02/07/2017
18:55:48
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Contacter la Grande République ici (diplomatie) - Bureau du Maître du Grand commerce et des étrangers - Page 12

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De : Martha Fulton, Présidente de l'Organisation des Nations Commerçantes.
Pour : Julia Cavali, Maîtresse du Grand commerce et des étrangers de la Grande République de Velsna.

Madame la sénatrice,

Vous me couvrez d'un nouvel honneur à partager avec vous les suites à donner à votre estimable candidature.

Car en effet, au nom de la présidence de l'Organisation des Nations Commerçantes et au nom de sa commission d'admission ainsi que de l'ensemble des Etats-membres de l'organisation, j'ai plus que l'honneur, désormais le plaisir, de partager l'acceptation de la Grande République de Velsna au sein de notre institution.

Considérant toutefois le délai de traitement offert à votre candidature, nous aimerions toutefois nous assurer auprès de votre personne, la pérennité de l'intérêt velsnien pour ladite candidature exprimée.

Outre l'approbation donnée à votre candidature, nous aimerions également vous signifier le consensus que celle-ci a su dégager et l'unanimité des votes, tous dressés en sa faveur. La décision, prise à l'unanimité de nos états-membres et ratifiée en session extraordinaire pour la commission des admissions le 1er novembre dernier, conclut un examen rigoureux prenant acte de la satisfaction velsnienne donnée à chaque critère d'exigence.

Par la présente et nourrissant l'impatience de connaitre les suites à donner par la Grande République de Velsna, nous vous exprimons nos voeux sincères de voir vos instances confirmer votre volonté première.

Avec courtoisie et un chaleureux enthousiaste à vous accueillir,

Martha Fulton, présidente de l'Organisation des Nations Commerçantes.

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Entête  (obtenu par encrage)  de la Présidence de la République de l'Etat du Makota sur lequel on voit, outre le texte que l'on vient de donner, un écu avec une vache dans un cercle (armes de la République) flanqué de deux cowboys montés et armés et la devise est jointe : Dieu, Liberté, Patrie. Le tout est encadré.

Première partie
deuxième partie

Signature à la plume élégamment tracée surmontée d'un texte imprimé par encrage en typographie ancienne (mais toujours d'actualité en Makota), il est écrit : Jean Irreville, Président de la République de l'Etat du Makota.
Transcription du documentA l'attention de Mlle Julia Cavali, Maîtresse du Grand commerce de la Grande République de Velsna
Mademoiselle, l’intérêt que vous portez à notre nation et au cuir abondant de qualité que nous produisons nous honore et nous place, naturellement, dans les meilleures disposition du monde à votre égard. Naturellement, cet accord nous conviendrait parfaitement et il va de soit que je n'aurai absolument aucun mal à le faire voter, sauf si je suis démis avant, auquel cas le Vice-Président, qui est par ailleurs mon fils, le signerait assurément. Vous nous trouvez actuellement dans une puissante crise politique, toute artificielle, elle est ourdie par certains de mes ennemis politiques qui se pensent malins d'agir de la sorte.
Mais revenons à votre proposition. Oui, elle nous convient parfaitement, cela dit nous ne manquons déjà pas de liquidités et, bien qu'il ne soit assurément pas possible de se trouver en excès de richesses, nous aimerions que ce cuir que nous vous vendrons puisse nous servir à acheter auprès de vos acteurs commerciaux les biens qui nous font encore très largement défauts : le matériel de haute technologie, informatique, pharmaceutique ainsi que des machines outils.
En ce qui concerne l'échange d'ambassadeurs, ça me semble être une excellente idée et j'y consens volontiers. Nous aurions donc trois articles ainsi rédigés quand vous nous aurez fait part de ce que nous avez à nous offrir :
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Accord diplomatique de coprospérité entre Velsna et le Makota
1.Les deux États signataires, à savoir la Grande République de Velsna et la République de l’État du Makota, se reconnaissent mutuellement, tant en ce qui concerne leurs États et leurs frontières que leurs gouvernements et constitutions respectifs.
2.Les acteurs économiques du Makota pourront fournir du cuir aux acteurs économiques de la Grande République de Velsna. Ces derniers équilibreront ces échanges au moyen d’équipements ou de matériels informatiques, électroniques, ou encore de logiciels divers, de médicaments modernes. Les États veilleront à l’équilibre de la balance commerciale afin d’assurer des flux efficaces et équitables.
3.Il sera procédé à un échange d’ambassadeurs entre les deux nations, chaque État pouvant acquérir une ambassade sur le territoire de l’autre. Ces ambassades bénéficieront du privilège traditionnel d’extraterritorialité.
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Le passage soulignant doit être encore établi et il va de soit que tout est parfaitement négociable. Quand nous seront tombés d'accord, si Dieu veut que je sois encore sur mon fauteil de président, je me ferais un plaisir d'aller porter cet accord devant les chambres du Congrés.
En tout état de cause, veuillez recevoir, Mademoiselle, l’expression de mes salutations les plus distinguées.
Drapeau


