Activité intérieurs en Fédération d'Antegrad - Page 2

Actualité médiatisé
Destint, 26.08.2016, Antegrad

Le chef suprême de la Fédération Centrale Démocratique d'Antegrad prononce un discours depuis son bureau, au sein du Palais Suprême, au centre de Destint :

"Antériens, Antériennes, frères et sœurs, Moi, le chef suprême de la Fédération Centrale Démocratique d’Antegrad, guide des peuples éthiques des Antes, je prononce aujourd’hui mon tout premier discours en tant que successeur d’Ismael Idi Amar. J’ai plusieurs annonces importantes à vous faire. Tout d’abord, je vous informe, si vous ne l’êtes pas encore que, suite à un entretien avec le Duché de Sylva, celui-ci a décidé, avec l’ensemble de sa coalition, de lever l’embargo qui pesait sur notre nation et nous les remercions pour cela.

Ensuite, parce que nous ne sommes pas aussi naïfs que nos ennemis, nous allons entamer une tentative de désescalade dans le conflit actuel entre l’Ouwanlinda et l’Antegrad. L’objectif est d’éviter de nouvelles pertes civiles et… *tousse*… d’éviter de devoir éradiquer leur misér… misérable armée… *tousse*… pardon, je pensais à autre chose. Bref.
À cette fin, nous annonçons la levée de l’embargo sur les navires uniquement commerciaux ouwanlindais transitant par la Manche Dorée. Je vous informe également que des discussions auront prochainement lieu à l’UC Sochiata, sous la médiation assurée, sans aucun doute, par le Grand Kah.

J’annonce également que la Fédération Centrale Démocratique d’Antegrad reconnaît l’Armée Démocratique du Gondo comme le seul gouvernement légitime à la tête de ce pays. Cela pourra en surprendre certains, car je prends ici une direction opposée à celle de mon prédécesseur, mais je le dis sans détour : s’allier avec des puissances colonisatrices a été, selon moi, sa plus grande erreur.
Cependant, l’Antegrad rejoint la position de la du califats d’Azur et appelle à un cessez-le-feu immédiat entre les différents acteurs du conflit. Je pense, et j’en suis certain, que ce pays a déjà suffisamment souffert, mutilé par une guerre interminable.

Enfin, j’ai une dernière annonce à vous faire. Contrairement aux précédentes, celle-ci n’est pas positive, et ne concerne pas le conflit en Afarée. J’ai été informé qu’une nation totalitaire, qui refuse d’accepter les restrictions imposées par notre gouvernement, notamment l’embargo en Manche Dorée décidé en réponse à son ingérence, envisagerait un affrontement contre notre grande nation dans un avenir plus ou moins proche. Nous avons des preuves. Oui, mon peuple, vous m’avez bien entendu. Ce pays souhaite utiliser la force pour tenter d’imposer ses idées impérialistes. Mais il n’y parviendra pas.
Nous ferons tout pour nous y préparer et pour avoir plus d'information à se sujet. Pour l’instant, je ne donnerai pas le nom de cette nation pour ne pas déclenché d'inutile conflit, mais elle se reconnaîtra.
Je vous remercie de m’avoir écouté, cher peuple antérien."

Actualité médiatisé
Destint, 04.02.2017, Antegrad

Le chef suprême de la Fédération Centrale Démocratique d'Antegrad prononce un discours dans une salle réservé au journaliste, au sein du Palais Suprême, au centre de Destint :

"Antériens, Antériennes, frères et sœurs Afaréens, moi, Chef suprême de la Fédération Centrale Démocratique d’Antegrad, guide des peuples ethniques des Antes, je prononce aujourd’hui un discours historique pour notre nation. Ces dernières années ont été marquées par une montée puissante du nationalisme afaréen, par le soutien aux peuples encore colonisés, et par la dénonciation des crimes contre l’humanité perpétrés par diverses puissances colonisatrices, les unes après les autres. L'Afarée s’est divisée entre les territoires colonisés ou sous influence étrangère, et les forces nationalistes afaréennes.

On pourrait croire que l’Antegrad fait partie des rares pays exempts de cette influence étrangère, un territoire cent pour cent afaréen. Mais ce n’est pas le cas. Notre histoire est profondément marquée par l’influence eurysienne. Le nom même de notre bien-aimée nation porte une empreinte slave eurysienne, imposée par d’anciens dirigeants soumis à ce continent oppresseur. C’est pourquoi moi, votre chef suprême, je vous annonce aujourd’hui un changement majeur, dont la première mesure prend effet immédiatement.

