16/11/2017
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Documentation publique de l'OND - Page 2

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Résolution 2003 du Conseil Général de l'Organisation des Nations DémocratiquesManticore, le 17 mai 2016, à 12H00
CG-RU..............................
CONCL..............................


RÉSOLUTION
Origine : ............ Secrétariat général du Conseil
Destinataire : .....Délégations ; Presse
Objet : ............... Réunion extraordinaire des Conseils (17 mai 2016) - Résolution adoptée


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Le Conseil Général de l'Organisation des Nations Démocratiques demande la cessation immédiate de toutes hostilités contre l’Empire du Nord et l’ouverture immédiate de négociations par le régime Carnavalais .


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Le Conseil Général de l'Organisation des Nations Démocratiques,
Rappelant et réaffirmant son engagement en faveur des droits humains, de la démocratie et de la paix,
Choqué par l’agression injustifiée perpétrée contre la population civile d’un de ses membres,
Ayant à l'esprit les devoirs et les responsabilités que la Charte des Nations Démocratiques lui assigne pour ce qui est de veiller au maintien et à la préservation de la paix et de la sécurité internationale ainsi qu'à protéger et défendre les populations civiles et les communautés religieuses,
Résolu à faire pleinement respecter le droit à l’auto-défense de l’Empire du Nord,
Résolu à faire pleinement respecter la souveraineté de l’Empire du Nord,
Agissant en application du Chapitre III de la Charte des Nations Démocratiques,
Agissant également en application des articles 5 et 9 de la Charte Défensive des Nations Démocratiques,

1. Exige que la Principauté de Carnavale se conforme pleinement aux demandes suivantes :
La Principauté de Carnavale ne doit plus mener aucune action hostile contre l’Empire du Nord ou tout autre état membre de l’Organisation des Nations Démocratiques,
La Principauté de Carnavale doit entamer sous deux mois des pourparlers avec l’Empire du Nord, en s’engageant par avance à verser des réparations financières aux familles des victimes et à l’État concerné,
La Principauté de Carnavale devra coopérer entièrement et pleinement à une enquête qui identifiera les coupables du massacre de Laagerfort et les transférera à une autorité compétente déterminée ultérieurement pour être jugés,
La Principauté de Carnavale devra entamer sous deux mois le retrait de toutes ses forces et moyens militaires des îles situées dans l’Océan d’Espérance,
La Principauté de Carnavale s’engagera à ouvrir des discussions sur le démantèlement partiel ou complet de son arsenal balistique.

2. Autorise les Etats Membres de l'Organisation des Nations démocratique, si au 17 juillet 2016 à 12H00 Carnavale n'a pas pleinement appliquée la présente résolution conformément au paragraphe 1 ci-dessus, à user de tous les moyens nécessaires pour faire respecter et appliquer la présente résolution et toutes les résolutions pertinentes adoptées ultérieurement pour rétablir la paix et la sécurité internationale.



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Accord intergouvernemental portant sur les critères dit de NorjaINTRODUCTION

Conscient des rapprochements de l'Organisation des Nations Démocratiques avec plusieurs Etats et de demandes de certains Etats de se voir octroyer un statut dit d'Etat Observateur actuellement inexistant parmi les Traités de Manticore, le Conseil Général a convenu de l'ajout d'une annexe supplémentaire au Traité Général via le présent texte. Ceux ci s'inscrivent dans ce qui est désormais appelé 'l'Esprit de Manticore'

Les membres du Conseil Général ont eu un échange de vues entre eux ainsi qu'avec le Secrétariat Général dans le but de renforcer l'importance des questions de démocraties et d'Etat de droit au sein des membres ainsi qu'auprès des Etats souhaitant adhérer à l'Organisation des Nations Démocratiques. Le statut nouvellement créé de Membre Observateur par l'annexe des Critères de Norja ne comporte pas les mêmes critères mais contient tout de même une conditionnalité et une possible suppression du statut.

Le Conseil Général, au travers des Critères de Norja, a accordé une attention particulière, d'une part à veiller à la bonne tenue de la démocratie au sein de ces Etats membres, d'autre part à clarifier sa posture vis-à-vis de l'extérieur.


