Monsieur Pierre Lore ministre des affaires étrangères de Teyla,
J'aimerais tout d'abord vous annoncer monsieur le ministre que nous n'avons pas retirer notre candidature en raison de l'invasion du territoire du Hvítneslånd mais en raison de rumeurs de certains médias Artyomiens prouvant que l'OND serait un système "Teylacentrique" pour reprendre les mots c'est à dire que les pays membres de l'OND n'aurait pas réellement de libre-arbitre mais que le royaume de Teyla ferait pression sur ceux qui ne serait pas sur les mêmes longueurs d'onde de Teyla. Nous ne défendons pas ces accusations mais nous ne prenons aucun risque en raison d'une vague de manifestation et une enquête est en cours pour déterminer l'avenir de la candidature.
Je vais maintenant répondre à vos interrogations concernant le positionnement d'Artyom envers l'UEE.
Nous avons condamné l'invasion d'une partie de la République d'Hotsaline en 1994 c'est notre empereur de l'époque Friederich Ier qui avait dénoncé l'invasion lors d'une allocution télévisée mais il avait également déclaré, je vous l'accorde, qu'Artyom devais rester en dehors de cette histoire.
Nous sommes évidemment hostiles à la Rimaurie nous l'avons montré depuis l'implémentation d'un régime fasciste dans les années 1960 nous nous sommes depuis préparé à une potentielle invasion du territoire. Mais le stade de partenaire dans l'UEE n'est pas forcément gage de démocratie dans l'UEE, je m'engage d'ailleurs à faire de ce critère une obligation et de l'exclusion de la Rimaurie en cas de notre adhésion
Quant aux personnes que vous pensez victime de la xénophobie du Kölisburg ils ont été arrêter dans l'exercice illégal de leur profession et non pas en raison de leur nationalité.
Il est vrai que l'UEE comporte des défauts mais nous cherchons à être un équilibre entre l'OND et l'UEE, un intermédiaire, afin d'atténuer les tensions entre les deux organisations car chez nous la paix est un équivalent de l'honneur dans votre pays. Cela peut paraitre idéaliste voire naïf mais même si un idéal est impossible à atteindre mais on peut réussir à s'en rapprocher le plus possible.
Sachez que j'ai été content de vous répondre et que vos questions sont très constructives.
Thomas Simon, ministre des affaires étrangères et de la souveraineté nationale.