02/07/2017
18:40:18
Index du forum Scène Internationale Diplomatie internationale Organisations paramilitaires [MERCENARIAT] Brigade du Jaguar Paltoterran

[ACTUALITES] Faits marquants du groupe paramilitaire. - Page 3

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IDENTITE ET DONNES ADMINISTRATIVES

Nom de code : Padrino
Prénom et nom : Esteban Borrasca
Fonction : CHEF D'ESCOUADE - Commandement tactique et opérationnel
Profil : ALFA
Nationalité : Alguarena
Grade : Mayor / Commandant
Date de naissance : 10 septembre 1967
Langues parlées : Espagnol (Alguarena), bilingue en portugais et Anglais opérationnel.
Statut : Actif / Opérationnel

ORIGINE ET ENTREE AU JAGUAR PALTOTERRAN

Esteban Borrasca a vu le jour à Valteriba, une petite bourgade située sur les territoires agricoles arcoans, dans la Pantina. Une géographie qui le prédispose à se voir marqué par la rudesse des travaux agricoles dans les champs et les activités que l'on pourrait qualifier de champêtrerie. Pour autant, à l'âge de 19 ans et contre l'avis de ses parents, il intègre l'armée fédérale et précisément une unité d'infanterie motorisée au sein de celle-ci où on lui confie des responsabilités graduelles qui lui permettront bientôt de prendre le commandement opérationnel d'un peloton.

Ayant pris part aux campagnes de sécurisation du nord de l'archipel face au Pavillon de l'Albastre, un groupuscule pirate izcalien, il est malheureusement blessé au contact d'un engin explosif artisanal déclenché tandis qu'il fouillait un repaire de pirates. Blessé par éclats il va refuser d'être réformé, se voyant octroyant des fonctions supplémentaires de par sa disponibilité à intégrer des tâches administratives et coordinatrices. Soucieux de maintenir le contact humain, il demande à intégrer le corps des instructeurs de l'armée fédérale, achevant sa carrière aux termes de 26 années de loyaux services.

Recruté en 2012 au sein du Jaguar Paltoterran pour ses aptitudes au commandement, il se verra confier une escouade, en sus d'assurer des missions d'instructeurs au combat et d'encadrant pour les nouvelles recrues. Une fonction double et une expérience réelle, qui le projette au grade de mayor.

EVALUATION

Le mayor Borrasca est un élémentaire exemplaire et d'expérience sur lequel notre groupe aime capitaliser, en sa qualité d'instructeur au combat, aussi bien pour les jeunes recrues du Jaguar Paltoterran, que pour les vétérans qui voudraient s'engager dans des stages d’aguerrissement. Il est pour nous un élément d'expérience, dans la détention des compétences clés qui font le succès de nos missions.

"Le mayor Borrasca est un totem pour les combattants qui se sont engagés sous ses ordres. Pilier de l'instruction militaire au Jaguar Paltoterran, le commandement doit trouver l'énergie et la volonté de l'intégrer pleinement aux enjeux opérationnels futurs."
Général de division Arturo del Pozo, commandant-en-second de la force opérationnelle.


QUALIFICATIONS

  • Commandement opérationnelle et stratégique.
  • Evaluation et analyse desp rofils opérationnels des nouveaux membres (désignation des profils ALFA, BRAVO, CARLO, DELTA...).
  • Coordination d'une ou plusieurs unités.
  • Maîtrise de la cartographie opérationnelle.

PRINCIPAUX ENGAGEMENTS
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Nom de code : Caratex
Prénom et nom : Julio Córdova Mella
Fonction : Appui tactique et soutien opérationnel
Profil : DELTA
Nationalité : Alguarena
Grade : Suboficial / Adjudant
Date de naissance : 30 novembre 1969
Langues parlées : Espagnol (Alguarena), bilingue en portugais et notions de français.
Statut : Actif / Opérationnel

ORIGINE ET ENTREE AU JAGUAR PALTOTERRAN

Julio Córdova Mella est le fils d'un vétéran de la Guerre albelo-alguarena, intervenue dix-sept ans avant sa naissance. Une guerre méconnue mais qui a projeté sur sa famille et lui les spectres de sa violence et de sa brutalité inhérentes. L'enfant e cette époque est élevé dans une culture patriarcale dévoué à l'endurcissement physique et moral, doublées d'une abnégation. Si bien qu'arrivé à sa majorité, l'homme ou du moins le jeune adulte, ne défend plus que la valeur d'un homme à travers celle martiale.

Une mentalité conditionnant son intégration des forces armées fédérales, seul schéma vertueux pour trouver la fierté paternelle. Déployé contre des passeurs et des contrebandiers, le jeune homme se développe certains facilités à l'organisation de filature et la tenue d'embuscade en terrain naturel. En 2016, alors bénéficiaire de la "petite retraite" de l'armée fédérale, il rejoint le Jaguar Paltoterran pour y mettre à disposition sa spécialisation dit "d'enveloppement tactique" et ses techniques de pièges tirées d'un enseignement de survivaliste hérité 'un paternel traumatisé par le guerre avec l'Albel.

EVALUATION

L'adjudant Julio Córdova Mella est un opérateur qualifié dans la sécurisation de positions défensives ou la tenue d'embuscade. Bien qu'il soit d'une ancienne génération, il est un élément en veille sur les technologies militaires et revisite leurs conditions d'emploi au sein de tactiques pleinement inscrites dans une logique de guerre asymétrique. Des initiatives qui gagent d'un instinct remarquable pour le choix du lieu et de l'instant, où il est préférable d'engager un ennemi jusqu'ici en position avantageuse.

"On a appris à se tourner vers lui dans certaines situations périlleuses, pour renverser un rapport de force à la faveur de l'ennemi ou encore se réapproprier un terrain hostile, par l'aménagement de pièges et l'exécution de techniques de dissimulation chargés de nous laisser invisibles auprès d'un ennemi réputé maître des lieux."
Capitaine Ezequies Villagrà, chef d'escouade.


QUALIFICATIONS

  • Maitrise des cartographies, lecture et réalisation.
  • Elaboration d'infrastructures avancées en situation opérationnelle (campement, poste défensif, ect...).
  • Etablissement de périmètres défensifs.
  • Maitrise des techniques de pièges et survie en milieu naturel.

PRINCIPAUX ENGAGEMENTS
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Nom de code : Tapir
Prénom et nom : Maribel Cruz Valcárcel
Fonction : Reconnaissance tactique et opératrice de communication
Profil : BRAVO
Nationalité : Pontarbello
Grade : Sargento de segunda / Sergent de seconde classe
Date de naissance : 3 janvier 1981
Langues parlées : Portugais (Pontarbellois - langue maternelle), espagnol (bilingue).
Statut : Actif / Opérationnel

ORIGINE ET ENTREE AU JAGUAR PALTOTERRAN

Maribel Cruz est originaire du Haut Pontarbello, précisément des zones forestières de Córteixo. Une région pontarbelloise longtemps abandonnée des pouvoirs publics et très souvent secouée par des tensions communautaires au départ des minorités akaltiennes, ayant pu passer la frontière sous l'égide de l'Empire listonien et relativement indésirables avant que le Pontarbello n'ait souhaité valoriser le nativisme au lendemain de son indépendance. Native de la région, elle était la fille d'un chasseur-tanneur et d'une épicière. Des profils travailleurs, plongés dans un environnement hostile, qui demande adaptation et persévérance.

Dès ses 16 ans, Maribel Cruz Valcárcel affiche une relative aisance en milieu naturel, maîtrisant les principaux procédés de camouflage ainsi que parallèlement à cela, les technologies relatives aux télécommunications. La région, assez accidentée, pouvait effectivement obliger Maribel, son père et ses amis chasseurs à employer des moyens de radiocommunication, mis en difficulté en certains endroits selon l'altitude et l'épaisseur de la canopée.

Une nécessité de maintenir les communications d'autant plus vraie que Maribel et sa famille s'adonnaient parfois à du braconnage, obligeant ces derniers à tenir en état des communications opérationnelles et parfois cryptées, pour se soustraire rapidement aux autorités impériales listoniennes et parfois même, aux autres groupes de braconniers rivaux qui pouvaient raisonnablement se montrer violents voire mortels pour récupérer tout ou partie d'une chasse fructueuse, voire maintenir au secret certains habitats naturels d'espèces protégés pour leur seul bénéfice.

Dans ce cadre familial pour le moins atypique, Maribel et son père nourrissent un lien fort mais rustique, la redirigeant naturellement après la mort du paternel, vers l'institution militaire. Intégrant le métier des armes au Pontarbello, elle devient ce que l'on aurait pas honte de qualifier de spécialiste des marches prolongées, de la dissimulation avancée, du repérage de chemins non cartographiés et des technologies en télé et radiocommunication.

Suite à une réforme au sein de son unité, elle se retire des services réguliers de l'Armée Nationale du Pontarbello Libre (ANPL), trop sujette à la réorganisation, l'indépendance du Pontarbello étant finalement intervenue en 2007 et amenant son lot de réorientation stratégique. Le Jaguar Paltoterran disposant d'unités structurées et dédiées aux opérations furtives, en équipe restreinte, elle se dirige conséquemment vers le groupe paramilitaire qui lui propose une intégration du Jaguar Noir sous profil BRAVO, des unité aux missions clandestines et dont le profil indique clairement une appétence pour les nouvelles technologies.

EVALUATION

Maribel Cruz Valcárcel, alias Tapir sous sa codification opérationnelle, excelle dans le contournement des obstacles humains et naturels ainsi que dans sa capacité à entretenir des communications en territoires hostiles, en environnement dégradé...

Un spectre d'intervention qui l'oblige à s'annoncer fine observatrice, dotée d'un calme et d’un sang-froid inaltérables, elle est souvent chargée de la première reconnaissance tactique , aux côtés d'unités dédiées comme l'escuadra Médusa.

Contrairement à d'autres elle agit rarement dans la lumière, préférant les déplacements nocturnes et l'ambiance qui s'en dégage, faite d'une communion avec la nature. Chaque mission qu'elle a pu préparer de ses actions de reconnaissance tactique a bénéficié d'une préparation approfondie ainsi que d'une réelle valeur ajoutée lors de son exécution.

Qu'il s'agisse d'un relevé de terrain instinctif, avec ou sans unité de mesure, d'une cartographie complète, d'une confirmation de présence de cible avant l'engagement d'une équipe de nettoyage, sa discrétion, sa précision et sa capacité à rendre compte se révèlent être des facteurs déterminants à la conduite d'opérations, la rendant indispensable à plusieurs reprises pour confirmer ou infirmer le lancement d'une mission, conditionnée par la récolte d'informations supplémentaires.

"Le sergent de seconde classe Maribel est clairement un être nocturne, adoptant des postures en retrait et portant sur ses épaules tout le poids des opérations à venir lorsqu'elle est en phase de reconnaissance. Un oeil vif, des mouvements agiles et une tête solidement ancrée sur les épaules. Maribel ne vole la place de personne ici."
Capitaine Ezequies Villagrà, chef d'escouade.


QUALIFICATIONS

  • Expert en camouflage et dissimulation avancée.
  • Expert en reconnaissance tactique
  • Etablissement de moyens de radiocommunication artisanaux.
  • Maitrise des techniques de pièges et survie en milieu naturel.
  • Connaissances en survie longue durée (particulièrement en zones tropicales)

PRINCIPAUX ENGAGEMENTS
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Nom de code : Silvebarbo
Prénom et nom : Javier Alcántara Núñez
Fonction : Tireur de précision / reconnaissance tactique
Profil : ALFA
Nationalité : Alguarena
Grade : Cabo / Caporal
Date de naissance : 10 avril 1991
Langues parlées : Espagnol (Alguarena - langue maternelle), notions d'anglais.
Statut : Actif / Opérationnel

ORIGINE ET ENTREE AU JAGUAR PALTOTERRAN

Originaire de Yantácora, un petit village des hauts plateaux alguarenos, Javier Alcántara a grandi au sein d'une famille rurale, où la chasse n'est pas tant un loisir qu'une absolue nécessité. C'est donc dans ce cadre que le jeune adulte fut initié très tôt à l'usage du fusil, développant de ce fait une maitrise quasi instinctive du tir à longue distance dans les conditions extrêmes de moyennes et hautes altitudes. Enrôlé dans l'armée fédérale d'Alguarena à ses 19 ans, il participera bien malgré lui dès la fin de ses classes, aux affrontements armés terrestres survenus dans l'Afarée du Nord. Employé au sein d'unités de reconnaissance, chargées de traquer les unités loduariennes prétendument dissimulées dans les grandes agglomérations et plus marginalement dans l'arrière pays et ses montagnes.

