15/12/2016
16:06:27
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[ATLAS] ⚰️ Questionnaire sur la culture funéraire - Page 3

3182

[justify]🌐 Culture funéraire à travers le monde


⚰️ Cérémonies Funéraires :

➥ Méthodes funéraires pratiquées selon la quantité d'individus attestée de 1900 à aujourd'hui (en %)

Une cérémonie/méthode funéraire est un rite qui implique le traitement VOLONTAIRE du corps d'un défunt.


  • ❌ Aucune/Abandon du défunt : <1%
  • 🔥 Crémation : 95%
  • 🪦 Inhumation terrestre : 4%
  • 💧 Inhumation aquatique : 0%
  • 🦅 Exposition des restes : <1%
  • 🌱 Humusation/Terramation : 0%
  • 🧊 Promession/Cryomation : 0%
  • Autre (précisez) :

❗Dans le cas d'une séparation de restes humains, vous pouvez dépasser les 100% pour signifier l'utilisation de plusieurs méthodes funéraires pour un même individu. Veuillez indiquer cette séparation des restes en accompagnant le pourcentage des lettres SÉP.

Existent-ils des coutumes et pratiques visant à altérer les restes du défunt ou sa sépulture ? Les défunts sont incinérés avec leurs objets de valeur et qui avaient une importance pour eux.

Existent-ils d'autres coutumes et pratiques spécifiques accompagnant ces cérémonies funéraires ? Les membres de la famille proche doivent vivre leur deuil pendant sept jours, ensemble.

Des méthodes, coutumes et pratiques funéraires sont-elles réservées à des cas précis ? Seules les personnalités publiques notables sont exposés pour que la population puisse se recueillir. Leurs corps sont ensuite incinérés une fois l'année du calendrier lunaire terminée.

Des méthodes funéraires ont-elles disparu ou commencé à disparaître entre 1900 et aujourd'hui, voire antérieurement à cette date ?
- Jusqu'au XVIIe Siècle, les baishanais pensaient que certains animaux (notamment les chevaux et les chiens) ne pouvaient avoir qu'un maître. On abattait donc les animaux du défunt pour les incinérer avec lui. Ce rituel a été interdit.
- Il était coutume, pendant les sept jours de deuil, de pleurer bruyamment le défunt pendant dix minutes chaque jour à l'heure où il était décédé. Cette pratique tend à disparaître, ou alors les proches se contente de pleurer le soir du décès. Dans la tradition, cette coutume visait à exprimer au défunt, le plus bruyamment pour qu'il le ressente, sa tristesse.

🏛️ Infrastructures Funéraires :

➥ Types de dépôts funéraires selon la quantité d'individus déposés de 1900 à aujourd'hui (en %)

Un dépôt funéraire (sépulture/tombe) est un lieu où des restes humains ont été VOLONTAIREMENT déposés.
⚠️ Sépulture primaire/ Sépulture secondaire : les sépultures primaires demeurent non altérées ou non volontairement altérées par des voies anthropiques après leur dépôt initial tandis que les sépultures secondaires ont été altérées volontairement par des voies anthropiques, par des voies humaines, une seconde fois après leur dépôt initial.


  • ❌ Aucune/Abandon du défunt : <1%
  • ♻️ Réemploi des restes (réef artificiel, décoration, terreau) : 0%
  • 🦅 Terrain d'exposition (tour du silence, inhumation céleste, sépulture aérienne) : <1%
  • 🪦 Terrain d'inhumation terrestre aménagé (cimetière urbain ou rural) : 2%
  • 💧 Terrain d'inhumation aquatique aménagé (caveau ou cimetière sous-marin) : 0%
  • 🏞️ Terrain d'inhumation sauvage (cimetière sauvage, dans la nature) : <1%
  • 🚮 Dépôt commun ou collectif grossier (fosse commune, charnier) : <1%
  • 🏛️ Dépôt commun ou collectif primaire (tombeau familial, mausolée) : 1%
  • ⛏️ Dépôt commun ou collectif secondaire (ossuaire, dépôt nomade) : <1%
  • 👑 Sépulture individuelle ou commune/collective monumentale (tombe princière, tumulus, pyramide) : 0%
  • ⚱️ Zone close de dépôt des restes (colombarium, cavurne, urne) : 0%
  • 🥀 Zone particulière de dépôt des restes à l'air libre (jardin du souvenir) : 0%
  • 🌊 Dispersion des restes (mer, vent) : 0%
  • Autre (précisez) :

Il est préférable que vous remplaciez les exemples ici donnés entre parenthèses par des exemples ayant cours dans votre pays.
❗Dans le cas d'une séparation de restes humains, vous pouvez dépasser les 100% pour signifier l'utilisation de plusieurs types de dépôts funéraires pour un même individu. Veuillez indiquer cette séparation des restes en accompagnant le pourcentage des lettres SÉP.


Sur quel(s) financement(s) se reposent ces différents types de dépôts/infrastructures funéraires ?
L'État et les collectivités locales finances ces infrastructures.

Des types de dépôts sont-ils réservés à des cas précis ? Les terrains d'exposition sont réservées aux personnalités publiques.

Des types de dépôts ont-ils disparu ou commencé à disparaître des habitudes funéraires entre 1900 et aujourd'hui, voire antérieurement à cette date ?
Non

⚖️ Législation Funéraire :

Existe-t-il au moins un code funéraire ? OUI
Si oui, à quelle échelle s’applique ce ou ces code(s) ? Il existe un code nationale et il peut exister des codes provinciaux.
Que contient ou contiennent ce(s) code(s) ? Ces codes régissent le fonctionnement des crématorium et éventuels cimetières. Ils autorisent et interdisent certaines pratiques.
Existe-t-il d’autres législations spécifiques ? Oui.
L'activité d'opérateur funéraire est-elle encadrée (même dans un cadre privé) et si oui, dans quelles conditions ? Non.

💀 Statistiques globales et décès particuliers :

Décès à l'étranger (en %) : 0.3%
Règles pour rapatrier un corps : OUI (Le corps du défunt doit être incinéré avant rapatriement, afin de limiter les contamination en cas de décès dû à une maladie.)
Décès inexpliqués (en %) : 0% (Officiellement).
Procédures spéciales pour les cas de disparitions ou décès inexpliqués : OUI
(- cas des disparitions : une personne disparue est considérée comme morte après 1 an sans nouvelle d'elle. Seule exception : les fugitifs, qui continuent d'être recherchés sans limite de temps.
- cas des décès inexpliqués : Les autorités obligent à un motif de décès, donc les médecins inventent un motif pour être dans la légalité. On estime à 0.8% ces cas-là.)

➥ Établissez une liste des dix principales causes de décès des dix dernières années dans votre pays :

Afin de vous guider, voici les 10 principales causes de mortalité dans le monde selon l'OMS.


  • 1ère : Accidents Vasculaires Cérébraux
  • 2ème : Maladies cardiaques (incluant les infarctus)
  • 3ème : Infections pulmonaires
  • 4ème : Cancers du poumon ou du larynx
  • 5ème : Cancers de l'estomac
  • 6ème : Alzheimer et autres démences
  • 7ème : Hypertension
  • 8ème : Accidents de la circulation
  • 9ème : Cancers du côlon
  • 10ème : Diabète

➥ Taux bruts de mortalité (en ‰ - pour mille) pour les années suivantes :

Rapport entre le nombre annuel de décès et la population totale moyenne sur une période et dans un territoire donné.

Afin de vous guider, voici le classement des États et territoires du monde par taux de mortalité en ‰ selon le World Population Prospects.


