06/08/2013
10:37:33
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[ATLAS] ⚰️ Questionnaire sur la culture funéraire

3855
Nous vous proposons ici un troisième questionnaire pour l'atlas thématique dans la suite de ceux sur les boissons et l'automobile, pouvant toujours être complétés au besoin.

Ce troisième questionnaire des atlas thématique concerne la culture funéraire. Il s’agit de connaître, par des approches anthropologique et statistique, les us et coutumes concernant la mort et le traitement des défunts dans votre pays : Vos habitants sont-ils inhumés ou incinérés ? Sont-ils placés en dépôts individuels ou collectifs ? Quels sont les rites et les croyances qui accompagnent leurs funérailles ? Quelles sont les principales causes de leurs décès ? Etc.

Ci-dessous, vous trouverez le questionnaire. Les questions ou indications subsidiaires, indiquées sans effet de gras ou placées entre parenthèses, sont là pour préciser la question principale et vous aider à répondre.
En dessous de celui-ci, vous avez le code à copier/coller.


🌐 Culture funéraire à travers le monde


⚰️ Cérémonies Funéraires :

➥ Méthodes funéraires pratiquées selon la quantité d'individus attestée de 1900 à aujourd'hui (en %)

Une cérémonie/méthode funéraire est un rite qui implique le traitement VOLONTAIRE du corps d'un défunt.


  • ❌ Aucune/Abandon du défunt :
  • 🔥 Crémation :
  • 🪦 Inhumation terrestre :
  • 💧 Inhumation aquatique :
  • 🦅 Exposition des restes :
  • 🌱 Humusation/Terramation :
  • 🧊 Promession/Cryomation :
  • Autre (précisez) :

❗Dans le cas d'une séparation de restes humains, vous pouvez dépasser les 100% pour signifier l'utilisation de plusieurs méthodes funéraires pour un même individu. Veuillez indiquer cette séparation des restes en accompagnant le pourcentage des lettres SÉP.

Existent-ils des coutumes et pratiques visant à altérer les restes du défunt ou sa sépulture ? Si oui, lesquelles ? Pour quelles méthodes ? À quels groupes sont-elles attachées ? À quelles confessions ou croyances renvoient-elles ? (Ex : excarnation, embaumement, disposition du corps, dépôt d'objets, etc.)
Existent-ils d'autres coutumes et pratiques spécifiques accompagnant ces cérémonies funéraires ? Si oui, lesquelles ? Pour quelles méthodes ? À quels groupes sont-elles attachées ? À quelles confessions ou croyances renvoient-elles ? (Ex : rituels, chants, danses, prières, etc.)
Des méthodes, coutumes et pratiques funéraires sont-elles réservées à des cas précis ? Si oui, lesquelles ? Pour qui ? Dans quelles circonstances ? (Ex: décès spécifiques, statuts sociaux particuliers, etc.)
Des méthodes funéraires ont-elles disparu ou commencé à disparaître entre 1900 et aujourd'hui, voire antérieurement à cette date ? Si oui, lesquelles ? Pour quelles raisons ? (Ex: raisons religieuses, hygiéniques, financières, etc.)

🏛️ Infrastructures Funéraires :

➥ Types de dépôts funéraires selon la quantité d'individus déposés de 1900 à aujourd'hui (en %)

Un dépôt funéraire (sépulture/tombe) est un lieu où des restes humains ont été VOLONTAIREMENT déposés.
⚠️ Sépulture primaire/ Sépulture secondaire : les sépultures primaires demeurent non altérées ou non volontairement altérées par des voies anthropiques après leur dépôt initial tandis que les sépultures secondaires ont été altérées volontairement par des voies anthropiques, par des voies humaines, une seconde fois après leur dépôt initial.


  • ❌ Aucune/Abandon du défunt :
  • ♻️ Réemploi des restes (réef artificiel, décoration, terreau) :
  • 🦅 Terrain d'exposition (tour du silence, inhumation céleste, sépulture aérienne) :
  • 🪦 Terrain d'inhumation terrestre aménagé (cimetière urbain ou rural) :
  • 💧 Terrain d'inhumation aquatique aménagé (caveau ou cimetière sous-marin) :
  • 🏞️ Terrain d'inhumation sauvage (cimetière sauvage, dans la nature) :
  • 🚮 Dépôt commun ou collectif grossier (fosse commune, charnier) :
  • 🏛️ Dépôt commun ou collectif primaire (tombeau familial, mausolée) :
  • ⛏️ Dépôt commun ou collectif secondaire (ossuaire, dépôt nomade) :
  • 👑 Sépulture individuelle ou commune/collective monumentale (tombe princière, tumulus, pyramide) :
  • ⚱️ Zone close de dépôt des restes (colombarium, cavurne, urne) :
  • 🥀 Zone particulière de dépôt des restes à l'air libre (jardin du souvenir) :
  • 🌊 Dispersion des restes (mer, vent) :
  • Autre (précisez) :

Il est préférable que vous remplaciez les exemples ici donnés entre parenthèses par des exemples ayant cours dans votre pays.
❗Dans le cas d'une séparation de restes humains, vous pouvez dépasser les 100% pour signifier l'utilisation de plusieurs types de dépôts funéraires pour un même individu. Veuillez indiquer cette séparation des restes en accompagnant le pourcentage des lettres SÉP.


Sur quel(s) financement(s) se reposent ces différents types de dépôts/infrastructures funéraires ? (Ex : État, collectivités locales, organisations religieuses, privées, etc.)
Des types de dépôts sont-ils réservés à des cas précis ? Si oui, lesquels ? Pour qui ? Dans quelles circonstances ? (Ex: décès spécifiques, statuts sociaux particuliers, etc.)
Des types de dépôts ont-ils disparu ou commencé à disparaître des habitudes funéraires entre 1900 et aujourd'hui, voire antérieurement à cette date ? Si oui, lesquels ? Pour quelles raisons ? (Ex: raisons religieuses, hygiéniques, financières, etc.)

⚖️ Législation Funéraire :

Existe-t-il au moins un code funéraire ? OUI/NON
Si oui, à quelle échelle s’applique ce ou ces code(s) ? (Nationale, fédérale, communale, autres.)
Que contient ou contiennent ce(s) code(s) ? (Gestion des cimetières, règlements sur la crémation, etc.)
Existe-t-il d’autres législations spécifiques ? (Traitements post-mortem, transport des corps, etc.)
L'activité d'opérateur funéraire est-elle encadrée (même dans un cadre privé) et si oui, dans quelles conditions ? (Si nécessaire, conditions d'obtention d'une autorisation de pratiquer.)

💀 Statistiques globales et décès particuliers :

Décès à l'étranger (en %) :
Règles pour rapatrier un corps : OUI/NON (Développez.)
Décès inexpliqués (en %) : (Selon la capacité de la science dans votre pays.)
Procédures spéciales pour les cas de disparitions ou décès inexpliqués : OUI/NON (Développez.)

➥ Établissez une liste des dix principales causes de décès des dix dernières années dans votre pays :

Afin de vous guider, voici les 10 principales causes de mortalité dans le monde selon l'OMS.


  • 1ère :
  • 2ème :
  • 3ème :
  • 4ème :
  • 5ème :
  • 6ème :
  • 7ème :
  • 8ème :
  • 9ème :
  • 10ème :

➥ Taux bruts de mortalité (en ‰ - pour mille) pour les années suivantes :

Rapport entre le nombre annuel de décès et la population totale moyenne sur une période et dans un territoire donné.

Afin de vous guider, voici le classement des États et territoires du monde par taux de mortalité en ‰ selon le World Population Prospects.


  • 2010 :
  • 2000 :
  • 1990 :
  • 1980 :
  • 1970 :
  • 1960 :
  • 1950 :

🪦 Monuments Funéraires Remarquables :

Accompagner les présentations de monuments funéraires d'une photographie ou illustration pourrait être la bienvenue.

Cimetière(s) célèbre(s) :
Monument(s) commémoratif(s) célèbre(s) : (Ex : statues, plaques commémoratives, etc.)
Architecture funéraire remarquable : (Ex : mausolées, tombeaux célèbres, etc.)

Cette architecture funéraire remarquable peut aussi bien être une construction récente ou ancienne, un ensemble commun/collectif ou une sépulture individuelle.

🚻 Perspectives Anthropologiques :

Quel(s) rôle(s) culturel(s) les funérailles jouent-elles dans les diverses traditions funéraires et pour les groupes qui les pratiquent ? (Ex : impact sur la société, importance rituelle, relation avec le divin/ avec la nature, conservation de la mémoire, etc.)
Quelle place tient actuellement la mort dans la représentation artistique ?

Un bref historique de cette place de la mort dans la représentation artistique peut aider à faire comprendre la situation actuelle.

🔮 Futur des Funérailles :

Les rites et pratiques funéraires de votre pays connaissent-elles des évolutions récentes ? Si oui, lesquelles ? Sont-elles issues d'influences spécifiques ou globales ? (Ex : mondialisation, influence culturelle particulière, etc.)
Quelle place l'innovation technologique joue-t-elle actuellement sur la culture funéraire ?
Existent-ils des discussions éthiques en cours concernant le statut du défunt au sein de la société ? (Ex : questions liées à la conservation des restes, disposition des organes, clonage post-mortem, etc.)
Plus généralement, existent-ils des discussions visant à reconsidérer l’approche de la société sur la mort ? (Ex : euthanasie, etc.)
Enfin, existent-ils des tendances funéraires émergentes et quelles sont-elles ? (Ex : nouveaux rites funéraires, pratiques alternatives, etc.)


Questionnaire

Nom du pays :

[quote]
[ignore][justify][size=1.4][b]🌐 [i][u]Culture funéraire à travers le monde[/u][/i][/b][/size][/ignore]


[ignore][size=1.2][b]⚰️ Cérémonies Funéraires :[/b][/size][/ignore]

[ignore]➥ Méthodes funéraires pratiquées selon la quantité d'individus attestée de 1900 à aujourd'hui (en %)

[i]Une cérémonie/méthode funéraire est un rite qui implique le traitement VOLONTAIRE du corps d'un défunt.[/i][/ignore]

[list][ignore][*]❌ Aucune/Abandon du défunt :[/ignore]
[ignore][*]🔥 Crémation :[/ignore]
[ignore][*]🪦 Inhumation terrestre :[/ignore]
[ignore][*]💧 Inhumation aquatique :[/ignore]
[ignore][*]🦅 Exposition des restes :[/ignore]
[ignore][*]🌱 Humusation/Terramation :[/ignore]
[ignore][*]🧊 Promession/Cryomation :[/ignore]
[ignore][*] Autre (précisez) :[/ignore] [/list]


[ignore][i]❗Dans le cas d'une séparation de restes humains, vous pouvez dépasser les 100% pour signifier l'utilisation de plusieurs méthodes funéraires pour un même individu. Veuillez indiquer cette séparation des restes en accompagnant le pourcentage des lettres [b]SÉP[/b].[/i][/ignore]

[ignore]➤ [b]Existent-ils des coutumes et pratiques visant à altérer les restes du défunt ou sa sépulture ?[/b][/ignore] Si oui, lesquelles ? Pour quelles méthodes ? À quels groupes sont-elles attachées ? À quelles confessions ou croyances renvoient-elles ? (Ex : excarnation, embaumement, disposition du corps, dépôt d'objets, etc.)
[ignore]➤ [b]Existent-ils d'autres coutumes et pratiques spécifiques accompagnant ces cérémonies funéraires ?[/b][/ignore] Si oui, lesquelles ? Pour quelles méthodes ? À quels groupes sont-elles attachées ? À quelles confessions ou croyances renvoient-elles ? (Ex : rituels, chants, danses, prières, etc.)
[ignore]➤ [b]Des méthodes, coutumes et pratiques funéraires sont-elles réservées à des cas précis ?[/b][/ignore] Si oui, lesquelles ? Pour qui ? Dans quelles circonstances ? (Ex: décès spécifiques, statuts sociaux particuliers, etc.)
[ignore]➤ [b]Des méthodes funéraires ont-elles disparu ou commencé à disparaître entre 1900 et aujourd'hui, voire antérieurement à cette date ?[/b][/ignore] Si oui, lesquelles ? Pour quelles raisons ? (Ex: raisons religieuses, hygiéniques, financières, etc.)

[ignore][size=1.2][b]🏛️ Infrastructures Funéraires :[/b][/size][/ignore]

[ignore]➥ Types de dépôts funéraires selon la quantité d'individus déposés de 1900 à aujourd'hui (en %)

[i]Un dépôt funéraire (sépulture/tombe) est un lieu où des restes humains ont été VOLONTAIREMENT déposés.
⚠️ Sépulture primaire/ Sépulture secondaire : les sépultures primaires demeurent non altérées ou non volontairement altérées par des voies anthropiques après leur dépôt initial tandis que les sépultures secondaires ont été altérées volontairement par des voies anthropiques, par des voies humaines, une seconde fois après leur dépôt initial.[/i][/ignore]

[list][ignore][*]❌ Aucune/Abandon du défunt :[/ignore]
[ignore][*]♻️ Réemploi des restes (réef artificiel, décoration, terreau) :[/ignore]
[ignore][*]🦅 Terrain d'exposition (tour du silence, inhumation céleste, sépulture aérienne) :[/ignore]
[ignore][*]🪦 Terrain d'inhumation terrestre aménagé (cimetière urbain ou rural) :[/ignore]
[ignore][*]💧 Terrain d'inhumation aquatique aménagé (caveau ou cimetière sous-marin) :[/ignore]
[ignore][*]🏞️ Terrain d'inhumation sauvage (cimetière sauvage, dans la nature) :[/ignore]
[ignore][*]🚮 Dépôt commun ou collectif grossier (fosse commune, charnier) :[/ignore]
[ignore][*]🏛️ Dépôt commun ou collectif primaire (tombeau familial, mausolée) :[/ignore]
[ignore][*]⛏️ Dépôt commun ou collectif secondaire (ossuaire, dépôt nomade) :[/ignore]
[ignore][*]👑 Sépulture individuelle ou commune/collective monumentale (tombe princière, tumulus, pyramide) :[/ignore]
[ignore][*]⚱️ Zone close de dépôt des restes (colombarium, cavurne, urne) :[/ignore]
[ignore][*]🥀 Zone particulière de dépôt des restes à l'air libre (jardin du souvenir) :[/ignore]
[ignore][*]🌊 Dispersion des restes (mer, vent) :[/ignore]
[ignore][*] Autre (précisez) :[/ignore] [/list]


[ignore][i]Il est préférable que vous remplaciez les exemples ici donnés entre parenthèses par des exemples ayant cours dans votre pays.
❗Dans le cas d'une séparation de restes humains, vous pouvez dépasser les 100% pour signifier l'utilisation de plusieurs types de dépôts funéraires pour un même individu. Veuillez indiquer cette séparation des restes en accompagnant le pourcentage des lettres [b]SÉP[/b].[/i][/ignore]

[ignore]➤ [b]Sur quel(s) financement(s) se reposent ces différents types de dépôts/infrastructures funéraires ?[/b][/ignore] (Ex : État, collectivités locales, organisations religieuses, privées, etc.)
[ignore]➤ [b]Des types de dépôts sont-ils réservés à des cas précis ?[/b][/ignore] Si oui, lesquels ? Pour qui ? Dans quelles circonstances ? (Ex: décès spécifiques, statuts sociaux particuliers, etc.)
[ignore]➤ [b]Des types de dépôts ont-ils disparu ou commencé à disparaître des habitudes funéraires entre 1900 et aujourd'hui, voire antérieurement à cette date ?[/b][/ignore] Si oui, lesquels ? Pour quelles raisons ? (Ex: raisons religieuses, hygiéniques, financières, etc.)

[ignore][size=1.2][b]⚖️ Législation Funéraire :[/b][/size][/ignore]

[ignore]➤ [b]Existe-t-il au moins un code funéraire ?[/b][/ignore] OUI/NON
[ignore]➤ [b]Si oui, à quelle échelle s’applique ce ou ces code(s) ?[/b][/ignore] (Nationale, fédérale, communale, autres.)
[ignore]➤ [b]Que contient ou contiennent ce(s) code(s) ?[/b][/ignore] (Gestion des cimetières, règlements sur la crémation, etc.)
[ignore]➤ [b]Existe-t-il d’autres législations spécifiques ?[/b][/ignore] (Traitements post-mortem, transport des corps, etc.)
[ignore]➤ [b]L'activité d'opérateur funéraire est-elle encadrée (même dans un cadre privé) et si oui, dans quelles conditions ?[/b][/ignore] (Si nécessaire, conditions d'obtention d'une autorisation de pratiquer.)

[ignore][b][size=1.2]💀 Statistiques globales et décès particuliers :[/size][/b][/ignore]

[ignore]➤ [b]Décès à l'étranger (en %) :[/b][/ignore]
[ignore]➤ [b]Règles pour rapatrier un corps :[/b][/ignore] OUI/NON (Développez.)
[ignore]➤ [b]Décès inexpliqués (en %) :[/b][/ignore] (Selon la capacité de la science dans votre pays.)
[ignore]➤ [b]Procédures spéciales pour les cas de disparitions ou décès inexpliqués :[/b][/ignore] OUI/NON (Développez.)

[ignore]➥ Établissez une liste des dix principales causes de décès des dix dernières années dans votre pays :

[i]Afin de vous guider, voici [url=https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/the-top-10-causes-of-death]les 10 principales causes de mortalité dans le monde[/url] selon l'OMS.[/i][/ignore]

[list][*] 1ère :
[*] 2ème :
[*] 3ème :
[*] 4ème :
[*] 5ème :
[*] 6ème :
[*] 7ème :
[*] 8ème :
[*] 9ème :
[*] 10ème :[/list]


[ignore]➥ Taux bruts de mortalité (en ‰ - pour mille) pour les années suivantes :

[i]Rapport entre le nombre annuel de décès et la population totale moyenne sur une période et dans un territoire donné.[/i]

[i]Afin de vous guider, voici [url=https://atlasocio.com/classements/demographie/mortalite/classement-etats-par-taux-de-mortalite-monde.php]le classement des États et territoires du monde par taux de mortalité en ‰[/url] selon le World Population Prospects.[/i][/ignore]

[list][*] 2010 :
[*] 2000 :
[*] 1990 :
[*] 1980 :
[*] 1970 :
[*] 1960 :
[*] 1950 : [/list]


[ignore][b][size=1.2]🪦 Monuments Funéraires Remarquables :[/size][/b][/ignore]

[ignore][i]Accompagner les présentations de monuments funéraires d'une photographie ou illustration pourrait être la bienvenue.[/i][/ignore]

[ignore]➤ [b]Cimetière(s) célèbre(s) :[/b][/ignore]
[ignore]➤ [b]Monument(s) commémoratif(s) célèbre(s) :[/b][/ignore] (Ex : statues, plaques commémoratives, etc.)
[ignore]➤ [b]Architecture funéraire remarquable :[/b][/ignore] (Ex : mausolées, tombeaux célèbres, etc.)

[ignore][i]Cette architecture funéraire remarquable peut aussi bien être une construction récente ou ancienne, un ensemble commun/collectif ou une sépulture individuelle.[/i][/ignore]

[ignore][b][size=1.2]🚻 Perspectives Anthropologiques :[/size][/b][/ignore]

[ignore]➤ [b]Quel(s) rôle(s) culturel(s) les funérailles jouent-elles dans les diverses traditions funéraires et pour les groupes qui les pratiquent ?[/b][/ignore] (Ex : impact sur la société, importance rituelle, relation avec le divin/ avec la nature, conservation de la mémoire, etc.)
[ignore]➤ [b]Quelle place tient actuellement la mort dans la représentation artistique ?[/b][/ignore]

[ignore][i]Un bref historique de cette place de la mort dans la représentation artistique peut aider à faire comprendre la situation actuelle.[/i][/ignore]

[ignore][b][size=1.2]🔮 Futur des Funérailles :[/size][/b][/ignore]

[ignore]➤ [b]Les rites et pratiques funéraires de votre pays connaissent-elles des évolutions récentes ? Si oui, lesquelles ? Sont-elles issues d'influences spécifiques ou globales ?[/b][/ignore] (Ex : mondialisation, influence culturelle particulière, etc.)
[ignore]➤ [b]Quelle place l'innovation technologique joue-t-elle actuellement sur la culture funéraire ?[/b][/ignore]
[ignore]➤ [b]Existent-ils des discussions éthiques en cours concernant le statut du défunt au sein de la société ?[/b][/ignore] (Ex : questions liées à la conservation des restes, disposition des organes, clonage post-mortem, etc.)
[ignore]➤ [b]Plus généralement, existent-ils des discussions visant à reconsidérer l’approche de la société sur la mort ?[/b][/ignore] (Ex : euthanasie, etc.)
[ignore]➤ [b]Enfin, existent-ils des tendances funéraires émergentes et quelles sont-elles ?[/b][/ignore] (Ex : nouveaux rites funéraires, pratiques alternatives, etc.)[/justify]

[/quote]
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🌐 Culture funéraire à travers le monde


⚰️ Cérémonies Funéraires :

➥ Méthodes funéraires pratiquées selon la quantité d'individus attestée de 1900 à aujourd'hui (en %)

Une cérémonie/méthode funéraire est un rite qui implique le traitement VOLONTAIRE du corps d'un défunt.


  • ❌ Aucune/Abandon du défunt : >1%
  • 🔥 Crémation : 13%
  • 🪦 Inhumation terrestre : 82%
  • 💧 Inhumation aquatique : 3% (réservé aux marins de Kölisburg)
  • 🦅 Exposition des restes : <1%
  • 🌱 Humusation/Terramation : <1%
  • 🧊 Promession/Cryomation : 0
  • Autre (précisez) :

❗Dans le cas d'une séparation de restes humains, vous pouvez dépasser les 100% pour signifier l'utilisation de plusieurs méthodes funéraires pour un même individu. Veuillez indiquer cette séparation des restes en accompagnant le pourcentage des lettres SÉP.

Existent-ils des coutumes et pratiques visant à altérer les restes du défunt ou sa sépulture ? Si oui, lesquelles ? Pour quelles méthodes ? À quels groupes sont-elles attachées ? À quelles confessions ou croyances renvoient-elles ? (Ex : excarnation, embaumement, disposition du corps, dépôt d'objets, etc.)
Existent-ils d'autres coutumes et pratiques spécifiques accompagnant ces cérémonies funéraires ? Si oui, lesquelles ? Pour quelles méthodes ? À quels groupes sont-elles attachées ? À quelles confessions ou croyances renvoient-elles ? (Ex : rituels, chants, danses, prières, etc.)
Des méthodes, coutumes et pratiques funéraires sont-elles réservées à des cas précis ? Si oui, lesquelles ? Pour qui ? Dans quelles circonstances ? (Ex: décès spécifiques, statuts sociaux particuliers, etc.)
Des méthodes funéraires ont-elles disparu ou commencé à disparaître entre 1900 et aujourd'hui, voire antérieurement à cette date ? Si oui, lesquelles ? Pour quelles raisons ? (Ex: raisons religieuses, hygiéniques, financières, etc.)

Sous certaines conditions, les restes d'un défunt sur ordre direct de la Reine Constanze avec accord des autorités du culte d'état à savoir le catholicisme, les restes d'un défunt peuvent se trouver altérer ou déplacer. En effet, si il y a un manque d'espace par exemple, l'accord de la famille est nécessaire pour faire déplacer un défunt. Aussi, dans le cas d'enquête criminelle de grande violence ayant menée à une sépulture avec des restes du défunt manquant par exemple, le défunt peut-être inhumé et ne recevoir les derniers rites que lorsque la famille aura jugée qu'il était temps et en fonction de l'avancée de l'affaire. Il est aussi possible pour certaines croyances alternatives d'avoir des sépultures particulières si le défunt en fait la demande avant sa mort et décrit comment son rite doit être effectué : Le défunt recevra les rites catholiques romains mais aura la sépulture correspondante à ses croyances sauf ordre contraire de la justice kolisienne estimant que la sépulture peut représenter un risque de type sanitaire par exemple.

Dans l'armée, des rites spécifiques sont accordés comme par exemple pour les soldats qui sont enterrés selon les "honneurs" :
Une première cérémonie patriotique a lieu pour eux qui n'a pas de forme religieuse. En revanche, chaque culte présent sur le sol kolisien envoie un membre représentant de celui-ci pour faire respecter la volonté du défunt bien que, cette cérémonie est neutre puisqu'elle a pour but de montrer la valeur du combat patriotique du soldat. Dans le cas de l'armée de terre kolisienne, la cérémonie se passe dans une enceinte militaire. Pour les marins, la cérémonie se passe sur un bateau et pour les soldats de l'armée de l'air, dans un avion. Ensuite, vient une seconde cérémonie qui est cette fois une cérémonie privée. En temps de guerre ou en cas de perte de plusieurs soldats lors d'une même bataille, la cérémonie patriotique peut être groupée si les familles le souhaitent sinon, ils seront enterrés en privé avec les honneurs puis avec une cérémonie privée. Dans le cas des marins, ceux-ci plutôt que d'être enterrés sur terre peuvent faire la demande préalable d'être immergé soit, en pleine mer soit sur le territoire maritime kolisien. Dans tous les cas, la cérémonie privée peut prendre n'importe quelle forme et selon les croyances du défunt.

Concernant des méthodes funéraires ayant disparues il y a la méthode de la Terramation. Si cela a d'abord été vu pour certains kolisiens comme une façon de rendre à la terre ce qui a été donné, la pratique a fait scandale lorsque des vols de corps ont eu lieu dans les années 1930 pour en faire du terreau. Ainsi, la pratique d'abord interdite s'est ensuite complètement dépopulariser avant de totalement disparaître en 1949, date du dernier inhumé selon cette pratique. La crémation quant-à-elle reste toujours d'actualité bien qu'elle soit nettement en baisse. La pratique est très sérieusement devenue impopulaire et est de plus en plus délaissée.

Concernant l'exposition des restes, les rois et reines de Kölisburg conformément à la famille de Hasgue sont exposés. Les corps sont toujours visibles et reposent tous dans la Grande Crypte de Kölisburg à Galgarde. Il n'existe actuellement pas d'ossements de la famille mais si il devait y en avoir ou pour tout autre raison, si les corps ne pouvaient être exposés alors il existe une partie de la crypte qui exposerait les squelettes.

🏛️ Infrastructures Funéraires :

➥ Types de dépôts funéraires selon la quantité d'individus déposés de 1900 à aujourd'hui (en %)

Un dépôt funéraire (sépulture/tombe) est un lieu où des restes humains ont été VOLONTAIREMENT déposés.
⚠️ Sépulture primaire/ Sépulture secondaire : les sépultures primaires demeurent non altérées ou non volontairement altérées par des voies anthropiques après leur dépôt initial tandis que les sépultures secondaires ont été altérées volontairement par des voies anthropiques, par des voies humaines, une seconde fois après leur dépôt initial.


  • ❌ Aucune/Abandon du défunt : >1%
  • ♻️ Réemploi des restes (terreau) : >1%
  • 🦅 Terrain d'exposition (sépulture aérienne) : >2%
  • 🪦 Terrain d'inhumation terrestre aménagé (cimetière urbain et rural) : 72%
  • 💧 Terrain d'inhumation aquatique aménagé (caveau ou cimetière sous-marin) : 0%
  • 🏞️ Terrain d'inhumation sauvage (cimetière sauvage, dans la nature) : 0%
  • 🚮 Dépôt commun ou collectif grossier (fosse commune) : >1%
  • 🏛️ Dépôt commun ou collectif primaire (tombeau familial) : 8%
  • ⛏️ Dépôt commun ou collectif secondaire (ossuaire) : >1%
  • 👑 Sépulture individuelle ou commune/collective monumentale (tombe princière, crypte royale/noble) : >3%
  • ⚱️ Zone close de dépôt des restes (cavurne) : 7%
  • 🥀 Zone particulière de dépôt des restes à l'air libre (jardin du souvenir) : 2%
  • 🌊 Dispersion des restes (mer) : >2%
  • Autre (précisez) :

Il est préférable que vous remplaciez les exemples ici donnés entre parenthèses par des exemples ayant cours dans votre pays.
❗Dans le cas d'une séparation de restes humains, vous pouvez dépasser les 100% pour signifier l'utilisation de plusieurs types de dépôts funéraires pour un même individu. Veuillez indiquer cette séparation des restes en accompagnant le pourcentage des lettres SÉP.


Sur quel(s) financement(s) se reposent ces différents types de dépôts/infrastructures funéraires ? (Ex : État, collectivités locales, organisations religieuses, privées, etc.)
Des types de dépôts sont-ils réservés à des cas précis ? Si oui, lesquels ? Pour qui ? Dans quelles circonstances ? (Ex: décès spécifiques, statuts sociaux particuliers, etc.)
Des types de dépôts ont-ils disparu ou commencé à disparaître des habitudes funéraires entre 1900 et aujourd'hui, voire antérieurement à cette date ? Si oui, lesquels ? Pour quelles raisons ? (Ex: raisons religieuses, hygiéniques, financières, etc.)

Les financements pour les dépôts sont multiples : Dans le cas des cimetières ou des fosses communes (aujourd'hui inexistantes), c'est la Confédération et les états kolisiens qui financent les infrastructures. Les cimetières catholiques, eux, sont aussi financés en partie par les paroissiens et les collectivités territoriales des états. Pour les tombeaux familiaux, ce sont les particuliers qui paient mais ils peuvent demander à leur organisme religieux de financer une partie de celui-ci. Aussi, dans certains cas notamment si la famille croit en la religion d'état (catholicisme), les collectivités locales peuvent mettre en place des aides pour les familles en difficultés qui n'aurait pas les moyens de financer l'inhumation. Aussi, il faut savoir que l'inhumation dîtes "par défaut" pour toute personne réclamant une aide et allouée ayant financée plus de 50% de l'inhumation sera une inhumation selon les rites catholiques et apostoliques romains. Dans le cas des rois et reines de Kölisburg, ils reposent tous à la Grande Crypte Royale de Gagarde. Cependant, le reste de la famille royale repose dans d'autres crypte affiliées à leur titre. Exemple : Si le prince Wilhem III de Drock meurt, il sera inhumé en terre Drockienne dans la Crypte Royale de Wälhen. Pendant un temps, tout ceux possédant un titre de noblesse pouvait aussi avoir le droit de reposé au Panthéon d'Honneur de Kölisburg situé à Trifftenberg qui avait pour but de récompenser les plus méritants. Cependant, lors d'une réforme en 1964, il a été décidé que la noblesse ne devait pas avoir de privilèges et les inhumations au Panthéon d'Honneur sont réservés, réellement, au plus méritant depuis.

Paradoxalement, bien que la crémation semble être laissée de côté on observe pas une diminution des cavurnes. En effet, sur l'année 2011 deux autres cavurnes ont vues le jour dans l'état de Littarg pourtant très attaché aux rites catholiques.

⚖️ Législation Funéraire :

Existe-t-il au moins un code funéraire ? OUI
Si oui, à quelle échelle s’applique ce ou ces code(s) ? Confédéral et national.
Que contient ou contiennent ce(s) code(s) ? Ces codes contiennent le déroulement des rites, le financement des endroits où ont lieu les inhumations ainsi que les autorités autorisées à intervenir. Au niveau Confédéral, le code est strict. Cependant, d'autres codes funéraires cette fois au niveau national existe sur des spécificités ou des précisions.
Existe-t-il d’autres législations spécifiques ? Sauf pour la famille royale au niveau confédéral et hormis pour les chefs d'état au niveau national pour les pays membres de la Confédération, non.
L'activité d'opérateur funéraire est-elle encadrée (même dans un cadre privé) et si oui, dans quelles conditions ? Conformément au Code Funéraire confédéral, il faut un permis qui nécessite d'être une entreprise avec des employés strictement formée et qui possède une aumônerie. Toute entreprise kolisienne agissant sur le territoire de la Confédération ne possédant pas ce premier permis ne peut exercer. Actuellement, dans 3 états sur 4 il existe un autre permis national qu'il faut là encore obtenir. Une exception est faite pour l'église catholique qui n'a pas besoin d'autorisation pour effectuer des rites funéraires.

💀 Statistiques globales et décès particuliers :

Décès à l'étranger (en %) : 6% en 2011
Règles pour rapatrier un corps : NON (Développez.)
Décès inexpliqués (en %) : >2%, cela concerne notamment des affaires criminelles où la cause de la mort n'a pas pu être trouvée.
Procédures spéciales pour les cas de disparitions ou décès inexpliqués : OUI. Dans le cas de disparitions étant déclaré de plus de 20 ans, un rite appelé le rite "non-corpus" peut être engagé par la famille. Pour cela, il faut s'adresser au Palais Royal et la reine elle-même rend la décision. Pour les cas de décès inexpliqués, une enquête est d'abord mené et l'inhumation a lieu.

➥ Établissez une liste des dix principales causes de décès des dix dernières années dans votre pays :

Afin de vous guider, voici les 10 principales causes de mortalité dans le monde selon l'OMS.


  • 1ère : Accidents domestiques
  • 2ème : Accidents de la route
  • 3ème : Catastrophes naturelles
  • 4ème : AVC
  • 5ème : Accident de travail
  • 6ème : Consommation excessive de sucre
  • 7ème : Intoxication alimentaire
  • 8ème : Mort à la naissance
  • 9ème : Maladie infectieuses
  • 10ème : Attaque céleste

➥ Taux bruts de mortalité (en ‰ - pour mille) pour les années suivantes :

Rapport entre le nombre annuel de décès et la population totale moyenne sur une période et dans un territoire donné.

Afin de vous guider, voici le classement des États et territoires du monde par taux de mortalité en ‰ selon le World Population Prospects.


  • 2010 : 6%
  • 2000 : 7%
  • 1990 : 12%
  • 1980 : 10%
  • 1970 : 8%
  • 1960 : 9%
  • 1950 : 11%

🪦 Monuments Funéraires Remarquables :

Accompagner les présentations de monuments funéraires d'une photographie ou illustration pourrait être la bienvenue.

Cimetière(s) célèbre(s) : Le grand cimetière de Malgürt
Monument(s) commémoratif(s) célèbre(s) : La grande statue du Colonel Ebrick de Hasgue, plaque devant le Palais Royal de Galgarde pour les morts pendant la guerre d'union, la statue de Victoria de Pourfre (princesse martyr).
Architecture funéraire remarquable : La Grande Crypte Royale de Galgarde, le Panthéon d'Honneur de Trifftenberg.

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Grande Crypte Royale de Galgarde

https://zupimages.net/up/23/52/1t98.png
Vue intérieur

https://zupimages.net/up/23/52/ct23.png
Panthéon d'Honneur de Trifftenberg


Cette architecture funéraire remarquable peut aussi bien être une construction récente ou ancienne, un ensemble commun/collectif ou une sépulture individuelle.

🚻 Perspectives Anthropologiques :

Quel(s) rôle(s) culturel(s) les funérailles jouent-elles dans les diverses traditions funéraires et pour les groupes qui les pratiquent ? Les rites funéraires sont très important en Kölisburg déjà car la religion est étatique et surtout, elle permet selon des kolisiens de garder une mémoire des morts ce qui est très important pour eux. Déjà au temps des clans, on accordait une importance extrême aux rites funéraires et dans plusieurs périodes de l'histoire en pleine guerre parfois très violente, des trêves étaient régulières pour permettre aux morts d'être inhumés. Il est aussi important de voir que les kolisiens sont très traditionalistes quand à l'importance d'être inhumés de façon décente pour accéder au paradis.