Surveillant quotidiennement les cols pendant son déploiement en 2010, le jeune homme se heurtera à l'armée loduarienne au travers de deux accrochages qui lui vaudront une reconnaissance émérite de ses frères d'armes. Egalement reconnu pour ses performances en tirs de longue distance, il est sélectionné pour un stage avancé en tir de précision à l'académie militaire de Cuzámbaro, obtenant la certification militaire de sa qualité de tireurs de précision, avec les félicitations de ses instructeurs. Après un service de six ans, il décide toutefois de démissionner en 2016, approché par des rabatteurs du Jaguar Paltoterran. Il franchit donc le pas pour se faire opérateur de tir indépendant, débutant ses vacations auprès du Jaguar Paltoterran qui nourrit sa seconde carrière.

Intégré dans le profil ALFA, il est assigné aux missions exigeant des éliminations discrètes, un marquage de cibles et la coordination d'actions de suppression avec la progression de troupes d’assaut.

EVALUATION

Javier Alcántara est incontestablement le détenteur de l'estime de ses formateurs et de ses frères d'armes dans l'exécution des tirs de précision à longue distance. Il a déjà su faire la démonstration d'une capacité à tenir une position immobile. Une position parfois incommode, faite dans la salissure et aux contacts d'une faune grouillante, jusqu'à quarante heures sans faire de rupture de surveillance. Il sait se fondre dans son environnement et ne déclenche jamais un tir sans validation visuelle totale de son objectif. Sa capacité de dissimulation est un atout réel dans l'exécution d'un tir précis et fiable. Capable de travailler en tandem avec ce que l'on qualifierait d'obsrvateur, chargé de l'aider à prendre la mesure de la force du vent, ou encore d'observer les environs de la cible, le tireur de précision devant consacrer toute son attention sur elle et prendre le risque de ne pas voir un mouvement ennemi environnant. Toutefois, il n'est pas rare de le déployer seul, sans binôme, lorsque la mission exige des déplacements et une furtivité accrue.

"Silvebarbo n'a pas besoin qu'on lui indique où tirer, sa capacité à se voir déployer en binôme ou seul le place en capacité de décider ou non de l’exécution d'un tir sur une cible qu'il lui appartient de verrouiller. Il a le sens des responsabilités, très clairement."
Capitaine Ricardo Echeverría Torres, chef d'escouade.


QUALIFICATIONS

  • Maitrise des tirs longue distance (jusqu'à 1200m en zones montagneuses et/ou urbaines.
  • Connaissances avancées dans l'usage des optiques et visées (thermiques, infrarouge...).
  • Techniques d'analyse des variateurs de tirs (vents, poids de la balle selon calibre, distance, etc...).
  • Maitrise des techniques de dissimulation, camouflage naturel, repérage nocturne.
  • Technique avancée du marquage laser pour frappes coordonnées (artillerie oufrappes aérienens air-sol)

PRINCIPAUX ENGAGEMENTS
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Nom de code : Carto
Prénom et nom : Francisco Darío Medel Castrillo
Fonction : Appui aérien rapproché / Pilote
Profil : DELTA
Nationalité : Alguarena
Grade : Subteniente / Sous-lieutenant
Date de naissance : 12 octobre 1989
Langues parlées : Espagnol (Alguarena - langue maternelle), anglais technique et opérationnel.
Statut : Actif / Opérationnel

ORIGINE ET ENTREE AU JAGUAR PALTOTERRAN

Francisco Medel Castrillo voit le jour à Virquemán, un petit bourg de l'île d'Ealedun, dans une famille très dépendante du tourisme. Son père était en effet pilote d'avion de tourisme et lui a laissé l'opportunité à maintes reprises d'en prendre les commandes, lorsqu'il ne lui inculquait les enseignements primaires de mécanique générale aux abords de l'appareil. Sa mère enseignait l'anglais dans un collègue du secteur privé, lui conférant un statut de famille relativement aisée. Une situation économique confortable qui l'amena à poursuivre une formation de pilote sur petit et moyen porteur pendant dès son adolescence.

Amené à transporter des touristes désireux de visiter les îles feliciziennes depuis les airs, le jeune adulte fait ses preuves en tant que copilote, d'abord avec son père puis ensuite ds pilotes confirmés de plusieurs grandes compagnies du tourisme.

Remarqué à ses 24 ans par le bureau de recrutement du Jaguar Paltoterran, Francisco voit la chance inespéré de se faire financer une formation de pilote de chasse, sous réserve d'un contrat d'engagement de 8 ans auprès de la société militaire. Une opportunité saisie, embarquant l'homme dans l'aventure du mercenariat de haute voltige, valant participation à l'opération Espada de cristal sous les ordres du capitaine Lucéran Ávilas, au sein de l'escadrille Azul.

EVALUATION

Francisco Medel Castrillo est un officier de qualité ayant fait la preuve de son sang-froid, particulièrement lors de l'attaque d'une frégate moderne aux commandes d'un Calamity-Bird (C-B100) un avion d'attaque au sol obsolète de l'armée alguarena et en passe de retrait du service dans les années 2010-2015. Détenteur d'une certaine efficacité sur des attaques audacieuses, il est aussi en mesure d'opérer des vols prolongés sur des missions de couvrture ou d'appui, pour le moins serré, à des unités combattant au sol. Sa précision et l'audace nourrit en vol, en fonds une étoile montante de l'aviation de notre organisation.

"Carto est une lame, qui vous lacère le ciel. Son talent suscite le respect, il réalise des exploits aux commandes d'appareils parmi les plus illustres du monde..."
Capitaine Lucéran Ávilas, chef d'escadrille.


QUALIFICATIONS

  • Brevet de mission d'appui rapproché au sol.
  • Qualification sur C-B100 (alguareno), F-2000.UG (alguareno) et avion ravitailleur, petit et moyen transporteur.
  • Maîtrise des armements air-sol, guidés et non guidés.
  • Spécialiste en vol à basse altitude et attaques plongeantes.

PRINCIPAUX ENGAGEMENTS
  • Un des sept pilotes engagés de l'escadrille d'avions d'attaque au sol engagée dans l'attaque de la frégate westalienne sous l'opération "Espada de cristal".
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Nom de code : Zorro
Prénom et nom : Lucéran Ávilas
Fonction : CHEF D'ESCOUADE Appui aérien rapproché / Pilote
Profil : DELTA
Nationalité : Alguarena
Grade : Capitán / Capitaine
Date de naissance : 4 août 1976
Langues parlées : Espagnol (Alguarena - langue maternelle), anglais technique et opérationnel.
Statut : Actif / Opérationnel

ORIGINE ET ENTREE AU JAGUAR PALTOTERRAN

Originaire du village de Los Alisos, une des localités de l'archipel des Encolanas, Lucéran Ávilas grandit dans un milieu agricole et exclut de toute filiation militaire. L'intérêt qu'il porte aux engins volants est né des manoeuvres d'épandage aérien qu'il accomplissait pour le compte de l'exploitation familiale, non sans s'être vu payer une formation de pilote par son père, riche propriétaire d'hacienda.

Malgré cet héritage familial, Lucéran Ávilas se dirige vers les forces aériennes fédérales d'Alguarena. Engagé sur concours d'officier, qu'il a préparé à la marge de ses activités dans l'exploitation familiale, il intègre l'école pendant un an dont il sortira avec le grade de sous-lieutenant. Il est alors âgé de 22 ans.

Il débutera ses premières affectations par des missions d'interception d'aéronefs civils hors couloir aériens. En 2003, la Révolution varanyenne éclate et s'en suit la Guerre Civile qui obligera un engagement militaire alguareno pour suivre la maîtrise des cours pétroliers et accompagner un changement de régime garantissant le maintien d'un environnement économique et commercial favorable à la Fédération. Un épisode marquant de sa carrière qui ponctue celle-ci d'affrontements aériens de haute intensité, entre les chasses alguarena et cémétéenne mais aussi des missions d'appui rapproché aux forces révolutionnaires terrestres, aux commandes d'un avion d'attaque au sol. Des opérations aériennes effectuées sur des périmètres urbains denses qui le marqueront à jamais, eu égard aux dommages collatéraux entrainés en intervention.

Des missions d'appui au sol qu'il réitèrera lors des opérations amphibies aboutissant au coup d'état de Santialche, aux commandes d'un chasseur-bombardier.

Soucieux de limiter les pertes civiles, il a parfois été amené à pratiquer un vol dangereux, pour se rapprocher de cibles visées par une frappe non guidée, quitte à manoeuvrer à basse altitude et entre les reliefs d'une topographie, pour progresser dans des zones tactiques que l'on qualifierait pour le moins de perturbées. Noté sévèrement pour ses prises de risque individuelles là où d'autres sous son commandement y verraient une démarche inspirante, il préférera quitter l'arme pour intégrer le Jaguar Paltoterran.

EVALUATION

Le capitaine Lucéran Ávilas est un officier qui gagne le respect de ses hommes, par des manoeuvres audacieuses et inspirantes, qui savent renverser le jeu à un moment opportun. L'engagement de son escadrille et lui, contre une frégate multimission moderne westalienne au large d'Aleucie, est un critère d'appréciation et de valeur martiale que personne ne saurait nier... Lui et chacun de ses pilotes a pu rentrer sauf ce jour-là avec le sentiment du travail bien accompli, là où nos analystes militaires eux-mêmes avait prédit un taux de perte.

"Le capitaine Lucéran Ávilas est capable d'engager une escadrille de C-B100 vieillissants au contact d'une frégate multimission ultramoderne. C'est un putain de cheatcode !"
Général Brigadier Eli Bryggman, responsable du renseignement et du contre-renseignement.


QUALIFICATIONS

  • Qualification de chef d'escadrille opérationnel.
  • Qualification de leader de formation offensivesur C-B100 (alguareno), F-2000.UG (alguareno) et avion ravitailleur, petit et moyen transporteur.
  • Certification SEAD.
  • Expertise des armements air-sol, guidés et non guidés.
  • Instructeur au décollage et atterrissage sur pistes courtes (ex: porte-aéronefs).

PRINCIPAUX ENGAGEMENTS
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Nom de code : Centurione
Prénom et nom : Marco Bellandini
Fonction : Pilote d'hélicoptères / infiltration
Profil : DELTA
Nationalité : Fortunéenne
Grade : Segundo Subofficial / Adjudant-chef
Date de naissance : 11 septembre 1975
Langues parlées : Italien (Fortuna - langue maternelle), espagnol technique et notion d'arabe.
Statut : Actif / Opérationnel

ORIGINE ET ENTREE AU JAGUAR PALTOTERRAN

Marco Bellandini nous vient de Leandra, une cité maritime et péninsulaire d'Eurysie du Sud, dans la Sérennissime République de Fortuna. Il est le fils d'un des contremaitre du chantier naval local, ainsi que d'une antiquaire qui tenait une boutique héritée de ses parents en bord de quai, justifiant l'heureuse rencontre entre ses parents. Ayant grandit dans une atmosphère quel 'on pourrait qualifier de cosmopolite et commerçante, propre à Fortuna, il prend très tôt goût au voyage, ne serait-ce que pour une raison très simple : la Sérénissime République de Fortuna est l'état le plus parcellaire au monde, si bien que même sans jamais quitter les frontières du territoire fortunéen, vous pouvez avoir fait trois fois le tour du globe. L'autre particularité de Fortuna, d'ailleurs calquée sur sa famille, c'est qu'ils font grand cas de l'ingénierie navale dont le patriarche se voudra un maître d'apprentissage pour son fils qui apprendra les rudiments de la mécanique aéronavale. Mais plutôt que mettre à profit ces compétences aux seins des chantiers et arsenaux nationaux, il fait le choix d'intégrer Militaris, une ancienne société militaire privée dont l'internationalisation croissante de la Sérénissime République l'invite à prospecter des contrats à l'étranger. Cette internationalisation l'invitant à muscler ses effectifs, il intègrera dès ses vingt-quatre ans ans l'organisation.