[list]
  • 2010 : 5.84‰
  • 2000 : 6.23‰
  • 1990 : 7.20‰
  • 1980 : 8.12‰
  • 1970 : 6.82‰
  • 1960 : 6.45‰
  • 1950 : 6.22‰list]


  • 🪦 Monuments Funéraires Remarquables :

    Accompagner les présentations de monuments funéraires d'une photographie ou illustration pourrait être la bienvenue.

    Cimetière(s) célèbre(s) : //
    Monument(s) commémoratif(s) célèbre(s) :
    Le mur des révolutionnaires : un mur dressé en l'honneur des hommes ayant porté les valeurs de la révolution communiste. Des noms notables du parti continuent d'y être inscrits lorsqu'ils décèdent. On y retrouve notamment celui de Zijian Sui, le premier président communiste.
    Image

    Architecture funéraire remarquable : (Ex : mausolées, tombeaux célèbres, etc.)
    Le mausolée des rois de Hongmu: les cendres des rois de la dynastie Mu y sont gardées.
    Image du mausolée

    Le palais des âmes éternelles : mausolée qui expose les corps des personnalités défuntes pendant une année lunaire.
    Image du palais

    Cette architecture funéraire remarquable peut aussi bien être une construction récente ou ancienne, un ensemble commun/collectif ou une sépulture individuelle.



    🚻 Perspectives Anthropologiques :

    Quel(s) rôle(s) culturel(s) les funérailles jouent-elles dans les diverses traditions funéraires et pour les groupes qui les pratiquent ?
    Les traditions funéraires visent à honorer la mémoire des défunts, et à leur exprimer l'importance qu'ils ont eu pour la vie de leur proche. La dimension divine tend à disparaître au fur et à mesure que la population devient athée. Mais les baishanais continuent de croire que les morts peuvent entendre/percevoir les vivants. Ces rites se poursuivent dans ce but.

    Quelle place tient actuellement la mort dans la représentation artistique ?
    Très peu d’œuvre évoquent la mort, car elle est perçue comme intime, et taboue. La mort est souvent sous-entendue, implicite.

    Un bref historique de cette place de la mort dans la représentation artistique peut aider à faire comprendre la situation actuelle.

    🔮 Futur des Funérailles :

    Les rites et pratiques funéraires de votre pays connaissent-elles des évolutions récentes ? Si oui, lesquelles ? Sont-elles issues d'influences spécifiques ou globales ?
    Certaines pratiquent tendent à devenir plus flexibles, cassant avec les codes traditionnels (ne pas pleurer 7 jours par exemple). Cela est dû à une population de plus en plus athée et pragmatique.

    Quelle place l'innovation technologique joue-t-elle actuellement sur la culture funéraire ?
    De plus en plus de défunts sont incinérés avec leur téléphone portable. Certaines sociétés proposent la création de film souvenirs à partir d'enregistrement vidéos du défunts.

    Existent-ils des discussions éthiques en cours concernant le statut du défunt au sein de la société ?
    Non

    Plus généralement, existent-ils des discussions visant à reconsidérer l’approche de la société sur la mort ?
    Non

    Enfin, existent-ils des tendances funéraires émergentes et quelles sont-elles ?
    Non

    4681
    🌐 Culture funéraire à travers l’Empire de Churaynn
    ⚰️ Cérémonies Funéraires :

    ➥ Méthodes funéraires pratiquées selon la quantité d’individus attestée de 1900 à aujourd’hui (en %) Une cérémonie/méthode funéraire est un rite qui implique le traitement VOLONTAIRE du corps d’un défunt.

      []❌ Aucune/Abandon du défunt : 0 % []🔥 Crémation : 0 % (strictement interdite par l’Islam) []🪦 Inhumation terrestre : 98 % (Méthode dominante dans l’Empire, suivant le rituel islamique : purification du corps (ghusl), linceul (kafan), prière funéraire (Salat al-Janazah) et inhumation rapide face à la Qibla.) []💧 Inhumation aquatique : 1 % (Cas exceptionnels pour marins et naufragés.) []🦅 Exposition des restes : 0 % []🌱 Humusation/Terramation : 0 % []🧊 Promession/Cryomation : 0 % [] Autre (précisez) : Séparation des restes (SÉP) : 1 % (Des figures religieuses ou martyrs peuvent voir leurs restes préservés temporairement avant l’inhumation complète.)

    ❗ Dans le cas d'une séparation de restes humains, vous pouvez dépasser les 100 % pour signifier l'utilisation de plusieurs méthodes funéraires pour un même individu. Veuillez indiquer cette séparation des restes en accompagnant le pourcentage des lettres SÉP.

    ➤ Existent-ils des coutumes et pratiques visant à altérer les restes du défunt ou sa sépulture ?

    Le ghusl (lavage rituel du défunt), pratiqué par des membres pieux de la communauté.

    Le kafan (enveloppement dans un linceul blanc), évitant tout luxe ou personnalisation.

    Le dépôt d’inscriptions coraniques sur la pierre tombale, limité à de simples bénédictions ou versets.

    ➤ Existent-ils d'autres coutumes et pratiques spécifiques accompagnant ces cérémonies funéraires ?

    Salat al-Janazah, prière funéraire essentielle pour le salut du défunt.

    Recueillement des proches à domicile ou à la mosquée avant l’inhumation.

    Charité au nom du défunt, avec des dons aux nécessiteux après l’enterrement.

    ➤ Des méthodes funéraires ont-elles disparu ou commencé à disparaître entre 1900 et aujourd’hui ?

    Aucune disparition majeure, l’inhumation terrestre reste la norme.

    Pratiques ostentatoires (monuments funéraires riches, sépultures surélevées) ont été progressivement réduites pour respecter l’humilité prescrite par l’islam.

    🏛️ Infrastructures Funéraires :

    ➥ Types de dépôts funéraires selon la quantité d’individus déposés de 1900 à aujourd’hui (en %) Un dépôt funéraire (sépulture/tombe) est un lieu où des restes humains ont été VOLONTAIREMENT déposés.

      []❌ Aucune/Abandon du défunt : 0 % []🪦 Terrain d’inhumation terrestre aménagé (cimetière urbain ou rural) : 97 % (Cimetières dédiés, généralement en périphérie des villes ou adossés à des mosquées.) []💧 Terrain d’inhumation aquatique aménagé : 1 % (Cas limités aux marins et naufragés.) []🏛️ Dépôt commun ou collectif primaire (tombeau familial, mausolée) : 1 % (Réservé aux figures religieuses majeures ou grands dirigeants.) []👑 Sépulture individuelle monumentale : 1 % (Pour certains sultans ou érudits islamiques influents.) []🚮 Fosse commune : 0 % (Non pratiqué sauf en cas d’urgence humanitaire ou catastrophe majeure.)

    ➤ Sur quel(s) financement(s) se reposent ces dépôts funéraires ?

    Les cimetières sont financés par l’État et les collectivités locales.

    Les tombes de personnalités peuvent être soutenues par des fonds religieux ou communautaires.

    ➤ Des types de dépôts ont-ils disparu ?

    Les tombes ostentatoires et les mausolées privés ont été largement remplacés par des cimetières standardisés.

    ⚖️ Législation Funéraire :

    ➤ Existe-t-il un code funéraire ?

    OUI.

    ➤ À quelle échelle s’applique ce code ?

    Échelle nationale, avec des variantes communales selon les autorités religieuses locales.

    ➤ Que contient ce code ?

    Gestion des cimetières, organisation des inhumations, interdiction de la crémation, respect du rituel islamique.

    ➤ Existe-t-il des législations spécifiques ?

    Encadrement du transport des corps et des rapatriements.

    Autorisation obligatoire pour les entreprises de services funéraires, qui doivent respecter la loi religieuse et sanitaire.

