guerre, en l'envahissant sans prévenir en 2008. L'ONC a rompu les accords de Nevskigorod en empêchant la libre-circulation des Prodnoviens suite à la partition du pays en zones d'occupation, et en faisant stagner d'importants contingents armés dépassant la limite prévue par les Accords. Le Camarade Alexei Stanislavovich Malyshev n'est qu'un homme défendant son pays contre un envahisseur étranger, et ne saurait être tenu responsable des actes barbares et impérialistes de l'ONC à l'encontre du Prodnov.

L'ONC, conçue originalement comme institution visant à développer la coopération commerciale entre états membres et la stimuler, et désormais devenue une institution paramilitaire internationale.
L'ONC promet Paix, Partage et Prospérité aux états du monde entier.
Pour elle, la paix et devenue synonyme de guerre. Pour elle, le partage se résume à un échange de tirs d'artillerie. Pour elle, la prospérité se retrouve dans la misère et la rancune fatale causée par la guerre.

Que le monde ne s'y trompe pas ! L'ONC cherche, par tous les moyens, à finir par le dominer.
L'ONC impose et ordonne, l'ONC anéantit et tue. La seule légitimité que l'ONC aie jamais invoqué face au états non membres est sa force militaire. Car quelle est l'actuelle légitimité de L'ONC, à travers sa nouvelle "Commission de médiation interétatique pour la justice et le droit", à pouvoir juger des personnes non soumises à sa juridiction, n'ayant commis aucun crime avéré ou volontaire envers elle, et surtout à aller les chercher chez eux en dehors de sa juridiction ? Nous le disons haut et fort :
L'ONC N'EST PAS LÉGITIME !

Nous ne pouvons nier que l'ONC est puissante. Mais des voix, dans le monde, s'élèvent. Un nouveau groupe de nations démocratiques et capitalistes s'est formé, à savoir l'OND, remettant en cause la seule existence de L'ONC. Le LIBERALINTERN est toujours debout face à l'ONC menaçante. L'UNCS, bien que plus aussi puissante qu'à ses débuts, et toujours présente. Et même chez les états membres de l'ONC, de très nombreuses voix s'élèvent, critiquant toujours plus cette organisation terroriste et meurtrière. Le combat contre l'ONC n'est pas terminé, Camarades !
Il est désormais temps de dénoncer, et même si la lutte s'annonce très longue, nous la parcourons ensembles, et nous vaincrons !
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