Quelle place tient actuellement la mort dans la représentation artistique ? Dans la représentation artistique actuelle, la mort est bien vue. En effet, la mort involontaire est vue comme un passage de la vie vers le paradis et donc le Christ. Ainsi, la mort dans les oeuvres actuelle n'est pas aussi impopulaire qu'elle l'a été au siècle dernier. En effet, depuis plusieurs siècle la mort est vue comme quelque chose de triste et une tragédie. Actuellement, c'est toujours le cas mais il semblerait que, selon les croyances, les familles se remettent plus vite des deuils actuellement voyant la mort comme un simple passage d'un monde vers l'autre. Dans l'art, on ne glorifie pas la mort non plus mais on voit qu'elle se détacher de cette image de "fin ultime" bien que, dans la musique par exemple, on lui attache encore cette idée.

🔮 Futur des Funérailles :

Les rites et pratiques funéraires de votre pays connaissent-elles des évolutions récentes ? Non
(Ex : mondialisation, influence culturelle particulière, etc.)
Quelle place l'innovation technologique joue-t-elle actuellement sur la culture funéraire ? L'influence technologique à un rôle dans la préparation des rites notamment le développement de moyen pour mieux "conserver" les défunts et aussi pour mieux les préparer aux rites à venir.
Existent-ils des discussions éthiques en cours concernant le statut du défunt au sein de la société ? Non
Plus généralement, existent-ils des discussions visant à reconsidérer l’approche de la société sur la mort ? Non
Enfin, existent-ils des tendances funéraires émergentes et quelles sont-elles ? Non

8176
s
Royaume Stargray Islamique d'Esmea

🌐 Culture funéraire à travers le monde


⚰️ Cérémonies Funéraires :

➥ Méthodes funéraires pratiquées selon la quantité d'individus attestée de 1900 à aujourd'hui (en %)

Une cérémonie/méthode funéraire est un rite qui implique le traitement VOLONTAIRE du corps d'un défunt.


  • ❌ Aucune/Abandon du défunt :<0.5%
  • 🔥 Crémation : 2%
  • 🪦 Inhumation terrestre : 96%
  • 💧 Inhumation aquatique :<0.2%
  • 🦅 Exposition des restes :<0.8%
  • 🌱 Humusation/Terramation :<0.5%
  • 🧊 Promession/Cryomation :0%
  • Autre (précisez) : /

❗Dans le cas d'une séparation de restes humains, vous pouvez dépasser les 100% pour signifier l'utilisation de plusieurs méthodes funéraires pour un même individu. Veuillez indiquer cette séparation des restes en accompagnant le pourcentage des lettres SÉP.

Existent-ils des coutumes et pratiques visant à altérer les restes du défunt ou sa sépulture ? Si oui, lesquelles ? Pour quelles méthodes ? À quels groupes sont-elles attachées ? À quelles confessions ou croyances renvoient-elles ? (Ex : excarnation, embaumement, disposition du corps, dépôt d'objets, etc.)
l'islam étant la religion majoritaire au pays, on encourage la simplicité et la préservation de l'intégrité du corps du défunt. Les pratiques telles que l'embaumement sont souvent évitées, car elles peuvent être perçues comme une altération du corps. L'islam préconise une inhumation rapide après le décès, généralement dans les 24 heures. Certain groupe ethniques et natifs vivants proches des forets de Carva du sud remplissent l'intérieur et l'extérieure du défunts de fleurs.

Existent-ils d'autres coutumes et pratiques spécifiques accompagnant ces cérémonies funéraires ? Si oui, lesquelles ? Pour quelles méthodes ? À quels groupes sont-elles attachées ? À quelles confessions ou croyances renvoient-elles ? (Ex : rituels, chants, danses, prières, etc.)
Les rituels funéraires musulmans incluent des pratiques telles que le lavage rituel (ghusl) du corps du défunt, l'enveloppement du corps dans un linceul (kafan) qui est souvent envelopper d'une odeur agréable, et la prière funéraire (salat al-janazah) dirigée par la communauté dans la mosquée la plus proche de l'endroit de l'enterrement. Certain groupe peuvent attendre plusieurs semaines afin que tous les proches soient réunies pour priées devant la tombe du défunts.

Des méthodes, coutumes et pratiques funéraires sont-elles réservées à des cas précis ? Si oui, lesquelles ? Pour qui ? Dans quelles circonstances ? (Ex: décès spécifiques, statuts sociaux particuliers, etc.)
Lors du décès du souverain(ne), la cérémonie classique d'enterrement dure 3 jours, un deuil national est décrété et une partie du palais est ouvert pour accueillir la foule venue présenter leurs corollacé, c'est l'occasion de plusieurs icones du monde politique, religieux et culturelle du pays de ce rassembler.

Des méthodes funéraires ont-elles disparu ou commencé à disparaître entre 1900 et aujourd'hui, voire antérieurement à cette date ? Si oui, lesquelles ? Pour quelles raisons ? (Ex: raisons religieuses, hygiéniques, financières, etc.)
Avant l'avènement de l'islam, différentes civilisations et cultures avaient des pratiques funéraires variées, souvent influencées par leurs croyances religieuses, mythologiques et culturelles. Il est important de noter que la diversité de ces pratiques était immense, et elles peuvent ne pas toutes être directement liées à la vénération de divinités mythologiques. Voici quelques méthodes funéraires qui étaient pratiquées dans diverses régions avant l'islam :
  • Inhumation dans des Tombeaux Mégalithiques (régions désertiques au nord d'Esmea et Iondalbon) : Certaines tribus utilisaient des structures mégalithiques pour les sépultures, telles que les dolmens ou les menhirs. Ces tombeaux étaient souvent construits en l'honneur de personnes importantes ou de leaders communautaires.
  • s
  • Crémation (sud d'Iondalbon) : Dans certaines cultures qui on développer un mythologie, la crémation était une pratique funéraire courante. Le feu était utilisé pour brûler le corps du défunt car elle symbolisait le retour de l'homme à la source qui est La Flamme de la Création (Pyraël), et les cendres étaient parfois conservées dans des urnes devant la porte du temple en offrande ou dispersées autour de ce dernier. Parmi les temples les plus iconiques, la sépulture de Pyraël ou plusieurs personne eu comme honneur d'incinéré leurs proche dans la sépulture pendant 3 jours.
  • z
  • Sépultures Arboricoles (L'est de Carva) :Dans certaines régions, en particulier dans les forêts tropicales, des groupes pratiquaient des sépultures en hauteur, suspendant parfois les corps dans les arbres ou les plaçant sur des plates-formes élevées.
  • a


    🏛️ Infrastructures Funéraires :

    ➥ Types de dépôts funéraires selon la quantité d'individus déposés de 1900 à aujourd'hui (en %)

    Un dépôt funéraire (sépulture/tombe) est un lieu où des restes humains ont été VOLONTAIREMENT déposés.
    ⚠️ Sépulture primaire/ Sépulture secondaire : les sépultures primaires demeurent non altérées ou non volontairement altérées par des voies anthropiques après leur dépôt initial tandis que les sépultures secondaires ont été altérées volontairement par des voies anthropiques, par des voies humaines, une seconde fois après leur dépôt initial.


    • ❌ Aucune/Abandon du défunt :
    • ♻️ Réemploi des restes (réef artificiel, décoration, terreau) :<1%
    • 🦅 Terrain d'exposition (tour du silence, inhumation céleste, sépulture aérienne) :<2%
    • 🪦 Terrain d'inhumation terrestre aménagé (cimetière urbain ou rural) :94%
    • 💧 Terrain d'inhumation aquatique aménagé (caveau ou cimetière sous-marin) :<1%
    • 🏞️ Terrain d'inhumation sauvage (cimetière sauvage, dans la nature) :1%
    • 🚮 Dépôt commun ou collectif grossier (fosse commune, charnier) :2% (lors de guerres)
    • 🏛️ Dépôt commun ou collectif primaire (tombeau familial, mausolée) :<1% (famille royale)
    • ⛏️ Dépôt commun ou collectif secondaire (ossuaire, dépôt nomade) :1%
    • 👑 Sépulture individuelle ou commune/collective monumentale (tombe princière, tumulus, pyramide) :<1%
    • ⚱️ Zone close de dépôt des restes (colombarium, cavurne, urne) :<1%
    • 🥀 Zone particulière de dépôt des restes à l'air libre (jardin du souvenir) :0%
    • 🌊 Dispersion des restes (mer, vent) :<1%
    • Autre (précisez) :
    /

    Il est préférable que vous remplaciez les exemples ici donnés entre parenthèses par des exemples ayant cours dans votre pays.
    ❗Dans le cas d'une séparation de restes humains, vous pouvez dépasser les 100% pour signifier l'utilisation de plusieurs types de dépôts funéraires pour un même individu. Veuillez indiquer cette séparation des restes en accompagnant le pourcentage des lettres SÉP.


    Sur quel(s) financement(s) se reposent ces différents types de dépôts/infrastructures funéraires ? Tous ce qui est Terrain d'inhumation terrestre aménagé, Terrain d'inhumation aquatique aménagé ou tous autres résidence funéraire non privée, est entièrement financer par l'état. Pour le reste l'état ne prend en charge aucune sépulture dans la sphère privée, tous cimetières ou mémorielle dans le secteur publique ou privée doit être déclarer à l'état.

    Des types de dépôts sont-ils réservés à des cas précis ? Si oui, lesquels ? Pour qui ? Dans quelles circonstances ? Des mausolées spéciaux pour les décès spécifiques, tels que les martyrs et les militaires renommées

    Des types de dépôts ont-ils disparu ou commencé à disparaître des habitudes funéraires entre 1900 et aujourd'hui, voire antérieurement à cette date ? Si oui, lesquels ? Pour quelles raisons ? Les mosolées mythologiques et les dolmens désertiques ne font plus partis du paysage esmean a part dans les musées a ciel ouvert.

    ⚖️ Législation Funéraire :

    Existe-t-il au moins un code funéraire ? OUI
    Si oui, à quelle échelle s’applique ce ou ces code(s) ? Nationale
    Que contient ou contiennent ce(s) code(s) ? Inhumation Rapide : La législation encourage une inhumation rapide après le décès, idéalement dans les 24 heures, conformément à la tradition islamique, Lavage Rituel (Ghusl), Linceul (Kafan),Direction de la Qibla : Lors de l'inhumation, le corps est généralement orienté vers la Qibla, Prière Funéraire (Salat al-Janazah), La communauté musulmane organise une prière funéraire collective pour le défunt. Interdiction de l'Embaumement. Sépulture en Terre, La sépulture du corps se fait généralement dans une tombe creusée dans la terre. Usage de Pierres Tombales Simples, Les pierres tombales doivent être simples et ne pas comporter de représentations figuratives, conformément à l'interdiction de la représentation d'êtres vivants dans l'islam.
    Existe-t-il d’autres législations spécifiques ?/
    L'activité d'opérateur funéraire est-elle encadrée (même dans un cadre privé) et si oui, dans quelles conditions ? L'opération de funérailles n'est généralement pas surveiller ni encadrer, seule une demande d'un acte de décès qui garantie une place d'inhumation avec une acte de naissance et une carte de citoyenneté suffise pour organiser des funérailles.( une demande spéciale est nécessaire pour un défunt(e) non esmean(ne) avec justifications et preuves à l'appuie)

    💀 Statistiques globales et décès particuliers :

    Décès à l'étranger (en %) :0.2%
    Règles pour rapatrier un corps : OUI. Lorsqu'un citoyen du Royaume Stargray Islamique d'Esmea décède à l'étranger, la famille ou les représentants légaux peuvent initier une demande de rapatriement du corps. Cette demande serait soumise aux autorités compétentes. Les autorités vérifieraient les documents pertinents, tels que les relevées d'impôts, le certificat de décès traduit et délivré par les autorités locales étrangères (tous les documents provenant de tous les pays non musulmans ont la même valeur) une carte ou autre preuve de citoyenneté. Le corps serait conservé de manière appropriée selon les normes islamiques tout au long du processus. Si nécessaire, des mesures de préservation spécifiques seraient prises par le royaume auprès des autorité locales étrangers pour garantir l'intégrité du corps. Tout au long du processus, la préservation de la dignité du défunt serait une priorité. Les procédures seraient mises en place pour éviter toute altération du corps et pour garantir une sépulture respectueuse des principes islamiques.
    Décès inexpliqués (en %) : Aucune Donnée Numérique.
    Procédures spéciales pour les cas de disparitions ou décès inexpliqués : OUI, une prière de l'absent est pratiquer dans toutes les mosquées après clarification de l'état sur le statut de la personne sans le corps.( personne partit a l'étranger dans des zones dangereuses et présumer mort. )

    ➥ Établissez une liste des dix principales causes de décès des dix dernières années dans votre pays :

    Afin de vous guider, voici les 10 principales causes de mortalité dans le monde selon l'OMS.


    • 1ère :Maladies Infectieuses
    • 2ème :Maladies Cardiovasculaires
    • 3ème :Maladies Respiratoires
    • 4ème :Les tumeurs malignes
    • 5ème :Diabète
    • 6ème :Les accidents de la route
    • 7ème :Maladies Génétiques Héréditaires
    • 8ème :Maladies Neurologiques
    • 9ème :Les maladies de l’appareil génito-urinaire
    • 10ème :Accidents de Travails

    ➥ Taux bruts de mortalité (en ‰ - pour mille) pour les années suivantes :

    Rapport entre le nombre annuel de décès et la population totale moyenne sur une période et dans un territoire donné.

    Afin de vous guider, voici le classement des États et territoires du monde par taux de mortalité en ‰ selon le World Population Prospects.


    • 2010 :2,8
    • 2000 :3
    • 1990 :3,2
    • 1980 :4,4
    • 1970 :5,8
    • 1960 :7
    • 1950 :7,4

    🪦 Monuments Funéraires Remarquables :

    Accompagner les présentations de monuments funéraires d'une photographie ou illustration pourrait être la bienvenue.

    Cimetière(s) célèbre(s) :cimetière royales dans les jardins du palais. (cimetière des membre directe du souverains)
    s
    (maquette réaliste)
    Monument(s) commémoratif(s) célèbre(s) : Tour de la Fraternité (Syenas), dédiée à honorer les contributions des citoyens du royaume à la prospérité et à la paix.
    s
    Architecture funéraire remarquable : ancienne sépulture de la flemme de la création.
    s
    Cette architecture funéraire remarquable peut aussi bien être une construction récente ou ancienne, un ensemble commun/collectif ou une sépulture individuelle.

    🚻 Perspectives Anthropologiques :

    Quel(s) rôle(s) culturel(s) les funérailles jouent-elles dans les diverses traditions funéraires et pour les groupes qui les pratiquent ? (Ex : impact sur la société, importance rituelle, relation avec le divin/ avec la nature, conservation de la mémoire, etc.)
    Les funérailles dans le Royaume Stargray Islamique d'Esmea occupent une place centrale en tant que rituel de transition entre la vie terrestre et l'au-delà. Elles revêtent une grande importance rituelle, soulignant la croyance en la vie après la mort conformément aux enseignements de l'islam. Les funérailles sont également un moment de rassemblement communautaire, renforçant les liens sociaux. La conservation de la mémoire du défunt est essentielle, avec des pratiques telles que les prières funéraires et les récitations du Coran.
    Quelle place tient actuellement la mort dans la représentation artistique ?
    Actuellement, la mort continue d'être représentée dans l'art islamique contemporain, explorant des thèmes tels que la spiritualité, la résurrection au jour du jugement, et la connexion entre la vie terrestre et céleste.

    Un bref historique de cette place de la mort dans la représentation artistique peut aider à faire comprendre la situation actuelle.


    🔮 Futur des Funérailles :

    Les rites et pratiques funéraires de votre pays connaissent-elles des évolutions récentes ? Si oui, lesquelles ? Sont-elles issues d'influences spécifiques ou globales ? (Ex : mondialisation, influence culturelle particulière, etc.)
    Les évolutions récentes des rites funéraires dans le royaume peuvent être influencées par des facteurs tels que la mondialisation, avec une ouverture à des pratiques funéraires internationales tout en préservant les valeurs islamiques fondamentales. (aucune évolution significative détecter)

    Quelle place l'innovation technologique joue-t-elle actuellement sur la culture funéraire ?
    L'innovation technologique a introduit des changements dans la culture funéraire, avec l'utilisation de technologies pour faciliter les procédures administratives et donc des funerailles qui peuvent commencer plus rapidement en respectant encore plus les endeuillés

    Existent-ils des discussions éthiques en cours concernant le statut du défunt au sein de la société ? (Ex : questions liées à la conservation des restes, disposition des organes, clonage post-mortem, etc.)
    Des discussions éthiques peuvent émerger sur des questions telles que la conservation des restes, avec un équilibre entre les pratiques traditionnelles islamiques et les avancées technologiques. Les questions relatives à la disposition des organes et au don du sang et l'avancer scientifique est présente.

    Plus généralement, existent-ils des discussions visant à reconsidérer l’approche de la société sur la mort ? (Ex : euthanasie, etc.)
    peut de discussions approfondies a signaler

    Enfin, existent-ils des tendances funéraires émergentes et quelles sont-elles ? (Ex : nouveaux rites funéraires, pratiques alternatives, etc.)
    Pas de tendances funéraires particulières a signaler puisque la population est musulmane à plus de 90%

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    🌐 Culture funéraire à travers le monde


    ⚰️ Cérémonies Funéraires :

    ➥ Méthodes funéraires pratiquées selon la quantité d'individus attestée de 1900 à aujourd'hui (en %)

    Une cérémonie/méthode funéraire est un rite qui implique le traitement VOLONTAIRE du corps d'un défunt.


    • ❌ Aucune/Abandon du défunt : 0%
    • 🔥 Crémation : 8%
    • 🪦 Inhumation terrestre : 91%
    • 💧 Inhumation aquatique : 1%
    • 🦅 Exposition des restes : 0%
    • 🌱 Humusation/Terramation : 0%
    • 🧊 Promession/Cryomation : 0%
    • Autre (précisez) :
    0%

    ❗Dans le cas d'une séparation de restes humains, vous pouvez dépasser les 100% pour signifier l'utilisation de plusieurs méthodes funéraires pour un même individu. Veuillez indiquer cette séparation des restes en accompagnant le pourcentage des lettres SÉP.

    Existent-ils des coutumes et pratiques visant à altérer les restes du défunt ou sa sépulture ? Si oui, lesquelles ? Pour quelles méthodes ? À quels groupes sont-elles attachées ? À quelles confessions ou croyances renvoient-elles ? (Ex : excarnation, embaumement, disposition du corps, dépôt d'objets, etc.)

    Depuis la christianisation du territoire de la République de Velsna, avant même la colonisation par les migrants issus de pays latins du sud, l'inhumation simple est devenue la norme au sein de la société velsienne, dans la droite lignée de l'obéissance de ses citoyens (malgré le caractère pluraliste de la religion dans la République) à l’Église de Catholagne. Néanmoins, il faut remarquer l’abondance de dépôts votifs accompagnant les sépultures, particulièrement dans le milieu aristocratique, dont l'usage remonte peut-être à un passé pré-chrétien. Les élites patriciennes ont également eu des lieux de sépultures spécifiques où déposer ces offrandes, dont certains sont encore visibles de nos jours à l’extérieur de la ville moderne de Velsna.

    Existent-ils d'autres coutumes et pratiques spécifiques accompagnant ces cérémonies funéraires ? Si oui, lesquelles ? Pour quelles méthodes ? À quels groupes sont-elles attachées ? À quelles confessions ou croyances renvoient-elles ? (Ex : rituels, chants, danses, prières, etc.)

    En dehors des usages dictés par la religion catholique, il n'est pas connu de pratique culturelle spécifique à Velsna en dehors de chez certains groupes sociaux.

    Des méthodes, coutumes et pratiques funéraires sont-elles réservées à des cas précis ? Si oui, lesquelles ? Pour qui ? Dans quelles circonstances ? (Ex: décès spécifiques, statuts sociaux particuliers, etc.)

    Comme dit précédemment, le statut social influe beaucoup sur le traitement de la sépulture, un marqueur d'inégalité caractéristique de la société velsnienne dans son ensemble.

    L'usage de caveaux familiaux est très largement répandu, bien que moins généralisé qu'auparavant. Ces caveaux sont construits souvent à la manière d'une véritable petite maison avec des pièces fonctionnelles caractéristiques de la demeure qu'ils possédaient dans leur vie. Des objets de la vie quotidienne y sont déposés, ainsi qu'un mobilier qui est signifiant de la richesse des propriétaires du caveau. Ce type de monuments est strictement interdit en ville et est exclusif aux campagnes aux alentours de Velsna. Une vieille coutume veut en effet que les morts n'ont pas droit de cité et qu'il est strictement interdit de mélanger monde des vivants et monde des morts.

    Drapeau
    Caveau aménagé (XVIIIème siècle)


    Une autre catégorie sociale à part dans le cadre des pratiques funéraires sont les marins. En effet, ces derniers peuvent être avec autorisation préalable de la famille, immergés. Cette pratique ne peut pas être datée avec certitude et contrairement à la coutume aristocrate des caveaux aménagés, elle est toujours relativement répandue dans la Marineri de Velsna.

    Des méthodes funéraires ont-elles disparu ou commencé à disparaître entre 1900 et aujourd'hui, voire antérieurement à cette date ? Si oui, lesquelles ? Pour quelles raisons ? (Ex: raisons religieuses, hygiéniques, financières, etc.)

    Cet usage des caveaux aménagés a commencé a décliné au XIXème siècle, à la fois en nombre de constructions mais également dans la superficie de ces dernières. Les raisons sont multiples: l'appauvrissement progressif de la République durant cette période est parfois évoquée. D'autres plaident pour faire corréler ce déclin à un resserrement sensible de l'autorité religieuse qui réprouvait ces pratiques. Enfin, la perception générale que les classes modestes portent à ces sépultures s'est grandement dégradée avec le temps et l'aristocratie a trouvé d'autres moyens de faire montre de sa prospérité.

    🏛️ Infrastructures Funéraires :

    ➥ Types de dépôts funéraires selon la quantité d'individus déposés de 1900 à aujourd'hui (en %)

    Un dépôt funéraire (sépulture/tombe) est un lieu où des restes humains ont été VOLONTAIREMENT déposés.
    ⚠️ Sépulture primaire/ Sépulture secondaire : les sépultures primaires demeurent non altérées ou non volontairement altérées par des voies anthropiques après leur dépôt initial tandis que les sépultures secondaires ont été altérées volontairement par des voies anthropiques, par des voies humaines, une seconde fois après leur dépôt initial.


    • ❌ Aucune/Abandon du défunt : 0%
    • ♻️ Réemploi des restes (réef artificiel, décoration, terreau) : moins d'1%
    • 🦅 Terrain d'exposition (tour du silence, inhumation céleste, sépulture aérienne) : 0%
    • 🪦 Terrain d'inhumation terrestre aménagé (cimetière urbain ou rural) : 77%%
    • 💧 Terrain d'inhumation aquatique aménagé (caveau ou cimetière sous-marin) : 6%
    • 🏞️ Terrain d'inhumation sauvage (cimetière sauvage, dans la nature) : moins de 1%
    • 🚮 Dépôt commun ou collectif grossier (fosse commune, charnier) : 0%
    • 🏛️ Dépôt commun ou collectif primaire (tombeau familial, mausolée) : 6%
    • ⛏️ Dépôt commun ou collectif secondaire (ossuaire, dépôt nomade) : 0%
    • 👑 Sépulture individuelle ou commune/collective monumentale (tombe princière, tumulus, pyramide) : 5%
    • ⚱️ Zone close de dépôt des restes (colombarium, cavurne, urne) : 0%
    • 🥀 Zone particulière de dépôt des restes à l'air libre (jardin du souvenir) : 0%
    • 🌊 Dispersion des restes (mer, vent) : 10%
    • Autre (précisez) : 0%

    Il est préférable que vous remplaciez les exemples ici donnés entre parenthèses par des exemples ayant cours dans votre pays.
    ❗Dans le cas d'une séparation de restes humains, vous pouvez dépasser les 100% pour signifier l'utilisation de plusieurs types de dépôts funéraires pour un même individu. Veuillez indiquer cette séparation des restes en accompagnant le pourcentage des lettres SÉP.


    Sur quel(s) financement(s) se reposent ces différents types de dépôts/infrastructures funéraires ? (Ex : État, collectivités locales, organisations religieuses, privées, etc.)

    Au sein de la Grande République de Velsna, il n'existe aucune législation officielle ou aucun secteur d’État consacré à la question des pratiques funéraires et des structures d’accueil des morts. C'est à l'échelle des cités que peut être déterminer un emplacement autorisé de sépulture, qui jamais ne doivent être construites au sein des agglomérations, mais toujours en extérieur, le plus souvent donc à quelques kilomètres des centre-villes. Si les emplacements sont déterminés par la cité, l'organisation des funérailles et le financement des tombes est à la charge d'entreprises privées ou de personnes privées. La construction des caveaux aménagés nécessitent une automatisation de permis de construire à l'instar de n'importe quel bâtiment.
    Dans le cas où le décédé ne peut pas se voir accorder un financement minimum pour s'assurer une sépulture, la charité de l’Église catholique s'occupe du défunt la plupart du temps, et y aménage une tombe simple. Dans l'éventualité où le défunt n'est pas membre de l’Église, et sans religion, seulement dans cette éventualité la cité se doit de le doter comme le ferait une organisation religieuse.

    Des types de dépôts sont-ils réservés à des cas précis ? Si oui, lesquels ? Pour qui ? Dans quelles circonstances ? (Ex: décès spécifiques, statuts sociaux particuliers, etc.)

    Comme dit précédemment, les sépultures en mer sont spécifiques aux membres de la Marineri tandis que les caveaux aménagés et ornés d'objets sont caractéristiques de l'aristocratie.


    ⚖️ Législation Funéraire :


    Existe-t-il au moins un code funéraire ? OUI

    Si oui, à quelle échelle s’applique ce ou ces code(s) ? (Nationale, fédérale, communale, autres.)
    Un code s'applique à l'échelle communale des cités seulement.

    Que contient ou contiennent ce(s) code(s) ? (Gestion des cimetières, règlements sur la crémation, etc.)
    Est précisé le fait que la crémation ou toute autre pratique funéraire que l'inhumation est interdite, que les sépultures sont interdites au sein même des agglomérations et que l'enterrement "marin" subit des restrictions. La gestion des cimetières est confiée au privé tandis que la cité se doit juste de déterminer leur emplacement.


    Existe-t-il d’autres législations spécifiques ? (Traitements post-mortem, transport des corps, etc.)

    L'activité d'opérateur funéraire est-elle encadrée (même dans un cadre privé) et si oui, dans quelles conditions ? (Si nécessaire, conditions d'obtention d'une autorisation de pratiquer.)

    Hormis pour les règles fixées par les communes et citées précédemment, les sociétés dont l'activité funéraire est la principale occupation ne sont pas l'objet d'une législation qui en ferait des entreprises différentes des autres, le secteur est donc entièrement dérégulé.


    💀 Statistiques globales et décès particuliers :

    Décès à l'étranger (en %) : 1,7%
    Règles pour rapatrier un corps : NON
    Sauf exceptions relevant de l’impératif religieux, il n’existe aucune loi fixant une coutume caractéristique de Velsna en ce qui concerne le rapatriement des corps excepté l’interdiction de l’incinération.

    Décès inexpliqués (en %) : Aucune statistique officielle n’a été relevée par la Grande République mais l’hôpital public n’existant pas malgré un niveau de vie élevé, on peut supposer que ce taux est largement supérieur à la moyenne au sein des catégories sociales modestes.
    Procédures spéciales pour les cas de disparitions ou décès inexpliqués : NON, outre les procédures d’enquêtes classiques menées par les autorités policières, les pratiques funéraires s’adaptent à la l’absence de corps. Dans le cas d’inhumation, un cercueil vide est ainsi mis en terre.

    ➥ Établissez une liste des dix principales causes de décès des dix dernières années dans votre pays :

    Afin de vous guider, voici les 10 principales causes de mortalité dans le monde selon l'OMS.


    • 1ère : AVC
    • 2ème : Cardiopathie
    • 3ème : Bronchopneumopathie
    • 4ème : Cancer colo-rectal
    • 5ème : Cancer des poumons
    • 6ème : Diabète sucré
    • 7ème : Cardiopathie intensive
    • 8ème : Démences diverses
    • 9ème : Cancer de l’estomac
    • 10ème : Accident de la route


    ➥ Taux bruts de mortalité (en ‰ - pour mille) pour les années suivantes :

    Rapport entre le nombre annuel de décès et la population totale moyenne sur une période et dans un territoire donné.

    Afin de vous guider, voici le classement des États et territoires du monde par taux de mortalité en ‰ selon le World Population Prospects.


    • 2010 : 9,72 pour 1000
    • 2000 : 9,77 pour 1000
    • 1990 : 10,01 pour 1000
    • 1980 : 12,01 pour mille
    • 1970 : 15, 21 pour mille
    • 1960 : 16, 32 pour mille
    • 1950 : 16,45 pour mille

    🪦 Monuments Funéraires Remarquables :

    Accompagner les présentations de monuments funéraires d'une photographie ou illustration pourrait être la bienvenue.

    Cimetière(s) célèbre(s) :
    Le cimetière flottant San Sebastian : Fondé durant le moyen-âge tardif, le cimetière San Sebastian est considéré comme l’un des plus grands de la ville, mais aussi comme un témoignage d’architecture remarquable. En effet, ce dernier est aménagé sous la forme d’un îlot artificiel séparé du reste de la ville.
    [center]Drapeau

    Monument(s) commémoratif(s) célèbre(s) : (Ex : statues, plaques commémoratives, etc.)
    La statue du Maître de l’Arsenal Francesco Albertini :
    Erigée en 1732 pour commémorer la mémoire du Maître de l’Arsenal Franscesco Albertini, un des plus célèbres individus ayant occupé cette fonction, en mémoire d’une victoire navale importante face à la Zélandia, ce monument trône actuellement devant le Palais du Patrice de Velsna.
    [center]Drapeau

    Architecture funéraire remarquable : (Ex : mausolées, tombeaux célèbres, etc.)

    Les caveaux aménagés et mausolées décorés : Leur taille est variable, mais ces monuments, souvent circulaires et prenant la forme d’habitations pullulent dans le paysage rural de Velsna et sont caractéristiques de la région depuis la fin de l’antiquité pré-chrétienne. Les plus grands peuvent faire la superficie de petites chapelles.

    [center]Drapeau


    Cette architecture funéraire remarquable peut aussi bien être une construction récente ou ancienne, un ensemble commun/collectif ou une sépulture individuelle.

    🚻 Perspectives Anthropologiques :

    Quel(s) rôle(s) culturel(s) les funérailles jouent-elles dans les diverses traditions funéraires et pour les groupes qui les pratiquent ? (Ex : impact sur la société, importance rituelle, relation avec le divin/ avec la nature, conservation de la mémoire, etc.)

    Si l’on peut retenir une chose de ce que peuvent dire les activités rituelles et les pratiques funéraires à Velsna, c’est que l’on peut souligner son approche profondément matérialiste qui malgré la chrisitanisation, n’a jamais vraiment pris fin dans la région. Il y a ainsi un substrat païen préexistant. Du reste, ces coutumes relèvent plus désormais que du folklore et de la démonstration de richesse, la conservation de la mémoire n’est pas le rôle de ces monuments, si ce n’est celle de la richesse de ses occupants.
    Quelle place tient actuellement la mort dans la représentation artistique ?
    Après avoir traversé durant toute la renaissance des courants artistiques présentant la mort sous toutes ses couleurs, la société velsnienne rechigne à la représenter dans la majorité des œuvres artistiques sur tout type de support. On peut lier ce phénomène de la mort comme un repoussoir dans la place que prennent les cimetières qui sont toujours en dehors des cités. La mort est une chose à tenir loin de soi. L’héroïsme dans la mort est également un phénomène qui n’a que très peu touché Velsna où le culte héroïque n’existe pas. La mort par le sacrifice de soi n’est généralement pas mis en valeur dans les œuvres d’art et dans les codes moraux qui régissent la cité.
    Un bref historique de cette place de la mort dans la représentation artistique peut aider à faire comprendre la situation actuelle.

    🔮 Futur des Funérailles :

    Les rites et pratiques funéraires de votre pays connaissent-elles des évolutions récentes ? Si oui, lesquelles ? Sont-elles issues d'influences spécifiques ou globales ? (Ex : mondialisation, influence culturelle particulière, etc.)
    Si le matérialisme est une force de plus en plus prenante et qui tend à faire diminuer, encore plus récemment, la vie spirituelle des velsniens, ces derniers ont encore un caractère relativement conservateur sur beaucoup de sujets, ce qui tend à ne pas provoquer d’évolutions récentes, ou à les refuser. C’est ainsi que l’incinération ne s’est jamais implantée sur le territoire, ni les pratiques funéraires plus récentes. « La mort n’est pas un carnaval. » disait un sénateur velsnien
    Quelle place l'innovation technologique joue-t-elle actuellement sur la culture funéraire ?
    Récemment et comme partout, les grands débats sur le transhumanisme ont eu lieu. Néanmoins, le gouvernement s’est toujours refusé à y prendre part en vertu de son principe de participation minimale dans ce pan de la société. Quelques velsniens pourront bien y être partisans, mais dans l’ensemble, ces grands enjeux sont ignorés de ces derniers.
    Existent-ils des discussions éthiques en cours concernant le statut du défunt au sein de la société ? (Ex : questions liées à la conservation des restes, disposition des organes, clonage post-mortem, etc.)
    Cela fait depuis longtemps, depuis la baisse progressive de l’emprise de la religion que le don d’organes n’est plus tabou. En revanche, le gouvernement est intervenu contre le concept de clonage, même d’animaux en vertu de la tendance conservatrice du Sénat, et non sur base de débat éthique.
    Plus généralement, existent-ils des discussions visant à reconsidérer l’approche de la société sur la mort ? (Ex : euthanasie, etc.)
    Le débat sur l’euthanasie a commencé à toucher différentes parts de la société velsnienne mais dans l’ensemble, ce débat est éclipsé sur la scène politique par des sujets considérés comme plus importants. Velsna est en effet en proie à des tensions sociales constantes et l’euthanasie paraît un thème lointain pour beaucoup mis à part les cocnernés.
    Enfin, existent-ils des tendances funéraires émergentes et quelles sont-elles ? (Ex : nouveaux rites funéraires, pratiques alternatives, etc.)
    Dans le climat relativement conservateur dans lequel baigne la cité, ce type de tendance peut être considéré comme mal vu et relevant de la « mode ». Néanmoins, le sénat s’inquiète ces derniers temps de l’émergence de la déesse zélandienne des fonds marins qui a provoqué un certain regain d’interêt pour les funérailles marines.
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    ⚰️ Cérémonies Funéraires :

    ➥ Méthodes funéraires pratiquées selon la quantité d'individus attestée de 1900 à aujourd'hui (en %)

    Une cérémonie/méthode funéraire est un rite qui implique le traitement VOLONTAIRE du corps d'un défunt.


    • ❌ Aucune/Abandon du défunt :
    • 🔥 Crémation : 23%
    • 🪦 Inhumation terrestre : 19%
    • 💧 Inhumation aquatique : 57%
    • 🦅 Exposition des restes : <1%
    • 🌱 Humusation/Terramation : <1%
    • 🧊 Promession/Cryomation : <1%
    • Autre (précisez) : <1%


    ❗Dans le cas d'une séparation de restes humains, vous pouvez dépasser les 100% pour signifier l'utilisation de plusieurs méthodes funéraires pour un même individu. Veuillez indiquer cette séparation des restes en accompagnant le pourcentage des lettres SÉP.