Au sein de celle-ci, il se spécialisera dans la maintenance et le pilotage d'hélicoptères, tantôt d'attaque ou de transport. Une technicité qui va l'amener à décrocher des contrats d'instructeurs et consultant en sécurité à l'étranger, particulièrement lors de la guerre civile varanyenne en 2003, âgé de vingt-huit ans. Si le jeune homme jouit d'une carrière louable auprès de Militaris, l'essor de la Fédération d'Alguarena en sortie de guerre du Varanya et la multiplication des organisations paramilitaires redistribuent les cartes des meilleurs employeurs pour le genre. En 2007, à l'occasion de la guerre d'indépendance du Pontarbello, le Jaguar Paltoterran recrute à tour de bras pour se faire un nom au travers de l'une des grandes crises du Sud-Aleucie au XXI siècle. Son intégration du Jaguar Paltoterran se fait donc au titre de l'indépendance du Pontarbello, dont il accompagnera les combats en qualité de pilote d'hélicoptère, chargé d'opérer des frappes air-sol sur les positions fortifiées listoniennes, c'était en 2007.

Aussi, après plus de dix années d'expérience au sein du Jaguar Paltoterran et dix-huit ans d'expérience dans le mercenariat, l'homme s'est forgé une réputation de pilote de l'extrême, l'intégrant à des opérations spéciales, mieux rémunérées que les missions se prévalant d'être des "hachoirs à viande", car Marco Bellandini justifie maintenant d'une expertise et d'atouts à même d'orchestrer le point de bascule d'une opération. Il est prédestiné à l'exécution de missions de formation aux tactiques de combat héliporté, l'implantation de bases avancées sur théâtre hostile, des missions d'appui-feu rapproché aérien, voire l'exfiltration de commandos du Jaguar Noir, sur théâtre très difficile ou sous feu direct de l'ennemi.

EVALUATION

L'adjudant-chef Bellandini a prouvé maintes fois que sa maitrise du vol tactique à basse altitude ou encore sa capacité à décoller sous des conditions météorologiques défavorables, lui confère un sens tactique inégalé pour l'exfiltration de nos unités opérationnelles. Et lorsque c'est nécessaire, il a déjà la démonstration d'action d'appui-feu aérien salvateur pour celles-ci. Une discipline et une efficacité héritée d'un groupe paramilitaire concurrent, Militaris, qui lui concède une valeur opérationnelle rare. Sa valeur opérationnelle se complète d'un certain leadership à même de lui permettre une reprise de la mission à son compte, dans le cas où le capitaine Ricardo Echeverría Torres alias Lobo, serait inopérant...


"L'escuadra Centauro, spécialisée dans les opérations obligeant à une mobilité importante sous feu ouvert avec l'ennemi, sait pouvoir compter sur lui. Centurione, un nom de code qui reflète la certaine légitimité concédée par ses pairs, manoeuvre son hélicoptère comme le chirurgien manoeuvre un scalpel, le posant là où il a décidé de le poser. A ceci près que le chirurgien n'a pas à se pencher pour éviter les balles sur un même intervalle. J'espère le plus tard possible mais avec lui dans l'équipe, mon second est tout trouvé dans un scénario du pire..."
Capitaine Ricardo Echeverría Torres, chef d'escouade.


QUALIFICATIONS

  • Brevet de pilote d'hélicoptère léger et lourd.
  • Aptitude à la maintenance de premier et second niveau sur hélicoptère d'attaque et hélicoptère de transport armé.
  • Expérience des manoeuvres d'appui-feu rapproché et extraction sur théâtre hostile.
  • Maitrise du vol tactique à basse altitude, en environnement urbain et hostile.
  • Certificat de reconnaissance aérienne et désignation de cibles.
  • Instructeur de vol pour pilotes de tous les niveaux.

PRINCIPAUX ENGAGEMENTS

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IDENTITE ET DONNES ADMINISTRATIVES

Nom de code : Kenereth
Prénom et nom : Ixchel Yaretzi
Fonction : Artificière / démolition lourde.
Profil : CARLO
Nationalité : Akaltienne
Grade : Cabo / Caporal
Date de naissance : 7 janvier 1989
Langues parlées : Akaltien (Langue maternelle - Yucatèque), espagnol technique et notion de français.
Statut : Actif / Opérationnel

ORIGINE ET ENTREE AU JAGUAR PALTOTERRAN

Ixchel Yaretzi nous arrive en provenance de Tzolkinko, une petite agglomération du nord de l'exclave akaltienne d'Aleucie centrale, depuis laquelle les activités d'exportation de matière première et minérale revêtent un certain dynamisme à commencer par le charbon. L'exportation du charbon et les activités minières plus largement, ont amené cette femme issue d'une famille populaire à exercer dans les activités d'excavation où elle s'essayait à l'usage d'explosifs pour préparer les carrières de cobalt avant exploitation. Une technicité hors pair et un attrait pour les artifices réel qui lui permirent de se mettre à son compte au service des compagnies minières. Un marché fructueux, considérant la montée en puissance de la mondialisation et la demande croissante en matières premières aux quatre coin du globe, pour lancer de parts et d'autres des tissus industriels dans un XXIe siècle actif et tourné vers le commerce.

Toutefois, approchée par des recruteurs du Jaguar Paltoterran, elle retrouve le salariat, rejoignant une équipe du génie où elle continuera de se spécialiser dans les explosifs et charges de brèche, autant dans leur mise en oeuvre que leur neutralisation. Une compétence qui lui valut son implication dans quelques assauts donnés aux bastions de pirates du Pavillon de l'Albastre et narcotrafiquants aleuco-paltoterrans. De premières opérations, qui lui conférèrent la réputation d'être autant méthodique que téméraire, notamment lorsqu'elle se montra capable de poser et retirer des charges, dans des positions physiques difficiles à tenir, invitant d'autres démineurs et artificiers à ne pas approcher.

Un de ses faits d'armes a été sa contribution lors d'une opération conduite dans l'archipel de la Felicize, où elle a ouvert une brèche à l'équipe d'assaut du capitaine Ricardo Echeverría Torres, permettant à celle-ci de neutraliser une douzaine de narcotrafiquants lourdement armée et retranchée dans un vieux fortin de l'époque coloniale et réaménagé en laboratoire clandestine destiné à la fabrication de méthamphétamine. Un acte salvateur en ce sens qu'il a permis de surprendre et de désappointer le gang sans blessé notable du côté du Jaguar Paltoterran, exécuté en moins de deux minutes. Un exploit tout particulier, doublé d'une mission sans perte, qui lui valut une citation dans les comptes-rendus d'opération, à laquelle la hiérarchie a répondu favorablement, lui conférant aujourd'hui encore, une légitimité certaine sur la question des charges de démolition. Une réussite et une expertise qui lui vaut l'officieux surnom de "Santa de la pólvora" (autrement dit la Sainte de la poudre). Une appellation difficile à reprendre en opération, considérant son évocation des plus explicites et le fait qu'elle braquerait aussitôt les regards sur elle.

Outre sa disposition dans l'usage des explosifs, Ixchel Yaretzi est aussi très investie en amont de celle-ci, étudiant les plans de la mission lorsqu'ils sont suffisamment développés, pour calculer par des mesures exactes, les effets collatéraux d'une onde de choc née d'une explosion de charges. Un fait particulièrement vrai pour les missions de sauvetage et récupération d'otages, impliquant un grammage scrupuleux de l'explosif engagé au sein de la charge. Une anecdote révélatrice de sa rigueur et de sa froide lucidité qui abreuve de bienfaits son escouade et nourrit l'intérêt de cet élément hors norme, en provenance d'horizons parfois lointain.

EVALUATION

Le cabo Yaretzi est un atout confirmé au sein de l'escouade du Centaure. Méticuleuse et investie, elle se présente aujourd'hui dotée d'un instinct quasi intuitif, pour analyser des structures, à commencer par la reconnaissance des matières et la supputation des épaisseurs de murs. Un point essentiel pour rapidement déterminer les points faibles d'une infrastructure intégrée à son théâtre de mission ou m^me encore un véhicule blindé dont la présence impose un niveau de criticité élevé à l'accomplissement de la mission. Elle excelle comme personne dans l'ouverture de brèche avant la tenue d'un assaut ainsi que les opérations de déminage ou encore la neutralisation de pièges explosifs improvisés.

"Tlazohteotl, c'est un passe-muraille. Si elle était née au moyen-âge elle aurait inventé le bélier c'est certain... Là elle transforme littéralement les murs en portes et fenêtres. Rien de moins... Et pour ceux croisés qui n'aurait pas été invité, il lui est arrivé de leur refermer la porte au nez, à tout jamais..."
Capitaine Ricardo Echeverría Torres, chef d'escouade.


QUALIFICATIONS

  • Maîtrise des explosifs militaires et improvisés (IED, charges creuses, charges de brèche).
  • Neutralisation et désamorçage d'engins explosifs avancés.
  • Expertise en matériaux et structures (métaux, pierre, béton armé) et plus largement en ingénierie du bâtiment.
  • Maitrise du vol tactique à basse altitude, en environnement urbain et hostile.
  • Aptitude à l'emploi des munitions thermobariques et/ou incendiaires.

PRINCIPAUX ENGAGEMENTS

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IDENTITE ET DONNES ADMINISTRATIVES

Nom de code : Carnero
Prénom et nom : Solofo Razafindrakoto
Fonction : Assaut lourd / opérateur d'armement
Profil : ALFA
Nationalité : Mandrarikane
Grade : Sargento de primera / Sergent de première classe
Date de naissance : 16 décembre 1977
Langues parlées : Mandrarikan (dialecte malgache et somalien), arabe technique, notions d'espagnol et de portugais.
Statut : Actif / Opérationnel

ORIGINE ET ENTREE AU JAGUAR PALTOTERRAN

Solofo Razafindrakoto est né dans la région du Val de Fareng, au sein d'une communauté marginale en état de sécession avec le gouvernement mandrarikan de Mpiko. Grandissant dans une région que l'on qualifierait volontiers de meurtrie par la guerre imposée par les seigneuries claniques, il se mêle très vite à la culture de la violence, à commencer par son traumatisme à avoir assisté à l'assassinat de son père par une communauté rivale. Il évolue par conséquent au sein d'un environnement où il faut faire grand cas de la survie par un apprentissage juvénile du maniement des armes et de sa capacité à instiller la peur chez autrui. Un modelage, mêlé à une carrure impressionnante, qui l'amène à approcher certaines cercles de fortunes étrangères soucieuses de leur sécurité.

Intégré à une seigneurie de guerre clanique, son physique et faciès hors norme en font effectivement une carte de visite de premier plan qui plait aux employeurs étrangers. Mais des seigneuries de clanique, très peu s'adonnent au mercenariat, exception faite de la seigneurie des Ravatomanga. Pour la première fois et alors âgé de trente ans, l'homme passe la frontière de la Mandrarika et du Val de Fareng, rejoignant le Kodeda (province occidentale d'Afarée administrée par l'Empire listonien). Un voyage, conclut d'une opportunité, signée auprès du Prince Mutarrif ibn Saadin, un chef ethnique des communautés beïdanes de la région, craignant pour sa sécurité face à un Empire listonien désireux de taire les rebellions successives secouant ses possessions outre-mer. Efficace et reconnaissant, le mercenaire se voit confier la vie du Prince lui-même, opérant en tant que garde rapprochée.

Malheureusement, au terme d'une opération clandestine hostile, son employeur est enlevé. Congédié par la famille du Prince, il est contraint à quitter le territoire kodedan pour se faire un porte-flingues international, attirant les regards des recruteurs du Jaguar Paltoterran, lui ouvrant définitivement les portes du mercenariat à l'international.

EVALUATION

Solofo Razafindrakoto a une carrure qui en impose, à la fois dissuasive et offensive. Sa présence seule est souvent un facteur de dissuasion pour les hostiles et cela rassure nos clients. Très photogénique, il est une signature marketing de l'offre de mercenaire du Jaguar Paltoterran...

"Solofo Razafindrakoto est un mur de chair rompu aux techniques de combat rapproché et aux assauts lourds. Il maitrise par ailleurs un certain nombre d'armements montés sur véhicule qui en font une forteresse appréciée dans l'exercice d'une couverture aux autres forces, soit par le maintien d'une ligne de défense, soit par l'organisation d'une protection dite dynamique..."
Commandant Esteban Borrasca, chef d'escouade.


