14/06/2013
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[ACTUALITES] Faits marquants du groupe paramilitaire.

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Siège social du Jaguar Paltoterran
Siège social de la Brigade Paramilitaire du Jaguar Paltoterran, inauguré le 8 mars 2009 en périphérie de Santialche, au Pontarbello.


Ce registre a vocation à dresser une compilation non exhaustive, des faits du groupe, tant sur son territoire de rattachement qu'à l'étranger. L'information qui s'y trouve n'a pas toujours une visibilité publique, merci de me contacter pour interpréter le caractère notoirement connu ou non, des informations publiées ici.
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4 mars 2009 - Un siège social pour la Brigade du Jaguar Paltoterran?


Unité motorisée blindée de la Brigade du Jaguar Paltoterran
Soucieuse de trouver un marché de la sécurité porteur, la Brigade paramilitaire du Jaguar Paltoterran souhaite ouvrir son siège social, et manifestement au Pontarbello, dans sa capitale à Santialche.


Avoir un siège social, une nécessité? Le comité d’administration de la Brigade du Jaguar Paltoterran pense désormais que oui. Proximité avec le grand public, développement de la notoriété internationale, visibilité au sein de l’espace public, les arguments plaidant en faveur de l’installation d’un siège social sont nombreux et ont su convaincre le comité exécutif du groupe d’agir dans ce sens.

Le siège social d’une précédente société, laissé à l’abandon après les heurts qui ont opposé indépendantistes et coloniaux, pourrait être dans la ligne de mire des investisseurs affiliés à cette société militaire privée, qui jouit déjà d’une certaine notoriété après sa participation active contre l'Empire listonien et les brigades solaires kah-tanaises, une autre entité militaire privée, opposée au Pontarbello et dont l’invasion dans le nord du pays a pu être repoussée grâce au concours de ces combattants apatrides.

Mais le Pontarbello est-il le candidat idéal à l’installation d’un siège social pour la société militaire privée? Le doute est permis et pour lever ces doutes, il nous appartient de centraliser l’ensemble des éléments susceptibles de nourrir un cahier des charges, autour de l’installation d’un siège social d’une grande société militaire privée.

Quel pays pour accueillir le siège social de la Brigade du Jaguar Paltoterran?

  • Un pays historiquement lié au groupe, afin de permettre une marque employeur et commerciale forte pour l’empreinte exercée sur place.

  • Un pays où l’opinion publique demeure favorable aux activités de la société militaire privée, afin de pouvoir notamment entamer des recrutements continus parmi les populations civiles et souscrire à des contrats de prestations en sécurité, au titre des appels d'offres publics.

  • Un pays où l’autorité étatique a besoin d’un appui durable de contractors et de paramilitaires, de sorte à constituer un levier de pouvoir certain et d’entretenir des actions d’influence dans le développement de la législation sur place.

  • Un pays dont la localisation géographique offre un point d’ouverture vers l‘international, dans le but de faciliter la projection des moyens humains et matériels, sur les différents théâtres d’opérations mondiaux.

Le Pontarbello, un candidat idéal?

  • Par son implication directe dans l’affrontement des forces impériales listoniennes puis des brigades solaires kah-tanaises, la Brigade du Jaguar Paltoterran a activement contribué à la formation politique de l’actuel Pontarbello. Il n’y aurait donc à ce titre, pas un seul livre d’histoire qui ne puisse mentionner la naissance et l’indépendance du Pontarbello, sans mentionner de pair avec elles, l’existence de la Brigade du Jaguar Paltoterran. S’implanter au Pontarbello, est donc pour la société militaire privée, le moyen le plus sûr d’entretenir un écho permanent des faits d’armes accomplis sur ce petit territoire pourtant mondialement connu. La Brigade du Jaguar Paltoterran, ainsi historiquement liée au Pontarbello, peut identifier dans ce dernier un point d’ancrage durable, pour son rayonnement commercial.

  • Contributrice à l’indépendance du Pontarbello, après s’être militairement engagée contre les forces impériales listoniennes et les brigades solaires kah-tanaises, la Brigade du Jaguar Paltoterran est l’entité politique, après le Pontarbello lui-même, qui a fourni l’effort le plus visible, le soutien le plus concret, dans l’émancipation du territoire. Il est plus que probable que si les forces paramilitaires de la Brigade du Jaguar Paltoterran avaient échoué dans leur entreprise amphibie et leurs manœuvres aéronavales, l’indépendance du Pontarbello n’aurait pu avoir lieu et constituerait encore dans l’esprit des citoyens de la péninsule, un non-évènement. Cette implication significative et victorieuse, assimile durablement les agissements du groupe mercenaire aux réussites politiques et militaires de la nouvelle république totalitaire, ce qui vient par conséquent nourrir la sympathie des nationalistes, indépendantistes, ou simplement anti-impériaux, à l’égard de ce rare soutien militaire actif durant la guerre d'indépendance..

  • Le Pontarbello, bien qu’il soit dirigé par une junte militaire, a la particularité d’être relativement fragile sur le plan sécuritaire, partageant ses moyens militaires et policiers entre la surveillance des menaces intérieures (et de la population en somme) et les menaces dites extérieures, exprimées par des nations étrangères telles que l’Empire listonien, le Grand Kah la Cobaricie ou encore le Syndikaali Pharois. Le recours à des sociétés militaires privées, aussi sympathisantes que la Brigade du Jaguar Paltoterran, constitue un impératif pour la gouvernance péninsulaire. Les hommes de la Brigade du Jaguar Paltoterran, ont en effet pour eux l’expérience des situations de combat ou simplement de crise en contexte insécuritaire, il est ainsi tout à fait normal que la société militaire privée et la gouvernance pontarbelloise nouent un partenariat privilégié, pour asseoir de façon permanente, l’autorité du Général Leopoldo Sapateiro dans la petite enclave d’Aleucie du Sud.

  • Une enclave pontarbelloise en Aleucie du Sud qui n’est pas anodine pour le groupe paramilitaire, puisque sa géographie elle-même constitue un avantage particulier dans l’exercice de ses activités. En effet, pour considérer ce point, il suffit de commencer par s’intéresser à Santialche, capitale du Pontarbello et point d’ancrage envisagé pour l’installation du siège de la société militaire privée. Située sur le littoral sud du détroit alguareno, Santialche vient permettre au groupe de s’offrir les moyens de projeter ses militaires par des moyens qui soient aussi bien aériens que maritimes. S’installer ainsi dans une grande ville côtière veut certes dire que le groupe pourra projeter une force expéditionnaire par voie maritime, mais aussi qu’il pourra lui-même entretenir des bâtiments maritimes, s’affranchir des compagnies maritimes ou des forces navales pontarbelloises, pour déployer à l’international diverses forces armées positionnées sous la bannière d’un régiment expéditionnaire. De plus, la présence du détroit alguareno à proximité est un gage de sécurité pour le transit des forces maritimes de la Brigade du Jaguar Paltoterran. Et pour eux, progresser dans un endroit sécurisé signifie qu’ils auront moins d’obligations à concentrer des moyens maritimes défensifs.

A travers ce développement, il est désormais permis d’identifier les nombreuses forces favorables à la décision portant installation du siège social de la Brigade du Jaguar Paltoterran, au sein de la péninsule pontarbelloise de la Sud-Aleucie.
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17 mars 2009 - Constitution de la première marine de guerre appartenant à une société militaire privée, acteurs privés et politiciens saluent une démarche "encourageante".


Ex-officier à la retraite Ilias Nogaro, réembauché par le Jaguar Paltoterran.
Des sous-marins et bâtiments de guerre pourraient être commercialisés à la Brigade du Jaguar Paltoterran.


