
Davy Dieulafoy
Davy Dieulafoy, représentant impérial au Conseil Militaire : Chers amis et alliés, la résolution de cette crise est une source de joie et de soulagement pour les autorités impériales. Il est appréciable de se réunir pour conclure de la meilleure des manières une crise évitée par voie diplomatique, avec le sentiment d'avoir, ou plutôt dans ce cas, que nos estimés alliés telyais et dans une moindre mesure, mais non négligeable tanskiens et faraviens, évité la guerre par le dialogue.
L'Empire, et l'Organisation des Nations Démocratiques n'auraient jamais pu accepter voir les frontières d'un de ses membres menacés par une nation barbare et sanguinaire, connue pour son hostilité structurelle à nos pays et son caractère profondément belliciste et irrationnel, j'ai bien-sûr nommé, la junte communiste de Loduarie. Nous notons avec grand plaisir la volonté de dialogue, d'apaisement et de coopération dont à fait preuve la nouvelle République Populaire et Sociale d'Illirée, et nous serons donc favorables de collaborer avec eux à l'avenir dans cette même optique de paix et de coopération, en espérant avec sincérité que celle-ci conserve son fonctionnement démocratique, une politique étrangère et intérieure saine, et une volonté de dialogue permanent. Nous souhaiterions, pour être assuré de cette situation et de cet apaisement, que les résultats des élections mouvementés soient rendus public, que des enquêtes puissent être menées pour vérifier leur validité et dans le cas contraire, en organiser de nouvelles. Cela non dans une optique de conservation de l'ancien pouvoir ou de remise en question de la souveraineté Illiréenne, ou Valinoréenne, mais bien dans un souci de gages de paix et de stabilité démocratique.
La voie diplomatique restera en tous points préférable à la voie militaire, et nous sommes évidemment entièrement disposés à approuver ce traité.