05/01/2018
22:54:42
Index du forum Scène Internationale Diplomatie internationale Organisations internationales Organisation des Nations Démocratiques

One Eye - Initiative de Partage du Renseignement - Page 3

9005
Bureau de la Première ministre


Norja,
le XX XXXX 2017


Note classifiée
pour
CONSEIL MILITAIRE OND
BANDARHAN
BOURG DES MAHOGANYS
BRYNGAERDINAS PIL
HAGUEVIEIL
MANTICORE
UZUSCO


Objet : Inquiétude sur les retenues de citoyens tanskiens et onédiens en Illirée


Résumé

La guerre entre la Krestchénie et l'Altrecht a pris une tournure régionale en l'espace de quarante-huit heures seulement. L'implication de l'Estalie et de l'empire Kahiste dans la guerre a aussi entraîné la participation plus restreinte de l'Illirée. En décidant de participer à cette opération, le pays a mis à mal l'architecture de défense négociée avec l'OND lui offrant une liberté absolue dans ses politiques intérieures et extérieures à l'exception des traités de défense. Le tournant choisi de façon irrationnelle est celui du communalisme et du risque de guerre régionalisée.

Les frappes ordonnées par la Krestchénie et Teyla ont épargné l'Illirée et sa flotte aérienne, pourtant participante, afin de ne pas provoquer de rupture complète des relations diplomatiques et le risque de guerre à notre frontière méridionale. La multiplication des interdictions de sortie du territoire illiréen de ressortissants étrangers des pays de l'Organisation des Nations Démocratiques, coïncidant avec le début de la guerre, n'est pas un hasard et constitue une atteinte contre des milliers de citoyens des pays membres et contre la République Fédérale de Tanska. Cela ne constitue néanmoins pas une situation suffisante en vertu de l'article IX du Conseil militaire. Des demandes de clarifications vont être demandées ainsi que la liberté totale de sortie du territoire pour nos ressortissants.


1. Participation illéréenne à la guerre entre la Krestchénie et l'Altrecht

L'agression non justifiée de la Krestchénie à l'encontre de l'Altrecht a entraîné une réaction très largement disproportionnée d'une coalition menée par l'empire Kahiste et l'Estalie à laquelle prend part l'Illirée. L'Illirée est belligérante dans cette guerre, au même titre que la Kaultie et la Mahrénie, avec un degré d'implication néanmoins plus élevé. En accueillant des appareils militaires participants directement aux bombardements, les gouvernements kaultes et mahréniens sont eux belligérants mais n'engagent pas de moyens directs dans le ciel hostalien. Selon nos informations ainsi que les informations transmises brièvement par les autorités illiréennes, l'aviation illiréenne ne participerait pas aux opérations de bombardement au sol. Elle est néanmoins présente en nombre (estimation de 40 à 50 appareils) directement dans le ciel krestchénien.

Le Royaume de Teyla, en vertu de son accord de défense avec la Krestchénie est lui aussi belligérant dans cette guerre malgré le caractère d'agresseur initial de la Krestchénie. La réaction de la coalition, et notamment de l'Estalie qui a reconnu vouloir démilitariser la Krestchénie entraîne une action militaire disproportionnée et escalatoire. Teyla et la Krestchénie ont, en réponse, conduites de très importantes frappes balistiques à l'encontre de l'Estalie, mais aussi de la Kaultie et de la Mahrénie, toutes deux cibles légitimes. Aucune frappe n'a touché l'Illirée. Cette décision de ne pas frapper ses aérodromes, malgré sa participation active au conflit résulte de consultations au plus haut niveau avec les autorités tanskiennes et d'autres pays onédiens. Cette absence de frappe limite les capacités opérationnelles mais permet en échange d'offrir une porte de sortie au conflit de l'Illirée. Ce choix est soutenu par Tanska.