La société militaire privée du Jaguar Paltoterran, pourrait être équipée de sous-marins de haute technologie, une technologie prise en main par d’anciens officiers de la marine fédéral.

Reconnue pour avoir oeuvré en faveur de la paix au Pontarbello, en défaisant les régiments des brigades solaires animés par des milliers de combattants, la Brigade du Jaguar Paltoterran est en état de grâce auprès de la Fédération d’Alguarena qui ne rechigne désormais plus à l’associer aux projets de sécurisation des voies commerciales internationales. Mais pour ce faire, encore faudrait-il que cette dernière dispose des moyens conséquents et adaptés à la manœuvre.

Des contractors, des “mercenaires” pour lutter contre la piraterie et le crime en haute mer, l’idée n’est pas nouvelle mais jouit aujourd’hui d’un certain élan, depuis l’installation d’un siège social du Jaguar Paltoterran, au Pontarbello. Devant l’émergence des voies commerciales maritimes imposées par la mondialisation, et l’enhardissement des pillards des mers, institutionnalisés autour de certains états-voyous, le caractère expéditif des réponses attendues par les armateurs et compagnies commerciales internationales trouve des oreilles attentives au sein de ces sociétés militaires privées où le Jaguar Paltoterran entend aujourd’hui se démarquer.

En effet, face à cette guerre larvée entre les compagnies commerciales et les compagnies de pirates, les sociétés militaires privées s’étaient jusqu’ici contentées d’embarquer des hommes armés et entraînés sur les cargos et les vraquiers, afin qu’en cas d’abordage ces derniers puissent riposter de manière létale et mettre ainsi hors d’état de nuire ou au meilleur cas, faire fuir, leurs assaillants aussi peu scrupuleux que courageux.

Mais devant la multiplication des voies commerciales et des flux associés, de nouveaux moyens se sont imposés pour permettre l’entretien d’une force de frappe conséquente, non plus destinée à amoindrir la nuisance des éléments de piraterie mais bel et bien l’éradiquer jusqu’à son dernier atome.

“C’est un phénomène assez nouveau effectivement, car jusqu’à présent, ce furent les guerres qui se soumettaient aux jeux du mercenariat et de la privatisation, et si des gardes de caravanes étaient présents autour des convois commerciaux médiévaux, jamais un emballement de l’arsenal militaire des sociétés militaires privées n’avait été envisagé. La piraterie a ouvert une brèche que le gouvernement fédéral alguareno peinera à refermer : les sociétés militaires, en tout cas le Jaguar Paltoterran, s’impose comme des acteurs crédibles de la sécurité mondiale, se payant ainsi le luxe de faire pression sur les administrations de certains pays, l’Alguarena en tête, de sorte à qu’ils délivrent les agréments administratifs nécessaires à la fourniture d’armements stratégiques et autres équipements lourds, les navires de guerre en tête…” confie le politologue Lucero Bordiglia.

La mercenarisation des activités de sécurité s’est souvent arrêtée aux combats terrestres, considérant l’importance des fonds à engager pour faire l’acquisition d’une escadrille ou d’une flotte de guerre. Si les politiciens alguarenos tombent d’accord sur la fourniture d’armements lourds à ces sociétés militaires privées, le verrou saute.
“C’est pas trop tôt” exulte les soutiens à l’ouverture du marché de l'armement à la faveur des sociétés militaires privées. Car de leur point de vue, le constat est alarmant, indiquant une professionnalisation et une modernisation des éléments de piraterie internationale.

Au Nazum, en Paltoterra, en Aleucie et en Eurysie, les marines de guerre participent bien à la prévention des risques imposés par les flibustiers, mais le regain de tensions entre certaines puissances fait craindre une démobilisation des forces navales étatiques, ouvrant la porte à l’installation durable des sociétés militaires privées, pour ce qui est de la protection des routes commerciales maritimes, à la condition une fois encore, que les politiciens prennent le sujet à bras-le-corps, en autorisant l’acquisition desdites flottes de guerre, à ces sociétés.
Des prestations de sécurité faites aux armateurs qui sont dès lors en voie de calibrage, au sein de la direction du Jaguar Paltoterran, désireux de toucher ce marché en plein boom.
Sous-marins, patrouilleurs et navires de débarquement, les projets d’acquisition ne manquent pas et le carnet de commande des industriels de l’armement, à commencer par les Industries Marbone, ne désemplit pas avant cinq ans. A ces acquisitions pourraient s’ajouter les reventes domaniales du gouvernement alguareno, qui travaille depuis plusieurs années déjà et ardemment, à la rénovation de sa flotte militaire, de sorte à la porter au goût du jour, avec l’ensemble des technologies alguarenas intégrées.

Encouragée par la Fédération d’Alguarena, la République d’Union Nationale du Pontarbello pourrait entretenir un vent favorable dans le sens du projet, elle qui a déjà autorisé l’installation d’un quartier-général du Jaguar paltoterran le long de sa côte, pour favoriser l’intégration de bâtiments maritimes au sein de son parc logistique.

Avec des coûts d’acquisition qui pourraient flirter avec le demi-milliard, le Jaguar Paltoterran investit gros, pour amorcer les prémices d’une flotte de guerre qui pourra se faire reconnaître à l’international. La direction est formelle, “c’est un investissement” et chacune des acquisitions espérées pour les années à venir, a vocation à permettre l’entrée du groupe au sein de ce marché jusqu’ici peu développé. Bien sûr l’entretien d’une flotte de guerre opposable à celle de la piraterie n’est pas l’unique moyen de lutte envisagé par la direction du Jaguar Paltoterran, il y a également le dépôt de balises et mouchards au sein des navires commerciaux, de sorte à ce que s’ils essuient une attaque en l’absence de patrouilles maritimes sur zone, une opération puisse se mettre en place sous 24h avec le succès escompté qui est celui d’une destruction nette et durable du repaire de la piraterie internationale.

Ainsi, avant même la mise à l’eau du premier bâtiment de guerre appartenant au Jaguar Paltoterran, ce dernier pouvait déjà se targuait de surveiller certains bateaux commerciaux pour, malgré la perte de leur marchandises, se voir l’opportunité de localiser les repaires de piraterie, pour annihiler de façon pérenne, la menace qu’ils exercent autour des activités commerciales.

A la contrainte matérielle et financière de savoir quelles quantités de navires pourront être acquis, s’ajoutent les questions relatives au pilotage desdits bâtiments. En effet, les sociétés militaires privées n’ayant jamais eu un pareil arsenal, il y a fort à parier qu’elles ne disposent pas à ce stade des compétences humaines permettant le pilotage des monstres de fer, élancés sur l’eau et parfois en dessous de celle-ci.

A ce problème la réponse semble toute trouvée pour le groupe de sécurité, avec le recrutement de plusieurs retraités de l’armée fédérale alguareno. Ilias Nogaro, un officier retraité de la marine fédérale alguarena, compte parmi les quelques premiers gars enrôlés de la marine. Un retour au travail grassement rémunéré, considérant la technicité et le savoir-faire de ces personnels d’exception.
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20 mars 2009 - La Brigade du Jaguar Paltoterran use des spots de recrutement de l’Armée Nationale du Pontarbello Libre, pour trouver ses combattants.


Hélicoptère léger polyvalent du Jaguar Paltoterran, sur le pont d'un navire de guerre alguareno.
Des décideurs de l’organisation mercenaire "le Jaguar Paltoterran" ont été aperçus effectuant des visites techniques sur plusieurs navires de guerre appartenant à la marine fédérale alguarena, dans le but de confirmer la pertinence d'une acquisition ou non de ces armements stratégiques.