    Existent-ils des coutumes et pratiques visant à altérer les restes du défunt ou sa sépulture ? Dans la tradition pirate, les membres artificiels des défunts sont retirés pour servir de reliques ou d'ex-voto au reste de l'équipage (exemplairement : un crochet ou une jambe de bois qui sont conservés en souvenir du défunt). Il en va de même pour le chapeau du capitaine qui est transmis à son successeur, comme un gage de continuité.
    Existent-ils d'autres coutumes et pratiques spécifiques accompagnant ces cérémonies funéraires ? Non, sinon les discours et moments de recueillement d'usage.
    Des méthodes, coutumes et pratiques funéraires sont-elles réservées à des cas précis ? Non.
    Des méthodes funéraires ont-elles disparu ou commencé à disparaître entre 1900 et aujourd'hui, voire antérieurement à cette date ? L'inhumation aquatique, traditionnelle à l'ouest de la péninsule d'Albi, avait en partie disparu sous l'influence du catholicisme et était réapparu au début du XIXème siècle grâce aux politiques de revitalisation culturelle pharoise. Elle perd à nouveau du terrain depuis le début du XXIème siècle en raison de la part décroissante de la population exerçant des métiers liés à la mer.

    🏛️ Infrastructures Funéraires :

    ➥ Types de dépôts funéraires selon la quantité d'individus déposés de 1900 à aujourd'hui (en %)

    Un dépôt funéraire (sépulture/tombe) est un lieu où des restes humains ont été VOLONTAIREMENT déposés.
    ⚠️ Sépulture primaire/ Sépulture secondaire : les sépultures primaires demeurent non altérées ou non volontairement altérées par des voies anthropiques après leur dépôt initial tandis que les sépultures secondaires ont été altérées volontairement par des voies anthropiques, par des voies humaines, une seconde fois après leur dépôt initial.


    • ❌ Aucune/Abandon du défunt : <1%
    • ♻️ Réemploi des restes (réef artificiel, décoration, terreau) : <1%
    • 🦅 Terrain d'exposition (tour du silence, inhumation céleste, sépulture aérienne) : <1%
    • 🪦 Terrain d'inhumation terrestre aménagé (cimetière urbain ou rural) : <1%
    • 💧 Terrain d'inhumation aquatique aménagé (caveau ou cimetière sous-marin) : 11%
    • 🏞️ Terrain d'inhumation sauvage (cimetière sauvage, dans la nature) : 4%
    • 🚮 Dépôt commun ou collectif grossier (fosse commune, charnier) : <1%
    • 🏛️ Dépôt commun ou collectif primaire (tombeau familial, mausolée) : 15%
    • ⛏️ Dépôt commun ou collectif secondaire (ossuaire, dépôt nomade) : <1%
    • 👑 Sépulture individuelle ou commune/collective monumentale (tombe princière, tumulus, pyramide) : <1%
    • ⚱️ Zone close de dépôt des restes (colombarium, cavurne, urne) : 10%
    • 🥀 Zone particulière de dépôt des restes à l'air libre (jardin du souvenir) : 13%
    • 🌊 Dispersion des restes (mer, vent) : 45%
    • Autre (précisez) : <1%

    Il est préférable que vous remplaciez les exemples ici donnés entre parenthèses par des exemples ayant cours dans votre pays.
    ❗Dans le cas d'une séparation de restes humains, vous pouvez dépasser les 100% pour signifier l'utilisation de plusieurs types de dépôts funéraires pour un même individu. Veuillez indiquer cette séparation des restes en accompagnant le pourcentage des lettres SÉP.


    Sur quel(s) financement(s) se reposent ces différents types de dépôts/infrastructures funéraires ? Les cimetières terrestres sont privés et les concessions sont louées à leurs propriétaires. L'inhumation en mer est par définition gratuite et libre.
    Des types de dépôts sont-ils réservés à des cas précis ? Les terrains d'inhumation aquatiques aménagés sont en général réservés aux pirates et marins fortunés ou s'étant illustrés au cour de leur vie. Il en existe plusieurs au Pharois, généralement situés dans des grottes marines et sous-marines accessibles à marée basse. Ce qui était autrefois des lieux discrets de recueillement réservés à un capitaine ou un équipage particulier sont devenus plus connus avec le temps, prisés pour leur valeur culturelle historique, voire touristiques et sont désormais institutionnalisés. Se faire inhumer dans le même lieu qu'un ancien capitaine peut être un signe de prestige. Certains de ses lieux sont considérés comme largement folklorique et les pirates censés y reposer sont en partie légendaire. Les fouilles archéologiques y ont été interdites lors de la période de revitalisation culturelle pharoise en 1854 après que l'excavation de certains tombeaux sous-marins ait révélé que ces-derniers étaient vides.
    Des types de dépôts ont-ils disparu ou commencé à disparaître des habitudes funéraires entre 1900 et aujourd'hui, voire antérieurement à cette date ? En raison de leur nature exposée aux vagues, les mausolées dans les grottes marines et sous-marines tendent à s'éroder rapidement et à disparaitre au bout de quelques décennies. Leur caractère éphémère contribue au rite funéraire.

    ⚖️ Législation Funéraire :

    Existe-t-il au moins un code funéraire ? NON, les lieux de sépultures sont privés et obéissent aux mêmes lois que n'importe quel terrain. Chacun peut se faire enterrer chez lui s'il le désire.
    Si oui, à quelle échelle s’applique ce ou ces code(s) ? /
    Que contient ou contiennent ce(s) code(s) ? /
    Existe-t-il d’autres législations spécifiques ? /
    L'activité d'opérateur funéraire est-elle encadrée (même dans un cadre privé) et si oui, dans quelles conditions ? Les services (privés) de pompes funèbres sont soumises à quelques réglementations liées à l'hygiène et au respect dû au défunt (des proches peuvent porter plainte en cas de maltraitance avérée d'un cadavre par l'entreprise l'ayant pris en charge). Toutefois la majeure partie de ces questions se règle de manière contractuelle, seules certaines règles d'hygiène de base s'imposent à échelle nationale.

    💀 Statistiques globales et décès particuliers :

    Décès à l'étranger (en %) : ~27% (le grand nombre de diasporas pharoises à l'étranger, la forte émigration qui n'a commencé à ralentir qu'au tout début du XXIème siècle et les activités de piraterie et de marins qui constituent l'une des premières causes de mortalité du pays expliquent ces chiffres particulièrement élevés)
    Règles pour rapatrier un corps : NON (le rapatriement se fait à la charge de ses proches, l'administration pharoise validera systématiquement ces procédures avec les administrations étrangères. En raison de l'absence de législation spécifique sur le sujet, le trafic de cadavre transitant par le Pharois est un phénomène avéré.)
    Décès inexpliqués (en %) : 5 à 10% (généralement en raison de mutineries, règlements de compte inter-équipages ou disparitions mystérieuses de pirates souhaitant prendre leur retraites dans l'anonymat)
    Procédures spéciales pour les cas de disparitions ou décès inexpliqués : NON (l'Etat ne se souci pas du tout de la question. Une offre de détectives privés est toutefois disponible pour les proches souhaitant entamer des recherches)

    ➥ Établissez une liste des dix principales causes de décès des dix dernières années dans votre pays :

    Afin de vous guider, voici les 10 principales causes de mortalité dans le monde selon l'OMS.


    • 1ère : Cancer
    • 2ème : Maladies respiratoires (souvent liées à la pollution)
    • 3ème : Maladies liées à l'alcoolisme
    • 4ème : Accidents du travail
    • 5ème : Morts violentes d'origine criminelle
    • 6ème : Maladies cardiovasculaires
    • 7ème : Maladies infectieuses
    • 8ème : Suicide
    • 9ème : Disparition en mer
    • 10ème : Maladies neurologiques (comme la maladie d'Alzheimer)

    Les Pharois souffrent significativement moins de maladies cardiovasculaires et de diabète que les autres pays développés, probablement en raison de leur alimentation riche en fruits de mer et en poissons, ainsi que leur faible sédentarisation liée à des raisons culturelles historiques. Le développement rapide du secteur tertiaire fait toutefois craindre une augmentation de ces maladies dans les prochaines années.

    ➥ Taux bruts de mortalité (en ‰ - pour mille) pour les années suivantes :

    Rapport entre le nombre annuel de décès et la population totale moyenne sur une période et dans un territoire donné.

    Afin de vous guider, voici le classement des États et territoires du monde par taux de mortalité en ‰ selon le World Population Prospects.


    • 2010 : >11%
    • 2000 : >11%
    • 1990 : >12%
    • 1980 : >12%
    • 1970 : >13%
    • 1960 : >14%
    • 1950 : >14%

    🪦 Monuments Funéraires Remarquables :

    Accompagner les présentations de monuments funéraires d'une photographie ou illustration pourrait être la bienvenue.

    Cimetière(s) célèbre(s) : Cimetière royal de Kanavaportti (bien que les rois d'Albi soient enterrés à la chapelle Sainte-Sophie d'Albigärk, une branche de la famille royale dispose de sa propre île privée dans la ville de Kanavaportti, au milieu du canal).

    Cimetière royal de Kanavaportti
    https://www.zupimages.net/up/24/01/hysz.jpg

    Monument(s) commémoratif(s) célèbre(s) : /

    Architecture funéraire remarquable : Grotte aux os (une grotte marine dont les parois ont été sculptées au XIème siècle, des variations de marées et les jeux de vases communiquant des cavernes avoisinantes l'ont épargnée de l'érosion et permis sa préservation).

    Grotte aux os
    https://www.zupimages.net/up/24/01/xzxj.jpg

    Cette architecture funéraire remarquable peut aussi bien être une construction récente ou ancienne, un ensemble commun/collectif ou une sépulture individuelle.

    🚻 Perspectives Anthropologiques :

    Quel(s) rôle(s) culturel(s) les funérailles jouent-elles dans les diverses traditions funéraires et pour les groupes qui les pratiquent ? Les traditions d'inhumation aquatique pharoise ont joué un rôle politique important, marquant une rupture avec le catholicisme des Albiens. Il fut un symbole de la revitalisation nationale du Pharois. Moins spirituel que folklorique, le retour à la mer des marins est un signe de respect et un réconfort pour les mourant de savoir qu'ils ne feront bientôt plus qu'un avec l'océan. Pour le culte abyssal, l'inhumation des cadavres vise à nourrir les monstres marins et le peuple des eaux, comme une offrande. Des statistiques sur les pratiques religieuses montrent toutefois que les Pharois sont peu nombreux à vraiment croire à cette vision spirituelle et pratique l'inhumation aquatique avant tout par tradition. On suppose que la dureté des sols pharois explique le peu de succès des cimetières dont les tombes sont difficiles à creuser dans la roche granitique.

    Quelle place tient actuellement la mort dans la représentation artistique ? Le romantisme pirate glorifie certains actes héroïques pouvant entrainer la mort dont on trouve des traces dans les oeuvres culturelles à partir du XVIIIème siècle. Toutefois, la mort est majoritairement perçue comme un échec si elle survient chez des individus jeunes, les Pharois préférant en général célébrer la vie que la mort dans leur art.

    Un bref historique de cette place de la mort dans la représentation artistique peut aider à faire comprendre la situation actuelle.

    🔮 Futur des Funérailles :

    Les rites et pratiques funéraires de votre pays connaissent-elles des évolutions récentes ? Si oui, lesquelles ? Sont-elles issues d'influences spécifiques ou globales ? La tertiarisation de l'économie et la spécialisation des équipages de marin, de plus en plus professionnels qui remplace la pêche traditionnelle participe à couper les Pharois de l'environnement océanique et donc diminue la proportion des inhumations aquatiques. L'immigration, listonienne notamment à majorité catholique, participe à l'essor de la pratique de l'enterrement.
    Quelle place l'innovation technologique joue-t-elle actuellement sur la culture funéraire ? Assez marginale.
    Existent-ils des discussions éthiques en cours concernant le statut du défunt au sein de la société ? Le lestage des corps dans le cadre de l'inhumation aquatique a récemment soulevé des questions liées à la pollution au plomb des zones marines. Des alternatives biodégradables ont commencé à émerger ces dernières années.
    Plus généralement, existent-ils des discussions visant à reconsidérer l’approche de la société sur la mort ? La forte mortalité des marins a toujours été un sujet clivant dans la société pharoise : les étatistes plaident pour la rationalisation et l'élaboration de normes de sécurité pour diminuer la part des décès liés aux accidents du travail. Mais ces projets se voient opposer une forte contestation populaire de la part des marins qui refusent de se voir dicter leurs conditions de travail par le gouvernement. Faute de moyens d'appliquer des politiques sanitaires, ces questions demeurent au stade de réflexions thoriques depuis des décennies. L'arrivée au pouvoir d'un gouvernement pirate a mis fin à ces projets.
    Enfin, existent-ils des tendances funéraires émergentes et quelles sont-elles ? Non.

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    🌐 Culture funéraire à travers le monde


    ⚰️ Cérémonies Funéraires :

    ➥ Méthodes funéraires pratiquées selon la quantité d'individus attestée de 1900 à aujourd'hui (en %)

    Une cérémonie/méthode funéraire est un rite qui implique le traitement VOLONTAIRE du corps d'un défunt.

    • ❌ Aucune/Abandon du défunt :0%
    • 🔥 Crémation : 42%
    • 🪦 Inhumation terrestre :48%
    • 💧 Inhumation aquatique : 3,5%
    • 🦅 Exposition des restes : 0%
    • 🌱 Humusation/Terramation : 5%
    • 🧊 Promession/Cryomation :1,5%
    • Autre (précisez) :


    Existent-ils des coutumes et pratiques visant à altérer les restes du défunt ou sa sépulture ?

    Les rites funéraires des tribus Inuits du Lofoten, aussi appelées Premières Nations, sont spécifiques au climat arctique dans lesquelles elles ont évoluées. En effet, le sol des territoires des Provinces-Unies, notamment dans le Ponant et dans le Northerland est totalement gelé une bonne partie de l'année, il est donc particulièrement compliqué d'enterrer les corps des défunts inuits puisque compliqué de creuser.
    Par conséquent, les corps des Inuits décédés ne sont ni inhumés ni incinérés : leurs corps reposent sous des pierres ou au fond de grottes. Le froid ambiant permettant la conservation du corps, celui-ci est entouré d'un linceul fabriqué avec de la peau de phoque et entouré de lanières de cuir qui forcent l'esprit du défunt, qu'il ne faut pas confondre avec son âme, à rester dans le corps.


    Existent-ils d'autres coutumes et pratiques spécifiques accompagnant ces cérémonies funéraires ?
    Le corps du défunt Inuit est disposé en dehors de son domicile, de préférence sur une colline, un tumulus, le plus souvent à l'abri du vent glacial. Les Inuits du Lofoten ont désormais l'habitude d'ériger un petit tumulus qui se trouve si possible à l'arrière de la maison pour des raisons de sécurité publique et pour éviter que les corps ne soient dévorés par des animaux sauvages. Une fois les premiers rites funéraires effectués, l'ensemble des villageois de la tribu apporte au défunt des objets de la vie quotidienne dont il pourrait avoir besoin dans l'autre monde. Parmi ces objets on trouve notamment des outils de chasse et de pêche pour les hommes et des outils de couture pour les femmes. Exception faite du clan des Tegulicans, qui sont reposés la plupart du temps avec des bijoux et des parures mortuaires, hommes et femmes.


    Des méthodes, coutumes et pratiques funéraires sont-elles réservées à des cas précis ?
    L'inhumation aquatique est une coutume nordique héritée de la culture et tradition viking eurysienne. Elle est surtout pratiquée par les Abbayistes (membres de la congrégation religieuse de l'Abbaye de l'Etoile du Nord) et les païens de langue norroise. Conséquemment aux traditions nordiques beaucoup plus implantées dans le nord des Provinces-Unies, les inhumations aquatiques sont essentiellement réalisées dans les Fjords du Northerlands et de l'Archipel du Ponant chez les populations de langue norroise principalement. Une pratique qui a failli disparaître au siècle dernier et qui aujourd'hui revient en force.

    La cryomation quant à elle est très récente, et a été popularisée par les millionnaires et certaines stars qui ont acheté leur concession funéraire à des entreprises spécialisées dans le domaine de la cryogénisation. Aujourd'hui la technologie s'est démocratisée et a été rendu accessible à la classe moyenne supérieure et favorisée.


    Des méthodes funéraires ont-elles disparu ou commencé à disparaître entre 1900 et aujourd'hui, voire antérieurement à cette date ?
    Certains clans de la tribu autochtone des Nanavüks avaient pour usage d'offrir, ou plutôt de rendre, le corps du défunt à la nature, tout en lui accordant une utilité sociale, en le donnant à manger aux chiens et loups domestiqués du clan. Dans un climat très rude où le rationnement de la nourriture était une condition essentielle liée à la survie du clan, cela permettait de réaliser une économie de ressource tout en honorant la "Terre Mère". Cette pratique fut d'abord tolérée par les colons eurysiens, puis ensuite, horrifiés par ces curées de cadavres, progressivement interdites. La pratique fut de nouveau autorisée en 1967, puis à nouveau interdite en 1989. A nouveau autorisée dans certains Fylker du Landsdeler du Ponant, elle est aujourd'hui très marginale et réalisée dans des cas très rares et précis (exemple : le décès d'un chef-chasseur ou d'un conducteur de traîneaux émérite)


    🏛️ Infrastructures Funéraires :

    ➥ Types de dépôts funéraires selon la quantité d'individus déposés de 1900 à aujourd'hui (en %)


    • ❌ Aucune/Abandon du défunt : 0%
    • ♻️ Réemploi des restes (réef artificiel, décoration, terreau) :0,5%
    • 🦅 Terrain d'exposition (tour du silence, inhumation céleste, sépulture aérienne) : 0%
    • 🪦 Terrain d'inhumation terrestre aménagé (cimetière urbain ou rural) : 52%
    • 💧 Terrain d'inhumation aquatique aménagé (caveau ou cimetière sous-marin) :2%
    • 🏞️ Terrain d'inhumation sauvage (cimetière sauvage, dans la nature) : 0%
    • 🚮 Dépôt commun ou collectif grossier (fosse commune, charnier) :
    • 🏛️ Dépôt commun ou collectif primaire (tombeau familial, mausolée) :11%
    • ⛏️ Dépôt commun ou collectif secondaire (ossuaire, dépôt nomade) : 1%
    • 👑 Sépulture individuelle ou commune/collective monumentale (tombe princière, tumulus, pyramide) : 6%
    • ⚱️ Zone close de dépôt des restes (colombarium, cavurne, urne) : 39%
    • 🥀 Zone particulière de dépôt des restes à l'air libre (jardin du souvenir) :3%
    • 🌊 Dispersion des restes (mer, vent) : 3,5%
    • Autre (précisez) :


    Sur quel(s) financement(s) se reposent ces différents types de dépôts/infrastructures funéraires ?
    • Les collectivités locales, c'est à dire les Thengs des Fylke sont pleinement responsable des financements des cimetières et établissements funéraires publics. Ils représentent environ 40% de l'offre totale.
    • Les organisations religieuses possèdent leurs propres concessions, cimetières, et ossuaires, environ 20% de l'offre totale.
    • Les sociétés et établissements entièrement privés se partagent 30% du marché mortuaire en la matière
    • Les 10% restants relèvent de la responsabilité financière des particuliers eux-même qui gèrent leurs propres structures funéraires (en majorité les populations autochtones et certaines communautés ethniques nazuméennes et afaréennes)

    Des types de dépôts sont-ils réservés à des cas précis ?
    Non, tout étant une question de moyens, de budget ou de confession bien entendu, n'importe qui peut se faire inhumer selon le rite funéraire de son choix et le type de dépôt de son choix.

    Des types de dépôts ont-ils disparu ou commencé à disparaître des habitudes funéraires entre 1900 et aujourd'hui, voire antérieurement à cette date ?
    Jusqu'en 1860, certains autochtones pouvaient éventuellement abandonner les corps des défunts tels quels ou simplement recouverts de branchages ou de quelques pierres. En raison des risques évidents d'épidémies ou de problématiques de putréfaction, cette pratique a été progressivement interdite sur tout le territoire à partir de 1860. Même les tribus Inuits d'aujourd'hui respectent quelques règles élémentaires sanitaires et doivent déclarer aux autorités de leur municipalité lorsqu'ils procèdent à un rite funéraire cérémoniel inuit traditionnel.

    ⚖️ Législation Funéraire :

    Existe-t-il au moins un code funéraire ?
    OUI, dans certains Fylker. De manière générale, chaque Fylke fixe ses propres règles en la matière, certains n'en n'ont tous simplement pas et se réfèrent à des réglementations sanitaires. La seule interdiction commune valable sur l'ensemble du territoire est l'abandon de cadavres sans sépulture sur la voie publique, qui est considéré comme un délit.

    Si oui, à quelle échelle s’applique ce ou ces code(s) ?
    Au plus grand échelon possible il s'agit du territoire du Fylke

    Que contient ou contiennent ce(s) code(s) ?
    La liste des inhumations et du traitement des défunts qui est autorisée. Il fixe certaines règles pour les Fylker qui autorisent notamment les inhumations aquatiques ou les tumulus funéraires inuits. Certains codes funéraires ont également une législation prévue pour l'inhumation des animaux domestiques.


    Existe-t-il d’autres législations spécifiques ?
    Non, de manière générale, tout est libre et autorisé, sauf avis contraire, ou en opposition avec d'autres lois locales ou fédérales, ce qui est généralement très rare.

    L'activité d'opérateur funéraire est-elle encadrée (même dans un cadre privé) et si oui, dans quelles conditions ?
    Non, les activités sont libres et peu régulées, la plupart des opérateurs funéraires ont des obligations légales de résultats et non de moyens.
    Certains acteurs privés du marché mortuaire proposent même des prestations originales ou honorent des demandes spécifiques clients, tant que cela respecte les législations en vigueur ou le code funéraire lorsqu'il existe. Par exemple : la crémation sur un bûcher de bois dans l'esprit nordique, utilisation des cendres comme matériau de construction, une société lofotène propose même de transformer les corps des défunts en pierres précieuses artificielle, notamment en diamant....



    💀 Statistiques globales et décès particuliers :

    Décès à l'étranger (en %) : 5%
    Règles pour rapatrier un corps :Non, la plupart des assurances, sociétés de transports et autres opérateurs funéraires savent gérer les rapatriements de corps.
    Décès inexpliqués (en %) :0.1%, concernent les cas rares où les conditions des corps des défunts sont tellement dégradées qu'il est impossible de déterminer les causes du décès.
    Procédures spéciales pour les cas de disparitions ou décès inexpliqués : Aucune, les procédures sont les mêmes que pour un décès normal, entièrement laissées à la responsabilité de la famille. Le cas échéant ce sont les collectivités locales du dernier domicile connu du défunt qui en ont la charge.

    ➥ Établissez une liste des dix principales causes de décès des dix dernières années dans votre pays :


    • 1ère : Cardiopathies diverses et variées (infarctus, morts subite, etc...)
    • 2ème : AVC
    • 3ème : Cancer poumon
    • 4ème : Tumeur cerveau
    • 5ème : Alzheimer et autres maladies neuro dégénératives
    • 6ème : Cancer du côlon/rectum/anus
    • 7ème : Cancer de l'estomac ou du pancreas
    • 8ème : Diabète sucré
    • 9ème : Infection des voies respiratoires, types pneumopathie
    • 10ème : Accidents , liées à des chutes ou traumatismes, également accidents de transports

    ➥ Taux bruts de mortalité (en ‰ - pour mille) pour les années suivantes :

    Rapport entre le nombre annuel de décès et la population totale moyenne sur une période et dans un territoire donné.


    • 2010 : 6,75
    • 2000 : 7,05
    • 1990 : 7,78
    • 1980 : 8,6
    • 1970 : 9,45
    • 1960 : 11,2
    • 1950 :14,6

    🪦 Monuments Funéraires Remarquables :

    Accompagner les présentations de monuments funéraires d'une photographie ou illustration pourrait être la bienvenue.

    Cimetière(s) célèbre(s) :

    cimetière pharois

    Le cimetière pharois de Reinbrinhølm, dans le Fylke de Pharoisie. Il s'agirait du plus ancien cimetière connu exhumé à ce jour, où serait enterrés les premiers eurysiens à avoir foulé le sol nord aleucien. D'après les historiens, il s'agirait de pêcheurs à la morue pharois du XIème siècle. Ces derniers avaient établi des séchoirs à poissons et quelques cabanes d'hivernage sur les côtes d'Aleucie. Peu d'entre eux s'éloignaient du rivage, par peur de rencontrer les autochtones, réputés féroces. Il était inhabituel pour eux d'inhumer leurs morts sur une terre sauvage inconnue. Il est donc vraisemblable que des circonstances et conditions particulières ont du les obliger à les enterrer ici à la hâte, avec pour seule et unique sépulture une pierre levée ce qui n'était pas du tout la coutume pharoise. D'après les historiens, il est très probable qu'une épidémie soudaine les auraient contraint à enterrer leurs morts sur place.

    Monument(s) commémoratif(s) célèbre(s) :

    Statue de l'Indépendance

    la célèbre Statue de l'Indépendance, domine la Baie de Pembertøn. Elle commémore la Glorieuse Révolution au XVIIIème siècle, la guerre civile qui opposa les colons lofotènes, les autochtones et les loyalistes maktois et qui mena à la sécession puis à l'indépendance et à la création des Provinces-Unies.

    La Statue de l'Indépendance, située sur Independence Island, n'est pas un monument commémoratif mortuaire en soi, mais elle est située sur un piédestal de granit sur lequel est gravé les noms des 5879 colons (chiffre officiel non attesté par les historiens mais sur lequel tout le monde s'accorde) tués par les troupes loyalistes durant la Glorieuse Révolution.


    Architecture funéraire remarquable :

    Tombeau de Sølvær

    Le Tombeau de Sølvær (nom de la localité), qui abrite la sépulture royale de l'ancien monarque du clan des Ildorinques, Apripiouküt, dit le Roi-Père, une figure historique tutélaire de cette tribu Inuit, qui a véritablement existé aux alentours de l'an 1000. Considéré comme une quasi-divinité, le tombeau du Roi-Père Apripiouküt à Sølvær est un lieu sacré où les Ildorinques se rendent parfois pour effectuer des cérémonies rituelles et des pèlerinages. Le périmètre intérieur est strictement interdit aux non-Ildorinques, mais il est toutefois possible aux touristes de l'admirer depuis des points de vue situés à quelques centaines de mètres.



    🚻 Perspectives Anthropologiques :

    Quel(s) rôle(s) culturel(s) les funérailles jouent-elles dans les diverses traditions funéraires et pour les groupes qui les pratiquent ?
    Le pays est majoritairement athée, les funérailles occupent donc une place assez minime en terme d'impact sociétal. Les athées choisissent préférentiellement la crémation.
    L'Eglise Protestante, la religion la plus pratiquée dans les Provinces-Unies quant à elle accorde une place modérée aux rites funéraires dans sa liturgie. L'enterrement est de loin le mode de traitement des défunts qui est le plus privilégié.
    Les autochtones ont une multitude de croyances diverses et variées concernant la mort, mais de manière générale, cette dernière n'est pas du tout personnifiée, et ont un rapport bien différent du reste de la société. Il s'agit bien souvent d'un retour à la mère nourricière, beaucoup de mythes également concernant la réincarnation animale sont présents, notamment dans la tribu inuit des Nanavüks qui ont une relation culturelle particulière avec les animaux et la nature.
    L'Abbaye de l'Etoile du Nord quant à elle, célèbre la mort selon les anciennes traditions nordiques, comme un passage vers la Halle des Guerriers et Guerrières, et du Valhalla, et pour les plus valeureux d'entre eux le privilège de chevaucher pour l'éternité aux côtés des Valkyries et de leur Reine Freyja. Pour les autres, ceux qui meurent de vieillesse, de maladie, ou d'accident, ils sont accueillis au sein du royaume de Hel (où c'est beaucoup moins chouette et fun paraît il...).


    Quelle place tient actuellement la mort dans la représentation artistique ?
    La mort n'est pas un tabou dans la société lofotène, elle est souvent évoquée sans ambiguïté, de façon symbolique ou pas, l'approche dans le monde artistique suit les grands courants mondiaux et n'a pas de particularité. Dans la peinture et la sculpture, les corps sans vie sont représentés de manière assez réaliste, presque médicale, et la figure de la Mort elle même est dépeinte et caricaturée de manière très classique : une grande faucheuse squelettique drapée de noire.
    Chez les Abbayistes, la déesse de la mort et des défunts s’appelle Hel. Elle a donné Hell (enfer, en anglais). Elle est la fille de Loki et d'Angrboda, sœur du loup Fenrir et du serpent Jörmungand. Elle est souvent représentée comme un monstre hideux, sorte de cadavre animé en décomposition. Malgré l'apparence horrifique qu'on lui attribue souvent, c'est une personnification brutale mais honnête du cycle naturel de la vie. Elle est souvent perçue comme une divinité froide et stoïque, mais elle sait faire preuve de compassion et accepte les défauts de chacun qu'ils soient physiques ou autres. Hel est le symbole de tout ce qui touche à la vie, la mort et la renaissance. De manière générale on pourrait dire qu'elle incarne le changement et la transformation. Les Stavkirke du Lofoten, sortes d'églises ou de sanctuaires de l'Abbaye de l'Etoile du Nord, entièrement bâties en bois, arborent souvent à l'extérieur des représentations sculptées des diverses divinités dont Hel.


    🔮 Futur des Funérailles :

    Les rites et pratiques funéraires de votre pays connaissent-elles des évolutions récentes ? Si oui, lesquelles ? Sont-elles issues d'influences spécifiques ou globales ? Les crémations et les inhumations aquatiques sont de plus en plus fréquentes, et devraient progressivement dépasser le nombre d'enterrements classiques. Une des raisons invoquées serait le coût exorbitant des concessions mortuaires et les places de plus en plus restreintes dans les cimetières, qu'ils soient privés ou publics.

    Quelle place l'innovation technologique joue-t-elle actuellement sur la culture funéraire ?La cryomation est de plus en plus plébiscitée, notamment chez les couches sociales aisées et très aisées. Une autre tendance également rendue possible par la technologie est la transformation du corps du défunt en joaillerie.

    Existent-ils des discussions éthiques en cours concernant le statut du défunt au sein de la société ?
    Le clonage post mortem alimente de temps à autres les débats et polémiques de certains politiques et scientifiques. La recherche fondamentale et les expérimentations sur le clonage, notamment le travail sur les cellules souches est autorisé et légal au Lofoten.
    Le principe de clonage humain n'est pas fondamentalement interdit, mais la législation est plutôt floue à ce sujet.


    Plus généralement, existent-ils des discussions visant à reconsidérer l’approche de la société sur la mort ? La société lofotène étant ultra-progressiste, l'euthanasie est légale dans de nombreux Fylker, ainsi que le "suicide médicalement assisté", tout comme les méthodes et les recours à la science et à la technologie pour prolonger la durée de vie humaine au delà des limites physiques communément admises. La place de la religion et son influence ont été ces dernières décennies anémiées, et la société considère de moins en moins la mort avec spiritualité. Une écrasante majorité s'en remet désormais à la science et la technologie

    Enfin, existent-ils des tendances funéraires émergentes et quelles sont-elles ? Certaines start-up financées par des milliardaires, mais aussi de grandes sociétés telles que la célèbre Thylacine Corporation feraient des recherches sur la conservation de l'esprit humain après la mort physique. Il s'agirait de télécharger sur un support numérique l'esprit du défunt, comme une sorte de clé USB neuronale. Puis de transférer les données du défunt ainsi numérisées dans un hôte susceptible de les recueillir et de les héberger, comme un ordinateur quantique ou plus improbable mais sérieusement envisagé : un corps humain intact en état végétatif. Pour le moment c'est purement théorique, mais des scientifiques et spécialistes du monde médical se penchent actuellement sur la question.
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    Nom du pays : Royaume-Uni d'Ynys Dyffryn et du Kentware [Caratrad]


    🌐 Culture funéraire à travers le monde


    ⚰️ Cérémonies Funéraires :

    ➥ Méthodes funéraires pratiquées selon la quantité d'individus attestée de 1900 à aujourd'hui (en %)

    Une cérémonie/méthode funéraire est un rite qui implique le traitement VOLONTAIRE du corps d'un défunt.


    • ❌ Aucune/Abandon du défunt : 0% (non recensé)
    • 🔥 Crémation : 27%
    • 🪦 Inhumation terrestre :68,5%
    • 💧 Inhumation aquatique : 2,5%
    • 🦅 Exposition des restes : <1% (non recensé)
    • 🌱 Humusation/Terramation :<1% (non recensé)
    • 🧊 Promession/Cryomation :<1% (non recensé)
    • Autre (précisez) : 1,5% (non recensé par les services métropolitains)

    ❗Dans le cas d'une séparation de restes humains, vous pouvez dépasser les 100% pour signifier l'utilisation de plusieurs méthodes funéraires pour un même individu. Veuillez indiquer cette séparation des restes en accompagnant le pourcentage des lettres SÉP.

    Existent-ils des coutumes et pratiques visant à altérer les restes du défunt ou sa sépulture ? Si oui, lesquelles ? Pour quelles méthodes ? À quels groupes sont-elles attachées ? À quelles confessions ou croyances renvoient-elles ? (Ex : excarnation, embaumement, disposition du corps, dépôt d'objets, etc.)
    Hormis la préparation la plus simple du corps (pour empêcher la putréfaction avant les funérailles), les corps ne sont pas touchés. En revanche, le dépot d'objets à valeur symbolique est fréquent parmis les populations eurysiennes : dans le nord et l'ouest du pays, un plat de bois dans lequel repose de la terre et du sel est déposé sur le défunt avant son inhumation, afin de symboliser l'avenir physique et spirituel du mort. Le sud du pays, dans lequel la tradition catholagnique est plus implanté (contrairement au nord où l'insularisme, syncrétisme du christianisme, est plus fréquent), voit une pratique plus ténue de ce genre de rituels. En revanche, dans l'est de Caratrad se pratique encore (rarement et seulement pour les notables) l'inhumation en bateau-tombe, le bateau étant alors richement chargés en objets supposés servir au défunt dans l'au-delà. Un rite similaire est pratiqué dans le sud ouest de Caratrad, mais le mobilier funéraire y est souvent réduit au strict minimum. La méthode d'inhumation la plus courante reste l'enterrement chrétien, même si la crémation gagne une part croissante en caratrad. La crémation (même si elle est très généralement pratiquée sur une personne agnostique ou athée) se fait selon des rites ancestrales : pour les populations cotiêres de culture germanique, le défunt est parfois placé dans une barque auquel le feu est mis après en avoir tranché les amarres. Pour les autres, la crémation se fait le plus souvent sur un bûcher en extérieur.