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1. DISPOSITIONS COMMUNES

Article premier

1. Par les présents critères, les HAUTES PARTIES CONTRACTANTES instituent une série de critères que se doivent de respecter chacun des pays membres de l'Organisation des Nations Démocratiques.

2. Le présent traité marque le renforcement des valeurs fondamentales de l'Organisation des Nations Démocratiques dans le respect des Traités de Manticore.

3. Le présent traité vient amender certains des articles de la Charte Fondatrice.


Article 2

1. L'Organisation des Nations Démocratiques est fondée sur les valeurs fondamentales de l'Etat de droit, de la démocratie, de l'égalité, de libertés fondamentales et des droits humains. Ces valeurs, parties intégrantes de chacun des Etats membres sont les piliers du fonctionnement des Etats membres et ils doivent fonctionner en tant que principes généraux dans la législation des Etats membres de l'Organisation.

2. Ces valeurs font office de critères d'adhésion à l'Organisation dans le cadre du processus définit au titre 2 du présent traité.


Article 3

1. Les valeurs fondamentales de l'article 2 sont caractérisées par la séparation des pouvoirs, l’Etat de droit, l'indépendance de la justice et de la presse, l'égalité entre les individus notamment sur la question du genre.

Article 4

1. L'Organisation encourage la cohésion économique, sociale et la solidarité entre ses Etats membres. Elle promeut la protection sociale, la solidarité et la protection des droits de l'enfant.


2. PROCESSUS D'ADHESION

Article 5

1. Tout Etat qui respecte les valeurs visées à l'article 2 et caractérisées à l’article 3 peut demander à devenir membre de l'Organisation.

Article 6

1. Le point a. de l’article 1 de la Charte Fondatrice est inchangé car ne concernant que les Etats invités à faire partie au traité.

2. Le point b. de l’article 1 de la Charte Fondatrice concernant les candidatures extérieures est remplacée par les éléments suivants :

a. Toute demande d'adhésion est présentée au Secrétariat Général de l'Organisation. Les Etats membres sont informés de la demande d'adhésion.

b. Le Conseil Général se prononce à la majorité qualifiée aux deux tiers, suivant les procédures législatives nationales impliquant ou non l'accord de leur parlement national sur la candidature de l'Etat. Cela prend obligatoirement en compte les critères d'éligibilité de l'article 2 dont la teneur est évaluée par chacun des Etats Membres ainsi que par le Secrétariat Général. Le Conseil Général doit tenir compte de l'avis du Secrétariat Général dans sa décision.

3. L’article 14 de la Charte défensive est remplacée par les éléments suivants :

a. Le Conseil Militaire peut, à l’unanimité, inviter à accéder à la Charte tout autre Etat précédemment admis au sein de la Charte Fondatrice susceptible de favoriser le développement des principes de la présente Charte et de contribuer à la sécurité régionale et globale. Tout Etat invité doit déposer son instrument d’accession auprès du Secrétariat Général qui en informe les Etats membres.

b. Le Conseil Militaire se prononce à l’unanimité sur la candidature de l’Etat. Son adhésion prérequise à la Charte Fondatrice ne rend pas obligatoire la prise en compte des critères précédemment définis.


Article 7

1. Le Conseil Général peut décider de ne pas se prononcer immédiatement suivant une demande d'adhésion telle que formulée à l'article 6.1 et 6.2.

2. Le Conseil Général peut dès lors décider, à la majorité qualifiée aux deux-tiers, d'engager un processus d'adhésion auprès de l'Etat candidat. Celui-ci se voit octroyer le statut de candidat à l'Organisation.

3. Le Conseil Général, en cas de de processus d'adhésion, accompagne l'Etat candidat à l'Organisation dans l'instauration des réformes nécessaires dans l'accomplissements des critères de l'article 2.

4. Le Conseil Général, statuant à la majorité qualifiée aux deux-tiers, ou l'Etat candidat à l'Organisation, peuvent décider de la suspension du processus d'adhésion.