QUALIFICATIONS

  • Techniques avancées de protection rapprochée.
  • Maitrise des armes lourdes (mitrailleuses, lance-missiles, lance-grenades, ect...).
  • Techniques de combat à mains nues et armes blanches.
  • Résistance physique exceptionnelle.
  • Expertise en sécurité de convoi et protection d'infrastructures.
  • Expertise en protection rapprochée des personnes, statique et/ou dynamique.
  • Initiation aux techniques d'embuscade et de contre-embuscade.

PRINCIPAUX ENGAGEMENTS
  • Opération de sécurité rapprochée auprès du Prince Mutarrif ibn Saadin au Kodeda : Partie 1 et Partie 2.
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IDENTITE ET DONNES ADMINISTRATIVES

Nom de code : Braddock
Prénom et nom : Fergus O'Connel
Fonction : Reconnaissance & infiltration
Profil : ALFA
Nationalité : Nord-achosienne / velsnienne
Grade : Militar auxiliar / Soldat du rang
Date de naissance : 24 juillet 1986
Langues parlées : Gallois & celtes (Achosie du Nord - langue maternelle), notions d'espagnol.
Statut : Actif / Opérationnel

ORIGINE ET ENTREE AU JAGUAR PALTOTERRAN

Fergus O’Connell est originaire de l'arrondissement de Velathri, en Achosie du Nord sous administration velsnienne. Fils d'éleveurs traditionnels, il a dès son plus jeune âge participait à la gestion du cheptel dans les hauteurs nord-eurysiennes, où les chaleurs estivales tiennent sur deux mois à l'année. Coutumier des missions prolongées en extérieur et à basse température, il s'est très vite révélé être un profil endurant avec de bonnes connaissances topographiques. Installé dans une région en proie aux tensions historiques opposant achosiens et velsniens, les administrateurs d'Achosie du Nord, la paysannerie nord-achosienne entretient une certaine familiarité avec les armes et la survie en hautes montagnes. Et Fergus n'échappe pas à la règle, se faisant un pisteur et un trappeur survivaliste hors pair.

Des compétences singulières qui l'amènent à se faire contrebandier dans une région où les bonnes relations de voisinage font désordre. Aidant à l'entrée et à la sortie de contrebande, il entretient des atouts dans l'infiltration, le pistage et la dissimulation de traces. Une vie de marginal qui l'oblige parfois à faire preuve de coercition contre des riverains et locaux susceptibles de dénoncer le caractère illicite donné à ses activités.

Le risque d'incarcération des autorités se faisant de plus en plus grand, il adopte un vie de baroudeur et entend quitter le territoire. Mais quelle destination choisir face à ce dilemme? La République d'Union Nationale du Pontarbello, connue pour refuser les extraditions, semble être la candidate toute désignée. C'est donc derrière ces motivations qu'il prend le parti de rejoindre le Pontarbello où il s'engagera dans le Jaguar Paltoterran, après avoir été brièvement inquiété par sa tentative d'installation d'un nouveau réseau de contrebande. Tête brûlée justifiant d'une certaine expertise dans les opérations de reconnaissance et de dissimulation de présence, il est admis comme éclaireur tactique après avori fait la démonstration d'une capacité à se mouvoir en terrain hostile, établissant des points d'observation inaperçus, régulièrement sollicités au titre des missions préparatoires.

En effet, l'homme a développé de réelles compétences lors de ses agissements criminels passés, inscrits dans le développement de la contrebande au travers de la frontière d'Achosie du Nord et celle du Sud, si bien que ses attributions actuelles au sein de Jaguar Paltoterran trouvent un emploi particulier et lucratif dans cette organisation tentaculaire, engagée de façon croissante sur les théâtres d'opération internationaux.

EVALUATION

Le sergent de troisième classe Fergus O'Connel est un combattant doté d'un sens aigu de l'orientation et de l'observation, sa capacité à lire les mouvements ennemis sur des missions prolongées et dans des environnements rendus difficiles par l'humidité et le froid, le rendent appréciable à toute opération préparatoire. Il est partie intégrante dans la coordination et la désignation des moyens nécessaires à l'accomplissement de la mission.

"Le sergent de troisième classe O'Connel a révélé une réelle capacité pour la lecture, la compréhension et le marquage du terrain. Son engagement dans la reconnaissance tactique n'est plus à justifier."
Capitaine Ezequies Villagrà, chef d'escouade.


QUALIFICATIONS

  • Qualification en reconnaissance avancée.
  • Utilisation avancée des systèmes optiques et de la télémétrie.
  • Certificat à la désignation de cibles préalables aux frappes d'artillerie et aériennes.
  • Maitrise des techniques de camouflage et de dissimulation.
  • Expertise en communications tactiques sécurisées.
  • Brevet de survie en environnement.

PRINCIPAUX ENGAGEMENTS

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IDENTITE ET DONNES ADMINISTRATIVES

Nom de code : Darrios
Prénom et nom : Mateo Diaganeiro
Fonction : Assaut / appui antichar / logisticien en armements lourds
Profil : DELTA
Nationalité : Pontarbelloise
Grade : Militar auxiliar / Soldat du rang
Date de naissance : 22 août 1991
Langues parlées : Portugais (Langue maternelle) et espagnol courant.
Statut : Actif / Opérationnel

ORIGINE ET ENTREE AU JAGUAR PALTOTERRAN

Mateo Diaganeiro a grandi à Chileneda, un petit village du Sud-Pontarbello fortement dépendant des activités de pêche. Cette agglomération côtière, exposée aux vents plein sud, était surtout connue pour abriter une base navale tournée vers la coopération internationale entre la junte militaire pontarbelloise et des pays alliés membres de l'Organisation des Nations Commerçantes. Un lieu pivot de la défense stratégique pontarbelloise et un débouché certain pour l'insertion professionnelle des habitants du Chileneda et riverains de l'arrondissement. D'une enfance marquée par la rudesse du travail en mer, il ne se fait donc pas prier de rejoindre la marine pontarbelloise où il se fait approvisionneur des pièces d'artillerie navale à bord de navires rattachés à la garde côtière pontarbelloise. Développant une connaissance des explosifs et des armements lourds, il est deux ans plus tard débauché pour rejoindre le Jaguar Paltoterran, notamment ses premiers éléments navals.

Il est par conséquent affecté à une équipe de commandos de marine embarquée à bord du sous-marin placé sous le commandement d'Ilias Nogaro, c'est donc à cet instant que Mateo Diaganeiro s'initie aux opérations clandestines, avant d'être officiellement détaché au Jaguar Noir. Là-bas, il intègre l'escouade du Minotaure pour la conduite d'assaut lourd sur des positions ennemies réputées hautement défendues, pendant des combats que l'on pourrait tous décemment classer comme étant de haute intensité. Agissant au sein d'une unité restreinte, il se fait un élément indispensable pour l'élimination des menaces antichar ou encore la neutralisation de fortifications plus ou moins légères. Grand gaillard de bonne composition, il est une vraie mule (sans la tête qui va avec) et est à même de transporter un certain nombre d'équipements lourds et collectifs sur le champs de bataille, comme des mitrailleuses, des lance-roquettes et autres équipements d'appui feu aux unités combattantes.

En situation de combat, Mateo se fait naturellement un élément indispensable, fort d'une première expérience sur des opérations complexes au départ d'amerrissage par petites embarcations, voire au moyen d'un scooter des mers au départ d'un sous-marin. Bon nageur et même bon plongeur, il est encore aujourd'hui un élément multi-théâtres reconnu.

EVALUATION

Le soldat Darrios fait preuve de beaucoup de méthode pour l'entretien et la mise à disposition des armements collectifs, se faisant un logisticien d'une fiabilité incontestée par ses pairs, de l'escouade du Minotaure ou d'ailleurs. Opérateur d'armes lourdes, il fait preuve d'efficacité dans ses tirs, contrairement à bon nombre d'opérateurs d'armes lourdes qui consomment sans compter les munitions. Conscient de la valeur de chaque munition et roquette lorsqu'il se trouve en opération esseulé à l'étranger, sur un théâtre hostile, il choisit ses cibles avec minutie pour mettre ses actions au service de l'escouade. Une capacité de discernement réelle, qui lui fait honneur.

Sa présence en opération est de nature à rassurer les équipes d'infanterie, voire l'escouade du Minotaure elle-même, qui distinguent en lui un élément central devant la survenue d'une menace blindée et/ou retranchée derrière une place forte. Faisant preuve d'une certaine discrétion en dehors des engagements opérationnels, il lui arrive de prêter main forte dans la gestion des inventaires de l'organisation, amenant chacun ici à le connaitre ou à le reconnaitre, ne serait-ce que de visage.

"Darrios opère des tirs d'une justesse plus que valable, ouvre la voie avant des assauts. Ce n'est jamais anodin de se pointer face à un blindé, fut-il armé d'un lance-roquettes, Darrios est de ceux qui le font et savent être là où on les attend quand la situation l'exige..."
Capitaine Ilias Nogaro, comodoro de marina.


QUALIFICATIONS

  • Expertise dans le suivi d'inventaire et la gestion des stocks.
  • Formation à l'approvisionnement, la logistique des munitions lourdes et leur sécurisation.
  • Initiation aux techniques de camouflage en terrain, couvert et découvert.
  • Expertise en communications tactiques sécurisées.
  • Brevet de plongée de niveau 3.
  • Connaissances à l'utilisation et la maintenance des motomarines.
  • Certificat d'endurance en situation de combat prolongée et résistance physique.

PRINCIPAUX ENGAGEMENTS

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Logo de la brigade du Jaguar Paltoterran

22 octobre 2016 - CLASSIFIE - Débriefing de l'opération Espada de Cristal


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L'opération "Espada de Cristal" est un affrontement aéronaval ambitieux ayant opposé plusieurs escadrilles d'avions d'attaque au sol vieillissant du Jaguar Paltoterran face à une flotte e guerre westalienne.


Contextualisation

En dépit de vagues calmes, l'océan du Scintillant s'est trouvé particulièrement agité en ce matin du 22 octobre 2016, lorsqu'un convoi de navires westaliens, tout droit sortis des ports et des chantiers navals wanmiriens, s'est dirigé vers la côte occidentale d'Aleucie du Sud, en direction des villes portuaires de l'acheteur, westalien. Au sein de ce convoi et pour incarnation de navire amiral, une frégate, réputée ultramoderne de conception wanmirien, qui casse les flots présents face à elle, sous l'assistance dévolue de deux navires remorqueurs et suivie encore, plus en profondeur, d'un binôme de sous-marins furtifs. La mission est simple, rapatrier cs armements stratégiques en Westalie, mais les enjeux et la géopolitique locale complexes... Et ce qui semblait priver de tout danger ce convoi lourdement armé se fait un fait majeur de la guerre aéronavale du second semestre 2016, une cible prioritaire. A son bord, les équipages westaliens sont "jeunes" ou en tout cas inexpérimentés, prenant possession de navires flambants neufs sur lesquels ils sont peu habitués. Leur objectif est de rapatrier la flotte en Westalie, pour intégrer ces armements stratégiques à l'affirmation d'une puissance souveraine westalienne en Aleucie. Un atout militaire réel, délivré des mains du Wanmiri et qui lèse immanquablement les parties prenantes en prise avec la Westalie. Dès lors, les rivalités s'exacerbent et la tension politique croissante entre Stérus et Westalie donne matière à la mise en place d'une machination au départ des factions les plus radicales, orchestrant un coup de poignard inattendu mais espéré fatal, pour parachever des manigances politiques visant à déconstruire la force militaire navale westalienne.

Cet enjeu ainsi marqué entre la Fédération de Stérus et la Grande République de Westalia, invite à l'escamotage d'une opération secrète baptisée "Espada de Cristal", en vue d'aider la Fédération de Stérus à préserver son influence sur une partie de l'Aleucie et restreindre la capacité de nuisance d'une Westalie faisant du développement de sa marine nationale un axe prioritaire et dommageable à la souveraineté stérusienne. Les démonstrations de force en mer de la Westalie et ses alliés nord-aleuciens obligent en effet la Fédération de Stérus à identifier des axes de développement industriels compensatoires à la modernisation et l'émergence d'une puissance navale westalienne. L'industrie de l'armement stérusienne ayant vocation à se péricliter, à mesure que la diplomatie étrangère westalienne se renforce au Wanmiri et en Lermandie, ce qui pouvait paraître comme une réflexion à double option se compliqua. Et lorsque la possibilité de surpasser l'industrie de l'armement westalienne s'éloigna, la possibilité d'attaquer l'outil militaire westalien en plein coeur se fit une option plus palpable que jamais, voire inéluctable. Aussi, sous couvert de groupes paramilitaires pour les uns, ou terroristes pour les autres, le régime fédéral de Stérus prépare la riposte et il a trouvé son bras armé en la personne (im)morale du Jaguar Paltoterran.