L'Organisation des Nations Démocratiques n'est pas impliquée dans cette guerre. Tanska, aux côtés de Velsna, a invité la flotte kah-tanaise, présente et ayant participé au coup d'Etat en Altrecht (Note classifiée) à partir afin d'entamer des négociations dans les plus brefs délais. Les demandes de négociations sont restées sans réponse de part et d'autres. La Fédération ne participe d'aucune manière au conflit et a aussi communiqué avec les autorités illiréennes dans le déclenchement immédiat du conflit.

A date d'écriture, il a été confirmé qu'au moins un appareil illiréen a été abattu par les forces krestchéniennes.


2. La décision illiréenne d'atteindre directement à la sécurité de citoyens tanskiens et onédiens

En l'absence totale de toute forme de menace verbal ou caractérisée de la part d'autorités nationales de pays membres de l'Organisation des Nations Démocratiques, des représentations de l'Organisation des Nations Démocratiques, et de toute atteinte contre son territoire, le gouvernement illiréen a décidé aujourd'hui d'empêcher le départ de citoyens onédiens, dont tanskiens, du pays. Ces interdictions sont caractérisées par la multiplication de problèmes aux frontières et aux points d'entrée et de sortie (aéroports, ports maritimes, gare routières et ferroviaires) qui ont débutées peu après l'intervention teylaise. L'ambassade de Tanska en Illirée ne rapporte aucun problème majeur affectant d'autres informations ou nationalité. Il est estimé qu'il s'agit d'actes volontaires visant à porter atteinte à des citoyens tanskiens et onédiens dans leurs déplacements et sortie du territoire. Cette décision illégale intervient en rupture complète avec la situation sur décision unilatérale de l'Illirée. Elle met en péril la sécurité directe de milliers de citoyens pouvant désormais être qualifiée d'otage par l'Illirée si elle venait à se poursuivre dans le temps.

La décision est entrée en vigueur sans signe avant coureur pour les populations civiles concernées et informations transmises aux autorités nationales. Le gouvernement illiréen semble volontairement durcir la relation et le dialogue jusqu'ici entretenu avec les autorités tanskiennes en s'en prenant à ses ressortissants. Il peut être attendu, compte-tenu de la décision prise, que des citoyens tanskiens et onédiens pourront être accusés d'espionnage ou d'être des agents de l'étranger. La conduite d'une telle politique reviendrait à chercher à employer des civils comme monnaie d'échange. La situation serait ainsi caractérisée comme étant celle d'une prise d'otage de centaines voir milliers citoyens tanskiens par le gouvernement illiréen auxquels viennent s'ajouter les milliers de citoyens de pays membres de l'OND. A date, aucune mesure de déplacement forcé ou de déportation permettant la surveillance desdits citoyens n'a été observée. Le faible délai explique aussi l'absence de mesures concrètes. Des placements en hôtel ou centre d'hébergements ont toutefois été notés.

La situation du personnel diplomatique tanskien et onédien n'a, à cette heure, fait l'objet d'aucune clarification supplémentaire de la part des autorités illiréennes. Il peut être estimé que ce personnel pourrait aussi être sujet aux mêmes atteintes que le reste des citoyens présents en Illirée. Leur nombre est largement inférieur au nombre de ressortissants tanskiens en Illirée. L'ensemble des postes diplomatiques tanskiens (ambassade, consulat général, consulats) emploi un total de 81 tanskiens ainsi qu'une cinquantaine d'agents de droits locaux (ADL). 22 ADL en Illirée possèdent la double nationalité.

Le Service Permanent d'Intelligence Extérieure estime que la décision du gouvernement illiréen est une mesure préventive visant à mettre les autorités nationales de pays membres de l'OND, au premier ordre Tanska, devant le fait accompli afin de s'assurer une sécurité temporaire en s'en prenant directement à la vie de milliers de civils. Toutes les mesures nécessaires seront prises pour assurer la possibilité de retour immédiat et sans négociation de la totalité des citoyens tanskiens et onédiens dans leur pays. Un communiqué public sera partagé à ce sujet dans les plus brefs délais.