    Existent-ils d'autres coutumes et pratiques spécifiques accompagnant ces cérémonies funéraires ? Si oui, lesquelles ? Pour quelles méthodes ? À quels groupes sont-elles attachées ? À quelles confessions ou croyances renvoient-elles ? (Ex : rituels, chants, danses, prières, etc.)
    En plus de ces rites eurysiens, de nombreuses coutumes non-eurysiennes sont pratiquées dans les territoires ultramarins de Caratrad, quasi-seulement chez des populations d'origine autochtone [HRP : Je ne décris ici que des éléments de mes cultures principales]
    Des méthodes, coutumes et pratiques funéraires sont-elles réservées à des cas précis ? Si oui, lesquelles ? Pour qui ? Dans quelles circonstances ? (Ex: décès spécifiques, statuts sociaux particuliers, etc.)
    Les pratiques funéraires varient drastiquement dans les classes supérieures (chez les insularistes). Les membres de la famille royale, ainsi que les membres de grandes familles aristocratiques et les personnes ayant reçues certaines distinctions sont inhumés dans des tombes à couloirs, recouvertes par des pierres (cairns) ou par de la terre (tumulus) en fonction du site d'inhumation. Pour les membres de la famille royale, une enceinte de pierre (cromlech) ou de terre (henge) est dressée autour de la sépulture. Quand ils sont d'origine nordique (ou qu'ils ont reçu l'assentiment royal), de religion insulaire et qu'ils ont péri au combat, les corps des défunts sont placés dans un langskip funéraire, par la suite incendié et éventuellement recouvert de terre (si aucun cours d'eau n'est proche). Ces pratiques sont théoriquement réservées au cas mentionnés supra, mais l'essor de la haute-bourgeoisie a fait que certains caratradiens fortunés se font parfois inhumer selon ces rites spécifiques.

    Des méthodes funéraires ont-elles disparu ou commencé à disparaître entre 1900 et aujourd'hui, voire antérieurement à cette date ? Si oui, lesquelles ? Pour quelles raisons ? (Ex: raisons religieuses, hygiéniques, financières, etc.)
    L'inhumation se fait de plus en plus rare au profit de la crémation, du fait de l'accroissement de la population se déclarant non-croyante.

    🏛️ Infrastructures Funéraires :

    ➥ Types de dépôts funéraires selon la quantité d'individus déposés de 1900 à aujourd'hui (en %)

    Un dépôt funéraire (sépulture/tombe) est un lieu où des restes humains ont été VOLONTAIREMENT déposés.
    ⚠️ Sépulture primaire/ Sépulture secondaire : les sépultures primaires demeurent non altérées ou non volontairement altérées par des voies anthropiques après leur dépôt initial tandis que les sépultures secondaires ont été altérées volontairement par des voies anthropiques, par des voies humaines, une seconde fois après leur dépôt initial.


    • ❌ Aucune/Abandon du défunt :>1%
    • ♻️ Réemploi des restes (réef artificiel, décoration, terreau) :>1%
    • 🦅 Terrain d'exposition (tour du silence, inhumation céleste, sépulture aérienne) :>1%
    • 🪦 Terrain d'inhumation terrestre aménagé (cimetière urbain ou rural) : 67%
    • 💧 Terrain d'inhumation aquatique aménagé (caveau ou cimetière sous-marin) :>1%
    • 🏞️ Terrain d'inhumation sauvage (cimetière sauvage, dans la nature) :12%
    • 🚮 Dépôt commun ou collectif grossier (fosse commune, charnier) :>1%
    • 🏛️ Dépôt commun ou collectif primaire (tombeau familial, mausolée) :>1%
    • ⛏️ Dépôt commun ou collectif secondaire (ossuaire, dépôt nomade) :>1%
    • 👑 Sépulture individuelle ou commune/collective monumentale (tombe princière, tumulus, pyramide) :1,5%
    • ⚱️ Zone close de dépôt des restes (colombarium, cavurne, urne) : 2,2%
    • 🥀 Zone particulière de dépôt des restes à l'air libre (jardin du souvenir) :4,8%
    • 🌊 Dispersion des restes (mer, vent) :10.5%
    • Autre (précisez) :>2%

    Il est préférable que vous remplaciez les exemples ici donnés entre parenthèses par des exemples ayant cours dans votre pays.
    ❗Dans le cas d'une séparation de restes humains, vous pouvez dépasser les 100% pour signifier l'utilisation de plusieurs types de dépôts funéraires pour un même individu. Veuillez indiquer cette séparation des restes en accompagnant le pourcentage des lettres SÉP.


    Sur quel(s) financement(s) se reposent ces différents types de dépôts/infrastructures funéraires ? La majorité des cimetières sont financés par les collectivités locales (communes, principalement), sauf certains spécifiques (militaires, mémoriels, etc...) qui le sont par l'État. Les sépultures monumentales sont directement financées par les proches du défunt. La crémation ou l'inhumation est parfois financée par la sécurité sociale si la famille en est incapable financièrement, les enterrements coûtant chers en Caratrad.
    Des types de dépôts sont-ils réservés à des cas précis ? Si oui, lesquels ? Pour qui ? Dans quelles circonstances ? Les sépultures monumentales sont réservées aux aristocrates de haute naissance et à certains récipiendaire de distinctions officielles. Néanmoins, il n'est pas illégal pour un particulier de se faire bâtir une sépulture monumentale, à question d'y mettre le prix (l'activité est fortement taxée) et de remplir un cahier des charges très précis (faible visibilité, construction, matériaux etc.), ce type de tombeaux ayant suscité un certain engouement chez les ultrariches. En revanche, il est illégal de se faire inhumer dans un langskip si l'on ne remplit pas les critères mentionnés supra.
    Des types de dépôts ont-ils disparu ou commencé à disparaître des habitudes funéraires entre 1900 et aujourd'hui, voire antérieurement à cette date ? Si oui, lesquels ? Pour quelles raisons ? (Ex: raisons religieuses, hygiéniques, financières, etc.)
    Non.

    ⚖️ Législation Funéraire :

    Existe-t-il au moins un code funéraire ? OUI
    Si oui, à quelle échelle s’applique ce ou ces code(s) ? (Nationale, fédérale, communale, autres.) Le code funéraire s'applique à l'échelle métropolitaine. Un code spécifique voté par les assemblées locales s'applique dans chaque territoire ultramarin.
    Que contient ou contiennent ce(s) code(s) ? (Gestion des cimetières, règlements sur la crémation, etc.)
    En plus des critères déjà mentionnés relatifs aux crémations et aux sépultures monumentales, ils contiennent des régles d'inhumation et de traitement des défunts, ainsi que des règles d'hygiène.
    Existe-t-il d’autres législations spécifiques ? (Traitements post-mortem, transport des corps, etc.) Non, sauf dans les forces armées où l'intégralité des opérations funéraires sont laissées à l'appréciation du commandement.
    L'activité d'opérateur funéraire est-elle encadrée (même dans un cadre privé) et si oui, dans quelles conditions ? (Si nécessaire, conditions d'obtention d'une autorisation de pratiquer.) Oui, cette activité nécessite l'obtention d'un diplôme d'État (2 ans d'études supérieures), et elle est fortement controlée et inspectée par le Service de Santé National (SSN).

    💀 Statistiques globales et décès particuliers :

    Décès à l'étranger (en %) : 1,5%
    Règles pour rapatrier un corps : OUI, le rapatriement peut être annulé s'il pose un problème de santé publique (putréfaction avancée ou risques de maladies)
    Décès inexpliqués (en %) : 0,2% (Selon la capacité de la science dans votre pays.)
    Procédures spéciales pour les cas de disparitions ou décès inexpliqués :NON

    ➥ Établissez une liste des dix principales causes de décès des dix dernières années dans votre pays :

    • 1ère : Démence et maladie d'Alzheimer (11,4%)
    • 2ème : Maladies cardio-vasculaires (10,3%)
    • 3ème : Maladies respiratoires chroniques (5,2%)
    • 4ème : Maladies cérébrovasculaires (5,1%)
    • 5ème : Cancer des organes respiratoires (5,0%)
    • 6ème : Maladies du foie (4,3%)
    • 7ème : Maladies du système digestif (3,8%)
    • 8ème : Complications liées au diabète (2,2%)
    • 9ème : Maladies rénales (2,1%)
    • 10ème : Suicides (1,6 %)

    [ignore]➥ Taux bruts de mortalité (en ‰ - pour mille) pour les années suivantes :

    Rapport entre le nombre annuel de décès et la population totale moyenne sur une période et dans un territoire donné.

    Afin de vous guider, voici le classement des États et territoires du monde par taux de mortalité en ‰ selon le World Population Prospects.


    • 2010 : 6,9 %
    • 2000 : 7,1 %
    • 1990 : 7,4 %
    • 1980 : 8,8 %
    • 1970 : 9,0 %
    • 1960 : 11,2%
    • 1950 : 12,4%

    🪦 Monuments Funéraires Remarquables :


    Accompagner les présentations de monuments funéraires d'une photographie ou illustration pourrait être la bienvenue.

    Cimetière(s) célèbre(s) :
    Monument(s) commémoratif(s) célèbre(s) : (Ex : statues, plaques commémoratives, etc.)
    Ynys Wydryn 2
    Ynys Wydryn
    L'île de verre, ou Ynys Wydryn en dyffrynien, est une colline située dans le sud ouest du pays. Elle est omniprésente dans la mythologie et les récits fondateurs des populations celtes, même si l'origine du nom et des aménagements de la colline reste à ce jour inconnue. La colline n'accueille aucune sépulture, mais l'église Saint-Georges située à son sommet sert aux funérailles royales. Ynys Wydryn garde symboliquement l'entrée de la Vallée funéraire royale, où sont enterrés des rois dyffryniens depuis l'âge du bronze.
    Architecture funéraire remarquable : (Ex : mausolées, tombeaux célèbres, etc.)
    Vallée
    La Vallée funéraire royale est composée de dizaines de tombes, dont les plus anciennes remontent à la préhistoire. Néanmoins, la plupart des tombeaux y furent érigés à l'âge du fer, puis la Vallée servit de sépulture habituelle des haut-rois à partir du IIe siècle a. C. . Une part des membres de la famille royale caratradienne y sont enterrés, encore au XXIe siècle. Les tumulus présents sur la photo sont dûs à des bateaux-tombes.
    Sépulture de l'Unificateur
    Un exemple de tombe à passage dans la Vallée: celle d'Owen Cyffanu, le fondateur du Royaume-Uni

    a
    Le cairn du défunt père de Sa Majesté, le roi Daffydd VII
    L'abbaye de Thorn Island
    L'abbaye de Thorn Island est située dans le centre de Bryngaerdinas Pil. Il s'agit à la fois de l'abbaye dans laquelle sont sacrés les souverains et celle où ils sont parfois enterrés. L'abbaye accueille aussi certaines grandes figures historiques ou artistiques caratradiennes.

    🚻 Perspectives Anthropologiques :

    Quel(s) rôle(s) culturel(s) les funérailles jouent-elles dans les diverses traditions funéraires et pour les groupes qui les pratiquent ? (Ex : impact sur la société, importance rituelle, relation avec le divin/ avec la nature, conservation de la mémoire, etc.)

    Quelle place tient actuellement la mort dans la représentation artistique ?

    Un bref historique de cette place de la mort dans la représentation artistique peut aider à faire comprendre la situation actuelle.

    🔮 Futur des Funérailles :

    Les rites et pratiques funéraires de votre pays connaissent-elles des évolutions récentes ? Si oui, lesquelles ? Sont-elles issues d'influences spécifiques ou globales ? (Ex : mondialisation, influence culturelle particulière, etc.)
    Globalement, les rites les plus anciens tendant à disparaitre ou du moins à décliner. Les tumulus sont de moins en moins fréquents, même chez les personnes qui se trouveraient en mesure de s'y faire enterrer. L'enterrement classique, plus sobre, devient de plus en plus la norme de toutes les populations pratiquantes.
    Quelle place l'innovation technologique joue-t-elle actuellement sur la culture funéraire ?
    La culture funéraire de la majorité des caratradiens reste inchangée ; la réincarnation en diamant ou en or rencontre malgré tout un petit succès, même si elle est assez mal vue.
    Existent-ils des discussions éthiques en cours concernant le statut du défunt au sein de la société ? (Ex : questions liées à la conservation des restes, disposition des organes, clonage post-mortem, etc.)
    Même si le don d'organe a fait débat fut un temps, il est aujourd'hui très répandue et peu de personne s'y refusent.
    Plus généralement, existent-ils des discussions visant à reconsidérer l’approche de la société sur la mort ? (Ex : euthanasie, etc.)
    Le débat sur l'euthanasie prend chaque année plus de place dans le débat public. Néanmoins, l'important pouvoir législatif des religieux ainsi que la dominance des courants conservateurs font que la question n'a toujours pas été étudiée officiellement par l'État.
    Enfin, existent-ils des tendances funéraires émergentes et quelles sont-elles ? (Ex : nouveaux rites funéraires, pratiques alternatives, etc.)
    Non.

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    🌐 Culture funéraire à travers le monde

    Organisation Étatique de l'Union des Terres australes de Shuharri

    ⚰️ Cérémonies Funéraires :

    ➥ Méthodes funéraires pratiquées selon la quantité d'individus attestée de 1900 à aujourd'hui (en %)

    Une cérémonie/méthode funéraire est un rite qui implique le traitement VOLONTAIRE du corps d'un défunt.


    • ❌ Aucune/Abandon du défunt : 4 %, il arrive assez fréquemment qu'une personne meurt dans un endroit ou dans des circonstances qui rendent le corps irrécupérable, que ce soit à Hohhothaï dans des zones particulièrement polluées ou en situation de conflit armé (bien que les affrontements Triades-Révolutionnaires se soient largement calmées dans les dernières années), ou aux Terres australes où récupérer un corps dans une grotte ou une vallée remplie de gaz toxique peut être difficile, ou à flanc de montagne. Il arrive qu'une personne disparaisse dans l'étendue glacée de l'Enclave Volcanique (ou plus rarement, dans la forêt hohhothaïenne) et qu'on ne la retrouve jamais. Les tempêtes hivernales sont une cause importante de disparitions. Les groupements nomades aux Terres australes ou à Tumgao peuvent arrêter la recherche d'un disparu ou d'un défunt s'ils considèrent qu'ils ne peuvent plus s'attarder au même endroit.
    • 🔥 Crémation : 19 %, Globalement, présente sous différentes formes dans les trois régions. La majeure partie des crémations sont réalisées en crématorium à Hohhothaï, là ou les buchers terrestres et sur radeau sont beaucoup plus utilisées dans l'Enclave volcanique (notamment dans la population shue et cultures apparentée). La crémation est rare à Tumgao et principalement réalisée sur bûcher terrestre.
    • 🪦 Inhumation terrestre : 33 %, traditionnel à Hohhothaï, c'est la principale méthode utilisée à Hohhothaï dans la mesure ou la crémation est traditionnellement considérée comme détruisant les âmes. L'inhumation est pratiquée par la quasi-totalité des populations musulmanes de la région de Tumgao. Une bonne part des animistes tumgaones enterrent également leurs défunts, mais les rites peuvent différer. Les communautés eurysiennes de Hohhothaï peuvent réaliser des enterrements de tradition chrétienne.
    • 💧 Inhumation aquatique : 23 %, très pratiqué parmi les peuples dérivants (vivant en majorité sur des bateaux-villages), mais aussi de plus en plus par les Hohhothaïens pour qui l'océan a pris une symbolique assez importante au cours du XXème siècle, notamment lors de plusieurs crises internes à la cité-état où des milliers de Hohhothaïens ont essayé de passer vers d'autres terres lors de traversées relativement dangereuse.
    • 🦅 Exposition des restes : 8 % SEP, notamment très utilisé dans l'Enclave volcanique, et par de nombreux peuples, le plus nombreux de l'ensemble étant les Thuranni (parmi d'autres rites funéraires possibles). globalement, l'idée d'exposer des corps en plein air et de les laisser aux charognards ne serait pas considéré choquant ou glauque par la plupart des habitants des Terres australes.
    • 🌱 Humusation/Terramation : 4 % SEP, dans la moitié des cas, conjointement à l'exposition de restes. Le compostage des morts est relativement accepté par certains peuples animistes qui ne distinguent pas forcément un individu humain de l'écosystème dans lequel il prends place. Permettre au corps des humains morts de nourrir des êtres vivants est un moyen de préserver l'ensemble. Cette tradition se perpétue de manière sécularisée dans certaines communes anarchistes et communautés arcologiques.
    • 🧊 Promession/Cryomation : 0 %, ce traitement des défunts n'est quasiment pas connu dans la population shuhe
    • Autre (précisez) : 34 % SEP, mise en crypte (6 %) pratiquée par plusieurs peuples de l'Enclave Volcanique dont les Kharins, anthropophagie rituelle (1 %) réalisée par certains peuples minoritaires comme les Gaydaha, grottes funéraires (2 %), pratiqué par exemple par les Arpenteurs de glaces, les Thurannis, les Ozbegs, ossuaires (3 %) parfois associé à de l'humusation, présent chez les Chuluunéens par exemple, artisanat (20 %), très répandu dans l'Enclave volcanique ou elle concerne une majorité de défunts, la sculpture des os est notamment très courante pour réaliser selon le peuple, des statuettes, des gravures, des bijoux, des objets rituels, la peau est utilisé par quelques peuples pour réaliser des parchemins sur lesquels sont inscrits des textes à teneur religieuse, l'ivoire des dents est taillée par quelques peuples minoritaires (les Thjos par exemple), et dons de corps à la science (2 % que l'on trouve dans les trois régions).
    ❗Dans le cas d'une séparation de restes humains, vous pouvez dépasser les 100% pour signifier l'utilisation de plusieurs méthodes funéraires pour un même individu. Veuillez indiquer cette séparation des restes en accompagnant le pourcentage des lettres SÉP.

    Existent-ils des coutumes et pratiques visant à altérer les restes du défunt ou sa sépulture ? Si oui, lesquelles ? Pour quelles méthodes ? À quels groupes sont-elles attachées ? À quelles confessions ou croyances renvoient-elles ? (Ex : excarnation, embaumement, disposition du corps, dépôt d'objets, etc.)

    Oui, notamment dans l'Enclave volcanique, et qui peuvent avoir des sens très différents selon le peuple. L'embaumement des corps est pratiqué par les Kharin et les Icres par exemple, les Kharins (polythéistes) tentent de conserver le corps au mieux car il est important pour un clan de garder la mémoire de ses membres. Pour les Icres (animistes), c'est un moyen de garder un contrôle sur les esprits qui pourraient venir à occuper le corps, certains étant plus dangereux que d'autres, surtout quand vient l'hiver. Le don d'organe est fréquent dans tout le pays et peut concerner jusqu'à 30 % des corps. Parmi les altérations de corps des Terres australes, on peut trouver, des prélèvements, des traitements chimiques, des tatouages, des études scientifiques, des autopsies, des habillements, des dispositions, et parfois, des actes d'entretien pour conserver le corps. Parmi les altérations de sépultures, il peut y avoir des dépôts d'objets (par exemple, certains objets importants associés à la personne ou, chez les Arpenteurs par exemple, un dépôt d'outils et/ou de nourriture supposé aider l'esprit du défunt à traverser un périple difficile, des aménagements de cryptes successifs, l'association sites-mortuaires bâtiments publics (les cryptes kharines par exemple peuvent aussi servir de bibliothèques), les ossuaires chuluunéens (construits en souterrain) servent aussi d'abris d'urgence, les morts pouvant aussi protéger les vivants en cas de besoin, et de zones de rencontre communautaires, certaines zones de sépultures contiennent ou servent également de lieux de cultes, de temples, de monastères...

    Existent-ils d'autres coutumes et pratiques spécifiques accompagnant ces cérémonies funéraires ? Si oui, lesquelles ? Pour quelles méthodes ? À quels groupes sont-elles attachées ? À quelles confessions ou croyances renvoient-elles ? (Ex : rituels, chants, danses, prières, etc.)

    Les enterrements tumgaones sont dans leur majorité faits très rapidement après la mort de la personne (moins de 24 heures), et initient plusieurs jours de festivité. A Tumgao et Hohhothaï, il est fréquent d'embaucher des pleureurs professionnels. Chez plusieurs peuples des Terres australes et chez les Zhua à Hohhothaï, il est d'usage de conserver des corps au domicile et d'en prendre soin pendant des mois, voire des années, avant le traitement final, dans le cas des Akmetzhani, la mort est vu comme un processus lent de transition vers une réalité plus large que celle que l'on connaît (processus commençant bien avant, voire selon certains, dès la naissance, voire avant, la vie actuel n'étant qu'une transition), et dont la perte de conscience n'est qu'une infime étape, s'occuper du "corps" qui reste quand même globalement la personne est un moyen de l'accompagner dans le processus de mort qui peut être traumatisant. Les Terres australs ont un répertoire assez impressionnants de chants mortuaires, dont il existe des compilations sur Internet. Les morts selon les peuples ont tellement de significations et de destins différents qu'il s'est développé dans certains milieux contre-culturels tout un lore imaginant l'existence d'une Union réunissant les morts de différentes réalités dont on aurait pas connaissance, de mondes inexplorés et de relations entre des gens qui ne connaissent pas la même réalité physique, ce qui alimente des sous-genres fantastiques et science-fictionnels très marqué aux Terres australes.

    Des méthodes, coutumes et pratiques funéraires sont-elles réservées à des cas précis ? Si oui, lesquelles ? Pour qui ? Dans quelles circonstances ? (Ex: décès spécifiques, statuts sociaux particuliers, etc.)

    Cela peut arriver. La mort d'un amenokal Majeq implique souvent la réunion de plusieurs tribus, et constitue un événement important. Il existe des tumulus chez plusieurs peuples des terres australes pour enterrer des personnes disposant d'une certaine signification symbolique, qu'elles représentent une figure d'autorité politique et/ou religieuse (lae grandes prêtres sukiyos par exemple) ou des figures de stature héroïque. Des morts inexpliquées ou révélant un problème social peut faire l'objet d'enquêtes. Les personnes condamnées à l'exil (généralement mortel) peuvent faire l'objet d'une cérémonie avant leur départ. Les morts de maladie peuvent être isolés et certains peuples disposent de rites funéraires spécifiques aux corps contagieux (par exemple en préférant la crémation ou en s'équipant pour réaliser l'enterrement, voire en demandant à des gens dont la spécialité est de réaliser les enterrements dangereux. Des catastrophes de grande envergure peuvent appeler à des unions de peuples sur les trois régions pour donner une reconnaissance aux morts. Des morts à l'étranger peut occasionner des traitements funéraires distincts selon les relations et les accords passés avec d'autres pays (il est possible que l'on doive se conformer à la loi du pays par exemple). Il existe également des rites spécifiques à des funérailles sans corps, notamment à Hohhothaï et dans les Terres australes. Par exemple, dans de telles situations, les shus pourraient brûler une effigie de corps avec des éléments qui caractériseraient la personne. Certaines funérailles sont collectives et peuvent être menées au nom d'un groupe voire d'un peuple entier. La morts d'êtres de différentes espèces qui donnent lieu à un rite funéraire ne donne pas toujours lieu aux mêmes rites que les humains, ou que d'autres espèces. Les Ankallyt typiquement disposent d'ossuaires de chiens, là où les humains sont plutôt déposés sur des plateformes funéraires. Un mort peut faire partie de plusieurs communautés (par exemple, un clan thuranni, un village sédentarisé, un groupe de cultivateurs de serres...) et parfois, chacune d'elle organise son rite funéraire, possiblement selon plusieurs traditions, ce qui implique parfois des rencontres préalables pour décider de la façon dont terminera le corps.

    Des méthodes funéraires ont-elles disparu ou commencé à disparaître entre 1900 et aujourd'hui, voire antérieurement à cette date ? Si oui, lesquelles ? Pour quelles raisons ? (Ex: raisons religieuses, hygiéniques, financières, etc.)

    Globalement, l'usage des fosses communes a largement diminué depuis 1900, et pour plusieurs raisons. En premier lieu, l'industrialisation et l'ouverture à l'internationale a ouvert des moyens de gestions des catastrophes inconnus auparavant, si bien que les morts de masses sont beaucoup plus rares et en général, plus gérables. L'interdiction de l'esclavage non religieux (l'esclavage religieux concernant des positions de pouvoir et impliquant des sépultures assez prestigieuses) a aussi fourni un statut aux anciens esclaves qui leur a donné accès à des funérailles plus proches de ce qui se fait au sein d'un peuple (bien qu'il puisse y avoir des différences culturelles entre les anciens esclaves et les anciens maîtres qui peuvent changer les pratiques funéraires). A Hohhothaï, la révolution de 2006/2007 a permis de communaliser le soin au mort et d'en faire un service public, ainsi que d'autoriser des pratiques funéraires plus informelles, donnant aux Hohhothaïens restants l'accès à des enterrements plus proches des approches traditionnelles, alors qu'ils coûtaient trop cher pour une bonne partie de la population auparavant. Aux Terres australes, l'attention porté à la documentation des morts a aussi accru l'importance donné à l'entreposage et l'identification des morts. Il existe aux Terres australes de grandes morgues interethniques pouvant stocker un corps des années jusqu'à identification ou envoi vers traitement définitif.

    🏛️ Infrastructures Funéraires :

    ➥ Types de dépôts funéraires selon la quantité d'individus déposés de 1900 à aujourd'hui (en %)

    Un dépôt funéraire (sépulture/tombe) est un lieu où des restes humains ont été VOLONTAIREMENT déposés.
    ⚠️ Sépulture primaire/ Sépulture secondaire : les sépultures primaires demeurent non altérées ou non volontairement altérées par des voies anthropiques après leur dépôt initial tandis que les sépultures secondaires ont été altérées volontairement par des voies anthropiques, par des voies humaines, une seconde fois après leur dépôt initial.


    Les données réelles donneraient un poids disproportionné aux pratiques funéraires de Hohhothaï d'avant 2006, dans la mesure ou la ville a connu une population importante avoisinant les vingt millions en 2006 avant de s'effondrer pour tomber à 1,6 millions en 2008 quand Hohhothaï intègre l'Union, notamment car la révolution a aussi occasionné de nombreux départs. Pour mieux représenter la diversité des cultures funéraires de l'ensemble des trois régions, les calculs ont été réalisés non pas en recensant le traitement des morts par rapport au total du pays, mais au total de la région, pondéré par la proportion de population présente dans les trois régions en 2012, en d'autres termes, on compte les pourcentages de traitements funéraires comme si les proportions de population étaient toujours resté les mêmes qu'aujourd'hui.

    • ❌ Aucune/Abandon du défunt : 5 % SEP, il existe depuis quelques décennies des équipes qui ont pour métier de chercher et corps et les disparus inaccessibles ou risqués à récupérer pour le groupe qui en aurait la charge. Il arrive régulièrement que l'on retrouve un corps mort depuis longtemps, l'Iksatov prends les signalements de corps et maintient une base de donnée des cadavres retrouvés.
    • ♻️ Réemploi des restes (artisanat, terreau, support d'études, dons d'organes) : 32 % SEP,
    • 🦅 Terrain d'exposition (inhumation céleste, sépulture aérienne, vallée aux morts, grottes mortuaire) : 8 %, l'exposition des corps humains a lentement progressé au fil du siècle aux Terres australes, on est plutôt à 10 % des morts de l'année 2011 (et encore, sur le pays entier, comptant Hohhothaï et Tumgao, près du tiers des morts de l'Enclave volcanique sont exposés). Il est d'ailleurs socialement accepté dans la plupart des cas de passer ou de se poser dans la plupart des terrains d'exposition même en-dehors des funérailles.
    • 🪦 Terrain d'inhumation terrestre aménagé (cimetière urbain ou rural) : 25 %, très utilisés à Hohhothaï, Tumgao dispose également de son cimetière aménagé.
    • 💧 Terrain d'inhumation aquatique aménagé (caveau ou cimetière sous-marin) : 18 %, il existe un grand cimetière marin à Hohhothaï reconnaissable par les bouées flottant au-dessus des cercueils immergés. Aux Terres australes, l'on trouve surtout des caveaux et des fosses mortuaires.
    • 🏞️ Terrain d'inhumation sauvage (cimetière sauvage, dans la nature) : 13 %, très utilisé notamment à Tumgao, parmi des peuples qui restent en bonne partie nomades ou qui gardent des traditions nomades. Les enterrements sauvages ont aussi lieu à Hohhothaï pour pleins de raisons qui dépendent des morts et de leur communauté. L'inhumation aquatique consiste dans un certain nombre de cas à faire couler le corps lesté en haute mer.
    • 🚮 Dépôt commun ou collectif grossier (fosse commune, charnier) : 10 % SEP, beaucoup plus utilisée au début du siècle qu'actuellement.
    • 🏛️ Dépôt commun ou collectif primaire (crypte, mausolée) : 4 %, a surtout progressé depuis les années 80', notamment par l'amélioration des méthodes d'excavation qui ont permis de construire de grandes cryptes souterraine
    • ⛏️ Dépôt commun ou collectif secondaire (ossuaire, catacombes, dépôt nomade) : 3 %, là aussi, une progression constante depuis le début du siècle, a beaucoup augmenté grâce aux améliorations des récupérations de corps et au recul des fosses communes.
    • 👑 Sépulture individuelle ou commune/collective monumentale (tumulus) : environ 2 %, il existe des Tumulus dans l'Enclave volcanique, mais un nombre limité de gens y ont été enterrés.
    • ⚱️ Zone close de dépôt des restes (colombarium, "bibliothèques aux morts") : 3 %, dans les trois régions
    • 🥀 Zone particulière de dépôt des restes à l'air libre (jardin du souvenir) : 3 %, principalement à Hohhothaï
    • 🌊 Dispersion des restes (mer, vent) : 11 %
    • Autre (précisez) : 6 % SEP : laboratoires, sites cryogéniques, morgues, anthropophagie, lieux d'"enterrement/crémation" par la lave, rapatriement vers l'étranger, effigies

    Il est préférable que vous remplaciez les exemples ici donnés entre parenthèses par des exemples ayant cours dans votre pays.
    ❗Dans le cas d'une séparation de restes humains, vous pouvez dépasser les 100% pour signifier l'utilisation de plusieurs types de dépôts funéraires pour un même individu. Veuillez indiquer cette séparation des restes en accompagnant le pourcentage des lettres SÉP.


    Sur quel(s) financement(s) se reposent ces différents types de dépôts/infrastructures funéraires ? (Ex : État, collectivités locales, organisations religieuses, privées, etc.) : globalement, les ressources et la maintenance sont du ressort du gouvernement local, et parfois, d'institutions plus locales comme la famille, la cité-état, le clan, la tribu, le village, le quartier...

    Des types de dépôts sont-ils réservés à des cas précis ? Si oui, lesquels ? Pour qui ? Dans quelles circonstances ? (Ex: décès spécifiques, statuts sociaux particuliers, etc.)

    Oui, typiquement, l'usage de tumulus pour certaines personnalités prestigieuses, la recherche de corps pour des questions de recherche précises, certains caveaux, ossuaires, cryptes ou cimetières sont isolées pour accueillir des corps contagieux en cas d'épidémie, les corps d'étrangers sont rapatriés si possible, sinon, l'enterrement est pris en charge par la Gyasarr se fait selon l'idée que l'on aurait des souhaits du défunts ou de potentiels proches (il est assez fréquent aux Terres australes de considérer que l'enterrement comme destiné aux vivants ou à des êtres extérieurs plutôt qu'aux morts). Les morts dont on l'a pas le corps peuvent faire l'objet d'effigies qui disposent par ailleurs de lieux dédiés. Les corps non identifiés sont souvent maintenus en morgues, il y en aurait au moins plusieurs dizaines de milliers dans ce cas. La constitution de bases de données biométriques ont permis à l'Enclave volcanique de grandement augmenter leur taux d'identification des corps, mais les morgues se sont retrouvé submergées de corps non identifiés retrouvés à Hohhothaï suite à la Révolution. L'identification des morts à Hohhothaï est un problème assez épineux, et l'on retrouve régulièrement des morts d'il y a quelques années, soit par la révolution, soit par la pollution, soit par les Triades, soit par la forêt. L'Assemblée municipale de Hohhothaï a fait le choix de constituer à son tour une base de données biométriques pour s'assurer que les nouveaux morts puissent être identifiés. Les morts aux Terres australes qui ont lieu pendant une tempête hivernale sont parfois entreposés dans un endroit sec mais exposé au froid extérieur le temps que l'été revienne, mais d'autre fois, on change le mode d'enterrement pour pouvoir le faire dans des conditions moins dangereuses ou tout simplement car les conditions météorologiques sont inadaptées au rite funéraire (bonne chance pour maintenir un bûcher sous une tempête de neige, et les charognards ne sortent pas non plus forcément aux pires moments de l'hiver). Les morts des Terres australes en expédition reçoivent souvent des funérailles sur le site de l'expédition et les corps restent là, c'est globalement accepté et attendu, alors que les morts hohhothaïennes ou tumgaones sont rapatriées auprès de leurs proches. Après, les détails de comment on choisit un lieu où mettre ses morts plutôt qu'un autre dépendent des personnes concernées, du contexte culturel, et il serait possible de lister des exeptions pendant des heures.

    Des types de dépôts ont-ils disparu ou commencé à disparaître des habitudes funéraires entre 1900 et aujourd'hui, voire antérieurement à cette date ? Si oui, lesquels ? Pour quelles raisons ? (Ex: raisons religieuses, hygiéniques, financières, etc.)

    Nous avons parlé du recule des fosses communes et de la diminution du nombre de corps abandonnés. Il se trouve que l'inhumation terrestre est également en train de reculer, notamment car les Hohhothaïens se sont à la fois sécularisés et on développés d'autres imaginaires de la morts au fil des décennies tendues qu'ils ont eu l'occasion de connaître. L'inhumation aquatique et la crémation prend une part des rites funéraires qui était auparavant principalement assurée par l'inhumation terrestre. Les cimetières construits pour une ville de plus d'une dizaine de millions d'habitants utilisant massivement l'inhumation se retrouvent ainsi surétendus, et ils sont en bonne partis utilisés pour enterrer les morts de la révolution et de l'avant-révolution.

    ⚖️ Législation Funéraire :

    Existe-t-il au moins un code funéraire ? OUI, mais il ne couvre que la région de Hohhothaï, il vise principalement à s'assurer que tout le monde ait accès à des obsèques décentes, ce qui n'était pas une évidence sous le Consortium
    Si oui, à quelle échelle s’applique ce ou ces code(s) ? (Nationale, fédérale, communale, autres.) : globalement, les règles funéraires sont un ensemble de lois du gouvernement local, de règles d'institutions locales, et de normes sociales souvent implicites, ainsi que d'accords interethniques dans les cas où la mort d'une personne implique plusieurs peuples). A Hohhothaï, c'est à l'échelle de la région que s'applique ce code.
    Que contient ou contiennent ce(s) code(s) ? (Gestion des cimetières, règlements sur la crémation, etc.) : qui peut mener un rite funéraire, où se trouve différentes zones funéraires, comment ont permet à une communauté d'organiser des funérailles, comment on transporte les morts, comment on gère les données reliées aux défunts, qui accèdera au corps, comment la zone est maintenue...

    Existe-t-il d’autres législations spécifiques ? (Traitements post-mortem, transport des corps, etc.) : des lois de bioéthiques encadrant par exemple les dons d'organes, l'usage scientifique des corps, les morts en expédition. Il existe également des règles interethniques sur la gestion des morgues et le rapatriement des corps entre gouvernements locaux.
    L'activité d'opérateur funéraire est-elle encadrée (même dans un cadre privé) et si oui, dans quelles conditions ? (Si nécessaire, conditions d'obtention d'une autorisation de pratiquer.) : ça dépends vraiment du peuple. Cela peut aller des funérailles organisée par la communauté du défunt elle-même à l'implication d'un clergé dans tous les aspects du traitement d'un mort.