A l'attention du sénateur et Maître e l'Arsenal de la Grande République, Matteo DiGrassi



Cher sénateur DiGrassi
Comme vous l’avez dit, cela fait bien longtemps que nous n’avions pas eu à échanger et je dois dire que cela me manquait un peu. Même si je préférerais que cela soit sur des sujets moins sensibles, c’est toujours un plaisir d’échanger avec vous. Comme vous le dites, il y a eu depuis peu un regain de tensions au sujet de la confédération de Kresetchnie. Des manifestations ont éclaté au sein du Grand Gradenbourg, manifestations qui ont à de rares occasions dégénéré en émeutes. Depuis 1995, le Grand Gradenbourg est placé sous tutelle Raskenoise afin de redresser son économie, et certaines instances sont encore sous le contrôle de l’administration militaire, comme la police ou l’armée, par exemple.

Dans le même temps, le Gradenbourg s’est largement développé, passant de pays pauvre à pays développé avec une économie forte et une industrie performante, et c’est cela qui a provoqué les dernières tensions. En effet, comme je l’ai dit plus haut, la mise sous tutelle du Gradenbourg était justifiée par la nécessité d’un redressement économique ; ainsi, la mise sous tutelle n’avait plus de raison d’être. Même si nous aurions préféré attendre un peu plus, pour que le niveau de vie au Gradenbourg rattrape celui de Rasken, nous comprenons leur volonté d’indépendance totale et la respectons. Si je vous dis cela, ce n’est pas pour vous contredire : non, la situation n’a pas évolué, car un référendum sur l’autodétermination du Gradenbourg devrait avoir lieu prochainement. D’après les informations dont je dispose, le gouvernement local devrait le tenir d’ici le mois de février. Mais passons au sujet principal.

Rasken ne vous remerciera jamais suffisamment pour ce que vous avez fait pour essayer de régler nos problèmes, et même si cela a malencontreusement échoué en 2014, nous savons cette tentative sincère. C’est pourquoi nous vous faisons confiance pour cette proposition d’arbitrer le différend entre Rasken et Fortuna, qui perdure depuis la fin de la guerre civile velsnienne. Si nous avons la chance de régler ce différend une bonne fois pour toutes sans vendre notre âme aux ultra-conservateurs landrins, alors nous la saisirons.

Cependant, régler ce problème n’empêchera pas de nouveaux de survenir à l’avenir. Votre proposition de rejoindre l’ONC, cela fait quelque temps que nous y réfléchissons également. L’UEE étant en phase terminale, les derniers États membres que sont l’Antérinie, Guadaires et bien évidemment Rasken devraient se réunir sous peu afin de discuter de l’avenir. Mais je ne vais pas vous le cacher, la finalité la plus probable est la dissolution de l’alliance. À partir de cela, même si Rasken fait maintenant partie des nations les plus puissantes de la planète, aucun pays ne peut survivre en étant seul. Nous allons attendre la dissolution officielle de l’UEE avant de choisir, mais sachez que dans un premier temps, si nous rejoignons l’ONC, ce ne sera qu’en tant que membre observateur, ce qui avec le temps pourra se transformer en membre officiel de l’alliance.

Cordialement,
Axel Orndorff, Ministre des Affaires Étrangères de l'Empire Raskenois.

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SECRÉTARIAT chargé des AFFAIRES ÉTRANGÈRES de GUADAIRES


À l'attention du Bureau du Grand commerce et des étrangers de la Grande République du Velsna,
Mesdames, Messieurs,

Le Guadaires est, vous le savez certainement, dans une période de pleine restructuration de ses relations internationales : avec ses voisins directs, l'UEE et désormais la Ligue de Velcal. L'aspect exclusivement militariste de cette organisation avait particulièrement déplu à la population Guadamos et avait provoqué d'importants débats publics il y a quelques années. Nous sommes donc très heureux de pouvoir aujourd'hui rediscuter des termes de cette union, d'autant plus que les récents basculements politiques Guadamos, nous amènerons de toute manière à revoir nos positions diplomatiques à court terme.

