
Communiqué officiel du comité central du Parti Eurycommuniste velsnien, 28 mars 2016

La terrible nouvelle et le grand malheur viennent se jour frapper tous les peuples libres, et les travailleurs du monde entier, par l'annonce du décès de notre cher et grand camarade Lorenzo, secrétaire général de la Loduarie Communiste, ce 28 mars 2016. Le peuple héroïque de la Loduarie Communiste et son gouvernement venant nous apprendre la triste nouvelle de la disparition du grandiose bâtisseur du loduarisme, de la figure la plus importante de l'eurycommunisme du XXIème siècle.
Tout d'abord, par ces mots, nous nous adressons en premier lieu au peuple loduarien, de la part de tous les exploités, de tous les écrasés, de tous les sans-rien, qui ont porté sa figure comme étendard d'une société résolument nouvelle et révolutionnaire.
Une peine immense emplit nos cœurs. En cette journée cruelle de deuil universel, nous assurons au peuple loduarien de notre fraternelle et indéfectible solidarité. Tous les travailleurs de Velsna, et tout le peuple de Velsna, tous les vrais camarades, tous les vrais amis de la paix universelle et de la République de l'amour humain partagent une même douleur. Pour tous les exploités de la classe ouvrière velsnienne, le camarade Lorenzo, malgré sa mort, ne cessera jamais, ô grand jamais, d'être perçu par tous les velsniens comme un grand artisan d'une société alternative et belle: celle du socialisme.
Nous rendons hommage à celui qui, en 2001, a allumé une étincelle d'espoir dans une Loduarie alors rongée par une junte militaire fasciste. Qui parmi les opposants de ce grand homme aiment à rappeler à quoi ressemblait la Loduarie avant l'ascension au pouvoir du camarade Lorenzo ? Qui parmi les nations capitalistes osera omettre que durant ces quinze années de mandat, ce grand libérateur des peuples s'est contenté de gouverner sur un qtatut-quo ? Non. La Loduarie communiste, nous pouvons le dire, a permis à des millions de travailleurs de sortir de la misère et de l'analphabétisme. Lorenzo a récupéré une Loduarie roulant à la charrue, et il la laisse aujourd'hui avec l'un des plus grands parcs nucléaires du monde, avec un réseau routier et ferré modernisé, avec des logements gratuits pour tous les travailleurs.
Et cette étincelle qui s'est allumée en Loduarie en 2001 a eu tôt fait de devenir un grand feu de joie, car le camarade Lorenzo ne se serait jamais contenté de libérer un seul pays: il fallait émanciper toujours plus de peuples, libérer toujours plus de travailleurs. Nous n'oublierons jamais l'action du secrétaire général en faveur du bonheur et de la libération des peuples: en Okaristan, en Translavye, et partout où le drapeau de la Révolution prolétarienne a été planté, tantôt avec succès, tantôt avec regret.
Le nom de Lorenzo illumine de sa resplendissante clarté le chemin à suivre pour réaliser le plus grand rêve de l'humanité: le chemin du communisme ! Nous, membres du comité central du Parti Eurycommuniste Velsnien, que nous saurons puiser dans la vie et l’œuvre du camarade Lorenzo, dans la clarté de ses perspectives révolutionnaires, dans l'audace et le caractère concret de ses directives, dans sa liaison constante avec les masses laborieuses, des forces chaque jour renouvelées, pour en suivant la trace du camarade secrétaire, être dignes du qualificatif de "loduariste".
Les eurycommunistes velsniens sauront rester fidèles aux principes loduaristes, contre les déviations de la ligne telle qu'édictée par le camarade Lorenzo, réaffirmant sans cesse la fermeté de notre tâche de libération et d'émancipation du genre humain. Nous prenons acte, par ta mort, camarade Lorenzo, su rôle fondamental de tous les partis frères dans l'apport aux masses laborieuses de la formation nécessaire à la lutte pour leurs droits.
Camarade Lorenzo, nous te disons adieu: ami de tous les travailleurs, de tous les opprimés, de tous les laissés pour compte. Tu as fait honneur à la quête du paradis socialiste, et nous tous, ouvriers de tous les pays: velsniens, loduariens, estaliens, translaves, qu'ils soient dans le monde socialiste ou capitaliste, nous reprendrons le drapeau.
Ta mémoire vivre dans nos actes, tes enseignements éclaireront toujours notre route. Nous ne cesserons jamais d'aller de l'avant, vers le communisme.