Je vais nommer deux bases militaires situées sur notre territoire et appartenant à des puissances étrangères qui n'ont pour objectif que d’étendre leur influence sur l’Antegrad et, plus largement, sur l’Afarée:
La base militaire rimaurienne d’Hejo et la base militaire kartyenne d’Hejo

Par pure bienveillance, je laisse trois choix à ces nations : Quitter notre territoire dans les plus brefs délais. Payer 2 500 unités internationales tous les trois mois pour continuer à occuper ces installations ou payer 500 unités internationales tous les trois mois et accueillir sur leur sol une base militaire antérienne d’une capacité de 350 hommes.

Les deux nations concernées ne doivent pas voir dans cette décision une remise en cause de nos relations diplomatiques ni des traités existants, mais plutôt une affirmation claire de notre volonté d’indépendance et de souveraineté.

Merci, cher peuple, de m’avoir accordé ces quelques minutes.
Vive l’Antegrad! Vive l’Afarée libre!"

Le dirigeant anterien quitte ensuite la salle sous l'acclamation des journalistes.

Actualité médiatisé
Destint, 15.02.2017, Antegrad

Le chef suprême de la Fédération Centrale Démocratique d'Antegrad prononce un discours dans une salle réservé au journaliste, au sein du Palais Suprême, au centre de Destint :

"Antériens, Antériennes, frères et sœurs afaréens, Moi, Chef suprême de la Fédération centrale démocratique d’Antegrad, guide des peuples ethniques des Antes, je vous adresse aujourd’hui un discours improvisé, sans texte préparé, car l’urgence de la situation l’exige.

J’ai appris que notre ancien allié, désireux de faire parler de lui à tout prix, a commis un acte d’une gravité extrême. Ce pays, l’Empire de Karty, a fait tomber le masque en bombardant nos fidèles alliés de l’Empire islamique de Churaynn. Oui, vous avez bien entendu. Ce pays a révélé au monde ses intentions impérialistes, prétendant avoir agi en réponse à de soi-disant menaces venant de Churaynn. Au lieu de faire appel à la diplomatie, il a choisi la voie de la violence et de l’agression.

Notre nation condamne avec la plus grande fermeté cet acte impérialiste et colonisateur. Elle rejoint la position de la République démocratique du Wanmiri, dont le discours sera prochainement diffusé sur toutes les télévisions antériennes afin que chacun puisse entendre la vérité.
Mais notre nation ne se contentera pas de simples paroles face à un acte aussi grave, qui rappelle de sombres heures encore récentes de notre propre histoire. Je vous annonce donc que, dès aujourd’hui, des sanctions seront appliquées contre l’Empire de Karty: Tous les produits kartyens seront désormais soumis à une taxe douanière de 150 %. Tous les textes, livres et publications kartyens sont interdits sur l’ensemble du territoire. Toute personne en possession de tels documents est priée de les remettre à son commissariat local, où ils seront détruits, sinon vous risquer une condamnation de 5 ans de prisons et une amande de 130 000 anto-d'or.

Enfin, j’adresse un avertissement clair à l’Empire de Karty, si une nouvelle attaque est perpétrée contre l’Empire islamique de Churaynn, ma nation seras dans l'obligation de mettre en place de très lourde actions. Je n'en dirais pas plus.

Je vous remercie. "

Le dirigeant anterien quitte ensuite la salle sous l'acclamation des journalistes.

Actualité non médiatisé
Destint, 01.03.2013, Antegrad

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Actualité non médiatisé
Désert d'Inobi, **.**.****, Antegrad

Dans le désert d'Inobi, entre les villes de New Maï et Cadjikis, se situe la prison la plus sécurisée de toute la Fédération Centrale Démocratique d'Antegrad, nommée Centre de Détention de Wolbou-les-Sables. Celle-ci s’étend sur 5,6 hectares. Elle est composée de 8 tours de surveillance principales, de 15 tours de garde secondaires, d’un premier mur en grillage de 3,4 mètres de haut entièrement recouvert de barbelés, d’un second mur en grillage de 4,1 mètres de haut également surmonté de barbelés, puis d’un troisième mur en béton d’environ 4 mètres de haut, lui aussi surmonté de barbelés.

La prison comprend un bâtiment principal ainsi qu’un bâtiment psychiatrique, tous deux sans fenêtres, avec une seule entrée et une seule sortie. L’ensemble du site est éclairé en permanence. Au centre de la cour repose une silhouette bien connue, celle d’un homme surnommé "Mehmet le Con", un espion westalien condamné à mort il y a plusieurs années. Son cadavre, pendu, a été laissé au centre de la cour comme avertissement.