Limitant le recrutement à quelques nationalités, la Brigade du Jaguar Paltoterran tente de donner vie à son projet de constitution d’une flotte de guerre, une première, inédite au sein des autres sociétés militaires privées. En effet, le Jaguar Paltoterran a officiellement lancé, le 18 mars dernier, sa campagne de recrutement, sous une approche plurielle, qui combine à la fois la tenue de stand présentiels sur le territoire pontarbellois, des spots télévisés mettant en scène la force mercenaire et des témoignages en ligne de personnes ayant rejoint l’organisation l’année dernière.

Ainsi, en matière d’opérations militaires et de campagnes promotionnelles, la Brigade du Jaguar Paltoterran est disposée à ne pas laisser de place au hasard. Tenue d’un spot diffusé à l’échelle nationale sur les ondes télévisées pontarbelloises, aménagement de centres de recrutement permanents et mobiles sur le territoire péninsulaire d’Aleucie du Sud, formations d’ambassadeurs de marque parmi les recrues formées l’année dernière, les moyens entourant l’offensive médiatique du Jaguar Paltoterran apparaissent plus colossaux qu’ils ne l’ont jamais été.

D’abord positionné sur la conduite d’opérations coups de poing, mobilisant un nombre réduit de moyens humains et matériels, le Jaguar Paltoterran a depuis peu construit sa notoriété à l’international, après la réalisation d’actions de débarquement sur la pointe sud de la péninsule pontarbelloise. Une réussite qui la positionne aujourd’hui sur des opportunités d’interventions jamais égalées. Mais des opérations nouvelles, comme des actions de débarquement, des manoeuvres aéroportées et des mouvements d’occupation en territoire hostile, sont particulièrement gourmandes en hommes et en matériels. Si la doctrine militaire des sociétés de mercenariat doit évoluer, il faut nécessairement que les moyens alloués pour ce faire évoluent également.

Aussi, selon les perspectives de recrutement envisagées pour les cinq années à venir, le groupe mercenaire du Jaguar paltoterran envisagerait de recruter pas moins de deux milles combattants par an. Un chiffre qui peut paraître anecdotique à l’échelle mondiale mais fournit pourtant une capacité opérationnelle jamais constatée chez cette société militaire privée.
Recruter entre mille-cinq-cents et deux-mille combattants par an, un pari ambitieux mais pour lequel la Brigade du Jaguar Paltoterran a déjà montré des signes de sa détermination, en fournissant les promesses de vente nécessaires à l’acquisition de plusieurs navires de guerre alguarenos.

“La direction du Jaguar Paltoterran a déjà formulé une promesse d’achat à l’encontre de plusieurs navires de guerre appartenant à la marine alguarena. Des réflexions et des tractations sont en cours pour déterminer la pertinence ou non d’une telle vente. Si la vente se concluait, le Jaguar Paltoterran n’aurait pas d’autres choix que de recruter plus de combattants, pour garantir les effectifs suffisants au maintien opérationnel de ces bâtiments militaires…” nous explique posément Filipe Figodareira, fonctionnaire et observateur à l’institut de défense pontarbelloise de Santialche. Opérationnels, administratifs, recruteurs, les débouchés ne manquent pour cette société militaire privée qui grandit désormais à vue d'œil.

Animés par l’exercice de fonctions responsabilisantes dans un contexte décomplexé par l‘affranchissement des conditions d’engagement habituelles suivies par les armées régulières, les combattants du Jaguar Paltoterran ont matière à se sentir l’étoffe d’une élite, d’un bataillon de choc là où les états rechignent à poser le pied. Un faire-valoir qui a son importance et contribue à négocier chèrement le salaire de ces têtes brûlées, comparativement à la solde habituellement perçue par un soldat. “La notoriété et l’aventure sans les emmerdes” nous résume sommairement Ugo Cilarasco, un officier du Jaguar Paltoterran en charge de recruter les potentielles bleusailles de son organisation parmi la jeunesse pontarbelloise.
Ici on est bien loin des clichés usuels propres aux spots des armées nationales, nulle mention d’égalité et de justice, les personnes qui frappent à sa porte veulent de l’argent facile, et l’opportunité de régulièrement quitter le pays, se risquant presque pour certains à franchir le pas de l’anonymat, disparaissant définitivement sur un plan administratif, dans le pays qui les a vu naître.

La jeunesse pontarbelloise avait la guerre d’indépendance pour porter ses idées, aujourd’hui, elle veut défendre ses intérêts et des perspectives financières dans un secteur d’activité en voie de développement. Réalisé par une agence publicitaire pontarbelloise, parallèlement positionnée sur les communications gouvernementales, le spot télévisée dédié à la campagne de recrutement des mercenaires du Jaguar Paltoterran est la première manifestation de ce type de l’organisation, pour capter davantage de combattants au sein du grand public. Viril et dynamique, ce spot vient surfer sur les ambitions de la jeunesse, une jeunesse encore tournée vers son introspection, et qui entend se découvrir à travers une expérience de mercenariat, en plus d’accumuler un certain pécule bien utile pour se lancer dans sa vie d’adulte au Pontarbello, sous réserve de souscrire et d’accomplir, les cinq années de service, formalisés de façon contractuelle et avec l’accord des autorités pontarbelloises elles-même, sanctionnant pénalement tous les manquements à celui-ci.

La gouvernance pontarbelloise a un intérêt à entretenir sur son territoire une force militaire d’expérience telle que la Jaguar Paltoterran, celle-ci a activement contribué à repousser les soudards des brigades solaires kah-tanaises lors de la guerre d’indépendance et soutient activement la résistance populaire en cas d’invasion, par la diminution drastique du nombre de citoyens morts au combat, la mort de combattants étrangers, fussent-ils mercenaires au service des intérêts pontarbellois, important peu.

Et pour rendre cette campagne de recrutement plus inclusive qu’elle ne l’a jamais été, les décideurs de la société militaire privée ont même fait appel à des recrues de leur organisation, pour établir une proximité entre celle-ci et le grand public, à grands renforts de témoignages et de retours d’expérience. Un atout charme qui compte, en affichant un visage et une certaine humanité à cette organisation longtemps dépeinte comme un repaire de criminels, hors-la-loi ou autres personnalités sans foi ni loi.
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31 mars 2009 - Un bâtiment de transport de troupes pour permettre la projection d’une force paramilitaire à l’internationale?


Transporteur de chalands alguareno, le Pomerico de classe Tenerio.
Avec l’acquisition d’un transporteur de chalands placé sous escorte, le Jaguar Paltoterran s’offrirait indubitablement les moyens de développer ses activités de mercenariat à l’étranger…

Après le succès militaire de l’opération amphibie pontarbelloise conduite sur les côtes de l’Aleucie du Sud, le commandement de la Brigade du Jaguar paltoterran reste convaincu de la nécessité d’investir au sein d’une force opérationnelle amphibie permanente. Les missions amphibies restaient compliquées de mise en oeuvre mais la réussite des premiers assauts de ce type, organisés de façon conjointe entre les forces de l’Armée Nationale du Pontarbello Libre et la Brigade du Jaguar Paltoterran, justifient à ce jour un investissement sur lequel la société militaire privée ne souhaite pas faire l’impasse.

“L’infanterie de marine a de beaux jours devant elle” s’entousiasmait un officier pontarbellois lors d’un échange verbal avec son correspondant au Jaguar Paltoterran, qui venait de lui assurer que le groupe allait développer sa force de frappe à l’étranger. Et heureusement que l’assaut conduit sur les côtes pontarbelloises s’était couronné d’un succès, pour permettre l’entrain des recrues dans ce corps d’arme peu enviable, qui consiste à voir le monde dans la cale d’un navire avec le risque de mourir sur une plage et désintégrés par des centaines de crabes la nuit tombé, si l’éclat d’obus qui aura eu votre peau ne vous a pas désintégré lui-même.