Cependant, le Guadaires s'inquiète, en prenant en compte vos propositions, de voir cette Ligue de Velcal — qui était à l'origine construite pour ne pas contraindre ses membres — devenir une cage de fer qui enfermerait les États et les rattacherait à une plus grande puissance : le Velsna. Cette proposition de refonte de la part du Velsna n'est évidemment pas neutre, elle est une démonstration de puissance à l'égard des autres pays membres. Nous devons absolument être certains d'avoir un intérêt réel à continuer d'entrainer notre pays dans l'aventure de cette Ligue.

Le Guadaires a besoin de support et d'appui pour continuer son développement et est donc très favorable à la constitution d'une "ligue économique" entre les actuels membres du pacte de Velsna. Par ailleurs, notre hostilité à l'ONC n'est pas manifeste et un rapprochement avec cette dernière est parfaitement envisageable dans les limites du raisonnable. Cependant, en raison des inquiétudes évoquée plus tôt, nous voulions déjà manifester notre opposition avec la requalification des liens entre membre en "liens bilatéraux" qui nous rattacheraient excessivement au Velsna. Nous nous opposerons aussi à toutes sanctions économiques pour les membres souhaitant se retirer de la ligue. Notre développement doit se faire en lien avec les autres États, mais dans le respect de notre souveraineté.

Quoi qu'il en soit, nous répondrons présents à votre invitation autour du sujet de la Ligue de Velcal.

Bien cordialement,
Felipe Sáenz, secrétaire d'État chargé des Affaires Étrangères du Guadaires
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Axis Mundis, le 20/02/2017

A l'attention de Son Excellence, Matteo Di Grassi, maître de l’Arsenal de la Grande République de Velsna ,

Matteo,

Je tenais simplement à vous écrire pour vous faire part de mes plus vives condoléances. Je n'ai eu le plaisir de rencontrer son excellence le doyen Gabriele Zonta qu’à quelques trop rares occasions. Cet homme m'a fait l'effet d'être, peut-être, l'incarnation la plus pure de ce que nous nommons ici un "Gardien du temple". L'esprit de la loi Vesleninne fait chair. J’ai cru comprendre, lors de notre dernière rencontre d’État, qu’il avait auprès de vous un rôle de conseiller, ou de guide, ou d’ami. Des termes que les kah-tanais comprennent mais qui, de notre côté du monde, se mélangent de telle façon qu’il me semble toujours arbitraire de les séparer pour le bonheur de la traduction.

Là où je veux en venir, Matteo, c’est que vous et moi sommes désormais des amici. L’Histoire a voulu que nous soyons régulièrement des alliés, et part notre action, nos deux pays se sont rapprochés. Les Velsniens sont fidèles à eux-mêmes, et les kah-tanais sont fidèles à leurs proches. Nous éprouvons une vive sympathie pour votre esprit roublard, débrouillard, farouchement indépendant. J’ai pour ma part un très profond respect pour vous. Et si le temps, les impératifs de nos fonctions et les différences de nos caractères n’ont jamais permis à notre relation de dépasser l’entente pragmatique de deux puissants par trop conscient de leurs intérêts, j’éprouve tout de même une vive et profonde affection pour vous, votre famille et vos proches.

Ainsi donc, la mort de son excellence le Doyen me perce le cœur. J’ai connu par trop de deuils : martyrs politiques, accidentés, et – à au moins deux occasions – la mort d’un mentor adoré, qui avait fait son temps, trois fois son temps. Kah est une rouge, Terre de changement. Nos doyens sont respectés mais laissent le temps couler comme l’eau sous un pont. Nous sommes fluides, et cela nous aide à faire notre deuil. Tout, chez nous, n’est que deuil. Velsna, je crois, est une structure plus immortelle, et un homme peut être d’actualité comme aujourd’hui, et le rester demain. Il le restera à jamais. Je ne vous apprends rien, je ne fais que réciter quelques évidences acquises sur la Grande République : son excellence vivra à jamais. Pour autant vous avez ma sympathie.