    💀 Statistiques globales et décès particuliers :

    ➤ Décès à l’étranger (%) : ~5 % ➤ Règles pour rapatrier un corps : OUI (Procédures supervisées par les ambassades et financées en partie par les familles.) ➤ Décès inexpliqués (%) : 1 % ➤ Procédures spéciales pour les décès inexpliqués : OUI (Autopsies encadrées par les autorités légales et religieuses.)

    ➥ Principales causes de décès des dix dernières années :
      [] 1ère : Maladies cardiovasculaires [] 2ème : Cancers [] 3ème : Accidents de la route [] 4ème : Maladies respiratoires [] 5ème : Diabète [] 6ème : Accidents domestiques [] 7ème : Épidémies ponctuelles [] 8ème : Vieillesse [] 9ème : Suicide [] 10ème : Complications chirurgicales

    🚻 Perspectives Anthropologiques et Futur des Funérailles :

    ➤ Évolutions récentes :

    Numérisation des registres funéraires.

    Modernisation des infrastructures des cimetières urbains.

    ➤ Innovation technologique :

    Systèmes de gestion funéraire et cartographie numérique des tombes.

    ➤ Discussions éthiques et tendances émergentes :

    Débat sur l’entretien écologique des cimetières et la préservation des espaces naturels.

    Réflexions sur les rites alternatifs compatibles avec la tradition islamique, notamment en matière de durabilité et de respect environnemental.
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    auteur a écrit :🌐 Culture funéraire à travers le monde


    ⚰️ Cérémonies Funéraires :

    ➥ Méthodes funéraires pratiquées selon la quantité d'individus attestée de 1900 à aujourd'hui (en %)

    Une cérémonie/méthode funéraire est un rite qui implique le traitement VOLONTAIRE du corps d'un défunt.


    • ❌ Aucune/Abandon du défunt : 0% (illégal)
    • 🔥 Crémation : 24%
    • 🪦 Inhumation terrestre : 71,5%
    • 💧 Inhumation aquatique : 3%
    • 🦅 Exposition des restes : 0%
    • 🌱 Humusation/Terramation : 1%
    • 🧊 Promession/Cryomation : 0,5%
    • Autre (précisez) : 0%

    Existent-ils des coutumes et pratiques visant à altérer les restes du défunt ou sa sépulture ?
    Il est d’usage dans la plupart des régions de Guadaires de placer des fleurs autour et dans les cheveux du défunt. Les cercueils sont aussi généralement entièrement couverts de fleurs colorées. Ces pratiques sont des vestiges de rites païens et s'ajoutent aujourd'hui aux pratiques chrétiennes classiques. La momification des corps était très fréquente dans le pays jusqu’au Xᵉ siècle lorsqu'elle a été interdite par le Patriarche de Guadaires.
    Il est important d'ajouter que de nombreuses minorités religieuses vivent à Guadaires et ont plus ou moins gardées des méthodes d'inhumations propres à leur culture.


    [ignore]➤ Existent-ils d'autres coutumes et pratiques spécifiques accompagnant ces cérémonies funéraires ?
    Si oui, lesquelles ? Pour quelles méthodes ? À quels groupes sont-elles attachées ? À quelles confessions ou croyances renvoient-elles ? (Ex : rituels, chants, danses, prières, etc.)
    Il est très fréquent de procéder un des lâchés de lanterne lors des enterrements. Cette pratique est apparue au XIXe siècle. L'origine de cette coutume viendrait indirectement du Nazum et aurait été importées par les commerçants. Aussi, la plupart des Guadamos plantent un arbre (généralement un Jacaranda, un flamboyant ou tout autre arbre à fleur) a proximité de la tombe, voir parfois au-dessus.
    Dans la région du Duemonte, les cérémonies funéraires s'accompagnent de chants et de danses. Cette pratique était à l'origine pratiquée à l'échelle de villages entiers qui se réunissaient pour célébrer un défunt.


    Des méthodes, coutumes et pratiques funéraires sont-elles réservées à des cas précis ? Si oui, lesquelles ? Pour qui ? Dans quelles circonstances ? (Ex: décès spécifiques, statuts sociaux particuliers, etc.)
    A l'origine à Guadaires les personnalités les plus riches et importantes était inhumées dans un caveau surélevé par rapport au sol à l'inverse des classes les plus pauvres qui ne bénéficiait que d'un enterrement normal dans un caveau creusé, voir dans une fosse commune. Cette différence ce recent encore aujourd'hui, bien quelle soit bien moins systématique.

    Des méthodes funéraires ont-elles disparu ou commencé à disparaître entre 1900 et aujourd'hui, voire antérieurement à cette date ? Si oui, lesquelles ? Pour quelles raisons ? (Ex: raisons religieuses, hygiéniques, financières, etc.)
    Jusqu'au XIXe siècle les Rois et Chef d'Etat étaient inhumés à l'intérieur d'églises ou de chapelles, mais cette pratique n'a pas résisté à la démocratisation de l'Etat.
    Il était aussi commun pour les familles d'enterrer leurs défunts dans les jardins, mais au tout début du XXe siècle plusieurs rumeurs circulent autour de morts venus hanter leurs proches. La pratique finit par être mal vue par la bourgeoisie (par superstition) et décline jusqu'à être interdite définitivement en 1947 (officiellement par raison hygiénique).

    🏛️ Infrastructures Funéraires :

    ➥ Types de dépôts funéraires selon la quantité d'individus déposés de 1900 à aujourd'hui (en %)

    Un dépôt funéraire (sépulture/tombe) est un lieu où des restes humains ont été VOLONTAIREMENT déposés.
    ⚠️ Sépulture primaire/ Sépulture secondaire : les sépultures primaires demeurent non altérées ou non volontairement altérées par des voies anthropiques après leur dépôt initial tandis que les sépultures secondaires ont été altérées volontairement par des voies anthropiques, par des voies humaines, une seconde fois après leur dépôt initial.


    • ❌ Aucune/Abandon du défunt : 0%
    • ♻️ Réemploi des restes (réef artificiel, décoration, terreau) : 0%
    • 🦅 Terrain d'exposition (tour du silence, inhumation céleste, sépulture aérienne) : moins de 1%
    • 🪦 Terrain d'inhumation terrestre aménagé (cimetière urbain ou rural) : 60%
    • 💧 Terrain d'inhumation aquatique aménagé (caveau ou cimetière sous-marin) : 3%
    • 🏞️ Terrain d'inhumation sauvage (cimetière sauvage, dans la nature) : 3,5%
    • 🚮 Dépôt commun ou collectif grossier (fosse commune, charnier) : 2%
    • 🏛️ Dépôt commun ou collectif primaire (tombeau familial, mausolée) : 6%
    • ⛏️ Dépôt commun ou collectif secondaire (ossuaire, dépôt nomade) : moins de 1%
    • 👑 Sépulture individuelle ou commune/collective monumentale (tombe princière, tumulus, pyramide) : moins de 1% (panthéons)
    • ⚱️ Zone close de dépôt des restes (colombarium, cavurne, urne) : 19%
    • 🥀 Zone particulière de dépôt des restes à l'air libre (jardin du souvenir) : 2%
    • 🌊 Dispersion des restes (mer, vent) : 3%
    • Autre (précisez) :

    Sur quel(s) financement(s) se reposent ces différents types de dépôts/infrastructures funéraires ?
    Les cimetières peuvent avoir différents statuts (nationaux, régionaux, communaux), ils sont financés et construits par l'autorité en charge de ces derniers. Pour les dépot en pleine nature les zones légale d'inhumations sont choisies par les régions culturelles et entretenus par ces dernières. Le financement des cercueil, caveau ou urnes est privé mais certaines régions proposent des aides financière.
    L'Etat fédéral agit peut en matière de services funéraires et délégue la plupart de ces compétences au collectivités locales. Enfin, les cimetières privés ont tous été nationalisés dans les années 60 et ont aujourd'hui disparus.