Même si le chantier que couvrent ces acquisitions semble faramineux, compte tenu de la nécessité d’entretenir en parallèle des bâtiments sous-marins pour porter des actions commandos en territoires hostiles, il demeure en tête de liste des projets d’achat par la société militaire privée, persuadée de pouvoir rentabiliser ces acquisitions par la conduite d’opérations clandestines au profit de nations étrangères généreuses et peu scrupuleuses pour se priver de recourir à cette main d'oeuvre d’élite.

Dès lors, l’achat d’un transporteur de chalands auprès des industriels alguarenos, estimé à cinq cent millions de pesetas alguarenas, est un combat quotidien pour l’identification de petites économies. Alors, bien entendu, les cinq cent millions de pesetas alguarenas évoqués correspondent au prix du marché neuf, mais compte tenu des disponibilités financières du groupe paramilitaire, il est à parier que des tractations seront menées pour identifier un bâtiment d’occasion, à la portée des finances de cette société qui, malgré sa notoriété construite par la baïonnette sur les plages pontarbelloises, n’a pas encore trouvé l’esquisse de la fortune espérée.

Mais en se positionnant comme un interlocuteur sécurité de référence au Pontarbello, s'immisçant de ce fait sur l’ensemble des appels d’offres publics portant recours à des prestataires privées de sécurité, le Jaguar Paltoterran s’assure des revenus réguliers, par la contractualisation de plusieurs prestations établies, au bénéfice des autorités pontarbelloises.
Une stabilité financière récente qui tend à relancer les démarchages autour de l’acquisition d’une flotte militaire de renom, par le biais d’un fournisseur tout désigné et peu regardant en ce qui concerne la fourniture d’armements au Jaguar Paltoterran : la Fédération d’Alguarena.

Foyer de la science et des hautes technologies, la Fédération d’Alguarena vient en effet multiplier les prototypages de bâtiments maritimes, faisant de ses navires, à commencer par sa force sous-marine et celle garde-côtière, les plus puissantes au monde. La puissance de feu entretenue par ses vedettes rapides, embarquant des lances-missiles antinavires parmi leurs armements principaux, avait fait la différence lors de combats à priori inégaux, à l'instar de l’affrontement naval opposant plusieurs vedettes du Jaguar paltoterran de classe Memphis et un patrouilleur listonien chargé de bloquer l’accès aux cotes de ce qui deviendrait aujourd’hui, le Pontarbello…

La doctrine militaire du Jaguar paltoterran a donc vocation à se maintenir sous ce concept, en privilégiant de petites embarcations rapides et légères, transportables à bord de bâtiments projetables en OPEX qui en cas d’engagement avec une flotte ennemie, se destine à être déployées sous forme d’essaim, pour submerger des bâtiments plus gros, avec une meilleure puissance de feu, mais un nombre de canons plus limités, là où chaque vedette du groupe paramilitaire lui opposerait l’usage de lance-missiles antinavires, avec malgré tout le support de quelques sous-marins pour l’escorte ou la poursuite d'opérations commandos.

Qu’il soit question de projections en territoires ennemis, d’opérations amphibies ou de lutte antinavires, le transporteur de chalands (et de vedettes lance-missiles antinavires!) a son rôle à jouer partout où le Jaguar paltoterran a vocation à faire usage de sa flotte de guerre. Si l’acquisition d’un bâtiment neuf reste chimérique pour les comptables et autres financiers de l'organisation paramilitaire, la récupération du transporteur de chalands déjà en service au sein des forces navales de la marine fédérale alguarena est une option tentante et réaliste.
Capable de produire des transporteurs de chalands haute capacité, parmi les plus modernes au monde, la Fédération d’Alguarena est en effet bien en peine, pour entretenir simultanément ses bâtiments les plus anciens et ceux dont elle projette la construction prochaine. Une situation qui fait naître les bonnes affaires, lorsqu’on s’attarde sur le cas du Pomerico, le transporteur de chalands de classe Tenerio actuellement en service dans la marine fédérale alguarena. Dans ces circonstances et la Fédération alguarena ayant pour ambition d’en acquérir un plus sophistiqué, les acheteurs du Jaguar Paltoterran ont fait du rachat de ce bâtiment, un théâtre principal des négociations à venir avec la Fédération d’Alguarena.

Véritable épine dorsale d’une marine expéditionnaire, le transporteur de chalands viendrait garantir la capacité du Jaguar Paltoterran à s’immiscer au sein des différents théâtres d’opération envisageables à l’international. Une capacité de projection appréciable pour lancer à bras le corps l’activité de mercenariat pour ce groupe à la notoriété croissante.
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1er mai 2010 - CONFIDENTIEL - Le gouvernement fédéral alguareno, consent à la revente du transporteur de chalands "Pomerico" de classe Tenerio, à la flotte paramilitaire du Jaguar paltoterran.


Transporteur de chalands alguareno, le Pomerico de classe Tenerio.
La flotte paramilitaire du Jaguar paltoterran, va racheter ce transporteur de chalands actuellement en dotation au sein de la marine fédérale, tandis que l'état-major alguareno s'attachera à le remplacer par un bâtiment hautement modernisé.


Considérant la menace croissante à l’international, l’état-major alguareno et la présidence fédérale consentent à la revente d’un transporteur de chalands obsolète aux forces paramilitaires du Jaguar Paltoterran, un bâtiment largement sollicité par la société militaire privée, qui n'avait jusqu'ici pas trouvé l'écho escompté auprès des institutions officielles du pays. Cette transaction commerciale constituerait une fois effective, une opportunité réelle pour le groupe paramilitaire, peinant toujours à entretenir une capacité de projection internationale d'ampleur... Certains au sein de l'état-major fédéral alguareno le disent obsolète, à raison. Mais force est aujourd'hui de constater, qu'en dépit des avancées technologiques considérables sur le secteur maritime, le transporteur de chalands "Pomerico" de la classe Tenerio, reste un autobus maritime appréciable dans son rôle ! Une démonstration de son utilité encore présente puisqu'il est actuellement déployé en mer d'Afarée du Nord, pour soutenir des opérations terrestres contre le régime sanguinaire et dictatorial de Baldassare Calabraise.

"La marine paramilitaire du Jaguar paltoterran pourra prioritairement émettre les propositions de rachat autour du Pomerico" avait formulé en ces mots le général d'armée et chef de l'état-major fédéral alguareno, Caïtano Lossada. Néanmoins, aucun calendrier n'a pu être confirmé car l'opération commerciale se subordonne aujourd'hui à d'autres opérations, militaires cette fois, à commencer par celle en cours au Kronos et sur laquelle le transporteur de chalands le Pomerico, est clairement investi.

Une fois l'opération militaire en cours au Kronos terminée, le Pomerico pourra donc être raisonnablement vendu aux forces paramilitaires du Jaguar paltoterran, à cela s'ajoute aussi le fait que la marine fédérale d'Alguarena ne pouvant restée sans transporteur de chalands, elle ne cédera celui-ci qu'à la condition d'avoir sorti des chantiers navals de l'archipel, un nouveau bâtiment plus modernisé encore. C'est donc sous ces conditions, que l'état-major fédéral a pu confirmer la vente sans toutefois en dater l’exécution. En interne, au sein de la Direction du Jaguar Paltoterran, l'heure est à la fête et aux réjouissances, après des mois de supplication pour faire l'acquisition d'un bâtiment d'exception au sein d'une marine nationale.