Quel est l'intérêt stérusien pour le Jaguar Paltoterran ?

La brigade paramilitaire du Jaguar Paltoterran est une société militaire privée implantée en Aleucie du Sud, dans la région péninsulaire du Pontarbello. Justifiant d'un siège à Santialche, elle regroupe un important nombre d'ex militaires aguerris en provenance de tous les horizons connus, ainsi que des moyens militaires sans comparaison à d'autres organisations, allant jusqu'à entretenir quelques bâtiments navals, comme un sous-marin et des vedettes en date de décembre 2016. Sur le plan géographique, elle est aussi l'une des mieux disposées à pouvoir agir et interagir contre les intérêts westaliens dans la région. Elle joue en effet à domicile et justifie d'une proximité avec le théâtre d'affrontement qui rend ses attaques difficilement prévisibles par les autres acteurs de la région. Un autre point entrant en considération pour les stérusiens est le passif de la Brigade du Jaguar Paltoterran dans la région.

Le Jaguar Paltoterran accueille des militaires confirmés mais s'est aussi fait le belligérant confirmé de précédents affrontements, dont le plus notoire d'entre eux reste sans doute l'affrontement avec les forces paramilitaires kah-tanaises venues organiser une contre-révolution au putsch de Santialche. Une audace doublée d'une victoire contre le couteau tiré kah-tanais qui pose un constat clair : dans la région, il est acquis que pas un seul groupe paramilitaire ne peut justifier d'une égale expérience et d'une égale audace pour la mission que les éléments radicaux stérusiens entendent mener contre des bâtiments navals westaliens organisés et prêts au combat au travers de bâtiments modernes et lourdement armés... C'est donc pour cet ensemble de raisons et possiblement quelques autres inavouées, que les nationalistes stérusiens ont identifié le Jaguar Paltoterran comme le partenaire le plus légitime à cette entreprise. Et pour débuter ces opérations, le Jaguar Paltoterran dispose encore d'atouts particuliers, à commencer par un réseau de soutiens tacites auprès des institutions militaires alguarena et pontarbelloise. Un fait particulièrement vrai après l'embauche au sein du Jaguar Paltoterran d'Eli Bryggman, un ancien officier-général ayant quitté l'armée alguarena au grade de Général-Brigadier et qui jouit encore de soutien parmi des militaires ayant servi sous ses ordres. Un historique qui amènera justement la divulgation d'informations relatives au départ en mer de la flotte wanmirienne sous pavillon westalien, facilitant l'interception de la flotte westalienne.

Quel est l'intérêt du Jaguar Paltoterran à soutenir la Fédération de Stérus ?

Immanquablement, le premier intérêt motivant l'implication du Jaguar Paltoterran a été d'ordre financier. Cependant, force est de constater que d'autres organisations ont aussi proposé des missions grassement rémunérées laissées en suspens par l'organisation paramilitaire, il conviendrait de réunir l'ensemble des éléments d'arbitrage ayant incité le Jaguar Paltoterran à s'engager dans ce rapport de force face à la Westalie et le Wanmiri.

  • L'intérêt financier : Nous l'avons dit, la première des considération entrant dans l'arbitrage de la proposition de mercenariat faite aux nationalistes stérusiens a été financière mais là encore, la réponse mérite quelques nuances. En effet, le Jaguar Paltoterran délivre des prestations de mercenariat et reçoit par conséquent une rétribution directe pour le service rendu. La Fédération de Stérus était présentement demandeuse de ce service et a rétribué le Jaguar Paltoterran pour ce faire. Toutefois, les circonstances données à cette mission étaient de nature à ouvrir de nouveaux marchés auprès de nouveaux clients. En effet, la possibilité faite à de vieux avions d'attaque au sol alguarenos comme les C-B100 de défaire et malmener des bâtiments navals ultramodernes de constructeurs étrangers est une publicité d'or pour les constructeurs de l'aéronautique alguarenos comme les sociétés Benca ou les Industries Marbone. Dans ce contexte, les gains financiers espérés derrière cette attaque ne sont pas uniquement ceux rassemblés par la Fédération de Stérus mais ceux potentiellement récupérables auprès des constructeurs aéronautiques qui voudraient rétribuer la publicité offerte à leurs modèles d'aéronefs en fin de série. Forte d'une campagne de dénigrement visant les productions navales wanmiriennes, l'aéronautique alguarena a pu sortir de cette attaque revalorisée, indépendamment des parties prenantes et de l'intérêt qu'elle aurait à voir l'un prendre l'ascendant sur l'autre.

  • La défense stérusienne est davantage dépendante du mercenariat que les autres parties prenantes : La Fédération de Stérus, limitée dans ses alliances, peut avoir un recours aux forces paramilitaires de manière plus récurrente que le Wanmiri ou la Westalie, la capacité du Jaguar Paltoterran à se faire reconnaitre comme partenaire fiabilisant du Jaguar Paltoterran est donc sur une valeur de long terme, plus intéressante que l'axe coopérant autour de la Westalie car elle promeut des contrats de mercenariat plus importants et plus récurrents. Sous une logique purement commerciale et sans considération faite à la politique régionale, le marché projeté auprès de la Fédération de Stérus est préférable à celui des autres parties prenantes en présence. Il est effectivement permis d'inscrire celui-ci dans la durée et des propensions plus importantes considérant le rapport de force en présence dans les affrontements politico-militaires entourant Stérus - Westalie. Notre capacité à défaire des contingents modernisés au départ de moyens limités, constitue aussi une source de notoriété appréciable pour la suite de nos débouchés commerciaux. Toutefois, il est à noter qu'aucune reconnaissance formelle des agissements de notre groupe contre les autorités westaliennes ne saurait être viable, il est par conséquent nécessaire d'entretenir un certain nombre de légendes autour des opérations imputables et non reconnues, même si notre clientèle engagée sur ces faits d'arme aura déjà pris la juste mesure de notre valeur.

  • Les industriels de l'armement alguarenos veulent la peau des industriels wanmiriens : Saper le marché des constructions navales wanmiriennes peut satisfaire aux enjeux d'industriels alguarenos pour accroitre leurs ventes à l'international. Dès lors, si le mérite des aéronefs victorieux face aux bâtiments wanmiriens est une opportunité commerciale réelle pour les industriels alguarenos de l'acabit de Benca ou Marbone, l'intérêt premier reste encore de faire choir les ventes développées au sein des marchés de construction navale de la concurrence, car il est encore celui qui se fait porteur des plus gros bénéfices.


"Le Jaguar Paltoterran n'a jamais aussi bien porté son nom. Il s'adapte à toutes les situations et tous les ennemis, quand bien même il lui serait nécessaire de grimper aux arbres et sauter à l'eau. Ce n'est pas le plus musclé, ni le plus imposant de cette vaste jungle qu'est Geokratos mais il est là où on ne l'attend pas et ça marche. Aussi dans la configuration telle que décrite, c'est un candidat idéal, dépourvu d'emblème national, s'abstenant de toute revendication officielle, pour qui veut frapper un ennemi fort et nier toute implication sans levier d'action réel contre lui."
Le Général d'Armée alguareno Caïtano LOSSADA le 23 octobre 2016, en apprenant qu'une escadrille d'appareils appartenant au Jaguar Paltoterran, a été repérée au départ de la péninsule pontarbelloise le jour de l'attaque.


Les intérêts stérusiens et ceux du Jaguar Paltoterran convergeant définitivement, ils posent mi-septembre les bases d'un stratagème mortifère. Le 15 octobre 2016, dans ce qui est la capitale akaltienne de Kintan, des agents spéciaux du renseignement akaltien se réunissent loin des canaux de communication officiels. L'Union des Cités d'Akaltie, alliée simultanément de la Westalie et de Stérus à la réelle ambiguïté, se fait un atout maître dans la main de Stérus par le contrôle exercé sur une partie du réseau des satellites de communication et de navigation opérant sous la tutelle de l'Agence Spatiale des Nations Aleuciennes. Un cercle restreint parmi les services de renseignement akaltiens du Maussade se montre enclin à à assister les nationalistes stérusiens pour restreindre le développement de la supériorité maritime westalienne. Désigné sous le nom de code Ulabhal, l'opération consiste à momentanément brouiller les satellites westaliens pendant plusieurs heures, le temps qu'une opération aéronavale des forces combinées stérusiennes et du Jaguar Paltoterran, puisse s'opérer.

Une opération controversée qui alimente la division au sein même du département, certains déplorant un coup de couteau dans le dos de l'alliance naissante avec les autorités westaliennes, engagées dans un processus de structuration macro-politique du continent aleucien. Les objections seront balayées, peut-être hâtivement, entrainant une cascade de sanctions et procédures disciplinaires internes à l'agence. Au moment critique des affrontements avec la marine westalienne, les éléments aéronavals de Stérus et du Jaguar Paltoterran pourront compter sur l'agence gouvernementale akaltienne pour mettre hors d'usage les liaisons satellite de Westalia sous couvert d'effectuer une intervention de maintenance "inopinée". En Westalia personne n'est avisé de ce black-out soudain et brutal, la surprise sera totale, comme la fenêtre avantageuse mise au service de l'attaque stérusienne. Les assaillants ne veulent pas tant gagner que détruire l'ennemi. Le silence radio, voulu pour ne pas dévoiler leur présence au large, les privera des premières bribes d'information signalant l'avarie satellite. L'opération Espada de Cristal est finalement un melting-pot de conspirations audacieuses et d'excès de confiance d'un état-major westalien encore en gestation. Une autorité westalienne confiante dans la sécurisation des eaux internationales inscrites dans ce qu'elle considère comme "une zone d'influence". Face à cela, des alliés, parfois de circonstance, qui semblent bien mal à l'aise, devant la place trop prégnante occupée par le duo westalo-lermandien et les jalons qu'il entend poser en Aleucie, et l'opportunité stérusienne en guise de troisième colonne dans un univers de plus en plus polarisant...

Forces en présence
FACTION 1

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JAGUAR PALTOTERRAN
2 avion-ravitailleurs (lvl1) de conception kah-tanaises,
1 avion de guerre électronique (lvl1) de conception kah-tanaises,
6 avions de chasse GRS-2002 (lvl1) de conception kah-tanaises,
7 avions d'attaque au sol C-B100 (lvl1) de conception alguarena.

https://i.postimg.cc/x18gJTQQ/St-rus.png
FEDERATION DE STERUS
2 Avion radar awacs (lvl2),
1 Avion de guerre électronique (lvl3),
11 Missile de croisière (lvl9),
5 Bombardier stratégique (lvl4),
10 Avion de chasse (lvl6).

FACTION 2

https://i.postimg.cc/HL72zZjP/westalie.png
GRANDE REPUBLIQUE DE WESTALIA
1 frégate (lvl8) de conception wanmirienne
2 sous-marins d'attaque (lvl10) de conception wanmirienne
2 remorqueurs (lvl8) de conception wanmirienne

Déroulé de l'opération

5h44, au poste de commandement souterrain du Jaguar Paltoterran à Santialche, le bleu se fait une couleur à la mode considérant la multitude d'écrans allumés en simultané pour l'affichage d'une carte du Scintillant et des points en surbrillance destinés à matérialiser les forces en présence. Les mines sont crispées et pour cause, le Jaguar Paltoterran est en train de dérouler une mission d'affrontement aéronaval qui sera possiblement amenée à déclencher une guerre sous un an. Le Général Eli Bryggman est là en guise de grand ponte des six dernières années, amorçant le feu vert nécessaire au déroulé de la suite des opérations. Quelques jours auparavant, il recevait l'information d'un officier alguareno anciennement sous ses ordres que la flotte westalienne quittait les côtés wanmiriennes que l'occasion était là, tout de suite et maintenant.