Aucune mesure de réciprocité ne sera prise à l'encontre des citoyens illiréens en Tanska. Le gouvernement tanskien condamnera publiquement toute mesure de réciprocité appliquée par un pays membre de l'OND à l'encontre de civils illiréens.


3. Article IX de la Charte militaire et applicabilité

L'Article IX de la Charte militaire de l'Organisation des Nations Démocratiques dispose que « Le Conseil peut avoir recours aux moyens militaires des états signataires de la présente Charte dans des missions en dehors de l'Union afin d'assurer le maintien de la paix, la protection de populations civiles, la prévention des conflits, le renforcement de la sécurité internationale ou l'élimination de groupes armés ayant commis, ou visant à commettre, des actes de nature terroriste ou pirate. L'exécution de ces tâches repose sur les capacités fournies par les États membres ».

La situation régionale très instable et la décision injustifiée de porter atteinte à des citoyens tanskiens et onédiens, sans aucune participation ni de Tanska ni de l'OND au conflit, ne fait pas courir un danger immédiat et caractérisé aux populations civiles concernées. L'article IX ne sera pas invoqué en l'état par Tanska. Cependant, la situation pourrait rapidement évoluée et il convient de régler dès maintenant la situation. De plus, la poursuite pendant plusieurs années d'un discours de propagande sécuritaire et paranoïaques à l'encontre de Tanska comme menace pour l'Illirée est un facteur aggravant du risque pouvant entraîner des réactions incontrôlées de la part de la population civile.

Une demande de clarification de la situation d'une part, et d'autorisation sans condition de sortie du territoire national sur simple présentation d'un document officiel tanskien et onédien sera formellement émise aux autorités nationales illiréennes.


Commentaire, rédigé par Mar Loftsson

La mise en place d'une « gêne administrative » de sortie du territoire organisée par le gouvernement illiréen est un élément provocateur et inquiétant à l'égard des populations civiles et des relations bilatérales et multilatérales. La dégradation qui semble volontaire de la part de l'Illirée est probablement liée à l'intervention teylaise en Krestchénie, justifiée par un accord de défense. Le gouvernement illiréen semble confondre l'action d'un pays membre à celle de l'organisation.

L'étendu des blocages et gênes rapportés par notre ambassade semble être encore faible. Dans ce contexte qui ne pourrait être que les prémices d'actions futures, le gouvernement tanskien a décidé d'opter pour des mesures préventives visant à faciliter le retour de tous les citoyens tanskiens et onédiens sur une base volontaire, et de supprimer toute gêne liée à des départs futurs.

0
KAULTHIE - Echec des négociations d'une sortie de guerre de la KaulthieSous-direction de l'Eurysie Centrale,
Direction des Affaires eurysiennes
Ministère des Affaires étrangères et des Droits humains


Norja,
le XX XXXX 2017


Note classifiée
pour postes et ambassades à
CABINET DE LA PREMIERE MINISTRE
CONSEIL MILITAIRE OND
DIRECTION DES AFFAIRES EURYSIENNES
BANDARHAN
BOURG DES MAHOGANYS
BRYNGAERDINAS PIL
HAGUEVIEIL
MANTICORE
MISTOHIR
TROISTIV
UZUSCO
VELSNA
WARENSBURG


Objet : KAULTHIE - Echec des négociations d'une sortie de guerre de la Kaulthie


Résumé

Le ministre des Affaires étrangères et des Droits humains à entrepris d'essayer de négocier une sortie de la guerre de la Kaulthie en misant sur les risques d'une invasion terrestre et les dangers qu'elle pouvait encourir. Les négociations sont un échec, la Kaulthie s'enfermant dans une logique de bloc qui rejette fondamentalement la prise en compte des risques pour sa propre sécurité et celle de sa population.