    Des types de dépôts sont-ils réservés à des cas précis ? Si oui, lesquels ? Pour qui ? Dans quelles circonstances ?
    Les lieux d'inhumations sous-marins sont réservés depuis les années 80 aux travailleurs de la mer (pêcheurs, marins...) et à leur déscendants, ainsi qu'au personne ayant fait acquisition d'un emplacement avant la le vote de cette loi. Cette décision fait suites à une montée en popularité de ces types de sépultures qui risquait de faire perdre leur aspect traditionel.
    Plusieurs villes possèdent des nécropoles où reposent des personnages illustres à l'échelle nationale, régionale ou communale. La nécropole la plus réputé est la Casa de los Muertos de San Ambrosio à Guadaires : elle a été fondé en 1098.


    Des types de dépôts ont-ils disparu ou commencé à disparaître des habitudes funéraires entre 1900 et aujourd'hui, voire antérieurement à cette date ? Si oui, lesquels ? Pour quelles raisons ?
    Il est aujourd'hui devenu très rare d'enterrer ses défunts dans des fosses communes. Cela est du à plusieurs causes : les Guadamos sont aujourd'hui plus nombreux a pouvoir acquerir des tombeau, de plus la légalisation de la crémation est une alternative peu couteuse et jugées plus morale. Dans les années 70, le gouvernement a chercher a rescencer les individus enterrés au sein de fosses communes (notamment durant les grandes repressions de la période fasciste).
    Les églises qui étaient auparavant utilisée comme lieu d'inhumation pour les rois ne le sont plus depuis le XIXe siècle.


    ⚖️ Législation Funéraire :

    Existe-t-il au moins un code funéraire ? OUI
    Si oui, à quelle échelle s’applique ce ou ces code(s) ?
    Il existe un Code Funéraire à l'echelle nationale qui est généralement complété par celui des régions culturelles

    Que contient ou contiennent ce(s) code(s) ?
    Ces textes englobent l'interdiction ou l'autorisation des différentes pratiques d'inhumations, la gestion des cimetières, les aides pour les familles de défunts ainsi que parfois des plans de sauvegarde et de maintien des tombes.

    Existe-t-il d’autres législations spécifiques ?
    Il existe des législations quand au corps de défunts cédés à la science, ce choix est possible cependant il est nécessaire de prévoir une inhumation post-utilisation de corps. dans certains cas les personnes ayant cédé leur corps à la science laissent l'Etat prendre en charge leur funérailles finales. Certains textes encadrent également la gestions des mort dans l'armée (guerre, interventions...) notamment dans le cas où le corps serait perdu. Les soldats bénéficient de cimetières spéciaux et il est fréquent que des cérémonies officielles soit organisées.

    L'activité d'opérateur funéraire est-elle encadrée (même dans un cadre privé) et si oui, dans quelles conditions ?
    Cette activité est globalement libre cependant certains actes sont soumis à la nécessité d'un "certificat d'habilitation" come pour l'enterrement ou la crémation. Seul des agents de l'Etat peuvent fournir des certificats de décès (mairie, préfecture...). Jusqu'en 1983 le seul opérateur funéraire était public mais depuis cette date ce secteur a été ouvert à la concurrence.

    💀 Statistiques globales et décès particuliers :

    Décès à l'étranger (en %) : 2,2%
    Règles pour rapatrier un corps : OUI, la famille peut demander le rapatriement d'un corps, selon certaines conditions (une suffit):
    - L'individu est né ou a vécu plus de 5 ans à Guadaires
    - Un membre de sa famille a ou a eu la nationalité Guadamos
    - L'individu ou sa famille possède un caveau à Guadaires
    - L'individu possède une décoration honorifique de l'Etat de Guadaires ou a été important pour le pays
    - Si le défunt ne répond à aucune de ces conditions, une réclamtion peut être faite auprès d'un tribunal
    Les rappatriement sont gérées par l'ambassade du pays concerné ou par l'Etat directement s'il n'y en a pas.

    Décès inexpliqués (en %) : entre 2% et 5%
    Procédures spéciales pour les cas de disparitions ou décès inexpliqués : OUI, un disparu est supposé mort au bout de 3 mois. Dans le cas de l'armée les disparus bénéficient d'une cérémonie funéraires officielle malgré l'absence du corps et d'une tombe au même titre que les autres soldats. Les décès inexpliqués s'il ne le sont pas dans le cadre d'une enquête ne sont pas sujets à des procédures spéciales.

    ➥ Établissez une liste des dix principales causes de décès des dix dernières années dans votre pays :

    Afin de vous guider, voici les 10 principales causes de mortalité dans le monde selon l'OMS.


    • 1ère : AVC
    • 2ème : Cancer du poumon
    • 3ème : Cardiopathie
    • 4ème : Cancer colo-rectal
    • 5ème : Infection des voies respiratoires
    • 6ème : Bronchopneumatie
    • 7ème : Cancer de l'estomac
    • 8ème : Démences
    • 9ème : Overdoses
    • 10ème : Accidents de voiture

    ➥ Taux bruts de mortalité (en ‰ - pour mille) pour les années suivantes : 8,92 pour 1000

    Rapport entre le nombre annuel de décès et la population totale moyenne sur une période et dans un territoire donné.

    Afin de vous guider, voici le classement des États et territoires du monde par taux de mortalité en ‰ selon le World Population Prospects.


    • 2010 : 8,99 pour mille
    • 2000 : 8,92 pour mille
    • 1990 : 8,32 pour mille
    • 1980 : 9,12 pour mille
    • 1970 : 10,72 pour mille
    • 1960 : 15,24 pour mille
    • 1950 : 18,55 pour mille

    🪦 Monuments Funéraires Remarquables :

    Accompagner les présentations de monuments funéraires d'une photographie ou illustration pourrait être la bienvenue.

    Cimetière(s) célèbre(s) :
    Cimetiere
    Le Cimetière de la Pavela à Guadaires est remarquable pour ses mausolées donnant l'impression de se balader dans une ville. Il a été fondé en 1677 sur un espace à l'époque entièrement rural, en 1812 un incendie ravage le cimetière brulant tout les arbres plantés par les familles de défunt. Cet incident emeut la bourgeoisie locale qui décide de financer la construction de grand mausolés pour chaque tombes en accord avec les familles, cependant le manque de place oblige à les construire accollés les uns avec les autres. Cette particularité va être conservée à partir de cette époque.
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    Monument(s) commémoratif(s) célèbre(s) : (Ex : statues, plaques commémoratives, etc.)
    Panthéon de Guadaires-Ville
    La Casa de los Muertos de San Ambrosio à Guadaires-Ville dans le quartier de La Paz fondé en 1098 par le roi Basilio III (qui fut le premier défunt à y être inumé). Il s'agit d'un panthéon où repose les personnages marquant du pays et de la ville. Cette édifice est autant un mausolé qu'un lieu de commémoration. Il existe d'autres monuments de ce type dans différentes villes mais celui-ci est le plus ancien et le plus important. On y trouve la tombe de grands scientifiques, artistes ou politiciens ayant marqués l'identité guadamos.