Pour ma part je dois aussi vous indiquer que j’ai vraisemblablement fait mon temps, et que je quitterai bientôt mes fonctions à la tête de la diplomatie kah-tanaise. Je serai vraisemblablement remplacée par l’homme qui, à ce jour, tiens office de diplomate kah-tanais à Velsna et, à ce titre, je me rendrais bientôt à Velsna afin d'en discuter avec lui et de le préparer à cette potentialité. Si les contingences calendaires le permettent j'apprécierai naturellement d'enfin répondre à votre offre concernant un éventuel dîner.

En attendant sachez que coopérer avec votre gouvernement aura été, pour moi, un très grand honneur, et je me considère chanceuse d'avoir pu pleinement collaborer avec ceux qui, j'en suis sûre, continueront à prémunir le monde de certains extrémismes et certains danger. Nous sommes un pays de chaos, vous un pays d'ordre, ce fut une joie de jeter des ponts entre ces deux rivages.

Salut, fraternité, et mes plus sincères condoléances,

Citoyenne Actée Iccauhtli
Au nom du Commissariat aux Affaires Extérieures
Entête  (obtenu par encrage)  de la Présidence de la République de l'Etat du Makota sur lequel on voit, outre le texte que l'on vient de donner, un écu avec une vache dans un cercle (armes de la République) flanqué de deux cowboys montés et armés et la devise est jointe : Dieu, Liberté, Patrie. Le tout est encadré.

Première partie

Signature à la plume élégamment tracée surmontée d'un texte imprimé par encrage en typographie ancienne (mais toujours d'actualité en Makota), il est écrit : Jean Irreville, Président de la République de l'Etat du Makota.
Transcription du documentA l'attention de Son Excellence, Matteo Di Grassi, maître de l’Arsenal de la Grande République de Velsna
Monsieur, c'est avec un respect mêlée d'une grande considération et en ma qualité de Président de la République de l’État du Makota, nation pleinement souveraine et libre, que je me permets de venir vers vous. Certes, nous ne nous connaissons pas encore, mais le monde est vaste et ne voyez dans cette absence de relation rien d'autre qu'une difficultés de nos services diplomatiques à gérer simultanément ou presque l'ensemble de nos nombreuses correspondances.
Par ailleurs, sachez il n'est pas dans nos habitudes de solliciter des pays et qu'à l'ordinaire nous laissons plus volontiers les autres nations nous contacter à leur guise que nous ne les contactons spontanément. En ce qui vous concerne, nous faisons une exception, et vous êtes la première nation, et donc la seule, que nous contactons de notre propre chef. Ne voyez, dans cet acte inédit, rien de déplacé mais seulement la manifestions d'une grande considération que ma nation, son gouvernement et son Congrès pour vous et pour le Pacte de Velcal que vous diriger.
Car c'est bien en vue de poser ma candidature à votre pacte que je viens vous. En effet, hier j'ai obtenu du Congrès un vote qui autorise le Gouvernement à rejoindre votre pacte et à en signer et appliquer l'ensemble des articles de sa déclaration. Là encore, c'est un acte inédit car, si on laisse de coté une timide prise de contact avec l'ONC, Velcal constitue la première de nos candidatures en bonne et due forme.
J'ai bien conscience qu'un acte d'une telle importance ne peut se faire à la va vite sur un coin de table, aussi, je vous prie de bien vouloir m'indiquer ce que le Gouvernement de l’État de la République du Makota peut faire pour faciliter les démarches d'adhésion. Il va de soi que je me tiens totalement à votre disposition pour toutes questions, objections et autres communications que vous aurez le désir de me faire.
En attendant une réponse de votre part, veillez recevoir, très estimé maitre Di Grassi, l'excellence de mes considération les plus distingués auquelles je joins naturellement celles de mon Congrès et du peuple tout entier du Makota.
Fait à Sainte-Régine, Capitale de l'Etat du Makota, le 25 février 2017.
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À l’attention du Ministère des Affaires Étrangères du Velsna,

Salutations

C’est avec le plus grand honneur que nous nous adressons à vous, Monsieur le Ministre, en vue d’exprimer notre désir de créer une ambassade officielle dans votre pays.
Nous pensons qu’une représentation diplomatique stable sera de nature à favoriser l’entente entre nos deux peuples sur le plan politique, économique, culturel et autre. Nous restons bien entendu à votre disposition pour tout renseignement complémentaire.

je vous adresse mes salutations respectueuses.