La prison abrite 3 453 détenus. Les cellules, pas plus grandes qu’un vestiaire, accueillent en moyenne entre 20 et 30 personnes. Il n’y a pas d’eau chaude, les détenus ne reçoivent qu’un repas par jour, en quantité insuffisante pour leur permettre de tenter une rébellion ou de creuser un tunnel dans le sol ou les murs, mais suffisantes pour survivre. La majorité d’entre eux ne voit jamais la lumière du jour.

Les prisonniers y sont incarcérés pour des raisons très diverses, islamistes radicaux, terroristes, meurtriers, complices de terrorisme, membres de milices armées… mais aussi des opposants politiques comme des communistes, démocrates, partisans jugés trop proches de l’Eurysie (Kartien, Rimaurien, Carnavalais…), opposants à l’armée démocratique du Gondo, manifestants, membres de groupes indépendantistes, Aklafiens, Mondawais, artistes (chanteurs, écrivains, dessinateurs) critiques du régime, personnes LGBTQ+, déserteurs du service militaire, journalistes dissidents, Ëdangois opposés à l’Antegrad, et bien d’autres encore.

Cette prison est évidemment inaccessible au public, aux journalistes et aux membres d’ONG. Toute personne s’en approchant de trop près peut être abattue par la milice fédérale chargée de sa surveillance. Elle est considérée comme un véritable enfer, et les rares individus qui en sortent n’en parlent jamais, de peur d’y être renvoyés.

Aucune évasion n’a jamais été recensée. Sa situation géographique et son infrastructure rendent toute fuite pratiquement impossible. Son unique point faible est son coût colossal. Pour y remédier, les détenus sont exploités pour extraire du sable, revendu ensuite afin de financer une partie des dépenses de la prison.

Actualité médiatisé
Ajaharân, 25.03.2017, Antegrad

Le chef suprême de la Fédération Centrale Démocratique d'Antegrad prononce un discours dans une salle réservé au journaliste, au sein de la "Maison suprême secondaire, au centre de Ajaharân :

Antériens, Antériennes, frères et sœurs afaréens, moi, Chef suprême de la Fédération centrale démocratique d’Antegrad, guide des peuples ethniques des Antes, je vous adresse aujourd’hui un discours d'une grande importance pour notre nation.

Tout d'abord, j'ai entendu parler d’une soi-disant démocratisation de notre ancien allié qui nous a trahis, l'Empire de Karty. J’ai vu une grande partie du monde occidental féliciter cette prétendue république, qui n’a de démocratique que l’élection de délégués dans des classes de collégiens. Et qui, en plus, se permet d’inviter tout le gratin des colonisateurs et impérialistes eurysiens, comme si leur pseudo-démocratie était un exploit. Tout cela pour voir une marionnette se prétendant chancelière déblatérer des inepties inutiles.

Mais malgré tout, cela a servi à quelque chose, cela m’a fait prendre conscience d’une réalité. Notre nation, comme je l’ai déjà dit dans mon précédent discours, n’a rien d’afaréen à première vue. Elle est marquée par une histoire inspirée de l’Eurysie, porte un nom slave qui n’a aucun sens pour notre région, utilise le mot "fédération" qui n’a aucune signification administrative réelle ici, et arbore un drapeau imposé par notre cher et honorable prédécesseur, le Chef suprême Venos Feros, un drapeau qui reflète davantage sa religion que l’identité de notre peuple.

Dites-moi, chers compatriotes, combien d’entre vous sont chrétiens? Combien croient en des religions propres à leur village natal? Combien ne croient en aucun dieu? Nous aimons ce drapeau, nous aimons son histoire, nous aimons ce qu’il peut représenter… mais vous n’aimez pas ce qu’il ne représente pas, le peuple, l’ethnie des Antes.
Mais n’ayez crainte, mon cher peuple. Je vous ai entendus, et cela va changer. Tout va changer. Notre nation ne ressemblera en rien aux impérialistes eurysiens. Notre nation sera indépendante.

Je proclame donc aujourd’hui la République démocratique d'Antérie. Fini le Conseil fédéral réservé à une élite, mis en place par mon prédécesseur. À présent, un Conseil militaire démocratique sera instauré.

Ce changement est radical, mais il sera salutaire pour notre nation, trop longtemps colonisée jusque dans son nom. Nous ne ferons pas comme Karty, qui se déclare république uniquement pour s’attirer les faveurs du monde occidental. Non! Nous fêterons cela entre nous, vous, Antériens, et moi, votre nouveau chef-président. Nous n’avons pas besoin des félicitations des impérialistes. Je vous invite tous à vous rassembler au stade Idi Akim, le plus grand du pays, situé à Ajaharân demain soir, au cœur de notre république, pour célébrer ce renouveau comme il se doit !

Le dirigeant anterien quitte ensuite la salle sous l'acclamation des journalistes.