    Architecture funéraire remarquable : (Ex : mausolées, tombeaux célèbres, etc.)
    Tombeau du Roi Oscar III
    Le tombeau du Roi Oscar III (mort en 354). Il s'agit d'un tombeau troglodyte comme cela pouvait se faire avant l'arrivée du christianisme. Cela fait d'Oscar III le seul Roi chrétien du pays à reposer dans ce genre de construction. Le mausolée se trouve dans la chaine de montagne brionne au centre du pays.

    Cette architecture funéraire remarquable peut aussi bien être une construction récente ou ancienne, un ensemble commun/collectif ou une sépulture individuelle.

    🚻 Perspectives Anthropologiques :

    Quel(s) rôle(s) culturel(s) les funérailles jouent-elles dans les diverses traditions funéraires et pour les groupes qui les pratiquent ? (Ex : impact sur la société, importance rituelle, relation avec le divin/ avec la nature, conservation de la mémoire, etc.)
    traditionnellement, la mort est perçue à Guadaires comme une forme de libération de l'esprit. En d'autre terme, le mort rejoint l'au-delà et accède à un monde sans contrainte, limite ou même peur. La mort n'est donc que le début de l'affirmation de son moi "reel". Cette perception provient directement de la religion Guadamos qui voyait la vie comme un chemin jusqu'à cette libération.
    Au début du Moyen-Age plusieurs philosophe observe la décomposition des corps et en conclue que les morts se transforme en un ensemble d'être-vivants (insectes, végétaux...), qui se transformeront à leur tour une fois décédés. Il promeuve donc des inhumations en pleine nature. Cette pensée bien que rejetée par les scientifiques influence toujours les funérailles à Guadaires, notamment avec l'importance de la nature dans les cérémonies mais aussi avec les enterrements en millieu sauvage.
    La mémoire des défunts est maintenu à Guadaires par le Dia de los muertes, le jour de la toussaint. La coutume veut que les tombe soient couvertent de fleurs et que les familles organisent une fête en l'honneur de leurs morts. Il est aussi important d'allumer des bougies et d'afficher des portraits des ancêtres.


    Quelle place tient actuellement la mort dans la représentation artistique ?
    Pendant longtemps la mort était beaucoup représentée dans l'art et la culture. De fait, elle n'apparaissait pas comme une chose a éviter ou comme un objet de terreur. Cependant, cette mort était particulièrement idéalisée et magnifiée. Aujourd'hui les peintres et artistes modernes ont tendance a montrer la mort telle qu'elle est sans artifice, mais cette étape de la vie est toujours acceptée dans la culture. Par ailleurs, l'architecture, le paysagisme, les designeurs et les artisants ont toujours eu un attrait pour les tombeau. Les cimetières guadamos sont loin d'avoir un aspect morbide mais sont plutot lieu d'expérience artistique et permettent aux artisants de mettre en avant leur savoir-faire grâce à des réalisations grandioses en hommages aux défunts.

    Un bref historique de cette place de la mort dans la représentation artistique peut aider à faire comprendre la situation actuelle.

    🔮 Futur des Funérailles :

    Les rites et pratiques funéraires de votre pays connaissent-elles des évolutions récentes ? Si oui, lesquelles ? Sont-elles issues d'influences spécifiques ou globales ? (Ex : mondialisation, influence culturelle particulière, etc.)
    Les pratiques guadamos ont toujours été diversifiée de part la présence de cultures toutes très différentes les unes des autres. On ne peut pas dire qu'il y est de grands changement dans les pratiques funéraires si ce n'est la baisse des cérémonies religieuses au profit de cérémonie laiques tout autant préparées.

    Quelle place l'innovation technologique joue-t-elle actuellement sur la culture funéraire ?
    La place de la technologie est aujourd'hui très faible dans la culture funéraire. La société garde un certains conservatismes pour ses pratiques traditionelles.

    Existent-ils des discussions éthiques en cours concernant le statut du défunt au sein de la société ? (Ex : questions liées à la conservation des restes, disposition des organes, clonage post-mortem, etc.)
    Les dons d'organes ont rapidement été légalisés à Guadaires. La société reste souple quant à la question de la mort qui est loin d'être perçue comme un tabou ou une fin en soi. Cependant, les questions de clonages ou de trashumanismes suscites la plupart du temps une attitude de rejet de la part de la population qui y voit une atteinte au cycle naturelle de la vie : et donc à l'identité humaine.
    Par ailleurs, la crémation s'est démocratisée rapidement dès les années 50 comme une alternative plus respectueuse à l'enterrement en fosse commune. L'altération du corps des défunts n'est pas perçue comme problématique car seul l'esprit pars vers l'au-dela et cela peut importe l'état du corps. Les cultures dites "païennes" (Guadairisme) comme chrétiennes ont globalement toujours été en accord sur ce point à Guadaires.

    Plus généralement, existent-ils des discussions visant à reconsidérer l’approche de la société sur la mort ? (Ex : euthanasie, etc.)
    La question de l'euthanasie revient fréquemment dans le débat public à Guadaires. Si l'idée ne choque pas particulièrement, c'est plutot la peur des abus qui remet en cause la légalisation. En effet, les bords les plus conservateurs craignent une extension trop importante de ce droit à l'euthanasie (comme l'euthanasie de personne souffrante mais dans l'incapacité de choisir par eux-même cette décision) et une incitation a réduire les efforts médicaux. D'autres soutiennent l'idée mais craignent qu'avec l'état des hopitaux dans le pays cette mesure est davantage un aspect économique (réduire les besoins en soin) qu'humain.

    Enfin, existent-ils des tendances funéraires émergentes et quelles sont-elles ? (Ex : nouveaux rites funéraires, pratiques alternatives, etc.)C'est dernière année on observe la montée en puissance de nouveau lieu funéraires notamment pour les crémations. En effet, les urnes sont de plus en plus placées dans des jardins du souvenirs ou dispercées dans la nature. Cette tendance est du à la légalisation de ces pratiques en 1997 mais aussi par une intêret croissant pour le lien entre la mort et la nature dans la société. Cela se traduit aussi par une augmentation des enterrements dans des espaces d'inhumations sauvages.
    16011
    Nom du pays : Vrije Liga van de Altakust


    🌐 Culture funéraire à travers le monde


    ⚰️ Cérémonies Funéraires :

    ➥ Méthodes funéraires pratiquées selon la quantité d'individus attestée de 1900 à aujourd'hui (en %)

    Une cérémonie/méthode funéraire est un rite qui implique le traitement VOLONTAIRE du corps d'un défunt.


    • ❌ Aucune/Abandon du défunt : 3%
    • 🔥 Crémation : 16%
    • 🪦 Inhumation terrestre : 47%
    • 💧 Inhumation aquatique : 0% ( interdit par la loi )
    • 🦅 Exposition des restes :>2%
    • 🌱 Humusation/Terramation : 32%
    • 🧊 Promession/Cryomation : 0% ( interdit par la loi )
    • Autre (précisez) :


    Existent-ils des coutumes et pratiques visant à altérer les restes du défunt ou sa sépulture ? Si oui, lesquelles ? Pour quelles méthodes ? À quels groupes sont-elles attachées ? À quelles confessions ou croyances renvoient-elles ? (Ex : excarnation, embaumement, disposition du corps, dépôt d'objets, etc.)

    Pour l'inhumation terrestre le dépôt d’objets personnels est courant. Les personnes de tradition chrétienne, continuent de placer des objets bénits (chapelets, icônes). Chez certains courants plus laïcs ou locaux, on trouve la pratique d’un embaumement léger et de décorer les sépulture avec plusieurs plantes, notamment aromatiques pour que des bonnes odeurs se dégagent de la tombe ce qui chasserait les mauvais esprits. Dans le cas des crémation ( pratiqué en majorité par des familles plus urbanisées ou d’ascendance étrangère notamment scandinave ou d’Europe centrale) on retrouve une pratiques de dispersion des cendres dans les Hauts-Plateaux ou le long des falaises de Korenkaai dans le Sud-Ouest du pays. Puis enfin dans le cas de la Terramation, pratiquée en grande partie par les populations rurales, les restes sont généralement dispersés dans un champ vierge pour servir d'engrais, symbolisant une certaine forme de retour à la nature important dans les rites traditionnels Altakustien.