Rodion Kerzhakov
Ministre des affaires étrangères


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De : Fulberto Arabia, Questeur de la sérénissime république d’Ardon

À : Julia Cavalli, maîtresse du Grand Commerce et des Étranges de la grande république de Velsna.

Excellence,

Veuillez accepter mes plus sincères excuses par le retard pris par notre office et service à vous fournir une réponse à dans un délais jugé raisonnable et convenable portant quant à notre échange diplomatique initié d’ailleurs par nous-mêmes afin de mettre en place un traité permettant à nos deux parties de mieux coopérer et échanger en l’absence d’un accord entre la Grande République de Velsna et la Principauté Catholique de Saint-Alban.

Excellence, nous avons bien analysé la proposition de traité dont nous a fait part, par votre intermédiaire, la Grande République de Velsna, et nous vous prions de croire que nous l’avons étudiée de la manière la plus profonde et la plus précise possible. Sans nul doute, vous avez évoqué des points communs importants qui favorisent les activités et les échanges transfrontaliers, et le gouvernement de la République sérénissime d’Ardon n’y voit aucune opposition ; reste à savoir pour la Curie afin de l’officialiser et la ratifier.

Toutefois, Excellence, nous souhaitons ajouter certains autres points à ce traité que vous nous avez proposé. Ces points que nous nous sommes permis d’ajouter et de vous proposer, nous estimons comme étant possiblement et potentiellement bénéfiques dans un futur proche pour nos deux parties et que, je l’espère, excellence, vous prendrez le temps d’analyser :

La Grande République de Velsna et la Sérénissime République d’Ardon sont considérées ci-dessous comme parties :
- Les deux parties s’engagent à encourager et à favoriser les programmes d’échange en faveur de la culture et des sciences, pour permettre une meilleure connaissance des pratiques culturelles et des valeurs de chacun. Y sont compris également l’échange possible d’œuvres d’art ou à valeurs artistiques et d’objets à valeur culturelle pour exposition dans les musées ou centres culturels. De même, les deux parties s’engagent à mettre en place des chaînes de télévision diffusées dans les deux pays.
- Les deux parties s’engagent à mettre en place des activités culturelles visant à promouvoir l’appartenance des deux entités à une ère géographique et culturelle velsnienne, ainsi qu’à une histoire commune liée à une identité commune et à une langue commune.
- Les deux parties s’engagent à lutter contre les activités illégales transfrontalières sur terre comme sur mer, y sont compris tout acte de contrebande, de piraterie, qui viendrait perturber la paix et la sécurité en zone maritime, ainsi que toute autre activité illégale susceptible de nuire à la bonne pratique des activités économiques et commerciales.
- Les deux parties s’engagent à mettre en place des partenariats universitaires visant à favoriser l’échange entre les étudiants, ainsi que l’échange de savoirs et de connaissances. De même, les deux parties s’engagent à s’appuyer mutuellement dans le développement de certaines recherches universitaires, scientifiques et technologiques.

Excellence, permettez également l’engagement de ma recommandation de Monsieur Fabiano Di Bari comme consul de la Sérénissime République d’Ardon en Velsna. Il sera, si vous acceptez, chargé de représenter la République d’Ardon en Velsna et de permettre un meilleur dialogue et échange entre nos deux États.

Dans l’attente de votre réponse, Excellence, veuillez recevoir, sincèrement, mes plus agitées considérations.

Fulberto Arabia,
Questeur à la Diplomatie.

Ban

Votre Excellence,

Le Drovolski estime que la Grande République de Velsna est un allié puissant et admirable de notre régime, et constitue un rempart contre l’instabilité mondiale. En ce sens, il convient de s’efforcer de maintenir de bonnes relations avec vous et de convenir, toujours, d’un avenir renforcé entre nos nations. Nous ne pouvons en effet dialoguer avec le monde sans la garantie de notre sécurité ; et jusqu’à présent, c’est vous qui l’assurez, du moins par une garantie de protection qui nous convient de manière plus qu’explicite. Cependant, votre changement de position récent induit une dépendance à une instance supranationale que nous ne reconnaissons pas, en particulier dans la mesure où elle impose une forme d’impérialisme par doctrine commerciale. Ce faisant, nous considérons que la Ligue de Velcal devient caduque dans son principe, en ce qu’elle ne serait plus qu’une dépendance directe de l’ONC.