"On va arrêter d'utiliser le conditionnel..." jubile Tecolotl Cambeiro, le commandant de la force opérationnelle. Un enthousiasme qui gage de l'intérêt renouvelé de l’organisation pour cette acquisition "comme il n'en arrive qu'une fois par décennie..." tenait encore à préciser le commandant, à ses officiers subalternes intégrés au projet d'acquisition.

L'absence de conditionnel dans le ton du commandement du Jaguar paltoterran, n'enlève rien aux conditions précédemment citées et l'acquisition du bâtiment, se fera dès lors sous réserve qu'il puisse rentrer sans dommages sévères de son opération extérieure, tout en veillant à ce que la marine fédérale alguarena ait pu faire l'acquisition d'un nouveau bâtiment sur ces missions amphibies, déjà expérimentées de manière croissante sur la décennie écoulée. On sait le navire encore engagé sur un théâtre opérationnel, cela impliquera nécessairement une période maintenance en sortie de mission. Un temps nécessaire au reconditionnement du bâtiment et à sa revente vers le Jaguar Paltoterran, avec la promesse d'une acquisition sans avarie pour ce dernier.

Le transporteur de chalands "Pomerico" sera, quoiqu'il advienne, remplacé à date en 2011, il importe donc aujourd'hui aux autorités fédérales alguarenas, de simplement négocier les conditions de son retrait. Un retrait pour casse étant fortement fortement dommageable, considérant le niveau de maîtrise des productions navales par les pays étrangers, qui gardent en dotation des navires du même acabit pour leurs opérations maritimes, il était tout à fait opportun de considérer l'intérêt de la société militaire privée du Jaguar paltoterran, parmi les potentiels futurs acquéreurs du bâtiment. Son sort aujourd'hui précisé, le bâtiment chargé d'emmener un peu de l'Alguarena avec soi, fera prochainement son office de transporteur sous un autre étendard.

Un mystère qui en tout cas au sein de l'état-major alguareno, n'existe plus, tandis que du côté du Jaguar paltoterran, on loue une première et une réelle capacité de projection, conscients que les deux uniques chalands du groupe paramilitaire, limitaient les opérations amphibies à des théâtres de proximité, comme notamment la traversée du détroit alguareno pour permettre le débarquement de la force amphibie engagée sur la décolonisation de la péninsule sous étendard impérial listonien. Un apport substantiel donc, pour modifier la doctrine militaire du Jaguar paltoterran, désireux de trouver les opportunités pour un engagement sur des théâtres d'opération plus lointains.
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3 juillet 2010 - CONFIDENTIEL - L’ancien général du groupe d’autodéfense heenylthain, renonce à sa pension militaire et sa réserve pour intégrer le Jaguar Paltoterran.


Le Général-brigadier Eli Bryggman, prenant l'avion pour la péninsule pontarbelloise.
Traversant le détroit de Malmana, le Général-brigadier s’est fait une recrue de choix pour l’état-major de la Brigade paramilitaire du Jaguar paltoterran.


Un ancien général de la force d’autodéfense heenylthaine a rejoint les forces paramilitaires du Jaguar Paltoterran, sous le grade de général-brigadier. Après des semaines de tractations, une signature du Général-brigadier Eli Bryggman met définitivement fin au suspense qui s’alimentait autour d’une possible coopération entre la Brigade du Jaguar Paltoterran et lui. Retraité de l’arme, après avoir servi à la tête du groupement d’autodéfense heenylthain, l’homme était resté à “portée” des institutions heenylthaines en qualité de général de réserve. Mais force est aujourd’hui de constater qu’après avoir cédé sa place au Général d'Armée Brett Cummings, rien ne semble amener le vétéran à reprendre du service.

A cela s’ajoute aussi le fait que le gouvernement heenylthain mais derrière lui, également tous les gouvernements fédérés que sont l’Arcoa et les Encolanas, misent dorénavant davantage sur une armée professionnelle et fédéralisée. Autant d’éléments qui rendent aujourd’hui secondaires voire anecdotiques, les recours au groupement d’autodéfense heenylthain et plus encore, sa réserve opérationnelle dont faisait partie le Général.

Ayant servi fidèlement son pays pendant de nombreuses années (de paix), les restrictions aujourd’hui faites aux groupuscules armés locaux, qui sont réintégrés au sein d’une unique armée fédérale, amènent l’homme a trouvé son lot d’adrénaline ailleurs. Mondialement connue après avoir mis en déroute les brigades solaires kah-tanaises lors de l’invasion du Pontarbello, la Brigade du Jaguar Paltoterran est une société paramilitaire de renom sur la scène internationale, à laquelle le Général-brigadier Eli Bryggman peut décemment s’associer, voire s’y forger de nouvelles réussites en conditions opérationnelles. Le choix entamé du parlement heenylthain de dissoudre les milices locales pour les réintégrer au sein de l’armée fédérale aurait dû être une opportunité pour le Général Eli Bryggman, cependant il semblerait que celui-ci n’ait pas trouvé le soutien escompté de la part des généraux et politiciens chargés de recomposer l'état-major de l’armée fédérale.

Après la dissolution de ce groupe d’autodéfense et son incapacité à briguer une place au sein du nouvel état-major central, les orientations de carrière voulues par Eli Bryggman se sont naturellement portées sur les sociétés paramilitaires qui jouissent d’une certaine connivence avec les forces armées fédérals d’Alguarena, de sorte à ne pas se retrouver en confrontation directe avec des généraux et officiers supérieurs, des amis en somme, qu’il aurait pu côtoyer pendant plusieurs décennies… Ses déboires au sein de l’armée régulière lui ôtèrent le peu de scrupules qui lui interdisaient de rejoindre instamment, bien qu’il ait pu connaître quelques missions de consultant auprès des forces armées fédérales d’Alguarena, lors de la guerre civile varanyenne.

L’oisiveté de cet homme d’expérience, a donc vocation à prendre fin auprès de la Brigade paramilitaire du Jaguar Paltoterran, bien que la Direction du groupe ait reconnu la réticence initiale de ce dernier, à la proposition d’embauche faite. Le psychologue chargé de dérouler le test de personnalité lors de la phase de recrutement, a déclaré pour un comité restreint en charge de la direction “que le Général-brigadier Eli Bryggman n’aurait quoiqu’il arrive pas de matière à refuser la proposition, considérant l’opportunité qui lui est faite de recouvrir sa gloire passée et d’aller quérir le respect de ses pairs…” Une fois qu’il sera officiellement intégré et investi dans ses fonctions, soit le 15 juillet prochain, le Général-brigadier Eli Bryggman connaîtra très vite les opportunités de mission qui mettront à l'épreuve sa valeur professionnelle, dans un contexte de tension croissant sur la scène internationale et dont le climat de guerre froide appelle à des actions armées indirectes, entre les belligérants.
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15 septembre 2010 - CONFIDENTIEL - Les mercenaires du Jaguar Paltoterran, mandatés par la Fédération d’Alguarena afin d’offrir leur aide dans la formation et la structuration des armées alliées.

Insigne de la Brigade expéditionnaire des Tigres d'Orient.
Considérant l’impact d’une armée alliée structurée sur le devenir d’un conflit, la Fédération d’Alguarena sous-traite la formation d’alliés et le conseil militaire, par l’emploi d’une société paramilitaire de renom pour structurer ce qui est aujourd'hui, la première Brigade expéditionnaire jashurienne, des tigres d'Orient.