5. Le Conseil Général, statuant à la majorité qualifiée aux deux-tiers, peut décider de la validation des critères définit à l'article 2 par un Etat candidat à l'Organisation. En cas de validation des critères, le processus d'adhésion reprend tel que défini à l'article 6.2.


3. ETAT OBSERVATEUR

Article 8.

1. Un Etat non-membre de l'Organisation, qu'il soit candidat à l'Organisation ou non, peut faire la demande d'octroi du statut d'Etat Observateur. La demande est formulée auprès du Secrétariat Général qui en informe les Etats Membres.

2. Le Conseil Général, statuant à l'unanimité, peut décider de l'octroi du statut d'Etat Observateur à l'Etat requérant.


Article 9.

1. L'Etat Observateur ne peut pas, sauf sur invitation à l'unanimité des Etats Membres, assister à une réunion du Conseil Général ou du Conseil Militaire.

2. L'Etat Observateur peut, sur demande et sur accord à la majorité des Etats participants, accéder à une ou plusieurs instances de réflexion de l'Organisation.

3. L'Etat Observateur dispose, au sein de la ou des instances de réflexion dont il est membre, du droit de parole mais pas du droit de vote.


Article 10.

1. Le Conseil Général peut, statuant à la majorité des Etats Membres, décider de mettre un terme au statut d'Etat Observateur d'un Etat. Celui-ci est informé de la décision par le Secrétariat Général.

2. Les Etats Membres participant à une instance de réflexion, statuant à la majorité, peuvent décider de la suspension partielle ou totale d'un Etat Observateur au sein de l'instance de réflexion à laquelle celui-ci à accès.

3. La Présidence d’une instance de réflexion peut décider de la suspension immédiate d’un état-observateur au sein de l’instance de réflexion présidée. Cette décision doit être soumise par la suite au Conseil Général, qui seul peut statuer de l’exclusion définitive.


4. DISPOSITIONS FINALES

Article 11.

1. Le présent protocole est indexé aux Traités de Manticore. Il dispose de la même valeur juridique.


Article 12.

1. Le présent protocole sera ratifié par les hautes parties contractantes, conformément à leurs règles constitutionnelles respectives.

2. Le présent protocole entrera en vigueur au premier jour du premier mois suivant le dépôt de l'instrument de ratification par la majorité des deux tiers des Etats Membres.

Fait à Norja, le vingt-et-un avril de l'an deux mil seize.
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Résolution 2121 du Conseil Général de l'Organisation des Nations DémocratiquesBandarhan, le 16 janvier 2017
CM-RE.... .... .. . . .. ... .. . . .. ...
CONCL....... ... ... . . ... ... .. .....


RÉSOLUTION
Origine : ............ Secrétariat général du Conseil
Destinataire : .....Délégations ; Presse
Objet : ............... Réunion extraordinaire du Conseil Militaire (16 janvier 2017) - Résolution adoptée


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Le Conseil Militaire de l'Organisation des Nations Démocratiques condamne les crimes contre l'Humanité perpétrés par la Principauté de Carnavale en Kabalie et dans l'Empire du Nord et autorise les Etats membres à user des moyens nécessaires pour mettre fin aux attaques et aux menaces contre les populations civiles mondiales.


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Le Conseil Général de l'Organisation des Nations Démocratiques,

Rappelant la résolution 2003 du 17 mai 2016 sur l'attaque de la Principauté de Carnavale contre l'Empire du Nord,

Rappelant et réaffirmant son engagement en faveur des droits humains, de la démocratie et de la paix,

Rappelant et condamnant les crimes et actions génocidaires menées par la Principauté de Carnavale en Kabalie,

Condamnant l'attaque indiscriminée menée contre la capitale de l'Empire du Nord,

Condamnant les menaces de crimes contre l'Humanité prononcées par la Principauté de Carnavale à l'encontre du Royaume de Teyla, et du Duché de Sylva,

Conscient de l'étendu des crimes contre l'Humanité mené par la Principauté de Carnavale,

Conscient de la menace pour les populations civiles et la sécurité mondiale que fait peser la Principauté de Carnavale,

Résolu à sauvegarder les vies civiles contre toute attaque indiscriminée à leur encontre,