Ainsi, faire partie de la Ligue sans être soi-même membre de l’ONC reviendrait à dépendre directement de sa direction sans en faire partie. Il s’agirait là d’une domination supranationale insupportable, à l’image d’une dépendance coloniale ou impériale. Cette situation n’offre à notre pays que deux options, toutes deux insatisfaisantes : soit l’adhésion à un régime que nous ne souhaitons pas adopter pour le moment, celui de l’ONC, soit une dépendance à ce dernier sans capacité de négociation.

Or, puisque l’ONC et Sylva entretiennent de bonnes relations, nous proposons de renouveler une partie de nos précédents accords de défense, liés à votre base navale, et de renoncer au parapluie collectif de la Ligue. Nous considérons, de prime abord, que votre présence sur notre territoire est suffisante et que notre soutien envers vous est indéfectible, même si vous entrez définitivement dans l’ONC. J’espère que cette lettre ne vous décevra pas outre mesure. Nous comprenons en effet que le retrait du Drovolski de la Ligue, dans la forme que vous proposez, puisse ne pas vous plaire. Mais nous estimons que la dépendance à l’ONC que cela impliquerait est trop importante au regard des bénéfices que nous en retirerions.

Toutefois, si vous trouvez avec nous un moyen de limiter cette dépendance et de conserver l’indépendance des affaires de l’ONC par rapport à celles de la Ligue, nous pourrions reconsidérer notre position. En particulier sur le point le plus important pour nous : la question de la solidarité. Si un pays de l’ONC est attaqué militairement, Velsna sera-t-elle, par solidarité, considérée comme elle aussi attaquée, et la Ligue contrainte contractuellement de répondre selon ses principes de défense ?

Si tel est le cas, nous pensons qu’il pourrait être politiquement et diplomatiquement difficile d’intervenir dans un conflit impliquant l'Alguarena ou Fortuna, deux nations dont nous ignorons les desseins, et qui n’affichent aucune amitié envers nous, eu égard à leur puissance impériale et coloniale, que nous ne saurions approuver.

Avec toute notre considération, notre probité et notre bonne foi,
L’Empereur de Drovolski
Ban

Votre Excellence,

Soyez rassuré : aucune décision définitive n’a encore été prise de notre part, et votre précédente missive nous convient pleinement, tant dans sa forme que dans son contenu. À ce titre, nous pouvons envisager d’adhérer à votre dessein, tant que notre industrie et notre pays demeurent indépendants des griffes impériales de nations lointaines. Conscients qu’un esprit de travail commun et de coopération est préférable, nous nous joindrons aux efforts d’amélioration et de transformation de la Ligue. Nous y aborderons une question qui nous paraît prioritaire : quelle serait la position de la Grande République en cas de conflit entre un pays membre de l’ONC et un pays membre de la Ligue de Velcal ? Cette éventualité, que nous espérons purement hypothétique, mérite d’être discutée.

Vous avez, par ailleurs, clarifié la question de la solidarité entre alliés. Ainsi, sur le plan juridique, si un membre de l’ONC est attaqué, Velsna ne serait pas nécessairement considérée comme attaquée elle-même, et il en va de même pour les membres de la Ligue de Velcal. C’est une position que nous n’avions pas envisagée, et nous vous remercions de l’avoir exprimée officiellement dans votre précédente correspondance.

Enfin, nous vous prions de ne voir dans ces propos ni inimitié, ni remontrance, ni même menace. Les tensions actuelles entourant nos alliances respectives ne remettent nullement en cause la solidité et la loyauté de Velsna en tant qu’allié durable et puissant. Il faut seulement noter, comme fait nouveau, que certains États hors de la Ligue bénéficient désormais d’un statut particulier à votre égard.

Avec l’assurance de notre considération, de notre probité et de notre bonne foi,
L’Empereur de Drovolski

oui

Au sujet du développement de relations diplomatiques et économiques



De Nikolav Mobelov, ministre de l'économie de la Republique Democratique Populaire Ouanaise

Au bureau du Grand Commerce et des étrangers de la République de Velsna

Salutations
Tout d'abord, il est temps de mettre un terme à une situation intenable, comment deux états partageant une même ile peuvent-ils s'ignorer à ce point ?
Car si nous sommes proches territoriaux, il est clair que nous ne sommes pas des plus proches diplomatiquement... et il me parait temps d'y remédier. Car si nous ne partageons pas notre tendance politique, cela ne devrait freiner en aucun cas un dialogue entre nous, cela devrait au contraire l'encourager. C'est pour cela que nous souhaiterions développer avec votre pays de nombreuses relations diplomatiques et surtout économiques


J'ai parlé de relations diplomatiques, s'il est clair que vous ne souhaitez pas intégrer le CSN, sans doute seriez vous intéressé par la possibilité de tisser des relations directes avec le centre de notre comté, pour développer vos relations avec le continent. Nous vous proposons ainsi une porte d'entrée royale pour vous y lier. C'est pour ces raisons que je propose officiellement à votre pays l'installation d'une ambassade permanente sur notre territoire.