Constitution d’un ORBAT, définition quantitative et qualitative des moyens humains et matériels dédiés à l’unité militaire, la société paramilitaire du Jaguar Paltoterran semble depuis quelques temps très investie sur le sujet de l’optimisation des ressources militaires inscrites au sein de la coopération internationale associée à la défense des valeurs portées par l'Organisation des Nations Commerçantes. Un projet à l’objectif double pour la société militaire privée, par la démonstration factuelle du support qu’elle est en mesure de fournir dans le conseil militaire et l’installation durable de sa notoriété grâce à son concours offert aux principales armées du monde, à l’instar de la Troisième République du Jashuria. “A ce stade, nous ne le cachons pas, très peu de nations requièrent le service des sociétés militaires privées. Dans ces conditions, celles-ci à l’instar du Jaguar Paltoterran, doivent réfléchir à offrir d’autres services, et le conseil militaire visant la structuration des armées alliées, s’inscrit clairement dans ce sens” a confié le numéro deux de l'organisation, Arturo del Pozo.

Discrète depuis la guerre d’indépendance du Pontarbello, où elle avait fourni un support décisif aux forces de l’Armée Nationale du Pontarbello Libre, dirigée par le Général Leopoldo Sapateiro, la société militaire privée du Jaguar Paltoterran s’est aujourd’hui offerte une nouvelle notoriété, par sa participation active, au sein du processus d'efficience des armées d’états membres de l’Organisation des Nations Commerçantes.

“L’ère des mercenaires n’est pas encore arrivée, les puissances militaires de ce monde ont encore la volonté de se battre, dans leur forme la plus totale. Si le mercenariat veut tenir le cap, le temps qu’une opinion publique défavorable incite les états à les solliciter, il doit adapter son offre à ces états, en proposant du conseil militaire, en étant présent sans se substituer à l’armée nationale…” explique encore l’officier général inscrit au sommet de l’organisation. Qu’il soit question d’actions directes ou indirectes, le Jaguar Paltoterran ne semble pas avoir dit son dernier, et souhaite rénover sa relation commerciale avec les principaux états de l'Organisation des Nations Commerçantes, afin d’identifier de nouvelles dynamiques.

La Troisième République du Jashuria, acteur majeur de l‘espace nazuman, compte alors parmi les cibles commerciales de choix du Jaguar Paltoterran. “La Troisième République du Jashuria est très investie, malgré une absence de participation aux principaux conflits de notre décennie, dans la régulation des tensions et des crises politiques inscrites au sein de sa région limitrophe. Nous avons toutes les raisons de croire qu’elle constitue, par conséquent, un partenaire fiable, pour le développement de nos activités de conseillers militaires.” Considérant le relatif isolement du Jashuria et la nécessité de soutenir sur de moyennes et longues distances ses principaux alliés, le choix et la priorité ont été naturellement donnés à la constitution d’une force expéditionnaire. Les forces expéditionnaires sont, rappelons-le et comme le nom l’indique, des unités militaires d’importance, capables de se projeter sur des théâtres ennemis ou simplement des théâtres extérieurs, tout en exécutant un large panel de missions parmi celles attendues.

Une force d'infanterie parachutiste, des véhicules aéroportés, un contingent amphibie, des escouades commandos, les options ne manquent pas pour donner vie à ce contingent pour l’heure unique en son genre et sur lequel la Troisième République du Jashuriia peut capitaliser à l’international, sachant le caractère complet du dispositif, pour porter les opérations extérieures de ce pays, au sein d’une région contestable et dont les dynamiques restent éloignés bien que palpables. Faire valoir la puissance et le caractère opérationnel d’un pays, là où d’autres nations se cantonnent à l’accumulation d’une force brute, sans s’accommoder d’une architecture militaire complète, qui puisse assurer la maintenance et la logistique des forces combattantes.

Le conseil militaire est donc un “terrain nouveau” sur lequel la Brigade paramilitaire du Jaguar paltoterran espère bâtir ses prochaines victoires, entendez par là, des victoires commerciales, qui façonneront le futur du mercenariat, jusqu’ici le grand absent des principaux rendez-vous militaires de notre décennie.
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26 juin 2012 - CONFIDENTIEL - L'établissement d'une liste des personnes recherchées contre gratification, offre de nouveaux débouchés aux sociétés militaires privées, qui s'investissent malgré tout dans le conflit gondolais.

Personne recherchée.
La formalisation des mandats de recherche émis par le Tribunal interétatique de l'Organisation des Nations Commerçantes, ou les autres institutions assimilées, permet un repositionnement du Jaguar Paltoterran sur le marché de la sécurité.

Dans un dédale de bunkers adjacent au siège social du Jaguar Paltoterran situé à Santialche au Pontarbello, les figures décisionnaires du groupe se réunissent pour une instance hors norme, portée sur la veille juridique du mois écoulé, avec à l'ordre du jour la création officielle d'une liste des personnes recherchées par l'Organisation des Nations Commerçantes. Une actualité de plus, qui ne souffrirait d'ordinaire pas de discussions particulières au sein des principales firmes du pays, mais qui dans le cas du Jaguar Paltoterran, société militaire privée de premier plan à l'international, oblige à une prise en considération des opportunités faites par ce changement de doctrine quant à la judiciarisation des criminels internationaux.

La salle de réunion, insonorisée et illuminée par des fenêtres artificielles donnant un panorama fictif sur des champs aux couleurs chaudes et verdoyantes, voyait s'installer autour de la table centrale en ovale, pas moins de huit hommes dont une large partie avaient endossé des uniformes militaires. Les Généraux Tecolotl Cambeiro et Arturo del Pozo, en charge du commandement de la force opérationnelle étaient présents, faisant face à Sebastián De Bosdavàs, Président Directeur Général et actionnaire principal de la firme spécialisée en sécurité et actions armées. L'homme, manifestement tourné vers les affaires moins que la guerre, n'arborait pas de tenue de cérémonie militaire à l'instar des autres hommes présents, mais garder précieusement visé sur sa tête, un chapeau blanc bariolé qui gageait pour qui le voyait, qu'il justifiait d'une certaine autorité dans la conduite des affaires du groupe.

Malgré le caractère solennel donné à la rencontre, les mines semblaient enthousiastes et portées vers un sourire franc. Une légère décontraction qui vint toutefois couper court, lorsque l'ordre du jour motivant la tenue de cette réunion s'était affiché à l'écran, chargé de donner le fil à leurs échanges. Le bruit étouffé des discussions de courtoisie se dissipa, offrant un oratoire attentif et silencieux au premier intervenant qu'était le Général de division Tecolotl Cambeiro.

Le Général de division Tecolotl Cambeiro : "Messieurs et officiers, le vent favorable qui nous amène ici pour tenir notre rendez-vous extraordinaire, ne nous a probablement pas échappé à l'ouverture de cette présentation. L’Organisation des Nations Commerçantes a inauguré sa liste des personnes recherchées. Une action nouvelle, que nous avions pressenti plusieurs mois auparavant, mais qui tardait à se formaliser. Ceci fait, il m'est nécessaire de proter à votre connaissance les opportunités tracées par une telle doctrine.

En effet, actuellement, très peu de conflits mobilise des forces paramilitaires et les nations tendent à développer leurs propres moyens de coercition armés, nous amenant à des opportunités commerciales mineures sans perspectives de développement du marché lié à la guerre. L'introduction d'un liste de personnes recherchées, par une organisation internationale calibrée comme l'ONC, nous laisse des perspectives de déploiement futures, pour la localisation et la neutralisation de groupes hostiles restreints, voire uniquement un seul et unique individu.

Imaginez les perspectives offertes par la possibilité de mettre une prime sur l'arrestation ou la neutralisation d'un quelconque criminel internationaux? Les débouchés seraient possiblement mille fois plus nombreux que ceux faisant état d'une participation du Jaguar Paltoterran à un conflit armé.