Un coordinateur de vol lui confirme la position en mer de la flotte cible, la trajectoire s'affine au gré des rotations d'avions patrouilleurs maritimes entre la base alguarena au Fortuna nazumi et l'archipel, le moment charnier est connu. Les hésitations s'évaporent, les remords restent en suspens, beaucoup se savent les témoins d'une opération d'envergure, témoins d'une opération inédite. L'écusson du Jaguar Paltoterran peint sur le mur du centre de commandement, luit d'une brillance particulière sous l'effet des lumières. Le balayage radar confirme une dernière fois la position du convoi westalien, le cap et la vitesse restent inchangés. La formation est également constante. La fenêtre identifiée pour l'engagement s'ouvre, les regards se concertent, semblant puiser le courage chez les uns et les autres avant qu'une voix prenne le lead. C'est Eli Bryggman qui donne le top départ pour l'attaque aérienne, sur le tarmac les pilotes patientant casqués dans les aéronefs gesticulent une dernière fois avant de mouvoir leurs appareils sur une piste prêts à prendre leur envol. Sur la carte, scintillante comme l'océan éponyme qui l'abrite ou encore le rythme cardiaque d'une personne mourante, une LED continue de clignoter lentement, pour matérialiser un convoi maritime westalien sur le point de connaître un dur baptême du feu que personne n'avait vu venir. L'emplacement désigné est scruté de chacun, à mesure que se rajoutent les lumières idniquant l'approche de l'escadrille du Jaguar et celle stérusienne. Le convoi westalien est à deux mille kilomètres des côtes et d'autres marqueurs lumineux émergent rapidement sur la carte holographique, semblant faire la promesse que cette distance n'atteindra jamais zéro.

Les avions du Jaguar sont dans le ciel, la flotte westalienne ne saurait échapper à leur approche. L'occasion est idéale, l'instant fatidique. Les parades électroniques au départ d'un avion de brouillage électronique, en sus des mesures akaltiens au travers du réseau ASNA, sont enclenchées. L'engagement est imminent et seul un ordre lapidaire suffira pour sceller le destin de vie à trépas d'une quinzaine de matelots westaliens. Chacun des pilotes, sous la dénomination Azul, confirme l'engagement d'une voix teintée de gravité et de sang-froid. Le suboficial Horacio Méndez Solari, désigné opérateur principal à la coordination aérienne de l'opération, se fait un maitre d'oeuvre de la formation en approche, prête à affronter un navire de guerre décrit comme le nec plus ultra de son époque, avec en prime un système de défense antiaérien hautement performant lui aussi. La menace est connue mais l'objectif également, aucun pilote ne flanchera. Preto, l'avion de guerre électronique positionné sur le brouillage des instruments radars et armements de la flotte westalienne, est en place, escorté de deux escadrilles de trois GRS 2002, des avions de chasse obsolètes de conception kah-tanaises. Une difficulté de plus opposable à la flotte westalienne, déjà privée de liaison avec les satellites de l'ASNA. Les escadrilles stérusiennes émergent à leur tour sur les écrans radar, tous les pions sont en place à 6h00.

6h00, ce qui est un point vert sur les écrans radars du Jaguar Paltoterran, a tôt fait de biper rouge sur ceux de la frégate westalienne. Le ciel est orangé, presque crépusculaire en dépit de l'heure matinale. Les points fantômes se montrent à babord sur les écrans de la frégate de Westalie, puis disparaissent pour réapparaître à tribord, la confusion est réelle, le Jaguar Paltoterran et les nationalistes stérusiens se donnant l'illusion d'être partout à la fois. Seules les personnes réellement présentes sur le navire auront la possibilité de formaliser sous un unique mot le sentiment qui était le leur pendant la survenue de l'attaque. A bord, on pense très certainement assister à un dysfonctionnement tant le scénario d'une attaque reste encore inconsidéré puis soudain tout est clair.

Des missiles de croisières anti-navires, qui se révéleront plus tard être stérusiens, sont en approche. La frégate westalienne enclenche ses contremesures et systèmes de défense antiaériens, trop tardivement. Une partie des missiles stérusiens est neutralisée par les canons antiaériens opérant dans le champ direct de balayage de la flotte westalienne, l'autre s'abat comme le tonnerre, sur un remorqueur que l'impact fait chanceler. Un violent incendie se déclare, l'équipage ne semble pas encore prendre la mesure de son impuissance, attendant de sombrer sous de vaines agitations visant à contenir les flammes. Le clou est enfoncé d'un large coup de marteau après que la frégate elle-même, destinée à se faire le bouclier des navires auxiliaires, fut frappée. Le sentiment d'invulnérabilité est bien loin, pour ne pas dire en fumée, eu égard au respect dû aux matelots morts ce jour-là. La situation est critique et pour autant un second coup de boutoir est en train de s'amorcer, de nouveaux missiles sont en approche sosu la forme d'une vague et le choix des cibles se veut maintenant très mince : seule la frégate westalienne demeure en surface pour protéger le convoi, si l'on fait exemption des deux sous-marins positionnés en profondeur et ayant vocation à y rester faute de pouvoir réellement opérer le combat contre des aéronefs. Un missile touche frappe salement un remorqueur sombrant presqu'imméiatement, l'air a un gout de fer, à moins que ce ne soit celui du sang...

A la surface, un remorqueur et la frégate pour unique rempart à un ennemi qui tait son nom. Ailleurs, une déflagration énorme retentit, un des remorqueurs part vers le fond marin. On pensait le ciel orangé par l'aube naissante, elle a désormais une forte concurrence née dans les flammes de l'incendie qui se propage entre les bâtiments meurtris. La frégate chancelle, l'honneur de l'armée westalienne vacille. Des débris métalliques réapparaissent, projetés en l'air en différents angles du navire sous l'effet d'explosions successives alimentées par les incendies. Des alarmes sonores retentissent, elles masquent à peine le bourdonnement de plusieurs avions d'attaque au sol en approche, le Jaguar Paltoterran est là et il entend finir le travail au terme d'une troisième vague. Ils se dirigent vers les navires d'où s'échappent de larges colonnes de fumées noires, comme des guêpes se dirigeraient immanquablement vers une boisson sucrée posée sur la table d'un jardin 1000 m². L'effet de sidération sur les matelots westaliens est total.

Spectateurs bienheureux de la détresse westalienne, les pilotes du Jaguar marquent l'approche poursuivant le déchainement de violence à l'encontre d'une marine westalienne qui prend littéralement l'eau. Menée par le capitaine Lucéran Ávilas, l'escadrille Azul composée d'avions d'attaque au sol entame la descente, inspirée par la manoeuvre de son chef d'escadrille, en inclinaison légère pour trouver l'angle d'attaque optimal. Le C-B100 qui leur est confié pour la tâche, est exiguë et obsolète mais les mines des pilotes restent concentrées, sentant que l'excellence a déjà été faite et que l'impossible est en cours. Le positionnement oblique imposé à l'appareil lui fait grincer des dents, craignant de se laisser enfumer par les colonnes noirâtres dans le ciel. Une crainte justifiée car l'emploi des roquettes et des bombes non guidées implique un positionnement favorable de l'appareil et une direction frontale vers la frégate. Mais pour la survoler il faut franchir le nuage de fumée s'agglomérant dans le ciel au dessus d'elle et le risque de ne pas pouvoir redresser à temps son appareil en sortie est réel... Mais l'expérience du capitaine lui permet de contrebalancer adroitement les ailes de l'appareil, pour aller slalomer entre les panaches de fumées noires formés. Se maintenant sous un cap clair, ses pilotes et lui effectuent une série de frappes à la roquette incendiaire, larguant leurs bombes au survol de l'appareil.

Si le capitaine Ávilas n'a pas caché son talent dans le franchissement des colonnes de fumées et l'exécution de tirs précis, ses pilotes ne rencontrent pas le même succès. Pour ajouter encore de la difficulté, plusieurs systèmes de défense antiaérien sont restés opérant sur la frégate, accomplissant quelques rafales en direction des pilotes qui a tôt fait de casser leur trajectoire. Un nouveau boum retentit, le passage du capitaine au dessus du second remorqueur fait mouche, entrainant un important fracas qui scelle le destin du navire westalien, entrainé sous sa ligne de flottaison. Se maintenir hors de portée ou conserver la trajectoire, les appareils du Jaguar Paltoterran et derrière eux leurs pilotes, semblent faire face à un choix cornélien. La frégate peut encore tirer et elle ne s'en prive pas, alors même qu'un incendie sur sa passerelle demeure. "Ils se battent pour leur survie en bas, nous pour la gloire. Mais il n'y a rien de glorieux à se foutre devant le canon d'un navire promis à la défense antiaérienne." Lucéran ne dira rien de plus, il se concentre pour un dernier passage, s'offrant le luxe de rentrer à la base sans munition pour satisfaire les enjeux d'un contexte des plus périlleux. Son audace paie, justifiant de son expérience pour garantie à sa réussite, une nouvelle boule de feu s'étend sur la passerelle de la frégate westalien, touchée d'au moins une bombe du Jaguar Paltoterran.

Craignant qu'un ultime sursaut défensif ne vienne causer une première perte, notamment une de ses rampes lance-missiles intégrées au navire, qui cibleraient les C-B100 insuffisamment rapides et modernisés pour esquiver la menace, il décide de faire reprendre de l'altitude à l'ensemble de son escadrille, conscient des cibles faciles qu'ils demeurent encore. Ses mains gantées enserrent le manche de son vieux jet d'attaque, avec une tension palpable de ceux qui s'accrocheraient à une corde flottant au-dessus du vide. Le ciel se fait de plus en plus pâle à mesure que le soleil s'élève dans l'horizon, encore noircit du chaos provoqué sur la flotte westalienne. Certains pilotes, comme Azul 3, ne peuvent retenir un juron devant la scène, stupéfait de la scène plongée en contrebas et inspirée des ténèbres. Il faut dire qu'en bas, la frégate westalienne a perdu de son panache et le monstre d'acier de dernière génération qu'elle se vouait à incarner, n'est plus qu'un dragon crachant davantage de fumées que de flammes, ensevelie sous sa détresse. Les deux remorqueurs sont coulés ou tout comme, les remorqueurs ont besoin d'être remorqués. Les sous-marins et leurs équipages semblent prier pour qu'on ne remarque pas leur présence. Sur le pont de la frégate survivante, de petits points noirs se font immobiles, attestant par-là des premières pertes humaines confirmées. Entre les blessés et l'incendie, l'équipage de la frégate n'a plus le luxe d'opérer ses systèmes de défense encore opérationnels. L'ennemi ne tire plus aucun projection en direction du ciel, il semble concéder la victoire aux nationalsites stérusiens et mercenaires du Jaguar Paltoterran. Du côté stérusien et du Jaguar Paltoterran, aucune perte n'est enregistrée, ni d'appareils, ni d'hommes, la satisfaction aux besoins de la mission est totale.

Côté westalien, les pertes sont terribles, seize matelots manquant à l'appel, trois des navires flambants neufs commandés ont été endommagés. Deux remorqueurs ont été détruits et la frégate westalien quitte le chantier naval pour la cale sèche, attendant les réparations.

Témoignages et récits des éléments engagés :

Pour accompagner le récit des faits accompagnant l'opération, nous souhaitons y apporter la vision tripartite de trois hommes étant intervenus dans son architecture. Trois acteurs, pour trois rôles clés et avc à l'arrivée, trois visions de qu'a été l'opération Espada de Cristal.

Général Eli Bryggman, il a été l'éminence grise du Jaguar Paltoterran dans l'édification de l'opération. Son réseau d'informateurs et son expérience dans l'organisation d'actions de lutte asymétriques ont été décisifs dans la construction de l'opération.
Capitaine Lucéran Ávilas, il a été le chef de l'escadrille Azul, ces avions d'attaque au sol C-B100 de type "Calamity Bird" ayant engagé le convoi maritime westalien. Il était au coeur de la mission et l'a pour ainsi dire, vécu avec ses tripes.
Adjudant Horacio Méndez Solari, c'était le coordinateur des opérations aériennes du Jaguar Paltoterran, sous la dnéomination de Carlo 1. Il a donné le tempo aux opérations à la manière d'un chef d'orchestre.