Mais j'ai aussi parlé de relations économiques, en tant que seuls membres d'une ile, il nous parait important de nous serrer les coudes. C'est pour cela que notre gouvernement serait heureux d'assouplir les frontières économiques qui nous séparent. S'il est trop tôt à notre humble avis pour nous lancer dans un libre échange total, il nous semblerait intéressant de nous accorder sur certaines facilités pour l'échange de certaines ressources et d'uniformiser certaines de nos réglementations sur celles-ci pour pouvoir collaborer efficacement au développement respectif de nos deux états


Nous attendons avec le plus grand espoir vos retours quand à ces sujets et espérons pouvoir démarrer une relation stable et fructueuse
Avec notre plus grand respect
Nikolav Mobelov, ministre de l'économie de la République Démocratique Populaire Ouanais

oui

A la suite de votre réponse au sujet d’une collaboration économique et diplomatique



De Nikolav Mobelov, ministre de l'économie de la Republique Democratique Populaire Ouanaise

Au bureau du Grand Commerce et des étrangers de la République de Velsna

Salutations
Nous vous remercions d’abord de la promptitude de votre réponse et nous félicitons de son contenu
Nous serons fiers d’accueillir vos représentants officiels sous peu avec tous les égards dus à leur rang
Nous sommes ravis de constater que vous semblez partager notre intérêt pour l’ouverture. Ainsi, nous avons sélectionné plusieurs produits pour lesquels il pourrait être intéressant de faciliter l’échange…

Toi d’abord, l’un des principaux problèmes pour une île est le développement alimentaire, c’est pour r cela que nous vous proposons d’abord de passer un accord sur toutes les denrées alimentaires issues de l’agriculture et de l’élevage produites sur l’ile, ainsi, plutôt que de les destiner à une exportation coûteuse, elle pourrait trouver consommateur chez le voisin, ce qui réduirait aussi les coûts d’approvisionnement. Pour cela il faudrait toutefois que nous uniformisions nos réglementations sur l’agriculture au niveau de l’île

Ensuite, notre partie de l’île est très peu industrialisée, c’est pour cela que tous les biens de consommation sont importés depuis le continent. Cela serait plus efficace pour nous, et offrirait un débouché au faible coup de transport si les taxes sur les produits de consommation se trouvaient réduites. Afin d’être clair, nous entendons par bien de consommation, l’ensemble des appareils ménagers et des objets du quotidien de petite taille. Si vous acceptez de tels échanges, nous chargerons une commission commune de répertorier l’ensemble des objets entrant dans cette catégorie

Le dernier élément que j’ai à soulevé ne correspond pas à un échange économique mais plutôt à une collaboration législative, il nous est en effet souvent remonté que vos pêcheurs avaient beaucoup moins de restrictions que les nôtres, cependant, l’inverse est aussi vraie. C’est pour cela que je vous suggère que nous créions une commission mixte chargée d’uniformiser nos réglementations de pêche. Cela permettrait de mettre sur un même pied nos pêcheurs, de collaborer pour le maintien de la faune et d’ouvrir peut-être la porte à une gestion unifiée pour toute l’île de ce secteur. D’ici là, cela permettra une concurrence efficace entre nos pêcheurs et permettra donc de limiter les restrictions frontalières pour les produits de la mer


Avec notre plus grand respect, nous restons à votre disposition
Nikilav Mobelov, ministre de l’économie ouanais
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Excellence,

Je me présente, Cristobal Pandoro, consul de la Fédération de Stérus. J’ai pris la décision de répondre personnellement, par écrit, à la missive reçue il y a quelques jours par le magistrat aux affaires étrangères.