    💀 Statistiques globales et décès particuliers :

    Décès à l'étranger (en %) : difficile à estimer vu la désorganisation qu'a causé le départ en masse de hohhothaïens en 2006/2007
    Règles pour rapatrier un corps : OUI : souvent des ententes diplomatiques. La position shuhe en cas de mort d'un étranger sur son territoire consiste généralement à rechercher les proches et à rapatrier le corps sur la moindre demande d'étrangers "au cas où", même si cela entre en conflit avec la volonté d'un potentiel groupe shuharr lui aussi éventuellement concerné.

    Décès inexpliqués (en %) : 3 à 6 % selon les méthodes de calcul (typiquement, imaginons qu'une éruption volcanique tue 1000 personnes. Est-ce qu'on considère que c'est des morts expliqué par l'éruption, ou inexpliquées car l'on ne sait pas précisément quel traumatisme a tué chacune des 1000 personnes dont le corps est désormais sous les cendres ?) et les estimations. Souvent des morts dont on a pas accès au corps.

    Procédures spéciales pour les cas de disparitions ou décès inexpliqués : NON, il y a tellement de contextes pouvant mener à des disparitions ou des décès inexpliqués dans les trois régions de Shuharri que globalement, il est admis que ce soit traité au cas par cas.

    ➥ Établissez une liste des dix principales causes de décès des dix dernières années dans votre pays :

    Afin de vous guider, voici les 10 principales causes de mortalité dans le monde selon l'OMS.


    • 1ère : démences, troubles mentaux, suicides
    • 2ème : gel
    • 3ème : empoisonnements (gaz volcaniques, pollution industrielle)
    • 4ème : cardiopathie ischémiques
    • 5ème : AVC
    • 6ème : cancers
    • 7ème : bronchopneumopathie chronique obstructive
    • 8ème : infection des voies respiratoires basses
    • 9ème : accidents de travail
    • 10ème : catastrophes naturelles

    ➥ Taux bruts de mortalité (en ‰ - pour mille) pour les années suivantes :

    Rapport entre le nombre annuel de décès et la population totale moyenne sur une période et dans un territoire donné.

    Afin de vous guider, voici le classement des États et territoires du monde par taux de mortalité en ‰ selon le World Population Prospects.


    • 2010 : 14 ‰
    • 2000 : 13 ‰
    • 1990 : 17 ‰
    • 1980 : 13 ‰
    • 1970 :16 ‰
    • 1960 : 19 ‰
    • 1950 : 17 ‰

    🪦 Monuments Funéraires Remarquables :

    Accompagner les présentations de monuments funéraires d'une photographie ou illustration pourrait être la bienvenue.

    Cimetière(s) célèbre(s) :
    Les cimetières de Hohhothaï ont souvent été construits très denses et en terrasse sur des collines abruptes pour laisser les terrains les plus aisément constructibles à la ville. Le cimetière inachevé de Khyaltai constitue à ce jour un symbole de la façon dont la ville a été transformée par sa révolution, comment les plans, les problèmes, et les enjeux auquel elle se devait de faire face n'étaient pas les mêmes pour le Consortium et pour les personnes qui font encore de leur ville leur foyer aujourd'hui

    Le statut des cimetières de Hohhothaï est pas clair actuellement. Il est prévu de les laisser à disposition des personnes que ça pourrait concerner, notamment les diasporas étrangères, mais leur maintenance est loin d'être une tâche aisée

    Monument(s) commémoratif(s) célèbre(s) : (Ex : statues, plaques commémoratives, etc.)

    Le mémorial de la colonisation de Tumgao a été construit assez rapidement après la constitution de la ville, il a ouvert début 2008. C'était une demande forte de la population tumgaone et de ses arrivants alors même que beaucoup d'infrastructures basiques manquaient. Le commerce d'esclave, et plus tard, la conquête eurysienne de ces terres, ont transformé le paysage, et marqué même les villageois et nomades de cette région pourtant historiquement peu peuplée et pas très stratégique.

    Mémorial construit avec des inspirations d'aménagement et d'architecture eurysienne, comme un moyen de dire qu'il ne serait pas forcément possible ni souhaitable de se défaire de ce passé, que rien ne peut être oublié quand on est l'opprimé

    Architecture funéraire remarquable : (Ex : mausolées, tombeaux célèbres, etc.)

    L'architecture funéraire des Terres australes est extrêmement riche. L'un des exemples les plus monumentaux, est la grande crypte de Braha. Quand on parle de crypte ici, l'on entend ce qui est parfois nommé un "silo à morts", une grande structure à la fois creusée dans la montagne et construite au-dessus avec les pierres extraites, contenant des rangées et des rangées de pièces dans lesquels l'on range quelques dizaines de cercueils conçus pour pouvoir être ouverts sur demande, et ce, avec la documentation les concernant. Les pièces de cryptes sont souvent réunies par clan, si bien que chaque clan dispose de ses pièces de cryptes. Si vous avez des ancêtres kharins, il s'agit d'ailleurs d'excellents endroits pour mener des recherches généalogiques.

    Mais en l'absence de photos concernant le site, l'on va aborder une autre tradition funéraire présente chez plusieurs peuple. Les ossuaires. L'on peut trouver des catacombes chez plusieurs peuples claniques, mais Chuluun est connue pour avoir pratiqué cela à grande échelle, au point où le sous-sol de la ville entière est parcourue de catacombes.

    L'une des difficultés dans la construction de tels ossuaires est de s'assure que ces pièces restent sèches. Savoir construire ces catacombes est un accomplissement pour bon nombre de constructeurs, et une fois les structure complètement construites, elles peuvent être oubliées et tenir plusieurs siècles. Un projet de cartographie des catacombes est actuellement en cours, et il semblerait que toute une portion des cavités aient été oubliées

    L'on ne peut peut-être pas parler d'"architecture funéraires", mais là encore, une part importante de la culture funéraire des Terres australes : les grottes funéraires. Il y en a un certains nombre, dans lesquelles les corps peuvent être mis différemment, et il est assez fréquent que plusieurs peuples locaux se partagent l'usage d'une grotte, si bien que l'on peut y voir des corps disposés selon différentes traditions funéraires. Ici, des photos de l'une d'entre elles, dans une zone isolée au Sud de l'Enclave, dont le lac sert de zone de funérailles pour plusieurs peuples nomade du coin.

    Il avvire parfois que des gens plongent dans ces lacs pour différentes raisons. Ici, il s'agit d'archéologues qui souhaitent examiner d'anciens ossements

    Cette grotte fait partie de tout un complexe qui dispose de ses courants internes. Il arrive que des ossements soient transportées dans des cavités en-dehors de la zone de funérailles principale, si cela peut arriver à des ossements récent, plus ils restent longtemps, plus ils ont des chances d'être transporté loin. Aller dans des cavités un peu éloignées et un bon moyen non destructif d'accéder à des ossements anciens

    Cette architecture funéraire remarquable peut aussi bien être une construction récente ou ancienne, un ensemble commun/collectif ou une sépulture individuelle.

    🚻 Perspectives Anthropologiques :

    Quel(s) rôle(s) culturel(s) les funérailles jouent-elles dans les diverses traditions funéraires et pour les groupes qui les pratiquent ? (Ex : impact sur la société, importance rituelle, relation avec le divin/ avec la nature, conservation de la mémoire, etc.)

    L'on va ici donner des tendances générales et résumées pour chacune des trois régions.
    A Tumgao, la tradition islamique dispose d'une influence importante, et enterrer les morts doivent se faire dans le respect des commandements d'Allah. Dans l'islam, la mort n'est pas la fin de la vie, mais sa continuation sous une nouvelle forme, la vie actuelle étant une préparation a la résurrection par Allah, qui se ferait conjointement avec un jugement (la période entre la mort et la resurrection fait l'objet de débats théologiques, et tout le monde n'en a pas la même vision). Les animistes très présents à Tumgao ainsi que les matérialistes tendent à réaliser les funérailles que les personnes qui s'en chargent s'imaginent que les morts voudraient. Dans le cas des animistes pèlès l'enterrement sert également à ce que l'esprit du mort parte rapidement rejoindre ses ancêtres et ne reviennent pas tourmenter les vivants. Généralement, la mort d'un ancien a plus d'impacts sur la société que la mort d'un enfant, notamment car "un ainé qui meurt est une bibliothèque qui brûle", les anciens sont des membres centraux de la plupart des cultures de la région, et ancien qui meurt peut désorganiser le tissu social d'une communauté le temps qu'elle apprenne à composer sans cette personnes. Les funérailles peuvent être spectaculaires et impliquent beaucoup d'investissement en temps, en efforts et en ressources de la part des personnes concernées, une première période de deuil peut durer deux à trois semaines pendant laquelle les gens se réunissent régulièrement pour commémorer la mort (et la personne n'est pas sensé exercer son emploi), l'ensemble du deuil peut durer plusieurs mois. La mort d'une personne se doit d'être un moment de fête et l'on danse beaucoup pendant ces périodes.

    A Hohhothaï, les traditions funéraires sont en train de largement éclater, notamment de par l'émergence d'une culture révolutionnaire et la possibilité pour les autochtones d'explorer à nouveau leurs traditions.

    Traditionnellement, les funérailles hohhothaïennes suivent les traditions sinoises, prévoir le jour des funérailles selon les règles du Feng Shui, honorer ses morts trois jours avant les funérailles, et parfois, faire une nuit blanche avant les funérailles pour terminer la préparation. Le jour des funérailles, une période de visite a lieu, à la fin de laquelle le cercueil est fermé et scellé (ne jamais regarder un cercueil en pleine fermeture, il est considéré que c'est un coup à voir son âme emprisonné dans le cercueil. S'ensuit une longue procession vers le crématorium ou le cimetière. La période de deuil traditionnelle est de un an, bien qu'il est fréquent de passer plutôt 49 jours aujourd'hui, pendant ce temps, la famille prie pour les êtres aimés chaque semaine. Il est considéré que le mort est en meilleure position de voir ses descendants terrestres s'il est enterré proche de de sa zone de naissance, si bien qu'une bonne partie des corps de hohhothaïens morts à l'étranger sont rapatriés dans la région de Hohhothaï. Il est considéré que les ancêtres peuvent influencer la vie actuelle des descendants, et ceux-ci sont largement vénérés par la population hohhothaïenne.
    Dans la tradition taoïste, la mort est une force intrinsèque de l'univers, la vie humaine fait partie d'un cycle inarrêtable auquel tout l'univers est soumis. La mort est le retour à l'équilibre originel, l'équilibre permanent vers lequel tout finit par revenir. L'approche confucéenne est assez utilitaire et consiste à aborder la mort sous l'angle des bonnes pratiques de funérailles et de deuil à avoir pour maintenir de bonnes relations humaines. Le confucianisme prescrit la vénération des ancêtres comme une expression de piété filiale et de maintien de l'harmonie sociale. D'un point de vue bouddhiste, la mort est une transition qui s'insère dans un cycle continu de réincarnations, et le but est d'aider l'âme à atteindre un plus haut niveau d'existence.

    La période du Consortium a connu énormément de morts que les proches savaient évitable, et la mort est devenu au fil des dernières décennies un sujet de plus en plus politiquement chargé. La Révolution a ainsi ouvert une vague d'enquêtes sur des dizaines de milliers de morts si bien que les morgues des trois régions sont débordés de cadavres hohhothaïens en attente d'examen, d'autopsie, d'identification, d'analyse. Une mort un peu suspecte ou qui pose question a de fortes chances de passer à la morgue pour un bout de temps, même si les morts post-révolution, surtout récentes restent prioritaires dans les processus d'enquête. Les révolutionnaires considèrent que le monde doit connaitre une rupture avec le monde d'avant, la vénération des ancêtres est ainsi moins présente et davantage un acte privé, certains mettent un point d'honneur à ne pas le faire, et à ne pas suivre les traditions funéraires pour préférer des approches plus révolutionnaires. Il y a plusieurs raisons pour les Hohhothaïens d'inhumer leur corps dans l'eau, l'une d'entre elle est que l'âme des défunts puisse être avec les personnes qui ont été tué dans la traversée car le Consortium avait fait de leur vie un enfer. L'entrée dans l'Union des Terres australes et la mise en contact avec des régions étrangères disposant de dizaines de traditions funéraires a encore amplifié cet appel à expérimenter avec les méthodes funéraires. L'idée étant que les ancêtres et les idées précédentes ont mené à la catastrophe qui a détruit Hohhothaï, l'idée d'expérimenter avec la mort est très bien perçu, et il est assez fréquent que le souhait d'un hohhothaïen à sa mort soit "testez des trucs", ou comme l'a dit l'autochtone révolutionnaire Sun Rong "faite de mon corps et de mon âme, l'avenir que vous souhaiteriez voir advenir".

    Aux Terres australes, les rites funéraires peuvent revêtir des significations et des fonctions très différentes. Il existe des animistes qui reconnaissent les humains comme ayant un esprit pouvant se distinguer du corps, mais ce n'est pas du tout le cas de tous (auquel cas, par exemple, l'esprit d'un individu n'est pas forcément distingué de l'esprit d'un groupe par exemple). La place des humains supposée dans le monde habité peut être aussi bien celui de gardiens de la zone "sûre" que celui d'objet pour les esprits du coin qui peuvent jouer avec à leur gré (et il revient aux humains de vivre avec), celui d'alliés d'esprits exigeants, ou même d'esprits par eux-même disposant d'un pouvoir sur le monde comparable à celui des autres. Là où les Terres australes permettent d'aborder une autre question est dans l'importance que les traditions funéraires ont dans le maintien de la mémoire collective de peuples entiers. Il est fréquent notamment dans la région de garder des données sur les personnes décédées, ce qui pose des dizaines de questions sur la gestion des données des morts et le droit à la vie privée, pour lesquelles tous les peuples n'ont pas forcément la même réponse. Quand les données ne sont pas gardées dans des cryptes, elles peuvent aller dans des archives ou des bibliothèques dédiées. Il arrive souvent que les villages claniques maintienne une bibliothèque sur les ancêtres. L'archivage de l'empreinte informatique du défunt (et parfois les funérailles numériques) est une autre question qui a a du mal à trouver des réponses traditionnelles. C'est parfois les proches qui s'en occupe, mais c'est surtout le fait d'activités en ligne. Les historiens qui s'intéressent à l'histoire shuhe sont souvent agréablement surpris de découvrir ces archivages de données à partir desquels il est possible de retracer des pans entiers de l'histoire shuhe. Actuellement, des discussions ont lieu à l'échelle interethnique pour numériser une partie des archives, pour les rendre consultables à distance, et surtout, de manière systématisée. Les accords funéraires shuhs (équivalent du testament en Eurysie, mais conçus conjointement avec des institutions collectives comme la famille ou la tribu) prévoient souvent une clause très importante sur les données que l'on accepte ou non d'archiver sur un défunt. Prend également part au débat global sur la question des pratiques funéraires et du stockage de données sur le long terme.

    Quelle place tient actuellement la mort dans la représentation artistique ?

    La région de Tumgao voit une population musulmane cohabiter avec une population animiste et matérialiste. Or, l'islam ne permet pas l'iconographie, l'animisme oui. L'art musulman tumgone représente la mort de manière plutôt abstraite, parfois sous forme de poésie, de calligraphie. Même dans les films, la mort est souvent évoquée de manière détournée. L'art animiste n'hésite pas à représenter des images de gens, et des représentations d'esprits, y compris dans l'espace public, ce qui a mené à des conflits qui ont amené à l'émergence d'un art tumgaone qui calligraphie des esprits, qui symbolise la mort mais en le considérant comme des représentation claires.

    La mort à Hohhothaï est souvent représentée crûment, que ce soit dans des morts violentes sous des gerbes de sang, ou des corps mutilés, altérés, par des années de maltraitance, par les empoisonnements. La violence est parfois exagérée volontairement, ce que les artistes expriment comme un moyen d'exprimer des traumatisme ou de représenter cette par importante de leur réalité. La plupart du temps, la mort est représentée par un cadavre précisément par volonté de la sire plutôt que de la sous-entendre, mais ce n'est pas le cas partout. La peintre Feng Jiao préfère largement représenter symboliquement la mort pour dépeindre des événements horribles dans des peintures visiblement anodines. L'on comprends le tableau des quatre étudiants prodnoviens mangeant un melon assez différemment quand on sait que le chiffre 4 et le melon amer sont associés à la mort dans la culture sinoise. Le tableau évoque réellement le traumatisme d'étudiants prodnoviens qui essaient d'oublier la guerre qui faite rage sur leur terre natale, qui menace tous leurs proches. Globalement, la question de la mort est consciemment politisée, et donne lieu à des discussions clairement politiques.

    Au Terres australes, les représentations font la part belle aux mondes multiples, aux créatures issues de profondeurs insoupçonnées, aux forces puissantes qui entourent le monde habité et qui risquent de l'emporter. La mort est parfois personnifiée en une divinité ou un esprit local. Le tabou sur la mort est assez rare donc représenter une personne morte est traditionnellement accepté dans la plupart des cultures. Il peut même se dégager une certaines fascination de certaines productions sur le sujet. Globalement, la mort est un événement relativement plus accepté aux Terres australes qu'il ne peut l'être à Tumgao ou Hohhothaï, et surtout en Eurysie. Il est par exemple plus aisé de trouver des volontaires pour réaliser des travaux risqués dans l'Enclave volcanique que dans beaucoup de régions du monde. Cela a d'importants effets dans l'art et la représentation de la mort, dans le fait par exemple que la mort d'un personnage est un ressort dramatique moins fort pour un public shuh habitué au risque de mourir qu'il ne pourrait l'être dans un contexte aleucien ou eurysien, les réalisateurs shuhs vont ainsi davantage développer les circonstances de la mort d'un personnage s'il souhaite qu'il ait un impact. La mort peut même être considéré comme un allié dans certaines cultures, et il existe quelques peuples qui vouent un culte à la mort, dont les Kharins, qui ont un dieu de la mort dans leur panthéon qui dispose de prêtres dédiés. Mort qui peut ainsi être dépeint non seulement positivement, mais dépeint comme un personnage utile et important dans certains films et séries, parfois pensées également pour être vus par des enfants. La mort tend à être considérée comme quelque chose ou quelqu'un présent au quotidien, voire omniprésent, pouvant affecter tous les êtres vivants, le monde physique, tout, ou faire partie de choses ou d'entités plus larges qui affectent des processus entiers (par exemple, pour les arpenteurs des glaces, le maintien de la vie est un équilibre fragile, un état du monde qui s'altère progressivement. Pour maintenir dans un humain l'équilibre qui le maintient en vie, il faut le rompre ailleurs, par exemple, dans les êtres vivants que l'on mange. La mort peut être représenté dans des éléments extrêmement banals. Par exemple, c'est une figure du dieu de la mort qui donne les instruction de sécurités aux mineurs de fer kharins, une autre personnification de la mort qui souhaite bonne chance aux expéditionnaires de la Station Drahe quand vient l'hiver, un symbole de mort que des nomades altans portent fréquemment en pendentifs divers dans leur longue marche dans la chaîne de Tsaagan.

    Un bref historique de cette place de la mort dans la représentation artistique peut aider à faire comprendre la situation actuelle.

    🔮 Futur des Funérailles :

    Les rites et pratiques funéraires de votre pays connaissent-elles des évolutions récentes ? Si oui, lesquelles ? Sont-elles issues d'influences spécifiques ou globales ? (Ex : mondialisation, influence culturelle particulière, etc.)

    Les principaux changements récents qui ont eu lieu dans les rites funéraires à ce jour, est leur démocratisation à Hohhothaï, leur diversification dans les trois régions, l'amélioration de la récupération des cadavres auparavant inaccessibles ou disparus, la large diminution de l'utilisation des cimetières aménagés et des fosses communes, la production et le stockage de plus en plus de données sur les défunts, la vague d'enquêtes concernant un grand nombre de morts à Hohhothaï qui a submergé les morgues de tout le pays, les progrès de la médecine qui tendent à reculer la mort, quelques essais de cryogénisation qui ont récemment eu lieu

    Quelle place l'innovation technologique joue-t-elle actuellement sur la culture funéraire ?

    Elle bouleverse beaucoup de choses, et de pas mal de manières différentes. Elle pose notamment des question de gestion des données personnelles, rend possible des bâtiments funéraires auparavant impossibles ou difficiles à construire, mais aussi donne une incertitude sur la durée de vie des gens à l'avenir, notamment aux Terres australes qui constituent l'un des foyers historiques du transhumanisme. Elle change également les usages que l'on fait des corps, par exemple, l'amélioration des techniques de transplantation créent une demande pour des dons d'organes là ou auparavant, le patient serait simplement mort. L'apparition de nouveaux matériaux peuvent jouer sur la conception des structures funéraires ou les traitements apportés au corps (l'embaumement par exemple). L'amélioration des techniques de suivi écologique donne aussi des indications qui peuvent influencer les dates d'inhumation célestes. Des corps humains sont utilisés dans les processus d'innovation technologiques et constituent une des filières de dons de corps à la science. Globalement, l'innovation technologique s'insère dans les cultures funéraires comme dans toutes les couches des différentes sociétés, et c'est d'autant plus vrai dans l'Enclave volcanique.

    Existent-ils des discussions éthiques en cours concernant le statut du défunt au sein de la société ? (Ex : questions liées à la conservation des restes, disposition des organes, clonage post-mortem, etc.)

    Outre la conservation et la mise en public des données personnelles, se trouve des questions de cohabitation de peuples avec des rapports très différents à la mort. La mort d'une personne liée à plusieurs peuples peut donner lieu à des conflits sur qui aura accès au corps et qui organisera les funérailles et comment. Si la question était relativement bien gérée à l'échelle de l'Enclave volcanique, l'entrée de la région de Tumgao et de Hohhothaï dans l'Union rebat les cartes car les différentes régions ne forment pas un ensemble culturel cohérent, ce qui occasionne des vues parfois conflictuelles sur la gestion des morts, les pratiques funéraires traditionnelles (et la philosophie sous-jacente) d'un peuple de l'Enclave peut être inacceptable à Tumgao et Hohhothaï. Par exemple, l'enterrement en cimetière aménagé peut être étrange pour un Thurann, mais l'idée qu'un mort puisse être laissé à même le sol et livré aux charognards a de quoi choquer la plupart des Hohhothaïens. Si un métis hohhothaïen-thuranni meurt en expédition, les funérailles doivent-t'elles revenir à l'expédition, un clan thuranni, ou une communauté hohhothaïenne ? Les Thurannis peuvent-ils prélever des os pour les sculpter ? Si le corps est rapatrié à Hohhothaï, les Thurannis pourront-ils laisser leur itinéraire et venir à Hohhothaï pour participer aux funérailles ? La conclusion d'accords inter-régions implique des conversations difficiles.

    Un autre problème qui se pose est celui de la gestion des cadavres à long terme. C'est notamment un gros problème pour les Terres australes où l'archivage de données sur les morts est répandues, où la population croit exponentiellement, et où les conditions physiques sont éprouvantes. Prenons les cryptes kharines. Elles ont été construites pour un certain nombre de morts, mais l'augmentation de la population fait qu'il faudra éventuellement les agrandir et/ou en construire d'autres, ou retirer d'anciens corps, ce qui va à l'encontre du principe de conservation de la mémoire associée aux cryptes. On ne peut pas simplement agrandir indéfiniment les cryptes et même si on le fait, elle reste exposée aux mouvements de terrain, à l'activité volcanique, aux séismes, aux tempêtes, aux actions de l'eau, à de potentiels tourments sociaux qui agiteraient le peuple kharin, à un pouvoir qui au contraire, voudrait détruire tout ou partie des cryptes.

    La question a également été posée de savoir si l'on allait pas abandonner les enquêtes sur un bon nombre des corps qui sont actuellement en attente d'investigations. Les enquêteurs sont aussi débordés que les morgues, et il a été suggéré de laisser ces questions au passé, ce qui n'est pas sans énerver certains hohhothaïens qui espèrent qu'un jour, on enquêterait sur la mort de leurs amis, de leurs proches, de leurs compagnons. Savoir quelles enquêtes abandonner est aussi un sac de nœuds, dans la mesure où cela peut occasionner des discriminations.

    Plus généralement, existent-ils des discussions visant à reconsidérer l’approche de la société sur la mort ? (Ex : euthanasie, etc.)

    L'euthanasie est actuellement en discussion à Hohhothaï, mais déjà pratiqué par différents peuples de l'Enclave sous différentes formes, et c'est beaucoup plus accepté sur des personnes consciente qui ont pris la décision elles-même, que des personnes dans un état végétatif ou en état de souffrance perpétuel (sujet qui occasionne des débats assez enflammés). Les euthanasie les plus fréquentes sont les combats rituels (qui ont lieu périodiquement et dont la personne peut triompher, ce qui donne un certain prestige), les pèlerinages vers la dernière destination, et différentes formes de suicides rituels.

    L'importance du transhumanisme et le développement de biotechnologies aux Terres australes a entamé des discussions sur de possibles allongements de la durée de vie humaine, qui invite à repenser pas mal de choses sur comment on pense la mort. Sujet dont Tumgao et Hohhothaï commencent également à s'emparer. Si un humain vivant 150 ou plus n'est probablement pas encore possible à notre niveau actuel de technologie, des recherches actives existent pour changer cet état de fait et les mécanismes du vieillissement sont de mieux en mieux compris.

    L'amélioration des techniques de réanimation, notamment cardiaques amène également des discussions sur le moment où une personne est déclarée morte. D'autant plus que des facteurs culturels et spirituels peuvent aussi entrer en ligne de compte et que la mort n'est pas déclarée selon les mêmes critères selon les peuples. Globalement, il existe un flou sur la limite entre la vie et la mort, surtout dans l'Enclave, et rien n'indique que cet état de fait changera prochainement.

    Enfin, existent-ils des tendances funéraires émergentes et quelles sont-elles ? (Ex : nouveaux rites funéraires, pratiques alternatives, etc.)

    Principalement une diversification des pratiques, surtout à Hohhothaï. Il est aussi de plus en plus fréquent d'organiser également des funérailles en ligne et d'inviter les connaissances Internet parfois du monde entier. La cryogénisation en vue de ranimer des corps ultérieurement est dans un état de test. Et il est de plus en plus fréquent que les morts impliquent plusieurs funérailles, et des funérailles hybrides, de plusieurs peuples et milieux sociaux et professionnels.

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    🌐 Culture funéraire à travers le monde


    ⚰️ Cérémonies Funéraires :

    ➥ Méthodes funéraires pratiquées selon la quantité d'individus attestée de 1900 à aujourd'hui (en %)

    Une cérémonie/méthode funéraire est un rite qui implique le traitement VOLONTAIRE du corps d'un défunt.


    • ❌ Aucune/Abandon du défunt : 5%
    • 🔥 Crémation : 10%
    • 🪦 Inhumation terrestre : 55%
    • 💧 Inhumation aquatique : 23%
    • 🦅 Exposition des restes : >1%
    • 🌱 Humusation/Terramation : >1%
    • 🧊 Promession/Cryomation : 5%
    • Autre (précisez) :

    ❗Dans le cas d'une séparation de restes humains, vous pouvez dépasser les 100% pour signifier l'utilisation de plusieurs méthodes funéraires pour un même individu. Veuillez indiquer cette séparation des restes en accompagnant le pourcentage des lettres SÉP.

    Existent-ils des coutumes et pratiques visant à altérer les restes du défunt ou sa sépulture ? Non

    Existent-ils d'autres coutumes et pratiques spécifiques accompagnant ces cérémonies funéraires ? Non

    Des méthodes, coutumes et pratiques funéraires sont-elles réservées à des cas précis ? Pour l'inhumation terrestre, au moment de l'enterrement, de l'eau de mer est versé dans la tombe pour accompagner le défunt dans son voyage vers l'au-delà. Cette coutume vient de l'époque où l'inhumation aquatique a été interdite, les habitants versait donc de l'eau de mer dans la tombe afin d'honorer la mémoire de leur mort.

    Des méthodes funéraires ont-elles disparu ou commencé à disparaître entre 1900 et aujourd'hui, voire antérieurement à cette date ? L'inhumation aquatique a fortement diminué suite à son interdiction au 16ème siècle.

    🏛️ Infrastructures Funéraires :

    ➥ Types de dépôts funéraires selon la quantité d'individus déposés de 1900 à aujourd'hui (en %)

    Un dépôt funéraire (sépulture/tombe) est un lieu où des restes humains ont été VOLONTAIREMENT déposés.
    ⚠️ Sépulture primaire/ Sépulture secondaire : les sépultures primaires demeurent non altérées ou non volontairement altérées par des voies anthropiques après leur dépôt initial tandis que les sépultures secondaires ont été altérées volontairement par des voies anthropiques, par des voies humaines, une seconde fois après leur dépôt initial.


    • ❌ Aucune/Abandon du défunt : >1%
    • ♻️ Réemploi des restes (réef artificiel, décoration, terreau) : >1%
    • 🦅 Terrain d'exposition (tour du silence, inhumation céleste, sépulture aérienne) : 5%
    • 🪦 Terrain d'inhumation terrestre aménagé (cimetière urbain ou rural) : 40%
    • 💧 Terrain d'inhumation aquatique aménagé (caveau ou cimetière sous-marin) : 22%
    • 🏞️ Terrain d'inhumation sauvage (cimetière sauvage, dans la nature) : 2%
    • 🚮 Dépôt commun ou collectif grossier (fosse commune, charnier) : >1%
    • 🏛️ Dépôt commun ou collectif primaire (tombeau familial, mausolée) : 10%
    • ⛏️ Dépôt commun ou collectif secondaire (ossuaire, dépôt nomade) : 5%
    • 👑 Sépulture individuelle ou commune/collective monumentale (tombe princière, tumulus, pyramide) : >1%
    • ⚱️ Zone close de dépôt des restes (colombarium, cavurne, urne) : 2%
    • 🥀 Zone particulière de dépôt des restes à l'air libre (jardin du souvenir) : 2%
    • 🌊 Dispersion des restes (mer, vent) : 8%
    • Autre (précisez) :

    Il est préférable que vous remplaciez les exemples ici donnés entre parenthèses par des exemples ayant cours dans votre pays.
    ❗Dans le cas d'une séparation de restes humains, vous pouvez dépasser les 100% pour signifier l'utilisation de plusieurs types de dépôts funéraires pour un même individu. Veuillez indiquer cette séparation des restes en accompagnant le pourcentage des lettres SÉP.


    Sur quel(s) financement(s) se reposent ces différents types de dépôts/infrastructures funéraires ? Chaque commune s'occupe de son cimetière officiel, tandis que l'état entretien les terrains d'exposition ainsi que du tombeau royal.

    Des types de dépôts sont-ils réservés à des cas précis ? La fosse commune est prévue seulement pour les personnes décédées auxquels nous n'aurions retrouvé ni patrimoine ni famille.

    Des types de dépôts ont-ils disparu ou commencé à disparaître des habitudes funéraires entre 1900 et aujourd'hui, voire antérieurement à cette date ? Depuis l'implémentation de la religion, la fosse commune n'est plus utilisé que pour les raisons citées ci-dessus.

    ⚖️ Législation Funéraire :

    Existe-t-il au moins un code funéraire ? OUI

    Si oui, à quelle échelle s’applique ce ou ces code(s) ? Nationale

    Que contient ou contiennent ce(s) code(s) ? Il explique qui s'occupe des différents dépôt funéraire, des zones où ceux-ci sont autorisé, et des démarche à faire en cas de décès sur le territoire où à l'étranger.

    Existe-t-il d’autres législations spécifiques ? Non

    L'activité d'opérateur funéraire est-elle encadrée (même dans un cadre privé) et si oui, dans quelles conditions ? Pour pouvoir ouvrir une entreprise travaillant dans le funéraire, il faut avoir un diplôme de gestion d'entreprise obtenu maximum 5 ans avant l'ouverture de son entreprise (sauf si déjà directeur d'autre entreprise), ainsi qu'une formation national du travail en milieu funéraire.

    💀 Statistiques globales et décès particuliers :

    Décès à l'étranger (en %) : 6%

    Règles pour rapatrier un corps : OUI, le corps peut prendre tout type d'avions mais doit se trouver dans un coffre fermé type cercueil, et le transport vers et depuis l'aéroport doit être effectué par une compagnie funéraire.

    Décès inexpliqués (en %) : 8% (Selon la capacité de la science dans votre pays.)

    Procédures spéciales pour les cas de disparitions ou décès inexpliqués : OUI, en cas de disparition, dans un premier temps la police local peut lancer une recherche/battue, et démarrer une enquête afin de retrouver la personne disparue. Si rien n'avance au bout de 1 à 2 semaines et que l'enquête n'as pas conclu qu'il fallait faire ça plus tôt, un avis de recherche et diffusée au niveau nationale, et la police provinciale peut se joindre à l'enquête en cours. Si toujours rien au bout de 1 mois, la police sur le dossier peut faire appel au service de sûreté de l'état qui peut avoir accès à tout système de surveillance du pays.
    En cas de décès inexpliqué, si le médecin légiste juge qu'aucune cause ne peut être trouvé et après confirmation de pairs, le corps est tout simplement inhumé en fonction de ce que la famille veut.

    ➥ Établissez une liste des dix principales causes de décès des dix dernières années dans votre pays :

    Afin de vous guider, voici les 10 principales causes de mortalité dans le monde selon l'OMS.


    • 1ère : Cancer/ Tumeur
    • 2ème : Maladie cardiovasculaire/infectieuses/mental
    • 3ème : AVC
    • 4ème :Tabagisme
    • 5ème : Drogue/alcool
    • 6ème : Accident de la route
    • 7ème : Accident domestique
    • 8ème : Mort criminelle
    • 9ème : Suicide
    • 10ème : Obésité/diabète


    ➥ Taux bruts de mortalité (en ‰ - pour mille) pour les années suivantes :

    Rapport entre le nombre annuel de décès et la population totale moyenne sur une période et dans un territoire donné.

    Afin de vous guider, voici le classement des États et territoires du monde par taux de mortalité en ‰ selon le World Population Prospects.


    • 2010 : 8,04 pour 1000
    • 2000 : 5,16 pour 1000
    • 1990 : 7,43 pour 1000
    • 1980 : 9,80 pour 1000
    • 1970 : 12,34 pour 1000
    • 1960 : 17,12 pour 1000
    • 1950 : 10,20 pour 1000


    🪦 Monuments Funéraires Remarquables :

    Accompagner les présentations de monuments funéraires d'une photographie ou illustration pourrait être la bienvenue.

    Cimetière(s) célèbre(s) : Le cimetière familial de Pyrgos
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    C'est un cimetière particulier, car c'est le seul qui est composé à 100% de mausolée et de tombeaux familiaux, ce qui lui donne une surprenante allure de quartier que l'on pourrait penser résidentiel.

    Monument(s) commémoratif(s) célèbre(s) : Le monument aux marins Altos
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    Le Monument aux marins Altos, est un monument commémoratif de 52 mètres d'envergure situé près du port de plaisance de Kavala. Le monument, rend hommage aux explorateurs, marins, marchands et visionnaires Altos. L’architecture, faite de béton et de calcaire, a été reconstruite en 1960. Après une première construction temporaire initiée par le gouvernement de Salazar, le monument prend la forme d’un voilier. À son bord sont représentés un commandant et 32 autres figures historiques de la navigation et des découvertes Altos.

    Architecture funéraire remarquable : Mausolée royal d'Altis
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    Le mausolée royal d'Altis est le lieu au sont enterré les différents roi de la dynastie Karalis.

    Cette architecture funéraire remarquable peut aussi bien être une construction récente ou ancienne, un ensemble commun/collectif ou une sépulture individuelle.