Agissant pour mettre un terme à la menace que fait peser et aux crimes perpétrés par la Principauté de Carnavale,

Agissant en application du Chapitre III de la Charte des Nations Démocratiques,

Agissant également en application des articles 5 et 9 de la Charte Défensive des Nations Démocratiques,

1. Déclare que l'attaque balistique perpétrée contre les populations civiles de l'Empire du Nord, que les massacres et actions génocidaires perpétrés en Kabalie, et que les menaces de d'attaques balistiques massives à l'encontre des populations civiles du Royaume de Teyla et du Duché de Sylva constituent des atteintes directes à la souveraineté de ces Etats, à la vie des populations civiles, et à la sécurité mondiale.

2. Autorise les Etats membres du Conseil Militaire à user de tous les moyens nécessaires, en application du droit humanitaire, pour faire respecter et appliquer la résolution 2003 et pour rétablir la paix et la sécurité internationale dans le monde.

3. Demande aux Etats membres du Conseil Militaire participants de tenir le Conseil régulièrement informé des dispositions qu'ils prendront en application du point 2.

4. Etablit comme conditions préalables à toute négociation avec la Principauté de Carnavale les mesures suivantes :
-Le démantèlement immédiat et intégral de son arsenal balistique
-La fin immédiate et complète de l'occupation illégale de la Kabalie
-La mise à disposition par Carnavale de l'ensemble des ressources nécessaires au travail d'une commission d'enquête plénipotentiaire sur les crimes contre l'humanité perpétrés notamment contre la Kabalie et l'Empire du Nord, ainsi que la reconnaissance de l'autorité cette commission par Carnavale
-La cessation de toute action hostile à l'encontre des membres de la communauté internationale

Etablit enfin que de telles négociations ne pourront avoir lieu en bonne et due forme que si lesdites mesures sont appliquées pleinement et entièrement, une fois leur application constatée par le Conseil Général de l'Organisation des Nations Démocratiques

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Communiqué rappelant les conditions préalables à un cessez-le-feu avec la Principauté de Carnavale
Blason du secrétariat royal des affaires étrangères

Manticore, le 17 janvier 2017
CG-CO.... .... .. . . .. ... .. . . .. ...
CONCL....... ... ... . . ... ... .. .....


COMMUNIQUÉ
Origine : ............ Secrétariat général du Conseil
Destinataire : .....Principauté de Carnavale; Délégations ; Presse
Objet : ............... Communiqué - Rappel des conditions d'un cessez-le-feu


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Le Conseil Général de l'Organisation des Nations Démocratiques indique que les conditions précédemment transmises à la Principauté de Carnavale sous la forme des résolutions 2003 et 2121 sont les seuls qui permettront l'interruption des combats en cours. .


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Le Conseil Général de l'Organisation des Nations Démocratiques,
Rappelant et réaffirmant son engagement en faveur des droits humains, de la démocratie et de la paix,
Rappelant la résolution 2003 du 17 mai 2016,
Rappelant également la résolution 2121 du 16 janvier 2017,
Réaffirmant sa détermination à poursuivre les coupables du génocide perpétré contre Estham,
Conscient de son devoir de protection envers les populations des États-membres,
Résolu à mettre un terme à la menace représentée par la Principauté de Carnavale,
Déterminé à trouver une solution au conflit et à épargner un maximum de vies humaines,

1.Rappelle ses conditions préalables à toute négociation avec la Principauté de Carnavale :
-Le démantèlement immédiat et intégral de son arsenal balistique
-Le démantèlement immédiat de ses armes de destruction massives et des infrastructures de recherche, de production et de stockage associées
-La fin immédiate et complète de l'occupation illégale de la Kabalie
-Le retrait immédiat et intégral par la Principauté de Carnavale de toutes ses forces et moyens militaires des îles situées dans l’Océan d’Espérance,
-La mise à disposition par Carnavale de l'ensemble des ressources nécessaires au travail d'une commission d'enquête plénipotentiaire sur les crimes contre l'humanité perpétrés notamment contre la Kabalie et l'Empire du Nord, ainsi que la reconnaissance de l'autorité cette commission par Carnavale
-La cessation de toute action hostile à l'encontre des membres de la communauté internationale

2.Affirme sa volonté de poursuivre les opérations militaires jusqu'à ce que la Principauté de Carnavale se soit conformée à ces conditions ou qu'elle y ait été contrainte par l'usage de la force.