À l’arrivée de l’amiral Hacheleus, lui et moi avons longuement échangé au sujet de cette rencontre avec la sénatrice-Amirraglia. Sachez que nos soldats n’ont eu que des éloges quant au comportement velsnien et que, même si nous aurions préféré initier nos relations dans d’autres circonstances, nous restons fermement convaincus que cette rencontre ouvre la voie à une coopération qui, je l’espère, sera appelée à se renforcer au fil des années.

Concernant ce prétendu isolement, je tiens à relativiser fortement ce que la propagande westalienne cherche à faire croire au monde. La Fédération de Stérus est très loin d’être isolée. Certes, les Westaliens tentent de réduire toujours davantage les intérêts stérusiens et de ternir les efforts entrepris depuis notre sortie de l’isolationnisme, mais soyez assurés que nous n’avons jamais compté sur eux, ni sur leurs alliés, pour prospérer.

La réalité est que la Fédération poursuit sans relâche son développement économique, sans entraves, et qu’elle n’a nul besoin d’entretenir autant de relations que la Westalia pour exister et avancer. Tandis que la Westalia se voit contrainte de jouer sur les deux tableaux, socialiste s’agenouillant face au grand Kah et libéral et se laissant bercer par l’OND pour attirer la lumière, la Fédération, elle, brille par elle-même.

Si, comme le laissent entendre certaines rumeurs, la Westalia venait à rejoindre l’OND, nous ne pourrions que sourire face à une telle contradiction. Quelle étrange conception de la démocratie que d’accueillir en son sein un État qui discrimine ses minorités, censure sa presse et s’en prend à ses propres citoyens désarmés à l’aide de ses forces armées.

Soyez donc assurés que la Westalia ne dispose pas de plus de poids sur la scène internationale que le Churaynn. Les États ne la suivent pas par conviction, mais uniquement par intérêt. Lorsque leurs intérêts se détourneront de cet État, leur perception changera aussitôt. Car au fond, tout n’est qu’affaire d’intérêts et, à nos yeux, la Westalia en offre bien peu.

Veuillez agréer, Excellence, l’expression de notre très haute considération.

okjhb
Magistrat aux affaires étrangères de la fédération
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Revolutionäres Diplomatisches Sekretariat von Altrecht


Provenance : Secrétariat diplomatique révolutionnaire d'Altrecht
Destination : Bureau du Maître du Grand Commerce et des Étrangers, Velsna

Nous accusons bonne réception de votre missive et tenons à vous informer que nous acceptons une rencontre sur votre sol afin d’éclaircir vos « revendications ». Bien que presque tout soit déjà public, nous tenons à vous rassurer quant à nos intentions pacifiques et commerciales.

L’Altrecht vous adresse ses salutations distinguées.


MINISTÈRE IMPÉRIAL DES AFFAIRES ETRANGÈRES DU SAINT-EMPIRE MENKELT

De la part du ministre des affaires étrangères du Saint-Empire Menkelt Patrick Pearse au nom de sa majesté l'Empereur Arthur XIV et de Son Très Honorable représentant, le Premier Ministre, le Baron Peter Kibener.
À l'attention de Son Excellence Julia Cavalli en sa qualité de sénatrice et Maîtresse du Grand commerce et des étrangers de Velsna.

Objet : Réponse à la missive et à la demande de rencontre

Que la paix du seigneur soit sur vous,
Votre excellence Julia Cavalli,

Face à la crise altrechtoise et à la catastrophe humanitaire ayant lieu dans le pays et du contexte géopolitique mondial de plus tendue, notamment en mer blanche, face à une potentielle menace communaliste en provenance de l'Altrecht, il est effectivement temps de montrer que nos deux nations, malgré l'histoire complexe qui les lient, peuvent travailler et cohabiter de façon tout à fait cordiale.

Pour ce qui est de l'affaire avec la colonie grammatikaine, nous acceptons volontiers un ''coup de pouce''. Bien que nous soyons dans une phase de négociation sur le déroulement de la décolonisation avec les autres acteurs afaréens, les tensions devraient, en toute logique, bientôt disparaitre via ces négociations. Bien que l'attitude du Churaynn demeure préoccuppante dans une moindre mesure.

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En conséquence, nous acceptons votre demande de rencontre à Velathri en Achosie du Nord. Je serai personnellementaccompagné de mon honorable Premier Ministre.

Veuillez agréer, votre excellence Julia Cavalli, nos salutations les plus distinguées, avec tout le respect accordé à votre nation,

Monsieur Patrick Pearse, ministre des affaires étrangères du Saint-Empire Menkelt.


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