1. Participation Kaulthienne à la guerre

L'agression non justifiée de la Krestchénie à l'encontre de l'Altrecht a entraîné une réaction très largement disproportionnée d'une coalition menée par l'empire Kahiste et l'Estalie à laquelle prend part l'Illirée. La Kaulthie est bélligérante à la guerre au même titre que la Mahrénie mais à un degré moindre que l'Illirée. En accueillant des appareils militaires participants directement aux bombardements, les gouvernements kaultes et mahréniens sont en effet belligérants mais n'engagent pas de moyens directs dans le ciel hostalien.

Le Royaume de Teyla, en vertu de son accord de défense avec la Krestchénie est lui aussi belligérant dans cette guerre malgré le caractère d'agresseur initial de la Krestchénie. La réaction de la coalition, et notamment de l'Estalie qui a reconnu vouloir démilitariser la Krestchénie entraîne une action militaire disproportionnée et escalatoire. Teyla et la Krestchénie ont, en réponse, conduites de très importantes frappes balistiques à l'encontre de l'Estalie, mais aussi de la Kaultie et de la Mahrénie, toutes deux cibles légitimes. En Kaulthie, les frappes ont provoqués la destruction des deux aérodromes actifs du pays qui accueillait des appareils militaires. Un grand nombre de batteries sol-air, de véhicules radars et de véhicules logistiques ainsi que plusieurs centaines de soldats ont été tués dans ces frappes. Les aérodromes employés étant des aérodromes civils dont l'usage se fait à des fins militaires, les frappes ont également provoquées des pertes civiles. Inférieures à celles très importantes en Mahrénie, elles sont tout de même estimées entre 100 et 300 civils tués et plusieurs centaines de blessés. Le gouvernement tanskien condamne ses atteintes aux pertes civiles tout en indiquant que la Mahrénie et la Kaulthie n'ont pas pris toutes les mesures nécessaires visant à assurer la protection de leurs propres populations et des ressortissants ou voyageurs étrangers. Il s'agit de la première critique à l'égard de Teyla dans cette guerre. Tanska réaffirme son attachement plein et entier à l'article 5 en cas d'agression à l'encontre du Royaume de Teyla.

L'Organisation des Nations Démocratiques n'est pas impliquée dans cette guerre. Tanska, aux côtés de Velsna, a invité la flotte kah-tanaise, présente et ayant participé au coup d'Etat en Altrecht (Note classifiée) à partir afin d'entamer des négociations dans les plus brefs délais. Les demandes de négociations progressent peu. La Fédération ne participe d'aucune manière au conflit et à donc entamé des négociations avec la Kaulthie


2. L'approche tanskienne dans les négociations avec la Kaulthie

Les communications envoyées au gouvernement Kaulthien se sont concentrés sur plusieurs éléments de langage jugés pertinents et ciblés compte-tenu de la faible participation kaulthienne à la guerre et de leurs capacités militaires limitées :
  • La Kaulthie est prise dans une guerre qui au premier fait ne la concerne pas en étant l'outil du Grand-Kah et de l'Estalie
  • Tanska condamne l'Hostaline mais demande une cessation des hostilités
  • La participation kaulthienne à la guerre créé le risque d'un volet terrestre de la guerre qui plongerait des millions de civils sur l'exil, augmenterait les coûts humains, financiers et politiques du conflit, aggraverait le risque d'une extension
La non-participation tanskienne à la guerre, la condamnation équivoque de l'Hostaline dans ses actions illégales et l'initiative lancée par Tanska auprès de Velsna de négociations de paix sont des facteurs qui ont été jugés favorable à une position tanskienne relativement neutre dans ce conflit visant à revoir à la baisse les risques d'escalade et à entreprendre une approche par le bas. Cette approche est aussi motivée par l'immobilisme relatif des négociations avec le Grand-Kah, Teyla et l'Estalie, accentuée par la récente déclaration de guerre de l'Estalie contre l'Hostaline. Seule le Grand-Kah se montre réellement favorable à une sortie négociée de la guerre, en dépit d'une posture jugée aventureuse et peu ouverte aux concessions.