Plus d'opportunités, c'est acquis mais aussi plus de bénéfices par la réduction des coûts liés à nos opérations. Que coûte le déploiement d'une force armée en Iskandriane? Possiblement des millions de pesetas alguarenas. Et maintenant interrogez-vous, sur ce qui coûterait le déploiement d'une multitude d'unités d'intervention à l'international, chargées de localiser et d'arrêter un terroriste ou disons le plus modestement, un criminel, dont la tête mise à prix vaudraut plusieurs millions de pesetas alguarenas? Le coût de déploiement d'une telle unité est nul au regard des revenus permis par la réussite de telles opérations. Et le fait que des organisations internationales, de l'acabit de l’Organisation des Nations Commerçantes (ONC), officialisent ce commerce, donne du crédit et du poids financier à ce business. L'ONC pèse des milliards de pesetas alguarenas...

C'est pourquoi j'invite chacun ici présent à reconsidérer la stratégie actuelle de nos affaires, en constituant différentes petites unités projetables à l'international, plutôt qu'un assemblage d'une force militaire impactante et coûteuse à l'entretien. La guerre et la contribution du Jaguar Paltoterran à celle-ci pourra toujours être sollicitée mais notre fond de commerce, je vous le dis, se trouve ici ! Dans la conduite d'arrestations de criminels internationaux. De cette donnée je vous le garantis, se joue la criticité de nos affaires sur les 5 prochaines années."


Plusieurs officiers et analystes financiers civils approuvèrent le plaidoyer fourni par le chef de la direction opérationnelle du groupe, tandis qu'à une extrémité de la table, Sebastián De Bosdavàs clapotait de cinq doigts sur le rebord de la longue table ovale qui les accueillait, son chapeau désormais dévissé de sa tête, pour s'imposer au milieu des participants tel un objet d'ornement et de prestige pour amorcer sa prise de paroles.

Sebastián De Bosdavàs : "Le rapport coût et qualité que tu nous présente est indiscutable, je le conçois. Avec toutefois la nécessité de rappeler que la renommée et le fond de commerce de notre société repose sur la complaisance des gouvernements pontarbellois et alguarenos. Si nous n'investissons pas dans la guerre, ils n'investiront pas sur nos équipements, c'est aussi simple que ça. La conduite d'opérations d'identification, de localisation et de neutralisation des criminels internationaux peut offrir un financement d'appoint pour l'acquisition de matériels lourds destinés à la guerre. Mais si nous ne sommes pas un allié de circonstances pour les gouvernements sur théâtre de guerre, ils nous retireront des listes d'agrément pour l'acquisition d'armements lourds. Il faut ménager la chèvre et le chou qui en réalité ne sont pas opposables... La guerre civile en Iskandriane par exemple, voilà belle opportunité pour nous d'exister auprès des nations, en façonnant la politique de demain localement. Ce n'est pas en arrêtant ds pesonnes, même terroristes qu'on se fait des amis Tecolotl, c'est en les hissant au sommet... Les guerres civiles en Iskandrina,e au Gondo, sont insuffisamment exploitées et cela nous prive de visibilité, d'alliés politiques pour façonner localement le marché de la sécurité.

La capture des terroristes et la recherche de portés disparus est un revenu d'appoint, exception faite des personnalités cibles qui constitueraient directement une opportunité ou un frein pour nos activités... On peut courir derrière ces objectifs considérant les coûts opérationnels moindres en contrepartie des récompenses mais la colonne vertébrale de notre organisation, fondée sur notre capacité à faire l'acquisition d'équipements militaires lourds repose sur notre utilité directe en théâtre opérationnel...


L'indifférence du président directeur général et même en fin de compte son hostilité à la proposition faite, gela l'enthousiasme d'une partie de l'auditire, dont plusieurs figures se sont alors rabattue par principe sur sa contre-proposition.

Sebastián De Bosdavàs : Non moi je pense qu'il faut rapidement donner un os à ronger à nos amis du gouvernement, pour motiver nos futures acquisitions d'armements et l'entretien d'une flotte navale améliorée. Les retraités et vétérans de l'armée nous rejoindront pas pour traquer . Tiens le Gondo par exemple, nos troupes sont bien arrivées en Kumasi?"

Une question simple à laquelle des cadres dirigeants du groupe répondirent péniblement, marquant une réponse par l'affirmative.

Sebastián De Bosdavàs : C'est une très bonne chose. Je pense qu'un redéploiement dans la zone, à la faveur d'un groupuscule ou du gouvernement Flavier-Bolwou serait de nature à rassurer la présidence fédérale sur notre capacité à ancrer la stabilité en Afarée, sur des côtes et des littoraux dont le front de mer fait face au commerce alguareno, n'oublions pas...

Le Général de division Tecolotl Cambeiro : Doit-on confirmer l'ordre monsieur?

L'homme opina ostensiblement par une inclinaison du chef.

Sebastián De Bosdavàs : Oui, établissez une liaison avec le responsable opérationnel sur zone dans un quart d'heure, qu'il prenne attache avec le gouvernement local et donne de premiers coups de boutoirs contre les forces révolutionnaires sur place... Pour ce qui est des personnes à rechercher, laissons la liste se remplir et tâtons nos opportunités ensuite.

Une tonalité de voix qui ne sembla laisser aucune place à une discussion nouvelle et emmena chaque participant de la réunion sur une feuille de route claire et tangible, qui impliquerait l'incursion armée des forces du Jaguar Paltoterran, sur les frontières gondolaises...
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26 juin 2012 - CONFIDENTIEL - Le Jaguar Paltoterran, futur gage de sécurité pour les exploitations minières en voie d’installation en Mandrarika?

Mercenaires en Mandrarika

La récente découverte de platine en Mandrarika et les perspectives tracées autour de la présence d’autres ressources naturelles souhaitables aux industriels de la Fédération d’Alguarena, a constitué un facteur de hausse à la prise de rendez-vous commerciaux entre la société militaire privée et plusieurs directions de groupes industriels. Il faut dire que la sécurité en Mandrarika est une notion bien relative, considérant la guerre civile permanente que se font les seigneuries de guerre locales et le gouvernement local. “Même si l’avantage est actuellement entre les mains des forces gouvernementales, rien n’interdit les forces claniques de conduire des actions punitives dans les territoires sous contrôle gouvernemental, sans nécessairement occuper le terrain mais en occasionnant des pertes civiles et matérielles dommageables à chacun…” explique le Capitaine Ezequies Villagrà, team leader en unité opérationnelle.

Dans le cas de la Mandrarika, nous sommes typiquement dans ce genre de configuration où la volonté politique locale ne suffit pas à garantir toutes les conditions sécuritaires voulues par la clientèle. Avec l’accord du gouvernement mandrarikan, nous pourrions mettre des unités au service des promoteurs industriels chargés de débuter des prospections minières sur zone pour les rassurer et permettre à chacun de collaborer. Nous serions le trait d’union entre le gouvernement mandrarikan qui autorise la présence au sol et la location/cession des terrains fonciers, puis l’investisseur étranger qui souhaite viabiliser son placement financier et s’offrir les garanties que ses infrastructures et le personnel œuvrant sur zone sont durablement protégés.

L’emploi de société militaire privée est une garantie supplémentaire pour une société étrangère désireuse de s’installer en Mandrarika, notre employeur est cette société étrangère, pas le gouvernement local même si un certain nombre de mises en conformité doit être respecté pour maintenir les autorités de maintien dans le pays et ne pas sombrer dans l’illégalité. Il n’en demeure pas moins, qu’en dépit de la nécessité de rester conforme à la législation locale, les mercenaires des sociétés militaires privées telles que la Brigade du Jaguar Paltoterran sont en mesure de défendre les possessions étrangères et leurs occupants sur place, tant de leurs ennemis naturels que de ceux pouvant apparaître au gré d’une situation politique changeante. C’est en cela qu’ils viennent plus facilement rassurer les investisseurs étrangers car indépendamment du pouvoir en place, susceptible de changement dans des états oligarchiques comme celui-ci, ces derniers peuvent demeurer fidèles à un même engagement, leurs intérêts dans le pays apparaissent limités à la contractualisation et à la prestation des services offertes à ces entreprises étrangères.