    Existent-ils d'autres coutumes et pratiques spécifiques accompagnant ces cérémonies funéraires ? Si oui, lesquelles ? Pour quelles méthodes ? À quels groupes sont-elles attachées ? À quelles confessions ou croyances renvoient-elles ? (Ex : rituels, chants, danses, prières, etc.)

    Pour les rites tels que l’inhumation ou la Terramation, il n’y pas de coutumes particulières, celà dépend vraiment des individus et ces moments sont privés. On retrouve évidemment de nombreuses cérémonies de tradition chrétienne ou islamique. Là où on peut vraiment noter une coutume propre à la tradition Altakustienne c’est celle de la “Crémation devant la nation”. Ces rites concernent des personnes décédées qui ont fait le choix de donner leur corps à la nation dans leur testament. conçu initialement comme un hommage à la fin de la révolution où de nombreuses fosses communes ont été découvertes et où par conséquent il était impossible de donner une inhumation individuelle à chaque corps sans compter que ces derniers n’ont pas tous été identifiés. Aujourd’hui c’est considéré comme étant un très grand honneur et une grande fierté d’être inhumé dans ce rituel où durant toute la journée, des chants et des cérémonies collectives ont lieu avant que les corps ne soient finalement inhumés dans un très grand brasier.

    Des méthodes, coutumes et pratiques funéraires sont-elles réservées à des cas précis ? Si oui, lesquelles ? Pour qui ? Dans quelles circonstances ? (Ex: décès spécifiques, statuts sociaux particuliers, etc.)

    Inhumations d’État : à ne pas confondre avec les crémations nationales, elles sont réservées aux anciens membres de l’Assemblée de Klarenheem ou aux héros de la guerre civile (1953–1957), elles impliquent un rituel civique,la présence d’un drapeau officiel, et plusieurs autres cérémonies officielles comme un dépôt de discours dans les archives nationales.
    Exposition des restes : uniquement autorisée dans des circonstances rituelles précises par dérogation, pour des membres d’associations spirituelles indigène. Celà reste rare même si on en a compté près de 20 000 rien qu’en 2015.
    Inhumations doubles (pratiquées uniquement dans certaines communautés lusitano-candeviennes) : pour des couples morts à quelques jours d’intervalle, une tombe commune est creusée en forme de spirale.

    Des méthodes funéraires ont-elles disparu ou commencé à disparaître entre 1900 et aujourd'hui, voire antérieurement à cette date ? Si oui, lesquelles ? Pour quelles raisons ? (Ex: raisons religieuses, hygiéniques, financières, etc.)

    Inhumation aquatique (💧) : autrefois tolérée dans certaines communautés maritimes (notamment dans l’archipel de Sint-Paal), elle a été interdite en 1973 pour des raisons de salubrité et de pollution.
    Momification rituelle : présente dans certains cercles liés à l’avant-guerre (1930–1940), cette méthode a totalement disparu avec l’arrivée au pouvoir de l’Assemblée de Klarenheem, jugée trop « aristocratique ».
    Enterrements religieux standardisés (de type catholique ou protestant classique) : très peu courants avant la guerre d’indépendance, ils sont largement réapparus avec la libération des mœurs Zélandaise dans les années 1960.


    🏛️ Infrastructures Funéraires :

    ➥ Types de dépôts funéraires selon la quantité d'individus déposés de 1900 à aujourd'hui (en %)

    Un dépôt funéraire (sépulture/tombe) est un lieu où des restes humains ont été VOLONTAIREMENT déposés.
    ⚠️ Sépulture primaire/ Sépulture secondaire : les sépultures primaires demeurent non altérées ou non volontairement altérées par des voies anthropiques après leur dépôt initial tandis que les sépultures secondaires ont été altérées volontairement par des voies anthropiques, par des voies humaines, une seconde fois après leur dépôt initial.


    • ❌ Aucune/Abandon du défunt : 2%
    • ♻️ Réemploi des restes (réef artificiel, décoration, terreau) : 10%
    • 🦅 Terrain d'exposition (tour du silence, inhumation céleste, sépulture aérienne) : <1%
    • 🪦 Terrain d'inhumation terrestre aménagé (cimetière urbain ou rural) : 37%
    • 💧 Terrain d'inhumation aquatique aménagé (caveau ou cimetière sous-marin) : 0% (interdit)
    • 🏞️ Terrain d'inhumation sauvage (cimetière sauvage, dans la nature) : 4%
    • 🚮 Dépôt commun ou collectif grossier (fosse commune, charnier) : 3%
    • 🏛️ Dépôt commun ou collectif primaire (tombeau familial, mausolée) : 10%
    • ⛏️ Dépôt commun ou collectif secondaire (ossuaire, dépôt nomade) : 7%
    • 👑 Sépulture individuelle ou commune/collective monumentale (tombe princière, tumulus, pyramide) : <1%
    • ⚱️ Zone close de dépôt des restes (colombarium, cavurne, urne) : 10%
    • 🥀 Zone particulière de dépôt des restes à l'air libre (jardin du souvenir) : 5%
    • 🌊 Dispersion des restes (mer, vent, champ) : 11%
    • Autre (précisez) :

    Il est préférable que vous remplaciez les exemples ici donnés entre parenthèses par des exemples ayant cours dans votre pays.
    ❗Dans le cas d'une séparation de restes humains, vous pouvez dépasser les 100% pour signifier l'utilisation de plusieurs types de dépôts funéraires pour un même individu. Veuillez indiquer cette séparation des restes en accompagnant le pourcentage des lettres SÉP.


    Sur quel(s) financement(s) se reposent ces différents types de dépôts/infrastructures funéraires ? (Ex : État, collectivités locales, organisations religieuses, privées, etc.)

    L’inhumation terrestre aménagée étant le mode dominant (environ 47 %), bien qu’en net recul. Elle est largement financée par les collectivités locales, avec un soutien administratif de l’État. Les familles participent selon leurs moyens, parfois via des coopératives funéraires. À partir des années 1990, on assiste à une forte progression des terrains d’inhumation sauvage, liés à l’essor de l’humusation (32 %). Ce type de dépôt est généralement financé par des associations, des communes rurales, ou des réseaux coopératifs. L’État a officialisé cette pratique dans un décret de 2008 permettant un financement national. Pour la crémation, les crématoriums sont publics ou semi-publics, gérés par les intercommunalités, parfois en partenariat avec des entreprises privées. Les restes peuvent être déposés en columbarium (souvent municipal) ou être directement donnés à la famille du défunt. Dans le cas des “Crémation devant la nation”, tout le processus est géré et financé par l’état.

    Des types de dépôts sont-ils réservés à des cas précis ? Si oui, lesquels ? Pour qui ? Dans quelles circonstances ? (Ex: décès spécifiques, statuts sociaux particuliers, etc.)

    Terrains d’exposition (séchoirs traditionnels) : Réservés aux de tribus anciennes du Sud-Est, en particulier dans les vallées de l’Isjerk, appartenant à une tradition locale ayant résisté au métissage. Usage strictement cérémoniel et autorisé à titre exceptionnel.