Récit du Général Eli Bryggman - "De l'extérieur, je pouvais paraitre un roc mais à l'intérieur je savais pertinemment qu'un évènement d'importance était en train de se jouer. Un évènement d'importance car la confrontation bien heureuse d'une escadrille d'appareils obsolètes face à un navire de dernière génération, doté en système de défense antiaérien, était inédite. Jamais une telle configuration ne s'était présenté à la faveur des pilotes. C'est une révolution tactique militaire et avant ça, un casse-tête stratégique obligeant la mise à disposition et la coordination de moyens visant à amoindrir la menace antiaérienne de ce convoi. Sur le plan politique, c'était une de ces opérations où l'on ouvrait une boite de Pandore. Oui car quand vous suivez des nationalistes stérusiens pour aller frapper un convoi militaire maritime westalien, vous comprenez que tout peut arriver en Aleucie. La guerre froide entre Stérus et Westalie aurait pu s'arrêter là, nous avons eu pour mission de conduire un acte de guerre, accompli avec le concours des techniciens et opérateurs akaltiens pour le compte de l'ASNA, des nationalistes stérusiens. Les parties en présence étaient nombreuses et le risque d'un conflit continental en Aleucie est élevé au lendemain d'une pareille mission. Fallait pas se louper, le timing était précis, l'ennemi aguerri. Nos combattants s'en sont sortis avec brio, gageant du sérieux et du professionnalisme qui sont leurs. L'opération Espada de Cristal était un évènement d'importance car elle impactait lourdement le crédit donné à la sécurisation des routes maritimes. Les routes maritimes au départ de la Wanmiri n'étaient pas sûres et c'est par conséquent susceptible de bousculer tout le monde dans son rapport à la mondialisation et au commerce d'armements stratégiques.

Alors en définitive, quand vous faites le point sur tous les traits exceptionnels de la mission, vous avez le coeur qui bat la chamade même si vous ne laissez rien transparaître. Cela dit c'est normal, c'est aussi mon métier en tant qu'officier-général de ne pas commander avec mes états d'âmes et émotions. Pour garder mon calme j'avais toutefois une astuce si la confidence s'impose, je fixais mon regard sur un élément de la carte numérique, où clignotait par exemple le convoi ennemi. Et j'essayais d'anticiper le prochain scintillement de l'élément cartographique, le prochain scintillement du convoi westalien. C'était ma manière, bien cachée je vous le confesse aujourd'hui, de reprendre le contrôle car en vérité cette mission reposait surtout sur l'héroïsme individuel de nos pilotes."

Récit du capitaine Lucéran Ávilas (Azul 1 "Zorro") : "Quand je me suis installé dans le cockpit du Calamity Bird 100 que l'on s'apprêtait à envoyer au combat face à une frégate antiaérienne ultramoderne, j'ai lancé aux pilotes de mon escadrille qu'ils étaient chanceux, les cercueils étaient d'ordinaire moins exigus. Le bruit des turbines qui se mettait en marche commençait à saturer mes oreilles mais j'entendis le rire de plusieurs d'entre eux sur les ondes, avant que chacun se souhaite bonne chance et qu'on se rappelle avoir été formé à la mission et que l'on entendait l'accomplir avec brio. Et puis on a décollé, avec en tête l'idée qu'on allait affronter ce mastodonte d'acier et de technologies sans pouvoir à cet instant précis, s'entendre confirmer la réussite de tirs de missiles de croisière qui n'avaient pas encore eu lieu. Vous pouvez mettre les galons que vous voulez sur les épaules de qui vous voulez, tous les pilotes expérimentés aux frappes air-sol n'ont pas eu à risquer leur vie au contact d'une cible terrestre pouvant répliquer. Et s'il n'y a en réalité que deux catégories de ces pilotes, je suis fier d'aujourd'hui vous dire avec une extrême conviction que chacun de mes pilotes se trouve dans la bonne (catégorie).

Tout le monde n'est pas en capacité de pouvoir balancer son appareil en piqué sur une frégate surarmée érigée en monstre moderne, pour opérer des frappes directes à la roquette ou le largage de bombes non guidées alors qu'en face on peut vous lancer des missiles défenses à plus de cent kilomètres. Nous avons répondu présent et si l'Histoire ne connaitra pas nos noms, tâchez de bien garder à l'esprit de la Direction du groupe qu'on a fait le job et avec zèle. Je repense encore à l'image persistante de ce géant d'acier en flammes, en suspension sur ces milliers de tonnes d'eau. Ne pas être touchés en opérant des manoeuvres évasives et en déployant des leurres est une chose, mais toucher sa cible avec des munitions non guidées dans le contexte tel que j'ai pu vous le décrire, en est une autre. En cochant ces deux points, mes pilotes ont gagné mon estime éternelle... L'impossible a été fait et la victoire notre.

Et bien sûr que j'ai eu peur. Il faudrait être fou pour en avoir été autrement. Car ce qu'il faut vous imaginer lorsque ce mastodonte a commencé à se transformer en carcasse fumant de larges colonnes noirâtres dans le ciel, c'est ce que cette fumée, gage de notre réussite, était une difficulté supplémentaire pour approcher à basse altitude un navire sous protocole défensif. Servir entrée, plat et dessert à ces enfoirés, sans enregistrer de pertes était un miracle.

Je me suis demandé lors de mon dernier passage au dessus de l'appareil, si les minuscules silhouettes qui se dessinaient sur la passerelle de la frégate avaient un regard tourné vers moi ou les flammes, ou le canoë de sauvetage. Quel sentiment les parcourait? Etait-ce haine? effroi? résignation peut-être? Une pensée vite chassée, les réflexions profondes en temps de guerre tuent... Je devrais concentrer mon attention sur mes pilotes qui pour certains, effectuaient leur première mission de tir et riposte face à une cible qui sait se défendre, et puis l'attaque avait déjà débuté il y a pus d'une dizaine de minutes, la chasse westalienne s'était certainement mise en marche ou tout comme. Au diable les états d'âmes, marins, frégate, remorqueur, époux, maman... Ils étaient la cible, la mission et j'étais le missionné..."

Récit de l'adjudant Horacio Méndez Solari (Carlo 1) : J'étais dans la salle de commandement du Jaguar à Santialche. Je gardais les yeux sur mes écrans radars, je tendais l'oreille sur les canaux de transmission ouverts et je pianotais sans trembler les statuts des pilotes engagés au gré de l'avancement de la mission. Si j'avais ça plus d'une heure, je serais certainement devenu fou... Mais j'étais le coordinateur de l'opération aérienne, l'opérateur principal, ça ne vous engage à rien de le croire mais la vie de ces pilotes se liait immanquablement à notre capacité à pouvoir leur fournir la bonne information au bon moment. D'importants moyens étaient engagés pour l'opération Espada de Cristal, assurément les plus grands moyens engagés dans une opération aérienne du Jaguar Paltoterran.

Lors des préparatifs de la mission, il était convenu que ces Calamity Bird (C-B100) n'avaient pas la moindre chance de toucher cette frégate. Ma mission était de mettre en branle toute une suite d'armements, de ressources humaines et matérielles, pour y ajouter un sauf si... Cette mission, cette réussite, est la somme de facteurs qu'il m'appartenait de mettre en forme. Une succession millimétrée, chronométrée. Mon coeur lui-même battait comme un métronome calé sur le tempo donné à la mission, s'infligeant à plusieurs reprises des palpitions soudaines à mesure que les statuts des pilotes me parvenaient, ainsi que leur suivi d'inventaire après que les voyants verts des armements virait progressivement dans le rouge...

Quinze jours de préparation, c'est le temps infligé à chacun pour accompagner les deux heures approximatives qu'il fallut pour déployer le dispositif, repérer, saturer et frapper la frégate et se retirer. Moins de deux heures pour faire plier un colosse naval que des ingénieurs wanmiriens avaient mis des mois à concevoir et alors si vous vous demandez encore où est notre mérite là-dedans, rappelez-vous ce chiffre noté sur un coin de votre feuille. Je m'entends encore demander à Azul 1 si la menace est toujours présente, sous-entendu neutralisée. Quand la réponse m'est parvenue d'une voix posée, confirmant l'extinction de la menace, j'ai fermé les yeux comme un avant-goût de la dégustation de bières qu'on pouvait décemment se promettre au mess du groupe. Quel plaisir ! Quel kiff ! Tout s'était passé comme prévu et mieux encore, les pertes estimatives uniquement connues de la direction et de moi-même qui fut l'auteur de cette analyse étaient de deux appareils. Tous rentraient, aucune autre nouvelle ne comptait...

Vous savez je ne suis pas genre à se perdre en émotions, pas dans la cellule de commandement, mais seul je me suis surpris à sourire. Un sourire de satisfaction pour la place que chacun avait su tenir dans cette opération inédite et peut-être aussi téméraire à bien des égards. Chaque erreur aurait coûté la vie à mes camarades. Aucun des soldats de l'ombre au sein de la cellule de commanement ne rêve de gloire, uniquement d'efficacité. Cette mission terminée, nous en avions fait la preuve, nette et sans équivoque.

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1er juin 2017 - CONFIDENTIEL - L'opération Espada de Cristal souffle une ambition nouvelle pour l'aviation du groupe paramilitaire.

Le Jaguar Paltoterran, cet acteur jadis méconnu et pourtant très actif sur les théâtres de guerre, nourrit désormais une vision claire : muscler son aviation militaire, sur un plan qui soit quantitatif ou qualitatif. Une ambition claire et cohérente, inscrite dans la continuité des ambitions dernièrement affichées pour l'émergence de sa force navale. Jusqu'ici, la force aérienne du Jaguar Paltoterran reposait sur des avions d'attaque au sol de type C-B100 et des avions de chasse kah-tanais de type GRS-2002, autant d'appareils vieillissants, qui obligent les pilotes à l'audace et la démonstration de tactiques exacerbées, pour aller frapper des éléments hostiles en mission. L'affrontement opposant les C-B100 du Jaguar Paltoterran à la frégate westalienne est possiblement l'un des exemples les plus probants en matière de stratégie militaire où des éléments aériens désuets réussissent à prendre l'ascendance sur un navire moderne et spécialisé en défense antiaérienne.

L'enjeu n'est alors de chercher les parades à ce déséquilibre technologiques mais de faire l'acquisition de nouveaux appareils pour le palier définitivement et l'intégrer pleinement à la stratégie en opération. Un fait rendu possible par la réussite de l'opération Espada de Cristal où sept avions d'attaque au sol de modèle C-B100 se sont mesurés avec réussite, grâce à l'expérience de leurs pilotes au monstre marin westalien qu'était une frégate ultramodernisée de conception wanmirienne. Une volonté d'aller de l'avant qui, si elle ne signifie pas la destruction ou la mise au rebut du C-B100 vieillissant, entend faire l'acquisition d'escadrilles complémentaires pour le surclasser et sécurisation davantage encore les missions de ce type à venir. L'opération Espada de Cristal a fait l'effet d'un véritable électrochoc pour la direction du Jaguar Paltoterran car elle a pris une assez juste mesure du potentiel de l'aviation sur des actions de type "hit and run" y compris face à des cibles maritimes et militaires, réputées inscrites dans la neutralisation des menaces aériennes.

La réussite de l'opération Espada de Cristal est par conséquent davantage la démosntration d'un savoir-faire individuel, établi par des pilotes recrutés aux quatre horizons qu'un étalage des moyens matériels du Jaguar Paltoterran. Et en l'absence de brio des pilotes, il eut à parier que des pertes seraient intervenues et que l'analyse donnée aux appareils aurait pu légitimement incriminer le Jaguar Paltoterran, chose qui à ce jour, n'est fondé sur aucun élément matériel tangible. L'état-major du groupe paramilitaire, compilant les succès et les axes d'amélioration permis à la mission, est par conséquent contraint à la lecture d'un constat connu e chacun. Une victoire spectaculaire, une absence de perte inespérée et des retombées financières pour l'opération Espada de Cristal qui méritent un investissement durable dans les moyens alloués pour maintenir la notoriété développée par la société militaire privée, leader en devenir du marché pour la sécurité privée.