    🚻 Perspectives Anthropologiques :

    Quel(s) rôle(s) culturel(s) les funérailles jouent-elles dans les diverses traditions funéraires et pour les groupes qui les pratiquent ? (Ex : impact sur la société, importance rituelle, relation avec le divin/ avec la nature, conservation de la mémoire, etc.)
    Quelle place tient actuellement la mort dans la représentation artistique ?

    Un bref historique de cette place de la mort dans la représentation artistique peut aider à faire comprendre la situation actuelle.

    🔮 Futur des Funérailles :

    Les rites et pratiques funéraires de votre pays connaissent-elles des évolutions récentes ? Si oui, lesquelles ? Sont-elles issues d'influences spécifiques ou globales ? Elle a connu un fort changement avec l'interdiction de l'inhumation aquatique et l'arrivée de la religion, cependant, durant ce dernier siècle l'inhumation aquatique à commencé à refaire surface.

    Quelle place l'innovation technologique joue-t-elle actuellement sur la culture funéraire ? Mis à part l'arrivée de la cryogénisation, l'innovation a permis à ce que 10% des inhumation aquatique se fasse par l'aquamation.

    Existent-ils des discussions éthiques en cours concernant le statut du défunt au sein de la société ? Un projet de lois va bientôt voir le jours pour que chaque personne majeurs qui décède soit considérer automatiquement comme donneur d'organes, sauf si celui-ci signe un refus lors de son vivant.

    Plus généralement, existent-ils des discussions visant à reconsidérer l’approche de la société sur la mort ? Non

    Enfin, existent-ils des tendances funéraires émergentes et quelles sont-elles ? Oui, comme dit ci-dessus, l'aquamation est une nouvelle pratique funéraire pour les personne voulant être en cendre dans une urne, mais voulant rester proche de la tradition concernant l'inhumation aquatique.

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    🌐 Culture funéraire à travers le monde


    ⚰️ Cérémonies Funéraires :

    ➥ Méthodes funéraires pratiquées selon la quantité d'individus attestée de 1900 à aujourd'hui (en %)

    Une cérémonie/méthode funéraire est un rite qui implique le traitement VOLONTAIRE du corps d'un défunt.

    • ❌ Aucune/Abandon du défunt : 0%, interdite par les régions
    • 🔥 Crémation : 0%, interdite par les régions
    • 🪦 Inhumation terrestre : 96%
    • 💧 Inhumation aquatique : 4%
    • 🦅 Exposition des restes : 0%, interdite par les régions
    • 🌱 Humusation/Terramation : 0%, interdite par les régions
    • 🧊 Promession/Cryomation : 0%, interdite par les régions
    • Autre (précisez) : Dans le cas de la plus haute noblesse, souverain, princes et princesses, ducs et duchesses il est courant que le corps soit recouvert d’une cire blanche ou beige et exposé dans un cercueil en verre pendant quelques mois à quelques années avant d’être “enterré” dans un mausolée.
    Si dans de nombreux domaines il existe des divergences de taille entre les régions, dans ce cas précis, les différences sont infimes, le plus grand écart est de 4 points de pourcentage entre les Terres du Nord et les Pays de l’Erdrin, ces derniers pratiquant l’inhumation aquatique à hauteur de 7%, contre 3% dans le Nord.

    Existent-ils des coutumes et pratiques visant à altérer les restes du défunt ou sa sépulture ? Toutes les lois régionales obligent un traitement du corps du défunt, à des degrés différents. Tout d’abord, elles obligent le prélèvement de tous les organes à forte putréfactions comme le cœur, qui peut être donné à la famille. Il est d’ailleurs courant que le défunt demande qu’on lui retire tel ou tel organe afin de le donner plus tard à ses héritiers. Elles obligent également des soins d'embaumement pour le visage et les mains. Par ailleurs, elles peuvent également obliger d’autres opérations moins corporelles. Ainsi, la loi de Frochine oblige simplement à vêtir le défunt d’une tenue décente quand le loi de Ckey est beaucoup plus contraignante : tenue décente, reconstitution du visage en cas d’accident ou de déformation, coiffage, maquillage… Plus globalement, le pouvoir d’achat très elevé des cantais permet à une grande majorité des sujets de la Fédération offrent à leurs défunts proches des soins dignes : embaumement, masques funéraires… de grands personnages d'autres pays.

    Existent-ils d'autres coutumes et pratiques spécifiques accompagnant ces cérémonies funéraires ? Le rituel funéraire cantais respecte toujours un ordre bien établi mélangeant les dogmes catholiques et la culture païenne cantaise. Tout d’abord, les cantais considèrent que leur âme monte au ciel lors du coucher du soleil, lorsque la personne meurt on estime que son âme quitte son corps et erre parmi les vivants jusqu’au prochain coucher de soleil. Les cultes païens veulent qu’il faut aider l’âme à monter au ciel et que pour la guider il faut faire du bruit et de la lumière. Ainsi, les proches d’un défunt tape généralement sur des tambours funéraires, allument des pétards, des feux de bengales ou des bougies qu’ils placent dehors, sur le rebord de leurs fenêtres ou dans leur jardin, pour guider l’âme du défunt. De manière plus récente, on tire des feux d’artifices pour accompagner les âmes, de façon très sérieuse plusieurs feux d’artifices sont tirés chaque soir pour guider les âmes vers le ciel. Au début de chaque année, le gouvernement fédéral dresse d’ailleurs un calendrier des feux d’artifice quotidien pour s’assurer que suffisamment de feux sont tirés chaque soir et dans tout le royaume. Il est de coutume pour les proches du défunt d’aller voir les feux d’artifices environnant toujours dans cette optique de guide de l’âme vers le ciel. Les familles les plus aisés tirent leurs propres feux d’artifices pour montrer leur richesse. Par ailleurs, lors du décès d’un duc, ce sont presque toutes les communes du duché qui sont tenus de tirer un feu d'artifice. Il en sera de même, dans toute le royaume, quand la reine Augustina II quittera ce monde.

    Les Cantais sont à une extrême majorité catholique, + de 98%, et sont encore nombreux à donner de l'importance aux cultures païennes, 68%, ce rituel est donc le plus courant dans le royaume. Il existe peu de rites spécifiques à des duchés, sauf en Frochine où il est coutume de garder le corps du défunt dans son domicile avant la mise en bière, quand il est déposé dans des chambres funéraires dans les autres régions.

    Des méthodes, coutumes et pratiques funéraires sont-elles réservées à des cas précis ? Bien évidemment, il existe un ensemble de coutumes et de pratiques propres aux nobles cantais. Si chaque duché a ses propres coutumes il existe tout de même des pratiques communes, comme la procession, avant la cérémonie religieuse, le corps du défunt duc ou de la défunte duchesse voyage à travers toutes les provinces de son duché. Une autre coutume est celle du “baiser des grands”, les principaux héritiers du défunt doivent embrasser, sur les lèvres, le défunt avant son exposition. Si un héritier ne s'exécute pas, il perd tous les droits afférents à son titre de noblesse.

    Des méthodes funéraires ont-elles disparu ou commencé à disparaître entre 1900 et aujourd'hui, voire antérieurement à cette date ? Si oui, lesquelles ? Pour quelles raisons ? Comme évoqué précédemment, la crémation est interdite sur tout le territoire fédéral par diverses législations locales depuis 1923. Ces interdictions ont toujours été motivées

    🏛️ Infrastructures Funéraires :

    ➥ Types de dépôts funéraires selon la quantité d'individus déposés de 1900 à aujourd'hui (en %)

    • ❌ Aucune/Abandon du défunt :
    • ♻️ Réemploi des restes : 0%, formellement interdit par les lois régionales dans le cadre d’un corps entier, en revanche environ 20% des familles conservent des organes du défunt dans des reliquaires extrêmement raffinés.

    • 🦅 Terrain d'exposition : 0%, les cantais ont toujours considérer les expositions en plein air comme un mode de dépôt funéraire dégradant et peu catholique, c’est pourquoi il est formellement interdit par les lois régionales.

    • 🪦 Terrain d'inhumation terrestre aménagé :
    • Cimetières urbains : 60%, le cimetière urbain reste le lieu le plus courant d’inhumation des dépouilles, toutes les villes en sont dotés. Leur entretien est toujours impeccable et assuré par les communes grâce au paiement des concessions funéraires. De très nombreux cimetières sont assimilables à de véritables jardins botaniques et certaines municipalités vont jusqu’à fleurir toutes les semaines chaque tombe de leurs cimetières avec des fleurs coupées fraîches. Cette pratique est cependant réalisée par un nombre restreint de communes, surtout celles des provinces horticoles de Ckey. Les concessions sont cependant très onéreuses, une place dans un cimetière d’une capitale régionale coûte souvent plus de 10.000$, voire même 20.000$ à Roune ou au Roto, mais c’est le prix à payer pour avoir une place de 75 ans dans des cimetières à l'entretien irréprochable et au gardiennage permanent. Dans ces cimetières urbains, 95% des inhumations se font en caveau bétonné, 5% en pleine terre.
      Cimetières ruraux : 30%, en dehors des cimetières urbains, il existe de nombreux cimetières communaux, généralement aménagés à l’entrée des villages. Ils se caractérisent souvent par leur petite taille, leur disposition en 4 carrés séparés par des allées plantées avec une fontaine en leur centre. Leur usage en baisse pendant de nombreuses années est en forte hausse puisqu’ils sont très peu cher et leur entretien reste tout à fait convenable, les places à perpétuité y sont nombreuses et les concessions coûtent généralement entre 1.000 et 2.000$, bien moins cher que dans les grandes villes. En Frochine, les concessions coûtent même autour des 100$, de ce fait, de nombreux cantais se font inhumer dans les cimetières des communes de leur enfance ou de leur ancêtre pour avoir une fin de vie plus économique. L’entretien est toujours financé par la vente de concession mais il est également courant que certaines tâches soient effectuées bénévolement, souvent par les associations paroissiales, qui s’assurent du fleurissement et de la tonte du cimetière. Dans ces cimetières urbains, 70% des inhumations se font en caveau maçonné, 30% en pleine terre.

    • 💧 Terrain d'inhumation aquatique aménagé :
    • 2%, puisque la crémation est interdite dans toute la Fédération, de nombreux cantais font immerger leur dépouille en Manche Blanche. La pratique est très réglementée et se pratique uniquement dans certains “sanctuaires marins” dont l’accès est très surveillé et les activités économiques ou touristiques y sont interdites. Ces sanctuaires sont dispersés tout le long de la côte cantaise et sont sous la direction des 3 régions fédérées ayant un accès à la mer : Baden, Pays de l’Erdrin et Ckey. Dans la plupart des communes du littoral, il existe un monument reprenant le nom de chaque défunt ayant embarqué pour son dernier voyage dans la commune ou ayant sa dépouille au large des côtes de la ville. Cette pratique coûte généralement entre 2.000 et 5.000$ qui reviennent au Trésor des duchés.

    • 🏞️ Terrain d'inhumation sauvage : 0%, depuis tout temps, les autorités cantaises ont formellement interdit les inhumations sauvages, si un corps est découvert dans la nature, il est immédiatement remis à l’ossuaire de StrassByen, qui est chargé de récupérer tous les restes retrouvés dans la fédération.

    • 🚮 Dépôt commun ou collectif grossier : 0%, comme pour les dépôts sauvages, les dépôts grossiers sont inexistants au Canta, la population cantaise ayant toujours réalisé des cimetières puis des ossuaires “sophistiqués”.

    • 🏛️ Dépôt commun ou collectif primaire : Mausolée 1%, il existe de nombreux mausolées dans tout le pays, la plupart sont dédiés aux familles aristocrates ou bourgeoise. Ainsi, toutes les familles ducales disposent de mausolée, certains utilisés depuis de nombreux siècles, et encore en fonction, accueillent plusieurs milliers de dépouilles. Il est également courant que d'anciens grands élus, comme les chanceliers, ou de grands militaires, se fassent construire des mausolées. C’est un usage encore très répandu dans tous les milieux aisés du Canta de se faire construire un mausolée. Toutefois, les tombeaux familiaux sont inexistants ou presque, les cantais tiennent à avoir une sépulture dédiée, même si les coûts élevés de certaines places dans les plus grandes villes poussent de nombreux couples à opter pour des caveaux doubles. Il n’existerait qu’une toute petite centaine de caveaux familiaux, dans les communes les plus septentrionales du Canta pour “se donner chaud” selon une vieille légende locale.

    • ⛏️ Dépôt commun ou collectif secondaire : Ossuaire 2%, il n’existe que 3 ossuaires dans tout le Canta, à Roune, au Roto et à StrassByen. Celui de Roune date du XIVe siècle et conserve encore des restes de cette époque, quant aux 2 autres ils servent à conserver les restes des tombes abandonnées des cimetières de ces villes, qui sont les plus occupées du royaume, environ 150 dépouilles sont transférées chaque année des cimetières de ces 2 villes vers leurs ossuaires. Toutefois, il arrive qu’une ou deux fois, des “originaux” demande à ce que leurs dépouilles soient conservées dans les ossuaires encore en activité.

    • 👑 Sépulture individuelle ou commune/collective monumentale :
    • 1%, il existe logiquement des tumulus abritant les dépouilles des plus anciens résidents, à l’époque ou le Canta n’existait même pas encore. Les tumulus les plus nombreux se trouvent dans les territoires historiques Cata, peuple rustre habitant dans le Nord du pays. Il existe également quelques tombes individuelles particulièrement remarquables, comme celles des chanceliers royaux qui font l’objet d’un concours d’architecture et qui sont financés par le Trésor Fédéral. Il en est de même pour certains ducs ayant décidé de construire des tombes monumentales dans des cimetières urbains, comme celle du duc François II de Ckey dans le Cimetière Monumental du Roto.

    • ⚱️ Zone close de dépôt des restes : 2%, les crémations ayant été progressivement interdites depuis les années 1920, il existe encore quelques columbariums abritant de très vieilles urnes, toutefois en voie de totale disparition. Plus aucun reste n’a été admis dans un columbarium depuis le 30 mars 1923, veille de l’entrée en vigueur de

    • 🥀 Zone particulière de dépôt des restes à l'air libre : 0%, ce mode de dépôt moderne des cendres issus de la crémation n’existe pas au Canta mais n’est pas non formellement interdits par les lois régionales.

    • 🌊 Dispersion des restes : 0%, la dispersion des restes en dehors des cimetières communaux et

    • Sur quel(s) financement(s) se reposent ces différents types de dépôts/infrastructures funéraires ?
      Comme dit précédemment, les cimetières urbains comme ruraux sont gérés par les communes grâce au paiement des concessions funéraires. Toutefois, dans les communes les plus petites, il est courant que ce soient les associations paroissiales, un club de maison de retraite ou juste des initiatives personnelles qui assurent les missions d'entretien les plus courantes des cimetières. Dans ce cas, la commune assure juste les dépenses courantes et d’investissement afférentes au cimetière, eau, taille des arbres, clôture… Les sanctuaires marins sont à la charge des régions côtières qui reçoivent toutefois les droits d'immersion, les frais de gestion de ces sanctuaires étant minimes, c’est une source de revenus importante, et controversée, pour les régions fédérés, qui essayent de reverser au maximum ces sommes dans leurs budgets liés à la santé. Une petite part revient également aux communes qui ont aménagé un mémorial spécifique aux personnes immergées.
      Par ailleurs, en ce qui concerne les mausolées ducaux et royaux, ils sont entièrement financés par des deniers publics, les intendances régionales pour les mausolées des ducs et le Trésor Fédéral pour les mausolées royales, les tombes des enfants de souverains mais également des chanceliers royaux et des ministres ayant exercés pendant plus d’un an. Ils sont donc financés par les prélèvements obligatoires, puisque l’accès aux mausolées est toujours gratuit et représente plusieurs dizaines de millions de dollars par an.

      Des types de dépôts sont-ils réservés à des cas précis ? Si oui, lesquels ? Pour qui ? Dans quelles circonstances ? (Ex: décès spécifiques, statuts sociaux particuliers, etc.)

      Des types de dépôts ont-ils disparu ou commencé à disparaître des habitudes funéraires entre 1900 et aujourd'hui, voire antérieurement à cette date ? Comme évoqué précédemment, pendant plusieurs siècles, le mode de dépôt majoritaire est l’ossuaire aménagé mais est progressivement remplacé par souci d’hygiène par les cimetières de pleine terre entre le XVIIIe et le XXe siècle selon les régions. Alors que la plupart des communautés urbaines étaient dotées d’ossuaires, il n’en reste plus que 3 aujourd’hui. Par ailleurs, à partir des années 1870 jusqu’aux années 1910, la pratique des columbariums ou fosse à urnes s’est répandu de manière assez importante dans toute la Fédération,

      ⚖️ Législation Funéraire :

      Existe-t-il au moins un code funéraire ? OUI, la compilation funéraire publiée en 1845 et régulièrement réformée par les régions.

      Si oui, à quelle échelle s’applique ce ou ces code(s) ? Comme tous les codes son Titre Premier est dédié aux règles fédérales, les 8 Titres suivants aux dispositions régionales, il y a comme toujours un Titre par région. Il existe un certain nombre de règles fédérales, générales complétées par des dispositions régionales.Toutefois, de nombreuses dispositions régionales sont communes à tout le royaume, c’est sans doute un des pans du droit cantais ou les divergences régionales sont les plus faibles. Cela a poussé la chancelière Olz à déposer un projet de loi ayant pour but d’intégrer de très nombreuses dispositions du droit régional funéraire dans le droit funéraire fédéral pour le rendre encore plus solide.

      Que contient ou contiennent ce(s) code(s) ? (Gestion des cimetières, règlements sur la crémation, etc.)

      La législation fédérale prévoit de nombreuses règles relatives aux cimetières, ainsi la concession funéraire doit durer au minimum 75 ans, ce qui est une exception, la perpétuité doit être la norme. Elle fixe aussi les compétences en matière de cimetière, intégralement à la charge des communes. Elle fixe également des règles en matière de taille des concessions et d’espacement entre elles, il doit forcément y avoir 50 centimètres de libre autour de chaque tombe. Les lois régionales, quant à elles, interdisent toutes la crémation, l’humusation ou la cryomation, officiellement pour des raisons sanitaires et de bon traitement des dépouilels, officieusement pour des raisons religieuses, la crémation étant contraire au principe de réincarnation. Les lois régionales prescrivent également des règles pour les jours d’inhumations, interdites le vendredi (on ne peut pas être inhumé le même jour que le Christ) et le dimanche (on ne peut pas être inhumé le même jour que le Christ est ressuscité), de ce fait, la plupart des offices ont lieu le lundi ou le mercredi. Les inhumations doivent également avoir lieu uniquement l’après midi mais avant le coucher du soleil (ici pour des raisons de coutumes païennes), en hiver, il est courant que l’office ait lieu le matin et l’inhumation vers 14 heures, les jours se faisant trop court dans les régions nordiques. Ces règles s’appliquent également aux inhumations aquatiques.

      Existe-t-il d’autres législations spécifiques ? (Traitements post-mortem, transport des corps, etc.)
      La législation funéraire est abondante et couvre de multiples domaines et reste commune à toutes les régions. Ainsi, tous les cercueils, même des non catholiques, doivent comporter une croix sur le dessus, et une plaque indiquant le nom, prénom et date de vie et de mort de la personne. Les cercueils doivent être fermés par au moins 8 vis, recouverts par un capuchon de métal et scellés dans de la cire. Les défunts placés en cercueil doivent également avoir un chapelet en main et habillé de “manière décente”. Concernant les inhumations en mer, les corps pouvant être nus ou vêtus doivent tous être enveloppés dans un linceul cousu, en revanche, aucune indication n’est donnée quant à la matière, la couleur ou la forme du linceul, hormis l'interdiction des matières plastiques. Les immersions doivent toujours se faire depuis un bateau adapté et ayant accosté d’un port homologué (la plupart des ports cantais sont homologués) et ce afin d’éviter des immersions sauvages.

      L'activité d'opérateur funéraire est-elle encadrée (même dans un cadre privé) et si oui, dans quelles conditions ? Tous les opérateurs funéraires doivent obtenir un diplôme spécialisé dont la durée varie de 1 an pour les porteurs à 5 ans pour les maîtres de cérémonie et les laïcs officiant. Ils doivent régulièrement renouveler leurs formations par des stages de quelques semaines et leurs pratiques sont régulièrement contrôlées par les commissariats de la reine, les exécutifs des Province.

      💀 Statistiques globales et décès particuliers :

      Décès à l'étranger (en %) :
      Règles pour rapatrier un corps :
      OUI, les règles pour rapatrier sont originellement très strictes, rendant difficile le rapatriement d’un corps puisqu’il fallait obtenir un décret royal. Toutefois, en 1970, l'obtention du décret royal n’est plus une obligation, il faut alors que le transfert soit approuvé par le Parlement régional ou résidait le défunt. Contrairement à ce qui peut se croire, l’approbation du Parlement régional est presque toujours systématique, dès que nécessaire, les proches du défunt se rapprochent d’un parlementaire régional qui obtient rapidement l’approbation auprès de la commission permanente ayant compétence sur la santé, qui statue généralement en moins d’une semaine. Le passage d’une telle approbation en séance plénière est rarissime et à lieu uniquement pour les cas les plus médiatisés.

      Décès inexpliqués (en %) : 0%, la loi fédérale cantaise ne reconnaît pas les décès non résolu, on parle généralement pour les cas les plus mystérieux de “rappel divin” quand il y a un corps ou de “droit à la disparition” quand il n’y a pas de corps

      Procédures spéciales pour les cas de disparitions ou décès inexpliqués : OUI, comme les décès non résolus n’existe pas dans le droit cantais, la police et la justice font tout pour trouver une cause à un décès. La criminalité étant très faible au Canta et les assassinats se comptant sur les doigts de la main, le taux de résolution judiciaire des crimes est très important, autour de 98% en moins d’un an. Pour ces 2% de crime non résolu au bout d’un an, les moyens de résolution judiciaire sont colossaux. Ainsi, il existe une cellule spéciale composée d’enquêteurs et de magistrats hautement spécialisés dans ce genre de cas qui arrive à résoudre dans la plupart des cas les décès inexpliqués. Toutefois, concernant les disparitions, la loi cantaise consacre à “droit à la disparition”, si au bout de 5 ans, aucune trace de la personne n’est retrouvée, aussi infime soit elle, on considère que la personne a disparu de son plein gré et que ce n’est plus la peine de la chercher. Face à la colère de certaines familles face à ce “droit à la disparition”, le cabinet Olz a obtenu la création d’une procédure supplémentaire, durant elle aussi 5 ans, qui cherche alors les causes de la disparition, offrant alors un sursis de 5 ans aux proches avant que la disparition ne soit actée par un jugement.

      ➥ Établissez une liste des dix principales causes de décès des dix dernières années dans votre pays :

      Afin de vous guider, voici les 10 principales causes de mortalité dans le monde selon l'OMS.

      [list]
    • 1ère : Rappel divin
    • 2ème : Cancer
    • 3ème :
    • 4ème :
    • 5ème :
    • 6ème :
    • 7ème :
    • 8ème :
    • 9ème :
    • 10ème :
    La principale cause de décès au Canta est le “rappel divin” suivi par le cancer, généralement surnommé “la maladie de la mort”. En effet, la plupart des autres causes de mort, diabète, obésité, insuffisance respiratoire, cardiaque ou rénale ayant disparu au Canta, les morts naturels ou par cancer augmente statistiquement. Ainsi, les morts dites naturelles, sont dénommées au Canta “rappel divin” qui sous entend que la personne n’est pas réellement morte mais que son âme a simplement été rappelée par Dieu, qui a estimé que sa mission sur Terre est finie et qu’il peut rejoindre le ciel. Ensuite, le cancer, plus souvent appelé “maladie de la mort” se développe beaucoup grâce à l’absence des autres maladies, ce qui n’est pas sans problème. Les autorités estiment que de nombreuses morts pourraient être évités puisque bien que très bien pris en charge par les hôpitaux

    ➥ Taux bruts de mortalité (en ‰ - pour mille) pour les années suivantes :

    Rapport entre le nombre annuel de décès et la population totale moyenne sur une période et dans un territoire donné.

    Afin de vous guider, voici le classement des États et territoires du monde par taux de mortalité en ‰ selon le World Population Prospects.

    • 2010 :
    • 2000 :
    • 1990 :
    • 1980 :
    • 1970 :
    • 1960 :
    • 1950 :

    🪦 Monuments Funéraires Remarquables :

    Accompagner les présentations de monuments funéraires d'une photographie ou illustration pourrait être la bienvenue.

    Cimetière(s) célèbre(s) :
    Monument(s) commémoratif(s) célèbre(s) : (Ex : statues, plaques commémoratives, etc.)
    Architecture funéraire remarquable : (Ex : mausolées, tombeaux célèbres, etc.)

    Cette architecture funéraire remarquable peut aussi bien être une construction récente ou ancienne, un ensemble commun/collectif ou une sépulture individuelle.

    🚻 Perspectives Anthropologiques :

    Quel(s) rôle(s) culturel(s) les funérailles jouent-elles dans les diverses traditions funéraires et pour les groupes qui les pratiquent ? (Ex : impact sur la société, importance rituelle, relation avec le divin/ avec la nature, conservation de la mémoire, etc.)
    Quelle place tient actuellement la mort dans la représentation artistique ?

    Un bref historique de cette place de la mort dans la représentation artistique peut aider à faire comprendre la situation actuelle.

    🔮 Futur des Funérailles :

    Les rites et pratiques funéraires de votre pays connaissent-elles des évolutions récentes ? Si oui, lesquelles ? Sont-elles issues d'influences spécifiques ou globales ? Aujourd’hui les pratiques globales continuent d’évoluer, en faveur de l’inhumation. Si on remonte le temps, on peut voir que les crémations qui concernaient près de 40% des défunts au XIXe ont totalement disparues après leur interdiction progressive par les régions, de 1920 pour le Baden, première région à l’avoir interdite, à 1956 pour les Pays de l’Erdrin, dernière région à autoriser la crémation. Des crémations sauvages se sont perpétrées mais le phénomène n’a pas pris beaucoup d’ampleur, cela restant assez morbide. Au contraire, la légalisation au niveau fédéral de l'immersion des défunts en 1971 a conduit de nombreux cantons à choisir cette option, qui a représenté au pic de la pratique, en 1987, environ 20% des inhumations. Toutefois, contrairement à ce qu’on peut croire, le choix de la crémation puis de l'immersion se fait avant tout pour des raisons économiques ou pratiques que pour des raisons religieuses. En effet, le coût très élevé d’un enterrement ou la perspective de l’absence d’entretien de la tombe à conduit les cantais les plus pauvres et les plus isolés à choisir cette option, cette pratique fut condamnée par le synode des cardinaux du Canta en 1984 par cette formule “cachez ces malheureux que je ne saurais voir”. Pour éviter que les plus pauvres ou les plus isolés ne disparaissent pour toujours en mer, le Parlement fédéral fait voter en 1990, contre l’avis du gouvernement d’alors une loi autorisant les cantais à se faire enterrer dans le village de leur aïeux sur 4 générations et non plus dans leur ville de décès. Initialement jugée inutile, cette disposition a fonctionné beaucoup mieux que prévu, les cimetières de campagne laissés pour certains à l’abandon ont tous retrouvé une certaine vigueur, de nombreux cantais voulant se faire enterrer à côté de leurs ancêtres ou dans ces petits cimetières pas cher. Par ailleurs, la perspective d’un entretien de la tombe par les associations paroissiales ou de maison de retraite à permis de convaincre de nombreux cantais isolés de privilégier cette option ou des personnes continuent de penser à eux. Les inhumations en mer ont alors commencé à péricliter et la tendance s’accélère, aujourd’hui on se fait immerger en mer parce que ça reste un lieu de repos original et surtout peu contraignant.


    Quelle place l'innovation technologique joue-t-elle actuellement sur la culture funéraire ?

    Existent-ils des discussions éthiques en cours concernant le statut du défunt au sein de la société ? (Ex : questions liées à la conservation des restes, disposition des organes, clonage post-mortem, etc.)
    Plus généralement, existent-ils des discussions visant à reconsidérer l’approche de la société sur la mort ? (Ex : euthanasie, etc.)
    Enfin, existent-ils des tendances funéraires émergentes et quelles sont-elles ? (Ex : nouveaux rites funéraires, pratiques alternatives, etc.)

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    🌐 Culture funéraire à travers le monde


    ⚰️ Cérémonies Funéraires :

    ➥ Méthodes funéraires pratiquées selon la quantité d'individus attestée de 1900 à aujourd'hui (en %)

    Une cérémonie/méthode funéraire est un rite qui implique le traitement VOLONTAIRE du corps d'un défunt.


    • ❌ Aucune/Abandon du défunt : inférieur à 0,2%
    • 🔥 Crémation : 1%
    • 🪦 Inhumation terrestre : 98%
    • 💧 Inhumation aquatique :
    • 🦅 Exposition des restes : 0,1%
    • 🌱 Humusation/Terramation :0,1%
    • 🧊 Promession/Cryomation :0,2%
    • Autre (précisez) :

    ❗Dans le cas d'une séparation de restes humains, vous pouvez dépasser les 100% pour signifier l'utilisation de plusieurs méthodes funéraires pour un même individu. Veuillez indiquer cette séparation des restes en accompagnant le pourcentage des lettres SÉP.

    Existent-ils des coutumes et pratiques visant à altérer les restes du défunt ou sa sépulture ? Si oui, lesquelles ? Pour quelles méthodes ? À quels groupes sont-elles attachées ? À quelles confessions ou croyances renvoient-elles ? (Ex : excarnation, embaumement, disposition du corps, dépôt d'objets, etc.)
    Dans l'islam, il existe des coutumes et des pratiques spécifiques concernant les rites funéraires et la sépulture, mais elles sont généralement axées sur la préservation de l'intégrité du corps du défunt. Comme la religions majoritaire et l'islam .
    Lavage rituel du corps (Ghusl) : Avant l'enterrement, le corps du défunt est lavé et purifié selon des normes spécifiques. Ce rituel, connu sous le nom de Ghusl, est effectué par des membres de la communauté musulmane et est considéré comme une obligation religieuse.
    L'inhumation rapide : Il est recommandé en islam d'enterrer le défunt dès que possible après son décès, idéalement dans les 24 heures suivant le décès. Cette pratique vise à honorer le défunt et à respecter son intégrité corporelle.
    L'absence d'embaumement : Contrairement à certaines traditions, l'embaumement n'est pas pratiqué dans l'islam. Le corps est laissé dans son état naturel, sans altération artificielle.
    La position du corps : Le corps du défunt est généralement placé sur son côté droit, face vers La Mecque, conformément à la tradition islamique. Cela est considéré comme une marque de respect et de piété envers Dieu.
    L'inhumation dans un linceul (Kafan) : Le défunt est enveloppé dans un linceul blanc appelé Kafan avant d'être enterré. Ce linceul est simple et symbolise l'égalité de tous les individus devant Dieu, quel que soit leur statut social ou leur richesse.
    Existent-ils d'autres coutumes et pratiques spécifiques accompagnant ces cérémonies funéraires ? Si oui, lesquelles ? Pour quelles méthodes ? À quels groupes sont-elles attachées ? À quelles confessions ou croyances renvoient-elles ? (Ex : rituels, chants, danses, prières, etc.)
    Dans l'islam, en plus des pratiques funéraires mentionnées précédemment, il existe d'autres coutumes et pratiques spécifiques accompagnant les cérémonies funéraires. Récitation de prières : Après l'enterrement, les musulmans se réunissent pour réciter des prières spéciales, connues sous le nom de Salat al-Janazah, en faveur du défunt. Ces prières impliquent généralement une série de supplications et d'invocations pour la miséricorde et le pardon de Dieu. Invoquer la miséricorde de Dieu : Pendant les funérailles, il est courant pour les participants de faire des invocations et de demander la miséricorde de Dieu pour le défunt. Les musulmans croient en la puissance de la prière pour obtenir le pardon et le repos éternel pour l'âme du défunt. Récitation du Coran : Il est également courant de réciter des passages du Coran pendant les funérailles. Ces récitations sont considérées comme des actes de dévotion et de piété, et elles sont destinées à apporter du réconfort aux membres de la famille du défunt.
    Réconfort et soutien aux proches : Les funérailles dans l'islam sont également l'occasion pour les membres de la communauté de se rassembler et de soutenir les proches du défunt. Les amis et la famille offrent leurs condoléances et leur soutien émotionnel à ceux qui pleurent la perte d'un être cher. Distribution de charité (Sadaqah) : Certains musulmans choisissent de faire des dons de charité en mémoire du défunt. Cela peut prendre la forme de nourriture, de vêtements ou d'autres formes d'aide pour les personnes dans le besoin, conformément aux enseignements de l'islam sur la bienfaisance et la solidarité.
    Des méthodes, coutumes et pratiques funéraires sont-elles réservées à des cas précis ? Si oui, lesquelles ? Pour qui ? Dans quelles circonstances ? (Ex: décès spécifiques, statuts sociaux particuliers, etc.)
    Lors de la mort d'une personne de la famille impériales , le Pays et en deuil et les magasins sont fermés , les écoles aussi . Cela dure 1 semaine . Les musiques , fête sont aussi annuler et le moins de bruit doit être faits .
    Des méthodes funéraires ont-elles disparu ou commencé à disparaître entre 1900 et aujourd'hui, voire antérieurement à cette date ? Si oui, lesquelles ? Pour quelles raisons ? (Ex: raisons religieuses, hygiéniques, financières, etc.)

    🏛️ Infrastructures Funéraires :

    ➥ Types de dépôts funéraires selon la quantité d'individus déposés de 1900 à aujourd'hui (en %)

    Un dépôt funéraire (sépulture/tombe) est un lieu où des restes humains ont été VOLONTAIREMENT déposés.
    ⚠️ Sépulture primaire/ Sépulture secondaire : les sépultures primaires demeurent non altérées ou non volontairement altérées par des voies anthropiques après leur dépôt initial tandis que les sépultures secondaires ont été altérées volontairement par des voies anthropiques, par des voies humaines, une seconde fois après leur dépôt initial.


    • ❌ Aucune/Abandon du défunt : 1%
    • ♻️ Réemploi des restes (réef artificiel, décoration, terreau) :0%
    • 🦅 Terrain d'exposition (tour du silence, inhumation céleste, sépulture aérienne) : 1%
    • 🪦 Terrain d'inhumation terrestre aménagé (cimetière urbain ou rural) :80%
    • 💧 Terrain d'inhumation aquatique aménagé (caveau ou cimetière sous-marin) :1%
    • 🏞️ Terrain d'inhumation sauvage (cimetière sauvage, dans la nature) :0%
    • 🚮 Dépôt commun ou collectif grossier (fosse commune, charnier) :8%
    • 🏛️ Dépôt commun ou collectif primaire (tombeau familial, mausolée) :15%
    • ⛏️ Dépôt commun ou collectif secondaire (ossuaire, dépôt nomade) :1%
    • 👑 Sépulture individuelle ou commune/collective monumentale (tombe princière, tumulus, pyramide) :1%
    • ⚱️ Zone close de dépôt des restes (colombarium, cavurne, urne) :1%
    • 🥀 Zone particulière de dépôt des restes à l'air libre (jardin du souvenir) :0%
    • 🌊 Dispersion des restes (mer, vent) :0%
    • Autre (précisez) :

    Il est préférable que vous remplaciez les exemples ici donnés entre parenthèses par des exemples ayant cours dans votre pays.
    ❗Dans le cas d'une séparation de restes humains, vous pouvez dépasser les 100% pour signifier l'utilisation de plusieurs types de dépôts funéraires pour un même individu. Veuillez indiquer cette séparation des restes en accompagnant le pourcentage des lettres SÉP.