    Des types de dépôts ont-ils disparu ou commencé à disparaître des habitudes funéraires entre 1900 et aujourd'hui, voire antérieurement à cette date ? Si oui, lesquels ? Pour quelles raisons ? (Ex: raisons religieuses, hygiéniques, financières, etc.)

    Ossuaires secondaires : Très répandus avant 1950 dans les communes ouvrières, ils ont peu à peu disparu avec la baisse de la mortalité collective et l’individualisation des pratiques funéraires. Leur abandon résulte aussi de préoccupations sanitaires.


    Fosses communes : Utilisées lors des conflits civils (1952–1957), elles ont été peu à peu supprimées en faveur de processus d’identification systématiques. Leur usage est aujourd’hui perçu comme une atteinte à la mémoire individuelle.
    Exposition des restes : Très minoritaire, cette pratique n’a jamais été formellement interdite mais s’est vue fortement réduite depuis les années 1980, notamment sous l'effet de campagnes d’hygiène publique. Seuls six villages disposent encore d'infrastructures adaptées.


    ⚖️ Législation Funéraire :

    Existe-t-il au moins un code funéraire ? Il n’existe pas, à proprement parler, de code funéraire unifié dans la Vrije Liga van de Altakust. Le droit funéraire y repose sur un enchevêtrement de décrets, d’arrêtés communaux et de circulaires ministérielles. Parmi les plus notables figure le décret de 2008 qui a légalisé et encadré l’humusation, marquant une avancée majeure en matière de dépôts écologiques. D'autres textes régissent localement la gestion des cimetières, la crémation, ou encore les modalités de dispersion des cendres. Cependant, aucun corpus centralisé ni systématique n’a encore été constitué, ce qui rend les pratiques et obligations parfois hétérogènes d’une commune à l’autre. Certaines coopératives ou réseaux de communes ont tenté d’harmoniser les procédures, sans donner lieu à un véritable code officiel à l’échelle de la Liga.

    L'activité d'opérateur funéraire est-elle encadrée (même dans un cadre privé) et si oui, dans quelles conditions ? Oui, l’activité d’opérateur funéraire est strictement encadrée, même si elle peut être exercée dans un cadre privé, associatif ou coopératif. Depuis la réforme de 1996 sur les services publics de proximité, l’État altakustien délègue la gestion des opérations funéraires aux collectivités locales, qui sont libres de conclure des contrats avec des opérateurs privés sous réserve de respecter des normes nationales. Pour exercer légalement, un opérateur funéraire doit : Obtenir un agrément délivré par l’Agence de Santé Publique de la Liga, valable pour 5 ans renouvelables. Suivre une formation obligatoire d’au moins 120 heures, incluant des modules sur la législation funéraire, l’éthique, la manipulation des corps, l’accompagnement des familles et les normes sanitaires. Respecter une charte de neutralité religieuse, sauf dans le cas d’entreprises confessionnelles dûment enregistrées (notamment juives, musulmanes ou chrétienne). Détenir une assurance responsabilité civile professionnelle. Et disposer d’installations conformes, notamment pour la conservation temporaire des corps (frigorifiques ou salles de veille), la gestion des cercueils, et le transport mortuaire.


    💀 Statistiques globales et décès particuliers :

    Décès à l'étranger (en %) : 2%
    Règles pour rapatrier un corps : OUI, celà nécessite : Un certificat de décès officiel et, en cas de décès suspect, un rapport d’autopsie reconnu par les autorités altakustiennes ou par une juridiction partenaire. Un laissez-passer mortuaire délivré par le consulat ou la mission diplomatique altakustienne. Un cercueil hermétique ou à double enveloppe, si le corps a été conservé au-delà de 48h. Une déclaration préalable auprès du ministère des Affaires civiles, pour contrôle sanitaire à l’arrivée. Le coût du rapatriement est généralement pris en charge par les assurances privées ou par les caisses funéraires mutualisées lorsqu’il s’agit de citoyens à faibles ressources. L’État peut exceptionnellement intervenir en cas de mort en service commandé ou de statut protégé.
    Décès inexpliqués (en %) : 5%
    Procédures spéciales pour les cas de disparitions ou décès inexpliqués : OUI
    Dans les cas de décès inexpliqués, les autorités appliquent une procédure standardisée impliquant : Saisie automatique du Bureau médico-légal régional, avec autopsie obligatoire et gel des opérations funéraires. Saisie judiciaire des effets personnels et des communications du défunt. Ouverture d’une enquête préliminaire sous autorité du parquet civil ou militaire selon les cas. En cas de disparition sans corps, un statut de "présumé décédé" peut être prononcé au bout de 3 ans (ou 1 an dans des cas spécifiques comme les catastrophes reconnues, opérations militaires, etc.), permettant d’engager des démarches successorales et/ou funéraires.

    ➥ Établissez une liste des dix principales causes de décès des dix dernières années dans votre pays :

    Afin de vous guider, voici les 10 principales causes de mortalité dans le monde selon l'OMS.


    • 1ère : Maladies cardiovasculaires
    • Infarctus, AVC, insuffisance cardiaque. En hausse constante depuis 20 ans, liées à l’urbanisation rapide, au vieillissement de la population, et à une alimentation de plus en plus industrialisée.
    • 2ème : Cancers (tous types confondus)
    • Surtout cancers du poumon, colorectal et du sein. Les expositions industrielles aux particules fines dans le Nord-Est du pays (bassin minier de Grotmaan) aggravent les statistiques.
    • 3ème : Affections respiratoires chroniques
    • Bronchopneumopathies, emphysèmes, fibroses pulmonaires. Une conséquence directe de l’industrie lourde et des régions polluées historiquement non régulées jusqu’aux années 1980.
    • 4ème : Suicides
    • Le taux de suicide est parmi les plus élevés De paltoltera, notamment chez les hommes de plus de 45 ans vivant en zones rurales, ainsi que chez les jeunes en situation de précarité. L'héritage post-guerre civile et le délitement des structures communautaires y jouent un rôle.
    • 5ème : Accidents de transport
    • Particulièrement sur le réseau secondaire. Malgré les efforts récents sur la législation routière, les routes restent meurtrières dans les provinces nord-orientales.
    • 6ème : Cirrhoses et maladies hépatiques
    • L’alcoolisme structurel dans certaines régions (notamment l’ex-bassin d’Engelte) alimente un nombre important de maladies du foie, avec une tendance croissante chez les moins de 40 ans.
    • 7ème : Infections respiratoires aiguës
    • Grippes, pneumonies, notamment chez les personnes âgées. Le manque de campagnes de vaccination massives (faible confiance dans le secteur médical d'État dans certaines classes sociales) rend la population vulnérable en période hivernale.
    • 8ème : Décès violents ou homicides
    • Incluant règlements de compte, violences intrafamiliales, et tensions intercommunautaires encore résiduelles. Les zones anciennement en tension présentent encore des poches de criminalité violente.
    • 9ème : Troubles métaboliques (diabètes, obésité morbide)
    • En forte augmentation, principalement dans les classes populaires. L’accès inégal à une alimentation saine et le recul des soins de proximité contribuent à ce phénomène.
    • 10ème : Morts liées à des complications médicales non prises en charge
    • C’est-à-dire des décès évitables dans un autre contexte médical : infections non traitées, erreurs thérapeutiques, défauts d’accès à des soins d’urgence en zones enclavées. Problème structurel dans les provinces de l’intérieur, où le système de santé reste sous-doté.


    ➥ Taux bruts de mortalité (en ‰ - pour mille) pour les années suivantes :

    Rapport entre le nombre annuel de décès et la population totale moyenne sur une période et dans un territoire donné.

    Afin de vous guider, voici le classement des États et territoires du monde par taux de mortalité en ‰ selon le World Population Prospects.