3. Réponse kaulhtienne et constat de l'échec

La réponse de la diplomatie kaulthienne ne fait aucun doute quant à l'échec de l'initiative tanskienne à cet égard. Le discours kaulthien, bien que reconnaissant le bien fondé de la position tanskienne, révèle que le gouvernement kaulthien se considère comme partie prenante à part entière du conflit et agit de façon volontariste. Il est emprunt d'erreur en considérant que l'Altrecht est membre du Liberalinter, ce qu'il n'était pas lors de la frappe initiale qui a eu lieu dans les suites directes du coup d'Etat, ce qui rend l'argument de l'activation de la clause de défense caduque. L'Altrecht était seulement protégé par l'Estalie ce qui n'entraîne pas d'entrée dans le traité du Liberalinter. Sur ce point, la diplomatie kaulthienne fait preuve d'une forme d'idéologisme décorrélé de la réalité qui se rapproche de l'amateurisme.

La Kaulthie considère que Teyla est une menace sérieuse pour la stabilité de l'Eurysie Centrale. Ce narratif, aussi promu par d'autres Etats antagonistes voir ennemi à l'égard de l'Organisation des Nations Démocratiques, gagne du terrain y compris auprès d'Etats jugés neutres voir d'interlocuteur sinon de partenaires. Cette posture répandue, couplée au statut d'Etat membre de l'OND et d'allié de Tanska complexifie notre approche. Elle est aussi liée à une forte assimilation et mauvaise compréhension de la réalité de l'OND d'un certain nombre de diplomaties, il s'agit aussi régulièrement d'une absence volontaire de chercher à comprendre les positions variées des pays membres de l'OND, par aveuglement idéologique ou par manque d'utilité à le faire.

L'éducation nationaliste, qualifiable de propagande, hostile à l'égard des Kaulthes enseignée en Hostaline a aussi été mentionnée par la Kaulthie.

Le gouvernement demande l'organisation d'une conférence de paix avec les acteurs concernés. Là encore, cette demande survient alors que Tanska et Velsna s'organisent pour organiser une telle conférence témoigne à nouveau soit de l'ignorance de cette situation des autorités kaulthes soit de l'absence de communication envers eux de la part de leurs alliés kah-tanais et estaliens.

A l'exception d'une demande vague de "compenser les dégâts inhumains et les traumatismes" de la part de l'Hostaline la Kaulthie n'a pas mentionné de condition précise. Elle refuse de négocier avec Teyla. Cette position est toutefois bien plus acceptable que les missions de la guerre publiés par l'Estalie. En cela, ils ces conditions constituent des bases de discussions bien plus acceptables et réalistes. La constitution de réparations de guerre, que Teyla pourrait partiellement financer, sans démilitarisation même partielle, permettrait un accord rapide de cessez-le-feu. Cette situation ne fournirait toutefois aucune garantie à long terme pour le camp agressée et pour l'Hostaline.


Commentaire, rédigé par Mar Loftsson

Si l'échec des négociations est regrettable, il est à noter que plusieurs éléments ressortent de cette tentative. D'une part, le bloc "liberalinte" semble relativement unifié et consolidé dans sa volonté de négocier en commun. Cela pourrait toutefois complexifier la possibilité de tenir des discussions audible. La différence de demandes entre l'Estalie et la Kaulthie en constitue un bon exemple, en particulier en considérant le poids politique et militaire différencié entre les participants de la coalition. L'écart majeur de capital politique et militaire dans ce camp pourrait provoquer une éternisation des tentatives de négociations. A ce stade, la Grand-Kah reste donc l'acteur le plus volontariste à une sortie négociée de la guerre dans ce camp, à l'inverse de l'Estalie.


Note partagée
avec
ROYAUME DE TEYLA
ONE EYE
Haut de page