3.Établit enfin que de telles négociations ne pourront avoir lieu en bonne et due forme que si lesdites mesures sont appliquées pleinement et entièrement, une fois leur application constatée par le Conseil Général de l'Organisation des Nations Démocratiques
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Communiqué commun de l'Organisation des Nations Démocratiques et de la Grande République de Westalia portant sur l'agression Stérusienne.


Blason du secrétariat royal des affaires étrangères

Manticore, le 22 octobre 2017
CG-CO.... .... .. . . .. ... .. . . .. ...
CONCL....... ... ... . . ... ... .. .....


COMMUNIQUÉ
Origine : ............ Secrétariat général du Conseil
Destinataire : .....Grande République de Westalia ; Délégations ; Presse
Objet : ............... Communiqué - Portant sur l'agression Stérusienne.


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Organisation des Nations Démocratiques et Grande République de Westalia

A l'attention des nations libres du monde,

Nous, représentants de la Grande République de Westalia et des membres de l'Organisation des Nations Démocratique, la République Faravanienne, le Royaume-Uni d'Ynys Dyffryn et du Kentware, la République Fédérale de Tanska, la Fédération de Yukanaslavie, l'Empire Démocratique et Parlementaire du Nord, le Duché de Sylva et le Royaume de Teyla, dénonçons conjointement l'attaque perfide organisée par la Fédération de Stérus et les Jaguars du Paltoterra le 22 octobre 2016, dans le Scintillant, ayant couté la vie à seize membres des forces armées westaliennes et la perte de deux remorqueurs.

Cette attaque s'inscrit dans un contexte d'atteinte à la stabilité, à la paix et à l'intégrité des nations démocratiques aleuciennes dont la Fédération de Stérus continue de cibler, avec plus d’insistance, de force et de dangerosité. L'attaque du 22 octobre 2016 est l'apogée de la doctrine diplomatique stérusienne qui souhaitent imposer sa vision par la menace et maintenant par la mort, via l'utilisation de techniques de piraterie ou de terrorisme, avec des moyens militaires étatiques et des capacités de destructions importantes. Les Jaguars du Paltoterra, se réclamant comme une entreprise privée aux vocations de sécurité et de défense, ont démontré leur complicité dans les actes barbares de cette attaque et ne peuvent être reconnu que comme une entité aux stratégies fourbes, barbares et terroristes, par leur choix de s'être associés à une opération aux qualificatifs similaires.

La diplomatie, le dialogue et la résolution pacifique des conflits sont, et ont toujours été, les méthodes favoriser pour permettre d'arriver à une issue pacifique. Le sommet de Manticore, début 2016, réunissant la Grande République de Westalia, la République de Lermandie, la Fédération de Stérus et la médiation du Royaume de Teyla a été le premier pas de tous les acteurs pour permettre à l'Aleucie de ne pas sombrer dans les querelles intestines et dévastatrices pour nos populations, mais aussi pour le commerce international. Si cette première rencontre n'a pas aboutie à la signature d'un accord commun, la Fédération de Stérus, par son action militaire inconsidérée, a décidé de balayer d'une main tous les efforts diplomatiques entretenus jusque là par tous les acteurs favorables à la paix, préférant favoriser la confrontation armée au dialogue pacifique, dans l'unique but d'assouvir les intérêts personnels du Consul Cristobal Pandoro, dangereux autocrate à la tête d'une population qu'il plonge jour après jour dans le chaos, l'isolement international et vers avenir terriblement sombre dans les mensonges, les diffamations et les prises de parole sanguines dont il est devenu maître.