    Sur quel(s) financement(s) se reposent ces différents types de dépôts/infrastructures funéraires ? (Ex : État, collectivités locales, organisations religieuses, privées, etc.)
    Etats
    Des types de dépôts sont-ils réservés à des cas précis ? Si oui, lesquels ? Pour qui ? Dans quelles circonstances ? (Ex: décès spécifiques, statuts sociaux particuliers, etc.)
    Le statuts sociaux
    Des types de dépôts ont-ils disparu ou commencé à disparaître des habitudes funéraires entre 1900 et aujourd'hui, voire antérieurement à cette date ? Si oui, lesquels ? Pour quelles raisons ? (Ex: raisons religieuses, hygiéniques, financières, etc.)
    Non
    ⚖️ Législation Funéraire :

    Existe-t-il au moins un code funéraire ? OUI
    Si oui, à quelle échelle s’applique ce ou ces code(s) ? (Nationale, fédérale, communale, autres.)
    Nationale
    Que contient ou contiennent ce(s) code(s) ? (Gestion des cimetières, règlements sur la crémation, etc.)
    Voici quelques éléments qui pourraient être inclus dans ces législations Règles sur le lavage rituel du corps (Ghusl) : Les législations funéraires islamiques peuvent détailler les procédures spécifiques à suivre pour le lavage rituel du corps du défunt, y compris les produits à utiliser et les actions à effectuer pour purifier le corps conformément aux enseignements islamiques. Prescriptions sur l'inhumation rapide : Elles peuvent stipuler l'importance d'enterrer le défunt dès que possible après le décès, idéalement dans les 24 heures suivant le décès, conformément à la tradition islamique. Directives sur l'absence d'embaumement :Les législations funéraires islamiques peuvent interdire l'embaumement du corps du défunt, le laissant dans son état naturel sans altération artificielle.
    Normes sur le linceul (Kafan) : Elles peuvent spécifier les exigences pour l'enveloppement du défunt dans un linceul blanc (Kafan) avant l'inhumation, y compris la qualité du tissu et les méthodes d'enveloppement. Réglementations sur la sépulture : Elles peuvent inclure des directives sur la manière de creuser la tombe, l'orientation du corps du défunt pendant l'enterrement, ainsi que des règles concernant le marquage et l'entretien des tombes. Protocoles pour les prières funéraires (Salat al-Janazah) : Les législations funéraires islamiques peuvent également définir les procédures à suivre pour la récitation des prières spéciales en faveur du défunt, ainsi que les dispositions concernant la participation des membres de la communauté à ces prières.
    Existe-t-il d’autres législations spécifiques ? (Traitements post-mortem, transport des corps, etc.)
    L'activité d'opérateur funéraire est-elle encadrée (même dans un cadre privé) et si oui, dans quelles conditions ? (Si nécessaire, conditions d'obtention d'une autorisation de pratiquer.)

    💀 Statistiques globales et décès particuliers :

    Décès à l'étranger (en %) : 8%
    Règles pour rapatrier un corps : OUI = Une règle concernant le rapatriement d'un corps est que la famille du défunt recevra un courrier dès les premiers jours du décès, où ils auront la possibilité, s'ils le souhaitent, de rapatrier le corps.
    Décès inexpliqués (en %) : 4% (Selon la capacité de la science dans votre pays.)
    Procédures spéciales pour les cas de disparitions ou décès inexpliqués : OUI (Développez.)
    Selon le statut social, le traitement de cette demande peut varier : il peut être pris plus au sérieux pour une famille de classe sociale élevée, tandis qu'il pourrait prendre plus de temps pour une famille de classe populaire.
    ➥ Établissez une liste des dix principales causes de décès des dix dernières années dans votre pays :

    Afin de vous guider, voici les 10 principales causes de mortalité dans le monde selon l'OMS.


    • 1ère : Cancers
    • 2ème : Maladies Cardiovasculaires
    • 3ème :Maladies Respiratoires
    • 4ème : Maladies transmissibles ( VIH)
    • 5ème : Consommations de cigarette
    • 6ème : Accident de la route
    • 7ème : Règlements de compte entre gangs
    • 8ème : Maladies infectieuses
    • 9ème : Maladies du foie
    • 10ème : Assassinats prévus

    ➥ Taux bruts de mortalité (en ‰ - pour mille) pour les années suivantes :

    Rapport entre le nombre annuel de décès et la population totale moyenne sur une période et dans un territoire donné.

    Afin de vous guider, voici le classement des États et territoires du monde par taux de mortalité en ‰ selon le World Population Prospects.


    • 2010 : 8,9%
    • 2000 : 7,7%
    • 1990 :8,6%
    • 1980 :8,6%
    • 1970 :19,34%
    • 1960 : 14,56%
    • 1950 : 11,2%

    🪦 Monuments Funéraires Remarquables :

    Accompagner les présentations de monuments funéraires d'une photographie ou illustration pourrait être la bienvenue.

    Cimetière(s) célèbre(s) : Panthéon Impériales
    Monument(s) commémoratif(s) célèbre(s) : (Ex : statues, plaques commémoratives, etc.)
    o
    Tombeau du premières Empereurs dans la Régions de Sahina
    Architecture funéraire remarquable : (Ex : mausolées, tombeaux célèbres, etc.)
    //
    Cette architecture funéraire remarquable peut aussi bien être une construction récente ou ancienne, un ensemble commun/collectif ou une sépulture individuelle.
    //
    🚻 Perspectives Anthropologiques :

    Quel(s) rôle(s) culturel(s) les funérailles jouent-elles dans les diverses traditions funéraires et pour les groupes qui les pratiquent ? (Ex : impact sur la société, importance rituelle, relation avec le divin/ avec la nature, conservation de la mémoire, etc.)
    Enterrer quelqu'un est une pratique importante dans la religion et pour le peuple oulicibyens. Chaque personne doit être enterrée, quel que soit son comportement passé.
    Quelle place tient actuellement la mort dans la représentation artistique ?
    Il est interdit de le représenter
    Un bref historique de cette place de la mort dans la représentation artistique peut aider à faire comprendre la situation actuelle.

    🔮 Futur des Funérailles :

    Les rites et pratiques funéraires de votre pays connaissent-elles des évolutions récentes ? Si oui, lesquelles ? Sont-elles issues d'influences spécifiques ou globales ? (Ex : mondialisation, influence culturelle particulière, etc.)
    Ils n'ont pas changés . Le peuple Oulicibyen c'est attacher à cette pratique .
    Quelle place l'innovation technologique joue-t-elle actuellement sur la culture funéraire ?
    Existent-ils des discussions éthiques en cours concernant le statut du défunt au sein de la société ? (Ex : questions liées à la conservation des restes, disposition des organes, clonage post-mortem, etc.)
    Plus généralement, existent-ils des discussions visant à reconsidérer l’approche de la société sur la mort ? (Ex : euthanasie, etc.)
    Enfin, existent-ils des tendances funéraires émergentes et quelles sont-elles ? (Ex : nouveaux rites funéraires, pratiques alternatives, etc.)


    Des choses peuvent être rajouter ou améliorer.
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    🌐 Culture funéraire à travers le monde


    ⚰️ Cérémonies Funéraires :

    ➥ Méthodes funéraires pratiquées selon la quantité d'individus attestée de 1900 à aujourd'hui (en %)

    Une cérémonie/méthode funéraire est un rite qui implique le traitement VOLONTAIRE du corps d'un défunt.


    • ❌ Aucune/Abandon du défunt :
    • 🔥 Crémation : 4%
    • 🪦 Inhumation terrestre : 95%
    • 💧 Inhumation aquatique :
    • 🦅 Exposition des restes :
    • 🌱 Humusation/Terramation : 1%
    • 🧊 Promession/Cryomation :
    • Autre (précisez) :

    ❗Dans le cas d'une séparation de restes humains, vous pouvez dépasser les 100% pour signifier l'utilisation de plusieurs méthodes funéraires pour un même individu. Veuillez indiquer cette séparation des restes en accompagnant le pourcentage des lettres SÉP.

    Existent-ils des coutumes et pratiques visant à altérer les restes du défunt ou sa sépulture ? Si oui, lesquelles ? Pour quelles méthodes ? À quels groupes sont-elles attachées ? À quelles confessions ou croyances renvoient-elles ? (Ex : excarnation, embaumement, disposition du corps, dépôt d'objets, etc.)
    Existent-ils d'autres coutumes et pratiques spécifiques accompagnant ces cérémonies funéraires ? Si oui, lesquelles ? Pour quelles méthodes ? À quels groupes sont-elles attachées ? À quelles confessions ou croyances renvoient-elles ? (Ex : rituels, chants, danses, prières, etc.)
    Des méthodes, coutumes et pratiques funéraires sont-elles réservées à des cas précis ? Si oui, lesquelles ? Pour qui ? Dans quelles circonstances ? (Ex: décès spécifiques, statuts sociaux particuliers, etc.)
    Des méthodes funéraires ont-elles disparu ou commencé à disparaître entre 1900 et aujourd'hui, voire antérieurement à cette date ? Si oui, lesquelles ? Pour quelles raisons ? (Ex: raisons religieuses, hygiéniques, financières, etc.)

    Dans les lignes traditionnelles de l'Islam, les rites et cérémonies funéraires sont emprunts de la facette religieuse prédominante aux Tamurt n Althalj : l'Ilahmisme.

    Les corps sont lavés et préparés par la famille, les proches ou par la communauté religieuse. Alors que le corps est traditionnellement enveloppé d'un linceul blanc dans les pays aux traditions funéraires musulmanes, la tête quant à elle, est recouverte d'un capuchon bleu tiré du lapis lazuli portant les marques et symboles de la région Althaljir, de la maison qarienne ou appartenance clanique. Ces dessins et symboles sont ciselés de fils d'or.

    Capuchon funéraire traditionnel Althaljir
    Capuchon funéraire traditionnel Althaljir

    Le transfert de la préparation du corps jusqu'au cimetière se fait dans un cercueil en bois, porté par les proches de la défunte ou sur une charrette.
    La marche jusqu'au cimetière est marquée par le silence et des murmures de chants au nom de Jamilah.

    Lors de l'enterrement au cimetière, les proches brûlent des encens et récitent certains hadiths de Jamilah. Cette tradition a permis de garder, d'après les études Ilahmiques, une exactitude plus importante que dans d'autres branches ou religions de transmissions par la parole.

    Les cimetières disposent de stèles aux symboles des origines, régions, maisons qariennes ou claniques. Généralement, faîte de la pierre locale, la chaux, passée régulièrement, blanchit celle-ci avec le temps.


    🏛️ Infrastructures Funéraires :

    ➥ Types de dépôts funéraires selon la quantité d'individus déposés de 1900 à aujourd'hui (en %)

    Un dépôt funéraire (sépulture/tombe) est un lieu où des restes humains ont été VOLONTAIREMENT déposés.
    ⚠️ Sépulture primaire/ Sépulture secondaire : les sépultures primaires demeurent non altérées ou non volontairement altérées par des voies anthropiques après leur dépôt initial tandis que les sépultures secondaires ont été altérées volontairement par des voies anthropiques, par des voies humaines, une seconde fois après leur dépôt initial.


    • ❌ Aucune/Abandon du défunt :
    • ♻️ Réemploi des restes (réef artificiel, décoration, terreau) :
    • 🦅 Terrain d'exposition (tour du silence, inhumation céleste, sépulture aérienne) :
    • 🪦 Terrain d'inhumation terrestre aménagé (cimetière urbain ou rural) : 86% dans des cimetières communaux
    • 💧 Terrain d'inhumation aquatique aménagé (caveau ou cimetière sous-marin) :
    • 🏞️ Terrain d'inhumation sauvage (cimetière sauvage, dans la nature) :4% dans certaines parties du Sahra
    • 🚮 Dépôt commun ou collectif grossier (fosse commune, charnier) :
    • 🏛️ Dépôt commun ou collectif primaire (tombeau familial, mausolée) :6% dans certains tombeaux qariens à l'écart des cimetières communaux
    • ⛏️ Dépôt commun ou collectif secondaire (ossuaire, dépôt nomade) :4% dans des ossuaires à la suite de pandémie, conflits ou sans identification des corps
    • 👑 Sépulture individuelle ou commune/collective monumentale (tombe princière, tumulus, pyramide) :>0.01% (aucunes précisions quant à cette statistique par la Sororité)
    • ⚱️ Zone close de dépôt des restes (colombarium, cavurne, urne) :
    • 🥀 Zone particulière de dépôt des restes à l'air libre (jardin du souvenir) :
    • 🌊 Dispersion des restes (mer, vent) :
    • Autre (précisez) :

    Il est préférable que vous remplaciez les exemples ici donnés entre parenthèses par des exemples ayant cours dans votre pays.
    ❗Dans le cas d'une séparation de restes humains, vous pouvez dépasser les 100% pour signifier l'utilisation de plusieurs types de dépôts funéraires pour un même individu. Veuillez indiquer cette séparation des restes en accompagnant le pourcentage des lettres SÉP.


    Sur quel(s) financement(s) se reposent ces différents types de dépôts/infrastructures funéraires ? (Ex : État, collectivités locales, organisations religieuses, privées, etc.)
    Des types de dépôts sont-ils réservés à des cas précis ? Si oui, lesquels ? Pour qui ? Dans quelles circonstances ? (Ex: décès spécifiques, statuts sociaux particuliers, etc.)
    Des types de dépôts ont-ils disparu ou commencé à disparaître des habitudes funéraires entre 1900 et aujourd'hui, voire antérieurement à cette date ? Si oui, lesquels ? Pour quelles raisons ? (Ex: raisons religieuses, hygiéniques, financières, etc.)


    Les Tamurt n Althalj disposent de terrains historiquement aménagés qui ont grandi avec le temps. Les communes, sous l'impulsion du système qarien, mettaient à disposition ces cimetières afin que les communautés puissent y réserver des emplacements. Les fortes donations et de grands espaces disponibles font des cimetières Althaljirs de vastes espaces, éloignés des cours d'eau (règles sanitaires depuis des siècles), à l'ombre d'arbres et bosquets.
    Les communes mettent à disposition de nouveaux terrains qui sont eux mêmes aménagés par la suite par les donations.
    Les cimetières sont des lieux sacrés qui n'ont pas le droit d'être réaménagés à d'autres usages.
    Les mosquées permettent les préparations des défuntes. Certains établissements ont été transformés spécifiquement pour ces prérogatives.


    ⚖️ Législation Funéraire :

    Existe-t-il au moins un code funéraire ? OUI
    Si oui, à quelle échelle s’applique ce ou ces code(s) ? Le registre est tenu par les services de la Sororité et par les mosquées (Mosquées Mortuaires Ilahmiques)
    Que contient ou contiennent ce(s) code(s) ? Le code enregistre les décès, les emplacements réservés et l'entretien des cimetières à travers les donations. Les Mosquées Mortuaires Ilahmiques disposent de prérogatives administratives identiques, toutefois gèrent seulement la gestion des moquées et non des cimetières.
    Existe-t-il d’autres législations spécifiques ? La Loi interdit l'inhumation des corps sans un accord de la Justice Althaljir. La donation d'organes est de plus en plus acceptée culturellement et suit un protocole strict sous la Loi Althaljir.
    L'activité d'opérateur funéraire est-elle encadrée (même dans un cadre privé) et si oui, dans quelles conditions ? Il n'y a pas d'opérateur funéraire. La mort n'est pas un "business". L'argent permettant les services attenant aux rites et cérémonies reviennent à la commune ou les Mosquées Mortuaires Ilahmiques.

    💀 Statistiques globales et décès particuliers :

    Décès à l'étranger (en %) : 3%
    Règles pour rapatrier un corps : OUI, le corps doit être rapatrié au plus vite et doit avoir été préparé dans les conditions de la culture et Loi Althaljir. Si celui-ci n'a pas été préparé en suivant ces règles, il est possible de disposer d'une préparation ultérieure adaptée. Les décès à l'étranger sont faibles du fait du peu de conflits, mais aussi car les Althaljirs en fin de vie décident de rentrer aux Tamurt n Althalj avant leur mort.
    Décès inexpliqués (en %) : 2%, maladies orphelines inconnues, décès inexpliqués et décès sans corps
    Procédures spéciales pour les cas de disparitions ou décès inexpliqués : OUI. Pour la disparition d'une personne, la Loi ne confirme pas le décès. Les familles ont toutefois le droit de disposer d'un emplacement de recueillement aux cimetières.
    Pour les décès inexpliqués, les corps passent devant le corps médical pour plus amples recherches. Il est tout à fait possible qu'il n'y ait aucune conclusion plausible et dés lors le décès est identifié comme tel. Il n'y a aucune différence de traitement par la suite au niveau des défuntes.

    ➥ Établissez une liste des dix principales causes de décès des dix dernières années dans votre pays :

    Afin de vous guider, voici les 10 principales causes de mortalité dans le monde selon l'OMS.


    • 1ère : Cancers
    • 2ème : Maladies cardio-vasculaires
    • 3ème : Maladies respiratoires
    • 4ème : Maladies infectieuses
    • 5ème : Autre maladies (rénales, diabètes)
    • 6ème : Drogues
    • 7ème : Maladies neurologiques
    • 8ème : Accident domestiques
    • 9ème : Suicide
    • 10ème : Accident de transports

    ➥ Taux bruts de mortalité (en ‰ - pour mille) pour les années suivantes :

    Rapport entre le nombre annuel de décès et la population totale moyenne sur une période et dans un territoire donné.

    Afin de vous guider, voici le classement des États et territoires du monde par taux de mortalité en ‰ selon le World Population Prospects.


    • 2010 : 8%
    • 2000 : 9%
    • 1990 : 11%
    • 1980 : 13%
    • 1970 : 16%
    • 1960 : 19%
    • 1950 : 22%

    🪦 Monuments Funéraires Remarquables :

    Accompagner les présentations de monuments funéraires d'une photographie ou illustration pourrait être la bienvenue.

    Cimetière(s) célèbre(s) :

    Cimetière d'Acilmum
    Le Grand Cimetière d'Acilmum dispose d'une place centrale dans la deuxième ville des Tamurt n Althalj. Il est traversé par des milliers de travailleuses tous les jours afin de rejoindre le centre ville à partir des hauts quartiers sur les abords de la montagne.



    🚻 Perspectives Anthropologiques :

    Quel(s) rôle(s) culturel(s) les funérailles jouent-elles dans les diverses traditions funéraires et pour les groupes qui les pratiquent ? L'Ilahmisme a fortement influencé les croyances eschatologiques Althaljirs. La vie après la mort n'est pas celle d'une forme physique comme dessinée ou imaginée. Une spécificité Althaljir est que la mort n'est pas crainte. Elle peut être considérée comme une étape d'un dessein, le parachèvement d'une vie offerte par Ilah sur Terre.
    Cette "non-crainte" culturelle qui va à l'encontre du ressenti et de l'instinct est perçue comme une anomalie à l'étranger et a fait couler de l'encre lors des quelques conflits armés avec les Althaljirs qui utilisaient à outrance le sacrifice de soi. Cette pratique est circonscrite dans les Forces Matriacales Ilahmiques dorénavant.
    Cet aspect culturel a aussi participé à des siècles de croissance démographique presque nulle dans certaines régions de l'Altilal Almujamada (Dorsale Glacée).
    Quelle place tient actuellement la mort dans la représentation artistique ? La mort est dessinée à travers l'aube, une différence assez notable avec le monde Eurysien ou Paltoterran. Chaque matin, l'âme meurt et revit lorsque les rayons du soleil touche et réchauffe la peau. A travers le dessin, la littérature ou les couleurs utilisées dans la société, la mort n'est pas taboue et bien que la tristesse puisse y être assimilée, elle est aussi perçue comme l'échéance d'un destin, d'un dessein Ilahmique.

    Un bref historique de cette place de la mort dans la représentation artistique peut aider à faire comprendre la situation actuelle.

    "Si le temps est bon,
    Si le soleil approche,

    Si le calme prend place,
    Si la douleur s'estompe,

    Alors la vie laisse place à la vie."
    hadith de Jamilah

    🔮 Futur des Funérailles :

    Les rites et pratiques funéraires de votre pays connaissent-elles des évolutions récentes ? Si oui, lesquelles ? Sont-elles issues d'influences spécifiques ou globales ? Les rites et pratiques funéraires des Tamurt n Althalj sont assez stables. Les jeunes Althaljirs qui ont la chance de vivre leurs années de césure à l'étranger apportent de plus en plus des signes de mélancolies liées à la mort, des éléments d'influence de l'international. La mélancolie n'est toutefois pas mélangée à une augmentation de la peur de la mort. La place de l'Ilahmisme, par la religion en elle même, ou la culture funéraire et le concept de la mort seuls, semblent se renforcer à mesure que les crises se multiplient alentours et au sein de l'Afarée du Nord. Les nouvelles générations ont été bercées par le nouvel Althaljisme et la Bienveillance pour l'Althaljir Alkabir.
    Quelle place l'innovation technologique joue-t-elle actuellement sur la culture funéraire ? Aucune place. Les Althaljirs n'utilisent aucunement les réseaux sociaux afin de diffuser aucunement cette étape sacrée de la vie/mort. Les drames à la télévision (la presse) apportent une certaine tristesse néanmoins, rappelant que les morts outre-Althalj ne sont pas prêtes spirituellement à leur nouvelle vie. Les Althaljirs considèrent dés lors les morts en Eurysie (non Althaljirs) comme de grandes tragédies.
    Existent-ils des discussions éthiques en cours concernant le statut du défunt au sein de la société ? La donation des organes prend de plus en plus une part dans la culture Althaljir. Les succès technologiques Althaljirs permettent une meilleure considération de l'enveloppe charnelle comme "utile" à la vie actuelle. Le clonage des Femmes ou animaux n'est pas un sujet discuté à l'heure actuelle et interdit. Il est très irrespectueux d'être impolis vis à vis des morts.
    Plus généralement, existent-ils des discussions visant à reconsidérer l’approche de la société sur la mort ? La formalisation de l'euthanasie est un sujet de discussion pour la Sororité.
    Enfin, existent-ils des tendances funéraires émergentes et quelles sont-elles ? Les cimetières acceptent les stèles des étrangers et d'autres confessions. Il n'y aucune séparation confessionnelle dans la mort, sauf la préparation spirituelle qui différencie une Althaljir de l'étranger.

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    🌐 Culture funéraire à travers le monde


    ⚰️ Cérémonies Funéraires :

    ➥ Méthodes funéraires pratiquées selon la quantité d'individus attestée de 1900 à aujourd'hui (en %)

    Une cérémonie/méthode funéraire est un rite qui implique le traitement VOLONTAIRE du corps d'un défunt.

    • ❌ Aucune/Abandon du défunt : 0% / L’abandon du défunt ou l’absence de traitement du corps sont des pratiques interdites au Jashuria. Les différents Codes Funéraires établis durant les différentes administrations jashuriennes sont formels sur ce point : l’absence de traitement des corps est punie par la loi. Selon les traditions jashuriennes, les corps doivent être brûlés pour permettre à l’âme de rejoindre les sphères supérieures. L’abandon d’un corps était donc réservé aux pires félons et aux individus frappés d’infâmie nationale et donc, réservé à un nombre infinitésimal de personne. Même les meurtriers ont le droit à la crémation. De manière générale, les corps abandonnés sont par la suite brûlés. Le Jashuria ayant déjà eu son lot d'épidémies, les corps sont brûlés par précaution.

    • 🔥 Crémation : 90% / Les pratiquants de l’hindouisme s’efforcent de créer des conditions optimales permettant à l’âme du défunt d’être purifiée, afin de se préparer à sa nouvelle demeure, et ainsi parachever son cheminement à travers le cycle des incarnations. A ce titre, le rite funéraire de la crémation est le rite funéraire le plus commun au Jashuria car elle est réputée pour permettre l’élévation de l’âme en la détachant de son support matériel. Les bûchers funéraires ont été progressivement remplacés par des fours crématoires modernes, mais la pratique du bûcher funéraire reste encore présente dans les campagnes. Les Jashuriens, qu’ils soient Athées, Bouddhistes, Hindouistes ou même Musulmans respectent pour la quasi-totalité d’entre eux l’idée et la pratique de la crémation. Il n’y a que dans l’usage des cendres que les applications diffèrent. Les institutions jashuriennes sont prévues de telles sortes à ce que la crémation des défunts soit la norme et le Code Funéraire actuel est assez explicite à ce sujet. En l’absence d’une décision explicite de la famille, un corps sera brûlé.

    • 🪦 Inhumation terrestre : 2% / L’inhumation terrestre est une pratique réservée à une très petite minorité de Jashuriens et ne constitue en aucun cas la norme des rites funéraires. Ayant plutôt le vent en poupe du côté des Chrétiens, l’inhumation terrestre reste peu pratiquée pour des raisons purement spatiales. Le Jashuria étant une terre densément peuplée, les cimetières prennent de la place et ne sont pas les bienvenus en ville : les corps sont par essence considérés comme impurs et donc relégués aux marges des villes. L’inhumation reste donc marginale et bien que des cimetières soient présents dans les mégalopoles, les campagnes n’en possèdent pas. Les rares cimetières présents restent cependant des bijoux d’architecture et d’urbanisme, car ils sont suffisamment atypiques pour être considérés comme des ouvrages d’art.

    • 💧 Inhumation aquatique : 1% / L’inhumation aquatique est réservée à deux types de personnes au Jashuria : les ascètes et les gens de la mer. Les ascètes étant considérés comme purs par essence suite à leurs pratiques intensives de la méditation et de l’ascèse, leurs corps n’ont pas à être purifiés à leur mort et leurs corps sont laissés dans à flotter dans les fleuves, généralement dans des jonques que l’on laisse dériver vers l’océan. Les ascètes étant relativement rares, les rites funéraires qui les entourent sont suivis par la population, de sorte à ce que tout le monde puisse ne pas être surpris de voir une jonque enveloppée de fleurs dériver vers Azur ou Agartha. Les gens de la mer ont aussi droit à une inhumation dans une jonque, par tradition, bien que leur inhumation soit moins fêtée.

    • 🦅 Exposition des restes : 1% / L’exposition des restes est réservée à des moines particulièrement saints dont on expose les reliques et les restes momifiés dans les temples bouddhistes. C’est une pratique millénaire, qui n’est encore présente que par pure tradition religieuse. Les gens du commun ne procèdent pas à de tels rites et le pouvoir central l’interdit. Cette pratique d’exposition des reliques saintes et momifiées des moines n’est conservée que par les religieux et attire un public conséquent chaque année. Le bouddhisme pratique le culte des reliques depuis des millénaires, notamment les très nombreuses reliques attribuées au Bouddha Shakayamuni. A défaut d’avoir des cimetières conséquents pour y inhumer les corps complets, le Jashuria contient de très nombreux reliquaires institués depuis des centaines d’années. Ces sites sacrés n’ont que très peu bougé au fil des siècles et constituent des symboles et des repères dans l’espace urbain.

    • 🌱 Humusation/Terramation : 6% / Le cycle des réincarnations et des renaissances est pris très au sérieux au Jashuria, mais la question du corps du défunt reste un sujet brûlant. Doit-on nécessairement brûler les corps pour les purifier ? Le processus de terramation est une pratique connue au Jashuria pour une raison très simple : les corps peuvent servir à alimenter la vie. Des sites sacrés sont connus pour accueillir les corps purifiés des morts, qui, une fois mis en bière, sont enterrés sous des arbres et commencent leur lente transformation en humus pour les arbres. Les bosquets sacrés du Jashuria forment aujourd'hui encore des espaces de recueillement inédits pour qui veut vouer un culte aux ancêtres. Si la pratique de la crémation et de la dispersion des cendres dans les bosquets sacrés est préférée, il arrive que certaines familles préfèrent mettre le corps directement en terre sous les arbres.

    • 🧊 Promession/Cryomation : 0% / La promession est impossible au Jashuria en raison des conditions climatiques tropicales du pays. Le seul cas de cryomation répertorié fut celui d'un milliardaire jashurien, mais une panne de courant dans son sanctuaire liée au branchement d'une glacière et d'un grille-pain a fait capoter sa cryomation.

    • Autre (précisez) :
    Le Code Funéraire jashurien est suffisamment solide pour ne pas autoriser n'importe quoi en matière de rites funéraires. Les pratiques les plus barbares issues des millénaires passés ont été éradiquées durant la période faste de l'Empire Yahudharma et constituent aujourd'hui des sujets de recherches pour doctorants plutôt que des réalités vécues et des coutumes encore en vigueur.

    ❗Dans le cas d'une séparation de restes humains, vous pouvez dépasser les 100% pour signifier l'utilisation de plusieurs méthodes funéraires pour un même individu. Veuillez indiquer cette séparation des restes en accompagnant le pourcentage des lettres SÉP.

    Existent-ils des coutumes et pratiques visant à altérer les restes du défunt ou sa sépulture ? Si oui, lesquelles ? Pour quelles méthodes ? À quels groupes sont-elles attachées ? À quelles confessions ou croyances renvoient-elles ? (Ex : excarnation, embaumement, disposition du corps, dépôt d'objets, etc.) Au Jashuria, les restes des défunts ne sont pratiquement pas altérés avant la crémation. On procède simplement à la restauration partielle des corps trop dégradés avant la mise en bière. La thanatopraxie, si elle est autorisée et effectuée dans certains cas, n’est pas la norme. Les corps des défunts étant considérés comme impurs, il n’est pas dans les habitudes des Jashuriens de mettre autant de soin dans la préservation des corps que d’autres cultures. La seule exception est le cas des ascètes qui seront momifiés et transformés en reliques chez les Bouddhistes. Chez les Jashuriens, le don d’organes est totalement accepté ainsi que le don du corps à la science.

    Existent-ils d'autres coutumes et pratiques spécifiques accompagnant ces cérémonies funéraires ? Si oui, lesquelles ? Pour quelles méthodes ? À quels groupes sont-elles attachées ? À quelles confessions ou croyances renvoient-elles ? (Ex : rituels, chants, danses, prières, etc.) Au Jashuria, la mort est considérée comme le passage de l’âme vers les sphères supérieures. L’âme doit être donc séparée du corps matériel afin qu’elle puisse rejoindre l’Au-Delà et être “pesée” pour ses actions. La coutume veut qu’à la mort d’une personne, une bougie soit allumée au-dessus de sa tête, afin de guider l’âme. Le corps, considéré comme impur et souillé par la mort, est alors lavé, désinfecté et mis en bière dans un linceul blanc. Dans les rites funéraires jashuriens, les corps trop abimés sont réparés pour présenter un état adéquat, mais sans aller dans l’idée de créer une image parfaite du défunt d’avant sa mort. Le corps mort étant impur, il n’est pas dans les traditions jashuriennes de mettre un effort particulier dans sa préservation. Les corps sont simplement enveloppés dans un linceul et veillés par les membres de la famille ou les autorités compétentes avant la crémation. La crémation est toujours précédée d'une procession du domicile de la victime jusqu'au lieu de crémation où son incinération est supervisée par un officier assermenté au rythme des chants funéraires destinés à accompagner l'élévation de l'âme. Au cours de la procession, des fleurs et de petites sucreries sont disposées autour du corps par les proches de la famille afin de rassurer l’âme du défunt. Les cendres sont par la suite récoltées puis mises en urne. Les cendres sont généralement dispersées dans les cours d'eau ou les bosquets sacrés après une période de 7 jours durant laquelle la famille procède à une période de deuil en veillant l'urne funéraire rapatriée à la maison. Durant cette période, la famille observe généralement un régime frugal fait de riz et de nourriture blanche afin de se purifier et de respecter le passage du défunt vers le cycle des réincarnations. Durant cette période, des rites sont effectués auprès des autels des dieux en signe de remerciement pour avoir accueilli l’âme dans les hautes sphères. Le nom de la personne décédée rejoint par la suite les archives ancestrales ou les archives de la mémoire publiques, d’immenses complexes où sont consignés la vie des Jashuriens.

    Des méthodes, coutumes et pratiques funéraires sont-elles réservées à des cas précis ? Si oui, lesquelles ? Pour qui ? Dans quelles circonstances ? (Ex: décès spécifiques, statuts sociaux particuliers, etc.)
    Si les rites funéraires jashuriens sont privés, il arrive que les personnes publiques particulièrement appréciées soient célébrées publiquement lors des processions. Les cérémonies publiques ne sont pas des scènes de liesse, mais de recueillement, où les Jashuriens jettent des pétales de fleurs sur le passage du défunt, qui sera incinéré dans un lieu public par un officiel assermenté. La cérémonie de dispersion des cendres est effectuée dans les mêmes conditions, après une période de deuil de 7 jours.

    Des méthodes funéraires ont-elles disparu ou commencé à disparaître entre 1900 et aujourd'hui, voire antérieurement à cette date ? Si oui, lesquelles ? Pour quelles raisons ? (Ex: raisons religieuses, hygiéniques, financières, etc.) La pratique funéraire aujourd’hui disparue des satis a commencé à se résorber à l’apogée de l’Empire Yahudharma. La mort volontaire des veufs et des veuves sur le bûcher funéraire a été durant longtemps une pratique funéraire appartenant à l’Hindouisme jashurien des premiers siècles. Cette tragédie sociologique avait un sens dans la vie conjugale des époux, ces derniers se jurant fidélité par-delà le trépas. Le sati, aussi bien masculin que féminin, était celui ou celle qui “était vrai à sa parole”, incarnant dans son sacrifice crématoire la fidélité à ses vœux de mariage. Bien que le suicide soit fortement réprouvé dans la société hindoue, la crémation des veuves et des veufs était considérée comme une exception à la règle, au titre que les voeux prononcés et la parole donnée étaient plus forts qu’une règle sociétale tacite. Les veufs devenant des satis étaient considérés comme des parangons de vertu et célébrés en tant que tels. Mais l’envers de cette pratique était qu’il existait de véritables pressions sociales pour faire du conjoint restant un sati et l’amener progressivement à focaliser son deuil vers cette pratique auto-sacrificielle. Véritable extrémité de l’amour dans une société réglée par le Dharma, la pratique du sati s’est progressivement résorbée à mesure que les Jashuriens prenaient le chemin de la modernité et mettaient à distance la religion et ses archaïsmes. Autrefois vue comme la conjonction d’une forme de mort héroïque et orientée vers le salut de l’âme, la pratique de la crémation des veufs et des veuves a totalement disparu lors de la période de l’administration fortunéenne. Bien que extrêmement tragique et violente, la pratique des satis a eu ses heures de gloire dans la société jashurienne du premier millénaire et s’explique par l'extrême prégnance des rituels hindous, que cette même société a mis du temps à remettre en question. Aujourd’hui encore, les cas de satis sont extrêmement rares et les phénomènes de pression sociale sont si bien connus que les Jashuriens font très attention à ce que cette pratique reste de l’ordre du folklore local.

    🏛️ Infrastructures Funéraires :

    ➥ Types de dépôts funéraires selon la quantité d'individus déposés de 1900 à aujourd'hui (en %)

    Un dépôt funéraire (sépulture/tombe) est un lieu où des restes humains ont été VOLONTAIREMENT déposés.
    ⚠️ Sépulture primaire/ Sépulture secondaire : les sépultures primaires demeurent non altérées ou non volontairement altérées par des voies anthropiques après leur dépôt initial tandis que les sépultures secondaires ont été altérées volontairement par des voies anthropiques, par des voies humaines, une seconde fois après leur dépôt initial.