La Brigade du Jaguar Paltoterran, souhaite donc s’offrir un souffle nouveau, à la lecture desp rojets industriels projetés sur le territoire mandrarikan.

“Les industriels alguarenos vont vouloir des interlocuteurs hispanophones et dont la société paramilitaire est juridiquement attaquable auprès d’un tribunal alguareno. A date, qui d’autres que notre groupe peut cocher ces cases?” explique à son tour Sebastián De Bosdavàs, Président Directeur Général et actionnaire principal du Jaguar Paltoterran.

Sur la question mandrarikane et ce en dépit des situations versatiles qui peuvent la toucher, le dossier bénéficie d’un certain optimisme pour les dirigeants du groupe paramilitaire, qui y voit l’opportunité de renouer avec les marchés alguarenos, en portant les intérêts des industriels de la Fédération, au sein de théâtres opérationnels complexes, où la situation militaire ainsi que politique, leur offre l’opportunité de constituer un atout appréciable.

Une équation gagnant-gagnant, partagée entre trois parties que sont désormais les industriels étrangers, le gouvernement mandrarikan et la société militaire privée du Jaguar Paltoterran.

Logisticien a écrit :
Envoi vers la République Sacrée de la Mandrarika :
  • 464 armes légères d’infanterie de niveau 4 (emmenés par avions de transport tactiques en plusieurs fois)
  • 5 078 armes légères d’infanterie de niveau 5 (emmenés par avions de transport tactiques en plusieurs fois)
  • 1 000 soldats professionnels (emmenés par avions de transport tactiques en plusieurs fois)
  • 40 véhicules légers tout-terrain de niveau 9 (emmené sur cargo)
  • 30 véhicules blindés légers de niveau 6 (emmené sur cargo)
  • 10 transports de troupes blindés de niveau 6 (emmené sur cargo)
  • 10 chars légers de niveau 2 (emmené sur cargo)
  • 4 véhicules de déminage de niveau 2 (emmené sur cargo)
  • 5 véhicules de transmission de niveau 5 (emmené sur cargo)
  • 2 véhicules radar de niveau 6 (emmené sur cargo)
  • 25 canons antiaériens mobiles de niveau 4 (emmené sur cargo)
  • 10 chars d’assaut de niveau 2 (emmené sur cargo)
  • 1 hélicoptère léger polyvalent de niveau 3 (emmené sur frégate)
  • 2 hélicoptères de transport moyens de niveau 1 (emmenés sur frégate)
Escorte
  • 1 navire cargo de niveau 10 (loué à un société alguarena)
  • 1 frégate de niveau 4
  • 2 frégate de niveau 1
  • 1 sous-marin d’attaque de niveau 3
  • 4 avions de transport tactiques de niveau 3
  • 2 avions-ravitailleurs de niveau 1
  • 6 chasseurs-bombardiers de niveau 1
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27 février 2013 - CONFIDENTIEL - La protection des infrastructures minières étrangères en Mandrarika, pourrait permettre au groupe d’importants investissements matériels.

Lieutenant-colonel Gonzalez Lovida
Lieutenant-colonel Gonzalez Lovida, officier de liaison en Mandrarika.


Les victoires militaires du gouvernement mandrarikan sur les seigneuries claniques qui divisent le pays depuis de nombreuses, se sont soldées par la pacification d‘un certain nombre de territoires dans l’ouest du pays. “ça change de l’humidité tropicale du Pontarbello” avait confié l’officier de la société militaire privée à un haut fonctionnaire mandrarikan venu l’accueillir dans ses nouveaux quartiers. Des bâtiments de prime abord vétustes mais qui tenaient leur rôle pour entretenir quelques commodités aux mercenaires du Jaguar Paltoterran, la nouvelle force de sécurité privée positionnée au chevet des industriels étrangers désireux de s’investir là-bas.

Une nécessité car les industriels étrangers manquaient manifestement de confiance dans le gouvernement mandrarikan pour assurer la protection, sur un plan légal et plus encore militaire, de leurs hypothétiques investissements là-bas. Accepter la présence du Jaguar Paltoterran, devenait alors la condition sine qua non pour rassurer les industriels alguarenos, quant à la pérennité de leurs installations sur place. Avec sous sa responsabilité un régiment bien fourni, le lieutenant-colonel Lovida s’offrait là une capacité de sécurisation des infrastructures minières et industrielles fortes.

Le choix de son implantation, s’il devait explicitement être mentionné un endroit, s’était nécessairement fait au sein de la région minière et vallonnée du Basango, pour optimiser la capacité de réaction des paramilitaires, en cas de troubles sur les infrastructures industrielles locales. La caserne de Bopohari était le point d’ancrage de référence, en sus d’autres avants-postes installés de le pays, pour formaliser la présence opérationnelle des mercenaires du Jaguar Paltoterran. Des bâtiments pour accueillir les mercenaires et de l‘espace pour les entraîner, le tout bordé par un axe routier chargé de relier les principaux sites sous protection. Si le Lieutenant-colonel Gonzalez Lovida avait pour prérogatives d’assurer une présence sécuritaire sur les sites industriels identifiés, l’homme entamait parfois des actions de sécurisation préventive, par l’emploi de certains informateurs locaux que l’argent étranger permettait de payer assez grassement, en échange d’informations sur les manoeuvres et les intentions de factions claniques, susceptibles de s’en prendre aux productions minières du Basango occidental.

La peseta alguarena, monnaie de la première puissance économique mondiale, jouissait d’un bon taux de conversion local et venait par conséquent, attirer plus d’intérêt chez certains locaux, désireux d’en acquérir quelqus billets pour justifier à eux seuls d’un pécule appréciable pour bonifier leur vie quotidienne.

Se faire payer des services sollicités par des entreprises alguarenas, pour les réinvestir dans un pays où le décalage des cours monétaires ne faisait aucun doute, avait matière à offrir un triangle coopératif apprécié par chaque partie prenante : le gouvernement mandrarikan pouvant justifier d’une attractivité auprès des sociétés étrangères capable de fournir une ingénierie à la prospection et l’extraction des ressources naturelles locales, les industriels alguarenos ayant l’opportunité d’accéder à des matières premières appréciées pour la réalisation des produits manufacturés revendus chèrement dans l’archipel, la société militaire privée qu’est le Jaguar Paltoterran a quant à elle l’opportunité de financer des investissements profitables à ses affaires, par l‘acquisition de matériels militaires déclassés dont l’intégration au parc logistique du groupe pourra lui permettre de toucher de nouveaux contrats, jusqu’ici inaccessibles par les insuffisances quantitatives et qualitatives de ses moyens.

Inventoriste a écrit :
Matériels en voie d’acquisition par le Jaguar Paltoterran:
Véhicules blindés légers :
  • 47 exemplaires Niveau 6
  • 4 exemplaires Niveau 4
Transports de troupes blindés :
  • 36 exemplaires Niveau 4
  • 27 exemplaires Niveau 3
Véhicules de combat d'infanterie
  • 32 exemplaires Niveau 6
Chars légers :
  • 13 exemplaires Niveau 3
  • 90 exemplaires Niveau 4
Chars d’assaut :
  • 26 exemplaires Niveau 3
  • 14 exemplaires Niveau 4
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