    • 2010 : 0.0057% ( 5,7 décès pour 1000 personnes )
    • 2000 : 0.0049% ( 4,9 décès pour 1000 personnes )
    • 1990 : 0.0066% ( 6,6 décès pour 1000 personnes )
    • 1980 : 0.0098% ( 9,8 décès pour 1000 personnes )
    • 1970 : 0.0102% ( 10,2 décès pour 1000 personnes )
    • 1960 : 0.0257% ( 25,7 décès pour 1000 personnes ) -> fin de la guerre civile
    • 1950 : 0.0143% ( 14,3 décès pour 1000 personnes ) -> période pré guerre civile

    🪦 Monuments Funéraires Remarquables :

    Accompagner les présentations de monuments funéraires d'une photographie ou illustration pourrait être la bienvenue.

    Cimetière(s) célèbre(s) :
    Cimetière maritime de Wintam : Installé en bordure du delta, il regroupe les cénotaphes de marins disparus en mer et certaines inhumations aquatiques autorisées par dérogation. C’est aussi un lieu de pèlerinage symbolique pour les familles dont les proches n’ont jamais été retrouvés.
    .

    Monument(s) commémoratif(s) célèbre(s) : (Ex : statues, plaques commémoratives, etc.)
    Mur de Grévennes : Un long mur noir de basalte, gravé des noms des disparus non identifiés de la guerre civile. Il est situé dans l’ancien quartier ouvrier d’Hooch-Drave, à proximité des anciens ateliers transformés en musée de la mémoire ouvrière.
    .

    Architecture funéraire remarquable : (Ex : mausolées, tombeaux célèbres, etc.)
    Le Mausolée de Jos Hoogenberg (section nord de Klarenheem-Veld) : Tombe monumentale en granit noir, flanquée de statues allégoriques représentant la "Justice" et le "Peuple". Sa crypte contient également les restes de plusieurs membres de la première Section Hoogenberg.
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    🚻 Perspectives Anthropologiques :

    Quel(s) rôle(s) culturel(s) les funérailles jouent-elles dans les diverses traditions funéraires et pour les groupes qui les pratiquent ? Les funérailles jouent un rôle social fort dans la Liga. Peu importe les convictions religieuses ou politiques, enterrer quelqu’un est un acte collectif. Même dans les familles les plus pauvres ou les plus isolées, on fait en sorte qu’il y ait du monde, un repas, un discours ou au moins un geste symbolique. Dans les zones rurales ou industrielles, c’est le village ou le quartier qui prend le relais : les voisins aident, apportent à manger, prennent en charge les formalités si la famille est dépassée. C’est une forme de solidarité de proximité. Dans les grandes villes, les choses sont plus impersonnelles, mais dans certains secteurs populaires (Zoeterwoud-Sud, Les Grèves d’Oostport), les comités de quartier ou des collectifs militants participent encore activement aux funérailles, surtout si la personne était connue localement. Certaines familles font appel à des services funéraires religieux (protestants, catholiques, musulmans, etc.), mais de plus en plus de cérémonies sont laïques. On y lit des textes, on projette des photos, on passe de la musique. C’est plus personnel, mais ça reste codé : on marque l’événement, on fait mémoire, on témoigne.

    Quelle place tient actuellement la mort dans la représentation artistique ?
    Aujourd’hui, la mort n’est pas un sujet tabou, mais elle est rarement mise en avant de manière frontale dans l’art populaire ou officiel. Dans l’art public (musées, fresques, événements culturels), on parle surtout de mémoire historique : guerre civile, morts des luttes sociales, catastrophes industrielles. Il existe des monuments locaux aux morts, souvent financés par les communes ou des collectifs, mais peu de choses vraiment nationales dès qu’on sort du spectre de la guerre civile. Dans les chansons, romans ou films produits localement, la mort est bien présente, mais plutôt sous forme de faits divers, accidents, maladies, violences politiques ou sociales. On parle peu de la mort métaphysique ; on parle de gens qui meurent dans un incendie, d’un cancer, d’une bavure policière ou d’un suicide. C’est concret, brut. Dans les milieux artistiques contemporains (centres culturels alternatifs, expositions indépendantes), la mort est abordée avec un regard plus critique : il y a des installations sur les silos à médicaments, des performances sur les femmes mortes en maternité dans les années 70, des archives photographiques sur les disparus de 1955. Mais ça reste confidentiel, souvent réservé à des cercles militants ou culturels engagés. Dans le cinéma ou la bande dessinée, on représente surtout la mort comme une conséquence des conditions de vie, pas comme une figure mystique ou abstraite. Ce n’est pas sacré. Ce n’est pas tabou. C’est un fait.

    🔮 Futur des Funérailles :

    Les rites et pratiques funéraires de votre pays connaissent-elles des évolutions récentes ? Si oui, lesquelles ? Sont-elles issues d'influences spécifiques ou globales ? (Ex : mondialisation, influence culturelle particulière, etc.) Oui, les rites funéraires dans la Vrije Liga van de Altakust connaissent plusieurs évolutions récentes, principalement depuis la réouverture progressive du pays au reste du monde. On note une montée des cérémonies laïques, souvent inspirées de modèles plus eurysien et de courant plus moderniste qui vont avoir tendance à rejeter la forte culture religieuse d’une génération Altakustienne plus âgé qui a connu les 10 ardentes ( périodes post-guerre civile avec la recrudescence de plusieurs mouvement religieux traditionaliste ). on voit également la recrudescence de rites plus anciens, avec énormément de crémation et de Terramation qui renforce cette opposition d’un génération plus jeune à toute la tradition chrétienne du pays et la préférence d’une certaine forme de retour au source et d’un embrasement de la culture précoloniale par les métisse et les indigène de sang pur ( même si très rare ).

    Quelle place l'innovation technologique joue-t-elle actuellement sur la culture funéraire ? Cette dernière est très faible, la nature très traditionnelle des rites funéraires et plus généralement de la vision du défunt dans la société Altakustienne limite les nouvelles idée qui sont réfuté par l’opinion public et ne font tout simplement pas partie du débat public

    Existent-ils des discussions éthiques en cours concernant le statut du défunt au sein de la société ? Le statut légal de l’exposition des restes revient régulièrement sur la table des débats. Bien que ce soit une tradition native du pays, elle est remise en cause même par les personnels les plus proches des rites anciens. Mais ces rites n’ont jamais pu être interdit de par l’opposition systématique des états où ces rites ont lieu dans le Sud Est du pays. Il peut également arriver certaine fois que les “Crémation devant la nation” soit remise en cause par des forces politiques mineures et les milieux traditionnels Zélandais mais leur statut commémoratif limite ces critiques.

    Plus généralement, existent-ils des discussions visant à reconsidérer l’approche de la société sur la mort ? L’Euthanasie n’est tout simplement pas une option. Cette dernière n’a quasiment jamais été débattue et elle n’est pas réclamée. l’idée de mettre en place ce genre de solution aurait beaucoup de mal à s’intégrer à la vision qu’a la société altakustienne qui est très religieuse et qui considère la vie comme la chose la plus sacrée sur terre. C’est aussi pour cette raison que les soins palliatifs sont eux aussi très peu répandus.

    Enfin, existent-ils des tendances funéraires émergentes et quelles sont-elles ? Comme quand nous parlions des apports lié à la technologie, les nouvelles tendances sont quasiment inexistantes du fait de la vision très traditionnelle portée sur les rites funéraires. A moins qu’un nouveau rite ne soit qu’une légère évolution de ce qui est existe déjà, ce dernier n’a pas sa place de le débat public et même si il l’avait on ne parle que de quelque dizaine de personnes.
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