Les failles techniques de l'opération, essentiellement concentrées autour des performances du Calamity Bird 100 sont aujourd'hui des barrières que la direction entend lever. Les pilotes avaient le poids de la réussite sur leurs épaules et leurs appareils, le poids de décennies technologiques obsolètes. Des carters de moteurs grinçant, des écarts de pression, un fuselage en souffrance lors de manoeuvres serrées, les opérations étaient contraintes à des limites nées de l'appareil et le pilote était chargé de les repousser. Une situation dommageable aux affaires qui appelait une série de mesures correctrices, en premier lieu portée sur l'acquisition de nouveaux appareils, pour que plus jamais le talent des pilotes n'ait à compenser l'obsolescence d'appareils. Un projet de transformation de l'aviation du groupe, chiffré à trente-huit millions de pesetas alguarenas (soit 38 000 unités monétaires internationales).

Une ambition claire, chiffrée et rationnalisée autour d'une feuille de route, actant l'acquisition :
  • d'un avion radar de type AWACS (niveau 2) pour 13 750 unités monétaires internationales, pour pouvoir tenir des fenêtres d'opportunité par une capacité de surveillance à longue portée accrue,
  • cinq chasseurs-bombardier (niveau 5) pour 6 250 unités monétaires internationales, des avions ainsi capables d'adopter plus de polyvalence pour es engagements multidimensionnels, c'est-à-dire des duels aériens mêlés à des frappes de zone,
  • deux avions-ravitailleurs (niveau 7) pour 1 850 unités monétaires internationales, pour pouvoir développer les capacités de projection du groupe et ainsi satisfaire aux attentes d'un nouveau panel de clients ou encore de saisir de nouvelles opportunités de frappes contre nos cibles en situation d'isolement et e vulnérabilité éloignées,
  • trois bombardiers stratégiques (niveau 2) pour 4 875 unités monétaires internationales et pour pouvoir opérer des frappes en profondeur sur un théâtre d'opération en cours avant le déploiement effectif d'unités au sol, celles-ci ne pouvant être dans les mêmes proportions que celles relevant d'une armée nationale,
  • six avions de chasse (niveau 6) pour 7500 unités monétaires internationales pour l'affirmation d'une suprématie aérienne lors de missions limitées ou des opérations d'escorte autour d'aéronefs plus stratégiques et onéreux,
  • six drones de reconnaissance (2 niveau 2, 4 niveau 4) pour 2 600 unités monétaires internationales visant à développer les activités de reconnaissance et d'espionnage au profit d'un état tiers, ou bien établir les cartographies informationnelles nécessaires à la tenu d'opérations approfondies.

Des estimations budgétaires alignées sur l'offre d'armement alguarena et ayant rencontré la validation des généraux et cadres dirigeants affiliés la direction du Jaguar Paltoterran. L'enjeu est ainsi de mettre fin au panachage d'appareils obsolètes, pour reconstruire des escadrilles opérationnelles et polyvalentes faisant office d'armada aérienne qui permette l'existence du groupe dans les opérations aériennes. Dans les couloirs du siège social basé à Santialche, la notoriété nouvelle du groupe propulsée par les accusations du gouvernement westalien au lendemain de la mission Espada de Cristal, amène son lot d'espérances pour le développement du marché et le décrochage de nouveaux contrats futurs.
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IDENTITE ET DONNES ADMINISTRATIVES

Nom de code : Toutatis
Prénom et nom : Kendall Gallagher
Fonction : Collecte du renseignement / interrogatoire / contre-espionnage
Profil : BRAVO
Nationalité : Nord-achosienne / velsnienne
Grade : Teniente / Lieutenant
Date de naissance : 12 novembre 1959
Langues parlées : Gallois (langue maternelle Achosie), dialecte italien technique (velsnien), français et anglais techniques, notions de gaëlique et espagnol,
Statut : Actif / Opérationnel

ORIGINE ET ENTREE AU JAGUAR PALTOTERRAN

Kendall Gallagher est né à Camthune, un petit village de deux cents habitants dans l'arrondissement de Conningsby en Achosie du Nord (sous administration velsnienne). Marqué par la précarité et les instabilités chroniques d'une région marquée par la guerre Velsno-achosienne, il s'est par conséquent endurci au sein d'une scène politique aussi complexe que mouvante. Englué dans ses quartiers modestes par la venue d'un enfant très tôt dans son ménage, le vingtenaire qu'il était à cette époque se fait embrigader malgré lui au sein d'un réseau terroriste chargé de commettre es attentes et des assassinats pour revendiquer l'indépendance de l'Achosie du Nord, territoire historiquement et culturellement rattaché à l'Achosie mais annexé par les autorités velsniennes au terme d'affrontement multicentenaires.

Un engagement partisan, qui l'oblige à s'initier aux opérations d'observation et de collecte du renseignement, en adoptant notamment une couverture auprès des autorités velsniennes, qu'il entend espionner pour le compte de sa cellule indépendantiste. Une expérience qui l'amènera à s'aguerrir dans l'analyse et la compréhension de qu'on pourrait appeler les "dynamiques humaines". Une "expérience" aussi illicite soit-elle, qui lui permet de canaliser un tempérament créateur et duplice. Mais à la marge de la résistance contre l'occupant velsnien, Kendall Gallagher est aussi engagé par sa cellule sur des actions de contre-renseignement et interrogatoire, pour s'asseoir la loyauté (ou la trahison) de partisans libérés après être tombés entre les mains des autorités velsniennes. Des tâches secondaires qui, outre la collecte d'information par infiltration, l'amènent à expérimenter des actes de torture et de manipulations psychologiques lors de missions requérant de la patience et une certaine discrétion.

En infiltration auprès des autorités velsniennes, le jour où une descente des unités antiterroristes velsniennes vient démanteler sa cellule de partisans, il en ressort comme l'unique rescapé. Craignant d'être déjà démasqué ou incessamment sous peu auprès des autorités velsniennes, il quittera l'Achosie du Nord dans les années 2010, pour arriver au Pontarbello où la junte militaire au pouvoir a déjà requis certains de ses services de tortionnaire pour briser certains intellectuels et opposants démocrates du pays. Justifiant 'un certain "succès", il est ensuite engagé par le Jaguar Paltoterran après avoir partagé certaines missions "d'extraction d'informations" concluantes, partagées entre le Jaguar Paltoterran et lui, tous les deux mandatés par le pouvoir sapateiriste en place à Santialche.

EVALUATION

Le lieutenant Gallagher a su se distinguer par la démonstration d'actes ingénieux et pragmatiques aidant à la collecte d'informations sensibles auprès de nos cibles. Sujet à la violence maîtrisée et calculée, qu'elle soit d'ordre physique ou psychologique, il est fréquemment positionner sur l'interrogatoire de prisonniers, se distinguant allégrement d'un bon nombre des autres membres du Jaguar Noir, positionnés sur des affrontements au front, plus conventionnels. C'est quelqu'un qui sait allier méthode et préparation, pour maintenir en vie une victime qu'il est amené à devoir "déconstruire", aux sens et figuré. Une entrée en matière concluante qui nous a fortement invité à investir des formations avancées, tournées la logique, la détection des incohérences de récits, l'exploitation des signaux verbaux et non verbaux. L'intérêt n'est alors plus de collecter des informations mais d'en saisir la bonne, la véritable, et ainsi faire e la torture un levier qualitatif de la collecte d'information.

Aussi, pour ce qui a trait à sa capacité à détecter les incohérences pouvant naître d'un récit arraché après plusieurs jours de torture, au repérage donnés autour des signaux non verbaux et verbaux, en fait un spécialiste redouté. Dans les opérations de terrain, il excelle à monter des cellules de filtrage, à trier l’information brute et à isoler les éléments exploitables avec une efficacité réelle pour ne pas dire redoutable.

"Toutatis est un agent de l'ombre très apprécié du commandement pour sa capacité à extraire et qualifier la pertinence d'une information. Il est le point de départ ou d'arrivée d'un certain nombre d'opérations clandestines, notamment par sa capacité à confirmer ou disqualifier des contacts locaux, ou encore sa capacité à tirer les informations nécessaires à la confirmation ou hypothétiquement l'abandon d'un projet de mission."
Général brigadier Eli Bryggman, responsable du renseignement et du contre-renseignement.


QUALIFICATIONS

  • Expertise en psychologie et relations sociales.
  • Connaissances avancées en morphologie et sciences du corps humain.
  • Maitrise de techniques avancées en interrogatoire psychologique.
  • Expertise en collecte d’informations sur théâtre hostile, par l'infiltration sous couverture.
  • Maîtrise des phases de procédures dédiées au contre-espionnage : détection de fuites, tests de fiabilité des informateurs, auditeur interne de probité.
  • Formation interne aux enjeux compliance.
  • Connaissance approfondie des méthodes de désinformation, de manipulation et de guerre psychologique.
  • Compétences en communication sécurisée.

PRINCIPAUX ENGAGEMENTS

  • Attaque sous-faux drapeaux de la Fédération des duchés de Vinheimur et exécutions mises en scène de prisonniers kah-tanais : Partie 1, Partie 2.
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IDENTITE ET DONNES ADMINISTRATIVES

Nom de code : Condoro
Prénom et nom : Alejandro Paredes Guzmán
Fonction : Opérateur de drones tactiques
Profil : BRAVO
Nationalité : Alguarena
Grade : Militar auxiliar / Soldat du rang
Date de naissance : 30 janvier 1982
Langues parlées : Espagnol (langue maternelle) anglais et français opérationnels, avec des notions de portugais.
Statut : Actif / Opérationnel

ORIGINE ET ENTREE AU JAGUAR PALTOTERRAN

Alejandro Paredes Guzmán nous arrive de Guatanagua, chef lieu de la région du Bapó. Elevé au sein d'une famille modeste, d'un père ouvrier du bâtiment et d'une mère ouvrière en industrie textile, le garçon qu'il fut a toujours regardé les nouvelles technologies d'un oeil curieux, longtemps hors atteinte financièrement. Toutefois, à la faveur d'un anniversaire, ce dernier s'est vu offrir son premier drone "terrestre" à l'âge de seize ans avec lequel il ne s'amusera pas très longtemps puisqu'il développera des combines pour se faire de l'argent en vue d'en acquérir de nouveau. C'est ainsi qu'il démarra comme livreur à domicile "en distanciel" avant de pouvoir acquérir d'autres modèles au gré des courses accomplies.

Plus tard, comprenez par là, plus grand, il fera carrière dans le contrôle réglementaire par vue aérienne au moyen d'une flotte de drones civils avancés. Oeuvrant sur les docks de la région industrielle du Bapó où il est chargé de contrôlé la conformité des grues portuaires, il est tenté par l'aventure proposé par le Jaguar Paltoterran, en qualité d'opérateur de drones tactiques en situation de combat. Une aventure nouvelle, motivée par le chèque mensuel dévolu, qui l'oblige à performer au travers d'entrainements physiques lui permettant de franchir les tests à l'admission.

Une compétence attendue par le Jaguar Paltoterran, en lutte contre le Pavillon de l'Albastre le long des côtes sud-aleuciennes et qui emploie des opérateurs de drones pour inspecter les ponts des navires avant la montée à bord d'une escouade d'intervention, lorsque ces opérateurs n'interviennent pas directement dans la détection et la localisation des planques associées à ces pirates. Des réussites prometteuses, qui le confortent aujourd'hui dans le mercenariat accompli auprès du Jaguar Paltoterran.

EVALUATION

Le concours d'Alejandro et la maitrise technique de ses appareils dont il assure des maintenances opérationnelles express, sont des éléments notables donnés à la pérennité de la mission. Intégré aux missions de reconnaissance ou de combat, il a dernièrement autorisé à opérer des modifications fort à propos sur certains appareils lui étant maintenant dévolus. Il est reconnu dans son rôle d'opérateur et support opérationnel, indiscutablement.

"Condoro se fait nos yeux dans le ciel, il anticipe les mouvements ennemis et je peux raisonnablement affirmer même pouvoir en attester factuellement, que pas mal de gars lui doivent la vie lorsqu'il est investi sur une phase préparatoire à l'assaut..."
Adjudant Horacio Méndez Solari, analyste terrain et opérateur en imagerie tactique et stratégique.


QUALIFICATIONS

  • Brevet de pilotage de drones tactiques, terrestres et aériens.
  • Expertise en maintenance de drones de premier et second niveau.
  • Connaissances en marquage de cibles en phase préparatoire à une frappe d'artillerie et/ou aérienne.
  • Maîtrise des transmissions cryptées.

PRINCIPAUX ENGAGEMENTS

  • Opération de surveillance côtière et inspections aériennes d'embarcations suspctées d'appartenir au Pavillon de l'Albastre.
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