    • ❌ Aucune/Abandon du défunt : 0% / Le Code Funéraire jashurien interdit l’abandon des corps dans la nature. Tous les corps trouvés finissent incinérés et dispersés dans un cours d’eau ou dans un bosquet sacré.
    • ♻️ Réemploi des restes (réef artificiel, décoration, terreau) : 25% / Les restes qui ne sont pas dispersés sont systématiquement réutilisés pour être utiles à la société jashurienne, notamment pour alimenter les bosquets sacrés. Le reste du temps, les restes sont dispersés dans l’eau des fleuves.
    • 🦅 Terrain d'exposition (tour du silence, inhumation céleste, sépulture aérienne) : 0% / Il n’existe plus de sépulture aérienne au Jashuria depuis des millénaires. Les raisons sont multiples, mais on peut citer principalement le fait qu’au niveau hygiénique, il s’agit d’une véritable catastrophe.
    • 🪦 Terrain d'inhumation terrestre aménagé (cimetière urbain ou rural) : 1% Les cimetières jashuriens sont rares, dans la mesure où l’inhumation terrestre n’est que très peu pratiquée. Les morts sont traditionnellement enterrés à la verticale, afin que l’âme, nichée dans le haut du corps, puisse s’élever, quand bien même le corps n’est pas incinéré. Les cimetières urbains du Jashuria sont petits et de plus en plus, ils sont placés dans les campagnes, dans des territoires plutôt éloignés. Les cimetières, bien que discrets, n’en restent pas moins particulièrement bien soignés et entretenus. Un soin particulier est porté à l’architecture funéraire et à l’aménagement paysager des cimetières.
    • 💧 Terrain d'inhumation aquatique aménagé (caveau ou cimetière sous-marin) : 0% / La pratique de l’inhumation aquatique n’est pas pratiquée au Jashuria. Elle demande tellement d’aménagements qu’elle est contre-productive et incohérente avec la culture de disparition des corps.
    • 🏞️ Terrain d'inhumation sauvage (cimetière sauvage, dans la nature) : 0% / L’inhumation sauvage reste insultante pour un Jashurien. Les corps, s’ils ne sont pas incinérés, doivent être placés en priorité dans des bosquets sacrés et servir à nourrir les arbres. En raison des normes sanitaires en vigueur, toute famille surprise à enterrer un corps dans un lieu non autorisé est passible d’une amende très lourde.
    • 🚮 Dépôt commun ou collectif grossier (fosse commune, charnier) : 0% / Il reste des charniers au Jashuria, les restes des atrocités menées par le Ruban Rouge et les Seigneurs de Guerre au cours du XXe siècle. Ces charniers sont perçus comme de véritables insultes à la mémoire des morts et la Troisième République du Jashuria met un point d’honneur à incinérer les corps avec les honneurs et le respect qui leur sont dus dès qu’une fosse est découverte. Jeter un corps jashurien dans une fosse commune est l’une des pires insultes que l’on puisse faire à la famille d’un Jashurien, bien avant le fait d’abandonner son corps à l’air libre car il est dit que l’enterrement sans rites ne permet pas à l’âme de s’élever.
    • 🏛️ Dépôt commun ou collectif primaire (tombeau familial, mausolée) : 1% Les tombeaux familiaux et les mausolées n’accueillent pas de corps à proprement parler, mais les noms des disparus, assortis de leurs effets personnels. Il s’agit principalement de lieux bien définis dans la ville, généralement des temples ou des lieux publics, qui répertorient l’ensemble des décès et des naissances au sein du Jashuria et tiennent les arbres généalogiques. Ces lieux de mémoire ont pour mission de consigner la vie des Jashuriens et leur généalogie au travers des âges. Ils conservent des archives et des éléments détaillés sur la vie des membres qui y sont répertoriés. Lorsqu’une personne meurt, son nom est apporté dans ces lieux de mémoire et inscrit dans la généalogie familiale. Il est d’usage d’y déposer une photo ou des objets ayant appartenu à la personne et tout ce qui pourrait rendre compte de sa vie. Ces immenses archives forment la prunelle des yeux des Jashuriens car elles entretiennent leur rapport à l’histoire et à la mémoire. Si les familles les plus riches disposent de leurs propres reliquaire de mémoire entretenus par des officiers assermentés, les gens du commun envoient généralement les effets de leurs proches et leur histoire dans les lieux de mémoire publics. Il en résulte que le peuple jashurien peut se targuer d’avoir la mémoire longue et un individu est capable de remonter son histoire sur plusieurs siècles. Si les Jashuriens accordent peu d’importance au corps, considéré comme impur, ils attachent une grande importance à l’entretien du souvenir et à la consignation de l’histoire. Il est dit qu’une âme réincarnée peut ainsi en apprendre plus sur ses vies passées … mais les scientifiques s’en servent surtout pour leur valeur scientifique inégalée.
    • ⛏️ Dépôt commun ou collectif secondaire (ossuaire, dépôt nomade) : 0% / Les ossuaires ont été utilisés par les civilisations pré-jashuriennes il y a de celà des millénaires, mais cette pratique n’a pas été conservée. L’incinération reste la technique par excellence avec la dispersion des cendres.
    • 👑 Sépulture individuelle ou commune/collective monumentale (tombe princière, tumulus, pyramide) : 0% Les tombes princières, les tumulus et les pyramides à degrés ne sont plus construites depuis des centaines d’années au Jashuria. Si cette pratique avait lieu dans les temps anciens, il était de notoriété commune qu’il s’agissait surtout de monuments aux morts, mais qui ne contenaient pas les restes de la dépouille - outre les éventuelles reliques religieuses, qui elles, étaient exposées dans les temples. Ces caveaux forment aujourd’hui des architectures grandioses au Jashuria, mais servent surtout de mémoriaux du souvenir. Elles ne contiennent pas de restes à proprement parler. Aujourd’hui, la pratique du monument aux morts perdure, mais celle d’enterrer les corps dans ces caveaux n’est plus pratiquées.
    • ⚱️ Zone close de dépôt des restes (colombarium, cavurne, urne) : 1% / Les urnes funéraires sont conservées dans les demeures familiales jusqu’à ce qu’elles soient vidées dans les fleuves ou dispersées aux quatre vents. Si les colombariums ont pu exister dans les temps anciens, il ne s’agit pas d’une pratique courante chez les Jashuriens, qui préfèrent faire totalement disparaître les corps plutôt que de les entreposer. Quelques colombariums existent encore au Jashuria, généralement dans les mêmes enceintes que les cimetières publics. Ils présentent les mêmes qualités architecturales et paysagères que les cimetières.
    • 🥀 Zone particulière de dépôt des restes à l'air libre (jardin du souvenir) : 25% / Les bosquets sacrés du Jashuria sont des zones boisées situées dans des endroits stratégiques des villes. On y disperse les cendres des individus et on y entretient des espèces végétales parfois plusieurs fois centenaires. Les jardins du souvenir sont des lieux prisés au Jashuria parce qu’ils sont de véritables respiration dans les villes. Leur protection est assurée directement par l’Etat et les autorités locales, qui ont sanctuarisé des territoires entiers pour laisser aux Jashuriens la possibilité de communier avec la nature.
    • 🌊 Dispersion des restes (mer, vent) : 47% / La dispersion des restes est la pratique la plus courante chez les Jashuriens. Réalisée après l’incinération, la dispersion des cendres se fait essentiellement dans les cours d’eau, là où les restes pourront être purifiés par le caractère sacré de l’eau.
    • Autre (précisez) :

    Il est préférable que vous remplaciez les exemples ici donnés entre parenthèses par des exemples ayant cours dans votre pays.
    ❗Dans le cas d'une séparation de restes humains, vous pouvez dépasser les 100% pour signifier l'utilisation de plusieurs types de dépôts funéraires pour un même individu. Veuillez indiquer cette séparation des restes en accompagnant le pourcentage des lettres SÉP.


    Sur quel(s) financement(s) se reposent ces différents types de dépôts/infrastructures funéraires ? (Ex : État, collectivités locales, organisations religieuses, privées, etc.) Les infrastructures funéraires jashuriennes sont pilotées par l’Etat et les collectivités territoriales. Si les rites peuvent être religieux, les archives de la mémoire dans lesquelles sont consignées le souvenir des Jashuriens disparus sont contrôlées par l’Etat. Il en résulte que si les rites peuvent être religieux ou non, en définitive, les infrastructures funéraires sont gérées par la puissance publique. Etant donné que les Jashuriens n’usent que peu de l’inhumation terrestre, l’investissement monétaire se situe surtout dans la création de monuments pour les grandes funérailles, l’entretien des jardins du souvenir, et l’entretien des archives de la mémoire.
    Des types de dépôts sont-ils réservés à des cas précis ? Si oui, lesquels ? Pour qui ? Dans quelles circonstances ? (Ex: décès spécifiques, statuts sociaux particuliers, etc.) Il n’existe plus de dépôt spécialisés mis à part le cas des ascètes hindous et bouddhistes, dont les corps sont transformés en relique. Les funérailles publiques pour les personnalités de grande importance ne donnent pas lieu à un enterrement dans un lieu particulier. Tout le monde voit son nom terminer dans les archives de la mémoire.
    Des types de dépôts ont-ils disparu ou commencé à disparaître des habitudes funéraires entre 1900 et aujourd'hui, voire antérieurement à cette date ? Si oui, lesquels ? Pour quelles raisons ? (Ex: raisons religieuses, hygiéniques, financières, etc.) Fort heureusement pour les Jashuriens et leurs familles, les charniers du Ruban Rouge ont totalement disparu. Il ne reste aujourd’hui que des corps enterrés dans des fosses communes dans les forêts jashuriennes. Des récompenses sont offertes à ceux qui trouveront un charnier et permettront d’offrir le repos aux morts, dont les esprits sont réputés hanter les forêts jashuriennes.

    ⚖️ Législation Funéraire :

    Existe-t-il au moins un code funéraire ? OUI. Le Code a été inventé durant l’époque de l’Empire Yahudharma à la suite de la compilation des pratiques usuelles. Il a par la suite été conservé sous l’administration fortunéenne et a longuement évolué au fil des siècles jusqu’à être entièrement relu, purgé et réécrit à l’occasion de la promulgation de la Constitution du Nouveau Millénaire.
    Si oui, à quelle échelle s’applique ce ou ces code(s) ? (Nationale, fédérale, communale, autres.) Le Code Funéraire est un texte de loi dont la portée est nationale. Il est appliqué de la même manière partout sur le territoire, sans exception.
    Que contient ou contiennent ce(s) code(s) ? (Gestion des cimetières, règlements sur la crémation, etc.) Le Code Funéraire contient les réglementations nécessaires à la gestion des crémations, des inhumations, mais aussi légifère sur la tenue des cimetières ainsi que sur le fonctionnement des archives de la mémoire. Il légifère aussi sur les procédures à entamer en cas de découverte d’un corps non enterré. Il définit aussi les peines pour ceux qui n’auraient pas respecté le Code en question.
    Existe-t-il d’autres législations spécifiques ? (Traitements post-mortem, transport des corps, etc.) Les règles professionnelles de l’Ordre Funéraire s’appliquent à toute personne qui désire faire profession dans les pompes funèbres. L’Ordre définit avec les organismes étatiques les règles professionnelles et les bonnes pratiques dans le traitement des corps, leur transport, leur prise en charge et leur inhumation.
    L'activité d'opérateur funéraire est-elle encadrée (même dans un cadre privé) et si oui, dans quelles conditions ? (Si nécessaire, conditions d'obtention d'une autorisation de pratiquer.) L’activité d’opérateur funéraire est encadrée par des règles professionnelles assorties d’un Ordre Funéraire qui définit les bonnes pratiques ainsi que les codes de déontologie de ses adhérents. Sans la carte de membre de l’Ordre Funéraire, il n’est pas possible d’exercer dans les pompes funèbres au Jashuria. Pour y entrer, il convient de présenter les diplômes nécessaires ainsi que de prêter serment. Une contribution monétaire est demandée pour gérer les activités de l’Ordre.

    💀 Statistiques globales et décès particuliers :

    Décès à l'étranger (en %) : 0.2% des décès de Jashuriens surviennent à l’étranger
    Règles pour rapatrier un corps : OUI / Les corps des Jashuriens morts sur un sol étranger doivent être rapatriés tels quel au pays pour pouvoir y être incinéré selon les rites familiaux en place. Des mesures doivent être prises pour faire en sorte que le corps ne soit pas trop dégradé. Dans le cas où la conservation du corps ne pourrait être assurée, la crémation peut être réalisée en territoire étranger, mais les cendres doivent obligatoirement revenir à la famille du défunt ainsi que ses effets personnels.
    Décès inexpliqués (en %) : (Selon la capacité de la science dans votre pays.) Insignifiant / Les Jashuriens ont une connaissance poussée de la médecine. Mis à part quelques rares cas, les décès sont tous explicables.
    Procédures spéciales pour les cas de disparitions ou décès inexpliqués : OUI / Si un décès est inexpliqué, le corps est placé dans une cellule d’observation jusqu’à ce que la lumière soit faite sur les causes de sa mort. Un consensus doit se dégager entre au moins trois médecins et le corps devra avoir passé une batterie de tests, notamment épidémiologiques, afin d’être assuré qu’il ne présente pas un risque pour la santé publique.

    ➥ Établissez une liste des dix principales causes de décès des dix dernières années dans votre pays :

    Afin de vous guider, voici les 10 principales causes de mortalité dans le monde selon l'OMS.

    • 1ère : Cardiopathies ischémiques
    • 2ème : Alzheimer et autres démences
    • 3ème : AVC
    • 4ème : Cancer de la trachée, cancer bronchique et cancer du poumon
    • 5ème : Bronchopneumopathie chronique obstructive
    • 6ème : Infections des voies respiratoires basses
    • 7ème : Cancer du côlon et du rectum
    • 8ème : Maladies rénales
    • 9ème : Cardiopathie hypertensive
    • 10ème : Diabète sucré

    ➥ Taux bruts de mortalité (en ‰ - pour mille) pour les années suivantes :

    • 2010 : 5 ‰
    • 2000 : 6.5 ‰
    • 1990 : 7 ‰
    • 1980 : 6 ‰
    • 1970 : 10 ‰
    • 1960 : 12 ‰
    • 1950 : 20 ‰
    La mortalité de la population jashurienne était élevée dans les années 50, mais le décollage économique du pays, allié à un système de santé de plus en plus performant a permis la diminution progressive du taux de mortalité, qui est aujourd’hui à un tiers de ce qu’il était auparavant. L’explosion démographique de ces dernières années et plus particulièrement depuis l’entrée du pays dans le XXIe siècle fait que l’accroissement naturel est particulièrement élevé au Jashuria.

    🪦 Monuments Funéraires Remarquables :

    Accompagner les présentations de monuments funéraires d'une photographie ou illustration pourrait être la bienvenue.

    Cimetière(s) célèbre(s) : Le cimetière le plus célèbre du Jashuria se trouve dans la Région des Lacs. Il s’agit du cimetière du Kojuno, situé sur le mont Komachikri. Il s’agit d’un des rares cimetières à inhumation terrestre jashurien ayant survécu au passage du temps. Les tombes, disposées le long de la montagne, forment un lieu quasi-onirique au milieu des cèdres centenaires. Avec ses nombreux autels qui parsèment le paysage, le site est à la fois un bosquet sacré et un lieu d’inhumation particulièrement prisé. Il est dit que l’on peut entendre les dieux et les esprits murmurer entre les branches des cèdres. Les lumières nocturnes y sont du plus bel effet et constituent un spectacle des plus étranges. Le site est considéré comme sacré par les Bouddhistes et les Hindous, ainsi que les Shintoïstes.
    Monument(s) commémoratif(s) célèbre(s) : (Ex : statues, plaques commémoratives, etc.) Le Jashuria est parsemé de nombreuses pagodes de bois et de pierre qui servent à commémorer des évènements symboliques ou réels qui tissent l’histoire du pays. Ces pagodes sont des monuments historiques particulièrement bien entretenus qui attirent souvent des touristes et des célébrations variées.
    Architecture funéraire remarquable : (Ex : mausolées, tombeaux célèbres, etc.) Les immenses archives de la mémoire du Jashuria constituent des architectures funéraires remarquables les plus identifiables dans le paysage jashurien. Véritables complexes de la taille d’un quartier pour les plus vastes, les archives de la mémoire accueillent les souvenirs des Jashuriens depuis des générations. Y sont consignés les noms et les généalogies, ainsi que les histoires des citoyens morts au cours des siècles passés. Ces palais de la mémoire sont des architectures sacrées qui ont grandement profité de la numérisation des données pour cesser de s’étendre. Des officiers assermentés compilent nuit et jour les immenses banques de données et trient, épurent et consolident les archives avec un soin peu commun.

    Cette architecture funéraire remarquable peut aussi bien être une construction récente ou ancienne, un ensemble commun/collectif ou une sépulture individuelle.

    🚻 Perspectives Anthropologiques :

    Quel(s) rôle(s) culturel(s) les funérailles jouent-elles dans les diverses traditions funéraires et pour les groupes qui les pratiquent ? (Ex : impact sur la société, importance rituelle, relation avec le divin/ avec la nature, conservation de la mémoire, etc.) Qu’ils soient athées ou croyants, les traditions funéraires sont particulièrement importantes aux yeux des Jashuriens car elles les ancrent dans la société. Elles sont considérées comme faisant partie de la vie de l’individu et de son passage vers le cycle des réincarnations. Offrir à son prochain une “belle mort” est un honneur pour un Jashurien et une attention de tous les instants, si bien que les aînés sont bien traités jusqu’à leur disparition. L’importance des traditions funéraires fait que les Jashuriens sont habitués à la mort et composent avec durant toute leur existence. Il n’y a pas de tabou autour de celle-ci et elle permet aux citoyens d’entretenir le souvenir des disparus au travers d’un réseau bien institué d’archives de la mémoire, qui maille tout le territoire.
    Quelle place tient actuellement la mort dans la représentation artistique ?



    Un bref historique de cette place de la mort dans la représentation artistique peut aider à faire comprendre la situation actuelle.

    🔮 Futur des Funérailles :

    Les rites et pratiques funéraires de votre pays connaissent-elles des évolutions récentes ? Si oui, lesquelles ? Sont-elles issues d'influences spécifiques ou globales ? (Ex : mondialisation, influence culturelle particulière, etc.) Les rites funéraires jashuriens n’ont connu que très peu d’évolution depuis ce dernier siècle et conservent une remarquable stabilité. Les Jashuriens se contentent de perfectionner les processus de crémation et d’archivage de la vie du défunt.
    Quelle place l'innovation technologique joue-t-elle actuellement sur la culture funéraire ?L’innovation technologique se réalise surtout au niveau architectural dans le design des cimetières et des colombariums. Elle se réalise aussi dans les banques de données numériques des archives de mémoire des Jashuriens. La numérisation de centaines de générations de Jashuriens prend du temps et de l’énergie, mais constitue un ouvrage de première importance aux yeux de l’Etat. C’est dans le domaine de la sauvegarde de la mémoire du peuple jashurien que les choses ont le plus évolué. La technologie de la crémation, quant à elle, a été perfectionné pour éviter les bûchers traditionnels.
    Existent-ils des discussions éthiques en cours concernant le statut du défunt au sein de la société ? (Ex : questions liées à la conservation des restes, disposition des organes, clonage post-mortem, etc.) Au Jashuria, c’est l’âme du défunt et la conservation de sa mémoire que l’on vise en priorité. Le sujet du corps est un troisième domaine qui est traité par l’incinération pure et simple. Il n’y a pas de discussions éthiques à ce sujet.
    Plus généralement, existent-ils des discussions visant à reconsidérer l’approche de la société sur la mort ? (Ex : euthanasie, etc.) L’euthanasie est totalement acceptée au Jashuria. Il n’y a pas de discussions visant à reconsidérer l’approche de la mort dans le pays.
    Enfin, existent-ils des tendances funéraires émergentes et quelles sont-elles ? (Ex : nouveaux rites funéraires, pratiques alternatives, etc.) La transformation des restes des défunts en diamants de crémation est de plus en plus populaire au Jashuria dans la tranche la plus riche de la population.


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    🌐 Culture funéraire à travers le monde


    ⚰️ Cérémonies Funéraires :

    ➥ Méthodes funéraires pratiquées selon la quantité d'individus attestée de 1900 à aujourd'hui (en %)

    Une cérémonie/méthode funéraire est un rite qui implique le traitement VOLONTAIRE du corps d'un défunt.

    • ❌ Aucune/Abandon du défunt : 0,1 %
    • 🔥 Crémation : 0,5%
    • 🪦 Inhumation terrestre : 99 %
    • 💧 Inhumation aquatique : 0,1 %
    • 🦅 Exposition des restes :0,1%
    • 🌱 Humusation/Terramation : 0,1%
    • 🧊 Promession/Cryomation :0,1%
    • Autre (précisez) :::

    ❗Dans le cas d'une séparation de restes humains, vous pouvez dépasser les 100% pour signifier l'utilisation de plusieurs méthodes funéraires pour un même individu. Veuillez indiquer cette séparation des restes en accompagnant le pourcentage des lettres SÉP.

    Existent-ils des coutumes et pratiques visant à altérer les restes du défunt ou sa sépulture ? Si oui, lesquelles ? Pour quelles méthodes ? À quels groupes sont-elles attachées ? À quelles confessions ou croyances renvoient-elles ? (Ex : excarnation, embaumement, disposition du corps, dépôt d'objets, etc.)
    Dans la tradition Assadienne, qui est fortement enracinée dans l’Islam, il existe des coutumes et des pratiques spécifiques concernant le traitement des restes du défunt et de sa sépulture. Voici quelques-unes de ces pratiques : Le corps du défunt est rituellement lavé avec de l’eau parfumée et chaude par jusqu’à trois personnes de confiance. Cela symbolise un processus de purification ainsi qu’un acte de miséricorde envers le défunt. Après le lavage du corps, celui-ci est enveloppé dans un linceul blanc. Un service de prière est organisé peu de temps avant l’enterrement et se compose de quatre cycles. Le corps doit être placé dans une tombe qui est perpendiculaire à Jérusalenne, de sorte que la tête repose sur le côté droit et le visage vers Jérusalenne. D’autres formes d’enterrement, comme la crémation et les tombeaux hors sol, ne sont pas acceptées dans la tradition Assadienne. Une fois le corps placé dans la tombe, une brève prière est récitée. Il est important de noter que la crémation est généralement interdite dans la coutume et la loi Assadiennes. De plus, le corps ne doit pas être embaumé, ni aucun organe retiré pour des raisons médicales ou de don. De plus, aucune autopsie ne doit être effectuée. Les Assadiens croient que le corps doit rester intact par respect pour le défunt.

    Existent-ils d'autres coutumes et pratiques spécifiques accompagnant ces cérémonies funéraires ? Si oui, lesquelles ? Pour quelles méthodes ? À quels groupes sont-elles attachées ? À quelles confessions ou croyances renvoient-elles ? (Ex : rituels, chants, danses, prières, etc.)

    Oui, il existe d’autres coutumes et pratiques spécifiques qui accompagnent les cérémonies funéraires dans la tradition Assadienne : Des rituels spécifiques sont effectués tout au long du processus funéraire, y compris le lavage du corps, l’enveloppement du corps dans un linceul, et la prière funéraire. Des chants spécifiques peuvent être récités pendant la cérémonie funéraire. Ces chants peuvent être des versets du Coran ou d’autres prières islamiques.
    La prière est une partie intégrante de la cérémonie funéraire. La prière funéraire (Salat al-Janazah) est effectuée en l’absence du corps et est suivie de la prière au bord de la tombe. Après l’enterrement, il est courant pour les proches de visiter régulièrement la tombe du défunt pour prier pour lui.


    Des méthodes, coutumes et pratiques funéraires sont-elles réservées à des cas précis ? Si oui, lesquelles ? Pour qui ? Dans quelles circonstances ? (Ex: décès spécifiques, statuts sociaux particuliers, etc.)

    Dans la tradition Assadienne, certaines pratiques funéraires peuvent être réservées à des cas spécifiques. Dans certains cas, comme le décès d’un enfant ou d’une personne non mariée, des rituels spécifiques peuvent être effectués pour aider l’âme du défunt à trouver la paix. Les dirigeants ou les personnes de haut rang peuvent avoir des rites funéraires plus élaborés ou des monuments funéraires plus importants pour honorer leur statut dans la société. Dans certaines circonstances, comme une mort soudaine ou inattendue, des rituels supplémentaires peuvent être effectués pour apaiser l’âme du défunt et aider la famille à faire face à la perte comme de l'argent.

    Des méthodes funéraires ont-elles disparu ou commencé à disparaître entre 1900 et aujourd'hui, voire antérieurement à cette date ? Si oui, lesquelles ? Pour quelles raisons ? (Ex: raisons religieuses, hygiéniques, financières, etc.)
    Oui, certaines méthodes funéraires ont effectivement commencé à disparaître ou à évoluer au fil du temps. Par exemple, dans la tradition Assadienne, il était autrefois courant de penser que la crémation était la meilleure façon de traiter les corps après la mort. On croyait que le fait de brûler le corps permettait à l’âme de monter en fumée dans l’au-delà. Cependant, cette pratique a commencé à changer après que le roi se soit converti à l’islam. En raison des interdictions religieuses associées à l’islam, la crémation a progressivement disparu. De plus, les corps des prisonniers étaient autrefois conservés dans une pièce remplie de serpents, ce qui était considéré comme une forme de châtiment. Cependant, cette pratique a également commencé à disparaître avec l’adoption de l’islam.

    🏛️ Infrastructures Funéraires :

    ➥ Types de dépôts funéraires selon la quantité d'individus déposés de 1900 à aujourd'hui (en %)

    Un dépôt funéraire (sépulture/tombe) est un lieu où des restes humains ont été VOLONTAIREMENT déposés.
    ⚠️ Sépulture primaire/ Sépulture secondaire : les sépultures primaires demeurent non altérées ou non volontairement altérées par des voies anthropiques après leur dépôt initial tandis que les sépultures secondaires ont été altérées volontairement par des voies anthropiques, par des voies humaines, une seconde fois après leur dépôt initial.


    • ❌ Aucune/Abandon du défunt :
    • ♻️ Réemploi des restes (réef artificiel, décoration, terreau) : 0,1%
    • 🦅 Terrain d'exposition (tour du silence, inhumation céleste, sépulture aérienne) :0,1%
    • 🪦 Terrain d'inhumation terrestre aménagé (cimetière urbain ou rural) :99%
    • 💧 Terrain d'inhumation aquatique aménagé (caveau ou cimetière sous-marin) :0,1%
    • 🏞️ Terrain d'inhumation sauvage (cimetière sauvage, dans la nature) :0,1%
    • 🚮 Dépôt commun ou collectif grossier (fosse commune, charnier) :0,1%
    • 🏛️ Dépôt commun ou collectif primaire (tombeau familial, mausolée) :0,1%
    • ⛏️ Dépôt commun ou collectif secondaire (ossuaire, dépôt nomade) :0,1%
    • 👑 Sépulture individuelle ou commune/collective monumentale (tombe princière, tumulus, pyramide) :
    • ⚱️ Zone close de dépôt des restes (colombarium, cavurne, urne) :0,1%
    • 🥀 Zone particulière de dépôt des restes à l'air libre (jardin du souvenir) :0,1%
    • 🌊 Dispersion des restes (mer, vent) :0,1%
    • Autre (précisez) ://

    Il est préférable que vous remplaciez les exemples ici donnés entre parenthèses par des exemples ayant cours dans votre pays.
    ❗Dans le cas d'une séparation de restes humains, vous pouvez dépasser les 100% pour signifier l'utilisation de plusieurs types de dépôts funéraires pour un même individu. Veuillez indiquer cette séparation des restes en accompagnant le pourcentage des lettres SÉP.


    Sur quel(s) financement(s) se reposent ces différents types de dépôts/infrastructures funéraires ? (Ex : État, collectivités locales, organisations religieuses, privées, etc.)

    Financé par L'Etat.

    Des types de dépôts sont-ils réservés à des cas précis ? Si oui, lesquels ? Pour qui ? Dans quelles circonstances ? (Ex: décès spécifiques, statuts sociaux particuliers, etc.)

    [color=#3529A8]Oui, dans la tradition Assadienne, certains types de dépôts sont réservés à des cas spécifiques. Par exemple, la Famille Royale possède un lieu de sépulture qui leur est exclusivement réservé. Cela reflète le statut social élevé de la Famille Royale et l’importance de maintenir des traditions funéraires distinctes pour eux. Les grandes familles de nobles peuvent aussi avoirs des privilèges.


    Des types de dépôts ont-ils disparu ou commencé à disparaître des habitudes funéraires entre 1900 et aujourd'hui, voire antérieurement à cette date ? Si oui, lesquels ? Pour quelles raisons ? (Ex: raisons religieuses, hygiéniques, financières, etc.)
    Aucune étant donné que celle de l'islam et la plus faite.

    ⚖️ Législation Funéraire :

    Existe-t-il au moins un code funéraire ? OUI
    Si oui, à quelle échelle s’applique ce ou ces code(s) ? (Nationale, fédérale, communale, autres.) Ils s’appliquent à l'échelle Nationale
    Que contient ou contiennent ce(s) code(s) ? (Gestion des cimetières, règlements sur la crémation, etc.)

    Les codes de gestion des cimetières et les règlements sur la crémation contiennent généralement des directives détaillées sur divers aspects des services funéraires. Cela comprend la supervision générale du cimetière, y compris la conduite des funérailles, le trafic, et l’admission au cimetière. Il peut également y avoir des règles concernant les heures d’ouverture du cimetière, les comportements appropriés à l’intérieur du cimetière, et les restrictions sur les véhicules.

    Existe-t-il d’autres législations spécifiques ? (Traitements post-mortem, transport des corps, etc.)Oui, il existe d’autres législations spécifiques liées aux traitements post-mortem et au transport des corps. Les traitements post-mortem, tels que l’autopsie et l’embaumement, sont généralement réglementés par des lois spécifiques. Par exemple, l’autopsie peut être requise pour satisfaire les exigences légales de la Côte D'Assad, établir la cause, la manière et le mécanisme de la mort, déterminer le temps de survie menant à la mort, collecter des données à des fins d’identification, et documenter des informations clés, y compris les blessures et les preuves à des fins d’enquête. Le corps doit donc rester intacte. Le transport des corps est également réglementé. En cas d’indisponibilité des services funéraires ou de la famille pour le transport des restes, une équipe de transport peut être désignée et chargée du déplacement des restes vers et depuis la station de morgue

    L'activité d'opérateur funéraire est-elle encadrée (même dans un cadre privé) et si oui, dans quelles conditions ? (Si nécessaire, conditions d'obtention d'une autorisation de pratiquer.) Dans la tradition Assadienne, qui est fortement enracinée dans l’Islam, l’activité d’opérateur funéraire est effectivement encadrée, même dans un cadre privé. Les opérateurs funéraires doivent respecter un certain nombre de règles et de réglementations pour s’assurer que les rites funéraires sont effectués de manière respectueuse et appropriée. Pour devenir un opérateur funéraire, une personne doit généralement obtenir une autorisation ou une licence.Les opérateurs funéraires doivent respecter les rites et les coutumes funéraires Assadiens, qui sont basés sur les enseignements de l’Islam. Cela comprend le lavage rituel du corps, l’enveloppement du corps dans un linceul, la prière funéraire, et l’enterrement du corps dans une direction spécifique (vers Jérusalenne dans ce cas).

    💀 Statistiques globales et décès particuliers :

    Décès à l'étranger (en %) : 9%
    Règles pour rapatrier un corps : OUI, si la famille du mort le décide sinon il restera.
    Décès inexpliqués (en %) : 2% (Selon la capacité de la science dans votre pays.)
    Procédures spéciales pour les cas de disparitions ou décès inexpliqués : OUI ,Dans les cas de disparitions ou de décès inexpliqués, des procédures spéciales sont généralement mises en place pour gérer ces situations. Si une personne disparaît dans des circonstances qui mettent sa vie en danger et que son corps n’a pas été retrouvé, une déclaration judiciaire de décès peut être demandée

    ➥ Établissez une liste des dix principales causes de décès des dix dernières années dans votre pays :

    Afin de vous guider, voici les 10 principales causes de mortalité dans le monde selon l'OMS.


    • 1ère : Diabète
    • 2ème : Mort normale
    • 3ème : Maladies inexpliquées ( Pays pas développée donc certaine maladies ne sont pas traités par manque d'expérience )
    • 4ème : Maladies du foie
    • 5ème : Maladies Cardiovasculaires
    • 6ème : Consommations de tabac, drogue
    • 7ème : Cancers
    • 8ème : Accident domestiques
    • 9ème : Maladies Respiratoires
    • 10ème : Accident de transports


    ➥ Taux bruts de mortalité (en ‰ - pour mille) pour les années suivantes :

    Rapport entre le nombre annuel de décès et la population totale moyenne sur une période et dans un territoire donné.

    Afin de vous guider, voici le classement des États et territoires du monde par taux de mortalité en ‰ selon le World Population Prospects.


    • 2010 : 6,34 pour 1000
    • 2000 : 7,87 pour 1000
    • 1990 : 9,67 pour 1000
    • 1980 : 13,32 pour 1000
    • 1970 : 20,32 pour 1000
    • 1960 : 24,98 pour 1000
    • 1950 : 19,12 pour 1000

    🪦 Monuments Funéraires Remarquables :

    Accompagner les présentations de monuments funéraires d'une photographie ou illustration pourrait être la bienvenue.

    Cimetière(s) célèbre(s) : Aucun cimetière dois être pris en photo.
    Monument(s) commémoratif(s) célèbre(s) : // (Ex : statues, plaques commémoratives, etc.)
    Architecture funéraire remarquable : // (Ex : mausolées, tombeaux célèbres, etc.)

    Cette architecture funéraire remarquable peut aussi bien être une construction récente ou ancienne, un ensemble commun/collectif ou une sépulture individuelle. //

    🚻 Perspectives Anthropologiques :

    Quel(s) rôle(s) culturel(s) les funérailles jouent-elles dans les diverses traditions funéraires et pour les groupes qui les pratiquent ? (Ex : impact sur la société, importance rituelle, relation avec le divin/ avec la nature, conservation de la mémoire, etc.)//
    Quelle place tient actuellement la mort dans la représentation artistique ?//

    Un bref historique de cette place de la mort dans la représentation artistique peut aider à faire comprendre la situation actuelle.//

    🔮 Futur des Funérailles :

    Les rites et pratiques funéraires de votre pays connaissent-elles des évolutions récentes ? Si oui, lesquelles ? Sont-elles issues d'influences spécifiques ou globales ? (Ex : mondialisation, influence culturelle particulière, etc.)Non
    Quelle place l'innovation technologique joue-t-elle actuellement sur la culture funéraire ?
    Existent-ils des discussions éthiques en cours concernant le statut du défunt au sein de la société ? (Ex : questions liées à la conservation des restes, disposition des organes, clonage post-mortem, etc.) Non.
    Plus généralement, existent-ils des discussions visant à reconsidérer l’approche de la société sur la mort ? (Ex : euthanasie, etc.) Non.
    Enfin, existent-ils des tendances funéraires émergentes et quelles sont-elles ? (Ex : nouveaux rites funéraires, pratiques alternatives, etc.)Aucune

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