Responsable dans sa réponse, la Grande République de Westalia a décidé de ne pas répondre aux armes par les armes, préférant choisir une forme de réponse qui évitera d'entraîner le continent dans un conflit militaire dévastateur, évitant la mort de milliers d'innocents, alors que nous pleurons encore la tragédie d'Estham. Pour que la Fédération de Stérus recule dans ses ambitions hégémoniques armées, les membres de l'Organisation des Nations Démocratiques se joignent au gouvernement fédéral westalien dans l'application de sanctions à l'encontre du pays agresseur. Les différentes nations de ce communiqué rappellent leur volonté de voir la paix perdurer en Aleucie, permettant à ses millions d'habitants, qu'ils soient aussi bien westaliens que stérusiens, de vivre dans une époque où le dialogue, les libertés et la démocratie prévalent face à l'autocratisme, à l'égocentrisme et à la violence. Les sanctions suivantes sont ainsi applicables dès la publication de ce communiqué :

Sanctions économiques et commerciales :
  • Interdiction des importations de produits ou de services originaire de Stérus.
  • Interdiction des exportations de productions ou de services à destination de Stérus ou qui pourraient y être destinées.
  • Gel complet des financements en provenance de Stérus.
  • Gel complet des financements à destination de Stérus ou qui pourraient y être destinées.
  • Interdiction de toute transaction financière avec Stérus, dans les deux sens.
  • Gel de tous les traités commerciaux/économiques concernant les précédents points de cette section.

Sanctions sur les transports et les accès aux espaces aérien et maritime :
  • Interdiction de l'espace aérien et maritime à tout avion ou navire stérusien, militaire comme civil.
  • Gel de tous les traités concernant le précédent point de cette section.

Sanctions contre les médias stérusiens :
  • Bannissement de la diffusion des médias propagandistes stérusiens sur le territoire des membres de l'ASEA.

Sanctions juridiques :
  • Reconnaissance, respect et coopération concernant l'émission des mandats d'arrêt westaliens contre différents membres du gouvernement stérusien, dont le Consul Cristobal Pandoro, et plusieurs haut-gradés militaires stérusiens.
  • Reconnaissance, respect et coopération des mandats mandats d'arrêt westaliens contre les personnalités dirigeantes du groupe de mercenaires des Jaguars du Paltoterra.
  • Les Jaguars du Paltoterra sont officiellement reconnus comme une entité terroriste.

Les gouvernements auteurs de ce communiqué ont fait le choix d'appliquer ces sanctions dans l’objectif de pousser la Fédération de Stérus à un retour au dialogue pacifique et à l'arrêt de tout projet militaire hostile à l'encontre de toute nation membre de la communauté internationale. La finalité de ces sanctions est d'obtenir de la part du gouvernement stérusien une reconnaissance de ses actes militaires hostiles à l'encontre de la Grande République de Westalia, ce qui n'est toujours pas le cas, dans le but d'organiser un nouveau sommet pour la paix et pour l'application d'une liste de réparations concernant l'attaque stérusienne du 22 octobre 2016. Des conditions nécessaires pour envisager la levée de ces sanctions.

En raison des dernières menaces stérusiennes, réponses aux précédentes déclarations westaliennes l'incriminant sur cette attaque, et le risque que le gouvernement de la Fédération de Stérus cherche à faire escalader la crise en un conflit militaire, la Grande République de Westalia et les membres de l'Organisation des Nations Démocratiques annoncent le dépôt d'une candidature de la Grande République de Westalia pour intégrer cette même alliance des peuples défendant la paix, la liberté d'expression et nos valeurs démocratiques communes à travers le monde. L'objectif premier est de dissuader tout déclenchement d'une guerre de la part du camp stérusien, tout en permettant à l'organisation de développer ses missions, via l'apport des moyens westaliens pour les coopérations et accords correspondant aux différentes chartes actuellement appliquées par l'Organisation des Nations Démocratiques.

La paix et le dialogue sont toujours une option que les stérusiens peuvent saisir pour sortir de cette crise. Nous appelons le gouvernement de la Fédération de Stérus à faire preuve de bon sens dans ce conflit en choisissant la sortie pacifique, face à l'escalade de la violence, des armes et de la mort, dans un contexte stratégique et militaire qui ne lui sera ni favorable, ni favorable à l'Aleucie.

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